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  • Love Kills


    The_PoP
    • Scenariste: Danilo Beyruth Dessinateur: Danilo Beyruth Coloriste: Danilo Beyruth Editeur: Soleil Note :
      Résumé:

      Drogués et laissés pour compte se retrouvent chaque soir dans la plus grande métropole du Brésil. Se rencontrant par hasard, Helena et Marcus, sont bientôt hantés par le passé d'Helena qui révélera à son compagnon ses véritables origines. Il est temps pour elle d'expier ses erreurs passées, alors qu'un chasseur d'humains se lance sur ses traces, la transformant pour la première fois en proie.

      Type: BD Europeene L'acheter sur bdfugue Genre: Fantastique Prix: -- Nb de pages: --
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    Pouah c'est dur de se faire une opinion tranchée sur Love Kills. Ce qui est simple par contre c'est de vous le conseiller. Parce que graphiquement, les noirs et blancs du Brésilien Danilo Beyruth, ses découpages et mises en scènes hyper cinématographiques, l'ambiance glauque qu'il réussit à instiller et ce thriller oppressant méritent d'être découverts. Ceci étant dit cette oeuvre a pour moi d'immenses défauts notamment dans la construction de son histoire, puisque des pans entiers sont évoqués mais restent terriblement nébuleux. Que l'auteur laisse une part de mystère, d'interprétation ou d'imagination au lecteur, c'est souvent bienvenu quand c'est maitrisé, mais là, je crois que c'est plus le symptôme de la difficulté à boucler un projet trop ambitieux pour le nombre de pages. Surtout que l'auteur se complique inutilement la vie à mon avis à imaginer un background aussi tortueux puisque son histoire principale fonctionne très très bien, et que son minimalisme à la Drive est percutant. Dommage donc puisqu'à mon humble avis, ce Love Kills reste au stade de sublime comics à l'ambiance hyper réussie et de bonne lecture, ce qui n'est déjà pas rien. Cependant je crois que l'histoire a manqué d'être peut être plus aboutie pour en faire un one shot inoubliable. 

     

    Mais faites vous votre opinion, j'ai du mal à croire que vous puissiez trouver cette lecture inintéressante. Quoiqu'il en soit, il va falloir suivre Danilo de très près désormais.

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    Retour utilisateur

    Commentaires recommandés

    yellow cab c'était pas moi 🙂

     

     

    Il est bizarre ce Love Kills, un peu comme le shangai red d'ailleurs. Il leur manque un petit truc je trouve mais ça reste pas mal du tout. En tous cas c'est chouette à découvrir et malgré le format ça se lit vite.

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    • Orgies barbares tome 8
      Note :
      Déjà le tome 8 pour cette saga débutée il y a un peu plus de 10 ans par l'espagnol Erich Hartmann ! Il conserve le principe de minis histoires mettant en scène de jolies femmes dans ce monde "érotic-fantasy", avec des dialogues savoureux. N'ayant pas lu les tomes précédents j'ai été un peu perdu parfois dans cette farandole de protagonistes féminins, les annexes en fin d'album portant sur une présentation des héroïnes fut la bienvenue. Qu'à cela ne tienne, même si je n'ai pas bien tout compris, les enjeux restent assez sommaires et indubitablement portés sur la bagatelle. Oubliez l'érotisme des autres sorties BD du catalogue Tabou, ici on est dans un vrai porno avec gros plans, prises multiples (oubliez le bricolage hein), en solo, couples lesbiens, c'est en effet un large tour d'horizon s'offrant à vous ! J'en oublie presque la scène introductive avec un démon doté de deux membres, je vous laisse imaginer la suite 😉 . La magie opère dans ces lieux de luxure où les corps s'abandonnent aux divers plaisirs sexuels. A noter le trait délicieux de l'artiste espagnol avec ces poses lascives des corps embrasant les yeux des lecteurs, habillées ou dénudées les femmes dégagent une grande sensualité à travers son style tout en rondeur et préservant les proportions "humaines", à l'exception parfois des membres masculins "surhumains" 😉 . Une découverte des us et coutumes de ce monde médiéval magique en empruntant de nombreuses portes dérobées dans les couloirs étroits et sombres des châteaux, avec en plus des intrigues de palais. Oserez-vous pénétrer ces lieux ? 

      https://www.tabou-editions.com/bandes-dessinees/71048-orgies-barbares-volume-7-9782359542202.html

       

       

       
      • 0 réponse
    • Dred Scott - Tome 1 - New York 1893
      Note :
      Dred Scott a tout de la bonne idée. D'abord un thème peu exploité, à part gangs of new york, je n'ai pas en tête beaucoup d'oeuvres connues de ce côté de l'atlantique pour avoir exploré le New York du XIXème siècle. Ici on se situe après la fin de la guerre de secession, et c'est la seconde bonne idée. Nous proposer un récit tout en nuances de gris, absolument pas manichéens, ou le lecteur doit rester constamment éveillé pour ne pas se faire avoir par les scénaristes. 

      Bravo donc au duo d'auteurs Tom Graffin et Jérôme Ropert qui nous offrent un second chouette récit ce mois-ci à New York après la sortie du tome 2 de Ange Lecca. 

      Seul bémol sur ce Dred Scott, je trouve le dessin un cran en dessous des dernières sorties chez Grand Angle. Attention c'est propre et loin d'être mauvais, mais que ce soit le dessin ou la colorisation je trouve qu'il y manque le petit supplément de charme et d'âme qui donne envie, probablement par manque de temps car le talent est bien là. Dommage car je trouvais la couv' très réussie et pleine de promesses... C'est tout de même avant tout une question une nouvelle fois de goûts et de couleurs. 

      Ceci dit ce Dred Scoot est vraiment agréable à lire et cache de jolis rebondissements qui nous feront en attendre la suite avec impatience.
      • 1 réponse
    • 1, 2, 3 Piccard - Pionniers du ciel et des abysses
      Note :
      Belle découverte que l'histoire de ces Piccard. Pour être très transparent, je n'avais jamais entendu parler d'eux. La ou, en tant que bon français, j'ai entendu parler de Jacques Yves Cousteau mais pas des inventeurs du bathyscaphe. Et si seulement c'était uniquement le bathyscaphe....

      C'est ce qui est dingue dans cette histoire de famille. Nos trois générations de Piccard ont inventé énormément de trucs connus et ayant aidé à repousser les limites de la science et de la connaissance humaine.

      Du premier vol stratosphérique, en ballon, au premier tour du monde dans un avion entièrement solaire, cette famille d'ingénieur "self made" est passé du plus haut dans le ciel au plus profond des océans, en ayant toujours pour objectif la promotion de la science.

      Des aventuriers de la science qui montre de l'on pouvait (et l'on peut surement encore) se lancer des défis alliant prouesse scientifique et courage, et cela, même à l'air d'Elon Musk et consort.
      • 0 réponse

    • The new gate tome 5 & 6
      Note :
      Shin continue d'essayer de recoller les morceaux sur les événements qui se sont produits lors de la fin du jeu et cherche toujours une porte de sortie pour retrouver son véritable univers.

      Pour ce faire il reprend contact avec d'anciens partenaires toujours vivants... mais vieux de 500 ans. Après l'euphorie de retrouver sa force mais aussi Shnee, il se heurte à la mortalité et la vieillesse des personnes qui sont, eux, restés là durant ces 500 ans.

      Bref un tome 5 qui conclue l'arc du retour du héros et nous lance vers un tome 6 qui lance un nouvel arc ou un ennemi semble pointer le bout de son nez. Ce qui nous fait remarquer que les premiers tomes ont été super agréables à lire, alors même qu'il n'y avait que des gentils.

      Un manga toujours porté par une nostalgie super présente et une bienveillance de tous les instants de notre héros qui n'abuse pas de ces pouvoirs, se contentant de continuer son exploration du monde.
      • 0 réponse
    • Le pauvre bêta ne connaît pas l'amour tomes 1 & 2
      Note :
      Seno est le majordome attitré de Ryôsuke, un alpha dominant et aussi son ami d’enfance. Il fait passer son travail avant et reste stoïque en toute occasion également quand Ryôsuke le provoque volontairement en ayant des relations sexuelles avec des omegas devant lui.

      Cependant Seno a de plus en plus de mal à contenir sa propre libido et se rend secrètement en ville pour avoir des relations d’une nuit en se faisant passer pour un omega. Mais il se peut que ses changements physiques aient une origine qu’il ignore…

      Les Bêtas ne sont pas forcément les personnages le plus mis à l’honneur dans l’omegaverse et souvent, sous l’influence des phéromones alpha, ils finissent par changer de genre. C’est une facilité dans le scénario qui permet des scènes érotiques osées ! Ce manga propose une approche différente et assez surprenante que je ne vous dévoilerai pas !

      La série n’est pas désagréable mais manque un peu de peps. La révélation de fin du tome un est cassez dérangeante… Et j’ai un peu peur que la fin tombe dans l’écueil de la facilité, ce sera à voir dans le 3e et dernier tome de la série.
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