Fin de notre diptyque traitant de l'art et de l'inspiration.
Et fin de diptyque en demi-teinte. En effet, si l'histoire est bien clôturée avec l'histoire des tableaux qui fini, la vie qui reprend son cours… le rôle du motel reste pour moi très abstrait. Tom Graffin nous laisse vraiment nous faire notre avis sur le sujet, mais un peu trop à mon gout.
On se retrouve donc avec l'histoire de la vie de notre artiste, ses recherches et ses errements, mais on ne voit pas trop en quoi le Jukebox Motel apporte quelque chose. J'ai un peu l'impression que cela aurait pu se passer n'importe où.
J'avoue que cela m'a un peu dérangé. D'autre que moi auront peut-être une interprétation différente…
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