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  1. poseidon2

    Le bossu de montfaucon t1

    Si vous on vous demandait de résumer l'une des passations de pouvoir les plus tordue de l'histoire de France en deux tomes, vous accepteriez ? Et bien Philippe Pelaez s'y est attaqué, en ajoutant à cela la présence du bossu de notre dame. Et pour tout vous dire... je continue, après lecture, de penser que c'est infaisable. Meme si l'on ne peut pas retirer à Philippe Pelaez d'avoir essayer de resumer le plus possible l'histoire, quitte à abuser des raccourcis et des sauts dans le temps, deux tomes ne suffiront pas. Cela se voit des le prermier tome. Car en effet ce premier tome ne peut etre vraiment compris qu'à condition de lire la biographie des rois de France et de connaitre par coeur l'arbre généalogique de Charles VIII. Philippe Pelaez le reconnait lui-meme en commencant sa BD avec un texte de présentation des personnages et une galerie de portrait des acteurs principaux. Et si cela nous permet de ne pas être complètement perdu, cela ne nous évite pas pour autant des sauts dans l'espace perturbant (des fois à nantes, des fois à paris, à orleans...) et des personnages secondaires qui n'ont pas la place pour être developpés. Même certains personnages principaux semble sortir du chapeau d'un seul coup...comme Anne de Bretagne.... Une époque de l'histoire de France très intéressante mais qui aurait mérité 4 tomes pour permettre une lecture plus fluide et une comprehension plus facile des liens familiaux de tout un chacun.
  2. Titre de l'album : Le bossu de montfaucon t1 Scenariste de l'album : Philippe Pelaez Dessinateur de l'album : Éric Stalner Coloriste : Éric Stalner Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : Quasimodo a été sauvé. Il est dorénavant l'homme de main d'un noble déchu décidé à se venger de la monarchie française. Fin du XVe siècle. Louis d'Orléans, duc et premier Prince de sang, s'est vu refuser la régence du jeune Charles VIII manipulé par sa soeur, la perfide Anne de Beaujeu. Réfugié en Bretagne, Louis prépare la défense de Nantes lorsqu'un homme étrange épris de vengeance lui propose ses services. Pierre le Bâtard, accompagné par un bossu difforme tiré des caves du gibet de Montfaucon prévient le duc : Anne de Beaujeu et son homme de main, l'impitoyable Axel Lochlain, ont en leur possession deux documents que lui, le Bâtard, est le seul à pouvoir récupérer: deux lettres qui remettent en question la légitimité de Louis au trône de France.Il n'y a rien de plus romanesque que la réalité. Le Bossu de Montfaucon n'est pas une uchronie: les évènements historiques qui jalonnent le récit y sont rigoureusement exacts. Critique : Si vous on vous demandait de résumer l'une des passations de pouvoir les plus tordue de l'histoire de France en deux tomes, vous accepteriez ? Et bien Philippe Pelaez s'y est attaqué, en ajoutant à cela la présence du bossu de notre dame. Et pour tout vous dire... je continue, après lecture, de penser que c'est infaisable. Meme si l'on ne peut pas retirer à Philippe Pelaez d'avoir essayer de resumer le plus possible l'histoire, quitte à abuser des raccourcis et des sauts dans le temps, deux tomes ne suffiront pas. Cela se voit des le prermier tome. Car en effet ce premier tome ne peut etre vraiment compris qu'à condition de lire la biographie des rois de France et de connaitre par coeur l'arbre généalogique de Charles VIII. Philippe Pelaez le reconnait lui-meme en commencant sa BD avec un texte de présentation des personnages et une galerie de portrait des acteurs principaux. Et si cela nous permet de ne pas être complètement perdu, cela ne nous évite pas pour autant des sauts dans l'espace perturbant (des fois à nantes, des fois à paris, à orleans...) et des personnages secondaires qui n'ont pas la place pour être developpés. Même certains personnages principaux semble sortir du chapeau d'un seul coup...comme Anne de Bretagne.... Une époque de l'histoire de France très intéressante mais qui aurait mérité 4 tomes pour permettre une lecture plus fluide et une comprehension plus facile des liens familiaux de tout un chacun. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/bossu-de-montfaucon-tome-1/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. La descente aux enfers. Quand une erreur de jugement ou de fierté fait plonger un adolescent dans l'enfer de la prison. Un endroit où rien n'est fait pour les jeunes. Un endroit où ils apprennent juste que leur vie vient de s'arrêter. C'est cette longue descente aux enfers que nous décrivent Bast et Isabelle Dautresme. Sans jamais juger sur le fond de l'affaire qui a envoyé Ben en prison, nos auteurs jugent la forme. Ils jugent la lente mais irrémédiable perte de confiance en soi. Le laissé aller et l'abandon de tout espoir de vie normale au fur et à mesure des brimades des surveillant et des menaces des autres détenus. Une histoire qui raconte une année. Mais une année encore moins pire que ce qui arrivera quand Ben aura plus de 18 ans. ET c Ben le sait. Et cette angoisse et ce couperet à venir ajoute encore au sentiment d'oppression qui pèse sur Ben et les autres mineurs. Une BD qui fait froid dans le dos mais qui nous oblige à nous dire, si besoin il était, qu'il y a un vrai problème....
  4. Titre de l'album : 17 piges, récit d'une année en prison Scenariste de l'album : Isabelle Dautresme Dessinateur de l'album : Bast Coloriste : Bast Editeur de l'album : Futuropolis Note : Résumé de l'album : Ben N'Kante, 17 ans, est au lycée en terminale lorsque deux policiers viennent le chercher pour l'emmener directement à la prison de Fleury-Mérogis où il est incarcéré dans le quartier pour mineurs. Il ne sait alors pas qu'il va y rester toute l'année suivante jusqu'à ses 18 ans. Sa vie bascule alors. À son arrivée, Ben est un lycéen comme il en existe tant « à l'extérieur ». Bon élève, il se rend tous les matins au centre scolaire de la prison avec la ferme intention de réussir son bac. Il se montre coopératif avec le médiateur de la protection judiciaire de la jeunesse et l'administration pénitentiaire. Il ne faut que quelques mois du régime de détention et la perspective d'une sortie prochaine qui s'éloigne pour que le comportement de Ben se dégrade. Lui, le détenu exemplaire ne va plus en cours ou presque, se bagarre, insulte les surveillants... Lui, le jeune homme si soigné se néglige : la coupe de cheveux, les vêtements, plus rien n'a d'importance ! À quoi bon ! Isabelle Dautresme, journaliste spécialisée sur les questions d'éducation, et Bast, qui a animé un atelier BD dans un quartier de détention pour mineurs, ont voulu montrer les effets délétères de l'emprisonnement sur ces jeunes dont l'avenir se bouche dès qu'ils passent les portes de la prison. Critique : La descente aux enfers. Quand une erreur de jugement ou de fierté fait plonger un adolescent dans l'enfer de la prison. Un endroit où rien n'est fait pour les jeunes. Un endroit où ils apprennent juste que leur vie vient de s'arrêter. C'est cette longue descente aux enfers que nous décrivent Bast et Isabelle Dautresme. Sans jamais juger sur le fond de l'affaire qui a envoyé Ben en prison, nos auteurs jugent la forme. Ils jugent la lente mais irrémédiable perte de confiance en soi. Le laissé aller et l'abandon de tout espoir de vie normale au fur et à mesure des brimades des surveillant et des menaces des autres détenus. Une histoire qui raconte une année. Mais une année encore moins pire que ce qui arrivera quand Ben aura plus de 18 ans. ET c Ben le sait. Et cette angoisse et ce couperet à venir ajoute encore au sentiment d'oppression qui pèse sur Ben et les autres mineurs. Une BD qui fait froid dans le dos mais qui nous oblige à nous dire, si besoin il était, qu'il y a un vrai problème.... Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/17-piges?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. alx23

    Le chevalier du crépuscule

    Les deux auteurs avaient déjà fait forte impression avec l'album Misères, leur précédente parution en France aux éditions Mosquito. Aujourd’hui, on retrouve la même équipe artistique sur un one shot de plus de 100 pages dans un récit fantastique. L'univers du chevalier du crépuscule est riche avec des personnages, des mythes et des provinces en guerre mais l'ensemble de l'histoire reste très fluide à la lecture. On suit le seul soldat encore en vie à rentrer à Parazyn, sa ville natale. On lui a confié de retrouver les truands qui trafiquent l'haleine de dragon, une denrée rare et illégale qui est utilisée pour saboter des vaisseaux de guerre. On voyage dans un monde fantastique et futuriste sur planète inconnue. Cet album est prenant avec cette enquête bizarre. La partie graphique est très bien travaillée dans un style original. Les têtes des personnages sont déformées pour pouvoir exagérer les expressions. Les planches sont bien dessinées pour dépeindre ce monde. Les auteurs ont développé une idée intéressante dans un monde désertique où un soldat va faire régner l'ordre lors de son enquête. J'espère que les éditions Mosquito poursuivront la traduction d'autres titres des Grimalt, au vu de la qualité de Misères et du chevalier du crépuscule.
  6. Titre de l'album : Le chevalier du crépuscule Scenariste de l'album : Francesc Grimalt Ramon Dessinateur de l'album : Francesc Grimalt Horrach Coloriste : Francesc Grimalt Horrach Editeur de l'album : Mosquito Note : Résumé de l'album : Un matin, un étrange vaisseau spatial arrive dans la ville de Parazyn avec une mission : découvrir une mystérieuse conjuration qui s'attaque à l'ordre impérial. Un vétéran est chargé de mener à bien cette entreprise. Un certain «Chevalier du Crépuscule» serait la cause de tous les problèmes... Critique : Les deux auteurs avaient déjà fait forte impression avec l'album Misères, leur précédente parution en France aux éditions Mosquito. Aujourd’hui, on retrouve la même équipe artistique sur un one shot de plus de 100 pages dans un récit fantastique. L'univers du chevalier du crépuscule est riche avec des personnages, des mythes et des provinces en guerre mais l'ensemble de l'histoire reste très fluide à la lecture. On suit le seul soldat encore en vie à rentrer à Parazyn, sa ville natale. On lui a confié de retrouver les truands qui trafiquent l'haleine de dragon, une denrée rare et illégale qui est utilisée pour saboter des vaisseaux de guerre. On voyage dans un monde fantastique et futuriste sur planète inconnue. Cet album est prenant avec cette enquête bizarre. La partie graphique est très bien travaillée dans un style original. Les têtes des personnages sont déformées pour pouvoir exagérer les expressions. Les planches sont bien dessinées pour dépeindre ce monde. Les auteurs ont développé une idée intéressante dans un monde désertique où un soldat va faire régner l'ordre lors de son enquête. J'espère que les éditions Mosquito poursuivront la traduction d'autres titres des Grimalt, au vu de la qualité de Misères et du chevalier du crépuscule. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-chevalier-du-crepuscule?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. alx23

    Aïvali

    Soloup est un auteur grec qui se charge de retracer dans ce roman graphique, l'histoire depuis la signature du Traité de Lausanne le 24 juillet 1923, suite à la première guerre mondiale. Cette signature n'est pas anodine pour deux peuples, puisque 1,5 million de Grecs vivant en Asie Mineure sur le territoire de la nouvelle Turquie et 500 000 Turcs musulmans vivant sur le territoire grec vont devoir changer de territoire en abandonnant leur habitation et leur vie du jour au lendemain. Le résultat de cet exode de masse provoqua la mort de plus d'un demi-million de personnes. Ce fait historique est très peu connu ou peu relaté du moins dans l'histoire. Le récit commence à Aïvali, qui donne le titre de l'album et qui est une presqu’île. C'est à Aïvali que se joua ce mouvement de population avec échange de maison dans une ambiance oppressante de guerre. L'auteur livre six récits avec des points de vue différents des Grecs et des Turcs dont l'histoire est liée depuis longtemps. L'auteur ne prend pas parti malgré ses origines grecques pour justement montrer la vérité. La partie graphique est réaliste en noir et blanc avec peu de décor mais suffisamment pour retranscrire les coutumes des populations turcs et grecs à travers leurs traditions. Aïvali est très imposant avec 400 pages de récits souvent bouleversant puisque réels mais l'on passe rapidement de l'un à l'autre pour en apprendre plus sur ce conflit.
  8. alx23

    Aïvali

    Titre de l'album : Aïvali Scenariste de l'album : Soloup Dessinateur de l'album : Soloup Coloriste : Editeur de l'album : Steinkis Note : Résumé de l'album : Elles ont deux vies ces maisons : une grecque et une turque. Mais si les maisons pouvaient parler, elles ne parleraient ni des Grecs ni des Turcs, mais de la souffrance des hommes. À travers quatre portraits croisés, Soloup rend hommage à Aïvali, lieu symbolique du double déracinement des Grecs et des Turcs faisant suite à la Première Guerre mondiale. Critique : Soloup est un auteur grec qui se charge de retracer dans ce roman graphique, l'histoire depuis la signature du Traité de Lausanne le 24 juillet 1923, suite à la première guerre mondiale. Cette signature n'est pas anodine pour deux peuples, puisque 1,5 million de Grecs vivant en Asie Mineure sur le territoire de la nouvelle Turquie et 500 000 Turcs musulmans vivant sur le territoire grec vont devoir changer de territoire en abandonnant leur habitation et leur vie du jour au lendemain. Le résultat de cet exode de masse provoqua la mort de plus d'un demi-million de personnes. Ce fait historique est très peu connu ou peu relaté du moins dans l'histoire. Le récit commence à Aïvali, qui donne le titre de l'album et qui est une presqu’île. C'est à Aïvali que se joua ce mouvement de population avec échange de maison dans une ambiance oppressante de guerre. L'auteur livre six récits avec des points de vue différents des Grecs et des Turcs dont l'histoire est liée depuis longtemps. L'auteur ne prend pas parti malgré ses origines grecques pour justement montrer la vérité. La partie graphique est réaliste en noir et blanc avec peu de décor mais suffisamment pour retranscrire les coutumes des populations turcs et grecs à travers leurs traditions. Aïvali est très imposant avec 400 pages de récits souvent bouleversant puisque réels mais l'on passe rapidement de l'un à l'autre pour en apprendre plus sur ce conflit. Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/aivali-une-histoire-entre-grece-et-turquie-nouvelle-edition?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. La série Histoire et destins est composée de one shot consacrés à des personnes jouant un rôle important lors des conflits historiques. J'avais beaucoup apprécié le tome précédent sur le garde du corps de Massoud et maintenant la série nous permet de découvrir le travail de Jacques Gindrey, un chirurgien militaire. L'album se consacre essentiellement sur sa partition lors des défaites consécutives à Diên Biên Phu. Le scénariste Jean-Pierre Pécau spécialiste des récits de guerre et historique met en évidence le courage de cet homme pour sauver les soldats lors des batailles. Pécau installe Jacques Gindrey en compagnie d'autres personnages réelles et d'autres fictifs pour mettre en place son intrigue. Les dessins de Vladimir Davidenko sont dans un style réaliste et retranscrivent bien l'horreur de la guerre dans des paysages de jungle sous la pluie. La couverture est très bien pensée et donne envie de lire cette bande dessinée. Ce troisième confirme la bonne qualité de cette série pour retracer des parcours d'individus historiques peu connus. Un cahier historique retrace en fin d'album donne une biographie de Jacques Gindrey dans les différents conflits auquel il avait participé.
  10. Titre de l'album : Histoire et destins - Le chirurgien de Diên Biên Phu Scenariste de l'album : Jean-Pierre Pécau Dessinateur de l'album : Vladimir Davidenko Coloriste : Arancia Studios Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : En novembre 1953, Jacques Gindrey est affecté à l'antenne chirurgicale mobile de Diên Biên Phu. Durant 57 jours et 57 nuits, il soignera et opèrera les soldats blessés au front. L'afflux massif de blessés, sans possibilité d'évacuation aérienne ou terrestre, oblige les médecins des postes avancés à pratiquer des gestes chirurgicaux majeurs. Critique : La série Histoire et destins est composée de one shot consacrés à des personnes jouant un rôle important lors des conflits historiques. J'avais beaucoup apprécié le tome précédent sur le garde du corps de Massoud et maintenant la série nous permet de découvrir le travail de Jacques Gindrey, un chirurgien militaire. L'album se consacre essentiellement sur sa partition lors des défaites consécutives à Diên Biên Phu. Le scénariste Jean-Pierre Pécau spécialiste des récits de guerre et historique met en évidence le courage de cet homme pour sauver les soldats lors des batailles. Pécau installe Jacques Gindrey en compagnie d'autres personnages réelles et d'autres fictifs pour mettre en place son intrigue. Les dessins de Vladimir Davidenko sont dans un style réaliste et retranscrivent bien l'horreur de la guerre dans des paysages de jungle sous la pluie. La couverture est très bien pensée et donne envie de lire cette bande dessinée. Ce troisième confirme la bonne qualité de cette série pour retracer des parcours d'individus historiques peu connus. Un cahier historique retrace en fin d'album donne une biographie de Jacques Gindrey dans les différents conflits auquel il avait participé. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/histoire-et-destins-le-chirurgien-de-dien-bien-phu?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. The_PoP

    Un général, des Généraux

    Etant d'une génération qui n'a pas vécu ses évènements mais pourtant pas ignare sur cette partie de l'Histoire je me suis régalé à lire ce tome, l'ironie permanente et le ridicule des situations combiné au côté pourtant très historique et documenté du propos rend cet ouvrage assez chouette à lire. Attendez-vous à vous exclamer des "nooooon", "c'est pas possible" à plusieurs pages. Ceci étant ma note paraitra probablement dure compte tenu du plaisir réel ressenti à la lecture et que je décris plus haut, mais à la fin de ma lecture, je me suis rendu compte que le côté trop ironique, avait finalement desservi pas mal le propos. En présentant tous les personnages comme des idiots finis, on fini par avoir du mal à décerner le vrai du faux dans cet immense foutoir. Les propos liminaire de l'historien en fin d'album n'éclairant qu'à peine les limites entre faits, interprétations et gags. Le dessin de François Boucq met particulièrement en avant l'ironie en caricaturant les personnages sans trop en faire, leur donnant tout de même régulièrement des airs d'abrutis complets. On est effectivement sur un mélange des genres un brin particulier, mais la critique acide des institutions de la république et de nos représentants, y compris l'idole Général De Gaulle est bien sentie et intéressante, tout comme l'est la découverte historique de ce moment de foutoir si particulier. Pour autant la gravité du propos de fond m'intéressait également et de ce côté là, in fine je me suis senti peut être un peu floué. Un général, des généraux est une bd à lire, ne serait-ce que pour prendre du recul sur les moments parfois étranges que peuvent vivre nos démocraties actuelles.
  12. Titre de l'album : Un général, des Généraux Scenariste de l'album : Nicolas Juncker Dessinateur de l'album : François Boucq Coloriste : François & Alexandre Boucq Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Mai 1958. Alger s'embrase contre un nouveau gouvernement qui, à Paris, semble prêt à dialoguer avec les indépendantistes. Des milliers de colons se soulèvent, obligeant l'armée et ses généraux à choisir leur camp : rester loyaux à l'état ou à l'Algérie française, dernier vestige du grand empire colonial Français. Dépassés et galvanisés par la situation, les généraux s'embarquent dans un coup d'état qui devient rapidement incontrôlable... Et si seul un vieil homme à la retraite, le « dernier héros français », était capable d'arrêter cette machine folle et éviter une guerre civile ? Ce vaudeville politico-militaire donnera les clés du pouvoir à de Gaulle et sa Ve République... car juré-craché, « le Général » l'a promis à toutes et à tous : cette fois, il les a compris. Critique : Etant d'une génération qui n'a pas vécu ses évènements mais pourtant pas ignare sur cette partie de l'Histoire je me suis régalé à lire ce tome, l'ironie permanente et le ridicule des situations combiné au côté pourtant très historique et documenté du propos rend cet ouvrage assez chouette à lire. Attendez-vous à vous exclamer des "nooooon", "c'est pas possible" à plusieurs pages. Ceci étant ma note paraitra probablement dure compte tenu du plaisir réel ressenti à la lecture et que je décris plus haut, mais à la fin de ma lecture, je me suis rendu compte que le côté trop ironique, avait finalement desservi pas mal le propos. En présentant tous les personnages comme des idiots finis, on fini par avoir du mal à décerner le vrai du faux dans cet immense foutoir. Les propos liminaire de l'historien en fin d'album n'éclairant qu'à peine les limites entre faits, interprétations et gags. Le dessin de François Boucq met particulièrement en avant l'ironie en caricaturant les personnages sans trop en faire, leur donnant tout de même régulièrement des airs d'abrutis complets. On est effectivement sur un mélange des genres un brin particulier, mais la critique acide des institutions de la république et de nos représentants, y compris l'idole Général De Gaulle est bien sentie et intéressante, tout comme l'est la découverte historique de ce moment de foutoir si particulier. Pour autant la gravité du propos de fond m'intéressait également et de ce côté là, in fine je me suis senti peut être un peu floué. Un général, des généraux est une bd à lire, ne serait-ce que pour prendre du recul sur les moments parfois étranges que peuvent vivre nos démocraties actuelles. Autres infos : Histoire vue avec ironie Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/un-general-des-generaux?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. alx23

    Le mystère du lac

    Le mystère du lac est une bande dessinée destiné au jeune public avec une histoire autour d'une ville engloutie sous l'eau. On suit les deux jeunes adolescents, Iris et Sam en quête d'aventure dans leur petite ville de campagne. Les deux jeunes vont s'apercevoir que le niveau de la rivière de la ville a baissé jusqu’à laisser apparaitre une citée inconnue. La jeune Iris est une aventurière, elle souhaite explorer cette ville en pensant être devant la plus grande découverte du siècle alors que Sam est plus sage et peureux, il voudra partir du mystérieux village. L'auteur australien complet Jason Pamment s'inspire de villes complétement recouvertes par les eaux quand un barrage cède ou d'autre phénomène pour mettre en place son histoire. Les dessins sont bien amenés pour plaire aux jeunes avec beaucoup de couleur et des personnages très attachants. Les cases sont bien travaillées avec des détails pour permettre de visiter cette citée engloutie en même temps que les deux héros en herbe. Le mystère du lac est roman graphique qui devrait ravir la jeunesse avec pas moins de deux cents pages d’aventure.
  14. alx23

    Le mystère du lac

    Titre de l'album : Le mystère du lac Scenariste de l'album : Jason Pamment Dessinateur de l'album : Jason Pamment Coloriste : Jason Pamment Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : Iris a soif d'aventures et ne rêve que de quitter la minuscule ville de Bugden, où il ne se passe jamais rien ! Tout l'inverse de son meilleur ami, Sam, qui aime plutôt sa tranquillité. Mais lorsque la rivière locale s'assèche brutalement, les amis font une découverte incroyable : une ville cachée et une histoire d'amitié oubliée. Critique : Le mystère du lac est une bande dessinée destiné au jeune public avec une histoire autour d'une ville engloutie sous l'eau. On suit les deux jeunes adolescents, Iris et Sam en quête d'aventure dans leur petite ville de campagne. Les deux jeunes vont s'apercevoir que le niveau de la rivière de la ville a baissé jusqu’à laisser apparaitre une citée inconnue. La jeune Iris est une aventurière, elle souhaite explorer cette ville en pensant être devant la plus grande découverte du siècle alors que Sam est plus sage et peureux, il voudra partir du mystérieux village. L'auteur australien complet Jason Pamment s'inspire de villes complétement recouvertes par les eaux quand un barrage cède ou d'autre phénomène pour mettre en place son histoire. Les dessins sont bien amenés pour plaire aux jeunes avec beaucoup de couleur et des personnages très attachants. Les cases sont bien travaillées avec des détails pour permettre de visiter cette citée engloutie en même temps que les deux héros en herbe. Le mystère du lac est roman graphique qui devrait ravir la jeunesse avec pas moins de deux cents pages d’aventure. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-mystere-du-lac?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. poseidon2

    Londonish

    Petite comédie chez Grand Angle avec un mix entre la mule de Eastwood, une comédie de pub à l'anglaise et hommage aux groupes de musiques anglais des années 70-80. Si le principe donne envie avec une couverture pleine de mystère, je pense que Philippe Charlot à voulut trop en mettre. En effet l'aspect "mule" du weekend est développé un peu tard et n'a pas l'impact que cela devrait avoir. En fait mon sentiment en terminant cette BD c'est que le sujet so british de l'éternel débat entre Beatles et Stones mélangé à l'histoire de couple aurait été largement suffisant. Je comprends l'envie d'ajouter le coté absurde des comédies britanniques vi cette histoire de mule mais je pense que l'histoire aurait été plus intéressante sans, le burlesque britannique étant déjà bien ancré via le pub et le conflit musical. Au final une histoire sympathique mais qui aurait pu être meilleure.
  16. poseidon2

    Londonish

    Titre de l'album : Londonish Scenariste de l'album : Philippe Charlot Dessinateur de l'album : Miras Coloriste : Miras Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : Tout un chacun se pose des questions à l'heure de la retraite: que faire d'un cadavre? Faut-il continuer à haïr Yoko Ono? Peut-on s'improviser tueur à gages? Max et Glenn ont de petits secrets, comme celui d'aimer la même femme. Dans le mariage pour l'un et dans le secret pour l'autre. Le premier a sacrifié à Jude sa passion de jeunesse et le second lui doit une vie sentimentale toute en retenue. Ce qui unit toujours les trois amis ? Une admiration sans bornes pour les Beatles, qu'ils affirment au «Sous-marin jaune», pub de quartier, qu'ils maintiennent à flot, bon an mal an, car le naufrage n'est pas loin. Mais, alors que Glenn trempe dans des affaires louches, mais lucratives, Max découvre que Jude n'est pas heureuse avec lui. Et Glenn pourrait bien être le traitre de toute une vie. Critique : Petite comédie chez Grand Angle avec un mix entre la mule de Eastwood, une comédie de pub à l'anglaise et hommage aux groupes de musiques anglais des années 70-80. Si le principe donne envie avec une couverture pleine de mystère, je pense que Philippe Charlot à voulut trop en mettre. En effet l'aspect "mule" du weekend est développé un peu tard et n'a pas l'impact que cela devrait avoir. En fait mon sentiment en terminant cette BD c'est que le sujet so british de l'éternel débat entre Beatles et Stones mélangé à l'histoire de couple aurait été largement suffisant. Je comprends l'envie d'ajouter le coté absurde des comédies britanniques vi cette histoire de mule mais je pense que l'histoire aurait été plus intéressante sans, le burlesque britannique étant déjà bien ancré via le pub et le conflit musical. Au final une histoire sympathique mais qui aurait pu être meilleure. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/londonish?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. alx23

    La part des flammes

    La part des flammes est l'adaptation en bande dessinée du roman bestseller de Gaëlle Nohant qui s'inspire de l'incendie du Bazar de la Charité le 4 mai 1897. La plupart des victimes de ce dramatique événement sont des femmes qui n'ont pas pu être évacué à temps. Le scénariste Didier Quella-Guyot se charge du scénario pour cette adaptation en restant proche l'œuvre original. L'histoire se focalise sur plusieurs personnages principalement féminins pour mettre en évidence la condition des femmes au XIX siècle à Paris. Une des deux femmes souhaite se faire apprécier par les personnes de la haute société française suite au décès de son mari. La seconde femme refuse et annule son mariage pour se consacrer à dieu. Ces prises de décisions donneront lieu à des problématiques de l'époque. En parallèle, le personnage masculin qui se détache et un jeune journaliste qui dénonce sans détours les personnes intouchables. Les dessins de Wyllow conviennent pour ce genre de récit, dans un style très classique et sans grande finition. Les amateurs de récit historique et de drame seront comblés par ce titre et les lecteurs du roman souhaiteront peut-être redécouvrir l'histoire dans ce média.
  18. alx23

    La part des flammes

    Titre de l'album : La part des flammes Scenariste de l'album : Didier Quella-Guyot Dessinateur de l'album : Wyllow Coloriste : Florent Daniel Editeur de l'album : Philéas Note : Résumé de l'album : Le Bazar de la Charité est une vente de bienfaisance courue du Tout-Paris. Le 4 mai 1897 un effroyable incendie ravage le lieu et fait plus de 120 victimes. Parmi les participantes : la Duchesse d'Alençon, la jeune veuve à la réputation sulfureuse Violaine de Raenzel et la pieuse Constance d'Estingel. Trois femmes à la destinée liée par la tragédie du Bazar de la Charité. Mai 1897. Où se pressent donc la duchesse Sophie d'Alençon, la comtesse Violaine de Raezal et la délicieuse Constance d'Estingel ? Vers la rue Jean Goujon à Paris où a lieu tous les ans au Bazar de la charité la plus mondaine et la plus brillante des ventes de bienfaisance. Pour certaines, il s'agit d'un pas important vers la respectabilité, pour d'autres il faut y être vue tandis que quelques-unes espèrent y retrouver en secret un galant ...Mais un incendie terrible se déclare et en quelques minutes l'endroit se mue en un charnier. Très vite, la liste des portés disparus s'allonge. C'est toute la noblesse française qui pleure ses morts, ses blessés, ses défigurés à jamais. Constance qui vient de rompre avec son fiancé Lazlo par foi religieuse, est blessée et choquée. Elle sera internée de manière abusive dans la clinique du Docteur Brunet qui prétend soigner l'hystérie. Des rumeurs folles circulent dans Paris affolé : certains hommes ont-ils vraiment piétiné des femmes pour sortir de la fournaise ? Tandis que Lazlo, devenu journaliste au Figaro, cherche à laver son honneur, nos héroïnes, rebelles dans l'âme vont travailler à libérer Constance de sa prison. Extrait blog d'Ariane Bois. Critique : La part des flammes est l'adaptation en bande dessinée du roman bestseller de Gaëlle Nohant qui s'inspire de l'incendie du Bazar de la Charité le 4 mai 1897. La plupart des victimes de ce dramatique événement sont des femmes qui n'ont pas pu être évacué à temps. Le scénariste Didier Quella-Guyot se charge du scénario pour cette adaptation en restant proche l'œuvre original. L'histoire se focalise sur plusieurs personnages principalement féminins pour mettre en évidence la condition des femmes au XIX siècle à Paris. Une des deux femmes souhaite se faire apprécier par les personnes de la haute société française suite au décès de son mari. La seconde femme refuse et annule son mariage pour se consacrer à dieu. Ces prises de décisions donneront lieu à des problématiques de l'époque. En parallèle, le personnage masculin qui se détache et un jeune journaliste qui dénonce sans détours les personnes intouchables. Les dessins de Wyllow conviennent pour ce genre de récit, dans un style très classique et sans grande finition. Les amateurs de récit historique et de drame seront comblés par ce titre et les lecteurs du roman souhaiteront peut-être redécouvrir l'histoire dans ce média. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-part-des-flammes?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. La disparition d'un proche est un moment tragique. Le vide qui suit est une épreuve dont certain ne se remettent jamais. Pour le héros de notre histoire, ce vide le ronge tellement qu'il a besoin de comprendre. Besoin de retracer les derniers instants de son frère. Et il nous invite à le suivre, sans fausse pudeur. Il nous présente son trouble, son sentiment de culpabilité et son envie de passer à autre chose sans se l'autoriser. Ce voyage est édifiant. Edifiant car on ne parle que peu de ce genre de drame. Les infos et les séries toujours plus violences banalise la mort et ne traite que peu de ceux qui restent. Ce one shit est super poignant et prenant. Tellement que l'on ne peut que regretter une fin un peu trop pudique justement. ON ne sait pas vraiment si notre narrateur réussi à tourner la page une fois au bout de son voyage. Et c'est un peu dommage car on ne peut s'empêcher de se demander si ce voyage à vraiment servit au final. Peut-être que l'auteur n'a lui-même pas la réponse. Mais pour le lecteur c'est un peu frustrant et gâche un peu un album pourtant super poignant.
  20. Titre de l'album : L'ombre qui marche à mes cotés Scenariste de l'album : Barroux Dessinateur de l'album : Barroux Coloriste : Barroux Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Pour beaucoup, voyager est bien souvent synonyme d'évasion. C'est une quête de dépaysement et surtout d'enrichissement personnel, une occasion unique de repousser ses limites, de s'autoriser de nouvelles expériences. Pour notre héros, il s'agit de tout ça, et de bien plus encore. Ce voyage sur les côtes brésiliennes est surtout une manière de marcher sur les traces de son frère aîné, disparu un an auparavant dans la petite ville portuaire de Belém, au Nord du pays. Un road trip riche de rencontres inattendues, de nombreux imprévus mais d'émotions fortes. Critique : La disparition d'un proche est un moment tragique. Le vide qui suit est une épreuve dont certain ne se remettent jamais. Pour le héros de notre histoire, ce vide le ronge tellement qu'il a besoin de comprendre. Besoin de retracer les derniers instants de son frère. Et il nous invite à le suivre, sans fausse pudeur. Il nous présente son trouble, son sentiment de culpabilité et son envie de passer à autre chose sans se l'autoriser. Ce voyage est édifiant. Edifiant car on ne parle que peu de ce genre de drame. Les infos et les séries toujours plus violences banalise la mort et ne traite que peu de ceux qui restent. Ce one shit est super poignant et prenant. Tellement que l'on ne peut que regretter une fin un peu trop pudique justement. ON ne sait pas vraiment si notre narrateur réussi à tourner la page une fois au bout de son voyage. Et c'est un peu dommage car on ne peut s'empêcher de se demander si ce voyage à vraiment servit au final. Peut-être que l'auteur n'a lui-même pas la réponse. Mais pour le lecteur c'est un peu frustrant et gâche un peu un album pourtant super poignant. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-ombre-qui-marche-a-mes-cotes?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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    Se jeter à l'eau

    Les romans graphiques écologiques sont très tendances actuellement, on découvre cette fois-ci Se jeter à l'eau. Le climat doit rester une priorité pour les générations futures et leur avenir. Avec se jeter à l'eau, la scénariste Gwénola Morizur nous propose de suivre une jeune femme passionnée par les baleines et le monde sous-marins. Son travail dans un aquarium ne lui suffit plus assez pour la combler. Progressivement, sa passion va devenir un engagement pour sauver les espèces menacées par la pêche et surtout les baleines. L'histoire va se centrer sur l’implication du personnage principale pour venir en aide aux baleines et permettre leur survivre. Les dessins d'Elléa Bird sont bien mais on pourrait reprocher son approche gentilé alors que le public visé ne sont pas les jeunes. Les amateurs de récits écologiques et de romances devrait trouver leur compte avec Se jeter à l’eau.
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    Se jeter à l'eau

    Titre de l'album : Se jeter à l'eau Scenariste de l'album : Gwénola Morizur Dessinateur de l'album : Elléa Bird Coloriste : Elléa Bird Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : Leïla vit une vie tranquille et lisse, un ronron quotidien dans lequel elle se sent un peu à l'étroit. Cette vie, qu'elle a l'impression d'avoir choisie, semble l'étouffer, sans qu'elle sache vraiment pourquoi. C'est une succession de signes qui l'amènent à prendre la route, partir en Bretagne sur les traces de sa vie, de ses envies et de son histoire pour se bâtir le futur qu'elle désire et le tourner vers le monde, la mer et les baleines. Critique : Les romans graphiques écologiques sont très tendances actuellement, on découvre cette fois-ci Se jeter à l'eau. Le climat doit rester une priorité pour les générations futures et leur avenir. Avec se jeter à l'eau, la scénariste Gwénola Morizur nous propose de suivre une jeune femme passionnée par les baleines et le monde sous-marins. Son travail dans un aquarium ne lui suffit plus assez pour la combler. Progressivement, sa passion va devenir un engagement pour sauver les espèces menacées par la pêche et surtout les baleines. L'histoire va se centrer sur l’implication du personnage principale pour venir en aide aux baleines et permettre leur survivre. Les dessins d'Elléa Bird sont bien mais on pourrait reprocher son approche gentilé alors que le public visé ne sont pas les jeunes. Les amateurs de récits écologiques et de romances devrait trouver leur compte avec Se jeter à l’eau. Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/se-jeter-a-l-eau?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Ce tome 2 est... un tome 2. Cela peut paraitre idiot comme introduction mais c'est ce qui le caractérise le plus. En effet on retrouve les personnages que l'on a découvert dans le tome 1, on poursuit leur aventure sans pour autant pouvoir imaginer la fin. Si le niveau graphique reste très sympa avec un "bestiaire" de robot toujours plus original, le scénario est un poil plus cliché dans ce tome 2. Le tome un nous montrait un univers vraiment nouveau avec une découverte de l'univers des robots et des relations entre robot et humains. Ce tome ci est bien plus classique. L'humaine qui veut aider les robots, qui pousse à la révolte tout ça tout ça.... On est dans le classique de chez classique du peuple exploité qui lutte contre un peuple exploitant rempli de méchant sauf Elle. Donc sympa mais déjà vu. Heureusement la fin est tout autre avec une revalions vraiment intéressante pour le devenir de notre couple pas comme les autres.
  24. Titre de l'album : Love love love t2 : Bang bang Shoot Shoot Scenariste de l'album : Kid Toussaint Dessinateur de l'album : Andrés Garrido Coloriste : Andrés Garrido Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Elle et Karel poursuivent leur relation amoureuse, dans une société où les robots revendiquent la liberté auprès de maîtres les ayant condamnés à l'obsolescence programmée. Dans ces conditions, difficile pour l'humaine et le mécha de se laisser aller à la légèreté ! D'autant que Karel, qui a empêché son coloc Andy de faire sauter les verrous d'agressivité des robots, se trouve maintenant visé par ses propres pairs. Problèmes supplémentaires : le plasticage de son appartement, sa date d'obsolescence qui approche furieusement, mais aussi les sombres agissements d'un tueur en série dont on ignore toujours l'identité... En se cherchant une vie meilleure, le jeune couple n'est-il pas en train de se précipiter vers le chaos ? Kid Toussaint et Andres Garrido poursuivent leur très prenante saga young adult. Entre société de caste, injustices, violences policières et statut de l'IA, c'est de notre société qu'ils parlent, sur fond d'une très inattendue histoire d'amour... Critique : Ce tome 2 est... un tome 2. Cela peut paraitre idiot comme introduction mais c'est ce qui le caractérise le plus. En effet on retrouve les personnages que l'on a découvert dans le tome 1, on poursuit leur aventure sans pour autant pouvoir imaginer la fin. Si le niveau graphique reste très sympa avec un "bestiaire" de robot toujours plus original, le scénario est un poil plus cliché dans ce tome 2. Le tome un nous montrait un univers vraiment nouveau avec une découverte de l'univers des robots et des relations entre robot et humains. Ce tome ci est bien plus classique. L'humaine qui veut aider les robots, qui pousse à la révolte tout ça tout ça.... On est dans le classique de chez classique du peuple exploité qui lutte contre un peuple exploitant rempli de méchant sauf Elle. Donc sympa mais déjà vu. Heureusement la fin est tout autre avec une revalions vraiment intéressante pour le devenir de notre couple pas comme les autres. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/love-love-love-tome-2-bang-bang-shoot-shoot?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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    Futur antérieur

    En très grand amateur des bande dessinées de Sergio Toppi, c'est avec plaisir que je découvre que l'auteur avait réalisé des histoires de science-fiction. J'ai toujours lu des histoires de l'auteur qui nous faisant voyager à travers le monde avec des mythes et légendes ou bien des histoires passées mais jamais de récits futuristes. Avec Futur antérieur, l'auteur nous livre dans ce recueil neuf récits courts avec toute sa maitrise et son génie pour mettre en image son imaginaire. Dans cet album, les héros vont côtoyer les extraterrestres, des lézards ou des dinosaures dans des histoires toujours surprenantes. Les planches de Sergio Toppi sont en noir et blanc et fourmillent de détails. On ne lit pas une bande dessinée classique dans sa construction avec cet auteur. En effet, Toppi déstructure les cases et les personnages se mélanges dans une bonne harmonie dont il avait le secret. C'est donc quelque 120 magnifiques planches de bande dessinée qui vous attendent et les éditions Mosquitos font un travail fantastique pour nous présenter toutes les œuvres de Sergio Toppi depuis de nombreuses années dans des recueils de qualité. Je vous conseille de lire la préface après avoir terminé l’album car trop d’information sont présentes sur les histoires de futur antérieur.
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