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  1. Il aura fallu une quarantaine d'années à François Bourgeon pour écrire et réaliser l'intégralité de sa série historique avec des femmes au premiers plans. La série est composée de neuf albums sur trois cycles, le premier est centré autour du personnage d'Isabeau de Marnaye sur un bateau en direction des Amériques. Le second cycle nous présentait Zabo l'arrière-petite-fille d'Isa et le dernier cycle se déroule à Paris et présente Klervi, une jeune bretonne proche de Zabo alors âgée de 40 ans. Pour la conclusion, Bourgeon nous offre un album double par sa pagination importante. Dans ce final, on retrouve Zabo qui va raconter son histoire à Klervi dans un train depuis les événements de la Commune de Paris, pour ensuite se poursuivre à sa déportation en nouvelle Calédonie condamnés par le conseil de guerre. On croise Louise Michel comme figure historique et d'autres anciens communards. Les dessins de Bourgeon reste fidèle au style de l'auteur avec des planches proche de peinture en tableaux pour dépeindre un fait historique. Les visages des personnages semblent parfois figés dans des positions étranges avec des visages avec les yeux fermés. Les lecteurs de la première heure seront heureux de pouvoir conclure cette série historique phare dans le monde de la bande dessinée.
  2. Titre de l'album : Les passagers du vent tome 9 - Le sang des cerises II Scenariste de l'album : François Bourgeon Dessinateur de l'album : François Bourgeon Coloriste : François Bourgeon Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Après avoir vengé Klervi, blessée d'un coup de couteau par son ancien souteneur, Zabo décide de l'emmener loin de Paris. Au cours du voyage en train qui les conduit en Bretagne, Zabo confie à sa protégée les traumatismes qu'elle a subis durant la Semaine sanglante jusqu'à sa déportation en Nouvelle-Calédonie en compagnie de Louise Michel et Henri Rochefort, deux figures de la Commune de Paris... Critique : Il aura fallu une quarantaine d'années à François Bourgeon pour écrire et réaliser l'intégralité de sa série historique avec des femmes au premiers plans. La série est composée de neuf albums sur trois cycles, le premier est centré autour du personnage d'Isabeau de Marnaye sur un bateau en direction des Amériques. Le second cycle nous présentait Zabo l'arrière-petite-fille d'Isa et le dernier cycle se déroule à Paris et présente Klervi, une jeune bretonne proche de Zabo alors âgée de 40 ans. Pour la conclusion, Bourgeon nous offre un album double par sa pagination importante. Dans ce final, on retrouve Zabo qui va raconter son histoire à Klervi dans un train depuis les événements de la Commune de Paris, pour ensuite se poursuivre à sa déportation en nouvelle Calédonie condamnés par le conseil de guerre. On croise Louise Michel comme figure historique et d'autres anciens communards. Les dessins de Bourgeon reste fidèle au style de l'auteur avec des planches proche de peinture en tableaux pour dépeindre un fait historique. Les visages des personnages semblent parfois figés dans des positions étranges avec des visages avec les yeux fermés. Les lecteurs de la première heure seront heureux de pouvoir conclure cette série historique phare dans le monde de la bande dessinée. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-passagers-du-vent-tome-9-le-sang-des-cerises-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. La septième fonction du langage est l'adaptation en bande dessinée par Xavier Betaucourt du roman de Laurent Binet. En effet, l'auteur s’inspire d'un fait réel pour construire sa fiction à partir de la mort du philosophe Roland Barthes, renversé accidentellement par une camionette dans Paris. La fiction prend la suite avec un complot visant à tuer ce philosophe de renommé. L'auteur va ainsi construire une histoire plausible en insérant de nombreuses figures historiques, philosophes, politiciens pour servir son intrigue ainsi que les auteurs eux-mêmes qui commentent l'histoire en cours de création. Le commissaire Jacques Bayard en compagnie Simon Herzog un jeune sémiologue vont tout mettre en œuvre pour comprendre cette tentative de meurtre qui est certainement liée à la découverte de la septième fonction du langage. La couverture est très représentative des dessins intérieurs. Ce roman graphique tient sur 150 pages de bande dessinée pour résoudre l’affaire autour de Roland Barthes. Si vous ne connaissez pas le roman, cette adaptation pourrait vous convaincre de découvrir une affaire policière sérieuse partant d’un concept farfelu avec beaucoup d’humour quand même.
  4. Titre de l'album : La septième fonction du langage : mais qui a tué Roland Barthes ? Scenariste de l'album : Xavier Betaucourt Dessinateur de l'album : Olivier Perret Coloriste : Paul Bona Editeur de l'album : Steinkis Note : Résumé de l'album : 25 février 1980. Roland Barthes est renversé par une camionnette. Et s'il s'agissait d'un assassinat ? Jacques Bayard, commissaire de son état, et Simon Herzog, jeune sémiologue, mènent l'enquête. Une enquête de routine qui se transforme rapidement en polar saisissant. Roland Barthes possédait en effet la septième fonction du langage, capable de convaincre n'importe qui de faire n'importe quoi dans n'importe quelle situation. Attisant la convoitise des plus grands intellectuels et hommes politiques, la septième fonction sème les cadavres sur son chemin. Tout le monde est suspect... Critique : La septième fonction du langage est l'adaptation en bande dessinée par Xavier Betaucourt du roman de Laurent Binet. En effet, l'auteur s’inspire d'un fait réel pour construire sa fiction à partir de la mort du philosophe Roland Barthes, renversé accidentellement par une camionette dans Paris. La fiction prend la suite avec un complot visant à tuer ce philosophe de renommé. L'auteur va ainsi construire une histoire plausible en insérant de nombreuses figures historiques, philosophes, politiciens pour servir son intrigue ainsi que les auteurs eux-mêmes qui commentent l'histoire en cours de création. Le commissaire Jacques Bayard en compagnie Simon Herzog un jeune sémiologue vont tout mettre en œuvre pour comprendre cette tentative de meurtre qui est certainement liée à la découverte de la septième fonction du langage. La couverture est très représentative des dessins intérieurs. Ce roman graphique tient sur 150 pages de bande dessinée pour résoudre l’affaire autour de Roland Barthes. Si vous ne connaissez pas le roman, cette adaptation pourrait vous convaincre de découvrir une affaire policière sérieuse partant d’un concept farfelu avec beaucoup d’humour quand même. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-septieme-fonction-du-langage?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. alx23

    Sans un mot...

    Jerrert réalise sa première bande dessinée publiée en France avec Sans un mot... Ce titre propose quatre histoires autour de fantasmes érotiques ou situations improbables sur des désirs sexuels. Le titre annonce justement cette thématique avec pas un mot à dire de ce qui se déroule dans les quatre histoires courtes. Pour exemple la première histoire où une femme surprend le voleur dans sa chambre qui se soumet à elle et ses moindres désirs. Elena Ominetti réalise tous les dessins de qualité pour les quatre histoires différentes. La couverture représente très bien le style des planches intérieurs. L'album est proposé dans un format bande dessinée franco-belge. Cette bande dessinée est entièrement muette mais au final pas besoin de parole avec les sujets abordés dans ce titre. Les dessins se suffisent à la compréhension et aux différents fantasmes.
  6. alx23

    Sans un mot...

    Titre de l'album : Sans un mot... Scenariste de l'album : Jerret Dessinateur de l'album : Elena Ominetti Coloriste : Elena Ominetti Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Une femme arrive dans son immeuble et se rend dans son appartement, alors qu'elle ouvre la porte elle s'aperçoit qu'elle a été cambrioler. Tous tiroirs sont ouverts, les objets renversés par terre et la fenêtre est ouverte. La femme poursuit l'inspection de son appartement pour juger des dégâts et surprend un homme dans sa chambre. Critique : Jerrert réalise sa première bande dessinée publiée en France avec Sans un mot... Ce titre propose quatre histoires autour de fantasmes érotiques ou situations improbables sur des désirs sexuels. Le titre annonce justement cette thématique avec pas un mot à dire de ce qui se déroule dans les quatre histoires courtes. Pour exemple la première histoire où une femme surprend le voleur dans sa chambre qui se soumet à elle et ses moindres désirs. Elena Ominetti réalise tous les dessins de qualité pour les quatre histoires différentes. La couverture représente très bien le style des planches intérieurs. L'album est proposé dans un format bande dessinée franco-belge. Cette bande dessinée est entièrement muette mais au final pas besoin de parole avec les sujets abordés dans ce titre. Les dessins se suffisent à la compréhension et aux différents fantasmes. Autres infos : Editions Tabou Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sans-un-mot?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Nouvelle adaptation en bande dessinée des romans et nouvelles de Liu Cixin, le romancier de science-fiction à succès de notre génération. Thierry Robin se charge intégralement de cette adaptation sur quelques 270 planches pour ce titre. Liu Cixin aime s'inspirer des sciences et de la technologie pour créer ses histoires et apporter des explications crédibles au sujet fantastiques ou relevant de la science-fiction. Dans L'attraction de la foudre, le héros voit ses parents mourir devant lui suite à l'apparition d'une foudre globulaire, une sphère créée lors d'un orage intense. En grandissant, le héros devient un éminent scientifique avec pour objectif d'approfondir ses connaissances sur ce phénome rare et peu connu. L'armée va lui permettre de pouvoir expérimenter mais avec une terrible finalité. Avec la pagination importante de cet album, Thierry Robin prend son temps pour développer l'histoire. Il dessine l'ensemble de l'album avec la collaboration de Yang Fei pour la réalisions des décors. On retrouve deux panoramas sur quatre pages qui sont la marque de fabrique de cette série. L'attraction de la foudre se penche sur la dualité du héros entre le besoin de travailler sur des expérimentations essentielles pour lui, tout en sachant que ses découvertes seront détournées.
  8. Titre de l'album : Les futurs de Liu Cixin - L'attraction de la foudre Scenariste de l'album : Thierry Robin Dessinateur de l'album : Thierry Robin Coloriste : Cyril Saint-Blancat Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Chen est fasciné par la foudre globulaire depuis une expérience traumatisante vécue dans l'enfance. Doctorant en modélisations mathématiques, il est poussé par son université vers l'armée qui allie ressources financières et capacités d'expérimentation. Chen se retrouve ainsi à tenter de capturer et analyser ces boules d'énergie brute, alors que les tensions internationales s'intensifient. Critique : Nouvelle adaptation en bande dessinée des romans et nouvelles de Liu Cixin, le romancier de science-fiction à succès de notre génération. Thierry Robin se charge intégralement de cette adaptation sur quelques 270 planches pour ce titre. Liu Cixin aime s'inspirer des sciences et de la technologie pour créer ses histoires et apporter des explications crédibles au sujet fantastiques ou relevant de la science-fiction. Dans L'attraction de la foudre, le héros voit ses parents mourir devant lui suite à l'apparition d'une foudre globulaire, une sphère créée lors d'un orage intense. En grandissant, le héros devient un éminent scientifique avec pour objectif d'approfondir ses connaissances sur ce phénome rare et peu connu. L'armée va lui permettre de pouvoir expérimenter mais avec une terrible finalité. Avec la pagination importante de cet album, Thierry Robin prend son temps pour développer l'histoire. Il dessine l'ensemble de l'album avec la collaboration de Yang Fei pour la réalisions des décors. On retrouve deux panoramas sur quatre pages qui sont la marque de fabrique de cette série. L'attraction de la foudre se penche sur la dualité du héros entre le besoin de travailler sur des expérimentations essentielles pour lui, tout en sachant que ses découvertes seront détournées. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-futurs-de-liu-cixin-l-attraction-de-la-foudre?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. The_PoP

    Ringo - intégrale

    Cette intégrale contient les albums de Ringo à savoir : - Piste pour Santé Fé - Le serment de Gettysburg - Trois salopards dans la neige Ainsi que les histoires plus courtes suivantes : La ville de la peur, L'or des déserteurs et El Diablo s'en mêle. Ne manque à priori que l'histoire courte Le Duel. Dix ans séparent les deux premiers albums du dernier, ce qui permet effectivement de voir l'évolution du dessin de Vance sur cette période. Allons-y franco, pour moi cette intégrale fait relativement pâle figure face aux derniers Westerns sortis ces dernières années en BD, que ce soit d'un point de vue graphique ou narratif. Cela m'a surpris car s'il faut bien reconnaitre que Ringo n'a jamais eu le succès d'un Blueberry ou d'un Comanche, M. Vance reste tout de même un génie de la bd. Cela rend d'ailleurs cette intégrale d'autant plus intéressante puisqu'elle nous permet de mesurer l'évolution de notre art favori. L'évolution technique dans un premier temps est celle qui nous saute aux yeux, tant les planches n'ont rien à voir avec celles qu'un Undertaker ou un Sykes peut nous proposer. Nos yeux ne sont plus habitués et il faut un nécessaire temps d'adaptation. Vient ensuite le choc sur la narration, qui nous semble de prime abord plus décousue, voir parfois sibylline avec des ellipses et un usage marqué des textes descriptifs. Pour les amateurs de Westerns, ayant un goût prononcé pour les classiques, et des yeux pas encore déformés par les nouveaux excellents Westerns parus, cette intégrale de Ringo est une vraie bonne pioche. Pour les simples lecteurs de Western habitués aux productions franco belges récentes, j'ai peur que vous soyez un peu déçus tant le décalage est important puisque Ringo a désormais plus de 50 ans.
  10. Titre de l'album : Ringo - intégrale Scenariste de l'album : William Vance (Tome 1) & Jacques Acar (Tome 2) & André-Paul Duchateau (Tome 3) Dessinateur de l'album : William Vance Coloriste : Petra Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Convoyeur de fonds pour la Wells Fargo au beau milieu d'un territoire sans foi et à la loi balbutiante, Ray Ringo ne peut compter que sur sa fine gâchette. Pourtant entre les flèches des Apaches, les crocs des coyotes, les balles des malandrins ou les feux croisés du Nord et du Sud, ce ne sont pas les façons de mourir qui manquent, dans le Far-West... Et entreprendre cette chevauchée en compagnie de Ringo, c'est remonter une seconde piste tout aussi palpitante : l'évolution graphique de William Vance à travers une décennie ! Critique : Cette intégrale contient les albums de Ringo à savoir : - Piste pour Santé Fé - Le serment de Gettysburg - Trois salopards dans la neige Ainsi que les histoires plus courtes suivantes : La ville de la peur, L'or des déserteurs et El Diablo s'en mêle. Ne manque à priori que l'histoire courte Le Duel. Dix ans séparent les deux premiers albums du dernier, ce qui permet effectivement de voir l'évolution du dessin de Vance sur cette période. Allons-y franco, pour moi cette intégrale fait relativement pâle figure face aux derniers Westerns sortis ces dernières années en BD, que ce soit d'un point de vue graphique ou narratif. Cela m'a surpris car s'il faut bien reconnaitre que Ringo n'a jamais eu le succès d'un Blueberry ou d'un Comanche, M. Vance reste tout de même un génie de la bd. Cela rend d'ailleurs cette intégrale d'autant plus intéressante puisqu'elle nous permet de mesurer l'évolution de notre art favori. L'évolution technique dans un premier temps est celle qui nous saute aux yeux, tant les planches n'ont rien à voir avec celles qu'un Undertaker ou un Sykes peut nous proposer. Nos yeux ne sont plus habitués et il faut un nécessaire temps d'adaptation. Vient ensuite le choc sur la narration, qui nous semble de prime abord plus décousue, voir parfois sibylline avec des ellipses et un usage marqué des textes descriptifs. Pour les amateurs de Westerns, ayant un goût prononcé pour les classiques, et des yeux pas encore déformés par les nouveaux excellents Westerns parus, cette intégrale de Ringo est une vraie bonne pioche. Pour les simples lecteurs de Western habitués aux productions franco belges récentes, j'ai peur que vous soyez un peu déçus tant le décalage est important puisque Ringo a désormais plus de 50 ans. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ringo-integrale?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. poseidon2

    Les pompiers t21

    Le retour des pompiers avec, deja, un tome 21. La recette ne change pas avec toujours la "pas trop" fine équipe et ses erreurs et échecs. Ce tome met particulièrement en avant le rapport à l'eau des pompiers plus que le rapport au feu. Des inondations au lavage de leurs costumes, toute blague qui peut aller avec l thème est utilisé. Comme tout le temps, les blagues sont faciles et font bien rigoler... tant qu'on ne les lit que 2 par 2. Pas de surprise pour un tome qui plaira aux amateurs des 20 premiers
  12. Titre de l'album : Les pompiers t21 Scenariste de l'album : Christophe Cazenove Dessinateur de l'album : Stédo Coloriste : Stédo Editeur de l'album : Bamboo Note : Résumé de l'album : Les hommes des casernes sont de retour! Rien ne va plus. L'entreprise qui entretient les tenues est en grève et nos pompiers n'ont pas d'autre solutionque de s'en occuper Les véhicules sont à l'état de quasi épaves et s'ils ont du matériel neuf, il est quasiment inutilisable car trop compliqué, à l'image de ce brancard du futur nouvellement livré. si on ajoute que Horace perd tout ce qu'on lui confie, les extincteurs comme les blessés et que Sylvain a du mal à canaliser l'amour qu'il porte aux incendies (à tel point qu'il préfère regarder les flammes que les éteindre), le lieutenant Ramon a de quoi bouillir. Ses colères devant l'incompétence de ses soldats du feu vont d'ailleurs faire monter la température de la caserne... et mettre le feu à vos zygomatiques! Critique : Le retour des pompiers avec, deja, un tome 21. La recette ne change pas avec toujours la "pas trop" fine équipe et ses erreurs et échecs. Ce tome met particulièrement en avant le rapport à l'eau des pompiers plus que le rapport au feu. Des inondations au lavage de leurs costumes, toute blague qui peut aller avec l thème est utilisé. Comme tout le temps, les blagues sont faciles et font bien rigoler... tant qu'on ne les lit que 2 par 2. Pas de surprise pour un tome qui plaira aux amateurs des 20 premiers Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-pompiers-tome-21?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. alx23

    La vérité nue tome 2

    Si vous avez aimez le premier tome, ce deuxième épisode devrait vous séduire aussi avec une fois de plus des gags qui tiennent sur une page avec quatre cases ou seulement une illustration par page. James se joue des absurdités de la vie pour les tourner en dérisions avec beaucoup d'humour. L'auteur utilise des animaux personnifiés pour mettre des situations amusantes qui parlent puisque proche de la réalité actuelle et de notre société. Tout est sujet à l'humour décalé avec beaucoup de talent et des dialogues surprenant et très amusant. Ce deuxième tome propose une centaine d'histoires courtes. James propose des dessins travaillés surtout pour le genre avec des animaux à notre place pour détourner notre quotidien. La collection Pataquès propose beaucoup d'album de qualité avec tout style d'humour pour que chacun puisse se retrouver à un moment sur un album. J’ai passé un bon moment de lecture étalé sur plusieurs jours pour lire quelques histoires à la fois.
  14. Titre de l'album : La vérité nue tome 2 Scenariste de l'album : James Dessinateur de l'album : James Coloriste : James Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : De l'art de réussir un barbecue au secret caché de la randonnée, en passant par le choix épineux de la sauce dans un kebab, la détection d'un adulte précoce, l'envie de déconstruire la société, la véritable mission d'un coach de vie ou encore les abus de pouvoir de la police des maths, ce 2e volume délivre 100 nouveaux moments où la vérité finit par être révélée pour démasquer les faux-semblants. Critique : Si vous avez aimez le premier tome, ce deuxième épisode devrait vous séduire aussi avec une fois de plus des gags qui tiennent sur une page avec quatre cases ou seulement une illustration par page. James se joue des absurdités de la vie pour les tourner en dérisions avec beaucoup d'humour. L'auteur utilise des animaux personnifiés pour mettre des situations amusantes qui parlent puisque proche de la réalité actuelle et de notre société. Tout est sujet à l'humour décalé avec beaucoup de talent et des dialogues surprenant et très amusant. Ce deuxième tome propose une centaine d'histoires courtes. James propose des dessins travaillés surtout pour le genre avec des animaux à notre place pour détourner notre quotidien. La collection Pataquès propose beaucoup d'album de qualité avec tout style d'humour pour que chacun puisse se retrouver à un moment sur un album. J’ai passé un bon moment de lecture étalé sur plusieurs jours pour lire quelques histoires à la fois. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-verite-nue-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. La série sur les reines de sang se poursuit avec un nouveau diptyque sur la vie de Marie Tudor depuis sa naissance jusqu'à sa majorité pour ce premier tome. Eric Corbeyran se charge du scénario avec plusieurs anecdote sur cette femme durant son enfance. On en apprend davantage sur son caractère, ses motivations et qu'elle était doué dans plusieurs matières avant d'être exclu du royaume en même temps que sa mère. Le roi Henry VIII, père de Marie souhaite avoir un garçon pour le mettre sur le trône à sa succession, pour se faire il changa souvent de femmes pour multiplier ses chances. Ce premier tome est l'introduction avec le contexte historique et familiale. Pour la partie graphique, Claudio Montalbano dessine des planches de qualité pour dépeindre cette époque royaliste. Il n'y a pas ou très d'action dans cet album avec seulement des fêtes mondaines autour du roi. Marie devra encore attendre avant de devenir la première reine d'Angleterre, mais elle se prend déjà au jeu politique en tenant tête à son père et ses manigances. La série sur les reines de sang est particulièrement intéressante surtout pour les lecteurs appréciant les récits historiques. Le format diptyque convient très bien au genre pour ne pas déborder avec trop d’information et ne pas perdre en fluidité et en plaisir de lecture.
  16. Titre de l'album : Les reines de sang - Marie Tudor, la reine sanglante tome 1 Scenariste de l'album : Éric Corbeyran Dessinateur de l'album : Claudio Montalbano Coloriste : Jean-Paul Fernandez Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Lorsqu'elle nait le 18 février 1516, Mary succède à quatre frères et soeurs, tous morts en bas âge. Henry VIII, son père, la comble d'attention et semble croire qu'une femme pourrait un jour régner sur l'Angleterre. Mais le temps passant, il vit l'absence de fils comme un affront. Influencé par sa maîtresse, Ann Boleyn, il répudie Catherine d'Aragon mettant un frein au destin royal de sa fille... Critique : La série sur les reines de sang se poursuit avec un nouveau diptyque sur la vie de Marie Tudor depuis sa naissance jusqu'à sa majorité pour ce premier tome. Eric Corbeyran se charge du scénario avec plusieurs anecdote sur cette femme durant son enfance. On en apprend davantage sur son caractère, ses motivations et qu'elle était doué dans plusieurs matières avant d'être exclu du royaume en même temps que sa mère. Le roi Henry VIII, père de Marie souhaite avoir un garçon pour le mettre sur le trône à sa succession, pour se faire il changa souvent de femmes pour multiplier ses chances. Ce premier tome est l'introduction avec le contexte historique et familiale. Pour la partie graphique, Claudio Montalbano dessine des planches de qualité pour dépeindre cette époque royaliste. Il n'y a pas ou très d'action dans cet album avec seulement des fêtes mondaines autour du roi. Marie devra encore attendre avant de devenir la première reine d'Angleterre, mais elle se prend déjà au jeu politique en tenant tête à son père et ses manigances. La série sur les reines de sang est particulièrement intéressante surtout pour les lecteurs appréciant les récits historiques. Le format diptyque convient très bien au genre pour ne pas déborder avec trop d’information et ne pas perdre en fluidité et en plaisir de lecture. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-reines-de-sang-marie-tudor-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. alx23

    Le crime parfait

    Les éditions Philéas réunissent quinze auteurs de bande dessinée pour nous donner chacun sa vision du crime parfait dans une ambiance de roman policier et thriller. Ce recueil est composé de onze histoires courtes allant de six à dix planches pour les plus longues. Les thèmes sont variés avec quelques récits inspirés de faits réels, ou de l'imagination des auteurs. Il est intéressant de découvrir comment les auteurs pensent au crime parfait pour que leur personnage puisse s'en sortir après leur méfait. Pour la partie graphique, on alterne entre du noir et blanc avec de la couleur ainsi on passe du trait réaliste de Chabouté à de la couleur avec Guérineau. On peut ainsi profiter de plusieurs styles dans un même recueil. A noter qu'il existe une version Canal BD avec une couverture alternative et un cahier supplémentaire de 8 pages dans une édition limitée. Dès que j'ai vu l'annonce de cet album avec les auteurs présents, je savais déjà que j'aimerais avec en plus avec une thématique que j'affectionne particulièrement. J’ai eu une préférence pour l’histoire de De Metter pour ses dessins et son intrigue mais aussi celle de Gess ou de de Chabouté… Liste des auteurs : Christophe Chabouté, Christian De Metter, Gess, Richard Guérineau, Iñaki Holgado, Jean-Paul Krassinsky, Emmanuel Moynot, Miceal Beausang, Jean-Philippe Peyraud, Cyril Pomès, Pascal Rabaté, Tony Sandoval, Cyril Lieron, A. K. Seltzer et Nicolas Barral.
  18. alx23

    Le crime parfait

    Titre de l'album : Le crime parfait Scenariste de l'album : Collectif Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Philéas Note : Résumé de l'album : "Le crime parfait est le triomphe de la préméditation, le criminel doit non seulement camoufler son crime s'il le peut, mais même prévoir toutes les circonstances qui entourent ce crime de manière à ne laisser aucune trace, de façon à ce que son crime se déroule, en quelque sorte, automatiquement..." - Thomas Narcejac, auteur de Esthétique du roman policier. Critique : Les éditions Philéas réunissent quinze auteurs de bande dessinée pour nous donner chacun sa vision du crime parfait dans une ambiance de roman policier et thriller. Ce recueil est composé de onze histoires courtes allant de six à dix planches pour les plus longues. Les thèmes sont variés avec quelques récits inspirés de faits réels, ou de l'imagination des auteurs. Il est intéressant de découvrir comment les auteurs pensent au crime parfait pour que leur personnage puisse s'en sortir après leur méfait. Pour la partie graphique, on alterne entre du noir et blanc avec de la couleur ainsi on passe du trait réaliste de Chabouté à de la couleur avec Guérineau. On peut ainsi profiter de plusieurs styles dans un même recueil. A noter qu'il existe une version Canal BD avec une couverture alternative et un cahier supplémentaire de 8 pages dans une édition limitée. Dès que j'ai vu l'annonce de cet album avec les auteurs présents, je savais déjà que j'aimerais avec en plus avec une thématique que j'affectionne particulièrement. J’ai eu une préférence pour l’histoire de De Metter pour ses dessins et son intrigue mais aussi celle de Gess ou de de Chabouté… Liste des auteurs : Christophe Chabouté, Christian De Metter, Gess, Richard Guérineau, Iñaki Holgado, Jean-Paul Krassinsky, Emmanuel Moynot, Miceal Beausang, Jean-Philippe Peyraud, Cyril Pomès, Pascal Rabaté, Tony Sandoval, Cyril Lieron, A. K. Seltzer et Nicolas Barral. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-crime-parfait?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. The_PoP

    Thorgal - Tome 40 - Tupilaks

    Je l'avais annoncé au tome 39, les auteurs avaient là une occasion assez unique de clôturer très proprement les aventures de Thorgal, et pour moi le contrat est rempli. Beaucoup beaucoup de réponses sont apportées dans ce tome, et je pense sincèrement que même les plus irréductibles des fans de Thorgal y trouveront globalement leur compte. C'est propre, c'est bien, et ils ne saccagent rien de l'héritage laissé par 39 tomes de cette immense saga. La part science fiction est bien traitée, et la part laissée au fantastique reste bien présente. Côté dessin, Fred Vignaux s'en sort une nouvelle fois très bien, ses traits étant en plus bien mis en couleurs par Gaetan Georges afin de mieux nous retranscrire les ambiances. Le Lombard décidera-t-il une pose dans les aventures de Thorgal ? Je ne sais le dire tant tout est possible à la fin de cet album. Ce qui est sur c'est que Le Lombard va prolonger ses aventures sous un autre angle au travers de leur nouvelle série Thorgal Saga et ses auteurs invités à donner leur vision de la saga thorgal en un one shot... Dans tous les cas, les amateurs de la série auraient bien tord de passer à côté de ce tome 40. A noter pour les amateurs, et je sais qu'il y en a que le jeux de société Thorgal le pays de Qâ en coopératif pour 1 à 4 joueurs arrive dans le même temps... Hâte d'affronter Ogotaï !
  20. Titre de l'album : Thorgal - Tome 40 - Tupilaks Scenariste de l'album : Yann Dessinateur de l'album : Fred Vignaux Coloriste : Gaétan Geroges Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : De retour dans le vaisseau de ses origines, Thorgal doit affronter Néokora, une intelligence artificielle déterminée à restaurer le règne atlante... Critique : Je l'avais annoncé au tome 39, les auteurs avaient là une occasion assez unique de clôturer très proprement les aventures de Thorgal, et pour moi le contrat est rempli. Beaucoup beaucoup de réponses sont apportées dans ce tome, et je pense sincèrement que même les plus irréductibles des fans de Thorgal y trouveront globalement leur compte. C'est propre, c'est bien, et ils ne saccagent rien de l'héritage laissé par 39 tomes de cette immense saga. La part science fiction est bien traitée, et la part laissée au fantastique reste bien présente. Côté dessin, Fred Vignaux s'en sort une nouvelle fois très bien, ses traits étant en plus bien mis en couleurs par Gaetan Georges afin de mieux nous retranscrire les ambiances. Le Lombard décidera-t-il une pose dans les aventures de Thorgal ? Je ne sais le dire tant tout est possible à la fin de cet album. Ce qui est sur c'est que Le Lombard va prolonger ses aventures sous un autre angle au travers de leur nouvelle série Thorgal Saga et ses auteurs invités à donner leur vision de la saga thorgal en un one shot... Dans tous les cas, les amateurs de la série auraient bien tord de passer à côté de ce tome 40. A noter pour les amateurs, et je sais qu'il y en a que le jeux de société Thorgal le pays de Qâ en coopératif pour 1 à 4 joueurs arrive dans le même temps... Hâte d'affronter Ogotaï ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/thorgal-tome-40-tupilaks?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. poseidon2

    Furieuse

    Titre de l'album : Furieuse Scenariste de l'album : Geoffroy Monde Dessinateur de l'album : Mathieu Burniat Coloriste : Mathieu Burniat Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Après « Le Mystère du monde quantique » et « Sous Terre », Mathieu Burniat revient avec « Furieuse », une pure fiction scénarisée par Geoffroy Monde (« Poussière », « Comment réussir » et « De rien »). Le roi Arthur, celui de la légende ? Un vieil ivrogne décrépit qui passe ses journées vautré sur son trône. Sa gloire désormais bien lointaine, il la doit à l'épée magique que Merlin lui a forgée pour terrasser les hordes de démons venues envahir le royaume de Pendragon. Devenue témoin de sa déchéance, l'arme enchantée s'ennuie ferme tandis que la princesse Ysabelle fulmine car son débris de père l'a promise en mariage à l'ignoble petit baron de Cumbre. Toutes deux bien décidées à se trouver un meilleur destin, Ysa et l'épée s'allient pour fuir le château et partir à la recherche de Merlin et de Maxine, la grande soeur disparue. Mais le vaste monde peut se montrer bien cruel pour une princesse qui n'a connu que la vie de palais. Et les intentions de l'épée sont peut-être moins nobles qu'il n'y paraît... Critique : Si le roi Arthur n'était rien sans Excalibur ? Et si Excalibur était bien plus qu'une simple épée magique ? C'est que ce, nous allons découvrir dans ce "Furieuse" : la vérité sur Excalibur au travers d'un road trip entre l'épée (qui parle) et la deuxième fille d'Arthur, Ysa. Road trip qui permet à nos auteurs de nous livrer une aventure aussi savoureuse, au travers d'échange piquant entre l'épée et Ysa, que réfléchi nous présentant une Ysa luttant contre son statut social et refusant dur comme fer le destin qui est censé être le sien. Mais Geoffroy Monde ne se contente pas de nous livrer une banale histoire de princesse rebelle. Il montre à cette princesse l'envers du décor avec les conditions de vie en dehors du château et pousse son histoire beaucoup plus loin que la simple fugue d'une princesse rebelle. Une très belle aventure portée par un graphisme et une coloration dynamique et humain. Bien plus travaillé qu'il n'y parait de prime abord. Un one shot à découvrir ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/furieuse?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. poseidon2

    Furieuse

    Si le roi Arthur n'était rien sans Excalibur ? Et si Excalibur était bien plus qu'une simple épée magique ? C'est que ce, nous allons découvrir dans ce "Furieuse" : la vérité sur Excalibur au travers d'un road trip entre l'épée (qui parle) et la deuxième fille d'Arthur, Ysa. Road trip qui permet à nos auteurs de nous livrer une aventure aussi savoureuse, au travers d'échange piquant entre l'épée et Ysa, que réfléchi nous présentant une Ysa luttant contre son statut social et refusant dur comme fer le destin qui est censé être le sien. Mais Geoffroy Monde ne se contente pas de nous livrer une banale histoire de princesse rebelle. Il montre à cette princesse l'envers du décor avec les conditions de vie en dehors du château et pousse son histoire beaucoup plus loin que la simple fugue d'une princesse rebelle. Une très belle aventure portée par un graphisme et une coloration dynamique et humain. Bien plus travaillé qu'il n'y parait de prime abord. Un one shot à découvrir !
  23. Après les terres d'arran, Soleil nous propose, dans la lignée des derniers épisodes, une série de one shot dans l'univers des nouvelles terres d'Ogon. Une initiative d'autant plus bienvenue que cette fois-ci le monde fantasy imaginé va aller puiser du côté de l'imaginaire de l'Afrique pour nous proposer un monde riche et original. Petit bémol toutefois, quelle maladresse je trouve que de venir parler en promo de "Première bd de Fantasy africaine au monde". Cette BD a heureusement d'autres arguments plus sérieux qui en font une autre grande BD de fantasy parmi d'autre, qui va puiser les sources de son imaginaire dans d'autres contes, légendes, religions et croyances locales tout en mêlant habilement les genres. L'histoire est réussie et prenante, et les enjeux à venir semblent clairs. Si ce premier tome reste assez sage dans son intrigue, et si le monde proposé, une fois digéré les influences, se révèle pour le moment moins riche que ce qu'il aurait pu, le tout forme pourtant une première pierre cohérente et intrigante pour développer à partir d'elle de nouvelles histoires. Côté dessin, rien de neuf sous Soleil, ils poursuivent la recette de leurs succès avec des trios d'auteurs chevronnés et habitués à travailler ensemble, ici Duarte/Istin/Nanjan Mauvaise nouvelle donc pour les amateurs des terres d'Arran, une nouvelle série va venir augmenter le nombre de tomes pléthoriques à suivre dans cet univers de dingue.
  24. Titre de l'album : Terres d'Ogon - Tome 1 - Zul Kassaï Scenariste de l'album : Jean-Luc Istin Dessinateur de l'album : K. Duarte Coloriste : J. Nanjan Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Au nord d'Ogon on dit que le peuple Kulu est sous la protection des Zul Kassaï, dieux immortels à la peau rouge, Lorsqu'un Tog sanguinaire assassine la famille du jeune Ubu, ce dernier se présente à ses dieux réclamant justice. La décision est prise : les Zul Kassaï ne feront pas la guerre aux Tog. Roass'aa n'est pas de cet avis et décide de braver l'interdit et d'accompagner Ubu en pays tog. Critique : Après les terres d'arran, Soleil nous propose, dans la lignée des derniers épisodes, une série de one shot dans l'univers des nouvelles terres d'Ogon. Une initiative d'autant plus bienvenue que cette fois-ci le monde fantasy imaginé va aller puiser du côté de l'imaginaire de l'Afrique pour nous proposer un monde riche et original. Petit bémol toutefois, quelle maladresse je trouve que de venir parler en promo de "Première bd de Fantasy africaine au monde". Cette BD a heureusement d'autres arguments plus sérieux qui en font une autre grande BD de fantasy parmi d'autre, qui va puiser les sources de son imaginaire dans d'autres contes, légendes, religions et croyances locales tout en mêlant habilement les genres. L'histoire est réussie et prenante, et les enjeux à venir semblent clairs. Si ce premier tome reste assez sage dans son intrigue, et si le monde proposé, une fois digéré les influences, se révèle pour le moment moins riche que ce qu'il aurait pu, le tout forme pourtant une première pierre cohérente et intrigante pour développer à partir d'elle de nouvelles histoires. Côté dessin, rien de neuf sous Soleil, ils poursuivent la recette de leurs succès avec des trios d'auteurs chevronnés et habitués à travailler ensemble, ici Duarte/Istin/Nanjan Mauvaise nouvelle donc pour les amateurs des terres d'Arran, une nouvelle série va venir augmenter le nombre de tomes pléthoriques à suivre dans cet univers de dingue. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/terres-d-ogon-tome-1-zul-kassai?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Yves Swolfs relance Durango, l'une des séries qui l'a fait connaître en démarrant une trilogie centrée sur la jeunesse de Durango. Où comment un jeune cow-boy est devenu la plus fine gâchette de l'Ouest Américain. Roman Surzenkho assure sur cette trilogie la partie graphique, et ce paris là est clairement réussi puisqu'on retrouve enfin à mon avis un dessinateur capable de poursuivre l'héritage colossal laissé par Yves Swolfs. S'il lui manque encore un soupçon de maestria sur les personnages, l'ensemble est cohérent et intéressant et l'on retrouve le style et les gueules Swolfs qui raviront les amateurs du genre. Il lui faudra toutefois confirmer l'essai sur les deux prochains tomes pour nous conquérir définitivement. Faisons toutefois confiance à cet auteur, qui a déjà fait plus que ses preuves sur ses séries dérivées dans l'univers de Thorgal. Côté scénario, Yves Swolfs nous livre une guerre entre éleveurs qui semble de prime abord assez classique mais dont les protagonistes et enjeux risquent vite d'enrichir le drame qui se noue. C'est enfin avec plaisir que j'ai retrouvé Durango, après quelques tomes de la série mère qui m'avaient déçus assez fortement. On reste assez loin de la qualité de l'origine de la série mais c'est déjà bien !
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