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  1. alx23

    Porchery

    Titre de l'album : Porchery Scenariste de l'album : Tyrone Finch Dessinateur de l'album : Mauricet Coloriste : Lee Loughridge Editeur de l'album : Les humanoides associés Note : Résumé de l'album : Lorsque des cochons infernaux menacent l'humanité, Ellis et Zoey n'ont d'autre choix que de les anéantir un à un. Condamné à tort pour le meurtre de sa femme, Ellis jure de se venger. Avec l'aide de sa belle-soeur Zoey, il retrouve les assassins : des cochons démoniaques. Cette « légion » de démons issus de la Bible constitue une menace aussi funeste qu'incroyable contre l'espèce humaine entière, dont seule une traque aussi gore qu'acharnée pourra venir à bout. Critique : Porchery est un titre vraiment étonnant qui mélange avec subtilité humour noir, fantastique et un soupçon d'horreur. L'histoire de Tyrone Finch est assez décalée avec des cochons tueurs mais le scénariste arrive à trouver une explication qui en veut bien d'autres histoires qui se veulent plus sérieuses. On rentre vite dans le vif du sujet avec un couple de héros qui part en guerre contre des cochons sataniques. Ces derniers ont pour but de massacrer les hommes ou de les asservir afin de prendre le contrôle de la planète. Les dessins de Mauricet sont de qualité et très travaillés. Mauricet réussi à rendre terrifiant les cochons en transformant avec des veines bien marquées autour de la tête ou des éclairs qui apparaissent pour montrer leur pouvoir. L’album se termine sur des bonus avec recherches graphique de l’auteur et la description de son travail. J'ai passé un agréable moment de lecture avec les six premiers chapitres de cette mini-série dont je vais attendre le deuxième tome avec impatience. Les histoires déjantées sont tendances mais apportent un renouveau dans le monde du comics. Dès le départ en voyant ce titre, j'ai repensé au film Black sheep pour les lecteurs qui connaissent. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/porchery?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. The_PoP

    Shangaï Red

    Hi Comics a décidément une belle offre de comics indé qu'ils publient sous leur label en France. Ce Shangaï Red ne fait guère exception à la règle puisque ce polar âpre et violent nous dépeint une époque sombre et sans pitié. Ici le thème de la vengeance est magnifié par les dessins sans concessions de Josh Hixson, l'ambiance ne peut être qu'étouffante, suintante et sale. C'est parfois austère, mais les scènes d'actions y sont représentées de manière fluide et lisible et si les personnages auraient probablement mérité d'être un peu plus identifiables, cela sert pour autant bien le propos du "tous pourris". Il n'y a pas vraiment d'espoir ni de lumière dans Shangaï Red. L'âme humaine y est mise à nue, et décortiquée pour en sortir vices et lâchetés et les exposer à notre vue. Pour autant l'action y est non stop et s'enchaine avec facilité grâce à une narration somme toute assez classique mais bien maitrisée de Christopher Sebela. Petit bémol pour ma part sur la fin, et je ne m'étendrai pas là dessus car je ne souhaite pas spoiler. Ce Shangaï Red n'est assurément pas une lecture qui fait du bien, comme souvent avec les histoires de Vengeance, mais la description qui y est faite de la société risque bien de vous emprunter votre optimisme pour la journée au fil des pages.
  3. The_PoP

    Shangaï Red

    Titre de l'album : Shangaï Red Scenariste de l'album : Christoper Sebela Dessinateur de l'album : Josh Hixson Coloriste : Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : XIXe siècle, Portland, Oregon. Red n'a jamais eu peur de travailler dur. Depuis l'enfance, elle endosse les responsabilités et l'apparence d'un homme pour subvenir aux besoins de sa famille. Mais le plus cruel restait à venir : droguée et kidnappée, elle est enrôlée de force sur un navire en partance pour Shanghai, comme tant d'autres à cette époque. Des années de servitude en mer qui se soldent par une rébellion sanglante, et le désir implacable de se venger de ceux qui l'ont arrachée à sa famille. De retour à Portland, Red n'a qu'une obsession : retrouver les siens et traquer les hommes qui l'ont vendue. Des bas-fonds de la ville et ses souterrains secrets à la corruption des hautes sphères, Red fait couler le sang, dans une quête de vengeance et d'identité qui la changera à jamais. Christopher Sebela (Crowded, High Crimes, We(l)come Back) et Joshua Hixson (The Black Woods, The Plot) livrent avec Shanghai Red un puissant polar historique et un récit de vengeance qui transcende le genre, dans tous les sens du terme. Critique : Hi Comics a décidément une belle offre de comics indé qu'ils publient sous leur label en France. Ce Shangaï Red ne fait guère exception à la règle puisque ce polar âpre et violent nous dépeint une époque sombre et sans pitié. Ici le thème de la vengeance est magnifié par les dessins sans concessions de Josh Hixson, l'ambiance ne peut être qu'étouffante, suintante et sale. C'est parfois austère, mais les scènes d'actions y sont représentées de manière fluide et lisible et si les personnages auraient probablement mérité d'être un peu plus identifiables, cela sert pour autant bien le propos du "tous pourris". Il n'y a pas vraiment d'espoir ni de lumière dans Shangaï Red. L'âme humaine y est mise à nue, et décortiquée pour en sortir vices et lâchetés et les exposer à notre vue. Pour autant l'action y est non stop et s'enchaine avec facilité grâce à une narration somme toute assez classique mais bien maitrisée de Christopher Sebela. Petit bémol pour ma part sur la fin, et je ne m'étendrai pas là dessus car je ne souhaite pas spoiler. Ce Shangaï Red n'est assurément pas une lecture qui fait du bien, comme souvent avec les histoires de Vengeance, mais la description qui y est faite de la société risque bien de vous emprunter votre optimisme pour la journée au fil des pages. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/shanghai-red?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. alx23

    The twelve

    Avec The twelve, Joe Michaël Straczynski récupère des super-héros de l'âge d'or des comics de chez Mavel pour les propulser au début des années 2000. En effet, le récit commence durant l'affrontement des nazis par les super-héros menés par Captain America. Une équipe composée de douze super-héros sera captura puis congelée durant soixante ans avant de d'être retrouvée lors de la construction d'un bâtiment dans Berlin. Les super-héros héros de l'époque vont devoir s'adapter à la situation comme on reste dans la continuité des événements de Civil war, ils devrontn décliner leur identité pour commencer. Tout le génie de Joe Michaël Straczynski est de jouer sur la psychologie des super-héros dépassés par une époque qui n'est pas la leurs. L'auteur les introduit les uns après les autres pour découvrir leur pouvoir et son origine, ou bien leur compétence en l’absence de pouvoir. Il ne réécrit pas l'histoire de ces super-héros mais les utilise avec leurs compétences, leurs défauts et autres aptitudes à combattre pour le bien. La partie graphique de Chris Weston est de qualité pour dépeindre les aventures de ces super-héros avec des costumes ou tenues en décalage avec l'époque. Avec cette maxi-série de douze épisodes, Joe Michaël Straczynski prouve tout son talent de scénariste comme il n'était pas évident de trouver une histoire convaincante surtout avec cette idée de base où les héros étaient congelés. Un chapitre supplémentaire complète cette intégrale avec un one-shot se déroulant pendant les combats de seconde guerre mondiale avec notamment Captain America. The twelve m'a agréablement surpris et je recommande fortement la lecture de cette série.
  5. alx23

    The twelve

    Titre de l'album : The twelve Scenariste de l'album : Joe Michaël Straczynski Dessinateur de l'album : Chris Weston Coloriste : Chris Chuckry Editeur de l'album : Panini Note : Résumé de l'album : Ils étaient les plus grands héros de la Terre... il y a soixante ans. Aujourd'hui, les Douze se réveillent dans un monde tourmenté qui a plus que jamais besoin d'eux. Mais leur héroïsme à l'ancienne a-t-il encore sa place dans notre univers ? Douze héros, douze épisodes, une saga incontournable. J. Michael Straczynski, l'un des auteurs les plus en vue chez Marvel au début des années 2000, a l'idée en 2007 d'exhumer douze héros datant du Golden Age, à l'époque où Marvel était encore Timely Comics. Que se passerait-il si ces héros des années 40 se réveillaient aujourd'hui ? Une oeuvre moins connue de cet auteur prolifique, mais qui vaut le détour, d'autant qu'il s'agit d'un one-shot ! Critique : Avec The twelve, Joe Michaël Straczynski récupère des super-héros de l'âge d'or des comics de chez Mavel pour les propulser au début des années 2000. En effet, le récit commence durant l'affrontement des nazis par les super-héros menés par Captain America. Une équipe composée de douze super-héros sera captura puis congelée durant soixante ans avant de d'être retrouvée lors de la construction d'un bâtiment dans Berlin. Les super-héros héros de l'époque vont devoir s'adapter à la situation comme on reste dans la continuité des événements de Civil war, ils devrontn décliner leur identité pour commencer. Tout le génie de Joe Michaël Straczynski est de jouer sur la psychologie des super-héros dépassés par une époque qui n'est pas la leurs. L'auteur les introduit les uns après les autres pour découvrir leur pouvoir et son origine, ou bien leur compétence en l’absence de pouvoir. Il ne réécrit pas l'histoire de ces super-héros mais les utilise avec leurs compétences, leurs défauts et autres aptitudes à combattre pour le bien. La partie graphique de Chris Weston est de qualité pour dépeindre les aventures de ces super-héros avec des costumes ou tenues en décalage avec l'époque. Avec cette maxi-série de douze épisodes, Joe Michaël Straczynski prouve tout son talent de scénariste comme il n'était pas évident de trouver une histoire convaincante surtout avec cette idée de base où les héros étaient congelés. Un chapitre supplémentaire complète cette intégrale avec un one-shot se déroulant pendant les combats de seconde guerre mondiale avec notamment Captain America. The twelve m'a agréablement surpris et je recommande fortement la lecture de cette série. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-twelve?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. L'équipe d'espionnes international Danger girl s'associe à Ash le héros des films Evil dead, dans une aventure pleine de morts-vivants. Le scénario est bien trouvé avec Abbey Chase l'aventurière à la recherche d'objets mystérieux qui va se retrouver avec une page du Nécronomicon, le fameux livre des morts à la source de tous les problèmes d'Ash. Une fois qu'une personne lit ce livre, les choses se compliquent et surtout pour Ash le seul rescapé du carnage de la cabane au fond des bois. Si vous ne connaissez pas ni Danger girl et ni Ash, les héros se présentent à tour de rôle dans les six chapitres de ce tome. L'humour des deux séries est bien amené comme d'habitude mais avec cette fois ci une partie plus fantastique et voir gore avec des effusions de sang quand les morts reviennent à la vie et qu'Ash utilise sa tronçonneuse pour les découper. Les dessins de Cris Bolson sont très détaillés et mettent bien en avant les héros de l'histoire dans un effet cinématographique. Les scènes d’actions sont dynamiques avec l'équipe de Danger girl et Ash face à l'armée de zombie. Deux auteurs gèrent les couleurs dans des styles très proches et dur de différencier. Les éditions Graph Zeppelin soignent très bien leur titre en ajoutant toujours toutes les couvertures alternatives en fin d'album.
  7. Titre de l'album : Danger Girl face à l'armée des ténèbres Scenariste de l'album : Andy Hartnell Dessinateur de l'album : Cris Bolson Coloriste : Adriano Lucas & Marcio Menyz Editeur de l'album : Graph Zeppelin Note : Résumé de l'album : Le mythique Livre des Morts est tombé entre des mains maléfiques qui projettent de monter une armée invincible. Revenue à la vie, cette armée zombis menace l'humanité. Voilà une mission pour nos espionnes préférées qui trouveront un allié de choc en la personne du spécialiste des morts-vivants : Ash Williams ! L'équipe de Danger Girl réussira-elle à sauver le Monde de l'infernale Armée des Ténèbres et de la menace qui pèse sur l'humanité ou sera-t-elle plongée dans les ténèbres éternelles ? Critique : L'équipe d'espionnes international Danger girl s'associe à Ash le héros des films Evil dead, dans une aventure pleine de morts-vivants. Le scénario est bien trouvé avec Abbey Chase l'aventurière à la recherche d'objets mystérieux qui va se retrouver avec une page du Nécronomicon, le fameux livre des morts à la source de tous les problèmes d'Ash. Une fois qu'une personne lit ce livre, les choses se compliquent et surtout pour Ash le seul rescapé du carnage de la cabane au fond des bois. Si vous ne connaissez pas ni Danger girl et ni Ash, les héros se présentent à tour de rôle dans les six chapitres de ce tome. L'humour des deux séries est bien amené comme d'habitude mais avec cette fois ci une partie plus fantastique et voir gore avec des effusions de sang quand les morts reviennent à la vie et qu'Ash utilise sa tronçonneuse pour les découper. Les dessins de Cris Bolson sont très détaillés et mettent bien en avant les héros de l'histoire dans un effet cinématographique. Les scènes d’actions sont dynamiques avec l'équipe de Danger girl et Ash face à l'armée de zombie. Deux auteurs gèrent les couleurs dans des styles très proches et dur de différencier. Les éditions Graph Zeppelin soignent très bien leur titre en ajoutant toujours toutes les couvertures alternatives en fin d'album. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/danger-girl-face-a-l-armee-des-tenebres-zombs-a-gogo?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. alx23

    Lady Kildare tome 1

    Les éditions Delcourt nous proposent depuis quelques temps tous les comics réalisés par Brian Haberlin après Sonota ou Marqués, c'est au tour de Lady Kildare. Ce comics est sorti initialement chez Image comics au début des années 2000, mais le titre n'a pas pour autant perdu en qualité. Au niveau de l'histoire, on découvre un monde similaire au notre mais avec la présence de fées, d'elfes ou loup-garou qui vivent par mis les humains en secret. Ces êtes féériques restent pour la plupart sur leurs terres magiques, sauf pour quelques exemples comme lady Kildare qui préfère vivre à New-York. Ce premier tome propose trois parties différentes, une histoire longue qui introduit les personnages et le contexte avant de partir combattre un être maléfique. La seconde, Lady kildare va venir en aide à un ange privé de ses pouvoirs. La dernière partie est composée de texte sur différentes protagonistes avec des illustrations. Dès les premières pages on est émerveillés par les dessins magnifiques Jay Anacleto. Brian Haberlin et Joy Martinez dessinent quelques planches dans un style très différent mais qui reste de qualité et très sombre avec beaucoup d'encrage. Si vous aimez les mondes fantastiques, avec des êtes magiques et mythiques dans des aventures prenantes, Lady Kildare est fait pour vous.
  9. alx23

    Lady Kildare tome 1

    Titre de l'album : Lady Kildare tome 1 Scenariste de l'album : Brian Holguin Dessinateur de l'album : Jay Anacleto, Brian Haberlin, Joy Martinez Coloriste : Brian Haberlin Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Imaginez un monde où les fées, les elfes, les démons et les magiciens existent vraiment. Ayant quitté les sous-bois de Faerie, ils se sont installés à New-York et mènent grand train dans les fêtes nocturnes qui animent la métropole, où la belle Lady Kildare - surnommée Aria - rayonne de mille feux. Un vrai conte de fée ?... Pas certain... C'est même l'horreur au pays des fées ! Critique : Les éditions Delcourt nous proposent depuis quelques temps tous les comics réalisés par Brian Haberlin après Sonota ou Marqués, c'est au tour de Lady Kildare. Ce comics est sorti initialement chez Image comics au début des années 2000, mais le titre n'a pas pour autant perdu en qualité. Au niveau de l'histoire, on découvre un monde similaire au notre mais avec la présence de fées, d'elfes ou loup-garou qui vivent par mis les humains en secret. Ces êtes féériques restent pour la plupart sur leurs terres magiques, sauf pour quelques exemples comme lady Kildare qui préfère vivre à New-York. Ce premier tome propose trois parties différentes, une histoire longue qui introduit les personnages et le contexte avant de partir combattre un être maléfique. La seconde, Lady kildare va venir en aide à un ange privé de ses pouvoirs. La dernière partie est composée de texte sur différentes protagonistes avec des illustrations. Dès les premières pages on est émerveillés par les dessins magnifiques Jay Anacleto. Brian Haberlin et Joy Martinez dessinent quelques planches dans un style très différent mais qui reste de qualité et très sombre avec beaucoup d'encrage. Si vous aimez les mondes fantastiques, avec des êtes magiques et mythiques dans des aventures prenantes, Lady Kildare est fait pour vous. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/lady-kildare-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. The_PoP

    Love Kills

    Pouah c'est dur de se faire une opinion tranchée sur Love Kills. Ce qui est simple par contre c'est de vous le conseiller. Parce que graphiquement, les noirs et blancs du Brésilien Danilo Beyruth, ses découpages et mises en scènes hyper cinématographiques, l'ambiance glauque qu'il réussit à instiller et ce thriller oppressant méritent d'être découverts. Ceci étant dit cette oeuvre a pour moi d'immenses défauts notamment dans la construction de son histoire, puisque des pans entiers sont évoqués mais restent terriblement nébuleux. Que l'auteur laisse une part de mystère, d'interprétation ou d'imagination au lecteur, c'est souvent bienvenu quand c'est maitrisé, mais là, je crois que c'est plus le symptôme de la difficulté à boucler un projet trop ambitieux pour le nombre de pages. Surtout que l'auteur se complique inutilement la vie à mon avis à imaginer un background aussi tortueux puisque son histoire principale fonctionne très très bien, et que son minimalisme à la Drive est percutant. Dommage donc puisqu'à mon humble avis, ce Love Kills reste au stade de sublime comics à l'ambiance hyper réussie et de bonne lecture, ce qui n'est déjà pas rien. Cependant je crois que l'histoire a manqué d'être peut être plus aboutie pour en faire un one shot inoubliable. Mais faites vous votre opinion, j'ai du mal à croire que vous puissiez trouver cette lecture inintéressante. Quoiqu'il en soit, il va falloir suivre Danilo de très près désormais.
  11. The_PoP

    Love Kills

    Titre de l'album : Love Kills Scenariste de l'album : Danilo Beyruth Dessinateur de l'album : Danilo Beyruth Coloriste : Danilo Beyruth Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Drogués et laissés pour compte se retrouvent chaque soir dans la plus grande métropole du Brésil. Se rencontrant par hasard, Helena et Marcus, sont bientôt hantés par le passé d'Helena qui révélera à son compagnon ses véritables origines. Il est temps pour elle d'expier ses erreurs passées, alors qu'un chasseur d'humains se lance sur ses traces, la transformant pour la première fois en proie. Critique : Pouah c'est dur de se faire une opinion tranchée sur Love Kills. Ce qui est simple par contre c'est de vous le conseiller. Parce que graphiquement, les noirs et blancs du Brésilien Danilo Beyruth, ses découpages et mises en scènes hyper cinématographiques, l'ambiance glauque qu'il réussit à instiller et ce thriller oppressant méritent d'être découverts. Ceci étant dit cette oeuvre a pour moi d'immenses défauts notamment dans la construction de son histoire, puisque des pans entiers sont évoqués mais restent terriblement nébuleux. Que l'auteur laisse une part de mystère, d'interprétation ou d'imagination au lecteur, c'est souvent bienvenu quand c'est maitrisé, mais là, je crois que c'est plus le symptôme de la difficulté à boucler un projet trop ambitieux pour le nombre de pages. Surtout que l'auteur se complique inutilement la vie à mon avis à imaginer un background aussi tortueux puisque son histoire principale fonctionne très très bien, et que son minimalisme à la Drive est percutant. Dommage donc puisqu'à mon humble avis, ce Love Kills reste au stade de sublime comics à l'ambiance hyper réussie et de bonne lecture, ce qui n'est déjà pas rien. Cependant je crois que l'histoire a manqué d'être peut être plus aboutie pour en faire un one shot inoubliable. Mais faites vous votre opinion, j'ai du mal à croire que vous puissiez trouver cette lecture inintéressante. Quoiqu'il en soit, il va falloir suivre Danilo de très près désormais. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/love-kills?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. poseidon2

    Antihéros

    Décidément jolie collection que cette collection Urban Kids. Et jolie pas que pour les kids. Sous couverts de dessins et d'histoire enfantines, ce Antihéros se trouve être vraiment passionnant. On suit avec plaisir les aventures de nos deux apprenties héros et vilaines. Ce qui fait la force de ce Antihéros c'est le travail intéressant réalisé sur le passé de nos enfants. Plus que leurs "pouvoirs", on parle ici de l'importance pour des ados de la sphère parentale. Entre l'une qui fait la voleuse pour soigner sa mère et l'autre qui fait l'héroïne pour combler le manque procuré par l'absence de ces parents, on a deux ados mal dans leurs peaux et qui se cherchent. Le twist de l'échange de corps renforce encore cette importance. En effet vivre la vie de quelqu'un d'autre aide à mettre en perspective sa propre vie et ses propres malheurs. Un album entier et intéressant, qui sera lu par les enfants comme les parents. En gros une vraie réussite.
  13. poseidon2

    Antihéros

    Titre de l'album : Antihéros Scenariste de l'album : Demitria Lunetta / Kate Karyus Quinn Dessinateur de l'album : Gil Maca Coloriste : Gil Maca Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Piper Pájaro et Sloane MacBrute sont deux jeunes fille de treize ans. Á première vue, tout les oppose. Piper est populaire, enjouée et optimiste. Elle est toujours prête à rendre service à ses ami(e)s. Sloane, elle, est un loup solitaire. Elle est souvent grincheuse, voire acerbe et sait très bien se débrouiller par elle-même. Lorsqu'elles ne sont pas en cours, toutes deux enfilent leur plus beau costume pour rendre justice à leur façon : Piper utilise ses pouvoirs pour faire le bien, même si elle laisse souvent derrière elle un sacré bazar ; Sloane préfère mettre son intelligence au service d'actions plus contestables. Que se passerait-il si les deux jeunes filles se retrouvaient subitement projetées dans le corps de l'autre ?! Se trouveraient-elles finalement plus de points communs qu'elles ne l'auraient imaginé ? Il n'y a qu'un seul moyen de le découvrir ! Critique : Décidément jolie collection que cette collection Urban Kids. Et jolie pas que pour les kids. Sous couverts de dessins et d'histoire enfantines, ce Antihéros se trouve être vraiment passionnant. On suit avec plaisir les aventures de nos deux apprenties héros et vilaines. Ce qui fait la force de ce Antihéros c'est le travail intéressant réalisé sur le passé de nos enfants. Plus que leurs "pouvoirs", on parle ici de l'importance pour des ados de la sphère parentale. Entre l'une qui fait la voleuse pour soigner sa mère et l'autre qui fait l'héroïne pour combler le manque procuré par l'absence de ces parents, on a deux ados mal dans leurs peaux et qui se cherchent. Le twist de l'échange de corps renforce encore cette importance. En effet vivre la vie de quelqu'un d'autre aide à mettre en perspective sa propre vie et ses propres malheurs. Un album entier et intéressant, qui sera lu par les enfants comme les parents. En gros une vraie réussite. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/antihero?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. alx23

    Marvel-verse - Deadpool

    Pour célébrer les trente ans de Deadpool, les éditions Panini comics sortent plusieurs titres emblématiques du mercenaire déjanté de chez Marvel. Ce album regroupe deux histoires courtes Deadpool annual et deux autres récits courts dont Deadpool Christmas missed us !. Cette dernière histoire est certainement la plus intéressante de cet album. En effet, Deadpool est recruté par des enfants pour tuer le père noël. Le scénario est bien loufoque et les dessins sont de qualité par rapport aux autres histories dont les dessins sont plus classiques pour des comics. Cet album est proposé à petit prix à 6.95€ pour les lecteurs qui souhaiteraient découvrir le personnage ou les autres qui voudraient compléter leur collection sur le personnage. A noter que d'autres album au format cartonné sont déjà disponibles comme Deadpool Assassin, Deadpool Retour aux affaires, Je suis Deadpool. De quoi ravir les amateurs de la série.
  15. Titre de l'album : Marvel-verse - Deadpool Scenariste de l'album : Collectif Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Panini Note : Résumé de l'album : Est-il encore besoin de présenter Wade Wilson, alias Deadpool, alias le Mercenaire Disert, alias le Meilleur Ami de Spider-Man, alias Le Trentenaire le Plus Séduisant de l'Asile de Fous ? Bien sûr que oui car on ne se lasse pas du personnage ! Voici cinq aventures qui permettront aux lecteurs jeunes et moins jeunes, de découvrir l'univers du héros le plus déjanté de la Maison des Idées !La collection Marvel-Verse propose des histoires emblématiques des plus grands personnages Marvel à petit prix. Une belle manière de célébrer les trente ans de Deadpool ! Critique : Pour célébrer les trente ans de Deadpool, les éditions Panini comics sortent plusieurs titres emblématiques du mercenaire déjanté de chez Marvel. Ce album regroupe deux histoires courtes Deadpool annual et deux autres récits courts dont Deadpool Christmas missed us !. Cette dernière histoire est certainement la plus intéressante de cet album. En effet, Deadpool est recruté par des enfants pour tuer le père noël. Le scénario est bien loufoque et les dessins sont de qualité par rapport aux autres histories dont les dessins sont plus classiques pour des comics. Cet album est proposé à petit prix à 6.95€ pour les lecteurs qui souhaiteraient découvrir le personnage ou les autres qui voudraient compléter leur collection sur le personnage. A noter que d'autres album au format cartonné sont déjà disponibles comme Deadpool Assassin, Deadpool Retour aux affaires, Je suis Deadpool. De quoi ravir les amateurs de la série. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/marvel-verse-deadpool?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. alx23

    Panorama

    Les éditions Delirium débutent la publication des titres de Michel Fiffe, un auteur américain de comics de la culture underground. Avec ce titre je viens de découvrir un nouveau genre, nommé le body-horror. Ce terme est bien explicite et donne une bonne idée de ce qui va nous attendre dans Panorama. L'introduction, nous plonge dans le vif du sujet avec un jeune homme qui après avoir fait une chute vertigineuse croise une bande de trois jeunes. Dès l'affrontement on prend pleinement conscience du genre avec le cops du héros qui ne déforme, se transforme, s'allonge pour combattre les trois adversaires. La première impression est de voir le corps du héros se liquéfier sur le sol, c'est assez dingue. Le trait de Michel Fiffe met bien évidemment très en avant ces métamorphoses spectaculaires avec son style graphique très nerveux. Les dessins sont en noir et blanc pour les 3/4 de l'album dans un style se rapprochant des plus grands dessinateurs de la scène comics. Progressivement on comprend que le héros subit les changements de son corps à cause de son anxiété. Il est évident que ce titre réserve beaucoup de surprises du début à la fin et ne laisse pas indifférent le lecteur. Panorama est visuellement spectaculaire mais possède aussi une histoire assez folle et originale à souhait. Les éditions Délirium annoncent en fin d'album la parution prochainement de Copra l'œuvre culte de cet auteur sur des super-héros. Je ne manquerai pas cette prochaine sortie.
  17. alx23

    Panorama

    Titre de l'album : Panorama Scenariste de l'album : Michel Fiffe Dessinateur de l'album : Michel Fiffe Coloriste : Michel Fiffe Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : PANORAMA décrit les aventures d'un jeune couple, Kim et Augustus, fugueurs à la fois en quête d'amour et d'identité. Confrontés à un monde adulte brutal dans lequel il va rapidement leur falloir apprendre à survivre, ils sont également soumis à un pouvoir étrange qui les amène à subir des métamorphoses incontrôlables... PANORAMA est une oeuvre qui s'adresse aux amateurs d'étrange, dans un récit perturbant où l'horreur et le bizarre côtoient avec naturel le monde le plus normal et qui ne sera pas sans rappeler le genre de "body-horror" caractéristique d'un certain David Cronenberg. Critique : Les éditions Delirium débutent la publication des titres de Michel Fiffe, un auteur américain de comics de la culture underground. Avec ce titre je viens de découvrir un nouveau genre, nommé le body-horror. Ce terme est bien explicite et donne une bonne idée de ce qui va nous attendre dans Panorama. L'introduction, nous plonge dans le vif du sujet avec un jeune homme qui après avoir fait une chute vertigineuse croise une bande de trois jeunes. Dès l'affrontement on prend pleinement conscience du genre avec le cops du héros qui ne déforme, se transforme, s'allonge pour combattre les trois adversaires. La première impression est de voir le corps du héros se liquéfier sur le sol, c'est assez dingue. Le trait de Michel Fiffe met bien évidemment très en avant ces métamorphoses spectaculaires avec son style graphique très nerveux. Les dessins sont en noir et blanc pour les 3/4 de l'album dans un style se rapprochant des plus grands dessinateurs de la scène comics. Progressivement on comprend que le héros subit les changements de son corps à cause de son anxiété. Il est évident que ce titre réserve beaucoup de surprises du début à la fin et ne laisse pas indifférent le lecteur. Panorama est visuellement spectaculaire mais possède aussi une histoire assez folle et originale à souhait. Les éditions Délirium annoncent en fin d'album la parution prochainement de Copra l'œuvre culte de cet auteur sur des super-héros. Je ne manquerai pas cette prochaine sortie. Autres infos : Délirium édition Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/panorama-196092?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. poseidon2

    DCeased hope at world's end

    Il y a quelques années de cela, quand nous étions ensevelis sous une montagne de parutions de Zombies diverses et variées, je n'aurais jamais pensé commencer une critique par une remarque de ce genre : Je pense que DCeased, avec ces zombies et sa fin du monde, est peut etre le comics le plus abouti et le plus agréable pour le grand public chez DC en ce moment. Oui oui. Je vous sens venir avec des remarques du genre : facile le zombie c'est porteur et tout et tout. Mais en fait non. Enfin si ca l'est toujours. Mais non nos auteurs ne tombent pas dans la facilité. Aussi étrange que cela puissse paraitre, le récit est clair depuis le début mais surtout, et c'est ce que l'on voit dans ce tome ci particulièrement, il est traité de facon intelligente. Ce tome ci est un tome qui se passe avant la fin du tome principale et nous raconte, apres nous avoir raconté le point de vue des méchants dans le précédent (excellent d'ailleurs), comment les gentils tentent, eux, de s'organiser. Ce qui est vraiment sympa ici c'est qu'on nous montre des héros qui ont encore de l'espoir. Loin de penser à migrer de la terre..... Le traitement des differents héros et méchants , sans prise de parti sur qui doit survivre ou non, est vraiment un des points excellents de cette série. Pour une fois nos héros ne font pas les malins et s'associent avec qui le veut bien pour sauver la terre. Bref en parrallele d'une série Metal qui est complexe au possible, cette réalité ci est rafraichissante et facile à suivre, que l'on connaisse les personnages ou non. Le cross over tout publique du moment !
  19. Titre de l'album : DCeased hope at world's end Scenariste de l'album : Tom Taylor Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : L'équation anti-vie a infecté plus d'un milliard de personnes sur Terre. De chaque côté de l'échiquier, héros comme vilains, nombreux sont ceux qui lui ont succombé. Immédiatement après la destruction de Metropolis, Superman et Wonder Woman mènent un effort pour endiguer la vague d'infection, préserver et protéger les survivants et essayer d'entrevoir la lumière au bout du tunnel. À l'heure la plus sombre de la Terre, l'humanité fait face à son plus grand défi, ne pas perdre espoir, quand tout semble déjà perdu. Critique : Il y a quelques années de cela, quand nous étions ensevelis sous une montagne de parutions de Zombies diverses et variées, je n'aurais jamais pensé commencer une critique par une remarque de ce genre : Je pense que DCeased, avec ces zombies et sa fin du monde, est peut etre le comics le plus abouti et le plus agréable pour le grand public chez DC en ce moment. Oui oui. Je vous sens venir avec des remarques du genre : facile le zombie c'est porteur et tout et tout. Mais en fait non. Enfin si ca l'est toujours. Mais non nos auteurs ne tombent pas dans la facilité. Aussi étrange que cela puissse paraitre, le récit est clair depuis le début mais surtout, et c'est ce que l'on voit dans ce tome ci particulièrement, il est traité de facon intelligente. Ce tome ci est un tome qui se passe avant la fin du tome principale et nous raconte, apres nous avoir raconté le point de vue des méchants dans le précédent (excellent d'ailleurs), comment les gentils tentent, eux, de s'organiser. Ce qui est vraiment sympa ici c'est qu'on nous montre des héros qui ont encore de l'espoir. Loin de penser à migrer de la terre..... Le traitement des differents héros et méchants , sans prise de parti sur qui doit survivre ou non, est vraiment un des points excellents de cette série. Pour une fois nos héros ne font pas les malins et s'associent avec qui le veut bien pour sauver la terre. Bref en parrallele d'une série Metal qui est complexe au possible, cette réalité ci est rafraichissante et facile à suivre, que l'on connaisse les personnages ou non. Le cross over tout publique du moment ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dceased-hope-at-world-s-end?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. poseidon2

    black Hammer t4

    Et voilà. Avec Lemire il fallait s'en douter : la série aurait une fin. Et même si on aurait aimé que cela dure bien plus longtemps, cette fin évite de tourner trop longtemps une mayonnaise déjà montée. Et Lemire tient à finir son hommage comme il l'a commencé: en respectant les codes du comics. En effet cette fin est, à contrario de beaucoup d'oeuvre de Lemire, très classique et ressemble vraiment aux happy end que l'on retrouve très souvent dans le comics mainstream. Mais on ne s'en plaint pas. Avec toutes ses aventures on ne pouvait que souhaiter une bonne fin pour nos héros. On regrettera juste que la partie centrale ne soit pas plus developpée et on espère un spin-off centré sur ce "hall of fame". Malgré ce tome 4 un poil trop court, Black Hammer reste pour moi une superbe série à posséder pour tout fan de comics. A noter que ce tome 4 est doté d'un cahier de fin de série très sympa avec des minis histoire et plein d'explications sur le monde de black Hammer.
  21. poseidon2

    black Hammer t4

    Titre de l'album : black Hammer t4 Scenariste de l'album : Jeff Lemire Dessinateur de l'album : Ormston Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Maintenant qu'ils savent comment ils se sont retrouvés coincés dans la ferme qui les a si longtemps retenus prisonniers, les héros se retrouvent avec tout ce qu'ils voulaient à leur disposition. Mais quelque chose cloche, et il faudra toute la volonté du nouveau Black Hammer pour réunir l'équipe entière et constater que de nombreuses révélations vont une fois de plus drastiquement changer leur monde. Contenu vo : Black Hammer Age of Doom #6-12 + Black Hammer - Cthu-Louise + The World of Black Hammer Encyclopedia + Black Hammer Annual #1+ Black Hammer Free Comic Book Day 2019. Critique : Et voilà. Avec Lemire il fallait s'en douter : la série aurait une fin. Et même si on aurait aimé que cela dure bien plus longtemps, cette fin évite de tourner trop longtemps une mayonnaise déjà montée. Et Lemire tient à finir son hommage comme il l'a commencé: en respectant les codes du comics. En effet cette fin est, à contrario de beaucoup d'oeuvre de Lemire, très classique et ressemble vraiment aux happy end que l'on retrouve très souvent dans le comics mainstream. Mais on ne s'en plaint pas. Avec toutes ses aventures on ne pouvait que souhaiter une bonne fin pour nos héros. On regrettera juste que la partie centrale ne soit pas plus developpée et on espère un spin-off centré sur ce "hall of fame". Malgré ce tome 4 un poil trop court, Black Hammer reste pour moi une superbe série à posséder pour tout fan de comics. A noter que ce tome 4 est doté d'un cahier de fin de série très sympa avec des minis histoire et plein d'explications sur le monde de black Hammer. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/black-hammer-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. alx23

    Le retour du messie - verset 1

    Suite à une pression importante des religieux intégristes aux Etats-Unis, la série n’a pas pu sortir dans le catalogue de la maison d’édition DC, comme prévue initialement. Le problème majeur vient du fait de réunir un super-héros qui devait être Superman et Jésus Christ dans des aventures complétements déjantés et loufoques. On comprend rapidement pourquoi le titre s'est attiré des problèmes des groupes religieux dès l'introduction quand Dieu crée la terre avec Adam et Eve. Il tourne en dérision la religion chrétienne ce qui n’est pas bien vu encore aujourd’hui. L'histoire est vraiment amusante, les répliques de dieu ou ses réflexions sont excellentes et l’ensemble est très bien réfléchi. Face à l'échec de la dernière création de dieu, Jésus propose d'aller sur Terre pour remettre de l'ordre mais il sera crucifié et dieu aura du mal à s'en remettre. Face à la déception d'avoir un fils comme Jésus, Dieu demande à Sunstar un super-héros indestructible et immortel d’éduquer son fils. Deux auteurs dessinateurs se partagent le travail, avec deux styles différents qui s'alternent suivant si c'est le point de vu de Jésus ou celui de Sunstar. Le style sur Sunstar est vraiment classique pour les comics de super-héros mais efficace. Le style sur Jésus se rapproche des productions BD franco-belge avec des traits crayonnés encore apparent par-dessus la couleur. J'ai vraiment adoré ce titre, je ne m'attendais pas à tant d'humour et autres subtilités dans Le Retour du Messie, les dessins fourmillent de détails amusants. J'adore comment les docteurs diagnostiquent Jésus, il a le fantasme du messie, avec illusions de grandeur et complexe de persécution.
  23. Titre de l'album : Le retour du messie - verset 1 Scenariste de l'album : Mark Russell Dessinateur de l'album : Leonard Kirk, Richard Pace Coloriste : Andy Troy, Richard Pace Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Dieu ordonne à Sunstar - le super-héros le plus puissant de la Terre - d'accueillir son fils, autrement dit Jésus, en tant que co-locataire, afin de lui apprendre à utiliser ses pouvoirs de manière plus... puissante et spectaculaire. Jésus, choqué par la façon dont les humains ont déformé son message et celui de son père, jure de tout faire pour remettre les choses en place. Critique : Suite à une pression importante des religieux intégristes aux Etats-Unis, la série n’a pas pu sortir dans le catalogue de la maison d’édition DC, comme prévue initialement. Le problème majeur vient du fait de réunir un super-héros qui devait être Superman et Jésus Christ dans des aventures complétements déjantés et loufoques. On comprend rapidement pourquoi le titre s'est attiré des problèmes des groupes religieux dès l'introduction quand Dieu crée la terre avec Adam et Eve. Il tourne en dérision la religion chrétienne ce qui n’est pas bien vu encore aujourd’hui. L'histoire est vraiment amusante, les répliques de dieu ou ses réflexions sont excellentes et l’ensemble est très bien réfléchi. Face à l'échec de la dernière création de dieu, Jésus propose d'aller sur Terre pour remettre de l'ordre mais il sera crucifié et dieu aura du mal à s'en remettre. Face à la déception d'avoir un fils comme Jésus, Dieu demande à Sunstar un super-héros indestructible et immortel d’éduquer son fils. Deux auteurs dessinateurs se partagent le travail, avec deux styles différents qui s'alternent suivant si c'est le point de vu de Jésus ou celui de Sunstar. Le style sur Sunstar est vraiment classique pour les comics de super-héros mais efficace. Le style sur Jésus se rapproche des productions BD franco-belge avec des traits crayonnés encore apparent par-dessus la couleur. J'ai vraiment adoré ce titre, je ne m'attendais pas à tant d'humour et autres subtilités dans Le Retour du Messie, les dessins fourmillent de détails amusants. J'adore comment les docteurs diagnostiquent Jésus, il a le fantasme du messie, avec illusions de grandeur et complexe de persécution. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-retour-du-messie-verset-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. alx23

    Big girls

    Big Girls arrive pour le public français après avoir reçu un bon accueil aux États-Unis. Jason Howard le dessinateur de la série Trees entre autre, revient en artiste complet sur Big Girls. Il nous propose un scenario fantastique avec des femmes géantes protectrices des derniers survivants dans une zone contrôlée par ces fameuses Big Girls. La menace est grande avec des monstres géants surnommés les Jacks qui détruisent tout en cherchant de la nourriture. Il faut bien reconnaitre que le trait de l'auteur m'a beaucoup surpris durant les six chapitres très maitrisés de Big Girls. Il faut voir les scènes d'actions avec les géants qui combattent dans les derniers quartiers habités pour se rendre compte de son excellent travail. On retrouve toutes couvertures des fascicules d'origine et quelqu’une d'autres dessinateurs. Big girls est le deuxième titre des éditions 404 comics qui démarrent très fort dans le monde de la bande dessinée. L'édition du comics est soignée comme avec Dunce et semble très solide, le titre est en orange fluo pour contraster avec le décor et les géants de la couverture. Dunce était déjà un ovni des pays scandinave et cette fois, Big Girls nous permet lire un titre récent des États-Unis. La fin de Big Girls reste ouverte pour une éventuelle suite qui devrait ravir beaucoup de lecteurs.
  25. alx23

    Big girls

    Titre de l'album : Big girls Scenariste de l'album : Jason Howard Dessinateur de l'album : Jason Howard Coloriste : Jason Howard Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Des hommes monstrueux à éradiquer ? Faites appel aux Big Girls ! Suite à une terrible maladie, les hommes deviennent des monstres géants, des " Jacks " déterminés à détruire le monde, et seules des filles géantes peuvent les arrêter. Ember et les autres grandes filles sont tout ce qui s'oppose à l'anéantissement complet de notre monde ! Au service d'une agence qui élimine les malades dès leur plus jeune âge, Ember commence à douter de son rôle, se pourrait-il que quelque chose ou quelqu'un se cache derrière cette maladie ? Et si elle pouvait changer les choses ? Critique : Big Girls arrive pour le public français après avoir reçu un bon accueil aux États-Unis. Jason Howard le dessinateur de la série Trees entre autre, revient en artiste complet sur Big Girls. Il nous propose un scenario fantastique avec des femmes géantes protectrices des derniers survivants dans une zone contrôlée par ces fameuses Big Girls. La menace est grande avec des monstres géants surnommés les Jacks qui détruisent tout en cherchant de la nourriture. Il faut bien reconnaitre que le trait de l'auteur m'a beaucoup surpris durant les six chapitres très maitrisés de Big Girls. Il faut voir les scènes d'actions avec les géants qui combattent dans les derniers quartiers habités pour se rendre compte de son excellent travail. On retrouve toutes couvertures des fascicules d'origine et quelqu’une d'autres dessinateurs. Big girls est le deuxième titre des éditions 404 comics qui démarrent très fort dans le monde de la bande dessinée. L'édition du comics est soignée comme avec Dunce et semble très solide, le titre est en orange fluo pour contraster avec le décor et les géants de la couverture. Dunce était déjà un ovni des pays scandinave et cette fois, Big Girls nous permet lire un titre récent des États-Unis. La fin de Big Girls reste ouverte pour une éventuelle suite qui devrait ravir beaucoup de lecteurs. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/big-girls?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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