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  1. Soleil nous sort à son tour une série sur la lutte anti terroriste en France, cette fois-ci du point de vue de l'un des "Permis de tuer" de la DGSE. Prévue comme une série de one shot sans forcément de liens entre les tomes, Au nom de la république ambitionne de se faire une place au côté d'Alpha et des séries du genre déjà bien installées. Difficile donc mais pas impossible tant cette BD surprend par son sérieux. On est assez loin du romantisme habituel des bd d'espionnage et bien plus dans les rouages techniques. Ceci dit le fractionnement en one shot risque de nuire à notre attachement aux personnages comme souvent. Le scénario imaginé par Jean-Claude Bartoll semble cohérent, réaliste et terriblement actuel même s'il ne brille guère par son originalité. Le dessin de Guzman est très sérieux et appliqué, et s'il ne renouvelle clairement pas le genre, il en respecte les codes et nous livre une bd claire et lisible, même si certaines scènes semblent un brin statiques. Au nom de la république devrait ravir les passionnés de lutte anti terroriste, de la DGSE et de géopolitique en BD.
  2. Titre de l'album : Au nom de la république - Tome 1 - Mission Bosphore Scenariste de l'album : Jean-Claude Bartoll Dessinateur de l'album : Gabriel Guzman Coloriste : Silvia Fabris Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Octobre 2018. La Presse annonce que les commanditaires des attentats du 13 novembre 2015 auraient tous été éliminés par les forces spéciales. Tous, sauf un. Celui qui gérait et organisait les flux financiers depuis Raqqa. Le Renard va prendre cette mission à coeur afin d'éliminer ce jeune homme au profil atypique qui se terre en Turquie. Mais tout ne va pas forcément se dérouler comme prévu... Critique : Soleil nous sort à son tour une série sur la lutte anti terroriste en France, cette fois-ci du point de vue de l'un des "Permis de tuer" de la DGSE. Prévue comme une série de one shot sans forcément de liens entre les tomes, Au nom de la république ambitionne de se faire une place au côté d'Alpha et des séries du genre déjà bien installées. Difficile donc mais pas impossible tant cette BD surprend par son sérieux. On est assez loin du romantisme habituel des bd d'espionnage et bien plus dans les rouages techniques. Ceci dit le fractionnement en one shot risque de nuire à notre attachement aux personnages comme souvent. Le scénario imaginé par Jean-Claude Bartoll semble cohérent, réaliste et terriblement actuel même s'il ne brille guère par son originalité. Le dessin de Guzman est très sérieux et appliqué, et s'il ne renouvelle clairement pas le genre, il en respecte les codes et nous livre une bd claire et lisible, même si certaines scènes semblent un brin statiques. Au nom de la république devrait ravir les passionnés de lutte anti terroriste, de la DGSE et de géopolitique en BD. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/au-nom-de-la-republique-tome-1-mission-bosphore?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. poseidon2

    La grande balade de Petros

    Des récits de guerre et d'occupation, on en a déjà lu pleins. Des récits de guerre vue par les enfants, on en a aussi lu beaucoup. À un tel point que l'on s'imagine que seuls les Français du maquis ont résisté et qu'ils sont les plus grands héros de l'histoire. Cette grande balade de Petros nous montre que ce qui s'est passé chez nous, s'est aussi passé ailleurs. Il nous montre, au travers de la vision d'un petit garçon plein de vie et d'envie, que le peuple grec a subi les mêmes brimades que nous, a été occupé comme nous, a eu son lot de collabos comme nous et surtout... a eu son lot de résistants comme nous. L'écho de ce qu'il s'est passé en Grèce est impressionnant et montre bien, si besoin était, que les forces de l'axe se comportaient de la même façon partout en Europe. L'histoire, si elle est vue au travers des yeux d'un enfant plein d'entrain et d'envie, n'en reste pas moins poignante et difficile. Rien n'est caché à Petros et notre auteur nous fait bien ressentir à quel point les drames sont encore plus marquants pour des enfants qui ne comprennent pas le principe de sacrifice pour le bien commun. Un très beau récit de guerre qui montre que ou qu'elle ait lieux, la guerre produit son lot de désespoir et de haine.
  4. Titre de l'album : La grande balade de Petros Scenariste de l'album : Angeliki Darlasi Dessinateur de l'album : Dimitrios Mastoros Coloriste : Dimitrios Mastoros Editeur de l'album : Futuropolis Note : Résumé de l'album : La grande balade de Petros est un témoignage historique et antifasciste, qui relate les aventures et les jours difficiles d'un gamin de 9 ans (Petros) et de sa famille pendant l'occupation allemande d'Athènes.Le quotidien de la guerre, la terrible famine des grandes villes et les exécutions chroniques, mais également la résistance inventive d'une population qui n'a plus rien à perdre, sont racontés à travers le regard, les rêveries et les interprétations de ce petit garçon qui va être obligé de grandir trop vite...Un récit d'enfance et d'apprentissage sans condescendance, mais avec de l'humour et de la tendresse.Dimitrios Mastoros et Angeliki Darlasi adaptent ce classique de la romancière grecque Alki Zei, militante de gauche et membre active de la résistance sous l'occupation nazie. Critique : Des récits de guerre et d'occupation, on en a déjà lu pleins. Des récits de guerre vue par les enfants, on en a aussi lu beaucoup. À un tel point que l'on s'imagine que seuls les Français du maquis ont résisté et qu'ils sont les plus grands héros de l'histoire. Cette grande balade de Petros nous montre que ce qui s'est passé chez nous, s'est aussi passé ailleurs. Il nous montre, au travers de la vision d'un petit garçon plein de vie et d'envie, que le peuple grec a subi les mêmes brimades que nous, a été occupé comme nous, a eu son lot de collabos comme nous et surtout... a eu son lot de résistants comme nous. L'écho de ce qu'il s'est passé en Grèce est impressionnant et montre bien, si besoin était, que les forces de l'axe se comportaient de la même façon partout en Europe. L'histoire, si elle est vue au travers des yeux d'un enfant plein d'entrain et d'envie, n'en reste pas moins poignante et difficile. Rien n'est caché à Petros et notre auteur nous fait bien ressentir à quel point les drames sont encore plus marquants pour des enfants qui ne comprennent pas le principe de sacrifice pour le bien commun. Un très beau récit de guerre qui montre que ou qu'elle ait lieux, la guerre produit son lot de désespoir et de haine. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-grande-balade-de-petros?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. alx23

    Djemnah, les ombres corses

    Philippe Donadille signe sa première bande dessinée avec Djemnah, les ombres corses avec beaucoup de maitrise pour raconter une histoire. On va suivre l'aventure d'un jeune homme qui part à la chasse au trésor suite à la découverte du portrait crayonnée d'une femme dans un livre d'époque sur la Corse. De fil en aiguille, le jeune homme se rend en Corse lors un weekend pour découvrir l'île de beauté dont il est originaire mais sans y avoir vécu. Son enquête le mène dans un petit village où les rencontres le poussent à approfondir son étude du mystère. Ce roman graphique est séparé en deux parties avec l'enquête puis l'héritage. On se laisse prendre dans l'histoire comme le héros pour connaitre la finalité et où cela va nous mener. La partie graphique de Patrice Reglat-Vizzavona est magnifique tout en aquarelle. L'auteur nous fait voyager avec des planches très détaillées où l'on se perd dans les décors de toute beauté. Les flashbacks sont en en noir et blanc ou les parties historiques sont comme des gravures de l'époque. Djemnah, les ombres corses est une fiction qui prend des informations historiques pour mieux rendre crédible le récit. D'ailleurs les auteurs donnent quelques informations en fin d'album.
  6. Titre de l'album : Djemnah, les ombres corses Scenariste de l'album : Philippe Donadille Dessinateur de l'album : Patrice Reglat-Vizzavona Coloriste : Patrice Reglat-Vizzavona Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Le jeune Ange Pizarti découvre un dessin qui le met sur la piste d'un mystérieux héritage napoléonien, en Corse. Une quête toute à l'aquarelle, qui plonge dans l'histoire d'un peuple fier, et d'un territoire magnifique, quand la chasse au trésor tourne à l'histoire de famille. Le héros percera ses secrets, en parcourant la terre ancestrale, qui est aussi celle des deux auteurs. Critique : Philippe Donadille signe sa première bande dessinée avec Djemnah, les ombres corses avec beaucoup de maitrise pour raconter une histoire. On va suivre l'aventure d'un jeune homme qui part à la chasse au trésor suite à la découverte du portrait crayonnée d'une femme dans un livre d'époque sur la Corse. De fil en aiguille, le jeune homme se rend en Corse lors un weekend pour découvrir l'île de beauté dont il est originaire mais sans y avoir vécu. Son enquête le mène dans un petit village où les rencontres le poussent à approfondir son étude du mystère. Ce roman graphique est séparé en deux parties avec l'enquête puis l'héritage. On se laisse prendre dans l'histoire comme le héros pour connaitre la finalité et où cela va nous mener. La partie graphique de Patrice Reglat-Vizzavona est magnifique tout en aquarelle. L'auteur nous fait voyager avec des planches très détaillées où l'on se perd dans les décors de toute beauté. Les flashbacks sont en en noir et blanc ou les parties historiques sont comme des gravures de l'époque. Djemnah, les ombres corses est une fiction qui prend des informations historiques pour mieux rendre crédible le récit. D'ailleurs les auteurs donnent quelques informations en fin d'album. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/djemnah-les-ombres-corses?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. The_PoP

    Nettoyage à Sec

    Bon ben on s'en doutait un peu depuis son marquant "Béatrice" mais Joris Mertens est décidément l'un des prodiges graphique de la bd. Si vous ne connaissez pas, allez jeter un oeil donc à ces deux albums. Si Béatrice a, à mon avis, un peu souffert de son choix de bd muette, sur Nettoyage à sec on sent que l'auteur a fait un compromis en nous servant des textes efficaces au service de son intrigue et de son dessin. Le résultat n'en est que plus accessible à tout le monde et c'est tant mieux. L'auteur excelle particulièrement dans ses descriptions de vie quotidienne, et si son intrigue générale ne brille pas par son originalité où la qualité de ses dénouements, il faut bien reconnaître que cela n'a ici que peu d'importance. Ce Nettoyage à sec est bel et bien un polar, mais qu'on sent construit comme une tranche de vie, avec en exergue une réflexion sur le ridicule de celle-ci. Ne serait-ce que pour l'amour que l'auteur porte visiblement à Paris et sur la qualité de son trait, ne passez pas à côté de ce Nettoyage à sec.
  8. The_PoP

    Nettoyage à Sec

    Titre de l'album : Nettoyage à Sec Scenariste de l'album : Joris Mertens Dessinateur de l'album : Joris Mertens Coloriste : Joris Mertens Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : François n'a pas la vie dont il rêve. Il vit seul, dans une ville où il pleut sans cesse, et travaille depuis des années comme chauffeur dans une blanchisserie sans obtenir la moindre augmentation. Ses loisirs se résument à jouer les mêmes numéros au loto chaque semaine depuis 17 ans sans résultat, et à prendre une pinte de bière fraîche au Monico où il rencontre fréquemment Maryvonne, avec qui il aimerait nouer une relation plus intime. Une banale livraison l'amène un jour à frapper à la porte d'une grande maison, théâtre d'une scène de crime dont les vestiges se résument en une dizaine de cadavres et un sac rempli de billets de banque. Chanceux pour la première fois, François décide de prendre le sac... et les ennuis qui vont avec. Critique : Bon ben on s'en doutait un peu depuis son marquant "Béatrice" mais Joris Mertens est décidément l'un des prodiges graphique de la bd. Si vous ne connaissez pas, allez jeter un oeil donc à ces deux albums. Si Béatrice a, à mon avis, un peu souffert de son choix de bd muette, sur Nettoyage à sec on sent que l'auteur a fait un compromis en nous servant des textes efficaces au service de son intrigue et de son dessin. Le résultat n'en est que plus accessible à tout le monde et c'est tant mieux. L'auteur excelle particulièrement dans ses descriptions de vie quotidienne, et si son intrigue générale ne brille pas par son originalité où la qualité de ses dénouements, il faut bien reconnaître que cela n'a ici que peu d'importance. Ce Nettoyage à sec est bel et bien un polar, mais qu'on sent construit comme une tranche de vie, avec en exergue une réflexion sur le ridicule de celle-ci. Ne serait-ce que pour l'amour que l'auteur porte visiblement à Paris et sur la qualité de son trait, ne passez pas à côté de ce Nettoyage à sec. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/nettoyage-a-sec?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. The_PoP

    Une famille épatante

    Sophie Ruffieux est connue pour publier ses chroniques humoristiques chez Femme actuelle avec cette famille dont elle nous croque les mésaventures du quotidien. Les éditions Soleil publient donc un recueil de ces sketchs d'une page avec quelques inédits. Pour ceux qui ne lisent pas Femme actuelle, et je soupçonne que cela en concerne certains d'entre vous, ce Une famille épatante est une BD/roman graphique humoristique et gentille décryptant la vie d'une famille parisienne du point de vue de la maman. On sourit souvent, les dessins sont très jolis, c'est bien fait et bien pensé. Malheureusement j'ai aussi eu l'impression d'avoir déjà lu tout cela quelques fois, et le dessin renforce également cette sensation. Guère étonnant vu la génèse de cette bd mais dommage quand même, je me demande si un ton légèrement différent aurait pu nous éviter cela.
  10. Titre de l'album : Une famille épatante Scenariste de l'album : Sophie Ruffieux Dessinateur de l'album : Sophie Ruffieux Coloriste : Sophie Ruffieux Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Céline et Jean sont les parents heureux mais parfois débordés de Jules, Émile et Chloé, sans oublier Monsieur Chat, gros matou débonnaire et patient. École, boulot, vacances, tout est prétexte à une joyeuse description de la vie quotidienne d'une famille formidable ! Croqué avec talent et justesse par Sophie Ruffieux, sans jamais être caricatural, ce feuilleton familial ravira petits et grands. Critique : Sophie Ruffieux est connue pour publier ses chroniques humoristiques chez Femme actuelle avec cette famille dont elle nous croque les mésaventures du quotidien. Les éditions Soleil publient donc un recueil de ces sketchs d'une page avec quelques inédits. Pour ceux qui ne lisent pas Femme actuelle, et je soupçonne que cela en concerne certains d'entre vous, ce Une famille épatante est une BD/roman graphique humoristique et gentille décryptant la vie d'une famille parisienne du point de vue de la maman. On sourit souvent, les dessins sont très jolis, c'est bien fait et bien pensé. Malheureusement j'ai aussi eu l'impression d'avoir déjà lu tout cela quelques fois, et le dessin renforce également cette sensation. Guère étonnant vu la génèse de cette bd mais dommage quand même, je me demande si un ton légèrement différent aurait pu nous éviter cela. Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/une-famille-epatante-tome-1-six-a-la-maison?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. alx23

    Sprague

    Avec Spague, le scénariste Rodolphe nous propose une aventure de science-fiction avec un récit complet en un seul volume. Il faut dire que l'auteur est ultra productif en terme de scénario de science-fiction avec la série TER ou de thriller un peu mythique avec son dernier titre Iruene. Rodolphe réussit à créer des univers captivants et très originaux dans ses récits. Pour l'histoire de Sprague, on découvre un monde asséché avec des villages perdus qui envoient des navires en expédition à la recherche de la mer disparue. Deux frères possédant des métiers essentiels dans cet univers vont partir sans prévenir, en quête de l'eau. Olivier Roman se charge de la partie graphique avec beaucoup de maitrise pour nous dépeindre ce monde désertique. Les planches sont magnifiques et l'on peut se perdre dans les décors avec les vestiges d'anciennes civilisations. Sprague nous propose une aventure en bateau roulant faute de mer avec des pirates à combattre et des insectes géants. J’aurais bien aimé un deuxième tome pour laisser le temps aux auteurs de développer plus ce monde.
  12. alx23

    Sprague

    Titre de l'album : Sprague Scenariste de l'album : Rodolphe Dessinateur de l'album : Olivier Roman Coloriste : Olivier Roman Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Au village de Goëm, en baie de Sprague, la population observe depuis quelques mois des manifestations anormales... D'abord, la seconde lune a disparu, et nul n'y a trouvé d'explication. Et, plus grave, la mer s'est progressivement retirée... jusqu'à disparaître complètement. Le village tirant toutes ses ressources de la mer (pêche, élevage, cultures, matières premières...) semble dès lors condamné à mourir. En désespoir de cause, les villageois ont envoyé deux expéditions pour traverser le désert, comprendre ce qui se passait et peut-être ramener l'eau au village : elles ne sont pas revenues et n'ont jamais donné de nouvelles. Mais tous ne baissent pas les bras. Deux frères, Niels et Vivian, décident à leur tour de tenter leur chance et de traverser le désert de boue et de vase pour sauver leur village. Ils ont des atouts pour réussir : Vivian est un sondeur réputé, il creuse le sol avec ses perches téléscopiques pour y trouver des traces d'eau. Niels, lui, est le meilleur grimpeur et, à l'aide d'un réseau de cerfs-volants, peut s'élever à des d'incroyables hauteurs pour observer l'horizon... Ils embarquent à bord d'un navire à roue commandé par le vieux Wilson, capitaine aveugle que seconde Merlin, un crack-up déplumé accroché à son épaule. La traversée est longue car ils devront lutter contre des vents contraires, combattre des pirates, et des tétanias, énormes vers des sables ou de terrifiants insectes géants remontés des profondeurs pour s'échouer et mourir sur la suface craquelée de la vase. Ils arrivent bientôt en vue d'une gigantesque muraille... en fait le mur extérieur d'un monstrueux barrage, édifié en des temps anciens par une technologie aujourd'hui disparue... Critique : Avec Spague, le scénariste Rodolphe nous propose une aventure de science-fiction avec un récit complet en un seul volume. Il faut dire que l'auteur est ultra productif en terme de scénario de science-fiction avec la série TER ou de thriller un peu mythique avec son dernier titre Iruene. Rodolphe réussit à créer des univers captivants et très originaux dans ses récits. Pour l'histoire de Sprague, on découvre un monde asséché avec des villages perdus qui envoient des navires en expédition à la recherche de la mer disparue. Deux frères possédant des métiers essentiels dans cet univers vont partir sans prévenir, en quête de l'eau. Olivier Roman se charge de la partie graphique avec beaucoup de maitrise pour nous dépeindre ce monde désertique. Les planches sont magnifiques et l'on peut se perdre dans les décors avec les vestiges d'anciennes civilisations. Sprague nous propose une aventure en bateau roulant faute de mer avec des pirates à combattre et des insectes géants. J’aurais bien aimé un deuxième tome pour laisser le temps aux auteurs de développer plus ce monde. Autres infos : Edition Daniel Maghen Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sprague?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. poseidon2

    Outsider communication

    The critique de TheOtaku : Bon alors ce yaoi a beaucoup de points positifs, mais aussi quelques points négatifs, donc commençons par les points les plus négatifs. Déjà il manque une chose très importante à ce manga… il manque des retournements de situation. Le vrai problème est que, si dans certains cas, c'est positif, ici on ne peut absolument RIEN prévoir, ni la réaction des gens, ni qui sera le '' méchant '' et même pas les problèmes qu'ils vont avoir. Parce qu'il n'y en a pas, aucune réaction chez leur entourage, pas de '' méchant '' et pas vraiment de vrai problème. RIEN ! Il ne se passe pas réellement grand-chose à part bien sûr le fait que bah entre un gentil délinquant, Seki, et un intello insociable, Iwashiro, c'est difficile de s'entendre au début mais ensuite ... le VIDE. Je m'attendais à plus de vraies réactions de la part des amis de Seki mais non, puis on nous laisse espérer en voyant le petit flashback de l'enfance de Seki mais rien de plus, on en entend plus parler, puis du côté de Iwashiro bah rien on n'entend pas parler des parents et puis le grand frère délinquant bah oui, mais non en faîte, on nous le présente pour rien. Donc oui j'ai été déçu avec CE point négatif. En point négatif, il y a aussi le fait que bah je trouve que tout va trop vite, c'est un one-shot, on pourrait me dire, mais ce n'est pas une excuse, mais bon ça va quand même. Sinon bah oui il y a des points positifs. J'ai beaucoup aimé les dessins, des traits fins et doux, des yeux et des cheveux, pour un style manga bien sûr, plutôt bien fait, et puis de jolis arrières plans, vraiment j'ai trouvé les dessins assez beaux et bien fait pour un manga. J'ai aussi bien aimé le côté gentil délinquant et intello insociable, ça change un peu. Et puis si l'histoire avait un vrai fond, si elle avait été plus recherchée et surtout si elle allait un peu moins vite, avec 1 ou 2 tomes de plus, je pense que cela aurait donné un manga réellement bien. Bon pour faire simple ce yaoi manque d'une réelle histoire, il va trop vite, mais les dessins sont vraiment beaux et l'intrigue choisie est vraiment bien, selon moi.
  14. Titre de l'album : Outsider communication Scenariste de l'album : Natsume Tsuno Dessinateur de l'album : Natsume Tsuno Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Seki, le leader de la bande de voyous du lycée, se fait réprimander par l'étudiant modèle Iwashiro pour possession de magazine porno et travail à temps partiel interdit. Durant leur dispute, Iwashiro tombe des escaliers et se foule la cheville. Pour se faire pardonner, Seki devra aider à contrecoeur son nouveau rival. Qui aime bien châtie bien, et les deux garçons finissent par développer des sentiments confus l'un envers l'autre. Vont-ils réussir à se comprendre malgré leurs personnalités totalement opposées ? Critique : The critique de TheOtaku : Bon alors ce yaoi a beaucoup de points positifs, mais aussi quelques points négatifs, donc commençons par les points les plus négatifs. Déjà il manque une chose très importante à ce manga… il manque des retournements de situation. Le vrai problème est que, si dans certains cas, c'est positif, ici on ne peut absolument RIEN prévoir, ni la réaction des gens, ni qui sera le '' méchant '' et même pas les problèmes qu'ils vont avoir. Parce qu'il n'y en a pas, aucune réaction chez leur entourage, pas de '' méchant '' et pas vraiment de vrai problème. RIEN ! Il ne se passe pas réellement grand-chose à part bien sûr le fait que bah entre un gentil délinquant, Seki, et un intello insociable, Iwashiro, c'est difficile de s'entendre au début mais ensuite ... le VIDE. Je m'attendais à plus de vraies réactions de la part des amis de Seki mais non, puis on nous laisse espérer en voyant le petit flashback de l'enfance de Seki mais rien de plus, on en entend plus parler, puis du côté de Iwashiro bah rien on n'entend pas parler des parents et puis le grand frère délinquant bah oui, mais non en faîte, on nous le présente pour rien. Donc oui j'ai été déçu avec CE point négatif. En point négatif, il y a aussi le fait que bah je trouve que tout va trop vite, c'est un one-shot, on pourrait me dire, mais ce n'est pas une excuse, mais bon ça va quand même. Sinon bah oui il y a des points positifs. J'ai beaucoup aimé les dessins, des traits fins et doux, des yeux et des cheveux, pour un style manga bien sûr, plutôt bien fait, et puis de jolis arrières plans, vraiment j'ai trouvé les dessins assez beaux et bien fait pour un manga. J'ai aussi bien aimé le côté gentil délinquant et intello insociable, ça change un peu. Et puis si l'histoire avait un vrai fond, si elle avait été plus recherchée et surtout si elle allait un peu moins vite, avec 1 ou 2 tomes de plus, je pense que cela aurait donné un manga réellement bien. Bon pour faire simple ce yaoi manque d'une réelle histoire, il va trop vite, mais les dessins sont vraiment beaux et l'intrigue choisie est vraiment bien, selon moi. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/outsider-communication?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Titre de l'album : La fortune des Winczlav t2 : Tome et Lisa 1910 Scenariste de l'album : Jean Van Hamme Dessinateur de l'album : Philippe Berthet Coloriste : Meephe Versaevel Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Oklahoma, 1910. La vie de Thomas Winczlav, fils de Milan, prend un tournant radical lorsqu'il se découvre héritier des richissimes Whiskies O'Casey, qu'il va devoir partager avec sa soeur jumelle, Lisa... Alors que la Première Guerre mondiale éclate, Thomas - parfois crédule et souvent volage - va tenter de faire fructifier son affaire, adoptant le nom de « Winch ». Pendant ce temps, Lisa, femme libre passionnée d'aviation, va se tailler sa place dans un ciel de guerre dominé par un certain Baron rouge... À travers les destins croisés d'une soeur et d'un frère que tout oppose, La Fortune des Winczlav s'impose comme une saga familiale à la puissance totale, explorant une des périodes les plus troublées de l'Histoire moderne et composant des portraits d'hommes et de femmes aussi marquants qu'un certain Largo... Bon sang ne saurait mentir ! Critique : En voila un excellent tome ! Je pensais que cette série suivrait une ligne droite assez facile à suivre et je dois avouer que Jean Van Hamme m'a très agréablement surpris sur ce tome 2. En effet, la fin du tome 1 laissait penser que la fortune des WInczlav serait issue du pétrole et que le reste de la filiation enrichirait le magot. Et bien pas du tout. Sans trop en dire, ce tome deux nous montre avec merveille que les Winczlav ont les affaires dans le sang et savent rebondir après des déconvenues, aussi grosses soient-elles. La ou Van Hamme est très bon, c'est que ces retournements de situations ne se font pas au détriment de l'aventure. Aventure qui prend un tournant dramatique avec l'arrivée de la première guerre mondial. Un deuxième tome passionnant et très bien illustré par monsieur "Pin Up" Berthet. Vivement la conclusion et... l'arrivée du petit Largo ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-fortune-des-winczlav-tome-2-tom-et-lisa-1910/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. En voila un excellent tome ! Je pensais que cette série suivrait une ligne droite assez facile à suivre et je dois avouer que Jean Van Hamme m'a très agréablement surpris sur ce tome 2. En effet, la fin du tome 1 laissait penser que la fortune des WInczlav serait issue du pétrole et que le reste de la filiation enrichirait le magot. Et bien pas du tout. Sans trop en dire, ce tome deux nous montre avec merveille que les Winczlav ont les affaires dans le sang et savent rebondir après des déconvenues, aussi grosses soient-elles. La ou Van Hamme est très bon, c'est que ces retournements de situations ne se font pas au détriment de l'aventure. Aventure qui prend un tournant dramatique avec l'arrivée de la première guerre mondial. Un deuxième tome passionnant et très bien illustré par monsieur "Pin Up" Berthet. Vivement la conclusion et... l'arrivée du petit Largo !
  17. poseidon2

    Jukebox hotel T2

    Fin de notre diptyque traitant de l'art et de l'inspiration. Et fin de diptyque en demi-teinte. En effet, si l'histoire est bien clôturée avec l'histoire des tableaux qui fini, la vie qui reprend son cours… le rôle du motel reste pour moi très abstrait. Tom Graffin nous laisse vraiment nous faire notre avis sur le sujet, mais un peu trop à mon gout. On se retrouve donc avec l'histoire de la vie de notre artiste, ses recherches et ses errements, mais on ne voit pas trop en quoi le Jukebox Motel apporte quelque chose. J'ai un peu l'impression que cela aurait pu se passer n'importe où. J'avoue que cela m'a un peu dérangé. D'autre que moi auront peut-être une interprétation différente…
  18. Titre de l'album : Jukebox hotel T2 Scenariste de l'album : Tom Graffin Dessinateur de l'album : Marie Duvoisin Coloriste : Marie Duvoisin Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : Où les hommes renaissent au monde. Où les femmes reviennent toujours. Où les lumières se voilent. Pour mieux rayonner ensuite. Thomas Shaper est un jeune peintre dépassé par le succès. Adoubé par Andy Warhol, rebaptisé « Robert Fury » par un marchand d'art cupide, l'artiste a fui New York et laissé derrière lui sa compagne pour s'installer en Californie. Sa rencontre fortuite avec Johnny Cash dans un bar de Los Angeles l'a mis sur la route du Jukebox Motel, vieille bâtisse isolée dans laquelle il tente depuis de trouver la paix. Hélas, les tourments familiaux et la peinture lui collent à la peau. Piégé dans une spirale destructrice, Thomas s'accroche à un fol espoir : que le Jukebox Motel, refuge où il s'est enfermé, donne un sens à sa vie. Critique : Fin de notre diptyque traitant de l'art et de l'inspiration. Et fin de diptyque en demi-teinte. En effet, si l'histoire est bien clôturée avec l'histoire des tableaux qui fini, la vie qui reprend son cours… le rôle du motel reste pour moi très abstrait. Tom Graffin nous laisse vraiment nous faire notre avis sur le sujet, mais un peu trop à mon gout. On se retrouve donc avec l'histoire de la vie de notre artiste, ses recherches et ses errements, mais on ne voit pas trop en quoi le Jukebox Motel apporte quelque chose. J'ai un peu l'impression que cela aurait pu se passer n'importe où. J'avoue que cela m'a un peu dérangé. D'autre que moi auront peut-être une interprétation différente… Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/jukebox-motel-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Cet album historique retrace les quatre semaines avant le 14 juillet 1789, afin de comprendre tous les événements qui ont poussé le peuple à la révolution. Pour ce faire, Herve Pauvert base son récit sur des faits historiques plus ou moins connus, en insérant huit personnages fictifs. Ces personnages font partis des différentes classes sociales de l'époque dont beaucoup appartenant à la classe populaire et leurs mécontentements. Le récit est divisé en plusieurs chapitres suivant les personnages principaux dans des petites histoires personnelles qui se croiseront pour former l'intrigue générale. Les faits sont connus mais habilement mise en scène dans ce récit historique qui marquera l'histoire de France. Les dessins sont dans un style classique. Les postures des personnages peuvent paraitre étranges ou figées dans des décors d'époques assez réussis. 14 juillet, Destins d'une révolution donne une vision de la révolution française par le petit peuple et devrait ravir les fans de récits historiques.
  20. Titre de l'album : 14 juillet - Destins d'une révolution Scenariste de l'album : Herve Pauvert Dessinateur de l'album : Cecile Chicault Coloriste : Cecile Chicault Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Le 17 juin 1789, le jour où le Tiers-État se proclame « Assemblée nationale », outre les personnalités les plus en vue, quatre anonymes vont être pris dans la tourmente. Jean-Baptiste Jacquet, ouvrier au chômage, Suzanne la couturière, Pierre, le garde-française et Jeannette Langlois, jeune paysanne employée à la Bastille au service d'un prisonnier qui n'a de noble que le titre. Critique : Cet album historique retrace les quatre semaines avant le 14 juillet 1789, afin de comprendre tous les événements qui ont poussé le peuple à la révolution. Pour ce faire, Herve Pauvert base son récit sur des faits historiques plus ou moins connus, en insérant huit personnages fictifs. Ces personnages font partis des différentes classes sociales de l'époque dont beaucoup appartenant à la classe populaire et leurs mécontentements. Le récit est divisé en plusieurs chapitres suivant les personnages principaux dans des petites histoires personnelles qui se croiseront pour former l'intrigue générale. Les faits sont connus mais habilement mise en scène dans ce récit historique qui marquera l'histoire de France. Les dessins sont dans un style classique. Les postures des personnages peuvent paraitre étranges ou figées dans des décors d'époques assez réussis. 14 juillet, Destins d'une révolution donne une vision de la révolution française par le petit peuple et devrait ravir les fans de récits historiques. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/14-juillet-destins-d-une-revolution?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Cela faisait très longtemps que je n'avais pas ouvert un Yakari. Il ne m'a pas fallut 2 minutes pour y replonger avec délice, en grand enfant que je suis. L'amateur de bd lui, n'a pu que constater avec plaisir ce qui différencie certaines productions jeunesse des autres tant le dessin de Derib est uné réussite à tous les niveaux, illustrant sans caricaturer, proposant des variétés de décors, de personnages, d'animaux et de situations allant du simple au détaillé avec plaisir. Côté scénario, si Xavier Giacometti à pris la relève de Job depuis le tome 41, il est toutefois dans la continuité de ce qui a fait le succès de Yakari : des histoires simples mais cohérentes, délivrant un message positif et permettant de mettre en scène une grande variété de personnages. J'en redemande, Yakari semble éternel.
  22. Titre de l'album : Yakari - Tome 42 - La colère de Thathanka Scenariste de l'album : Xavier Giacometti Dessinateur de l'album : Derib Coloriste : Rebekah Paulovitch Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Un peu trop désireux de prouver sa valeur à ses amis, Graine-de-Bison a pris des risques inconsidérés, et fait une très mauvaise chute. Pour sauver son esprit, Yakari décide de demander de l'aide à l'animal-totem de son ami. Le seul problème, c'est qu'il s'agit de Thathanka, le terrible bison ! Et, tout comme Graine-de-Bison, il est impétueux et têtu. Yakari parviendra-t-il à convaincre le fougueux animal de pardonner ses défauts à ce jeune papoose qui lui ressemble un peu trop…? Critique : Cela faisait très longtemps que je n'avais pas ouvert un Yakari. Il ne m'a pas fallut 2 minutes pour y replonger avec délice, en grand enfant que je suis. L'amateur de bd lui, n'a pu que constater avec plaisir ce qui différencie certaines productions jeunesse des autres tant le dessin de Derib est uné réussite à tous les niveaux, illustrant sans caricaturer, proposant des variétés de décors, de personnages, d'animaux et de situations allant du simple au détaillé avec plaisir. Côté scénario, si Xavier Giacometti à pris la relève de Job depuis le tome 41, il est toutefois dans la continuité de ce qui a fait le succès de Yakari : des histoires simples mais cohérentes, délivrant un message positif et permettant de mettre en scène une grande variété de personnages. J'en redemande, Yakari semble éternel. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/yakari-tome-42-la-colere-de-thathanka/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. J'aime la bd. Tomber sur le tome 3 de Melvile alors même que les deux premiers m'avaient complètement échappé est un tel pied. Se prendre ce genre de claque, découvrir un ouvrage inclassable, passionant, à la frontière du roman, de la photo, du dessin et de la bd. Il va être difficile vraiment de ne pas aimer ce Melvile. Je reprends. Melvile c'est une histoire complète par album géant de 400 pages. Servies par les illustrations sublimes de Romain Renard, l'histoire nous emmène à la découverte d'un personnage et d'un drame lié à Melvile une petite ville qui va bientôt sombrer dans l'oubli. Chaque tome se lit indépendamment des autres, mais évidemment, les destins sont croisés et entrmêlés, et ce que certains personnages ébauchent, on devine que d'autres le découvriront. C'est un polar, construit comme souvent dans les bons romans avec un héros qui revient sur les lieux de son passé, et une narration courrant sur deux époques. Rien de si original donc, les dénouements peuvent ne pas surprendre les habitués des romans de ce genre, pour autant, le tout est exécuté avec une telle maestria qu'il serait bien dommage de bouder son plaisir. Pour résumer, que ce soit pour son intrigue, ses sublimes illustrations souvent en grand format, ses personnages, sa narration, ou même pour l'oeuvre complète d'ouvrages qui se recoupent sous un angle différent, Melvile n'est à manquer sous aucun prétetxe. Et qu'un auteur seul soit capable de ce travail et de réaliser une telle oeuvre, cela va décidément me faire mettre de l'eau dans mon vin sur ma marotte de une bd, deux auteurs 🙂 Et tant mieux !
  24. Titre de l'album : Melvile - Tome 3 - L'histoire de Ruth Jacob Scenariste de l'album : Romain Renard Dessinateur de l'album : Romain Renard Coloriste : Romain Renard Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Avez-vous déjà connu le grand amour ? Celui qui compte pour toute une vie, celui pour qui vous seriez prêt à tout, même au pire ? Paul Rivest l'a connu. C'était durant un été à Melvile, il avait 14 ans, il est tombé amoureux de Ruth, la fille du pasteur. La passion s'est terminée dans une tragédie brûlante et Paul ne s'en est jamais remis. Aujourd'hui, il est obligé d'y revenir après plus de vingt-cinq années d'absence. Mais Melvile a de la mémoire et ses habitants aussi... Critique : J'aime la bd. Tomber sur le tome 3 de Melvile alors même que les deux premiers m'avaient complètement échappé est un tel pied. Se prendre ce genre de claque, découvrir un ouvrage inclassable, passionant, à la frontière du roman, de la photo, du dessin et de la bd. Il va être difficile vraiment de ne pas aimer ce Melvile. Je reprends. Melvile c'est une histoire complète par album géant de 400 pages. Servies par les illustrations sublimes de Romain Renard, l'histoire nous emmène à la découverte d'un personnage et d'un drame lié à Melvile une petite ville qui va bientôt sombrer dans l'oubli. Chaque tome se lit indépendamment des autres, mais évidemment, les destins sont croisés et entrmêlés, et ce que certains personnages ébauchent, on devine que d'autres le découvriront. C'est un polar, construit comme souvent dans les bons romans avec un héros qui revient sur les lieux de son passé, et une narration courrant sur deux époques. Rien de si original donc, les dénouements peuvent ne pas surprendre les habitués des romans de ce genre, pour autant, le tout est exécuté avec une telle maestria qu'il serait bien dommage de bouder son plaisir. Pour résumer, que ce soit pour son intrigue, ses sublimes illustrations souvent en grand format, ses personnages, sa narration, ou même pour l'oeuvre complète d'ouvrages qui se recoupent sous un angle différent, Melvile n'est à manquer sous aucun prétetxe. Et qu'un auteur seul soit capable de ce travail et de réaliser une telle oeuvre, cela va décidément me faire mettre de l'eau dans mon vin sur ma marotte de une bd, deux auteurs 🙂 Et tant mieux ! Autres infos : Foncez ! Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/melvile-tome-3-l-histoire-de-ruth-jacob?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. poseidon2

    U4 : Khronos (fin)

    Attention, spoiler à venir. Trop difficile sur un tome de conclusion de ne pas en dire un peu ! Bon, on ne va pas trop se le cacher, je suis un peu déçu par cette fin d'histoire. Déçu pour plusieurs raisons : déjà par l'aspect un peu facile de ce qui arrive à Kordiwen. Je vous laisserai juge, je suis surement un peu trop 'adulte" de ce côté la. Mais en fait surtout déçu par l'arrêt de cette temporalité. En effet, nos héros réussissent finalement à trouver un équilibre et du bonheur ans cette horreur, tout cela pour que tous s'efface. Ça fait vraiment bizarre, d'autant plus que Denis Lapierre met bien en avant l'évolution des personnages dans ce tome 4 pour globalement tout jeter après. Il manque une ouverture. Une possibilité de se dire qu'en fait ils continuent leurs vies par ailleurs, dans un univers parallèle ou un truc dans le genre. Il manque aussi des explications. À quoi ont donc servi les "pouvoirs" de Yannis ? Pourquoi ce comportement des adultes restants ? Comment expliquer qu'un médecin de ville ait trouvé le bon vaccin en testant des trucs et que l'état n'ait toujours pas trouvé ? Pas de mal de points qui m'ont un peu gâcher la fin d'une histoire au demeurant très sympathique. À réserver à des jeunes qui se posent moins de questions surement.
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