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  1. Titre de l'album : Science infuse t1 : l'espace-temps Scenariste de l'album : Béka / Chacma Dessinateur de l'album : Julien Mariolle Coloriste : Julien Mariolle Editeur de l'album : Bamboo Note : Résumé de l'album : Une série pleine d'humour et de péripéties pour ceux que la science intrigue et fait rêver... Un soir, Justin et Solène reçoivent la visite d'Ulwazi, un étrange voyageur du futur. Venu leur délivrer un message crucial pour l'humanité, Ulwazi doit d'abord leur expliquer les bases scientifiques nécessaires à sa bonne compréhension...Justin, Solène et Ulwazi vont donc partir ensemble décoder les mystères de l'univers. De la Lune aux confins du système solaire, et même au-delà, Justin et Solène découvrent les concepts fondamentaux de l'astronomie et de la cosmologie afin de mieux comprendre le monde qui les entoure... tout en s'amusant CONCEPT: Véritable aventure riche en enseignement, cette série de bande dessinée destinée à la jeunesse présente de façon simple, pédagogique et amusante les principales théories de la science actuelle : l'astrophysique et le cosmos, la mécanique quantique et l'infiniment petit, les mathématiques appliquées et la biotechnologie. De quoi faire rêver les jeunes (et les plus grands) grâce à la Science... Infuse ! Critique : Nouvelle série de vulgarisations scientifiques avec comme objectif de cibler les plus jeunes et de leur donner envie de s'intéresser aux sciences. Première étape : l'espace et sa mécanique. J'ai fait l'essai à la maison de le faire lire à ma fille de 8 ans et.... autant vous dire que je pense avoir plus apprécié qu'elle. Cet album est vraiment bien fait et nous livre des explications très intéressantes sur l'univers, l'espace temps, les théories d'Einstein, les trous de ver et autre planète gazeuses. Des thèmes qui parleront à tous les amateurs de ciel et d'espace ou tout simplement de ce qui touche au domaine scientifique. Mais des thématiques déjà complexes pour des adultes, aussi intéressantes soient-elles. J'ai donc un peu peur que cette BD ne se trompe de public. J'encourage ainsi tous les amateurs d'espace à se pencher sur cette BD, et ce, malgré l'aspect enfantin des dessins. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/science-infuse-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Ah je dois bien reconnaitre que ce tome 4 de gagner la guerre m'a fait saliver et qu'il fut l'un des premiers à être lu lors de mon dernier arrivage de belles bd. Pourquoi ? parce que cette série a de belles qualités. D'abord le roman dont elle est l'adaptation est diablement bon. Moins médiatisé que Game of Throne mais autrement plus cohérent. Ensuite parce que les personnages crèvent les pages tellement ils sont vivants et humains. Enfin parce que l'univers présenté est suffisamment fantasy pour autoriser les auteurs à laisser libre court à leur imagination. Et à ce jeu là, Frédéric Genêt est diablement efficace. Sobre et réaliste, son dessin se prête merveilleusement bien aux intrigues de Ciudalia. Mais ne parlons pas plus de la série elle même et attardons nous sur ce tome 4. Qu'on soit bien clairs, il s'agit d'une respiration dans la série, après 3 tomes de forte densité. Ici notre Benvenuto préféré va pouvoir souffler un peu, mais aussi se dévoiler tout en plaçant les pions pour un prochain tome qui s'annonce explosif. Pour le dessin ? C'est de Monsieur Genêt et si vous avez aimé les 3 premiers bon, vous n'avez pas de raison raisonnable de douter 🙂 Gagner la guerre reste l'une de mes références en série en cours médiévale fantasy sérieuse et ce n'est pas prêt de changer je le crains même si ce tome ne sera pas dans les plus mémorables parus à ce jour.
  3. Titre de l'album : Gagner la guerre - Tome 4 - La marche franche Scenariste de l'album : Frédéric Genêt Dessinateur de l'album : Frédéric Genêt Coloriste : Frédéric Genêt Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Il y a bien longtemps, il a été un enfant. Et l'élève du plus grand artiste de Ciudalia. Il présentait des dispositions évidentes pour la peinture mais Benvenuto Gesufal a fait d'autres choix. Il a fait du meurtre son Art et, aujourd'hui, il n'est plus qu'un détail de la grande toile des choses. Un détail que beaucoup souhaitent effacer car il sait trop de choses, a fait couler trop de sang. À présent traqué de toutes parts, dans le monde physique et mental, Benvenuto a-t-il encore une chance de s'en sortir… ? Critique : Ah je dois bien reconnaitre que ce tome 4 de gagner la guerre m'a fait saliver et qu'il fut l'un des premiers à être lu lors de mon dernier arrivage de belles bd. Pourquoi ? parce que cette série a de belles qualités. D'abord le roman dont elle est l'adaptation est diablement bon. Moins médiatisé que Game of Throne mais autrement plus cohérent. Ensuite parce que les personnages crèvent les pages tellement ils sont vivants et humains. Enfin parce que l'univers présenté est suffisamment fantasy pour autoriser les auteurs à laisser libre court à leur imagination. Et à ce jeu là, Frédéric Genêt est diablement efficace. Sobre et réaliste, son dessin se prête merveilleusement bien aux intrigues de Ciudalia. Mais ne parlons pas plus de la série elle même et attardons nous sur ce tome 4. Qu'on soit bien clairs, il s'agit d'une respiration dans la série, après 3 tomes de forte densité. Ici notre Benvenuto préféré va pouvoir souffler un peu, mais aussi se dévoiler tout en plaçant les pions pour un prochain tome qui s'annonce explosif. Pour le dessin ? C'est de Monsieur Genêt et si vous avez aimé les 3 premiers bon, vous n'avez pas de raison raisonnable de douter 🙂 Gagner la guerre reste l'une de mes références en série en cours médiévale fantasy sérieuse et ce n'est pas prêt de changer je le crains même si ce tome ne sera pas dans les plus mémorables parus à ce jour. Autres infos : D'après le roman de Jaworski Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/gagner-la-guerre-tome-4-la-marche-franche?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. alx23

    Jim Hawkins Tome 1

    Jim Hawkins Tome 1 Scénario : Sébastien Vastra Dessin : Sébastien Vastra Couleur : Sébastien Vastra Genre : Aventure Edition : Ankama Date de parution : Dispo L'acheter sur BDFugue Résumé : Le jeune Jim Hawkins travaille dans l’auberge ses parents en tant que cuisinier depuis sa plus tendre enfance comme son père souffre d’une maladie l’obligeant à rester au lit. La lecture de romans sur les pirates occupe ses temps libres avec plein de rêves en tête d’aventures en mer et aux quatre coins du monde. Seulement en attendant, il prépare de la nourriture pour les quelques clients de l’auberge. Puis un matin, un marin avec une dent amputée se dirige vers l’auberge. Son allure et sa prestance annoncent un loup des mers au vécu énorme. Il se fait appeler capitaine et s’installe dans l’auberge en distribuant de pièces d’or d’avance pour boire à volonté du rhum. Tous les jours le capitaine raconte des histoires de pirateries et observe la venue d’un unijambiste. Sébastien Vastra nous propose une adaptation libre de l’île au trésor de Robert Louis Stevenson en bande dessinée avec des animaux pour représenter les personnages. Ce choix des animaux lui permet de se différencier des nombreuses adaptations de ce roman. Dans ce premier épisode, on retrouve le jeune Jim Hawking transporté dans une quête au trésor comme il en rêvait depuis son enfance. La partie graphique représente le véritable intérêt de cette nouvelle mouture de l’île au trésor avec des animaux comme pour blacksad. Les animaux sont humanisés à merveille pour rendre crédibles les expressions de visages suivant les situations. Jim Hawkins est un jeune lion comme vous pouvez le découvrir sur la couverture, le docteur Livesay est un chien et le capitaine Flint un macabre effrayant. Ce premier tome démarre très fort cette adaptation entre action et aventure dans une histoire autour des pirates et du fameux trésor. On se prend facilement dans la lecture pour terminer avec deux illustrations afin d'admirer le talent de dessinateur de l’auteur, en attendant la suite. Note : Alx23
  5. L'histoire de ce dernier tome est assez chargée avec un résumé intense de la conquête de la Gaule par César avec ses armées organisées dont la fameuse légion X invaincue. Ce dernier envoie son espion à Rome en pleine guerre civile qui oppose les ennemis de César et ses fidèles. La ville est en feu avec des combats qui éclatent dans les rues. Cet épisode est mouvementé avec beaucoup d'action pour l'espion avec son ami qui vient d'être exécuté par la chienne d'Hadès. La partie graphique apporte beaucoup à cette trilogie avec des dessins dans un style réaliste et des scènes de combats très détaillées. L'atmosphère finale avec les couleurs est impeccable pour se perdre dans cette époque instable. Jean-Pierre Pécau est un spécialiste des récits historiques, il sait comment passionner les lecteurs pour qu'ils suivent ses histoires. Fafner assure une partie graphique de qualité pour une trilogie intéressante.
  6. Titre de l'album : L'espion de César tome 3 - Le Rubicon Scenariste de l'album : Jean-Pierre Pécau Dessinateur de l'album : Fafner Coloriste : Fafner Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Rome a peur. Rome est livrée à la guerre civile entre les partisans de Pompée et ceux de César. Au milieu des meurtres et des incendies, Coax va solder son compte avec la guerrière helvète dont il a tué le père. De son côté, César s'apprête à franchir le Rubicon et à solder lui aussi sa querelle avec Pompée. Le résultat sera la fin de la République romaine et peut-être celle de Coax. Critique : L'histoire de ce dernier tome est assez chargée avec un résumé intense de la conquête de la Gaule par César avec ses armées organisées dont la fameuse légion X invaincue. Ce dernier envoie son espion à Rome en pleine guerre civile qui oppose les ennemis de César et ses fidèles. La ville est en feu avec des combats qui éclatent dans les rues. Cet épisode est mouvementé avec beaucoup d'action pour l'espion avec son ami qui vient d'être exécuté par la chienne d'Hadès. La partie graphique apporte beaucoup à cette trilogie avec des dessins dans un style réaliste et des scènes de combats très détaillées. L'atmosphère finale avec les couleurs est impeccable pour se perdre dans cette époque instable. Jean-Pierre Pécau est un spécialiste des récits historiques, il sait comment passionner les lecteurs pour qu'ils suivent ses histoires. Fafner assure une partie graphique de qualité pour une trilogie intéressante. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-espion-de-cesar-tome-3-le-rubicon?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Les trois scénaristes David Chauvel, Andoryss et Patrick Wong mettent en place plusieurs intrigues à suivre au royaume des singes, dans ce deuxième cycle de 5 Terres. Le tome précédent s’est terminé sur un cliffhanger qui va déclencher la mise en place d'un conflit entre deux clans d’Alysandra. Le clan Le Sistre passe à l'offensive avec une petite armée en alerte dans les rues de la citée. En parallèle, la jeune princesse Keona essaie de trouver sa place dans le gouvernement, alors qu'elle vient d'être libérée. D'autres intrigues moins signifiantes nous proposent de suivre Thori une ancienne combattante mais aussi deux jeunes singes perdues dans la jungle alors que leur guide s'est enfui et deux autres jeunes ramasseurs d'escargots. Les auteurs assurent un rythme efficace et l'on ne s'ennuie pas un seul instant avec toutes ses histoires à suivre. Les dessins de Jérôme Lereculey sont parfaits avec plus de scènes d'action dont des pages muettes assez intenses en fin d'album. Ce deuxième tome du cycle de Lys a bien installé le contexte politique de la terre des singes et la guerre des clans. La série 5 Terres est une excellente série avec des tomes mouvementés. Deux autres tomes sont attendus cette année pour le mois d’aout et en décembre.
  8. Titre de l'album : Les 5 terres tome 8 - Plus morte que morte Scenariste de l'album : Lewelyn Dessinateur de l'album : Jérôme Lereculey Coloriste : Dimitris Martinos Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Alissa a été laissée pour morte par les têtes brûlées du Clan du Coucal. Pire, le Sistre subit une série d'attaques coordonnées. Tandis qu'au palais, Keona se mêle des affaires du royaume, et que loin de là, dans la jungle, un autre drame se joue, le Commissaire Examinateur Shin Taku, lui, continue d'enquêter et de remonter le fil d'un assassinat aussi brutal que mystérieux... Critique : Les trois scénaristes David Chauvel, Andoryss et Patrick Wong mettent en place plusieurs intrigues à suivre au royaume des singes, dans ce deuxième cycle de 5 Terres. Le tome précédent s’est terminé sur un cliffhanger qui va déclencher la mise en place d'un conflit entre deux clans d’Alysandra. Le clan Le Sistre passe à l'offensive avec une petite armée en alerte dans les rues de la citée. En parallèle, la jeune princesse Keona essaie de trouver sa place dans le gouvernement, alors qu'elle vient d'être libérée. D'autres intrigues moins signifiantes nous proposent de suivre Thori une ancienne combattante mais aussi deux jeunes singes perdues dans la jungle alors que leur guide s'est enfui et deux autres jeunes ramasseurs d'escargots. Les auteurs assurent un rythme efficace et l'on ne s'ennuie pas un seul instant avec toutes ses histoires à suivre. Les dessins de Jérôme Lereculey sont parfaits avec plus de scènes d'action dont des pages muettes assez intenses en fin d'album. Ce deuxième tome du cycle de Lys a bien installé le contexte politique de la terre des singes et la guerre des clans. La série 5 Terres est une excellente série avec des tomes mouvementés. Deux autres tomes sont attendus cette année pour le mois d’aout et en décembre. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-5-terres-tome-8-plus-morte-que-morte?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Ahhhh mince alors. Pourquoi ne pas avoir fait un tome en plus messieurs ? Car la, c'est vraiment frustrant. La fin de ce tome 3 est beaucoup trop rapide. On effectue des sauts répétés dans le temps afin de faire entrer au chausse-pied une histoire trop longue dans un seul tome. Et c'est vraiment dommage parce que l'histoire avançait super bien et le scénario réussissait à nous intéresser à la finalisation de ce rêve et de ce développement industriel de cette fin du XIX ieme siècle. En plus le dessin de Florent Bossard st toujours au top sur ce tome trois. Ce tome va juste trop vite. Entre la fin des travaux, l'histoire du petit mécanicien, son frère peintre et tous les membres de la famille Koechlin, il y avait beaucoup à raconter. Trop en l'occurrence et c'est bien dommage, car il y avait de quoi faire une très belle saga familiale.
  10. Titre de l'album : Kilometre 0 t3 (fin) : Un monde nouveau Scenariste de l'album : Stéphane Piatzszek Dessinateur de l'album : Florent Bossard Coloriste : Florent Bossard Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : Mulhouse,1830. Le rêve fou d'un pionnier. L'histoire vraie de la création de la première ligne internationale de chemin de fer. Nicolas Koechlin, l'homme le plus riche d'Alsace, se lance dans un projet fou : la construction de la plus grande ligne de train internationale de l'époque : le Strasbourg/Bâle. En ces années 1830, le train n'en est qu'à ses balbutiements. Nicolas va relever ce défi avec son courage, sa générosité, mais aussi sa rouerie et sa folie. Cette grande aventure ferroviaire bouleversera le destin des Koechlin, mais aussi celui de toute la ville de Mulhouse et d'une région, l'Alsace où chacun poursuit ses rêves, mais joue aussi sa survie dans cet impitoyable XIXe siècle industriel. Critique : Ahhhh mince alors. Pourquoi ne pas avoir fait un tome en plus messieurs ? Car la, c'est vraiment frustrant. La fin de ce tome 3 est beaucoup trop rapide. On effectue des sauts répétés dans le temps afin de faire entrer au chausse-pied une histoire trop longue dans un seul tome. Et c'est vraiment dommage parce que l'histoire avançait super bien et le scénario réussissait à nous intéresser à la finalisation de ce rêve et de ce développement industriel de cette fin du XIX ieme siècle. En plus le dessin de Florent Bossard st toujours au top sur ce tome trois. Ce tome va juste trop vite. Entre la fin des travaux, l'histoire du petit mécanicien, son frère peintre et tous les membres de la famille Koechlin, il y avait beaucoup à raconter. Trop en l'occurrence et c'est bien dommage, car il y avait de quoi faire une très belle saga familiale. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/kilometre-zero-tome-3/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. The_PoP

    Le goût du sang

    Après nous avoir livré un ouvrage originale avec son "De la nécessité d'avoir un ours chez soi", Debuhme nous revient cette fois-ci avec un polar humoristique en one shot, ou les règlements de compte entre mafiosos à la ferme vont s'enchaîner sur un rythme effréné pour notre plus grand bonheur. Si le scénario de cet ovni est rafraichissant et sans prétention, j'avoue avoir été un peu déçu par la partie graphique un brin minimaliste et que j'ai trouvée moins inspirée que sur sa précédente comédie en bd. Attention ce n'est pas mal du tout, il y a du style, mais l'ensemble m'a globalement moins emballé. Reste que dans le genre humoristique c'est plus qu'honorable. Le goût du sang est un polar drôle et sans prétention ou bêtise et meurtres font bon ménage chez les cochons 🙂
  12. The_PoP

    Le goût du sang

    Titre de l'album : Le goût du sang Scenariste de l'album : Debuhme Dessinateur de l'album : Debuhme Coloriste : Debuhme Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Aldo est un truand. Mais Aldo ne supporte pas la vue du sang chaud. C'est pas de bol ! Et la malchance, Aldo, ça le connaît : à peine sorti de prison après avoir purgé sa peine, il plante sa voiture dans un ravin. Blessé, il atterri chez Lou. Peu accueillante, elle ne goûte gère d'avoir un étranger chez elle. Et pour cause, elle vient de tuer son mari dont les restes sont entreposés au congélo ! Pour seul héritage, ledit mari lui laisse les dettes contractées auprès de la mafia locale. Entre quiproquos et règlements de compte, une seule certitude : le sang chaud va couler à flots… Critique : Après nous avoir livré un ouvrage originale avec son "De la nécessité d'avoir un ours chez soi", Debuhme nous revient cette fois-ci avec un polar humoristique en one shot, ou les règlements de compte entre mafiosos à la ferme vont s'enchaîner sur un rythme effréné pour notre plus grand bonheur. Si le scénario de cet ovni est rafraichissant et sans prétention, j'avoue avoir été un peu déçu par la partie graphique un brin minimaliste et que j'ai trouvée moins inspirée que sur sa précédente comédie en bd. Attention ce n'est pas mal du tout, il y a du style, mais l'ensemble m'a globalement moins emballé. Reste que dans le genre humoristique c'est plus qu'honorable. Le goût du sang est un polar drôle et sans prétention ou bêtise et meurtres font bon ménage chez les cochons 🙂 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-gout-du-sang?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Soleil nous sort à son tour une série sur la lutte anti terroriste en France, cette fois-ci du point de vue de l'un des "Permis de tuer" de la DGSE. Prévue comme une série de one shot sans forcément de liens entre les tomes, Au nom de la république ambitionne de se faire une place au côté d'Alpha et des séries du genre déjà bien installées. Difficile donc mais pas impossible tant cette BD surprend par son sérieux. On est assez loin du romantisme habituel des bd d'espionnage et bien plus dans les rouages techniques. Ceci dit le fractionnement en one shot risque de nuire à notre attachement aux personnages comme souvent. Le scénario imaginé par Jean-Claude Bartoll semble cohérent, réaliste et terriblement actuel même s'il ne brille guère par son originalité. Le dessin de Guzman est très sérieux et appliqué, et s'il ne renouvelle clairement pas le genre, il en respecte les codes et nous livre une bd claire et lisible, même si certaines scènes semblent un brin statiques. Au nom de la république devrait ravir les passionnés de lutte anti terroriste, de la DGSE et de géopolitique en BD.
  14. Titre de l'album : Au nom de la république - Tome 1 - Mission Bosphore Scenariste de l'album : Jean-Claude Bartoll Dessinateur de l'album : Gabriel Guzman Coloriste : Silvia Fabris Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Octobre 2018. La Presse annonce que les commanditaires des attentats du 13 novembre 2015 auraient tous été éliminés par les forces spéciales. Tous, sauf un. Celui qui gérait et organisait les flux financiers depuis Raqqa. Le Renard va prendre cette mission à coeur afin d'éliminer ce jeune homme au profil atypique qui se terre en Turquie. Mais tout ne va pas forcément se dérouler comme prévu... Critique : Soleil nous sort à son tour une série sur la lutte anti terroriste en France, cette fois-ci du point de vue de l'un des "Permis de tuer" de la DGSE. Prévue comme une série de one shot sans forcément de liens entre les tomes, Au nom de la république ambitionne de se faire une place au côté d'Alpha et des séries du genre déjà bien installées. Difficile donc mais pas impossible tant cette BD surprend par son sérieux. On est assez loin du romantisme habituel des bd d'espionnage et bien plus dans les rouages techniques. Ceci dit le fractionnement en one shot risque de nuire à notre attachement aux personnages comme souvent. Le scénario imaginé par Jean-Claude Bartoll semble cohérent, réaliste et terriblement actuel même s'il ne brille guère par son originalité. Le dessin de Guzman est très sérieux et appliqué, et s'il ne renouvelle clairement pas le genre, il en respecte les codes et nous livre une bd claire et lisible, même si certaines scènes semblent un brin statiques. Au nom de la république devrait ravir les passionnés de lutte anti terroriste, de la DGSE et de géopolitique en BD. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/au-nom-de-la-republique-tome-1-mission-bosphore?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. poseidon2

    La grande balade de Petros

    Des récits de guerre et d'occupation, on en a déjà lu pleins. Des récits de guerre vue par les enfants, on en a aussi lu beaucoup. À un tel point que l'on s'imagine que seuls les Français du maquis ont résisté et qu'ils sont les plus grands héros de l'histoire. Cette grande balade de Petros nous montre que ce qui s'est passé chez nous, s'est aussi passé ailleurs. Il nous montre, au travers de la vision d'un petit garçon plein de vie et d'envie, que le peuple grec a subi les mêmes brimades que nous, a été occupé comme nous, a eu son lot de collabos comme nous et surtout... a eu son lot de résistants comme nous. L'écho de ce qu'il s'est passé en Grèce est impressionnant et montre bien, si besoin était, que les forces de l'axe se comportaient de la même façon partout en Europe. L'histoire, si elle est vue au travers des yeux d'un enfant plein d'entrain et d'envie, n'en reste pas moins poignante et difficile. Rien n'est caché à Petros et notre auteur nous fait bien ressentir à quel point les drames sont encore plus marquants pour des enfants qui ne comprennent pas le principe de sacrifice pour le bien commun. Un très beau récit de guerre qui montre que ou qu'elle ait lieux, la guerre produit son lot de désespoir et de haine.
  16. Titre de l'album : La grande balade de Petros Scenariste de l'album : Angeliki Darlasi Dessinateur de l'album : Dimitrios Mastoros Coloriste : Dimitrios Mastoros Editeur de l'album : Futuropolis Note : Résumé de l'album : La grande balade de Petros est un témoignage historique et antifasciste, qui relate les aventures et les jours difficiles d'un gamin de 9 ans (Petros) et de sa famille pendant l'occupation allemande d'Athènes.Le quotidien de la guerre, la terrible famine des grandes villes et les exécutions chroniques, mais également la résistance inventive d'une population qui n'a plus rien à perdre, sont racontés à travers le regard, les rêveries et les interprétations de ce petit garçon qui va être obligé de grandir trop vite...Un récit d'enfance et d'apprentissage sans condescendance, mais avec de l'humour et de la tendresse.Dimitrios Mastoros et Angeliki Darlasi adaptent ce classique de la romancière grecque Alki Zei, militante de gauche et membre active de la résistance sous l'occupation nazie. Critique : Des récits de guerre et d'occupation, on en a déjà lu pleins. Des récits de guerre vue par les enfants, on en a aussi lu beaucoup. À un tel point que l'on s'imagine que seuls les Français du maquis ont résisté et qu'ils sont les plus grands héros de l'histoire. Cette grande balade de Petros nous montre que ce qui s'est passé chez nous, s'est aussi passé ailleurs. Il nous montre, au travers de la vision d'un petit garçon plein de vie et d'envie, que le peuple grec a subi les mêmes brimades que nous, a été occupé comme nous, a eu son lot de collabos comme nous et surtout... a eu son lot de résistants comme nous. L'écho de ce qu'il s'est passé en Grèce est impressionnant et montre bien, si besoin était, que les forces de l'axe se comportaient de la même façon partout en Europe. L'histoire, si elle est vue au travers des yeux d'un enfant plein d'entrain et d'envie, n'en reste pas moins poignante et difficile. Rien n'est caché à Petros et notre auteur nous fait bien ressentir à quel point les drames sont encore plus marquants pour des enfants qui ne comprennent pas le principe de sacrifice pour le bien commun. Un très beau récit de guerre qui montre que ou qu'elle ait lieux, la guerre produit son lot de désespoir et de haine. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-grande-balade-de-petros?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. alx23

    Djemnah, les ombres corses

    Philippe Donadille signe sa première bande dessinée avec Djemnah, les ombres corses avec beaucoup de maitrise pour raconter une histoire. On va suivre l'aventure d'un jeune homme qui part à la chasse au trésor suite à la découverte du portrait crayonnée d'une femme dans un livre d'époque sur la Corse. De fil en aiguille, le jeune homme se rend en Corse lors un weekend pour découvrir l'île de beauté dont il est originaire mais sans y avoir vécu. Son enquête le mène dans un petit village où les rencontres le poussent à approfondir son étude du mystère. Ce roman graphique est séparé en deux parties avec l'enquête puis l'héritage. On se laisse prendre dans l'histoire comme le héros pour connaitre la finalité et où cela va nous mener. La partie graphique de Patrice Reglat-Vizzavona est magnifique tout en aquarelle. L'auteur nous fait voyager avec des planches très détaillées où l'on se perd dans les décors de toute beauté. Les flashbacks sont en en noir et blanc ou les parties historiques sont comme des gravures de l'époque. Djemnah, les ombres corses est une fiction qui prend des informations historiques pour mieux rendre crédible le récit. D'ailleurs les auteurs donnent quelques informations en fin d'album.
  18. Titre de l'album : Djemnah, les ombres corses Scenariste de l'album : Philippe Donadille Dessinateur de l'album : Patrice Reglat-Vizzavona Coloriste : Patrice Reglat-Vizzavona Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Le jeune Ange Pizarti découvre un dessin qui le met sur la piste d'un mystérieux héritage napoléonien, en Corse. Une quête toute à l'aquarelle, qui plonge dans l'histoire d'un peuple fier, et d'un territoire magnifique, quand la chasse au trésor tourne à l'histoire de famille. Le héros percera ses secrets, en parcourant la terre ancestrale, qui est aussi celle des deux auteurs. Critique : Philippe Donadille signe sa première bande dessinée avec Djemnah, les ombres corses avec beaucoup de maitrise pour raconter une histoire. On va suivre l'aventure d'un jeune homme qui part à la chasse au trésor suite à la découverte du portrait crayonnée d'une femme dans un livre d'époque sur la Corse. De fil en aiguille, le jeune homme se rend en Corse lors un weekend pour découvrir l'île de beauté dont il est originaire mais sans y avoir vécu. Son enquête le mène dans un petit village où les rencontres le poussent à approfondir son étude du mystère. Ce roman graphique est séparé en deux parties avec l'enquête puis l'héritage. On se laisse prendre dans l'histoire comme le héros pour connaitre la finalité et où cela va nous mener. La partie graphique de Patrice Reglat-Vizzavona est magnifique tout en aquarelle. L'auteur nous fait voyager avec des planches très détaillées où l'on se perd dans les décors de toute beauté. Les flashbacks sont en en noir et blanc ou les parties historiques sont comme des gravures de l'époque. Djemnah, les ombres corses est une fiction qui prend des informations historiques pour mieux rendre crédible le récit. D'ailleurs les auteurs donnent quelques informations en fin d'album. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/djemnah-les-ombres-corses?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. The_PoP

    Nettoyage à Sec

    Bon ben on s'en doutait un peu depuis son marquant "Béatrice" mais Joris Mertens est décidément l'un des prodiges graphique de la bd. Si vous ne connaissez pas, allez jeter un oeil donc à ces deux albums. Si Béatrice a, à mon avis, un peu souffert de son choix de bd muette, sur Nettoyage à sec on sent que l'auteur a fait un compromis en nous servant des textes efficaces au service de son intrigue et de son dessin. Le résultat n'en est que plus accessible à tout le monde et c'est tant mieux. L'auteur excelle particulièrement dans ses descriptions de vie quotidienne, et si son intrigue générale ne brille pas par son originalité où la qualité de ses dénouements, il faut bien reconnaître que cela n'a ici que peu d'importance. Ce Nettoyage à sec est bel et bien un polar, mais qu'on sent construit comme une tranche de vie, avec en exergue une réflexion sur le ridicule de celle-ci. Ne serait-ce que pour l'amour que l'auteur porte visiblement à Paris et sur la qualité de son trait, ne passez pas à côté de ce Nettoyage à sec.
  20. The_PoP

    Nettoyage à Sec

    Titre de l'album : Nettoyage à Sec Scenariste de l'album : Joris Mertens Dessinateur de l'album : Joris Mertens Coloriste : Joris Mertens Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : François n'a pas la vie dont il rêve. Il vit seul, dans une ville où il pleut sans cesse, et travaille depuis des années comme chauffeur dans une blanchisserie sans obtenir la moindre augmentation. Ses loisirs se résument à jouer les mêmes numéros au loto chaque semaine depuis 17 ans sans résultat, et à prendre une pinte de bière fraîche au Monico où il rencontre fréquemment Maryvonne, avec qui il aimerait nouer une relation plus intime. Une banale livraison l'amène un jour à frapper à la porte d'une grande maison, théâtre d'une scène de crime dont les vestiges se résument en une dizaine de cadavres et un sac rempli de billets de banque. Chanceux pour la première fois, François décide de prendre le sac... et les ennuis qui vont avec. Critique : Bon ben on s'en doutait un peu depuis son marquant "Béatrice" mais Joris Mertens est décidément l'un des prodiges graphique de la bd. Si vous ne connaissez pas, allez jeter un oeil donc à ces deux albums. Si Béatrice a, à mon avis, un peu souffert de son choix de bd muette, sur Nettoyage à sec on sent que l'auteur a fait un compromis en nous servant des textes efficaces au service de son intrigue et de son dessin. Le résultat n'en est que plus accessible à tout le monde et c'est tant mieux. L'auteur excelle particulièrement dans ses descriptions de vie quotidienne, et si son intrigue générale ne brille pas par son originalité où la qualité de ses dénouements, il faut bien reconnaître que cela n'a ici que peu d'importance. Ce Nettoyage à sec est bel et bien un polar, mais qu'on sent construit comme une tranche de vie, avec en exergue une réflexion sur le ridicule de celle-ci. Ne serait-ce que pour l'amour que l'auteur porte visiblement à Paris et sur la qualité de son trait, ne passez pas à côté de ce Nettoyage à sec. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/nettoyage-a-sec?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. The_PoP

    Une famille épatante

    Sophie Ruffieux est connue pour publier ses chroniques humoristiques chez Femme actuelle avec cette famille dont elle nous croque les mésaventures du quotidien. Les éditions Soleil publient donc un recueil de ces sketchs d'une page avec quelques inédits. Pour ceux qui ne lisent pas Femme actuelle, et je soupçonne que cela en concerne certains d'entre vous, ce Une famille épatante est une BD/roman graphique humoristique et gentille décryptant la vie d'une famille parisienne du point de vue de la maman. On sourit souvent, les dessins sont très jolis, c'est bien fait et bien pensé. Malheureusement j'ai aussi eu l'impression d'avoir déjà lu tout cela quelques fois, et le dessin renforce également cette sensation. Guère étonnant vu la génèse de cette bd mais dommage quand même, je me demande si un ton légèrement différent aurait pu nous éviter cela.
  22. Titre de l'album : Une famille épatante Scenariste de l'album : Sophie Ruffieux Dessinateur de l'album : Sophie Ruffieux Coloriste : Sophie Ruffieux Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Céline et Jean sont les parents heureux mais parfois débordés de Jules, Émile et Chloé, sans oublier Monsieur Chat, gros matou débonnaire et patient. École, boulot, vacances, tout est prétexte à une joyeuse description de la vie quotidienne d'une famille formidable ! Croqué avec talent et justesse par Sophie Ruffieux, sans jamais être caricatural, ce feuilleton familial ravira petits et grands. Critique : Sophie Ruffieux est connue pour publier ses chroniques humoristiques chez Femme actuelle avec cette famille dont elle nous croque les mésaventures du quotidien. Les éditions Soleil publient donc un recueil de ces sketchs d'une page avec quelques inédits. Pour ceux qui ne lisent pas Femme actuelle, et je soupçonne que cela en concerne certains d'entre vous, ce Une famille épatante est une BD/roman graphique humoristique et gentille décryptant la vie d'une famille parisienne du point de vue de la maman. On sourit souvent, les dessins sont très jolis, c'est bien fait et bien pensé. Malheureusement j'ai aussi eu l'impression d'avoir déjà lu tout cela quelques fois, et le dessin renforce également cette sensation. Guère étonnant vu la génèse de cette bd mais dommage quand même, je me demande si un ton légèrement différent aurait pu nous éviter cela. Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/une-famille-epatante-tome-1-six-a-la-maison?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. alx23

    Sprague

    Avec Spague, le scénariste Rodolphe nous propose une aventure de science-fiction avec un récit complet en un seul volume. Il faut dire que l'auteur est ultra productif en terme de scénario de science-fiction avec la série TER ou de thriller un peu mythique avec son dernier titre Iruene. Rodolphe réussit à créer des univers captivants et très originaux dans ses récits. Pour l'histoire de Sprague, on découvre un monde asséché avec des villages perdus qui envoient des navires en expédition à la recherche de la mer disparue. Deux frères possédant des métiers essentiels dans cet univers vont partir sans prévenir, en quête de l'eau. Olivier Roman se charge de la partie graphique avec beaucoup de maitrise pour nous dépeindre ce monde désertique. Les planches sont magnifiques et l'on peut se perdre dans les décors avec les vestiges d'anciennes civilisations. Sprague nous propose une aventure en bateau roulant faute de mer avec des pirates à combattre et des insectes géants. J’aurais bien aimé un deuxième tome pour laisser le temps aux auteurs de développer plus ce monde.
  24. alx23

    Sprague

    Titre de l'album : Sprague Scenariste de l'album : Rodolphe Dessinateur de l'album : Olivier Roman Coloriste : Olivier Roman Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Au village de Goëm, en baie de Sprague, la population observe depuis quelques mois des manifestations anormales... D'abord, la seconde lune a disparu, et nul n'y a trouvé d'explication. Et, plus grave, la mer s'est progressivement retirée... jusqu'à disparaître complètement. Le village tirant toutes ses ressources de la mer (pêche, élevage, cultures, matières premières...) semble dès lors condamné à mourir. En désespoir de cause, les villageois ont envoyé deux expéditions pour traverser le désert, comprendre ce qui se passait et peut-être ramener l'eau au village : elles ne sont pas revenues et n'ont jamais donné de nouvelles. Mais tous ne baissent pas les bras. Deux frères, Niels et Vivian, décident à leur tour de tenter leur chance et de traverser le désert de boue et de vase pour sauver leur village. Ils ont des atouts pour réussir : Vivian est un sondeur réputé, il creuse le sol avec ses perches téléscopiques pour y trouver des traces d'eau. Niels, lui, est le meilleur grimpeur et, à l'aide d'un réseau de cerfs-volants, peut s'élever à des d'incroyables hauteurs pour observer l'horizon... Ils embarquent à bord d'un navire à roue commandé par le vieux Wilson, capitaine aveugle que seconde Merlin, un crack-up déplumé accroché à son épaule. La traversée est longue car ils devront lutter contre des vents contraires, combattre des pirates, et des tétanias, énormes vers des sables ou de terrifiants insectes géants remontés des profondeurs pour s'échouer et mourir sur la suface craquelée de la vase. Ils arrivent bientôt en vue d'une gigantesque muraille... en fait le mur extérieur d'un monstrueux barrage, édifié en des temps anciens par une technologie aujourd'hui disparue... Critique : Avec Spague, le scénariste Rodolphe nous propose une aventure de science-fiction avec un récit complet en un seul volume. Il faut dire que l'auteur est ultra productif en terme de scénario de science-fiction avec la série TER ou de thriller un peu mythique avec son dernier titre Iruene. Rodolphe réussit à créer des univers captivants et très originaux dans ses récits. Pour l'histoire de Sprague, on découvre un monde asséché avec des villages perdus qui envoient des navires en expédition à la recherche de la mer disparue. Deux frères possédant des métiers essentiels dans cet univers vont partir sans prévenir, en quête de l'eau. Olivier Roman se charge de la partie graphique avec beaucoup de maitrise pour nous dépeindre ce monde désertique. Les planches sont magnifiques et l'on peut se perdre dans les décors avec les vestiges d'anciennes civilisations. Sprague nous propose une aventure en bateau roulant faute de mer avec des pirates à combattre et des insectes géants. J’aurais bien aimé un deuxième tome pour laisser le temps aux auteurs de développer plus ce monde. Autres infos : Edition Daniel Maghen Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sprague?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. poseidon2

    Outsider communication

    The critique de TheOtaku : Bon alors ce yaoi a beaucoup de points positifs, mais aussi quelques points négatifs, donc commençons par les points les plus négatifs. Déjà il manque une chose très importante à ce manga… il manque des retournements de situation. Le vrai problème est que, si dans certains cas, c'est positif, ici on ne peut absolument RIEN prévoir, ni la réaction des gens, ni qui sera le '' méchant '' et même pas les problèmes qu'ils vont avoir. Parce qu'il n'y en a pas, aucune réaction chez leur entourage, pas de '' méchant '' et pas vraiment de vrai problème. RIEN ! Il ne se passe pas réellement grand-chose à part bien sûr le fait que bah entre un gentil délinquant, Seki, et un intello insociable, Iwashiro, c'est difficile de s'entendre au début mais ensuite ... le VIDE. Je m'attendais à plus de vraies réactions de la part des amis de Seki mais non, puis on nous laisse espérer en voyant le petit flashback de l'enfance de Seki mais rien de plus, on en entend plus parler, puis du côté de Iwashiro bah rien on n'entend pas parler des parents et puis le grand frère délinquant bah oui, mais non en faîte, on nous le présente pour rien. Donc oui j'ai été déçu avec CE point négatif. En point négatif, il y a aussi le fait que bah je trouve que tout va trop vite, c'est un one-shot, on pourrait me dire, mais ce n'est pas une excuse, mais bon ça va quand même. Sinon bah oui il y a des points positifs. J'ai beaucoup aimé les dessins, des traits fins et doux, des yeux et des cheveux, pour un style manga bien sûr, plutôt bien fait, et puis de jolis arrières plans, vraiment j'ai trouvé les dessins assez beaux et bien fait pour un manga. J'ai aussi bien aimé le côté gentil délinquant et intello insociable, ça change un peu. Et puis si l'histoire avait un vrai fond, si elle avait été plus recherchée et surtout si elle allait un peu moins vite, avec 1 ou 2 tomes de plus, je pense que cela aurait donné un manga réellement bien. Bon pour faire simple ce yaoi manque d'une réelle histoire, il va trop vite, mais les dessins sont vraiment beaux et l'intrigue choisie est vraiment bien, selon moi.
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