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  1. Troisième tome de cette collection à petits prix pour l'univers Star wars , avec en tête de proue : Obi-Wan et Anakin . On retrouve les jeunes héros durant la formation d'Anakin , répondants à un appel de détresse sur une planète hostile en proie à un conflit permanent entre deux factions , les réceptifs et les hermétiques . Au programme, des montagnes enneigées , un style empruntant les codes du steampunk pour les véhicules locaux , et un mystère : qui a envoyé ce message d'appel à l'aide en langue jedi ? Charles Soule , grand architecte sur plusieurs runs SW distille son scénario sur fond d'enquête policière et dévoile au fur et à mesure les informations permettant une narration fluide . Il parsème le récit de petits flashbacks sur Anakin et sa formation ,ses doutes , mais aussi sa relation naissante avec le sénateur Palpatine . Ces éléments du passé permettent de comprendre un peu mieux la relation entre le padawan et son maître choisi par Qui-Gon . Charles Soule est aidé du dessinateur Marco Checchetto , bien connu aussi de l'univers SW car il a réalisé des planches sur Les ruines de L'empire et Capitaine Phasma . Son trait académique et numérique convient bien à l'univers . Le découpage est dynamique et parvient à rendre grâce aux effets des sabres laser avec des effets lumineux et des couleurs assez vives . On reconnait aisément les personnages si l'on est coutumier des films de la prélogie . On y retrouve d'ailleurs de nombreux clins d'oeil et autres "easter eggs" au cours du récit , à travers les personnages rencontrés et autres races alien bien connues des fans . Un bon tome qui ravira les amateurs de la saga , voulant connaître les rapports unissant Anakin à son maître jedi .
  2. Titre de l'album : L'équilibre dans la force tome 3 - Obi Wan & Anakin Scenariste de l'album : Charles Soule Dessinateur de l'album : Marco Checchetto Coloriste : Editeur de l'album : Panini Note : Résumé de l'album : Le Maître Jedi Obi-Wan Kenobi a pris Anakin Skywalker comme Padawan, mais l'adolescent, influencé par Palpatine, doute de sa vocation. En mission sur une planète désolée, Obi-Wan et Anakin vont combattre côte à côte et apprendre à mieux se connaître. Critique : Troisième tome de cette collection à petits prix pour l'univers Star wars , avec en tête de proue : Obi-Wan et Anakin . On retrouve les jeunes héros durant la formation d'Anakin , répondants à un appel de détresse sur une planète hostile en proie à un conflit permanent entre deux factions , les réceptifs et les hermétiques . Au programme, des montagnes enneigées , un style empruntant les codes du steampunk pour les véhicules locaux , et un mystère : qui a envoyé ce message d'appel à l'aide en langue jedi ? Charles Soule , grand architecte sur plusieurs runs SW distille son scénario sur fond d'enquête policière et dévoile au fur et à mesure les informations permettant une narration fluide . Il parsème le récit de petits flashbacks sur Anakin et sa formation ,ses doutes , mais aussi sa relation naissante avec le sénateur Palpatine . Ces éléments du passé permettent de comprendre un peu mieux la relation entre le padawan et son maître choisi par Qui-Gon . Charles Soule est aidé du dessinateur Marco Checchetto , bien connu aussi de l'univers SW car il a réalisé des planches sur Les ruines de L'empire et Capitaine Phasma . Son trait académique et numérique convient bien à l'univers . Le découpage est dynamique et parvient à rendre grâce aux effets des sabres laser avec des effets lumineux et des couleurs assez vives . On reconnait aisément les personnages si l'on est coutumier des films de la prélogie . On y retrouve d'ailleurs de nombreux clins d'oeil et autres "easter eggs" au cours du récit , à travers les personnages rencontrés et autres races alien bien connues des fans . Un bon tome qui ravira les amateurs de la saga , voulant connaître les rapports unissant Anakin à son maître jedi . Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/obi-wan-anakin-equilibre-dans-la-force-tome-3/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. poseidon2

    the nice house on the lake t2

    Bon on va commencer cette critique par un fait important qui a échappé à beaucoup, moi y compris : Ce tome deux n'est pas la fin de l'histoire. C'est la fin du premier cycle ! Ne vous attendez donc pas à une réponse à toutes vos questions, car vos attentes seraient réduites à néant. Ceci dit, cela n'empêche pas ce tome deux d'être excellent. Peut-être pas autant que le premier, la surprise ayant laissé place à l'attente, mais très bon quand même. Walter pensait pouvoir faire prendre un nouveau départ à ses amis et pensait pouvoir faire durer son utopie plus longtemps, mais la nature humaine n'est pas ainsi faite. Ce que James Tyrion IV fait à merveille dans ce tome deux, c'est manier le niveau de mensonge de son personnage principal. À l'heure actuelle, je n'ai aucune idée de ce qu'il faut croire de ce qui est sortie de la bouche de Walter, c'est dingue ! Mais si on croit en tout ce qu'il a dit.... on apprend beaucoup de chose dans ce tome 2 sur les extras terrestres, leurs volontés et comment Walter a transigé avec la règle… Ce flou autour des dires de Walter est tout bonnement remarquable ! il nous donne envie d'en savoir plus et d'en lire plus et l'on sent que quand on aura enfin les solutions, on voudra, à l'image d'un Fight Club, tout relire dans la foulée pour voir ce que l'on a raté. Mais pour cela il faudra attendre le deuxième cycle malheureusement. Enfin, je dis malheureusement par parce que j'aurais aimé que James Tyrion IV aille plus vite. Non juste parce que je donnerais cher pour avoir le T3 dans les mains 🙂
  4. Titre de l'album : the nice house on the lake t2 Scenariste de l'album : James Tynion IV Dessinateur de l'album : Álvaro Martínez Coloriste : Álvaro Martínez Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Ils s'imaginaient passer un chouette week-end dans une somptueuse villa en bord de lac. Onze "élus", réunis par leur ami commun, Walter, à priori doux et sympathiques. Mais au terme de la première soirée, le scénario idyllique tourne au cauchemar éveillé lorsqu'ils assistent, impuissants, à la fin du monde... Depuis, chacun cherche à sa manière à déjouer les plans de leur ami-ravisseur, mais difficile de trouver un sens à l'impensable. Alliances, trahisons, pressions, crises existentielles... Pourront-ils seulement se libérer de leurs propres schémas, de leur prison intérieure ? Contenu vo : Contenu : #7-12. Critique : Bon on va commencer cette critique par un fait important qui a échappé à beaucoup, moi y compris : Ce tome deux n'est pas la fin de l'histoire. C'est la fin du premier cycle ! Ne vous attendez donc pas à une réponse à toutes vos questions, car vos attentes seraient réduites à néant. Ceci dit, cela n'empêche pas ce tome deux d'être excellent. Peut-être pas autant que le premier, la surprise ayant laissé place à l'attente, mais très bon quand même. Walter pensait pouvoir faire prendre un nouveau départ à ses amis et pensait pouvoir faire durer son utopie plus longtemps, mais la nature humaine n'est pas ainsi faite. Ce que James Tyrion IV fait à merveille dans ce tome deux, c'est manier le niveau de mensonge de son personnage principal. À l'heure actuelle, je n'ai aucune idée de ce qu'il faut croire de ce qui est sortie de la bouche de Walter, c'est dingue ! Mais si on croit en tout ce qu'il a dit.... on apprend beaucoup de chose dans ce tome 2 sur les extras terrestres, leurs volontés et comment Walter a transigé avec la règle… Ce flou autour des dires de Walter est tout bonnement remarquable ! il nous donne envie d'en savoir plus et d'en lire plus et l'on sent que quand on aura enfin les solutions, on voudra, à l'image d'un Fight Club, tout relire dans la foulée pour voir ce que l'on a raté. Mais pour cela il faudra attendre le deuxième cycle malheureusement. Enfin, je dis malheureusement par parce que j'aurais aimé que James Tyrion IV aille plus vite. Non juste parce que je donnerais cher pour avoir le T3 dans les mains 🙂 Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-nice-house-on-the-lake-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Après un second tome sur Double-face , il est vrai assez décevant , voici un nouveau One bad day sur le Pingouin , qui est bien supérieur à son prédécesseur . On débute par la vision d'un Oswald Cobblepot méconnaissable , assis sur un banc avec Gotham city le narguant au loin . Une barbe de 3 jours , une tenue vestimentaire délabrée , plus un sou en poche , il se rapproche plus d'un clochard que du roi de la pègre qu'il a été . Au fil des pages ,on apprend qu'un dénommé Umbrella Man (son ancien homme de main) lui a spolié son empire et règne d'une main de fer sur la délinquance locale . Tel Napoléon remontant la France en gagnant de nouveaux partisans , il va petit à petit effectuer son retour en s'associant avec des petites frappes . Il va aussi découvrir pourquoi son empire s'est effondré , entre autres pour sa façon dédaigneuse d'évoluer avec ses pairs et autres "employés" . Il va ainsi effectuer un travail d'introspection personnelle , comme une psychanalyse, et se servir de cela pour changer , évoluer afin d'être un leader à nouveau respecté mais surtout , apprécié ! Mais on est à Gotham city , et un homme à la cape noire rôde dans l'ombre , va t'il laisser cette marche vers les sommets se concrétiser ?? Au delà d'un scénario judicieux et bien écrit , il est à noter le travail plus que sympathique du dessin à 4 mains des deux artistes . Un trait semi-réaliste , avec des couleurs ternes , vieillies , comme notre pingouin en fâcheuse posture . Un jeu de reflets lumineux , et des visages assez expressifs . Il se dénote un parfum de Killing joke en tournant ces pages , le trait se veut vraiment en digne héritier de l'oeuvre culte de Alan Moore . Un très bon opus que ce One bad day , épisode 3 . Le prochain du mois de juin sera centré sur Mr Freeze 🙂
  6. Titre de l'album : Batman - One bad day : Le pingouin Scenariste de l'album : John Ridley Dessinateur de l'album : Giuseppe Camuncoli , Can Smith Coloriste : Arif Prianto Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Autrefois, le Pingouin avait un empire. Alors au sommet de la pègre de Gotham, il avait institué des règles strictes, s'était imposé des limites. Mais pour certains, les limites sont faites pour être franchies. C'est en tout cas ainsi que résonnait Umbrella Man, avant de prendre à son maître tout ce qu'il avait et de répandre le chaos dans la ville. Cobblepot est aujourd'hui un homme brisé, frayant à travers les rues poisseuses de Gotham, un revolver à la main. Muni d'une unique balle, il a bien l'intention de réagir, car l'heure de la vengeance a sonné. Contenu vo : Batman - One Bad Day: Pingouin. Critique : Après un second tome sur Double-face , il est vrai assez décevant , voici un nouveau One bad day sur le Pingouin , qui est bien supérieur à son prédécesseur . On débute par la vision d'un Oswald Cobblepot méconnaissable , assis sur un banc avec Gotham city le narguant au loin . Une barbe de 3 jours , une tenue vestimentaire délabrée , plus un sou en poche , il se rapproche plus d'un clochard que du roi de la pègre qu'il a été . Au fil des pages ,on apprend qu'un dénommé Umbrella Man (son ancien homme de main) lui a spolié son empire et règne d'une main de fer sur la délinquance locale . Tel Napoléon remontant la France en gagnant de nouveaux partisans , il va petit à petit effectuer son retour en s'associant avec des petites frappes . Il va aussi découvrir pourquoi son empire s'est effondré , entre autres pour sa façon dédaigneuse d'évoluer avec ses pairs et autres "employés" . Il va ainsi effectuer un travail d'introspection personnelle , comme une psychanalyse, et se servir de cela pour changer , évoluer afin d'être un leader à nouveau respecté mais surtout , apprécié ! Mais on est à Gotham city , et un homme à la cape noire rôde dans l'ombre , va t'il laisser cette marche vers les sommets se concrétiser ?? Au delà d'un scénario judicieux et bien écrit , il est à noter le travail plus que sympathique du dessin à 4 mains des deux artistes . Un trait semi-réaliste , avec des couleurs ternes , vieillies , comme notre pingouin en fâcheuse posture . Un jeu de reflets lumineux , et des visages assez expressifs . Il se dénote un parfum de Killing joke en tournant ces pages , le trait se veut vraiment en digne héritier de l'oeuvre culte de Alan Moore . Un très bon opus que ce One bad day , épisode 3 . Le prochain du mois de juin sera centré sur Mr Freeze 🙂 Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batman-one-bad-day-le-pingouin/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. poseidon2

    Deadly class t12 (fin)

    Voila, c'est finit. Dites au revoir à.... ceux qu'il reste à la fin de ce tome 12... autant vous dire que vous n'allez pas y passer la soirée. Ce tome douze clôture la série, mais clôture surtout la vie de nos héros. Une vie qui ne peut avancer et vraiment prendre un nouveau départ sans solder les anciens comptes. Un tome douze peut être un poil trop haché, qui saute d'une année à l'autre, mais qui permet de traiter la "fin" de vie des derniers de nos personnages survivant de l'académie. Une évolution des personnages super intéressante car chacun a une trajectoire qui lui est propre. Une trajectoire qui, comme beaucoup d'étoile filante, finit par s'écraser. Une bonne fin pour une série hors norme dans les parutions des 20 dernières années en comics....
  8. Titre de l'album : Deadly class t12 (fin) Scenariste de l'album : Rick Remender Dessinateur de l'album : Craig Wes Coloriste : Craig Wes Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Un retrait total de la réalité se pare de nombreux charmes, surtout en bonne compagnie. Un havre de paix loin de tout bruit, cupidité et haine. Mais un tel endroit tranquille existe-t-il vraiment ? Et si tel est le cas, n'est-il pas voué à bien des convoitises et une destruction très brutale ? Contenu vo : #53-57. Critique : Voila, c'est finit. Dites au revoir à.... ceux qu'il reste à la fin de ce tome 12... autant vous dire que vous n'allez pas y passer la soirée. Ce tome douze clôture la série, mais clôture surtout la vie de nos héros. Une vie qui ne peut avancer et vraiment prendre un nouveau départ sans solder les anciens comptes. Un tome douze peut être un poil trop haché, qui saute d'une année à l'autre, mais qui permet de traiter la "fin" de vie des derniers de nos personnages survivant de l'académie. Une évolution des personnages super intéressante car chacun a une trajectoire qui lui est propre. Une trajectoire qui, comme beaucoup d'étoile filante, finit par s'écraser. Une bonne fin pour une série hors norme dans les parutions des 20 dernières années en comics.... Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/deadly-class-tome-12?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. alx23

    Killadelphia tome 1

    Ce premier tome de Killadelphia réunit le premier arc complet en six chapitres et installe le contexte avec les vampires qui sont de plus en plus nombreux à Philadelphie. Le scénariste Rodney Barnes propose un récit bien construit qui sort du lot malgré la thématique des suceurs de sang. On suit l'intrigue avec plaisir comme une enquête policière. La partie graphique est gérée par Jason Shawn Alexander et vaut à elle seule l'achat de ce titre. J'ai eu plusieurs fois l'occasion d'apprécier les dessins de l'auteur sur des séries comme Abe Sapien, Queen & country ou encore Spawn. Le trait réaliste et sombre de Jason Shawn Alexander apporte une ambiance bien particulière et réussie en générale. L'album se termine sur de nombreuses couvertures alternatives et la construction de planches avec explications de l'auteur. Killadephia commence bien une série sur les vampires.
  10. alx23

    Killadelphia tome 1

    Titre de l'album : Killadelphia tome 1 Scenariste de l'album : Rodney Barnes Dessinateur de l'album : Jason Shawn Alexander Coloriste : Luis NCT Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Lorsque le policier Jimmy Sangster rentre à Philadelphie pour enterrer son père assassiné, il se retrouve vite confronté à un complot surnaturel qui gangrène l'Amérique depuis des centaines d'années. Sa ville, qui était autrefois le symbole de la liberté, est devenue la proie de la corruption, de la violence, de la misère... et des vampires. BIENVENUE À KILLADELPHIE... Critique : Ce premier tome de Killadelphia réunit le premier arc complet en six chapitres et installe le contexte avec les vampires qui sont de plus en plus nombreux à Philadelphie. Le scénariste Rodney Barnes propose un récit bien construit qui sort du lot malgré la thématique des suceurs de sang. On suit l'intrigue avec plaisir comme une enquête policière. La partie graphique est gérée par Jason Shawn Alexander et vaut à elle seule l'achat de ce titre. J'ai eu plusieurs fois l'occasion d'apprécier les dessins de l'auteur sur des séries comme Abe Sapien, Queen & country ou encore Spawn. Le trait réaliste et sombre de Jason Shawn Alexander apporte une ambiance bien particulière et réussie en générale. L'album se termine sur de nombreuses couvertures alternatives et la construction de planches avec explications de l'auteur. Killadephia commence bien une série sur les vampires. Autres infos : Editions : Huginn & Muninn Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/killadelphia-tome-1/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Mike Mignloa s'entoure une fois de plus de dessinateurs réputés dans le monde des comics pour mettre en image cinq de ses histoire courtes. Les fidèles de la créature de l'enfer seront heureux de retrouver la suite de l'homme tordu paru dans le tome 11 de la série principale Hellboy. Le dessinateur Zach Howard succède à Richard Corben avec beaucoup de maitrise. Son style convient bien au récit avec beaucoup d'encrage et d'ombre. Le récit L'heure de sa mort fait suite également à une autre histoire d'Helloy & B.P.R.D. intitulée La Bête de Vargu. Tiernen Trevallion se charge avec brio de la partie graphique. Il est amusant de lire des suites de récits courts pour donner encore plus de profondeur à l'univers d'Hellboy et Mignola maitrise très bien cette technique. Ce recueil de récits courts se termine sur des recherches graphiques des autres dessinateurs mais aussi des couvertures de Mignloa et explications des auteurs. Le retour d'Effie Kolb est un excellent moment de lecture avec qui rappelle les premiers tomes de la série.
  12. Titre de l'album : Hellboy & B.P.R.D. tome 7 - Le retour d'Effie Kolb Scenariste de l'album : Mike Mignola Dessinateur de l'album : Adam Hughes, Matt Smith, Zach Howard & Tiernen Trevallion Coloriste : Dave Stewart Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Hellboy est de retour aux côtés des membres du BPRD pour affronter des fantômes et des démons. Pour cela, il nous entraîne des Appalaches à la Russie, en passant par la France et le sud des États-unis. Critique : Mike Mignloa s'entoure une fois de plus de dessinateurs réputés dans le monde des comics pour mettre en image cinq de ses histoire courtes. Les fidèles de la créature de l'enfer seront heureux de retrouver la suite de l'homme tordu paru dans le tome 11 de la série principale Hellboy. Le dessinateur Zach Howard succède à Richard Corben avec beaucoup de maitrise. Son style convient bien au récit avec beaucoup d'encrage et d'ombre. Le récit L'heure de sa mort fait suite également à une autre histoire d'Helloy & B.P.R.D. intitulée La Bête de Vargu. Tiernen Trevallion se charge avec brio de la partie graphique. Il est amusant de lire des suites de récits courts pour donner encore plus de profondeur à l'univers d'Hellboy et Mignola maitrise très bien cette technique. Ce recueil de récits courts se termine sur des recherches graphiques des autres dessinateurs mais aussi des couvertures de Mignloa et explications des auteurs. Le retour d'Effie Kolb est un excellent moment de lecture avec qui rappelle les premiers tomes de la série. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/hellboy-et-bprd-tome-7-le-retour-d-effie-kolb/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. poseidon2

    JSA chronicles tome 1 - 1999

    Jsa Chronicles c'est un super gros recueil retraçant le relaunch de la JSA par James Robinson en 1999. Un relaunch en forme de pari pour ses auteurs. En effet, cette équipe de la Société de Justice était une vieille équipe des premiers super héros des années 40-50 porté par les premières icônes avec les premiers Flash, le premier Green Lantern et autre héros oubliés depuis un moment. Ce qui a rendu ce "relaunch" payant, c'est le choix osé, mais important, de remettre cette histoire dans son contexte historique et de ne pas déplacer ces héros à l'époque d'écriture. Cela rend les histoires intemporelles, mais surtout cela permet de réécrire des aventures sur ces héros, mais avec un point de vue moins biaisé qu'à l'époque des premières aventures. En effet ces héros étaient avant tout des héros de propagande, présentés dans un cadre de guerre / guerre froide impliquant des récits complètement orientés. Ceux qui nous sont livrés ici sont bien plus intéressants, avec des héros se posant beaucoup plus de questions que leurs ancêtres. Intéressants sont aussi les commentaires du scénariste qui nous aident à bien comprendre comment il a convaincu l'équipe éditoriale de relancer cette série, mais aussi des changements qu'il a introduits dans les différents héros.
  14. Titre de l'album : JSA chronicles tome 1 - 1999 Scenariste de l'album : Collectif Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : À la veille de la réincarnation sur Terre de l'avatar de Nabu, Wesley Dodds, Sandman historique, perd la vie contre Mordru, sombre sorcier cherchant à assassiner les élus susceptibles d'accueillir l'esprit du Seigneur de l'Ordre. Face à cette nouvelle épreuve, Black Canary, Starman ou encore Hourman se joignent aux vétérans Alan Scott et Jay Garrick pour former la nouvelle incarnation de la Société de Justice. Hormis Mordru, la nouvelle équipe trouvera sur son chemin l'implacable Black Adam, le culte terroriste Kobra, et le manipulateur de réalité Extant. L'occasion pour les membres de cette nouvelle JSA de se rappeler les liens quasi familiaux qui firent de l'équipe l'une des plus soudées de l'histoire des héros des années 1940. Contenu vo : ALL STAR COMICS #1-2, ADVENTURE COMICS #1, ALL-AMERICAN COMICS #1, NATIONAL COMICS #1, SENSATION COMICS #1, SMASH COMICS #1, STAR SPANGLED COMICS #1, THRILLING COMICS #1, JSA SECRET FILES & ORIGINS #1, JSA #1-5, ALL-STAR COMICS 80-PAGE GIANT #1, SECRET ORIGINS OF SUPER-VILLAINS 80-PAGE GIANT #1. Critique : Jsa Chronicles c'est un super gros recueil retraçant le relaunch de la JSA par James Robinson en 1999. Un relaunch en forme de pari pour ses auteurs. En effet, cette équipe de la Société de Justice était une vieille équipe des premiers super héros des années 40-50 porté par les premières icônes avec les premiers Flash, le premier Green Lantern et autre héros oubliés depuis un moment. Ce qui a rendu ce "relaunch" payant, c'est le choix osé, mais important, de remettre cette histoire dans son contexte historique et de ne pas déplacer ces héros à l'époque d'écriture. Cela rend les histoires intemporelles, mais surtout cela permet de réécrire des aventures sur ces héros, mais avec un point de vue moins biaisé qu'à l'époque des premières aventures. En effet ces héros étaient avant tout des héros de propagande, présentés dans un cadre de guerre / guerre froide impliquant des récits complètement orientés. Ceux qui nous sont livrés ici sont bien plus intéressants, avec des héros se posant beaucoup plus de questions que leurs ancêtres. Intéressants sont aussi les commentaires du scénariste qui nous aident à bien comprendre comment il a convaincu l'équipe éditoriale de relancer cette série, mais aussi des changements qu'il a introduits dans les différents héros. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/jsa-chronicles-1999?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. jusqu’à
    Aujourd'hui sort la nouvelle collection petit prix des éditions Panini qui est consacrée à STAR WARS : L'EQUILIBRE DANS LA FORCE Elle est composée de 6 titres mettant en avant des personnages emblématiques de la saga dans des histoires indépendantes. Comme pour la collection héroïnes de Marvel, l'objectif est de permettre d'acquérir des comics à moindre prix mais aussi aux néophytes de mettre en pied dans l'univers Star Wars comics facilement avec des histoires complètes. Une version collector dans un coffret avec 6 ex-libris exclusifs est également disponible La date de sortie de la collection n'est pas anodine, les fans le savent ; les deux premières trilogies sont toutes sorties en mai ! Et c'est aussi les 40 ans du Retour du Jedi ! D'ailleurs pour les fans, renseignez-vous, à l'occasion des Star Wars days, il existe de nombreux événements auxquels vous pouvez participer Pour fêter la sortie de cette nouvelle collection, Panini a organisé une exposition éphémère à la French paper Gallery à Paris Elle sera également visible à l'open de Sabre Laser les 26 et 27 mai au stade Charlety à Paris Et pour ceux qui se poseraient des questions : Deux tomes sont consacrés à Dark Vador car il reste le personnage le plus vendeur de la saga ! La collection publiée chez carrefour ne concurrence pas cette collection, cette dernière est vouée à rester dans le temps Merci aux éditions Panini pour cette soirée consacrée à la collection !
  16. Deuxième tome de One Bad day centrant chaque numéro sur un adversaire de Batman. Ce coup-ci on s'intéresse à Double face. Mis à part le tarif qui reste toujours cher de mon point de vue pour 70 pages, je trouve que cette histoire-ci est très moyenne. Le suspens tourne très court par l'évidence du scenario. Une fois la présentation de Harvey Dent passée, si jamais certain ignoraient le passé du personnage, on a donc une aventure des plus simple et sans surprise. Ce qui est vraiment bizarre, c'est que le prix aurait tendance à aiguiller vers un album pour fan uniquement alors que le contenu semble plus dédié à des non-connaisseurs. Bref un album cher sans Tom king aux commandes.
  17. Titre de l'album : Batman - One bad day : double face Scenariste de l'album : Mariko Tamaki Dessinateur de l'album : Javier Fernandez Coloriste : Javier Fernandez Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Si Harvey Dent n'avait pas été défiguré à l'acide, peut-être aurait-il pu continuer à oeuvrer du côté de la loi en tant que procureur. Peut-être serait-il resté l'allié de Batman, aux côtés de Jim Gordon... Quoi qu'il en soit, Harvey Dent est aujourd'hui libre, apparemment débarrassé de sa double-personnalité criminelle. Mais lorsque son père de 88 ans est menacé, l'ancien monstre de foire menace de réapparaître. Tout se jouera à pile ou face. Critique : Deuxième tome de One Bad day centrant chaque numéro sur un adversaire de Batman. Ce coup-ci on s'intéresse à Double face. Mis à part le tarif qui reste toujours cher de mon point de vue pour 70 pages, je trouve que cette histoire-ci est très moyenne. Le suspens tourne très court par l'évidence du scenario. Une fois la présentation de Harvey Dent passée, si jamais certain ignoraient le passé du personnage, on a donc une aventure des plus simple et sans surprise. Ce qui est vraiment bizarre, c'est que le prix aurait tendance à aiguiller vers un album pour fan uniquement alors que le contenu semble plus dédié à des non-connaisseurs. Bref un album cher sans Tom king aux commandes. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batman-one-bad-day-double-face?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Deuxième tome du mythe de l'ossuaire (car je le répète, il vaut mieux commencer par le passage) avec un tome résolument différent, avec une histoire un peu plus guidée, mais peut-être plus angoissante. Cette histoire monte en tension encore plus que le passage. L'histoire de Trish et Jackie nous est compté en mettant deux époques en parallèle : leur rencontre et la recherche de Trish disparues dans d'étrange condition. Jeff Lemire réussi à nous maintenir un suspens sur qui (ou quoi ?) est responsable de la disparition ? Un vrai thriller horrifique comme on peut les aimer, et ce toujours superbement illustré par Sorrentino !
  19. Titre de l'album : Le mythe de l'ossuaire - Des milliers de plumes noires Scenariste de l'album : Jeff Lemire Dessinateur de l'album : Andrea Sorrentino Coloriste : Andrea Sorrentino Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Trish et Jackie sont deux meilleures amies qui partagent la même passion pour le jeux de rôle et la fantasy. Mais lorsque la frontière entre la réalité et leur monde imaginaire est brouillée par une entité maléfique, peuvent-elles rester les héroïnes de leur propre histoire ? Contenu vo : The Bone Orchard Mythos: Ten Thousand Black Feathers #1-5. Critique : Deuxième tome du mythe de l'ossuaire (car je le répète, il vaut mieux commencer par le passage) avec un tome résolument différent, avec une histoire un peu plus guidée, mais peut-être plus angoissante. Cette histoire monte en tension encore plus que le passage. L'histoire de Trish et Jackie nous est compté en mettant deux époques en parallèle : leur rencontre et la recherche de Trish disparues dans d'étrange condition. Jeff Lemire réussi à nous maintenir un suspens sur qui (ou quoi ?) est responsable de la disparition ? Un vrai thriller horrifique comme on peut les aimer, et ce toujours superbement illustré par Sorrentino ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-mythe-de-l-ossuaire-des-milliers-de-plumes-noires/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Kevin Nivek

    L'homme qui venait d'ailleurs

    Je dois bien avouer ne pas avoir vu , ni connaître ce film devenu culte ,avec David Bowie tenant le rôle principal , en 1976 . Je n'étais pas né , mais est-ce une excuse , tant cette histoire semble intemporelle , et même avant-gardiste ? On pense à un autre chef d'oeuvre de SF sorti à l'époque et animé d'un esprit similaire : Soleil vert . J'ai donc plongé dans cette histoire de fiction pas comme les autres avec curiosité . D'emblée , on assiste au crash (atterrissage) de notre "alien" aux yeux vairons . Pas d'aéronef ou autre ovni , on reste dans le subjectif . L'humanoïde ne perd pas de temps et débute immédiatement sa quête : trouver et ramener de l'eau pour sa planète . Sauf que , pour arriver à ses fins , il faut de l'argent ! Il va ainsi profiter de son avancée technologique supérieure et lancer des brevets innovants sur le marché mondial . La cupidité de l'homme va resurgir et influencer l'extra-terrestre jusque dans ses profonds retranchements ... Ajoutez à cela que sa famille lui manque ! Vous l'aurez compris ,on est pas dans de la SF pure et dure , il s'agit ici du parcours d'un self made "man" , son ascension et sa chute dans les méandres de l'humanité et ses vices . Le dessin ultra-réaliste de Dev Pramanik convient à merveille au sujet . Ses couleurs chaudes surgissent des pages et il réalise cependant des ombrages puissants , comme pour mieux souligner la noirceur du sujet . Les regards des protagonistes sont intenses ,autant que les échanges verbaux , et bien entendu , le "héros" possède les traits de feu David Bowie 😉 Une lecture intense , portée par un sujet contemporain , qui viendra garnir les étagères des fans du film et autres amateurs de SF "réelle" .
  21. Titre de l'album : L'homme qui venait d'ailleurs Scenariste de l'album : Dan Watters , Walter Tevis Dessinateur de l'album : Dev Pramanik Coloriste : Dev Pramanik Editeur de l'album : Philéas Note : Résumé de l'album : Envoyé sur la Terre pour en rapatrier l'eau qui peut sauver sa planète, un extraterrestre va utiliser son savoir et sa technologie pour arriver à ses fins. Parvenu au sommet de la réussite et séduit par la vie terrienne, il oublie le but de sa mission... L'adaptation du film culte de Nicholas Roeg avec David Bowie d'après le roman de Walter Tevis. L'adaptation en roman graphique du film culte de 1976 avec David Bowie et réalisé par Nicholas Roeg ! Basé sur le roman de Walter Tevis, ce récit de science-fiction voit l'extraterrestre Thomas Jerome Newton atterrir sur Terre à la recherche d'eau pour sauver sa planète mourante et toute sa population. Grâce à ses connaissances scientifiques avancées, Thomas devient incroyablement riche et utilise sa richesse pour chercher un moyen de transporter l'eau vers sa planète natale. Mais alors que sa mission sur Terre s'éternise, Thomas est séduit par les excès de notre monde sans se douter qu'il est devenu une cible d'intérêt pour le gouvernement américain ainsi que pour une sinistre société privée désireuse de l'exploiter... Critique : Je dois bien avouer ne pas avoir vu , ni connaître ce film devenu culte ,avec David Bowie tenant le rôle principal , en 1976 . Je n'étais pas né , mais est-ce une excuse , tant cette histoire semble intemporelle , et même avant-gardiste ? On pense à un autre chef d'oeuvre de SF sorti à l'époque et animé d'un esprit similaire : Soleil vert . J'ai donc plongé dans cette histoire de fiction pas comme les autres avec curiosité . D'emblée , on assiste au crash (atterrissage) de notre "alien" aux yeux vairons . Pas d'aéronef ou autre ovni , on reste dans le subjectif . L'humanoïde ne perd pas de temps et débute immédiatement sa quête : trouver et ramener de l'eau pour sa planète . Sauf que , pour arriver à ses fins , il faut de l'argent ! Il va ainsi profiter de son avancée technologique supérieure et lancer des brevets innovants sur le marché mondial . La cupidité de l'homme va resurgir et influencer l'extra-terrestre jusque dans ses profonds retranchements ... Ajoutez à cela que sa famille lui manque ! Vous l'aurez compris ,on est pas dans de la SF pure et dure , il s'agit ici du parcours d'un self made "man" , son ascension et sa chute dans les méandres de l'humanité et ses vices . Le dessin ultra-réaliste de Dev Pramanik convient à merveille au sujet . Ses couleurs chaudes surgissent des pages et il réalise cependant des ombrages puissants , comme pour mieux souligner la noirceur du sujet . Les regards des protagonistes sont intenses ,autant que les échanges verbaux , et bien entendu , le "héros" possède les traits de feu David Bowie 😉 Une lecture intense , portée par un sujet contemporain , qui viendra garnir les étagères des fans du film et autres amateurs de SF "réelle" . Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-homme-qui-venait-d-ailleurs/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. J'avais émis des doutes lors de la lecture du premier tome de cette "Soif légitime de vengeance" en trouvant que l'on avait pas assez d'information dans ce tome 1 pour se permettre de juger autre chose que le dessin. Et bien ce tome deux vient conforter cet avis : le tome 1 ne se lit pas tout seul. C'est une grosse première scène d'action pour une histoire qui prend tout son sens en lisant le t2. Il vaut mieux considérer cette histoire comme un gros one shot. Comme ca, on se retrouve avec un super polar prenant et tellement réaliste qu'on ne peut s'empêcher de soutenir cette vengeance, malgré tout ce que Marvel et les bonnes mœurs nous disent. C'est ca qui est marquant sur l'ensemble de cette histoire : Oui ,c'est bien fait pour sa gueu** ! C'est cette réaction épidermique que l'on a, à la fin du récit, qui montre à quel point ce polar est réussi. Mais aussi à quel point il est dur et sans piter. Un super polar à lire d'une traite !
  23. Titre de l'album : Une soif légitime de vengeance t2 (fin) Scenariste de l'album : Rick Remender Dessinateur de l'album : André Araújo Coloriste : André Araújo Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Accompagné du jeune Xavier, qu'il se fait un devoir de protéger, Sonny a vu sa vie basculer dans une spirale de violence infernale. Fuyant une nuée de tueurs potentiels, il n'a d'autre choix que d'accorder sa confiance à des personnes douteuses. Mais quel espoir un homme ordinaire peut-il bien nourrir face à une horde d'ennemis aussi riches que puissants, et prêts à tout pour parvenir à leurs fins ? Critique : J'avais émis des doutes lors de la lecture du premier tome de cette "Soif légitime de vengeance" en trouvant que l'on avait pas assez d'information dans ce tome 1 pour se permettre de juger autre chose que le dessin. Et bien ce tome deux vient conforter cet avis : le tome 1 ne se lit pas tout seul. C'est une grosse première scène d'action pour une histoire qui prend tout son sens en lisant le t2. Il vaut mieux considérer cette histoire comme un gros one shot. Comme ca, on se retrouve avec un super polar prenant et tellement réaliste qu'on ne peut s'empêcher de soutenir cette vengeance, malgré tout ce que Marvel et les bonnes mœurs nous disent. C'est ca qui est marquant sur l'ensemble de cette histoire : Oui ,c'est bien fait pour sa gueu** ! C'est cette réaction épidermique que l'on a, à la fin du récit, qui montre à quel point ce polar est réussi. Mais aussi à quel point il est dur et sans piter. Un super polar à lire d'une traite ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/une-soif-legitime-de-vengeance-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Titre de l'album : Public Domain t1 Scenariste de l'album : Chip Zdarsky Dessinateur de l'album : Chip Zdarsky Coloriste : Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Syd Dallas est un auteur de comics légendaire, responsable du plus grand héros de la culture pop : THE DOMAIN ! Mais ses fils Miles et David ont une relation compliquée aussi bien avec le créateur qu'avec sa création. Pourront-ils convaincre leur père de se battre pour l'héritage de leur famille, dans un système qui veut s'accaparer leur création et ne leur laisser que les miettes ? Critique : Encore un excellent premier tome à 10 euro chez Urban. Un tome qui change des parutions de comics actuel avec une histoire contemporaine sur... l'édition de comics et les ayants droits de royalties des oeuvres. C'est une question épineuse dans l'univers du comic. En effet chaque héros à un créateur qui touche l'ensemble des royalties mais ce n'est pas pour autant qu'il n'y a aucun assistant ou co createur. Savoir ce qui revient à qui est vraiment compliqué mais provoque des écarts impressionnants entre les différentes personnes prenant part à la production. Ce premier tome réussit à méler habilement une histoire de droits d'auteur à une histoire de famille. Famille dont la "celébrité" non-remuneré du père est autant un motif de fierté qu'un motif de fracture. Bien dessiné, bien rythmé et, mine de rien, avec un vrai suspens et des belles surprises, ce premier tome est une excellente parution avec un Chip Zdarsky tout en maitrise. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/public-domain-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. poseidon2

    Public Domain t1

    Encore un excellent premier tome à 10 euro chez Urban. Un tome qui change des parutions de comics actuel avec une histoire contemporaine sur... l'édition de comics et les ayants droits de royalties des oeuvres. C'est une question épineuse dans l'univers du comic. En effet chaque héros à un créateur qui touche l'ensemble des royalties mais ce n'est pas pour autant qu'il n'y a aucun assistant ou co createur. Savoir ce qui revient à qui est vraiment compliqué mais provoque des écarts impressionnants entre les différentes personnes prenant part à la production. Ce premier tome réussit à méler habilement une histoire de droits d'auteur à une histoire de famille. Famille dont la "celébrité" non-remuneré du père est autant un motif de fierté qu'un motif de fracture. Bien dessiné, bien rythmé et, mine de rien, avec un vrai suspens et des belles surprises, ce premier tome est une excellente parution avec un Chip Zdarsky tout en maitrise.
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