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  1. alx23

    Sprague

    Titre de l'album : Sprague Scenariste de l'album : Rodolphe Dessinateur de l'album : Olivier Roman Coloriste : Olivier Roman Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Au village de Goëm, en baie de Sprague, la population observe depuis quelques mois des manifestations anormales... D'abord, la seconde lune a disparu, et nul n'y a trouvé d'explication. Et, plus grave, la mer s'est progressivement retirée... jusqu'à disparaître complètement. Le village tirant toutes ses ressources de la mer (pêche, élevage, cultures, matières premières...) semble dès lors condamné à mourir. En désespoir de cause, les villageois ont envoyé deux expéditions pour traverser le désert, comprendre ce qui se passait et peut-être ramener l'eau au village : elles ne sont pas revenues et n'ont jamais donné de nouvelles. Mais tous ne baissent pas les bras. Deux frères, Niels et Vivian, décident à leur tour de tenter leur chance et de traverser le désert de boue et de vase pour sauver leur village. Ils ont des atouts pour réussir : Vivian est un sondeur réputé, il creuse le sol avec ses perches téléscopiques pour y trouver des traces d'eau. Niels, lui, est le meilleur grimpeur et, à l'aide d'un réseau de cerfs-volants, peut s'élever à des d'incroyables hauteurs pour observer l'horizon... Ils embarquent à bord d'un navire à roue commandé par le vieux Wilson, capitaine aveugle que seconde Merlin, un crack-up déplumé accroché à son épaule. La traversée est longue car ils devront lutter contre des vents contraires, combattre des pirates, et des tétanias, énormes vers des sables ou de terrifiants insectes géants remontés des profondeurs pour s'échouer et mourir sur la suface craquelée de la vase. Ils arrivent bientôt en vue d'une gigantesque muraille... en fait le mur extérieur d'un monstrueux barrage, édifié en des temps anciens par une technologie aujourd'hui disparue... Critique : Avec Spague, le scénariste Rodolphe nous propose une aventure de science-fiction avec un récit complet en un seul volume. Il faut dire que l'auteur est ultra productif en terme de scénario de science-fiction avec la série TER ou de thriller un peu mythique avec son dernier titre Iruene. Rodolphe réussit à créer des univers captivants et très originaux dans ses récits. Pour l'histoire de Sprague, on découvre un monde asséché avec des villages perdus qui envoient des navires en expédition à la recherche de la mer disparue. Deux frères possédant des métiers essentiels dans cet univers vont partir sans prévenir, en quête de l'eau. Olivier Roman se charge de la partie graphique avec beaucoup de maitrise pour nous dépeindre ce monde désertique. Les planches sont magnifiques et l'on peut se perdre dans les décors avec les vestiges d'anciennes civilisations. Sprague nous propose une aventure en bateau roulant faute de mer avec des pirates à combattre et des insectes géants. J’aurais bien aimé un deuxième tome pour laisser le temps aux auteurs de développer plus ce monde. Autres infos : Edition Daniel Maghen Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sprague?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. poseidon2

    Outsider communication

    The critique de TheOtaku : Bon alors ce yaoi a beaucoup de points positifs, mais aussi quelques points négatifs, donc commençons par les points les plus négatifs. Déjà il manque une chose très importante à ce manga… il manque des retournements de situation. Le vrai problème est que, si dans certains cas, c'est positif, ici on ne peut absolument RIEN prévoir, ni la réaction des gens, ni qui sera le '' méchant '' et même pas les problèmes qu'ils vont avoir. Parce qu'il n'y en a pas, aucune réaction chez leur entourage, pas de '' méchant '' et pas vraiment de vrai problème. RIEN ! Il ne se passe pas réellement grand-chose à part bien sûr le fait que bah entre un gentil délinquant, Seki, et un intello insociable, Iwashiro, c'est difficile de s'entendre au début mais ensuite ... le VIDE. Je m'attendais à plus de vraies réactions de la part des amis de Seki mais non, puis on nous laisse espérer en voyant le petit flashback de l'enfance de Seki mais rien de plus, on en entend plus parler, puis du côté de Iwashiro bah rien on n'entend pas parler des parents et puis le grand frère délinquant bah oui, mais non en faîte, on nous le présente pour rien. Donc oui j'ai été déçu avec CE point négatif. En point négatif, il y a aussi le fait que bah je trouve que tout va trop vite, c'est un one-shot, on pourrait me dire, mais ce n'est pas une excuse, mais bon ça va quand même. Sinon bah oui il y a des points positifs. J'ai beaucoup aimé les dessins, des traits fins et doux, des yeux et des cheveux, pour un style manga bien sûr, plutôt bien fait, et puis de jolis arrières plans, vraiment j'ai trouvé les dessins assez beaux et bien fait pour un manga. J'ai aussi bien aimé le côté gentil délinquant et intello insociable, ça change un peu. Et puis si l'histoire avait un vrai fond, si elle avait été plus recherchée et surtout si elle allait un peu moins vite, avec 1 ou 2 tomes de plus, je pense que cela aurait donné un manga réellement bien. Bon pour faire simple ce yaoi manque d'une réelle histoire, il va trop vite, mais les dessins sont vraiment beaux et l'intrigue choisie est vraiment bien, selon moi.
  3. Titre de l'album : Outsider communication Scenariste de l'album : Natsume Tsuno Dessinateur de l'album : Natsume Tsuno Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Seki, le leader de la bande de voyous du lycée, se fait réprimander par l'étudiant modèle Iwashiro pour possession de magazine porno et travail à temps partiel interdit. Durant leur dispute, Iwashiro tombe des escaliers et se foule la cheville. Pour se faire pardonner, Seki devra aider à contrecoeur son nouveau rival. Qui aime bien châtie bien, et les deux garçons finissent par développer des sentiments confus l'un envers l'autre. Vont-ils réussir à se comprendre malgré leurs personnalités totalement opposées ? Critique : The critique de TheOtaku : Bon alors ce yaoi a beaucoup de points positifs, mais aussi quelques points négatifs, donc commençons par les points les plus négatifs. Déjà il manque une chose très importante à ce manga… il manque des retournements de situation. Le vrai problème est que, si dans certains cas, c'est positif, ici on ne peut absolument RIEN prévoir, ni la réaction des gens, ni qui sera le '' méchant '' et même pas les problèmes qu'ils vont avoir. Parce qu'il n'y en a pas, aucune réaction chez leur entourage, pas de '' méchant '' et pas vraiment de vrai problème. RIEN ! Il ne se passe pas réellement grand-chose à part bien sûr le fait que bah entre un gentil délinquant, Seki, et un intello insociable, Iwashiro, c'est difficile de s'entendre au début mais ensuite ... le VIDE. Je m'attendais à plus de vraies réactions de la part des amis de Seki mais non, puis on nous laisse espérer en voyant le petit flashback de l'enfance de Seki mais rien de plus, on en entend plus parler, puis du côté de Iwashiro bah rien on n'entend pas parler des parents et puis le grand frère délinquant bah oui, mais non en faîte, on nous le présente pour rien. Donc oui j'ai été déçu avec CE point négatif. En point négatif, il y a aussi le fait que bah je trouve que tout va trop vite, c'est un one-shot, on pourrait me dire, mais ce n'est pas une excuse, mais bon ça va quand même. Sinon bah oui il y a des points positifs. J'ai beaucoup aimé les dessins, des traits fins et doux, des yeux et des cheveux, pour un style manga bien sûr, plutôt bien fait, et puis de jolis arrières plans, vraiment j'ai trouvé les dessins assez beaux et bien fait pour un manga. J'ai aussi bien aimé le côté gentil délinquant et intello insociable, ça change un peu. Et puis si l'histoire avait un vrai fond, si elle avait été plus recherchée et surtout si elle allait un peu moins vite, avec 1 ou 2 tomes de plus, je pense que cela aurait donné un manga réellement bien. Bon pour faire simple ce yaoi manque d'une réelle histoire, il va trop vite, mais les dessins sont vraiment beaux et l'intrigue choisie est vraiment bien, selon moi. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/outsider-communication?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Titre de l'album : La fortune des Winczlav t2 : Tome et Lisa 1910 Scenariste de l'album : Jean Van Hamme Dessinateur de l'album : Philippe Berthet Coloriste : Meephe Versaevel Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Oklahoma, 1910. La vie de Thomas Winczlav, fils de Milan, prend un tournant radical lorsqu'il se découvre héritier des richissimes Whiskies O'Casey, qu'il va devoir partager avec sa soeur jumelle, Lisa... Alors que la Première Guerre mondiale éclate, Thomas - parfois crédule et souvent volage - va tenter de faire fructifier son affaire, adoptant le nom de « Winch ». Pendant ce temps, Lisa, femme libre passionnée d'aviation, va se tailler sa place dans un ciel de guerre dominé par un certain Baron rouge... À travers les destins croisés d'une soeur et d'un frère que tout oppose, La Fortune des Winczlav s'impose comme une saga familiale à la puissance totale, explorant une des périodes les plus troublées de l'Histoire moderne et composant des portraits d'hommes et de femmes aussi marquants qu'un certain Largo... Bon sang ne saurait mentir ! Critique : En voila un excellent tome ! Je pensais que cette série suivrait une ligne droite assez facile à suivre et je dois avouer que Jean Van Hamme m'a très agréablement surpris sur ce tome 2. En effet, la fin du tome 1 laissait penser que la fortune des WInczlav serait issue du pétrole et que le reste de la filiation enrichirait le magot. Et bien pas du tout. Sans trop en dire, ce tome deux nous montre avec merveille que les Winczlav ont les affaires dans le sang et savent rebondir après des déconvenues, aussi grosses soient-elles. La ou Van Hamme est très bon, c'est que ces retournements de situations ne se font pas au détriment de l'aventure. Aventure qui prend un tournant dramatique avec l'arrivée de la première guerre mondial. Un deuxième tome passionnant et très bien illustré par monsieur "Pin Up" Berthet. Vivement la conclusion et... l'arrivée du petit Largo ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-fortune-des-winczlav-tome-2-tom-et-lisa-1910/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. En voila un excellent tome ! Je pensais que cette série suivrait une ligne droite assez facile à suivre et je dois avouer que Jean Van Hamme m'a très agréablement surpris sur ce tome 2. En effet, la fin du tome 1 laissait penser que la fortune des WInczlav serait issue du pétrole et que le reste de la filiation enrichirait le magot. Et bien pas du tout. Sans trop en dire, ce tome deux nous montre avec merveille que les Winczlav ont les affaires dans le sang et savent rebondir après des déconvenues, aussi grosses soient-elles. La ou Van Hamme est très bon, c'est que ces retournements de situations ne se font pas au détriment de l'aventure. Aventure qui prend un tournant dramatique avec l'arrivée de la première guerre mondial. Un deuxième tome passionnant et très bien illustré par monsieur "Pin Up" Berthet. Vivement la conclusion et... l'arrivée du petit Largo !
  6. poseidon2

    Jukebox hotel T2

    Fin de notre diptyque traitant de l'art et de l'inspiration. Et fin de diptyque en demi-teinte. En effet, si l'histoire est bien clôturée avec l'histoire des tableaux qui fini, la vie qui reprend son cours… le rôle du motel reste pour moi très abstrait. Tom Graffin nous laisse vraiment nous faire notre avis sur le sujet, mais un peu trop à mon gout. On se retrouve donc avec l'histoire de la vie de notre artiste, ses recherches et ses errements, mais on ne voit pas trop en quoi le Jukebox Motel apporte quelque chose. J'ai un peu l'impression que cela aurait pu se passer n'importe où. J'avoue que cela m'a un peu dérangé. D'autre que moi auront peut-être une interprétation différente…
  7. Titre de l'album : Jukebox hotel T2 Scenariste de l'album : Tom Graffin Dessinateur de l'album : Marie Duvoisin Coloriste : Marie Duvoisin Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : Où les hommes renaissent au monde. Où les femmes reviennent toujours. Où les lumières se voilent. Pour mieux rayonner ensuite. Thomas Shaper est un jeune peintre dépassé par le succès. Adoubé par Andy Warhol, rebaptisé « Robert Fury » par un marchand d'art cupide, l'artiste a fui New York et laissé derrière lui sa compagne pour s'installer en Californie. Sa rencontre fortuite avec Johnny Cash dans un bar de Los Angeles l'a mis sur la route du Jukebox Motel, vieille bâtisse isolée dans laquelle il tente depuis de trouver la paix. Hélas, les tourments familiaux et la peinture lui collent à la peau. Piégé dans une spirale destructrice, Thomas s'accroche à un fol espoir : que le Jukebox Motel, refuge où il s'est enfermé, donne un sens à sa vie. Critique : Fin de notre diptyque traitant de l'art et de l'inspiration. Et fin de diptyque en demi-teinte. En effet, si l'histoire est bien clôturée avec l'histoire des tableaux qui fini, la vie qui reprend son cours… le rôle du motel reste pour moi très abstrait. Tom Graffin nous laisse vraiment nous faire notre avis sur le sujet, mais un peu trop à mon gout. On se retrouve donc avec l'histoire de la vie de notre artiste, ses recherches et ses errements, mais on ne voit pas trop en quoi le Jukebox Motel apporte quelque chose. J'ai un peu l'impression que cela aurait pu se passer n'importe où. J'avoue que cela m'a un peu dérangé. D'autre que moi auront peut-être une interprétation différente… Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/jukebox-motel-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Cet album historique retrace les quatre semaines avant le 14 juillet 1789, afin de comprendre tous les événements qui ont poussé le peuple à la révolution. Pour ce faire, Herve Pauvert base son récit sur des faits historiques plus ou moins connus, en insérant huit personnages fictifs. Ces personnages font partis des différentes classes sociales de l'époque dont beaucoup appartenant à la classe populaire et leurs mécontentements. Le récit est divisé en plusieurs chapitres suivant les personnages principaux dans des petites histoires personnelles qui se croiseront pour former l'intrigue générale. Les faits sont connus mais habilement mise en scène dans ce récit historique qui marquera l'histoire de France. Les dessins sont dans un style classique. Les postures des personnages peuvent paraitre étranges ou figées dans des décors d'époques assez réussis. 14 juillet, Destins d'une révolution donne une vision de la révolution française par le petit peuple et devrait ravir les fans de récits historiques.
  9. Titre de l'album : 14 juillet - Destins d'une révolution Scenariste de l'album : Herve Pauvert Dessinateur de l'album : Cecile Chicault Coloriste : Cecile Chicault Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Le 17 juin 1789, le jour où le Tiers-État se proclame « Assemblée nationale », outre les personnalités les plus en vue, quatre anonymes vont être pris dans la tourmente. Jean-Baptiste Jacquet, ouvrier au chômage, Suzanne la couturière, Pierre, le garde-française et Jeannette Langlois, jeune paysanne employée à la Bastille au service d'un prisonnier qui n'a de noble que le titre. Critique : Cet album historique retrace les quatre semaines avant le 14 juillet 1789, afin de comprendre tous les événements qui ont poussé le peuple à la révolution. Pour ce faire, Herve Pauvert base son récit sur des faits historiques plus ou moins connus, en insérant huit personnages fictifs. Ces personnages font partis des différentes classes sociales de l'époque dont beaucoup appartenant à la classe populaire et leurs mécontentements. Le récit est divisé en plusieurs chapitres suivant les personnages principaux dans des petites histoires personnelles qui se croiseront pour former l'intrigue générale. Les faits sont connus mais habilement mise en scène dans ce récit historique qui marquera l'histoire de France. Les dessins sont dans un style classique. Les postures des personnages peuvent paraitre étranges ou figées dans des décors d'époques assez réussis. 14 juillet, Destins d'une révolution donne une vision de la révolution française par le petit peuple et devrait ravir les fans de récits historiques. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/14-juillet-destins-d-une-revolution?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Cela faisait très longtemps que je n'avais pas ouvert un Yakari. Il ne m'a pas fallut 2 minutes pour y replonger avec délice, en grand enfant que je suis. L'amateur de bd lui, n'a pu que constater avec plaisir ce qui différencie certaines productions jeunesse des autres tant le dessin de Derib est uné réussite à tous les niveaux, illustrant sans caricaturer, proposant des variétés de décors, de personnages, d'animaux et de situations allant du simple au détaillé avec plaisir. Côté scénario, si Xavier Giacometti à pris la relève de Job depuis le tome 41, il est toutefois dans la continuité de ce qui a fait le succès de Yakari : des histoires simples mais cohérentes, délivrant un message positif et permettant de mettre en scène une grande variété de personnages. J'en redemande, Yakari semble éternel.
  11. Titre de l'album : Yakari - Tome 42 - La colère de Thathanka Scenariste de l'album : Xavier Giacometti Dessinateur de l'album : Derib Coloriste : Rebekah Paulovitch Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Un peu trop désireux de prouver sa valeur à ses amis, Graine-de-Bison a pris des risques inconsidérés, et fait une très mauvaise chute. Pour sauver son esprit, Yakari décide de demander de l'aide à l'animal-totem de son ami. Le seul problème, c'est qu'il s'agit de Thathanka, le terrible bison ! Et, tout comme Graine-de-Bison, il est impétueux et têtu. Yakari parviendra-t-il à convaincre le fougueux animal de pardonner ses défauts à ce jeune papoose qui lui ressemble un peu trop…? Critique : Cela faisait très longtemps que je n'avais pas ouvert un Yakari. Il ne m'a pas fallut 2 minutes pour y replonger avec délice, en grand enfant que je suis. L'amateur de bd lui, n'a pu que constater avec plaisir ce qui différencie certaines productions jeunesse des autres tant le dessin de Derib est uné réussite à tous les niveaux, illustrant sans caricaturer, proposant des variétés de décors, de personnages, d'animaux et de situations allant du simple au détaillé avec plaisir. Côté scénario, si Xavier Giacometti à pris la relève de Job depuis le tome 41, il est toutefois dans la continuité de ce qui a fait le succès de Yakari : des histoires simples mais cohérentes, délivrant un message positif et permettant de mettre en scène une grande variété de personnages. J'en redemande, Yakari semble éternel. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/yakari-tome-42-la-colere-de-thathanka/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. J'aime la bd. Tomber sur le tome 3 de Melvile alors même que les deux premiers m'avaient complètement échappé est un tel pied. Se prendre ce genre de claque, découvrir un ouvrage inclassable, passionant, à la frontière du roman, de la photo, du dessin et de la bd. Il va être difficile vraiment de ne pas aimer ce Melvile. Je reprends. Melvile c'est une histoire complète par album géant de 400 pages. Servies par les illustrations sublimes de Romain Renard, l'histoire nous emmène à la découverte d'un personnage et d'un drame lié à Melvile une petite ville qui va bientôt sombrer dans l'oubli. Chaque tome se lit indépendamment des autres, mais évidemment, les destins sont croisés et entrmêlés, et ce que certains personnages ébauchent, on devine que d'autres le découvriront. C'est un polar, construit comme souvent dans les bons romans avec un héros qui revient sur les lieux de son passé, et une narration courrant sur deux époques. Rien de si original donc, les dénouements peuvent ne pas surprendre les habitués des romans de ce genre, pour autant, le tout est exécuté avec une telle maestria qu'il serait bien dommage de bouder son plaisir. Pour résumer, que ce soit pour son intrigue, ses sublimes illustrations souvent en grand format, ses personnages, sa narration, ou même pour l'oeuvre complète d'ouvrages qui se recoupent sous un angle différent, Melvile n'est à manquer sous aucun prétetxe. Et qu'un auteur seul soit capable de ce travail et de réaliser une telle oeuvre, cela va décidément me faire mettre de l'eau dans mon vin sur ma marotte de une bd, deux auteurs 🙂 Et tant mieux !
  13. Titre de l'album : Melvile - Tome 3 - L'histoire de Ruth Jacob Scenariste de l'album : Romain Renard Dessinateur de l'album : Romain Renard Coloriste : Romain Renard Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Avez-vous déjà connu le grand amour ? Celui qui compte pour toute une vie, celui pour qui vous seriez prêt à tout, même au pire ? Paul Rivest l'a connu. C'était durant un été à Melvile, il avait 14 ans, il est tombé amoureux de Ruth, la fille du pasteur. La passion s'est terminée dans une tragédie brûlante et Paul ne s'en est jamais remis. Aujourd'hui, il est obligé d'y revenir après plus de vingt-cinq années d'absence. Mais Melvile a de la mémoire et ses habitants aussi... Critique : J'aime la bd. Tomber sur le tome 3 de Melvile alors même que les deux premiers m'avaient complètement échappé est un tel pied. Se prendre ce genre de claque, découvrir un ouvrage inclassable, passionant, à la frontière du roman, de la photo, du dessin et de la bd. Il va être difficile vraiment de ne pas aimer ce Melvile. Je reprends. Melvile c'est une histoire complète par album géant de 400 pages. Servies par les illustrations sublimes de Romain Renard, l'histoire nous emmène à la découverte d'un personnage et d'un drame lié à Melvile une petite ville qui va bientôt sombrer dans l'oubli. Chaque tome se lit indépendamment des autres, mais évidemment, les destins sont croisés et entrmêlés, et ce que certains personnages ébauchent, on devine que d'autres le découvriront. C'est un polar, construit comme souvent dans les bons romans avec un héros qui revient sur les lieux de son passé, et une narration courrant sur deux époques. Rien de si original donc, les dénouements peuvent ne pas surprendre les habitués des romans de ce genre, pour autant, le tout est exécuté avec une telle maestria qu'il serait bien dommage de bouder son plaisir. Pour résumer, que ce soit pour son intrigue, ses sublimes illustrations souvent en grand format, ses personnages, sa narration, ou même pour l'oeuvre complète d'ouvrages qui se recoupent sous un angle différent, Melvile n'est à manquer sous aucun prétetxe. Et qu'un auteur seul soit capable de ce travail et de réaliser une telle oeuvre, cela va décidément me faire mettre de l'eau dans mon vin sur ma marotte de une bd, deux auteurs 🙂 Et tant mieux ! Autres infos : Foncez ! Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/melvile-tome-3-l-histoire-de-ruth-jacob?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. poseidon2

    U4 : Khronos (fin)

    Attention, spoiler à venir. Trop difficile sur un tome de conclusion de ne pas en dire un peu ! Bon, on ne va pas trop se le cacher, je suis un peu déçu par cette fin d'histoire. Déçu pour plusieurs raisons : déjà par l'aspect un peu facile de ce qui arrive à Kordiwen. Je vous laisserai juge, je suis surement un peu trop 'adulte" de ce côté la. Mais en fait surtout déçu par l'arrêt de cette temporalité. En effet, nos héros réussissent finalement à trouver un équilibre et du bonheur ans cette horreur, tout cela pour que tous s'efface. Ça fait vraiment bizarre, d'autant plus que Denis Lapierre met bien en avant l'évolution des personnages dans ce tome 4 pour globalement tout jeter après. Il manque une ouverture. Une possibilité de se dire qu'en fait ils continuent leurs vies par ailleurs, dans un univers parallèle ou un truc dans le genre. Il manque aussi des explications. À quoi ont donc servi les "pouvoirs" de Yannis ? Pourquoi ce comportement des adultes restants ? Comment expliquer qu'un médecin de ville ait trouvé le bon vaccin en testant des trucs et que l'état n'ait toujours pas trouvé ? Pas de mal de points qui m'ont un peu gâcher la fin d'une histoire au demeurant très sympathique. À réserver à des jeunes qui se posent moins de questions surement.
  15. Titre de l'album : U4 : Khronos (fin) Scenariste de l'album : Denis Lapierre / Pierre-Paul Renders Dessinateur de l'album : Denis Lapière Coloriste : Amparo Crespo Cardenete Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Jules, Koridwen, Yannis et Stéphane sont enfin réunis à Paris. Mais pas en tant qu'amis, puisque Steph tient en joue Kori et Jules avec son arme... Une situation que les militaires, traquant les ados ayant survécu à la pandémie U4, vont vite aplanir en incendiant les lieux où le quatuor s'était dissimulé ! Découvrant qu'ils sont tous fans du jeu « Warriors of Time » (WOT) et tous convoqués par le maître du jeu Khronos, Jules, Koridwen, Yannis et Stéphane comprennent qu'ils doivent unir leurs forces. Parviendront-ils à remonter le temps, afin d'empêcher l'apocalypse qui a dévasté la planète ? Ou bien Kronos leur réserve-t-il quelques (mauvaises) surprises ? Avoir la même passion pour un jeu en ligne ne signifie pas avoir les mêmes croyances ni la même vision de l'avenir... Après quatre albums chacun consacré à l'un des héros, le cinquième et dernier tome de U4 les réunit enfin, pour une rythmique de récit inédit offrant son étonnante conclusion à la série dessinée inspirée de la quadrilogie phénomène du roman young adult ! Critique : Attention, spoiler à venir. Trop difficile sur un tome de conclusion de ne pas en dire un peu ! Bon, on ne va pas trop se le cacher, je suis un peu déçu par cette fin d'histoire. Déçu pour plusieurs raisons : déjà par l'aspect un peu facile de ce qui arrive à Kordiwen. Je vous laisserai juge, je suis surement un peu trop 'adulte" de ce côté la. Mais en fait surtout déçu par l'arrêt de cette temporalité. En effet, nos héros réussissent finalement à trouver un équilibre et du bonheur ans cette horreur, tout cela pour que tous s'efface. Ça fait vraiment bizarre, d'autant plus que Denis Lapierre met bien en avant l'évolution des personnages dans ce tome 4 pour globalement tout jeter après. Il manque une ouverture. Une possibilité de se dire qu'en fait ils continuent leurs vies par ailleurs, dans un univers parallèle ou un truc dans le genre. Il manque aussi des explications. À quoi ont donc servi les "pouvoirs" de Yannis ? Pourquoi ce comportement des adultes restants ? Comment expliquer qu'un médecin de ville ait trouvé le bon vaccin en testant des trucs et que l'état n'ait toujours pas trouvé ? Pas de mal de points qui m'ont un peu gâcher la fin d'une histoire au demeurant très sympathique. À réserver à des jeunes qui se posent moins de questions surement. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/u4-khronos?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. L'iéde de parodier Goldorak, Albator et les personnages et intrigues des dessins animés de notre enfance était plutôt savoureuse sur le papier. Las, le dessin clairement ciblé humour jeunesse ne m'a pas emballé plus que ça, et la teneur des gags finalement assez limités n'a pas été compensé par la richesse des références, dont je le concède j'en ai probablement loupé une bonne moitié. Ce Récré A3 est à réserver aux fans absolus de Golodrak et Albator ayant envie de rire un peu.
  17. Titre de l'album : Récré A3 - Tome 2 - Otto Largue et Goldo Tombe Scenariste de l'album : Sylxx Dessinateur de l'album : Yockwan Coloriste : Lily Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Infatigable, le Prince d'OEufort dézingue encore et toujours les robots envoyés pour le détruire. Découragés, le grand stratosphère et la reine des Sylfilles cherchent de l'aide et croient trouver LA solution pour en finir avec lui. Pendant ce temps, malgré le soutien de Candide, Albatard vit mal la renommée croissante d'Actarustre qui pourrait en faire le plus grand héros de l'univers. Critique : L'iéde de parodier Goldorak, Albator et les personnages et intrigues des dessins animés de notre enfance était plutôt savoureuse sur le papier. Las, le dessin clairement ciblé humour jeunesse ne m'a pas emballé plus que ça, et la teneur des gags finalement assez limités n'a pas été compensé par la richesse des références, dont je le concède j'en ai probablement loupé une bonne moitié. Ce Récré A3 est à réserver aux fans absolus de Golodrak et Albator ayant envie de rire un peu. Autres infos : Parodie de Goldorak et Albator Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/recre-a3-tome-2-otto-largue-et-goldo-tombe?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Je ne crois pas qu'il y ai de genre plus difficile en bd que l'humour. On a tous en tête des génies de l'humour en bd, mais il faut bien reconnaitre que si ces rares élus accèdent à une immense reconnaissance c'est aussi parce que la tâche parait difficile. Evidemment l'humour est subjectif, aussi ce qui est valable pour moi ne l'est pas pour tout le monde. Pourquoi je vous raconte cela ? Parce qu'une fois n'est pas coutume, je n'ai pas réussi à finir cette bd. Ce qui explique sa note très basse. Les dessins ne me font ni sourire ni rire, je ne les trouve pas spécialement mignons. Et les gags m'ont profondément blasé. Bref je n'ai pas ri, je n'ai pas accroché, je n'ai pas réussi. Et ce n'est pas le choix du sujet le problème, puisque étant moi même heureusement accompagné d'un chien j'étais tout disposé à rire sur ce sujet là. Bref. Ce n'était pas pour moi.
  19. Titre de l'album : Clebs - Tome 2 -Il était une fois dans l'os Scenariste de l'album : Olivier Supiot Dessinateur de l'album : Olivier Supiot Coloriste : Olivier Supiot Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Clebs ! est une série de gags dont les héros ou plutôt les anti-héros sont nos plus fidèles compagnons, les chiens. Chaque personnage possède un caractère singulier : le crétin de service, l'obsédé sexuel myope, la fashion victime relookeuse, le gueulard maladroit etc. Des clebs avec des travers très humains qui nous rappellent notre côté cabot... Critique : Je ne crois pas qu'il y ai de genre plus difficile en bd que l'humour. On a tous en tête des génies de l'humour en bd, mais il faut bien reconnaitre que si ces rares élus accèdent à une immense reconnaissance c'est aussi parce que la tâche parait difficile. Evidemment l'humour est subjectif, aussi ce qui est valable pour moi ne l'est pas pour tout le monde. Pourquoi je vous raconte cela ? Parce qu'une fois n'est pas coutume, je n'ai pas réussi à finir cette bd. Ce qui explique sa note très basse. Les dessins ne me font ni sourire ni rire, je ne les trouve pas spécialement mignons. Et les gags m'ont profondément blasé. Bref je n'ai pas ri, je n'ai pas accroché, je n'ai pas réussi. Et ce n'est pas le choix du sujet le problème, puisque étant moi même heureusement accompagné d'un chien j'étais tout disposé à rire sur ce sujet là. Bref. Ce n'était pas pour moi. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/clebs-tome-2-il-etait-une-fois-dans-l-os?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Ce troisième clôture le premier cycle des enquêtes fantastiques de Malcolm Max et sa partenaire Charisma. Peter Menniger utilise dans cette fiction, des faits historiques ainsi que des personnages historiques ou leurs inventions. L’époque victorienne se prête bien au récit steampunk pour les décors et contexte historiques. Ce dernier tome reste toujours aussi verbeux avec peut-être trop de dialogues ou de phylactères narratifs qui perturbent un peu la fluidité de la lecture. Après ces nombreux dialogues sont souvent l'occasion pour l'auteur d'apporter des touches d'humour, surtout avec les dialogues de la reine Victoria. Sinon ce dernier tome vous réserve beaucoup d'action avec la résolution de l'enquête et des combats contre des humanoïdes, des fantômes et la force de Charisma la demi-vampire. Ingo Römling assure une partie graphique très plaisante et qui se démarque des productions du même genre en bande dessinée. L'album se termine par quelques références sur les personnages et lieux qui apparaissent dans cet épisode. Cette trilogie est un mélange des genres avec l’enquête policière proche de celle de Sherlock Holmes pendant la même époque et le fantastique apporte l’originalité au récit.
  21. Titre de l'album : Malcolm Max tome 3 - Projet nightfall Scenariste de l'album : Peter Menniger Dessinateur de l'album : Ingo Römling Coloriste : Ingo Römling Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Bienvenue aux origines de la fin du monde, où Malcolm Max et Charisma ont affaire à une armée d'hommes mécaniques indestructibles dont la colère dévastatrice va se répandre dans les rues de Londres comme une traînée de poudre. Ces créatures ont pour objectif l'annihilation de la race humaine. Meurtre, carnage et chaos sont au menu de ce récit palpitant ! Critique : Ce troisième clôture le premier cycle des enquêtes fantastiques de Malcolm Max et sa partenaire Charisma. Peter Menniger utilise dans cette fiction, des faits historiques ainsi que des personnages historiques ou leurs inventions. L’époque victorienne se prête bien au récit steampunk pour les décors et contexte historiques. Ce dernier tome reste toujours aussi verbeux avec peut-être trop de dialogues ou de phylactères narratifs qui perturbent un peu la fluidité de la lecture. Après ces nombreux dialogues sont souvent l'occasion pour l'auteur d'apporter des touches d'humour, surtout avec les dialogues de la reine Victoria. Sinon ce dernier tome vous réserve beaucoup d'action avec la résolution de l'enquête et des combats contre des humanoïdes, des fantômes et la force de Charisma la demi-vampire. Ingo Römling assure une partie graphique très plaisante et qui se démarque des productions du même genre en bande dessinée. L'album se termine par quelques références sur les personnages et lieux qui apparaissent dans cet épisode. Cette trilogie est un mélange des genres avec l’enquête policière proche de celle de Sherlock Holmes pendant la même époque et le fantastique apporte l’originalité au récit. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/malcolm-max-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Un nouveau titre pour la collection coup de tête après l'album biographique sur George Best le mois précédent. Aujourd'hui, les auteurs Elsa Krim et Fred Campoy s'associent pour retracer le parcours singulier de Tony Estanguet, le premier sportif français a avoir gagné trois médailles d'or olympiques et être trois fois champion de France. Le père de la famille Estanguet était déjà champion de Kayak, il a su donner à ses trois fils la passion de ce sport. Tony est le cadet de la famille avec le sentiment de devoir se donner à fond pour égaler ses frères, avec un esprit de compétition très élevé. Cette première partie début avec les premières compétitions, l'entrainement de Tony et la médaille de bronze pour son frère aîné. L'album se termine avec un cahier souvenir de la famille Estanguet avec des photos commentées par les frères. La partie graphique est de qualité même si quelques visages sont étranges dans leur proportion. Tony, l'enfant des rivières est un très bon album sportif, démontrant l'engagement et les efforts pour se dépasser et être le meilleur dans un sport.
  23. Titre de l'album : Tony - L'enfant des rivières tome 1 Scenariste de l'album : Elsa Krim & Fred Campoy Dessinateur de l'album : Fred Campoy Coloriste : Cyril Vincent Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Triple champion du monde de canoë monoplace, il est le 1er sportif français à remporter trois médailles d'or lors de trois Jeux Olympiques différents. Le parcours de Tony Estanguet est une incroyable aventure humaine. Aux Jeux Olympiques de Londres, le 31 juillet 2012, Tony se tient au sommet du stade d'eau vive de Lee Valley. Les jambes prises dans son canoë, il s'apprête à se lancer pour une troisième médaille d'or dans ce slalom historique. Il a alors 34 ans. Pour en arriver là, Tony Estanguet est parti de loin. Tout commence en 1978 à Pau au pied des Pyrénées, une enfance dans les rapides. Critique : Un nouveau titre pour la collection coup de tête après l'album biographique sur George Best le mois précédent. Aujourd'hui, les auteurs Elsa Krim et Fred Campoy s'associent pour retracer le parcours singulier de Tony Estanguet, le premier sportif français a avoir gagné trois médailles d'or olympiques et être trois fois champion de France. Le père de la famille Estanguet était déjà champion de Kayak, il a su donner à ses trois fils la passion de ce sport. Tony est le cadet de la famille avec le sentiment de devoir se donner à fond pour égaler ses frères, avec un esprit de compétition très élevé. Cette première partie début avec les premières compétitions, l'entrainement de Tony et la médaille de bronze pour son frère aîné. L'album se termine avec un cahier souvenir de la famille Estanguet avec des photos commentées par les frères. La partie graphique est de qualité même si quelques visages sont étranges dans leur proportion. Tony, l'enfant des rivières est un très bon album sportif, démontrant l'engagement et les efforts pour se dépasser et être le meilleur dans un sport. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tony-tome-1-enfant-des-rivieres?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. alx23

    Année zéro

    L'année zéro est un roman graphique sur la naissance d'un premier enfant pour un jeune couple avec la vision précédent l'évènement puis celle après la naissance avec le bouleversement dans la vie du couple. La scénariste Anna Roy raconte sa propre expérience dans cette bande dessinée, cette sage-femme pensait connaitre tous les secrets entourant la grossesse ainsi que l'accouchement et pourtant elle va vite changer d'avis. Les angoisses sur la bonne santé de l'enfant sont bien présentes ainsi que la fatigue pour une femme enceinte qui marche sans cesse d'une patience à une autre. Après la naissance du bébé, la vie du couple évolue pour former une petite famille. Il est intéressant de suivre l’évolution de la vie du couple même après la naissance avec les changements que cela occasionne. On se laisse porter par la lecture en suivant le fil rouge bien présent dans le dessin comme on peut le voir sur la couverture. Les dessins de Mademoiselle Caroline sont dans un style minimaliste et très dynamique. Année zéro conviendra particulièrement à un public féminin et encore plus pour les jeunes femmes désirant un enfant.
  25. alx23

    Année zéro

    Titre de l'album : Année zéro Scenariste de l'album : Anna Roy Dessinateur de l'album : Mademoiselle Caroline Coloriste : Mademoiselle Caroline Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Madeleine est sage-femme et pourtant dès la naissance de son enfant, rien ne se passe comme prévu. Elle galère dans son post-partum, sa parentalité, son couple... Elle passe de la joie au désespoir, de l'énergie à tout casser à la fatigue extrême. Anna et Caroline nous rassurent : c'est normal. Tout le monde passe par là. « Devenir parent » est l'un des plus grands chambardements de l'existence... Critique : L'année zéro est un roman graphique sur la naissance d'un premier enfant pour un jeune couple avec la vision précédent l'évènement puis celle après la naissance avec le bouleversement dans la vie du couple. La scénariste Anna Roy raconte sa propre expérience dans cette bande dessinée, cette sage-femme pensait connaitre tous les secrets entourant la grossesse ainsi que l'accouchement et pourtant elle va vite changer d'avis. Les angoisses sur la bonne santé de l'enfant sont bien présentes ainsi que la fatigue pour une femme enceinte qui marche sans cesse d'une patience à une autre. Après la naissance du bébé, la vie du couple évolue pour former une petite famille. Il est intéressant de suivre l’évolution de la vie du couple même après la naissance avec les changements que cela occasionne. On se laisse porter par la lecture en suivant le fil rouge bien présent dans le dessin comme on peut le voir sur la couverture. Les dessins de Mademoiselle Caroline sont dans un style minimaliste et très dynamique. Année zéro conviendra particulièrement à un public féminin et encore plus pour les jeunes femmes désirant un enfant. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/annee-zero?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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