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  1. Titre de l'album : The swamp thing infinite t1 Scenariste de l'album : Ram V Dessinateur de l'album : Mike Perkins Coloriste : Mike Perkins Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Lors d'un voyage en Inde, le pays qui l'a vu naître, Levi Kamei s'est mystérieusement vu lié à la Sève, devenant ainsi la nouvelle incarnation de Swamp Thing. Incapable de contrôler son effroyable transformation, Levi est propulsé sur la piste d'une entité surnaturelle errant dans le désert de l'Arizona, laissant plusieurs corps mutilés sur son passage. Pour contrer cet ennemi impitoyable, il n'a guère d'autre choix que de partir en quête de son passé et de son intime connexion avec la Sève pour découvrir sa véritable nature, aussi horrible soit-elle. Contenu vo : The Swamp Thing #1-10 + Future State : Swamp Thing #1-2. Critique : Après les aventures de la Justice League Dark et de Death metall, on se demandait ce qu'il était advenu de la créature du marais. Eh bien elle attendait d'avoir suffisamment de contenu pour nous montrer son reboot à elle et son futur possible. En effet, ce premier tome de Swamp Thing Infinite comprend aussi Swamp Thing Future state. On se retrouve donc avec un gros premier tome qui est complètement autonome. Tant qu'à faire un reboot, Ram V a choisi de transformer le personnage en changeant l'avatar historique de la sève. Exit Alex Holland et bienvenu à Levi Kamei. Cela permet vraiment à tout nouveau lecteur partir sans historique et de bien comprendre d'où vient cet avatar, car qui dit nouvel avatar dit explication sur le pourquoi de cette transformation tout comme l'acceptation de ce rôle. Un bon premier tome pour un personnage un peu trop sous-estimé. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/swamp-thing-infinite-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. The_PoP

    The Plot - Tome 2 - 1674

    On ne va pas se le cacher, la sortie de ce The Plot - Tome 2 risque fort de faire bien moins de bruit que celle du préquel de Locke & Key la même semaine chez Hi Comics. S'ils ont en commun l'approche fantastique et Lovecraftienne du thème de la famille, on va tout de suite le dire : les ambiances sont radicalement différentes. Si l'intrigue de The Plot est beaucoup plus simple et classique que celle de Locke & Key, elle n'en reste pas moins très réussie pour un diptyque d'horreur en comics, genre Ô combien compliqué. D'ailleurs les ambiances sont particulièrement réussies, notamment servies par le dessin anxiogène de Hicxson. Il faut par ailleurs savoir que ce tome 2 n'aurait jamais du voir le jour en France car devant le faible nombre de vente du premier tome, celui-ci devait être abandonné. Cela aurait été à mon humble avis fort dommage tant cette conclusion est parfaite et nous livre un final haletant à un diptyque angoissant à souhait. The Plot est passé à tort relativement incognito dans le paysage du comics indé, mais ses qualités sauront séduire ses lecteurs. Ceux qui ont aimé le premier, jetez vous dessus, car il n'y en aura malheureusement probablement pas beaucoup en librairies.
  3. Titre de l'album : The Plot - Tome 2 - 1674 Scenariste de l'album : Tim Daniel Dessinateur de l'album : Josh Hixson Coloriste : Jordan Boyd Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : Aux origines de la malédiction Blaine... Un mal ancien frappe la famille Blaine depuis des générations et hante leur demeure ancestrale. Pour échapper à son sinistre héritage et protéger ses neveux, Chaise Blaine n'a plus le choix : il doit trouver un moyen de détruire la maison et toutes les horreurs tapies en ses murs... mais les fantômes du passé n'ont pas dit leur dernier mot. Alors que la tempête fait rage à Cape Augusta, les secrets de famille se réveillent et menacent de tout engloutir. Chase, MacKenzie et Zach Blaine semblent condamnés à payer les erreurs de leurs ancêtres... Une plongée cauchemardesque dans les eaux troubles du passé, une atmosphère poisseuse et des personnages terriblement attachants pour une conclusion magistrale au rythme haletant. Tim Daniel, Michael Moreci (Curse, Burning Fields) et Joshua Hixson (Shanghai Red) livrent le dernier volet de leur série d'horreur à la croisée de Locke & Key, Swamp Thing et H.P. Lovecraft. Critique : On ne va pas se le cacher, la sortie de ce The Plot - Tome 2 risque fort de faire bien moins de bruit que celle du préquel de Locke & Key la même semaine chez Hi Comics. S'ils ont en commun l'approche fantastique et Lovecraftienne du thème de la famille, on va tout de suite le dire : les ambiances sont radicalement différentes. Si l'intrigue de The Plot est beaucoup plus simple et classique que celle de Locke & Key, elle n'en reste pas moins très réussie pour un diptyque d'horreur en comics, genre Ô combien compliqué. D'ailleurs les ambiances sont particulièrement réussies, notamment servies par le dessin anxiogène de Hicxson. Il faut par ailleurs savoir que ce tome 2 n'aurait jamais du voir le jour en France car devant le faible nombre de vente du premier tome, celui-ci devait être abandonné. Cela aurait été à mon humble avis fort dommage tant cette conclusion est parfaite et nous livre un final haletant à un diptyque angoissant à souhait. The Plot est passé à tort relativement incognito dans le paysage du comics indé, mais ses qualités sauront séduire ses lecteurs. Ceux qui ont aimé le premier, jetez vous dessus, car il n'y en aura malheureusement probablement pas beaucoup en librairies. Autres infos : Ambiance réussie Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-plot-tome-2-1674?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. poseidon2

    After t1

    Attention. Cette critique s'adresse aux personnes qui ont moins de 17 ans et plus de 12, et majoritairement aux filles..... Je préfère vous le dire tout de suite, car ce comics, tiré d'une série de romans connus pour avoir été écrit sur smartphone par Anna Todd en 2014, enchaine les clichés de l'histoire d'amour américaine pour jeune fille. Notre histoire parle d'une jeune fille de bonne famille de la campagne qui arrive dans la grande université et qui tombe amoureuse du bad guy pas si bad que ça, car mal dans sa peau, mais qu'elle ne doit pas approcher parce qu'elle a un petit ami frigide qui l'attend dans sa cambrousse. Et elle passe par tous les stades normaux de tourments amoureux... Ce n'est pas mal fait, mais c'est juste super téléphoné… À lire si vous n'aviez pas déjà lu de love story américaine depuis 6 mois
  5. poseidon2

    After t1

    Titre de l'album : After t1 Scenariste de l'album : Anna Todd Dessinateur de l'album : Anna Todd Coloriste : Anna Todd Editeur de l'album : Hugo bd Note : Résumé de l'album : Avant lui, elle contrôlait sa vie... Tessa est une fille bien. Son petit ami, un garçon doux et sur qui elle peut compter, l'attend dans sa ville natale. Elle est ambitieuse, volontaire, et a une mère déterminée à la garder dans le droit chemin. Elle vient à peine d'emménager dans sa chambre de première année de fac quand elle rencontre Hardin Scott, les cheveux bruns en bataille, un accent anglais insolent et des tatouages sur tout le corps. Il est beau, sûr de lui et plutôt grossier, voire un peu cruel. Avec son arrogance et ses insultes, Hardin représente tout ce que Tessa devrait haïr, et c'est le cas... jusqu'au moment où son côté taciturne finit par avoir raison d'elle. Ce n'est alors plus qu'une question de temps avant qu'Hardin ne souffle sur les braises d'une passion que Tessa n'avait encore jamais connue. Il va lui dire qu'elle est magnifique, affirmer qu'il n'est pas celui qu'il lui faut à coups de faux prétextes et d'absences injustifiées, encore et encore. Il se détournera d'elle, mais s'accrochera encore plus fort lorsqu'elle voudra aller de l'avant. En dépit de la désinvolture avec laquelle Hardin la traite, Tessa ne peut s'empêcher d'être attirée par sa vulnérabilité et est déterminée à révéler le vrai Hardin sous ce masque de mensonges. Critique : Attention. Cette critique s'adresse aux personnes qui ont moins de 17 ans et plus de 12, et majoritairement aux filles..... Je préfère vous le dire tout de suite, car ce comics, tiré d'une série de romans connus pour avoir été écrit sur smartphone par Anna Todd en 2014, enchaine les clichés de l'histoire d'amour américaine pour jeune fille. Notre histoire parle d'une jeune fille de bonne famille de la campagne qui arrive dans la grande université et qui tombe amoureuse du bad guy pas si bad que ça, car mal dans sa peau, mais qu'elle ne doit pas approcher parce qu'elle a un petit ami frigide qui l'attend dans sa cambrousse. Et elle passe par tous les stades normaux de tourments amoureux... Ce n'est pas mal fait, mais c'est juste super téléphoné… À lire si vous n'aviez pas déjà lu de love story américaine depuis 6 mois Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/after-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. alx23

    Radiant black tome 1

    Ce premier tome de Radiant black reprend les six premiers chapitres de cette série de super-héros comparable à la série Invincible. En effet, le scénario nous propose de suivre le quotidien d'un jeune écrivain endetté qui retourne vivre chez ses parents en attendant d'être édité un jour. Il retrouve un ami d'enfance de sa ville natale avant l'apparition de petites sphères noir qui donnent des pouvoirs à certains élus. L'histoire bascule alors dans les aventures de super-héros pure et dure avec des ennemis possédants des pouvoirs à combattre. Le récit n'est pas très original et n'apporte pas de nouveauté au genre mais reste efficace pour les lecteurs aimant les histoires de super-héros hors DC et Marvel. Pour la partie graphique, Marcelo Costa donne la touche de la série sur les quatre premiers chapitres avant de laisser la place à deux autres dessinateurs dans des styles différents. C'est une technique courante aux Etats-Unis pour permettre des sorties de comics rapprochés. Le costume de Radiant Black a un design très stylé. Ce premier tome est une agréable lecture sans grande surprise dans son déroulement.
  7. Titre de l'album : Radiant black tome 1 Scenariste de l'album : Kyle Higgins & Cherish Chen Dessinateur de l'album : Marcelo Costa, Edouardo Ferinato & David Lafuente Coloriste : Marcelo Costa, Natalia Marques & Miquel Muerto Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Nathan Burnett vient d'avoir trente ans. Sa vie est moche. Il cumule deux emplois, s'endette trop et est obligé de retourner vivre chez ses parents. En revanche, quand il découvre et active le Radiant , un colossal pouvoir cosmique, son existence change du jour au lendemain ! Seul petit problème : les êtres cosmiques qui ont créé le Radiant veulent le récupérer... à tout prix ! Critique : Ce premier tome de Radiant black reprend les six premiers chapitres de cette série de super-héros comparable à la série Invincible. En effet, le scénario nous propose de suivre le quotidien d'un jeune écrivain endetté qui retourne vivre chez ses parents en attendant d'être édité un jour. Il retrouve un ami d'enfance de sa ville natale avant l'apparition de petites sphères noir qui donnent des pouvoirs à certains élus. L'histoire bascule alors dans les aventures de super-héros pure et dure avec des ennemis possédants des pouvoirs à combattre. Le récit n'est pas très original et n'apporte pas de nouveauté au genre mais reste efficace pour les lecteurs aimant les histoires de super-héros hors DC et Marvel. Pour la partie graphique, Marcelo Costa donne la touche de la série sur les quatre premiers chapitres avant de laisser la place à deux autres dessinateurs dans des styles différents. C'est une technique courante aux Etats-Unis pour permettre des sorties de comics rapprochés. Le costume de Radiant Black a un design très stylé. Ce premier tome est une agréable lecture sans grande surprise dans son déroulement. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/radiant-black-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. The_PoP

    Locke & Key - L'âge d'or

    En fantastique Joe Hill aura à travers Locke & Key définitivement marqué de son empreinte le monde de la bd et plus largement je pense celui de la littérature. Reprenant à son compte, sans travestir ni copier les inspirations Lovecraftiennes, il a su les utiliser au mieux pour servir magnifiquement ses récits, qui à travers le prisme du Fantastique nous parle avant tout de nous. Toujours imaginatif et créatif, nous embarquant avec poésie et terreur pour un voyage dans l'imaginaire finalement cohérent et diablement pensé, Joe Hill ne cesse de m'émerveiller. Les doubles sens philosophiques, un féminisme puissant et construit, des réflexions classiques mais éternelles ne cessent ainsi de venir enrichir nos lectures. Cette fois-ci ce sera donc à travers ce recueil de nouvelles sur les origines et donc l'âge d'or de la famille Locke que nous allons replonger dans cet univers. Je le dis tout de suite, si le précédent one shot de nouvelles m'avait parfois laissé sur ma faim, celui-ci est simplement indispensable. J'en connais notamment parmi vous, que l'épisode crossover avec Sandman va titiller sévèrement. Seul bémol, l'une des nouvelles (assez courte) était déjà présente dans l'édition Hi Comics de Locke & Key : Ciel et Terre. Pourquoi donc l'avoir édité sur les deux volumes au lieu d'un seul ? A mon humble avis il y a deux raisons à cela : la première est que la thématique de cette nouvelle s'inscris éditorialement sur les 2 tomes naturellement. La seconde moins noble est pécuniaire, si on enlevait Open the Moon de Ciel et Terre, il ne restait plus assez de nouvelles pour faire une édition séparée, même enrichie du travail bibliographique et de reportage présent en fin d'album. Quand à sa présence dans ce recueil L'âge d'Or, elle est indispensable pour nous donner les clefs de la narration. Vous l'aurez compris, si Ciel et terre s'avère du coup complètement dispensable, sa meilleure nouvelle étant désormais aussi présente dans L'âge d'or, ce dernier se révèle lui juste complètement indispensable. Que vous soyez fan de Locke & Key ou de Sandman. Le dessin de Gabriel Rodriguez ne cesse de m'impressionner car je vous l'avoue très très honnêtement, à l'ouverture du comics pour la première fois, il m'a clairement donné envie de le refermer. Sauf qu'une fois habitué, le niveau de détail, l'expressivité des personnages et des situations, la puissance de l'imaginaire et des mises en scènes fait que vous oublierez très vite vos goûts pour faire face à l'universalité d'une oeuvre majeure : on en reconnait la puissance évocatrice, que l'on aime ou non. Je profite d'ailleurs de cette chronique pour remercier avec émotion mon dealer libraire de l'époque qui à ma question piège "si je dois ressortir avec une seule bd à lire absolument vous me conseillez quoi" m'avait simplement fait partir avec deux tomes de Locke and Key. Merci.
  9. Titre de l'album : Locke & Key - L'âge d'or Scenariste de l'album : Joe Hill Dessinateur de l'album : Gabriel Rodriguez Coloriste : Jay Fotos Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : Tous les secrets de Lovecraft n'ont pas encore été révélés.En six histoires courtes, les deux maîtres du Manoir Keyhouse, Joe Hill et Gabriel Rodriguez, vous invitent à un voyage dans le temps et l'espace, et lèvent le voile sur les mystères qui entourent les clés et la famille Locke.Small World Une maison de poupées, une clé magique, un horrible monstre à huit pattes qui sème la terreur à Keyhouse... Des ingrédient de choix pour la pièce maîtresse de ce recueil, brillante réécriture de L'Homme qui rétrécit, le chef-d'oeuvre de Richard Matheson.Dog Days Être les gardiens des clés de Keyhouse de génération en génération est une terrible responsabilité... mais aussi une extraordinaire source d'émerveillement, surtout quand il s'agit de la clé animale !Grindhouse! Des gangsters s'attaquent à la famille Locke, sans savoir que Keyhouse recèle des mystères bien plus redoutables qu'eux... Une histoire grinçante et pleine de suspens, et un habile clin d'oeil aux romans noirs et films de série B.Open the Moon! Après les événements de Small World, retrouvez la famille Locke le temps d'une nuit d'été tout aussi tragique que magique, où une nouvelle clé révèle un pouvoir fantastique: celui d'ouvrir la Lune...In the Can et Nailed it!Où l'on prend quelques nouvelles de Bode, Kinsey et Tyler Locke.Immense succès sur Netflix, Locke & Key déroule le parcours mouvementé de ses héros en six volumes et un recueil d'histoires courtes, bientôt suivis de nouvelles aventures. Critique : En fantastique Joe Hill aura à travers Locke & Key définitivement marqué de son empreinte le monde de la bd et plus largement je pense celui de la littérature. Reprenant à son compte, sans travestir ni copier les inspirations Lovecraftiennes, il a su les utiliser au mieux pour servir magnifiquement ses récits, qui à travers le prisme du Fantastique nous parle avant tout de nous. Toujours imaginatif et créatif, nous embarquant avec poésie et terreur pour un voyage dans l'imaginaire finalement cohérent et diablement pensé, Joe Hill ne cesse de m'émerveiller. Les doubles sens philosophiques, un féminisme puissant et construit, des réflexions classiques mais éternelles ne cessent ainsi de venir enrichir nos lectures. Cette fois-ci ce sera donc à travers ce recueil de nouvelles sur les origines et donc l'âge d'or de la famille Locke que nous allons replonger dans cet univers. Je le dis tout de suite, si le précédent one shot de nouvelles m'avait parfois laissé sur ma faim, celui-ci est simplement indispensable. J'en connais notamment parmi vous, que l'épisode crossover avec Sandman va titiller sévèrement. Seul bémol, l'une des nouvelles (assez courte) était déjà présente dans l'édition Hi Comics de Locke & Key : Ciel et Terre. Pourquoi donc l'avoir édité sur les deux volumes au lieu d'un seul ? A mon humble avis il y a deux raisons à cela : la première est que la thématique de cette nouvelle s'inscris éditorialement sur les 2 tomes naturellement. La seconde moins noble est pécuniaire, si on enlevait Open the Moon de Ciel et Terre, il ne restait plus assez de nouvelles pour faire une édition séparée, même enrichie du travail bibliographique et de reportage présent en fin d'album. Quand à sa présence dans ce recueil L'âge d'Or, elle est indispensable pour nous donner les clefs de la narration. Vous l'aurez compris, si Ciel et terre s'avère du coup complètement dispensable, sa meilleure nouvelle étant désormais aussi présente dans L'âge d'or, ce dernier se révèle lui juste complètement indispensable. Que vous soyez fan de Locke & Key ou de Sandman. Le dessin de Gabriel Rodriguez ne cesse de m'impressionner car je vous l'avoue très très honnêtement, à l'ouverture du comics pour la première fois, il m'a clairement donné envie de le refermer. Sauf qu'une fois habitué, le niveau de détail, l'expressivité des personnages et des situations, la puissance de l'imaginaire et des mises en scènes fait que vous oublierez très vite vos goûts pour faire face à l'universalité d'une oeuvre majeure : on en reconnait la puissance évocatrice, que l'on aime ou non. Je profite d'ailleurs de cette chronique pour remercier avec émotion mon dealer libraire de l'époque qui à ma question piège "si je dois ressortir avec une seule bd à lire absolument vous me conseillez quoi" m'avait simplement fait partir avec deux tomes de Locke and Key. Merci. Autres infos : Un must have Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/locke-key-tome-7-age-d-or?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. alx23

    Safrane Chu tome 2

    Au final, je crois que je préfère ce spin-off à la série d'origine. John Layman est toujours au scénario avec des histoires déjantés et des personnes aux pouvoirs très particuliers. Safrane est une ciboparse, elle est capable de lire dans les pensées de tous ceux avec qui elle partage un repas. Elle est accompagnée de son compagnon, aux envies meurtrières et son grand-père en chaise roulante qui est le seul à se souvenir de l'emplacement d'ancien trésor. Au contraire de son frère, elle utilise son don pour parfaire son expertise dans les domaines illégaux comme le cambriolage, les arnaques et toutes autres méfaits pour gagner de l'argent. Dance cet épisode, John Layman nous propose même des voyages dans le temps après une croisière en bateau où le couple de voleurs dérobait tous les passagers. L'humour est bien présent, j'aime beaucoup cette touche particulière de cette série. Pour les dessins, Dan Boultwood assure des planches dans un style assez cartoon, très réussi. Je pense que les auteurs ont encore pas mal d'idées pour la suite de cette série avec la nouvelle équipe de braqueurs.
  11. alx23

    Safrane Chu tome 2

    Titre de l'album : Safrane Chu tome 2 Scenariste de l'album : John Layman Dessinateur de l'album : Dan Boultwood Coloriste : Dan Boultwood Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Safrane Chu est Cibopare : elle est capable de deviner les secrets les plus intimes de ceux avec qui elle déjeune. La soeur de Tony Chu est de retour, pour la plus déjantée et la plus étrange aventure de sa carrière : un braquage insensé au sein du monde vinicole et qui s'étend sur des siècles... Critique : Au final, je crois que je préfère ce spin-off à la série d'origine. John Layman est toujours au scénario avec des histoires déjantés et des personnes aux pouvoirs très particuliers. Safrane est une ciboparse, elle est capable de lire dans les pensées de tous ceux avec qui elle partage un repas. Elle est accompagnée de son compagnon, aux envies meurtrières et son grand-père en chaise roulante qui est le seul à se souvenir de l'emplacement d'ancien trésor. Au contraire de son frère, elle utilise son don pour parfaire son expertise dans les domaines illégaux comme le cambriolage, les arnaques et toutes autres méfaits pour gagner de l'argent. Dance cet épisode, John Layman nous propose même des voyages dans le temps après une croisière en bateau où le couple de voleurs dérobait tous les passagers. L'humour est bien présent, j'aime beaucoup cette touche particulière de cette série. Pour les dessins, Dan Boultwood assure des planches dans un style assez cartoon, très réussi. Je pense que les auteurs ont encore pas mal d'idées pour la suite de cette série avec la nouvelle équipe de braqueurs. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/safrane-chu-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Les éditions Delcourt nous font le plaisir de sortir une édition spéciale pour les 30 de Spawn. Cette intégrale regroupe les quinze premiers chapitres de la série du super-héros de l’enfer. Au niveau des bonus pour cette édition, il y a le premier chapitre en version noir et blanc avec les planches originales commentées par Todd Mcfarlane. Des couvertures originales et les premières esquisses et croquis de Spawn alors que McFarlane était encore adolescent. Spanw fête ses 30 ans et on pourra retrouver prochainement trois autres séries spin-off, King Spawn, Gunsliger qui se déroule au temps des cow-boys et The Scorched. Pour les quinze premiers chapitres qui sont proposé on retrouve le talent de Mcfarlane pour sa création au niveau du scénario mais aussi d’autres auteurs de renommés comme Frank Miller, Neil Gaiman ou encore Alan Moore qui signent chacun un des premiers chapitres. La nostalgie s’installe à la lecture de cette série où l’on retrouve des personnages forts et charismatiques comme Sam & Twitch qui auront une série attitrée par la suite ou des ennemis marquants comme Violator et Billy Kincaid. Les dessins de Todd Mcfarlane vieillissent bien je trouve pour un comics et le director’s cut du premier chapitre en noir et blanc à la fin donne un bon aperçu de son travail. La qualité d’écrire et des dessins sur Spawn n’est plus à démontrer depuis le temps et les nouveaux spin-off à venir assure le futur de la série pour longtemps.
  13. Titre de l'album : Spawn - édition spéciale 30e anniversaire Scenariste de l'album : Todd Mcfarlane, Dave Sim, Neil Gaiman, Alan Moore & Frank Miller Dessinateur de l'album : Todd Mcfarlane Coloriste : Steve Oliff, Reuben Rude & Olyoptics Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Al Simmons était un agent des forces spéciales, entraîné pour effectuer des missions sensibles. Exécuté par ses supérieurs, et parvenu aux enfers, il signe un pacte avec un démon qui doit lui permettre de retrouver l'amour de sa vie, son épouse Wanda. Victime d'un marché de dupes, il est ressuscité sous la forme d'un Hellspawn, une créature surpuissante chargée de mener les hordes infernales contre les armées célestes. Critique : Les éditions Delcourt nous font le plaisir de sortir une édition spéciale pour les 30 de Spawn. Cette intégrale regroupe les quinze premiers chapitres de la série du super-héros de l’enfer. Au niveau des bonus pour cette édition, il y a le premier chapitre en version noir et blanc avec les planches originales commentées par Todd Mcfarlane. Des couvertures originales et les premières esquisses et croquis de Spawn alors que McFarlane était encore adolescent. Spanw fête ses 30 ans et on pourra retrouver prochainement trois autres séries spin-off, King Spawn, Gunsliger qui se déroule au temps des cow-boys et The Scorched. Pour les quinze premiers chapitres qui sont proposé on retrouve le talent de Mcfarlane pour sa création au niveau du scénario mais aussi d’autres auteurs de renommés comme Frank Miller, Neil Gaiman ou encore Alan Moore qui signent chacun un des premiers chapitres. La nostalgie s’installe à la lecture de cette série où l’on retrouve des personnages forts et charismatiques comme Sam & Twitch qui auront une série attitrée par la suite ou des ennemis marquants comme Violator et Billy Kincaid. Les dessins de Todd Mcfarlane vieillissent bien je trouve pour un comics et le director’s cut du premier chapitre en noir et blanc à la fin donne un bon aperçu de son travail. La qualité d’écrire et des dessins sur Spawn n’est plus à démontrer depuis le temps et les nouveaux spin-off à venir assure le futur de la série pour longtemps. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/spawn-edition-speciale-30e-anniversaire?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. alx23

    Blade Runner 2029 tome 1

    Blade runner 2029 fait suite à la trilogie 2019, on retrouve la blade runner Ash, un peu vieillie mais toujours enquêtrice à la recherche des derniers réplicants. Mike Johnson nous a concocté une intrigue crédible pour les nexus 6 et une longévité augmentée. Ce premier tome intitulé réunion regroupe les quatre comics de la version originale et l'on pourrait juste regretter de ne pas avoir un chapitre supplémentaire pour profiter de l'ambiance très bien retranscrite dans cette série en comics. Les dessins d'Andres Guinaldo sont parfaits avec des planches souvent détaillées, surtout pour un comics. Des recherches graphiques et autres couvertures alternatives terminent de compléter cet album. La sage Blade runner nous offre des titres de qualité avec une partie graphique très bien travaillés et des couleurs qui donnent l'impression de visionner des images des films. L'histoire n'est pas en reste avec la blade runner qui joue dans les deux camps pour venir en aide aux réplicants qui le méritent. La série se poursuit avec ce second cycle de blade runner et Ash à Los Angeles futuriste et très pluvieux.
  15. Titre de l'album : Blade Runner 2029 tome 1 Scenariste de l'album : Mike Johnson Dessinateur de l'album : Andres Guinaldo Coloriste : Marko Lesko Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : On est en 2029 et la Blade Runner Ash continue sa traque des réplicants rebelles dans les rues inquiétantes de ce Los Angeles dystopique. Mais cette fois-ci, elle essaiera de sauver le plus possible d'innocents. Critique : Blade runner 2029 fait suite à la trilogie 2019, on retrouve la blade runner Ash, un peu vieillie mais toujours enquêtrice à la recherche des derniers réplicants. Mike Johnson nous a concocté une intrigue crédible pour les nexus 6 et une longévité augmentée. Ce premier tome intitulé réunion regroupe les quatre comics de la version originale et l'on pourrait juste regretter de ne pas avoir un chapitre supplémentaire pour profiter de l'ambiance très bien retranscrite dans cette série en comics. Les dessins d'Andres Guinaldo sont parfaits avec des planches souvent détaillées, surtout pour un comics. Des recherches graphiques et autres couvertures alternatives terminent de compléter cet album. La sage Blade runner nous offre des titres de qualité avec une partie graphique très bien travaillés et des couleurs qui donnent l'impression de visionner des images des films. L'histoire n'est pas en reste avec la blade runner qui joue dans les deux camps pour venir en aide aux réplicants qui le méritent. La série se poursuit avec ce second cycle de blade runner et Ash à Los Angeles futuriste et très pluvieux. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/blade-runner-2029-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. poseidon2

    Flash Infinite t1

    Ah ben il en fallait un et le voici : le premier tome d'Infinite qui ne m'a pas plu. Les autres ont été, pour moi, d'excellent reboot. Celui-ci est aussi un reboot mais je l'ai trouvé un peu moins intéressant. Plus utilitaire je dirais. En effet il fallait remettre le personnage de Wally West au premier plan donc on a trouvé un truc pour qu'il revienne. Truc qui consiste à le faire voyager dans le temps à base de petit chapitre sans grand intérêt où il prend possession de corps pour aider la vitesse pure. Le déroule est sans aucune surprise et la fin tirée par les cheveux et trop vite dégagée pour arriver à ce qu'on attendait : Cool on recommence une histoire de flash qui permettra à tous de raccrocher les vacances. Si on ne peut nier l'utilité du comic pour la remise dans le nouvel univers de Flash, la forme aurait pu, elle, être bien mieux travaillée.
  17. Titre de l'album : Flash Infinite t1 Scenariste de l'album : Jeremy Adams Dessinateur de l'album : Brandon Peterson / Fernando Pasarín Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Barry Allen n'en croit pas ses oreilles : son élève, Wally West, troisième héros à porter le nom de Flash, a décidé de raccrocher les gants. Après avoir vécu l'enfer dans le Sanctuaire et avoir voyagé dans l'espace-temps, Wally ne désire plus qu'une chose : se consacrer à sa famille. Pour ce faire, il renonce à ses pouvoirs de vitesse. Dans une dernière course, les deux Bolides entreprennent de couper sa connexion à la Force Véloce, qui lui confère ses capacités. Mais l'opération tourne mal et Wally disparaît. Barry et les autres héros ignorent deux choses : d'une part, Wally West a été projeté dans le temps, sa conscience s'implantant dans le corps d'autres bénéficiaires de super-vélocité ; et d'autre part, un vieil ennemi est de retour, bien décidé à ce que les Bolides ne puissent plus jamais courir. Contenu vo : The Flash #768-771 and The Flash 2021 Annual #1. Critique : Ah ben il en fallait un et le voici : le premier tome d'Infinite qui ne m'a pas plu. Les autres ont été, pour moi, d'excellent reboot. Celui-ci est aussi un reboot mais je l'ai trouvé un peu moins intéressant. Plus utilitaire je dirais. En effet il fallait remettre le personnage de Wally West au premier plan donc on a trouvé un truc pour qu'il revienne. Truc qui consiste à le faire voyager dans le temps à base de petit chapitre sans grand intérêt où il prend possession de corps pour aider la vitesse pure. Le déroule est sans aucune surprise et la fin tirée par les cheveux et trop vite dégagée pour arriver à ce qu'on attendait : Cool on recommence une histoire de flash qui permettra à tous de raccrocher les vacances. Si on ne peut nier l'utilité du comic pour la remise dans le nouvel univers de Flash, la forme aurait pu, elle, être bien mieux travaillée. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/flash-infinite-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. poseidon2

    Crossover t1

    Titre de l'album : Crossover t1 Scenariste de l'album : Donny Cates Dessinateur de l'album : Geoff Shaw Coloriste : Geoff Shaw Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Que se passe-t-il lorsqu'un mega crossover, mêlant l'ensemble des héros de toutes les séries comics, fait irruption dans notre réalité et ravage la ville de Denver et sa population ? Plusieurs années après le désastre, la bataille fait toujours rage mais elle a heureusement été circonscrite derrière un champ de force. Ellie, une survivante de ce crossover, tient depuis la dernière boutique de comics dans un monde qui a appris à détester ces héros de papier. On brûle à nouveau des comics dans la rue, Marvel et DC ont mis la clé sous la porte et sa librairie fait office de musée pour cette culture en voie de disparition. Lorsque l'une de ces créatures de papier pénètre dans la boutique pour chercher de l'aide, Ellie s'engage dans une odyssée en quadrichromie... Critique : Des fois je me demande ce qu'il peut bien passer par la tête de Donny Cates. Après le très bon Paybacks, voici qu'il arrive chez nous un autre ovni : Crossover. Si l'idée de super héros débarquant d'éléments de fiction et arrivant dans la vraie vie n'est pas nouvelle (Last Action hero for ever), le fait de faire débarquer un giga Crossover géant est lui assez inédit. Encore plus le fait de mettre en avant le fait que pour les héros les humains et les villes sont des dégâts collatéraux qui justifient de mettre ces dit héros sous cloche. Là ou Donny Cates va encore plus loin c'est en partant du principe que cette apparition ne concerne pas uniquement le super héros de ces comics mais bien tous les personnages, qu'ils soient figurant, avec ou sans pouvoir. S'en découle une aventure qui oscille entre l'humanitaire et le récit fantastique.... À tendance loufoque avec l'arrivée des Paybacks sortis de leurs comic. Une histoire dense et pleine de rebondissements qui prend, malheureusement pour ceux qui ne suivent pas les sorties de Donny Cates, vraiment tout son sens si on a lu précédemment the Paybacks et God Country, les deux one shot précèdent de Donny Cates auxquels il fait référence durant tout ce tome 1. Avec ces lecture préalables, Crossover forme un ensemble vraiment excellent. Sans cela reste un bon comics à la marge de ce qi se fait habituellement dans l'univers des super héros. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/crossover-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. poseidon2

    Crossover t1

    Des fois je me demande ce qu'il peut bien passer par la tête de Donny Cates. Après le très bon Paybacks, voici qu'il arrive chez nous un autre ovni : Crossover. Si l'idée de super héros débarquant d'éléments de fiction et arrivant dans la vraie vie n'est pas nouvelle (Last Action hero for ever), le fait de faire débarquer un giga Crossover géant est lui assez inédit. Encore plus le fait de mettre en avant le fait que pour les héros les humains et les villes sont des dégâts collatéraux qui justifient de mettre ces dit héros sous cloche. Là ou Donny Cates va encore plus loin c'est en partant du principe que cette apparition ne concerne pas uniquement le super héros de ces comics mais bien tous les personnages, qu'ils soient figurant, avec ou sans pouvoir. S'en découle une aventure qui oscille entre l'humanitaire et le récit fantastique.... À tendance loufoque avec l'arrivée des Paybacks sortis de leurs comic. Une histoire dense et pleine de rebondissements qui prend, malheureusement pour ceux qui ne suivent pas les sorties de Donny Cates, vraiment tout son sens si on a lu précédemment the Paybacks et God Country, les deux one shot précèdent de Donny Cates auxquels il fait référence durant tout ce tome 1. Avec ces lecture préalables, Crossover forme un ensemble vraiment excellent. Sans cela reste un bon comics à la marge de ce qi se fait habituellement dans l'univers des super héros.
  20. Difficile d'échapper au phénomène The Witcher en ce moment, entre série TV et jeux vidéos à succès, l'oeuvre de Dark Fantasy d'Andrzej Sapkowski a connu ses dernières années un grand succès. Je l'avoue fort simplement j'ai découvert The Witcher par le troisième opus vidéoludique, fort réussi pour le coup. Ce qui m'a naturellement donné envie de lire les romans. Et j'avoue que là j'ai été un peu désappointé par la narration et l'écriture de l'oeuvre originelle. Assumons le, je trouvais le jeux vidéo bien mieux écris. Soit. La série, qui a repris le fil du roman a souffert également de cette trame narrative très spécifique à ce roman. C'est donc avec un brin d'appréhension que je me suis lancé dans ce comics, tiré directement d'une des nouvelles d'Andrzej Sapkowski. Hors rassurez vous tout de suite, le parti pris ici est de nous livrer un Witcher bien plus facile d'accès que le roman ou la série TV et se concentrant (pour le moment ?) sur le gagne pain de notre héros Geralt De Riv. L'intrigue donc en one shot est savoureuse pour tous les amateurs de l'univers de The Witcher, mais aussi accessible pour ceux qui en viendraient à le découvrir. Le dessin de Jonas Scharf est sublime et merveilleusement adapté à cette Dark Fantasy, et la colorisation de José Villarrubia est plus que réussie. Seul bémol et regret pour moi, la faible pagination (48 pages) correspondant certes à un prix de lancement adapté en conséquence de 9,9€ mais présentant le défaut de nous livrer une histoire trop courte. Suffisante donc pour les amateurs de Geralt De Riv, mais qui risque de laisser sur un goût de vraiment trop peu les autres. Si je comprend fort bien le choix fort fait à ce sujet par Hi Comics au vu de la crise que traverse le comics en France, je ne peux toutefois en tant que lecteur que déplorer cette pagination courte... et attendre le prochain tome avec grande impatience. Et si j'ai un souhait : ne serait-il pas possible de nous livrer par la bd un nouvel arc inédit et bien plus conséquent des aventures du Witcher ? A noter que la couverture de la version classique de The WItcher a été réalisée par Kai Carpenter, et qu'une édition collecto de luxe en noir et blanc est également prévue, et qu'elle semble plus que très jolie 🙂
  21. Titre de l'album : The Witcher - Tome 1 - Un grain de vérité Scenariste de l'album : Jacek Rembis & Travis Currit Dessinateur de l'album : Jonas Scharf Coloriste : José Villarrubia Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : Un best-seller international : David Gemmell Legend Award 2009 du Meilleur roman de Fantasy.L'adaptation comics officielle de la nouvelle «Un grain de vérité».Geralt de Riv est un homme inquiétant, un mutant devenu le parfait assassin grâce à la magie et à un long entraînement. En ces temps obscurs, ogres, goules et vampires pullulent, et les magiciens sont des manipulateurs experts. Contre ces menaces, il faut un tueur à gages à la hauteur, et Geralt est plus qu'un guerrier ou un mage. C'est un sorceleur...Dans ce premier tome, une rencontre macabre au détour d'une forêt mène Geralt à un château abandonné et à son curieux hôte: Nivellen, une créature à l'apparence monstrueuse mais aux manières des plus civilisées. Le temps d'un repas, Nivellen se livre sur son passé, sa famille, et sur le maléfice qui l'accable. Si le poids de ses fautes l'a condamné à cette apparence de bête - un châtiment cher aux contes de fée - pourrait-il aussi y avoir un grain de vérité dans ces légendes, un grain de vérité qui l'aiderait à conjurer le sort? Une réinterprétation magistrale du célèbre conte La Belle et la Bête, pour la première fois adaptée en comics par Jacek Rembis et Jonas Scharf (Avengers, Power Rangers, Bone Parish). Critique : Difficile d'échapper au phénomène The Witcher en ce moment, entre série TV et jeux vidéos à succès, l'oeuvre de Dark Fantasy d'Andrzej Sapkowski a connu ses dernières années un grand succès. Je l'avoue fort simplement j'ai découvert The Witcher par le troisième opus vidéoludique, fort réussi pour le coup. Ce qui m'a naturellement donné envie de lire les romans. Et j'avoue que là j'ai été un peu désappointé par la narration et l'écriture de l'oeuvre originelle. Assumons le, je trouvais le jeux vidéo bien mieux écris. Soit. La série, qui a repris le fil du roman a souffert également de cette trame narrative très spécifique à ce roman. C'est donc avec un brin d'appréhension que je me suis lancé dans ce comics, tiré directement d'une des nouvelles d'Andrzej Sapkowski. Hors rassurez vous tout de suite, le parti pris ici est de nous livrer un Witcher bien plus facile d'accès que le roman ou la série TV et se concentrant (pour le moment ?) sur le gagne pain de notre héros Geralt De Riv. L'intrigue donc en one shot est savoureuse pour tous les amateurs de l'univers de The Witcher, mais aussi accessible pour ceux qui en viendraient à le découvrir. Le dessin de Jonas Scharf est sublime et merveilleusement adapté à cette Dark Fantasy, et la colorisation de José Villarrubia est plus que réussie. Seul bémol et regret pour moi, la faible pagination (48 pages) correspondant certes à un prix de lancement adapté en conséquence de 9,9€ mais présentant le défaut de nous livrer une histoire trop courte. Suffisante donc pour les amateurs de Geralt De Riv, mais qui risque de laisser sur un goût de vraiment trop peu les autres. Si je comprend fort bien le choix fort fait à ce sujet par Hi Comics au vu de la crise que traverse le comics en France, je ne peux toutefois en tant que lecteur que déplorer cette pagination courte... et attendre le prochain tome avec grande impatience. Et si j'ai un souhait : ne serait-il pas possible de nous livrer par la bd un nouvel arc inédit et bien plus conséquent des aventures du Witcher ? A noter que la couverture de la version classique de The WItcher a été réalisée par Kai Carpenter, et qu'une édition collecto de luxe en noir et blanc est également prévue, et qu'elle semble plus que très jolie 🙂 Autres infos : d'après l'oeuvre de Andrzej Sapkowski Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-witcher-comics-tome-1-un-grain-de-verite/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. poseidon2

    The Paybacks

    On pourrait penser qu'il est difficile d'innover dans le comics. Et bien mine de rien Donny Cales le fait avec ce The Paybacks. Mieux que cela il répond à une question que tout lecteur de comics s'est déjà posé : Comment font les super héros pour se payer tout leur matériels/costumes ultra restant etc. ???? Et bien la réponse est simple : ils empruntent de l'argent comme tout le monde. Mais ils oublient souvent qu'un emprunt doit être remboursé et c'est là qu'interviennent Les Impayés. Ce sont des héros qui se retrouvent devoir jouer au recouvreur de dettes pour payer... leur propre dette ! Comme dans Suicide Squad, ces héros sont obligés de payer leur dette de leur personne s’ils ne veulent pas se voir exploser. Cela nous donne une équipe qui de Paypacks autant impliqué et motivé que la suicide Squad mais avec un sujet beaucoup plu rigolo. Surtout que tout cette organisation par en sucette lorsqu'apparait un groupement concurrent. Une histoire très fraiche, dynamique, un peu WTF, finie en 1 seul tome avec une possibilités de rallonger le plaisir dans Crossover (critique à venir) sans obligation. Bref c'est tout bon !
  23. poseidon2

    The Paybacks

    Titre de l'album : The Paybacks Scenariste de l'album : Cates Donny Dessinateur de l'album : Cates Donny Coloriste : Cates Donny Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Dans un monde capitaliste, tout a un prix, même combattre le crime ! Il est donc naturel que les super-héros empruntent de l'argent pour financer leurs améliorations génétiques, leur matériel de haute technologie et autres ordinateurs pour traquer les vilains. Mais leurs dettes explosent et les frais de gestion super-héroïque impayés s'accumulent. Pour y remédier, une seule solution, faites appel aux Impayés ! Cette équipe de recouvrement composée d'anciens héros en faillite se chargera de saisir le matériel et les bases secrètes de tous les mauvais payeurs ! Critique : On pourrait penser qu'il est difficile d'innover dans le comics. Et bien mine de rien Donny Cales le fait avec ce The Paybacks. Mieux que cela il répond à une question que tout lecteur de comics s'est déjà posé : Comment font les super héros pour se payer tout leur matériels/costumes ultra restant etc. ???? Et bien la réponse est simple : ils empruntent de l'argent comme tout le monde. Mais ils oublient souvent qu'un emprunt doit être remboursé et c'est là qu'interviennent Les Impayés. Ce sont des héros qui se retrouvent devoir jouer au recouvreur de dettes pour payer... leur propre dette ! Comme dans Suicide Squad, ces héros sont obligés de payer leur dette de leur personne s’ils ne veulent pas se voir exploser. Cela nous donne une équipe qui de Paypacks autant impliqué et motivé que la suicide Squad mais avec un sujet beaucoup plu rigolo. Surtout que tout cette organisation par en sucette lorsqu'apparait un groupement concurrent. Une histoire très fraiche, dynamique, un peu WTF, finie en 1 seul tome avec une possibilités de rallonger le plaisir dans Crossover (critique à venir) sans obligation. Bref c'est tout bon ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-paybacks?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. poseidon2

    Robin Infinite t1

    Avec le reboot qu'est Infinite, Damian Wayne, alias Robin, a le droit a son propre numéro. Finit le duo avec Johnatan Kent (qui a pris un coup de vieux d'un coup il faut dire) et bienvenue au travail en solo ! En vrai solo car Damian quitte la bat family et se lance sel à l'aventure. Et aventure est le mot qu'il faut pour décrire ce Robin infinite. Josh Williamson nous livre un récit orienté ado. Rien de très méchant, rien de très compliqué mais de la bonne action/aventure avec plein de jeune (méchant ou gentil) cherchant à faire leurs preuves. Le coté tournoi amène un coté manga qui plaira aux jeunes lecteurs tout comme le dynamise et la coloration de ce premier tome. On se prend au jeu rapidement et on se laisse entrainer dans les aventures trépidantes d'un jeune homme en quête de repère. Vivement la suite !
  25. Titre de l'album : Robin Infinite t1 Scenariste de l'album : Josh Williamson Dessinateur de l'album : Gleb Melnikov Coloriste : Gleb Melnikov Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Damian a disparu ! Malgré les recherches intensives lancées par sa famille, plus une trace du rejeton démoniaque de Bruce Wayne... Sur les traces de l'obscure Ligue de Lazare, une faction dissidente de la Ligue des Ombres de son grand-père Ra's al Ghul, Damian accède à un tournoi d'arts martiaux établi sur une île secrète. En parallèle, Batman redoute ce que son fils prépare et se demande s'ils pourront un jour se réconcilier après leurs récents différends. Tandis que Damian s'enfonce dans les machinations de la Ligue de Lazare, le fils de la chauve-souris découvre qu'il a peut-être trouvé la seule épreuve qu'il ne pourra surmonter seul... Critique : Avec le reboot qu'est Infinite, Damian Wayne, alias Robin, a le droit a son propre numéro. Finit le duo avec Johnatan Kent (qui a pris un coup de vieux d'un coup il faut dire) et bienvenue au travail en solo ! En vrai solo car Damian quitte la bat family et se lance sel à l'aventure. Et aventure est le mot qu'il faut pour décrire ce Robin infinite. Josh Williamson nous livre un récit orienté ado. Rien de très méchant, rien de très compliqué mais de la bonne action/aventure avec plein de jeune (méchant ou gentil) cherchant à faire leurs preuves. Le coté tournoi amène un coté manga qui plaira aux jeunes lecteurs tout comme le dynamise et la coloration de ce premier tome. On se prend au jeu rapidement et on se laisse entrainer dans les aventures trépidantes d'un jeune homme en quête de repère. Vivement la suite ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/robin-infinite-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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