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  1. Titre de l'album : Hellboy & B.P.R.D. tome 7 - Le retour d'Effie Kolb Scenariste de l'album : Mike Mignola Dessinateur de l'album : Adam Hughes, Matt Smith, Zach Howard & Tiernen Trevallion Coloriste : Dave Stewart Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Hellboy est de retour aux côtés des membres du BPRD pour affronter des fantômes et des démons. Pour cela, il nous entraîne des Appalaches à la Russie, en passant par la France et le sud des États-unis. Critique : Mike Mignloa s'entoure une fois de plus de dessinateurs réputés dans le monde des comics pour mettre en image cinq de ses histoire courtes. Les fidèles de la créature de l'enfer seront heureux de retrouver la suite de l'homme tordu paru dans le tome 11 de la série principale Hellboy. Le dessinateur Zach Howard succède à Richard Corben avec beaucoup de maitrise. Son style convient bien au récit avec beaucoup d'encrage et d'ombre. Le récit L'heure de sa mort fait suite également à une autre histoire d'Helloy & B.P.R.D. intitulée La Bête de Vargu. Tiernen Trevallion se charge avec brio de la partie graphique. Il est amusant de lire des suites de récits courts pour donner encore plus de profondeur à l'univers d'Hellboy et Mignola maitrise très bien cette technique. Ce recueil de récits courts se termine sur des recherches graphiques des autres dessinateurs mais aussi des couvertures de Mignloa et explications des auteurs. Le retour d'Effie Kolb est un excellent moment de lecture avec qui rappelle les premiers tomes de la série. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/hellboy-et-bprd-tome-7-le-retour-d-effie-kolb/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. poseidon2

    JSA chronicles tome 1 - 1999

    Jsa Chronicles c'est un super gros recueil retraçant le relaunch de la JSA par James Robinson en 1999. Un relaunch en forme de pari pour ses auteurs. En effet, cette équipe de la Société de Justice était une vieille équipe des premiers super héros des années 40-50 porté par les premières icônes avec les premiers Flash, le premier Green Lantern et autre héros oubliés depuis un moment. Ce qui a rendu ce "relaunch" payant, c'est le choix osé, mais important, de remettre cette histoire dans son contexte historique et de ne pas déplacer ces héros à l'époque d'écriture. Cela rend les histoires intemporelles, mais surtout cela permet de réécrire des aventures sur ces héros, mais avec un point de vue moins biaisé qu'à l'époque des premières aventures. En effet ces héros étaient avant tout des héros de propagande, présentés dans un cadre de guerre / guerre froide impliquant des récits complètement orientés. Ceux qui nous sont livrés ici sont bien plus intéressants, avec des héros se posant beaucoup plus de questions que leurs ancêtres. Intéressants sont aussi les commentaires du scénariste qui nous aident à bien comprendre comment il a convaincu l'équipe éditoriale de relancer cette série, mais aussi des changements qu'il a introduits dans les différents héros.
  3. Titre de l'album : JSA chronicles tome 1 - 1999 Scenariste de l'album : Collectif Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : À la veille de la réincarnation sur Terre de l'avatar de Nabu, Wesley Dodds, Sandman historique, perd la vie contre Mordru, sombre sorcier cherchant à assassiner les élus susceptibles d'accueillir l'esprit du Seigneur de l'Ordre. Face à cette nouvelle épreuve, Black Canary, Starman ou encore Hourman se joignent aux vétérans Alan Scott et Jay Garrick pour former la nouvelle incarnation de la Société de Justice. Hormis Mordru, la nouvelle équipe trouvera sur son chemin l'implacable Black Adam, le culte terroriste Kobra, et le manipulateur de réalité Extant. L'occasion pour les membres de cette nouvelle JSA de se rappeler les liens quasi familiaux qui firent de l'équipe l'une des plus soudées de l'histoire des héros des années 1940. Contenu vo : ALL STAR COMICS #1-2, ADVENTURE COMICS #1, ALL-AMERICAN COMICS #1, NATIONAL COMICS #1, SENSATION COMICS #1, SMASH COMICS #1, STAR SPANGLED COMICS #1, THRILLING COMICS #1, JSA SECRET FILES & ORIGINS #1, JSA #1-5, ALL-STAR COMICS 80-PAGE GIANT #1, SECRET ORIGINS OF SUPER-VILLAINS 80-PAGE GIANT #1. Critique : Jsa Chronicles c'est un super gros recueil retraçant le relaunch de la JSA par James Robinson en 1999. Un relaunch en forme de pari pour ses auteurs. En effet, cette équipe de la Société de Justice était une vieille équipe des premiers super héros des années 40-50 porté par les premières icônes avec les premiers Flash, le premier Green Lantern et autre héros oubliés depuis un moment. Ce qui a rendu ce "relaunch" payant, c'est le choix osé, mais important, de remettre cette histoire dans son contexte historique et de ne pas déplacer ces héros à l'époque d'écriture. Cela rend les histoires intemporelles, mais surtout cela permet de réécrire des aventures sur ces héros, mais avec un point de vue moins biaisé qu'à l'époque des premières aventures. En effet ces héros étaient avant tout des héros de propagande, présentés dans un cadre de guerre / guerre froide impliquant des récits complètement orientés. Ceux qui nous sont livrés ici sont bien plus intéressants, avec des héros se posant beaucoup plus de questions que leurs ancêtres. Intéressants sont aussi les commentaires du scénariste qui nous aident à bien comprendre comment il a convaincu l'équipe éditoriale de relancer cette série, mais aussi des changements qu'il a introduits dans les différents héros. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/jsa-chronicles-1999?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. En ce jour du 4 mai "may the fourth" , il eut été impossible de ne pas mentionner l'univers incroyable de Georges Lucas créé il y a presque 50 ans . A cette occasion , les éditions Panini , fortes du succès des opérations précédentes à 6,99 euros , sortent 6 opus Star wars , autre grosse franchise de leur giron . Le tome un porte sur les débuts d'un des plus grands noms de cette épopée intergalactique : Luke Skywalker . Nous découvrons donc un échantillon de l'oeuvre sortie en 2018 en France de Jason Aaron et John Cassaday . Deux grands noms des comics qui ont oeuvré chez Marvel avec une franche réussite . Le scénariste débute son aventure juste après le film épisode IV et la destruction de l'étoile noire . On y suit la troupe bien connue des amateurs : Luke , Leia , Han Solo , Chewbaca et les deux droïdes ; dans leur perpétuelle chasse à l'empire . Mais un autre acteur est bel et bien présent , au souffle rauque , le bien-nommé Vador ! En utilisant le "lore" des films , Aaron distille un scénario malin et ancré qui ne dénature en rien la vision des films . On est clairement dans un complément , truffé de clins d'oeil pour les initiés , mais sans pour autant pénaliser les autres . La narration est fluide et passe en un éclair . Les dialogues résonnent en écho à ceux des acteurs , il en va de même pour la relation un brin conflictuelle entre Leia et Han à leurs débuts ! Mention spéciale pour les dessins de Cassaday qui conviennent à merveille avec un trait épuré , un brin numérique parfois , mais d'une modernité "science-fictionnelle" , permettant des planches très cinématographiques . Les couleurs lumineuses rendent les faisceaux et autres sabres laser d'un réalisme assez brillant . Les amateurs seront comblés , en sachant qu'il existe deux omnibus couvrant le run de Aaron , avec plus de 1200 pages à la clé , disponibles chez votre libraire 😉 . Des records de vente avaient été battus aux Etats-unis lors de cette sortie , on comprend aisément .
  5. Titre de l'album : L'équilibre dans la force tome 1 - Luke Skywalker Scenariste de l'album : Jason Aaron Dessinateur de l'album : John Cassaday Coloriste : Editeur de l'album : Panini Note : Résumé de l'album : Nous sommes au lendemain de la grande victoire de l'Alliance Rebelle sur l'Empire : Luke Skywalker a rallié les Rebelles et l'Étoile de la Mort a été détruite. Mais l'Empire est loin d'être vaincu ! Suivez Luke, Leia, Han Solo et les autres dans leurs efforts pour contrecarrer les forces maléfiques de l'Empereur et de Dark Vador. Deuxième nouvelle collection à petit prix dans la galaxie Star Wars ce mois-ci ! Après la collection anthologique centrée sur un protagoniste de la galaxie lointaine, nous vous proposons avec cette gamme, des récits dans le canon de l'histoire. Depuis 2015, Marvel publie des comics qui se déroulent dans le même univers que les films et les séries télévisées. La première saga présentée par Marvel était orchestrée par deux des auteurs les plus réputés de l'industrie des comics : Jason Aaron et John Cassaday. Le premier numéro a battu des records de vente aux U.S. avec plus d'un million d'exemplaires écoulés ! Critique : En ce jour du 4 mai "may the fourth" , il eut été impossible de ne pas mentionner l'univers incroyable de Georges Lucas créé il y a presque 50 ans . A cette occasion , les éditions Panini , fortes du succès des opérations précédentes à 6,99 euros , sortent 6 opus Star wars , autre grosse franchise de leur giron . Le tome un porte sur les débuts d'un des plus grands noms de cette épopée intergalactique : Luke Skywalker . Nous découvrons donc un échantillon de l'oeuvre sortie en 2018 en France de Jason Aaron et John Cassaday . Deux grands noms des comics qui ont oeuvré chez Marvel avec une franche réussite . Le scénariste débute son aventure juste après le film épisode IV et la destruction de l'étoile noire . On y suit la troupe bien connue des amateurs : Luke , Leia , Han Solo , Chewbaca et les deux droïdes ; dans leur perpétuelle chasse à l'empire . Mais un autre acteur est bel et bien présent , au souffle rauque , le bien-nommé Vador ! En utilisant le "lore" des films , Aaron distille un scénario malin et ancré qui ne dénature en rien la vision des films . On est clairement dans un complément , truffé de clins d'oeil pour les initiés , mais sans pour autant pénaliser les autres . La narration est fluide et passe en un éclair . Les dialogues résonnent en écho à ceux des acteurs , il en va de même pour la relation un brin conflictuelle entre Leia et Han à leurs débuts ! Mention spéciale pour les dessins de Cassaday qui conviennent à merveille avec un trait épuré , un brin numérique parfois , mais d'une modernité "science-fictionnelle" , permettant des planches très cinématographiques . Les couleurs lumineuses rendent les faisceaux et autres sabres laser d'un réalisme assez brillant . Les amateurs seront comblés , en sachant qu'il existe deux omnibus couvrant le run de Aaron , avec plus de 1200 pages à la clé , disponibles chez votre libraire 😉 . Des records de vente avaient été battus aux Etats-unis lors de cette sortie , on comprend aisément . Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/star-wars-l-equilibre-dans-la-force-tome-1-luke/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. jusqu’à
    Aujourd'hui sort la nouvelle collection petit prix des éditions Panini qui est consacrée à STAR WARS : L'EQUILIBRE DANS LA FORCE Elle est composée de 6 titres mettant en avant des personnages emblématiques de la saga dans des histoires indépendantes. Comme pour la collection héroïnes de Marvel, l'objectif est de permettre d'acquérir des comics à moindre prix mais aussi aux néophytes de mettre en pied dans l'univers Star Wars comics facilement avec des histoires complètes. Une version collector dans un coffret avec 6 ex-libris exclusifs est également disponible La date de sortie de la collection n'est pas anodine, les fans le savent ; les deux premières trilogies sont toutes sorties en mai ! Et c'est aussi les 40 ans du Retour du Jedi ! D'ailleurs pour les fans, renseignez-vous, à l'occasion des Star Wars days, il existe de nombreux événements auxquels vous pouvez participer Pour fêter la sortie de cette nouvelle collection, Panini a organisé une exposition éphémère à la French paper Gallery à Paris Elle sera également visible à l'open de Sabre Laser les 26 et 27 mai au stade Charlety à Paris Et pour ceux qui se poseraient des questions : Deux tomes sont consacrés à Dark Vador car il reste le personnage le plus vendeur de la saga ! La collection publiée chez carrefour ne concurrence pas cette collection, cette dernière est vouée à rester dans le temps Merci aux éditions Panini pour cette soirée consacrée à la collection !
  7. Deuxième tome du mythe de l'ossuaire (car je le répète, il vaut mieux commencer par le passage) avec un tome résolument différent, avec une histoire un peu plus guidée, mais peut-être plus angoissante. Cette histoire monte en tension encore plus que le passage. L'histoire de Trish et Jackie nous est compté en mettant deux époques en parallèle : leur rencontre et la recherche de Trish disparues dans d'étrange condition. Jeff Lemire réussi à nous maintenir un suspens sur qui (ou quoi ?) est responsable de la disparition ? Un vrai thriller horrifique comme on peut les aimer, et ce toujours superbement illustré par Sorrentino !
  8. Titre de l'album : Le mythe de l'ossuaire - Des milliers de plumes noires Scenariste de l'album : Jeff Lemire Dessinateur de l'album : Andrea Sorrentino Coloriste : Andrea Sorrentino Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Trish et Jackie sont deux meilleures amies qui partagent la même passion pour le jeux de rôle et la fantasy. Mais lorsque la frontière entre la réalité et leur monde imaginaire est brouillée par une entité maléfique, peuvent-elles rester les héroïnes de leur propre histoire ? Contenu vo : The Bone Orchard Mythos: Ten Thousand Black Feathers #1-5. Critique : Deuxième tome du mythe de l'ossuaire (car je le répète, il vaut mieux commencer par le passage) avec un tome résolument différent, avec une histoire un peu plus guidée, mais peut-être plus angoissante. Cette histoire monte en tension encore plus que le passage. L'histoire de Trish et Jackie nous est compté en mettant deux époques en parallèle : leur rencontre et la recherche de Trish disparues dans d'étrange condition. Jeff Lemire réussi à nous maintenir un suspens sur qui (ou quoi ?) est responsable de la disparition ? Un vrai thriller horrifique comme on peut les aimer, et ce toujours superbement illustré par Sorrentino ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-mythe-de-l-ossuaire-des-milliers-de-plumes-noires/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Kevin Nivek

    L'homme qui venait d'ailleurs

    Je dois bien avouer ne pas avoir vu , ni connaître ce film devenu culte ,avec David Bowie tenant le rôle principal , en 1976 . Je n'étais pas né , mais est-ce une excuse , tant cette histoire semble intemporelle , et même avant-gardiste ? On pense à un autre chef d'oeuvre de SF sorti à l'époque et animé d'un esprit similaire : Soleil vert . J'ai donc plongé dans cette histoire de fiction pas comme les autres avec curiosité . D'emblée , on assiste au crash (atterrissage) de notre "alien" aux yeux vairons . Pas d'aéronef ou autre ovni , on reste dans le subjectif . L'humanoïde ne perd pas de temps et débute immédiatement sa quête : trouver et ramener de l'eau pour sa planète . Sauf que , pour arriver à ses fins , il faut de l'argent ! Il va ainsi profiter de son avancée technologique supérieure et lancer des brevets innovants sur le marché mondial . La cupidité de l'homme va resurgir et influencer l'extra-terrestre jusque dans ses profonds retranchements ... Ajoutez à cela que sa famille lui manque ! Vous l'aurez compris ,on est pas dans de la SF pure et dure , il s'agit ici du parcours d'un self made "man" , son ascension et sa chute dans les méandres de l'humanité et ses vices . Le dessin ultra-réaliste de Dev Pramanik convient à merveille au sujet . Ses couleurs chaudes surgissent des pages et il réalise cependant des ombrages puissants , comme pour mieux souligner la noirceur du sujet . Les regards des protagonistes sont intenses ,autant que les échanges verbaux , et bien entendu , le "héros" possède les traits de feu David Bowie 😉 Une lecture intense , portée par un sujet contemporain , qui viendra garnir les étagères des fans du film et autres amateurs de SF "réelle" .
  10. Titre de l'album : L'homme qui venait d'ailleurs Scenariste de l'album : Dan Watters , Walter Tevis Dessinateur de l'album : Dev Pramanik Coloriste : Dev Pramanik Editeur de l'album : Philéas Note : Résumé de l'album : Envoyé sur la Terre pour en rapatrier l'eau qui peut sauver sa planète, un extraterrestre va utiliser son savoir et sa technologie pour arriver à ses fins. Parvenu au sommet de la réussite et séduit par la vie terrienne, il oublie le but de sa mission... L'adaptation du film culte de Nicholas Roeg avec David Bowie d'après le roman de Walter Tevis. L'adaptation en roman graphique du film culte de 1976 avec David Bowie et réalisé par Nicholas Roeg ! Basé sur le roman de Walter Tevis, ce récit de science-fiction voit l'extraterrestre Thomas Jerome Newton atterrir sur Terre à la recherche d'eau pour sauver sa planète mourante et toute sa population. Grâce à ses connaissances scientifiques avancées, Thomas devient incroyablement riche et utilise sa richesse pour chercher un moyen de transporter l'eau vers sa planète natale. Mais alors que sa mission sur Terre s'éternise, Thomas est séduit par les excès de notre monde sans se douter qu'il est devenu une cible d'intérêt pour le gouvernement américain ainsi que pour une sinistre société privée désireuse de l'exploiter... Critique : Je dois bien avouer ne pas avoir vu , ni connaître ce film devenu culte ,avec David Bowie tenant le rôle principal , en 1976 . Je n'étais pas né , mais est-ce une excuse , tant cette histoire semble intemporelle , et même avant-gardiste ? On pense à un autre chef d'oeuvre de SF sorti à l'époque et animé d'un esprit similaire : Soleil vert . J'ai donc plongé dans cette histoire de fiction pas comme les autres avec curiosité . D'emblée , on assiste au crash (atterrissage) de notre "alien" aux yeux vairons . Pas d'aéronef ou autre ovni , on reste dans le subjectif . L'humanoïde ne perd pas de temps et débute immédiatement sa quête : trouver et ramener de l'eau pour sa planète . Sauf que , pour arriver à ses fins , il faut de l'argent ! Il va ainsi profiter de son avancée technologique supérieure et lancer des brevets innovants sur le marché mondial . La cupidité de l'homme va resurgir et influencer l'extra-terrestre jusque dans ses profonds retranchements ... Ajoutez à cela que sa famille lui manque ! Vous l'aurez compris ,on est pas dans de la SF pure et dure , il s'agit ici du parcours d'un self made "man" , son ascension et sa chute dans les méandres de l'humanité et ses vices . Le dessin ultra-réaliste de Dev Pramanik convient à merveille au sujet . Ses couleurs chaudes surgissent des pages et il réalise cependant des ombrages puissants , comme pour mieux souligner la noirceur du sujet . Les regards des protagonistes sont intenses ,autant que les échanges verbaux , et bien entendu , le "héros" possède les traits de feu David Bowie 😉 Une lecture intense , portée par un sujet contemporain , qui viendra garnir les étagères des fans du film et autres amateurs de SF "réelle" . Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-homme-qui-venait-d-ailleurs/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. J'avais émis des doutes lors de la lecture du premier tome de cette "Soif légitime de vengeance" en trouvant que l'on avait pas assez d'information dans ce tome 1 pour se permettre de juger autre chose que le dessin. Et bien ce tome deux vient conforter cet avis : le tome 1 ne se lit pas tout seul. C'est une grosse première scène d'action pour une histoire qui prend tout son sens en lisant le t2. Il vaut mieux considérer cette histoire comme un gros one shot. Comme ca, on se retrouve avec un super polar prenant et tellement réaliste qu'on ne peut s'empêcher de soutenir cette vengeance, malgré tout ce que Marvel et les bonnes mœurs nous disent. C'est ca qui est marquant sur l'ensemble de cette histoire : Oui ,c'est bien fait pour sa gueu** ! C'est cette réaction épidermique que l'on a, à la fin du récit, qui montre à quel point ce polar est réussi. Mais aussi à quel point il est dur et sans piter. Un super polar à lire d'une traite !
  12. Titre de l'album : Une soif légitime de vengeance t2 (fin) Scenariste de l'album : Rick Remender Dessinateur de l'album : André Araújo Coloriste : André Araújo Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Accompagné du jeune Xavier, qu'il se fait un devoir de protéger, Sonny a vu sa vie basculer dans une spirale de violence infernale. Fuyant une nuée de tueurs potentiels, il n'a d'autre choix que d'accorder sa confiance à des personnes douteuses. Mais quel espoir un homme ordinaire peut-il bien nourrir face à une horde d'ennemis aussi riches que puissants, et prêts à tout pour parvenir à leurs fins ? Critique : J'avais émis des doutes lors de la lecture du premier tome de cette "Soif légitime de vengeance" en trouvant que l'on avait pas assez d'information dans ce tome 1 pour se permettre de juger autre chose que le dessin. Et bien ce tome deux vient conforter cet avis : le tome 1 ne se lit pas tout seul. C'est une grosse première scène d'action pour une histoire qui prend tout son sens en lisant le t2. Il vaut mieux considérer cette histoire comme un gros one shot. Comme ca, on se retrouve avec un super polar prenant et tellement réaliste qu'on ne peut s'empêcher de soutenir cette vengeance, malgré tout ce que Marvel et les bonnes mœurs nous disent. C'est ca qui est marquant sur l'ensemble de cette histoire : Oui ,c'est bien fait pour sa gueu** ! C'est cette réaction épidermique que l'on a, à la fin du récit, qui montre à quel point ce polar est réussi. Mais aussi à quel point il est dur et sans piter. Un super polar à lire d'une traite ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/une-soif-legitime-de-vengeance-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Deuxième tome de One Bad day centrant chaque numéro sur un adversaire de Batman. Ce coup-ci on s'intéresse à Double face. Mis à part le tarif qui reste toujours cher de mon point de vue pour 70 pages, je trouve que cette histoire-ci est très moyenne. Le suspens tourne très court par l'évidence du scenario. Une fois la présentation de Harvey Dent passée, si jamais certain ignoraient le passé du personnage, on a donc une aventure des plus simple et sans surprise. Ce qui est vraiment bizarre, c'est que le prix aurait tendance à aiguiller vers un album pour fan uniquement alors que le contenu semble plus dédié à des non-connaisseurs. Bref un album cher sans Tom king aux commandes.
  14. Titre de l'album : Batman - One bad day : double face Scenariste de l'album : Mariko Tamaki Dessinateur de l'album : Javier Fernandez Coloriste : Javier Fernandez Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Si Harvey Dent n'avait pas été défiguré à l'acide, peut-être aurait-il pu continuer à oeuvrer du côté de la loi en tant que procureur. Peut-être serait-il resté l'allié de Batman, aux côtés de Jim Gordon... Quoi qu'il en soit, Harvey Dent est aujourd'hui libre, apparemment débarrassé de sa double-personnalité criminelle. Mais lorsque son père de 88 ans est menacé, l'ancien monstre de foire menace de réapparaître. Tout se jouera à pile ou face. Critique : Deuxième tome de One Bad day centrant chaque numéro sur un adversaire de Batman. Ce coup-ci on s'intéresse à Double face. Mis à part le tarif qui reste toujours cher de mon point de vue pour 70 pages, je trouve que cette histoire-ci est très moyenne. Le suspens tourne très court par l'évidence du scenario. Une fois la présentation de Harvey Dent passée, si jamais certain ignoraient le passé du personnage, on a donc une aventure des plus simple et sans surprise. Ce qui est vraiment bizarre, c'est que le prix aurait tendance à aiguiller vers un album pour fan uniquement alors que le contenu semble plus dédié à des non-connaisseurs. Bref un album cher sans Tom king aux commandes. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batman-one-bad-day-double-face?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Titre de l'album : Public Domain t1 Scenariste de l'album : Chip Zdarsky Dessinateur de l'album : Chip Zdarsky Coloriste : Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Syd Dallas est un auteur de comics légendaire, responsable du plus grand héros de la culture pop : THE DOMAIN ! Mais ses fils Miles et David ont une relation compliquée aussi bien avec le créateur qu'avec sa création. Pourront-ils convaincre leur père de se battre pour l'héritage de leur famille, dans un système qui veut s'accaparer leur création et ne leur laisser que les miettes ? Critique : Encore un excellent premier tome à 10 euro chez Urban. Un tome qui change des parutions de comics actuel avec une histoire contemporaine sur... l'édition de comics et les ayants droits de royalties des oeuvres. C'est une question épineuse dans l'univers du comic. En effet chaque héros à un créateur qui touche l'ensemble des royalties mais ce n'est pas pour autant qu'il n'y a aucun assistant ou co createur. Savoir ce qui revient à qui est vraiment compliqué mais provoque des écarts impressionnants entre les différentes personnes prenant part à la production. Ce premier tome réussit à méler habilement une histoire de droits d'auteur à une histoire de famille. Famille dont la "celébrité" non-remuneré du père est autant un motif de fierté qu'un motif de fracture. Bien dessiné, bien rythmé et, mine de rien, avec un vrai suspens et des belles surprises, ce premier tome est une excellente parution avec un Chip Zdarsky tout en maitrise. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/public-domain-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. poseidon2

    Public Domain t1

    Encore un excellent premier tome à 10 euro chez Urban. Un tome qui change des parutions de comics actuel avec une histoire contemporaine sur... l'édition de comics et les ayants droits de royalties des oeuvres. C'est une question épineuse dans l'univers du comic. En effet chaque héros à un créateur qui touche l'ensemble des royalties mais ce n'est pas pour autant qu'il n'y a aucun assistant ou co createur. Savoir ce qui revient à qui est vraiment compliqué mais provoque des écarts impressionnants entre les différentes personnes prenant part à la production. Ce premier tome réussit à méler habilement une histoire de droits d'auteur à une histoire de famille. Famille dont la "celébrité" non-remuneré du père est autant un motif de fierté qu'un motif de fracture. Bien dessiné, bien rythmé et, mine de rien, avec un vrai suspens et des belles surprises, ce premier tome est une excellente parution avec un Chip Zdarsky tout en maitrise.
  17. poseidon2

    Little monster t1

    Nouvelle collaboration de Jeff Lemire et Dustin NGuyen. Apres Descender et Ascender, ils nous reviennent avec une histoire qui n'a absolu rien à voir....même si des enfants sont les personnages principaux. Ici on parle... de Vampire. Oui oui de vampire. Enfin d'enfants vampire que l'on a laissé dans une ville leur interdisant de sortir et surtout leur interdisant de boire du sang humain.... Vous vous doutez bien que l'histoire commence quand l'un des enfants craque. Jeff Lemire manie très bien son histoire. Le mix entre contexte post apocalyptique et code respecté du vampirisme (soleil tout ça tout ça) n'était pas forcément évident à réussir, mais l'histoire prend bien. On est toujours dans l'introduction, mais pour 10 euros j'aurais tendance à dire que le risque de déception est faible.
  18. Titre de l'album : Little monster t1 Scenariste de l'album : Jeff Lemire Dessinateur de l'album : Dustin Nguyen Coloriste : Dustin Nguyen Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Ils sont les derniers « enfants » en vie de notre planète... Ou, devrions-nous dire, les derniers jeunes vampires. D'aussi loin qu'ils s'en souviennent, ils ont vécu une vie d'éternel émerveillement parmi les ruines de l'humanité. Mais des événements d'une brutalité sans précédent viennent bientôt fracturer le groupe, les mettant sur la voie d'une découverte qui brisera leur innocence à jamais. Critique : Nouvelle collaboration de Jeff Lemire et Dustin NGuyen. Apres Descender et Ascender, ils nous reviennent avec une histoire qui n'a absolu rien à voir....même si des enfants sont les personnages principaux. Ici on parle... de Vampire. Oui oui de vampire. Enfin d'enfants vampire que l'on a laissé dans une ville leur interdisant de sortir et surtout leur interdisant de boire du sang humain.... Vous vous doutez bien que l'histoire commence quand l'un des enfants craque. Jeff Lemire manie très bien son histoire. Le mix entre contexte post apocalyptique et code respecté du vampirisme (soleil tout ça tout ça) n'était pas forcément évident à réussir, mais l'histoire prend bien. On est toujours dans l'introduction, mais pour 10 euros j'aurais tendance à dire que le risque de déception est faible. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/little-monsters-tome-1-248118?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. alx23

    Les sept lames

    Alors que les trois mousquetaires est au cinéma, les éditions Black river nous proposent les sept lames un one shot autour D’Artagnan. Le scénariste Evan Daugherty a travaillé dans le monde du cinéma avant de se lancer dans le monde des comics avec les sept lames. Comme pour la League des gentleman extraordinaires, ce comics regroupe différents protagonistes de la littérature française et étrangères pour utiliser les compétences de chaque héros afin de combattre une plus grande menace surnaturelle. Parmi les sept épéistes, on retrouve D’Artagnan, Don Juan, Cyrano de Bergerac et quatre autres moins connus. La partie graphique de Federico Dallocchio et Ricardo Latina est remarquable, les deux auteurs font des merveilles dans un style réaliste. L’album se termine avec des illustrations, recherche graphique des personnages et illustrations alternatives. Les sept lames est un one shot facile à lire avec beaucoup d’action pour un bon divertissement sans prise de tête et la partie fantastique fonctionne bien sur ce genre. Avec plusieurs héros dans un même groupe, il est toujours difficile de donner de l’importance à toutes les personnes surtout sur cinq chapitres.
  20. alx23

    Les sept lames

    Titre de l'album : Les sept lames Scenariste de l'album : Evan Daugherty Dessinateur de l'album : Federico Dallocchio & Ricardo Latina Coloriste : Valentina Bianconi Editeur de l'album : Black River Note : Résumé de l'album : D'Artagnan est entraîné dans un conflit avec le cardinal de Richelieu, dont la quête impitoyable du pouvoir l'a conduit vers le surnaturel. Pour sauver le monde, d'Artagnan devra s'allier à sept héros de cape et d'épée emblématiques tels que Don Juan ou Cyrano de Bergerac. Les SEPT LAMES devront surmonter une foule de différences et travailler ensemble pour déjouer les plans diaboliques de Richelieu. Critique : Alors que les trois mousquetaires est au cinéma, les éditions Black river nous proposent les sept lames un one shot autour D’Artagnan. Le scénariste Evan Daugherty a travaillé dans le monde du cinéma avant de se lancer dans le monde des comics avec les sept lames. Comme pour la League des gentleman extraordinaires, ce comics regroupe différents protagonistes de la littérature française et étrangères pour utiliser les compétences de chaque héros afin de combattre une plus grande menace surnaturelle. Parmi les sept épéistes, on retrouve D’Artagnan, Don Juan, Cyrano de Bergerac et quatre autres moins connus. La partie graphique de Federico Dallocchio et Ricardo Latina est remarquable, les deux auteurs font des merveilles dans un style réaliste. L’album se termine avec des illustrations, recherche graphique des personnages et illustrations alternatives. Les sept lames est un one shot facile à lire avec beaucoup d’action pour un bon divertissement sans prise de tête et la partie fantastique fonctionne bien sur ce genre. Avec plusieurs héros dans un même groupe, il est toujours difficile de donner de l’importance à toutes les personnes surtout sur cinq chapitres. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-sept-lames?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Six mois après avoir découvert A walk through hell de Garth Ennis et Goran Sudzuka, les éditions Black river nous proposent Marjorie Finnegan des deux mêmes auteurs. Garth Ennis en pleine forme avec ce one shot nous embarque dans un récit de science-fiction avec beaucoup d'action et d'humour déjanté. Bien évidement on retrouve les provocations d'Ennis qui sont devenus sa marque de fabrique au fur et à mesure de ses productions. Si vous appréciez cette caractéristique, vous passerez un très bon moment de lecture avec Marjorie Finnegan, cette voleuse peu délicate avec son ami docteur douze, un fusil à pompe. Les voyages dans le temps donnent un prétexte à l'auteur pour faire parcourir sa voleuse excentrique sans scrupule dans des époques clés de l'histoire du monde pour les parodier, comme une fusillade en pleine cérémonie funéraire d’un pharaon. L'auteur ajoute le diable à l'histoire qui n'est autre que l'ex de Marjorie, le seigneur du mal, une sœur shérif des affaires temporelles et une tête pour voyager dans le temps. Garth Ennis s'amuse du voyage dans le temps pour exploiter les incohérences. Les deux auteurs seront en France prochainement au le Paris Fan Festival et en dédicace à Angers. La lecture de Marjorie Finnefan permet de passer un bon moment entre humour et violence avec des voyages dans le temps.
  22. Titre de l'album : Marjorie Finnegan - Criminelle temporelle Scenariste de l'album : Garth Ennis Dessinateur de l'album : Goran Sudzuka Coloriste : Miroslav Mrva Editeur de l'album : Black River Note : Résumé de l'album : Marjorie se balade à travers les époques pour dérober tout ce qui lui fait envie et en profite pour faire tourner en bourrique le monde entier, en particulier sa soeur, chargée de la mettre sous les verrous. Tout ce que Marjorie veut faire, c'est parcourir le Temps et voler tous les objets précieux qu'elle peut. Mais son parcours de voleuse, du Big Bang au 95e Reich, ne passe pas inaperçu. Elle attire l'attention du marshall adjoint, un enquêteur acharné de la police temporelle mais aussi de son ex, un sale type. Ce dernier et son partenaire encore plus pourri ont l'intention d'utiliser sa technologie temporelle pour changer l'histoire à leur propre avantage. Le seul allié de Marjorie ? Un gars appelé Tim. Et c'est juste une tête... Critique : Six mois après avoir découvert A walk through hell de Garth Ennis et Goran Sudzuka, les éditions Black river nous proposent Marjorie Finnegan des deux mêmes auteurs. Garth Ennis en pleine forme avec ce one shot nous embarque dans un récit de science-fiction avec beaucoup d'action et d'humour déjanté. Bien évidement on retrouve les provocations d'Ennis qui sont devenus sa marque de fabrique au fur et à mesure de ses productions. Si vous appréciez cette caractéristique, vous passerez un très bon moment de lecture avec Marjorie Finnegan, cette voleuse peu délicate avec son ami docteur douze, un fusil à pompe. Les voyages dans le temps donnent un prétexte à l'auteur pour faire parcourir sa voleuse excentrique sans scrupule dans des époques clés de l'histoire du monde pour les parodier, comme une fusillade en pleine cérémonie funéraire d’un pharaon. L'auteur ajoute le diable à l'histoire qui n'est autre que l'ex de Marjorie, le seigneur du mal, une sœur shérif des affaires temporelles et une tête pour voyager dans le temps. Garth Ennis s'amuse du voyage dans le temps pour exploiter les incohérences. Les deux auteurs seront en France prochainement au le Paris Fan Festival et en dédicace à Angers. La lecture de Marjorie Finnefan permet de passer un bon moment entre humour et violence avec des voyages dans le temps. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/marjorie-finnegan-criminelle-temporelle/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. alx23

    Solo - Chemins tracés tome 2

    Après une attente plus longue que prévue, j'ai retrouvé avec plaisir l'univers postapocalyptique de Solo, dans la suite du spin-off, avec la chatte Fortuna. Óscar Martín maitrise très bien son histoire avec des thématiques souvent fortes et dramatiques dans ce monde dévasté où quelques animaux anthropomorphes sont dotés de la parole et vivent en marge des derniers humains. L’auteur nous dévoile des informations sur la mission que remplie Fortuna à la suite de ses parents en parcourant le monde pour le cartographier. D'autres entités sont présentées dans ce vaste plan mené par les chats avec une hiérarchie bien établie œuvrant sur un projet énorme. Alvaro Iglesias nous livre des planches magnifiques apportant sa touche personnelle avec un style différent des dessins de Martin. Les scènes d'action sont bien découpées avec un chat habile dans le maniement de sa hache pour combattre des mutants. Une voix-off accompagne souvent les héros lors de leur voyage dans les terres hostiles. Chemins tracés se démarque de la série principale en se basant sur des chats pour héros. L'histoire gagne en profondeur dans cette suite avec la quête des chats parcourant le monde. Si vous avez aimé Solo vous adorerez Chemins tracés.
  24. Titre de l'album : Solo - Chemins tracés tome 2 Scenariste de l'album : Óscar Martín Dessinateur de l'album : Alvaro Iglesias Coloriste : Alvaro Iglesias Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Fortuna connaît désormais la quête qui lui incombe. Repartie à la découverte du monde avec sa fille, elle continue à consigner ses aventures dans le livre des chemins. Alors que de grands dangers la menacent, le mystérieux Siro fait son apparition. L'héroïne doit-elle faire confiance à ce combattant qui semble la connaître et la suivre depuis longtemps ? Critique : Après une attente plus longue que prévue, j'ai retrouvé avec plaisir l'univers postapocalyptique de Solo, dans la suite du spin-off, avec la chatte Fortuna. Óscar Martín maitrise très bien son histoire avec des thématiques souvent fortes et dramatiques dans ce monde dévasté où quelques animaux anthropomorphes sont dotés de la parole et vivent en marge des derniers humains. L’auteur nous dévoile des informations sur la mission que remplie Fortuna à la suite de ses parents en parcourant le monde pour le cartographier. D'autres entités sont présentées dans ce vaste plan mené par les chats avec une hiérarchie bien établie œuvrant sur un projet énorme. Alvaro Iglesias nous livre des planches magnifiques apportant sa touche personnelle avec un style différent des dessins de Martin. Les scènes d'action sont bien découpées avec un chat habile dans le maniement de sa hache pour combattre des mutants. Une voix-off accompagne souvent les héros lors de leur voyage dans les terres hostiles. Chemins tracés se démarque de la série principale en se basant sur des chats pour héros. L'histoire gagne en profondeur dans cette suite avec la quête des chats parcourant le monde. Si vous avez aimé Solo vous adorerez Chemins tracés. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/solo-chemins-traces-tome-2/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. poseidon2

    the nice house on the lake t2

    Bon on va commencer cette critique par un fait important qui a échappé à beaucoup, moi y compris : Ce tome deux n'est pas la fin de l'histoire. C'est la fin du premier cycle ! Ne vous attendez donc pas à une réponse à toutes vos questions, car vos attentes seraient réduites à néant. Ceci dit, cela n'empêche pas ce tome deux d'être excellent. Peut-être pas autant que le premier, la surprise ayant laissé place à l'attente, mais très bon quand même. Walter pensait pouvoir faire prendre un nouveau départ à ses amis et pensait pouvoir faire durer son utopie plus longtemps, mais la nature humaine n'est pas ainsi faite. Ce que James Tyrion IV fait à merveille dans ce tome deux, c'est manier le niveau de mensonge de son personnage principal. À l'heure actuelle, je n'ai aucune idée de ce qu'il faut croire de ce qui est sortie de la bouche de Walter, c'est dingue ! Mais si on croit en tout ce qu'il a dit.... on apprend beaucoup de chose dans ce tome 2 sur les extras terrestres, leurs volontés et comment Walter a transigé avec la règle… Ce flou autour des dires de Walter est tout bonnement remarquable ! il nous donne envie d'en savoir plus et d'en lire plus et l'on sent que quand on aura enfin les solutions, on voudra, à l'image d'un Fight Club, tout relire dans la foulée pour voir ce que l'on a raté. Mais pour cela il faudra attendre le deuxième cycle malheureusement. Enfin, je dis malheureusement par parce que j'aurais aimé que James Tyrion IV aille plus vite. Non juste parce que je donnerais cher pour avoir le T3 dans les mains 🙂
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