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  1. Titre de l'album : La cité du bonheur Scenariste de l'album : Igor Polouchine / Rodolphe Gilbart Dessinateur de l'album : Fabrice Weiss Coloriste : Fabrice Weiss Editeur de l'album : Drakoo Note : Résumé de l'album : La rédemption d'un petit escroc de cité, dans un monde barbare entre magie et technologie. Sur la planète Héos, les Humains ont débarqué voilà plus de 200 ans, pillant et mettant en esclavage tous ses habitants. Après la Révolution Héossienne, l'humain a perdu de son pouvoir, mais le poison de sa civilisation a eu le temps de se répandre... Quatre adolescents, Ned un petit escroc nostalgique du pouvoir humain, Miel de Lune, une invocatrice de fantômes, Bolos un petit bricoleur, féru de technologie et Karkän, un puissant élémentaliste du feu, survivent comme il le peuvent, dans une cité perdue au milieu de la jungle. Mais une menace venue d'un lointain passé va plonger tout ce petit monde au bord du chaos. Chacun va réagir comme il le peut selon les armes dont il dispose... Critique : Je ne suis pas amateur de jeu de rôle et je ne connais donc pas Shaan, jeu de rôle Igor Polouchine dont est tiré la BD. Et c'est bien dommage tellement cet album à tout ce qu'il faut pour être un goodies pour fan. Fan dont je ne fais pas partie. En tant que béotien, l'impression que donne cette BD est que l'on a, sans jouer au jeu de rôle, à peine effleuré le dessus de l'univers avec cette BD. C'est au mieux une introduction. La BD est trop courte et annoncée sans suite. On a de ce fait tout juste le temps de comprendre l'historique et de connaitre le nom des personnages que l'histoire est "finie". Et puis finie, c'est un grand mot. On a plus l'impression qu'on nous a annoncé de grandes choses et qu'on n'en voit qu'une minuscule partie. Un peu comme si le débarquement était annoncé et qu'on se trouvait en Dordogne. Une histoire vraiment frustrante quand on ne connait pas le jeu de rôle. J'aimerais avoir l'avis d'un fan sur ce coup la Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-cite-du-bonheur?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Tout le monde a entendu parler de l'Hermione. Ce projet un peu fou de faire revivre une frégate d'autrefois et de parcourir le monde à l'aide de voile et à quel point c'était difficile. Guillaume Tauran a passé plusieurs mois à bord de l'Hermione en tant que membre d'équipage et nous fait part de son expérience de marin de frégate. Si l'expérience semble vraiment intéressante, le côté hyper spécifique des descriptions de la vie à bord et des actions faites par chaque marin est un peu compliqué et donc un poil lassant pour des béotiens comme moi. On se rattache aux très beaux dessins de bateau et de mer qui jalonne l'album. Pour tout vous dire, je pense avoir globalement plus apprécier le recueil explicatif de 'aventure de l'Hermione, de sa construction à nos jours, que la dernière partie de la BD ou j'étais un peu lassé. Un récit pour les fans de navigation essentiellement.
  3. Titre de l'album : Une vie de gabier à bord de l'Hermione Scenariste de l'album : Guillaume Tauran Dessinateur de l'album : Guillaume Tauran Coloriste : Guillaume Tauran Editeur de l'album : Paquet Note : Résumé de l'album : L'Hermione est la reconsitution à l'identique de la frégate à bord de laquelle le Marquis de La Fayette est allé porter assistance aux insurgés américains en 1876, lors de la guerre d'indépendance qui allait donner naissance aux États-Unis d'Amérique. La frégate sillonne les mers depuis sa mise à l'eau en 2014. En entamant la lecture de cet ouvrage, vous embarquez au côté de l'équipe Tribord pour un retour de navigation jusqu'à Rochefort, port d'attache de l'Hermione. En posant le pied à bord, vous embarquez aux côtés d'un équipage unique, car tous volontaires ! Le rythme des quarts, la rigueur et l'engagement, la motivation aussi à faire partie de cette aventure humaine et maritime unique, mais aussi la difficulté des manoeuvres et l'esprit d'équipe, raconté par Guillaume Tauran, lui-même gabier à bord. La lecture est complétée par un dossier de présentation de l'Hermione, richement illustré. Critique : Tout le monde a entendu parler de l'Hermione. Ce projet un peu fou de faire revivre une frégate d'autrefois et de parcourir le monde à l'aide de voile et à quel point c'était difficile. Guillaume Tauran a passé plusieurs mois à bord de l'Hermione en tant que membre d'équipage et nous fait part de son expérience de marin de frégate. Si l'expérience semble vraiment intéressante, le côté hyper spécifique des descriptions de la vie à bord et des actions faites par chaque marin est un peu compliqué et donc un poil lassant pour des béotiens comme moi. On se rattache aux très beaux dessins de bateau et de mer qui jalonne l'album. Pour tout vous dire, je pense avoir globalement plus apprécier le recueil explicatif de 'aventure de l'Hermione, de sa construction à nos jours, que la dernière partie de la BD ou j'étais un peu lassé. Un récit pour les fans de navigation essentiellement. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/une-vie-de-gabier-a-bord-de-l-hermione?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. poseidon2

    A-Lan t1

    En voilà une belle histoire d'anticipation pour jeune. Dans la veine de Game au vert, Béka nous parle ici de la "sur-connexion" à venir de notre civilisation et de l'impact que cela aura sur la vie de tous les jours. L'idée de ce A-Lan n'est pas tant que nous dire que vivre dans la nature, c'est mieux. L'idée est de montrer, sous couvert d'une aventure tiptop câblée pour un public e 10 à 15 ans, que la perte de connaissances passées, même en termes de codage et de programmation qui est au centre de l'histoire, peut amener à des défaillances et perturbations de la société. Pour que l'histoire marche, il faut, en plus d'un fond intelligent, des personnages principaux attachants et c'est le cas sur ce A-Lan. Emoji est typique du garçon réservé qui vis par procuration dans le web. Nao est elle l'inverse, pleine d'envie masi pleine de peurs du monde extérieur. À eux deux, ils forment des héros intéressants qui portent une histoire qui se lit avec grand plaisir. Reste à voir, dans le prochain tome , la crédibilité du méchant, souvent un peu trop caricatural dans les BDs pour ados.
  5. poseidon2

    A-Lan t1

    Titre de l'album : A-Lan t1 Scenariste de l'album : Béka Dessinateur de l'album : Thomas Labourot Coloriste : Thomas Labourot Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Emoji est stressé : alors qu'il a toujours suivi ses études depuis sa chambrette d'étudiant, son université l'envoie en stage dans la vraie vie ! Et impossible de pirater le site pour annuler cette convocation. Bref, c'est ça ou retourner vivre à la maison avec ses trois mamans... Arrivé en pleine campagne, Emoji se rend compte que le domicile qui l'accueille est invisible... à moins d'enlever ses lunettes de réalité augmentée ! Huguette, l'intelligence artificielle qui gère la maison, lui explique que c'est elle qui a inventé cette histoire de stage. Le but : lui faire rencontrer Nao, une jeune fille qui n'a jamais eu de contacts avec les humains et le monde extérieur. Mais Nao est aussi une redoutable hackeuse en lutte contre les desseins machiavéliques du Grand Troll, le roi du Dark Web. Pour les aider dans leur tâche, Nao et Emoji vont commander dans une usine lunaire un robot sur-mesure : A-Lan. Critique : En voilà une belle histoire d'anticipation pour jeune. Dans la veine de Game au vert, Béka nous parle ici de la "sur-connexion" à venir de notre civilisation et de l'impact que cela aura sur la vie de tous les jours. L'idée de ce A-Lan n'est pas tant que nous dire que vivre dans la nature, c'est mieux. L'idée est de montrer, sous couvert d'une aventure tiptop câblée pour un public e 10 à 15 ans, que la perte de connaissances passées, même en termes de codage et de programmation qui est au centre de l'histoire, peut amener à des défaillances et perturbations de la société. Pour que l'histoire marche, il faut, en plus d'un fond intelligent, des personnages principaux attachants et c'est le cas sur ce A-Lan. Emoji est typique du garçon réservé qui vis par procuration dans le web. Nao est elle l'inverse, pleine d'envie masi pleine de peurs du monde extérieur. À eux deux, ils forment des héros intéressants qui portent une histoire qui se lit avec grand plaisir. Reste à voir, dans le prochain tome , la crédibilité du méchant, souvent un peu trop caricatural dans les BDs pour ados. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/a-lan-tome-1-le-secret-de-wabisabi?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. poseidon2

    Il faut flinguer Ramirez t2

    Le premier tome d'il faut flinguer Ramirez avait fait l’effet d'une bombe. Quelqu'un avait osé sortir un BD pulp à la Pulp Fiction. Une BD qui ne respecte pas grand-chose. Mais qui reste grand publique. Une BD sur un vendeur d'aspirateur.... et ça à marcher à mort ! Les meilleures ventes depuis un moment (hors BD de supermarché cela va de soi) Alors comme tout le monde j'attendais cette suite avec fébrilité : la surprise passée, ce tome deux allait il autant me plaire ? Car maintenant j'étais prêt à toutes les surprises ! Et bien ce fut vrai.... 10 pages. Les 10 pages tout justes consécutives au tome 1. Là je gérais..... Et après. Après ma lecture s'est transformée en film hollywoodiens à gros budget et avec un bon scénariste (oui oui faut retourner dans les années 90 je sais). A partir de là on enchaîne les morts glorieuses, les morts stupides, les rebondissements, les scènes improbables, les passés encore plus improbables pour livrer au lecteur une maestria de gestion de scenario qui laisse sans voix. C'est tellement bien fait et tellement dans l'esprit que n'importe quoi (car il y a n'importe quoi) passe comme une lettre à la poste. Alors longue vie au Pulp, longue vie à Ramirez et que vive le Rock ! Posiedon2, à fond ! Et merci monsieur Petrimaux de prendre le temps de faire les choses comme il faut !
  7. Titre de l'album : Il faut flinguer Ramirez t2 Scenariste de l'album : Nicolas Petrimaux Dessinateur de l'album : Nicolas Petrimaux Coloriste : Nicolas Petrimaux Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Falcon City est en émoi. Le lancement du Vacuumizer 2000 s’est transformé en une scène de crime macabre. L’inspecteur Eddy Vox est persuadé que le coupable n’est autre que Jacques Ramirez, un salarié de la Robotop fraîchement nommé « employé de l’année ». Quant aux hommes du cartel de Paso del Rio, ils n’ont pas dit leur dernier mot... C’est avec l’aide inattendue de deux célébrités en cavale que Ramirez parvient à leur fausser compagnie ! Alors qu’il avait planifié un week-end mémorable à Stone Creek, il se retrouve embarqué bien malgré lui dans une chasse à l’homme aussi explosive que pittoresque. L’occasion idéale pour régler certains conflits familiaux et profiter des richesses qu’offrent l’État d’Arizona.Dans ce décor majestueux, nombreux sont les candidats qui courent après Ramirez. Critique : Le premier tome d'il faut flinguer Ramirez avait fait l’effet d'une bombe. Quelqu'un avait osé sortir un BD pulp à la Pulp Fiction. Une BD qui ne respecte pas grand-chose. Mais qui reste grand publique. Une BD sur un vendeur d'aspirateur.... et ça à marcher à mort ! Les meilleures ventes depuis un moment (hors BD de supermarché cela va de soi) Alors comme tout le monde j'attendais cette suite avec fébrilité : la surprise passée, ce tome deux allait il autant me plaire ? Car maintenant j'étais prêt à toutes les surprises ! Et bien ce fut vrai.... 10 pages. Les 10 pages tout justes consécutives au tome 1. Là je gérais..... Et après. Après ma lecture s'est transformée en film hollywoodiens à gros budget et avec un bon scénariste (oui oui faut retourner dans les années 90 je sais). A partir de là on enchaîne les morts glorieuses, les morts stupides, les rebondissements, les scènes improbables, les passés encore plus improbables pour livrer au lecteur une maestria de gestion de scenario qui laisse sans voix. C'est tellement bien fait et tellement dans l'esprit que n'importe quoi (car il y a n'importe quoi) passe comme une lettre à la poste. Alors longue vie au Pulp, longue vie à Ramirez et que vive le Rock ! Posiedon2, à fond ! Et merci monsieur Petrimaux de prendre le temps de faire les choses comme il faut ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/il-faut-flinguer-ramirez-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. poseidon2

    Le bestiaire du crépuscule

    Je dois vous l'avouer, malgré l'évidente qualité de l'album et du travail effectuée par Daria Schmidt, j'ai eu beaucoup de mal à lire cet album. Déjà, on l'a impression d'être directement dans une histoire en cours et c'est super perturbant. Ensuite la récit proposé par Daria Schmidt est très onirique. Il se passe a moitié dans les rêves de notre gardien et à moitié dans le vrai monde. Vrai monde ou ses rêves se superposent à la réalité ou lui seul les voit. A cela s'ajoute l'hommage aux œuvres de HP Lovecraft (une en particulier) dont je ne suis pas très fan et cela donne une lecture qui n'était pas vraiment faite pour moi. Mais il faut quand même rendre à Daria Schimdt le fait d'avoir réussi à réellement m'intéresser sur toute la deuxième moitié de l'album. À partir du moment où j'avais réussi à me mettre dedans, j'ai eu du mal à m'en sortir. Ce fut donc une lecture étrange pour moi. Une lecture que je vous conseille d'essayer…
  9. Titre de l'album : Le bestiaire du crépuscule Scenariste de l'album : Daria Schmitt Dessinateur de l'album : Daria Schmitt Coloriste : Daria Schmitt Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Pour les enfants du quartier, le parc est un inoffensif jardin public. Mais pour son gardien, c'est un nid de sombres créatures qu'il est le seul à voir : asocial et atteint d'un solide trouble de la rêverie compulsive, Providence s'est donné pour mission de protéger les promeneurs malgré eux. Sa tâche se complique lorsqu'un livre étrange sorti des eaux troubles du lac libère un bestiaire terrifiant et attire l'attention des très louches services psycho-sanitaires... Talonné par une nouvelle directrice bien plus versée dans le jargon du management que dans l'occulte et déterminée à gérer le parc comme une véritable start-up, le gardien lutte contre l'appel d'un autre monde : noyé dans les brumes du lac, le reflet d'une étrange maison où il serait enfin en paix l'attire irrésistiblement... Une sublime variation sur l'univers et le personnage de Lovecraft, rendant hommage à l'imaginaire sous toutes ses formes. Après Acqua Alta, L'Arbre aux pies et Ornithomaniacs, Daria Schmitt propose le plus abouti de ses albums, porté par un dessin splendidement fouillé au service d'une intrigue aux multiples rebondissements et références. Critique : Je dois vous l'avouer, malgré l'évidente qualité de l'album et du travail effectuée par Daria Schmidt, j'ai eu beaucoup de mal à lire cet album. Déjà, on l'a impression d'être directement dans une histoire en cours et c'est super perturbant. Ensuite la récit proposé par Daria Schmidt est très onirique. Il se passe a moitié dans les rêves de notre gardien et à moitié dans le vrai monde. Vrai monde ou ses rêves se superposent à la réalité ou lui seul les voit. A cela s'ajoute l'hommage aux œuvres de HP Lovecraft (une en particulier) dont je ne suis pas très fan et cela donne une lecture qui n'était pas vraiment faite pour moi. Mais il faut quand même rendre à Daria Schimdt le fait d'avoir réussi à réellement m'intéresser sur toute la deuxième moitié de l'album. À partir du moment où j'avais réussi à me mettre dedans, j'ai eu du mal à m'en sortir. Ce fut donc une lecture étrange pour moi. Une lecture que je vous conseille d'essayer… Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-bestiaire-du-crepuscule?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Dur de classer cet ovni de la bd. Humour ou Histoire ? C'est indéniablement réussi des deux côtés. On sourit souvent, et le travail de documentation et d'histoire sur cette période pas franchement connue de l'histoire est remarquable. Après Un général, des généraux, Nicolas Juncker nous montre une nouvelle fois son talent dans cet art délicat de faire rire en faisant réfléchir. Aussi irrévérencieux, voir plus scandaleux que la bd que je viens de citer, son Dragon Dragon reste une lecture que l'on savoure avec panache. Seul bémol pour ma part, je ne suis toujours pas un amateur du travail graphique de Simon Spruyt, et si ici son trait fonctionne plutôt bien, je vous avoue que ce n'est clairement pas pour moi le point fort de la bd. Attention d'ailleurs, cette bd est à réserver aux adultes, et à ceux que l'homosexualité ne dérange pas, le Dragon Dragon étant généreux par nature. Pour les amateurs de la petite comme de la grande Histoire, qui veulent rire en réfléchissant, et apprendre en s'amusant, je ne peux que vous recommander ce tome 1 dont j'attends la suite avec impatience.
  11. Titre de l'album : Les mémoires du Dragon Dragon - Tome 1 - Valmy c'est fini Scenariste de l'album : Nicolas Juncker Dessinateur de l'album : Simon Spruyt Coloriste : Frederik Van Den Stock Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Vif d'esprit, habile bretteur et cavalier émérite, le dragon Pierre-Marie Dragon a tout pour devenir un héros des guerres de la Révolution française. Toutefois, si vous ne trouvez aucune mention de son nom dans les manuels scolaires, c'est parce que les seules aventures au-devant desquelles le dragon Dragon court activement sont d'ordre purement sexuelles. Les honneurs d'une grande bataille ne l'intéressent pas et, aux médailles, il préfère les espèces sonnantes et trébuchantes. Malheureusement pour lui, la Grande Histoire est souvent écrite par de petites gens... Critique : Dur de classer cet ovni de la bd. Humour ou Histoire ? C'est indéniablement réussi des deux côtés. On sourit souvent, et le travail de documentation et d'histoire sur cette période pas franchement connue de l'histoire est remarquable. Après Un général, des généraux, Nicolas Juncker nous montre une nouvelle fois son talent dans cet art délicat de faire rire en faisant réfléchir. Aussi irrévérencieux, voir plus scandaleux que la bd que je viens de citer, son Dragon Dragon reste une lecture que l'on savoure avec panache. Seul bémol pour ma part, je ne suis toujours pas un amateur du travail graphique de Simon Spruyt, et si ici son trait fonctionne plutôt bien, je vous avoue que ce n'est clairement pas pour moi le point fort de la bd. Attention d'ailleurs, cette bd est à réserver aux adultes, et à ceux que l'homosexualité ne dérange pas, le Dragon Dragon étant généreux par nature. Pour les amateurs de la petite comme de la grande Histoire, qui veulent rire en réfléchissant, et apprendre en s'amusant, je ne peux que vous recommander ce tome 1 dont j'attends la suite avec impatience. Autres infos : Humour certes mais Histoire aussi. A éviter aux plus jeunes ! Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-memoires-du-dragon-dragon-tome-1-valmy-c-est-fini?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Quand le scénariste de Elles s'associent au dessinateur de Klaw on ne peut que s'attendre à une nouvelle série jeunesse de qualité. Et disons le tout de suite, Masques assume sans fausse note. Le dessin de Joël Jurion est au niveau de ce qu'il a fait sur Klaw avec peut être une colorisation plus subtile qui n'est pas pour me déplaire même si j'ai toujours un peu de mal avec ses visages parfois un peu trop appuyés. Mais c'est une question de style, et sincèrement difficile d'imaginer un jeune ado ne pas aimer ce dessin. Le scénario de Kid Toussaint est lui très efficace, finalement assez sobre, ne nous perdant pas dans des mystères trop opaques ou des explications trop fouillies, le dosage est indéniablement bon, et signe de grande maitrise. Alors pourquoi je ne suis pas plus emballé que cela ? Simplement car l'histoire a pour le moment un peu trop air de déjà lu. Je n'ai pas ressenti l'excitation que j'ai pu avoir en lisant la forêt du temps par exemple, sur le même type de bd jeunesse fantastique. Reste que la base de ce tome 1 de Masques peut permettre au tout de prendre un peu plus d'ampleur et de nous réserver des surprises. Ce Masques est indéniablement une des séries jeunesse avec lesquelles il faudra compter.
  13. Titre de l'album : Masques - Tome 1 - Le masque sans visage Scenariste de l'album : Kid Toussaint Dessinateur de l'album : Joël Jurion Coloriste : Joël Jurion Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Al, Siera et Hector n'avaient rien en commun jusqu'à ce que des masques fassent irruption dans leurs vies. Des masques antiques qui leur confèrent des pouvoirs défiant l'imagination. Comment gérer un tel don quand on a quinze ans et d'autres problèmes en tête ? Pourquoi ont-ils été choisis ? Pas le temps de se poser trop de questions, un masque puissant est tombé dans de mauvaises mains. Il va falloir s'allier et le récupérer avant qu'il ne soit trop tard…. Critique : Quand le scénariste de Elles s'associent au dessinateur de Klaw on ne peut que s'attendre à une nouvelle série jeunesse de qualité. Et disons le tout de suite, Masques assume sans fausse note. Le dessin de Joël Jurion est au niveau de ce qu'il a fait sur Klaw avec peut être une colorisation plus subtile qui n'est pas pour me déplaire même si j'ai toujours un peu de mal avec ses visages parfois un peu trop appuyés. Mais c'est une question de style, et sincèrement difficile d'imaginer un jeune ado ne pas aimer ce dessin. Le scénario de Kid Toussaint est lui très efficace, finalement assez sobre, ne nous perdant pas dans des mystères trop opaques ou des explications trop fouillies, le dosage est indéniablement bon, et signe de grande maitrise. Alors pourquoi je ne suis pas plus emballé que cela ? Simplement car l'histoire a pour le moment un peu trop air de déjà lu. Je n'ai pas ressenti l'excitation que j'ai pu avoir en lisant la forêt du temps par exemple, sur le même type de bd jeunesse fantastique. Reste que la base de ce tome 1 de Masques peut permettre au tout de prendre un peu plus d'ampleur et de nous réserver des surprises. Ce Masques est indéniablement une des séries jeunesse avec lesquelles il faudra compter. Autres infos : Bd fantastique jeunesse Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/masques-tome-1-le-masque-sans-visage?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. poseidon2

    Bertille & Bertille

    Après des tomes assez moyens, ou il n'était qu'au dessin, Eric Stalner reprend l'entièreté de la gestion de "Bertille et Bertille" pour nous livrer une très belle histoire. Une histoire qui ressemble à un bonbon dur à l'ancienne. Vous savez les bonbons qui, une fois mis en bouche, n'ont pas encore trop de gout et qui, plus on les garde, nous apporte du réconfort et du bon gout avec le temps. Et bien ici, c'est pareil. Sans jamais chercher à produire une BD d'enquête ou même de fantastique, sans jamais chercher à nous expliquer quoi que ce soit, Stalner nous livre un album où l'on est, comme Bertille, au rang des curieux qui regarde tout ce petit monde se poser trop de questions. Des curieux qui regarde aussi nos Bertille jouer au chat et à la souris, tout en retenu très émouvante et très touchante. Une bien belle lecture reposante et humaine, comme on n'en lit plus assez.
  15. Titre de l'album : Bertille & Bertille Scenariste de l'album : Éric Stalner Dessinateur de l'album : Éric Stalner Coloriste : Éric Stalner Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : La rencontre improbable d’un flic bougon, d’une jeune aristocrate… et d’une grosse boule rouge ! Bertille et Bertille. Prénom pour l’une, nom de famille pour l’autre. C’est bien tout ce qui rapproche cette jeune fille de bonne famille et ce commissaire ! Ils ont pourtant un autre point commun pour le moins incongru. Ils ont tous deux assisté à l’atterrissage mouvementé d’un objet insolite. Un objet qui grossit, grossit, grossit au sens propre du terme devenant un véritable casse-tête pour le gouvernement. Tandis que nos deux personnages s’affrontent dans de réjouissantes joutes verbales, cette mystérieuse boule rouge devient une menace pour la France des Années folles. Écrasée près de Paris, et ne cessant de grandir, elle se rapproche de la capitale… Critique : Après des tomes assez moyens, ou il n'était qu'au dessin, Eric Stalner reprend l'entièreté de la gestion de "Bertille et Bertille" pour nous livrer une très belle histoire. Une histoire qui ressemble à un bonbon dur à l'ancienne. Vous savez les bonbons qui, une fois mis en bouche, n'ont pas encore trop de gout et qui, plus on les garde, nous apporte du réconfort et du bon gout avec le temps. Et bien ici, c'est pareil. Sans jamais chercher à produire une BD d'enquête ou même de fantastique, sans jamais chercher à nous expliquer quoi que ce soit, Stalner nous livre un album où l'on est, comme Bertille, au rang des curieux qui regarde tout ce petit monde se poser trop de questions. Des curieux qui regarde aussi nos Bertille jouer au chat et à la souris, tout en retenu très émouvante et très touchante. Une bien belle lecture reposante et humaine, comme on n'en lit plus assez. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/bertille-et-bertille-tome-1-l-etrange-boule-rouge?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. poseidon2

    Evolution Z t1

    Vous êtes fan des dessins typés comics du milieu des années 90 ? Vous n'avez jamais lu d'histoire de zombies ou vous les avez toutes oubliées ? Et bien cette BD est pour vous ! Si non.... vous pouvez passer votre chemin. S'il est vrai que le genre Zombie n'a pas trop envahi le monde de la BD franco belges, on aura eu du mal à l'éviter dans le comics, le cinéma, les séries etc.... Sortir une BD en 2022 en mode "Jeune fille cherche à survivre dans un univers de Zombies", c'est osé. Et pas forcément super bien réussi ici. Il faut tout d'abord que je vous avoue que le graphisme "retro" avec des visages assez caricaturaux, des traits épais et des couleurs un peu criardes, n'ait pas le graphisme que je préfère. Ensuite, le scénario est un peu cousu de fil blanc. Pas de grosse surprise, des méchants très méchants et des gentils très gentils. Notre héroïne semble tirée d'une histoire de Barbie. La méchante de l'histoire qui sur un coup du sort en fait devient gentille et la meilleure copine de Barbie parce qu'en fait elle n'était pas "comme ça dans le fond". En résumé, une somme de choses qui font de cette BD un album qui aura du mal à trouver son public, ou alors que les jeunes garçons de 10-12 ans n'ayant pas encore le droit de lire Waliking dead et en recherche de frissons
  17. poseidon2

    Evolution Z t1

    Titre de l'album : Evolution Z t1 Scenariste de l'album : Cee Cee Mia Dessinateur de l'album : Tomm Bulyne Coloriste : Tomm Bulyne Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Ady, fille d'un basketteur célèbre, est une ado gâtée et capricieuse. Autant dire que sa vie change brutalement lorsqu'elle perd ses parents dans de mystérieuses circonstances. Heureusement, Ady est envoyée sur L'ÎLE, orphelinat paradisiaque loin de tout, créé par René Zayer, patron de groupe pharmaceutique et philanthrope. Malgré la présence d'une centaine de « frères et sœurs » super bizarres, comme Dimon, une brute vicieuse, Ady va vite apprécier le luxe de l'île, ses équipement et son absence de scolarité ! Jusqu'au jour où elle va découvrir qu'il y a deux types d'ados sur L'ÎLE : ceux qui ont subi « l'Évolution Z » - de dangereux zombies étudiés par Zayer afin de commercialiser un sérum d'immortalité -, et ceux dont la seule finalité est de les nourrir... Mais de quel groupe Ady fera-t-elle partie ? Pour le découvrir, elle ne pourra compter que sur son courage et celui de Kareem, son mystérieux compagnon d'infortune... Critique : Vous êtes fan des dessins typés comics du milieu des années 90 ? Vous n'avez jamais lu d'histoire de zombies ou vous les avez toutes oubliées ? Et bien cette BD est pour vous ! Si non.... vous pouvez passer votre chemin. S'il est vrai que le genre Zombie n'a pas trop envahi le monde de la BD franco belges, on aura eu du mal à l'éviter dans le comics, le cinéma, les séries etc.... Sortir une BD en 2022 en mode "Jeune fille cherche à survivre dans un univers de Zombies", c'est osé. Et pas forcément super bien réussi ici. Il faut tout d'abord que je vous avoue que le graphisme "retro" avec des visages assez caricaturaux, des traits épais et des couleurs un peu criardes, n'ait pas le graphisme que je préfère. Ensuite, le scénario est un peu cousu de fil blanc. Pas de grosse surprise, des méchants très méchants et des gentils très gentils. Notre héroïne semble tirée d'une histoire de Barbie. La méchante de l'histoire qui sur un coup du sort en fait devient gentille et la meilleure copine de Barbie parce qu'en fait elle n'était pas "comme ça dans le fond". En résumé, une somme de choses qui font de cette BD un album qui aura du mal à trouver son public, ou alors que les jeunes garçons de 10-12 ans n'ayant pas encore le droit de lire Waliking dead et en recherche de frissons Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/evolution-z-tome-1-l-ile?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. poseidon2

    Dino Park t2

    Le retour d'une des BDs préférée de .... ma fille de 7 ans. Que voulez vous elle aime bien les dinosaures et a encore du mal à se concentrer plus que 10 minutes sur de la lecture. Alors le format bamboo lui va bien. L'enchainement de blagounettes avec des descriptifs informatifs sur ce que l'on sait sur les différents types de dinosaures. Si un adulte aura du mal à lire plus de 3 pages d'un coup, un enfant y trouvera lui de la détente et des vraies infos sur ses dinosaures préférés.
  19. poseidon2

    Dino Park t2

    Titre de l'album : Dino Park t2 Scenariste de l'album : Arnaud Plumeri Dessinateur de l'album : Bloz Coloriste : Bloz Editeur de l'album : Bamboo Note : Résumé de l'album : Partez à la découverte des dinosaures dans une BD à grand spectacle ! Bienvenue au Dino Park, un parc d'attractions hors du commun où tous vos dinosaures préférés sont revenus à la vie ! Vous voulez du lourd ? Le gigantesque Argentinosaure et ses 80 tonnes vont vous ravir ! Vous avez besoin de sensations fortes ? Admirez la charge du Carnotaurus, le dinosaure "taureau carnivore" ! Vous préférez contempler un beau sourire ? Le T. rex se fera un plaisir de vous dévoiler le sien... Et pour vous rafraîchir les idées, ne manquez pas la toute nouvelle zone aquatique du parc, consacrée aux reptiles marins du mésozoïque. Mais attention : la pêche y est interdite, sinon vous risqueriez de devenir un bel appât ! Inclus : des fiches signalétiques des dinosaures et un dossier paléontologique. Critique : Le retour d'une des BDs préférée de .... ma fille de 7 ans. Que voulez vous elle aime bien les dinosaures et a encore du mal à se concentrer plus que 10 minutes sur de la lecture. Alors le format bamboo lui va bien. L'enchainement de blagounettes avec des descriptifs informatifs sur ce que l'on sait sur les différents types de dinosaures. Si un adulte aura du mal à lire plus de 3 pages d'un coup, un enfant y trouvera lui de la détente et des vraies infos sur ses dinosaures préférés. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dino-park-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. poseidon2

    Héliotrope t1

    Le combat de la BD pour la publique jeunesse/ado continue avec une nouvelle série de Joann Sfar résolument tournée vers les adolescents. Sur le graphisme reste celui de Sfar, les dialogues et l'histoire sont eux complètement tournés en direction des jeunes. Joann Sfar réussi parfaitement à se mettre dans la tête d'une jeune lycéenne écervelée qui réagit à l'instinct.. Ce que Sfar fait très bien, c'est nous faire comprendre que l'aspect Magie et fantastique n'est qu'un vecteur pour nous parler des amours d'Héliotrope et de sa vie lycéenne. On s'amuse bien à suivre cette jeune file qui n'en fait qu'à sa tête dans un monde déjanté dont Joann Sfar a le secret. Une lecture sympathique qui plaira aux ados qui passeront outre les graphismes spéciaux de monsieur Sfar.
  21. poseidon2

    Héliotrope t1

    Titre de l'album : Héliotrope t1 Scenariste de l'album : Joann Sfar Dessinateur de l'album : Joann Sfar / Benjamin Chaud Coloriste : Joann Sfar / Benjamin Chaud Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Elle a le nom d'une couleur, un bleu spécial. Comme la note bleue du Blues. Un jour d'école comme les autres, notre héroïne nous invite dans son quotidien qui n'a pourtant rien de banal. Héritière d'une famille de cambrioleurs d'objets magiques, elle croque la vie à pleines dents, ne s'embarrasse pas forcément des bonnes manières et surtout, ne s'en laisse conter par personne, pas même son excentrique grand-mère ! Aventurière et casse-cou sur les bords, elle va découvrir à ses dépens que la curiosité est un vilain défaut lorsqu'un hasard des circonstances l'affuble d'une jolie couleur, bleu héliotrope... Héliotrope s'adresse à la jeunesse au sens large mais ça ne l'empêche pas d'être parfois grave et lyrique comme du Baudelaire. Féroce comme Moriarty, intrépide comme Indiana Jones et aussi puissante que Sabrina l'apprentie-sorcière, elle franchit tous les obstacles avec fougue et passion. Joann Sfar et Benjamin Chaud composent ici une oeuvre audacieuse, novatrice et enlevée ! Critique : Le combat de la BD pour la publique jeunesse/ado continue avec une nouvelle série de Joann Sfar résolument tournée vers les adolescents. Sur le graphisme reste celui de Sfar, les dialogues et l'histoire sont eux complètement tournés en direction des jeunes. Joann Sfar réussi parfaitement à se mettre dans la tête d'une jeune lycéenne écervelée qui réagit à l'instinct.. Ce que Sfar fait très bien, c'est nous faire comprendre que l'aspect Magie et fantastique n'est qu'un vecteur pour nous parler des amours d'Héliotrope et de sa vie lycéenne. On s'amuse bien à suivre cette jeune file qui n'en fait qu'à sa tête dans un monde déjanté dont Joann Sfar a le secret. Une lecture sympathique qui plaira aux ados qui passeront outre les graphismes spéciaux de monsieur Sfar. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/heliotrope-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Je n'avais jamais ouvert un Princesse Sara jusqu'à présent. Aussi quand l'occasion s'est présentée je n'ai pas été particulièrement emballé. Soyons clair, je ne suis pas vraiment le coeur de cible visé par cette série, et démarrer une série inconnue au tome 14 c'est souvent un bon moyen de passer à côté purement et simplement. Toutefois je dois bien reconnaître que j'ai aimé lire ce tome, et que si l'intrigue ne m'a pas plus emballé que cela, les interactions entre les personnages et surtout la très belle mise en image du duo Moretti - Palescandolo de ce Japon utopique à l'ère des Automates. Certes il ne faut pas être allergique au style manga puisque la dessinatrice y puise une bonne partie de son style, mais lorsque cela est bien fait, et qu'un supplément d'âme y est distillé comme dans ce Princesse Sara, on ne peut qu'apprécier je crois. L'intrigue m'a un peu laissé sur ma faim car si elle est lisible, avec des enjeux clairs et des personnages bien pensés, elle n'avance au final que peu durant ces 48 courtes pages, renforçant d'ailleurs l'impression "manga" au passage 🙂 C'est souvent l'un des défauts de ces séries jeunesse fleuve, parfois un peu trop diluées. Ceci étant dit Princesse Sara est une vraie belle bd pour ado.
  23. Titre de l'album : Princesse Sara - Tome 14 - Toutes les aurores du monde Scenariste de l'album : Audrey Alwett Dessinateur de l'album : Nora Moretti Coloriste : Claudia Palescandolo Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Sara et Lavinia sont arrivées au Japon à bord de l'Université volante. Mais l'Ambassadeur croit Sara responsable d'une entourloupe qui met le Japon en danger. Comme réparation, il lui propose un marché. Sara et Lavinia sont contraintes de se jeter à l'eau. Tout ce qu'elles peuvent, c'est compter l'une sur l'autre et se tenir la main... ce qui ne déplaît pas à Lavinia. Pas du tout, même... Critique : Je n'avais jamais ouvert un Princesse Sara jusqu'à présent. Aussi quand l'occasion s'est présentée je n'ai pas été particulièrement emballé. Soyons clair, je ne suis pas vraiment le coeur de cible visé par cette série, et démarrer une série inconnue au tome 14 c'est souvent un bon moyen de passer à côté purement et simplement. Toutefois je dois bien reconnaître que j'ai aimé lire ce tome, et que si l'intrigue ne m'a pas plus emballé que cela, les interactions entre les personnages et surtout la très belle mise en image du duo Moretti - Palescandolo de ce Japon utopique à l'ère des Automates. Certes il ne faut pas être allergique au style manga puisque la dessinatrice y puise une bonne partie de son style, mais lorsque cela est bien fait, et qu'un supplément d'âme y est distillé comme dans ce Princesse Sara, on ne peut qu'apprécier je crois. L'intrigue m'a un peu laissé sur ma faim car si elle est lisible, avec des enjeux clairs et des personnages bien pensés, elle n'avance au final que peu durant ces 48 courtes pages, renforçant d'ailleurs l'impression "manga" au passage 🙂 C'est souvent l'un des défauts de ces séries jeunesse fleuve, parfois un peu trop diluées. Ceci étant dit Princesse Sara est une vraie belle bd pour ado. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/princesse-sara-tome-14?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. poseidon2

    Black Squaw T3 : Le Crotoy

    On avait laissé notre Bessie entre la vie et la mort. La convalescence qui en suit est propice, pour nous nos auteurs, pour prendre le temps de nous en dire plus sur le passé de Bessie et nous apprendre où elle a pu développer ses dons pour la voltige. Ce tome est l'occasion pour nos auteurs de bien mettre en avant le combat racial de Bessie. Entre ce qu'elle peut faire en France et la façon dont elle est pourchassée par le KKK, il y a un monde d'écart. Mais un monde qui n'arrêté pas notre héroïne qui repart au combat frontal contre le KKK, quitte à mettre en péril tout ce qu'elle a construit. Entre les parties qui comblent les trous dans le passé de Bessie et la relance de l'intrigue avec un statut des plus compliqués en fin de tome pour notre héroïne, ce tome 3 est un très bon tome d'une série "classique" graphiquement très belle et scénaristiquement bien construite. Vivement la suite !
  25. Titre de l'album : Black Squaw T3 : Le Crotoy Scenariste de l'album : Yann Dessinateur de l'album : Alain Henriet Coloriste : Usagi Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Bessie, l'extraordinaire aviatrice, gît inconsciente dans la fange d'une mare à cochons. Mais sa tête reste dans les nuages... Précisément ceux de sa jeunesse, à l'époque où elle avait quitté son Amérique natale pour la France, pays autorisant les femmes à prendre des cours d'aviation. Là, à l'école Caudron du Crotoy, dans une ambiance de camaraderie maladroite où de jeunes bourgeois blancs auront bien du mal à comprendre sa vie de femme noire, Bessie va devenir une pilote à l'infernale virtuosité. Mais aussi vivre des émois qui la marqueront à vie... Une vie qui sera peut-être brutalement interrompue si Bessie adulte ne vainc pas ses ennemis du Ku Klux Klan... Entre récit historique inspiré de la vie de l'aviatrice Bessie Coleman, palpitant récit d'aventure et touchante chronique de jeunesse, Yann et Henriet lèvent de nombreuses intrigues avant le grand final de leur emballante tétralogie Black Squaw ! Critique : On avait laissé notre Bessie entre la vie et la mort. La convalescence qui en suit est propice, pour nous nos auteurs, pour prendre le temps de nous en dire plus sur le passé de Bessie et nous apprendre où elle a pu développer ses dons pour la voltige. Ce tome est l'occasion pour nos auteurs de bien mettre en avant le combat racial de Bessie. Entre ce qu'elle peut faire en France et la façon dont elle est pourchassée par le KKK, il y a un monde d'écart. Mais un monde qui n'arrêté pas notre héroïne qui repart au combat frontal contre le KKK, quitte à mettre en péril tout ce qu'elle a construit. Entre les parties qui comblent les trous dans le passé de Bessie et la relance de l'intrigue avec un statut des plus compliqués en fin de tome pour notre héroïne, ce tome 3 est un très bon tome d'une série "classique" graphiquement très belle et scénaristiquement bien construite. Vivement la suite ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/black-squaw-tome-3-le-crotoy?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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