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  1. Titre de l'album : JSA chronicles tome 2 - 2000 Scenariste de l'album : Geoff Johns Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : L'année 2000 marque l'arrivée d'un scénariste débutant dans l'industrie des comics, mais un fan de longue date des membres de la JSA : Geoff JOHNS. Sous le patronage de David S. GOYER, JOHNS va donner au thème de la transmission une place centrale dans ses épisodes et moderniser le concept de la JSA à travers les jeunes héritiers des héros de l'âge d'Or de DC Comics. Contenu vo : JSA #6-15, JSA : The Liberty File #1-2, JSA Annual #1. Critique : Bon alors il faut que je vous avoue que j'ai un peu de mal avec les dessins des années 2000. Autant ceux des années 90 m'allaient bien, autant je trouve ceux-ci un peu trop tranché. Peu de transition entre les couleurs, peu d'utilisation des ombres et des colorations qui piquent un peu les yeux. C'est un peu dommage car sinon ce tome est rafraichissant. Rafraîchissant, car il fait la part belle à énormément de nouveau héros et des méchants jamais vu. Pas des héros qui vont forcément sauver l'univers, mais des héros aux pouvoir et caractère bien tranché qui ne changent pas rapport à d'habitude. Cette version 2000 est la vraie prise de pouvoir de Geoff Johns avec la diversification de l'équipe, mais aussi l'intégration de l'équipe dans Elseworlds avec des crossover avec la Justice league, mais aussi des versions de cette JSA agissant en tant qu'espion dans la seconde guerre mondiale. Un bon recueil sur une des meilleures ventes de DC des années 2000 pour lequel il faut juste être sûr d'adhérer au graphisme. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/jsa-chronicles-2000?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. alx23

    La nuit de la goule

    Scott Snyder est un habitué des récits fantastiques depuis la série American vampire où l'auteur remontait à l'origine des vampires sur le territoire américain. Avec la nuit de la goule, Snyder semble vouloir cette fois apporter l'origine même de tous les créateurs maléfiques. Ce one shot reprend les six chapitres où l'on suit un homme à la recherche de la fin d'un film mythique fantastique, avec son fils qui l'accompagne. L'action présente est entrecoupée par des scènes du film en noir et blanc des années 50, pour mieux comprendre. Les réactions du père de famille sont un peu étranges sur les premiers chapitres, comme il met beaucoup de temps à accepter la situation fantastique. J'ai toujours apprécié le côté bien sombre des dessins de Francesco Francavilla, depuis American vampire ou Scalped. L'album se termine sur de nombreuses couvertures alternatives réalisées aussi par d'autres dessinateurs de comics. La nuit de la goule est un titre horrifique intéressant avec une histoire terminée en un seul tome. De plus, la goule est un monstre moins connu avec ses caractéristiques, une nourriture spécifique et spéciale.
  3. alx23

    La nuit de la goule

    Titre de l'album : La nuit de la goule Scenariste de l'album : Scott Snyder Dessinateur de l'album : Francesco Francavilla Coloriste : Francesco Francavilla Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Un passionné enquête sur un ancien studio de cinéma qui aurait brûlé et finit par tomber sur ce projet. Il remonte la piste du réalisateur, qui vit reclus dans une maison de retraite. Selon lui, une goule hanterait son hospice, et la découverte d'une vieille bobine de La Nuit de la Goule risque bien de réveiller la bête, que le film soi-disant disparu avait détruit. Critique : Scott Snyder est un habitué des récits fantastiques depuis la série American vampire où l'auteur remontait à l'origine des vampires sur le territoire américain. Avec la nuit de la goule, Snyder semble vouloir cette fois apporter l'origine même de tous les créateurs maléfiques. Ce one shot reprend les six chapitres où l'on suit un homme à la recherche de la fin d'un film mythique fantastique, avec son fils qui l'accompagne. L'action présente est entrecoupée par des scènes du film en noir et blanc des années 50, pour mieux comprendre. Les réactions du père de famille sont un peu étranges sur les premiers chapitres, comme il met beaucoup de temps à accepter la situation fantastique. J'ai toujours apprécié le côté bien sombre des dessins de Francesco Francavilla, depuis American vampire ou Scalped. L'album se termine sur de nombreuses couvertures alternatives réalisées aussi par d'autres dessinateurs de comics. La nuit de la goule est un titre horrifique intéressant avec une histoire terminée en un seul tome. De plus, la goule est un monstre moins connu avec ses caractéristiques, une nourriture spécifique et spéciale. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-nuit-de-la-goule?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. poseidon2

    Red hood : Souriez

    Jason Todd est un héros qui a le vent en poupe. Bien aidé par la mode actuelle d'avoir des héros ambivalents, ce red hood nous livre une histoire dans l'univers à part de ce anti héros. SI l'histoire est globalement sympathique, avec un nouveau méchant et une nouvelle drogue qui pollue la vie de Gotham, on pourra reprocher à ce Red Hood de s'obliger à nous re-re-re- repeter l'histoire de Jason Todd en tant que Robin. On se retrouve avec toute une partie qui coupe l'histoire principale et qui ennuiera le lecteur averti. Ce tome est plus un tome de présentation pour nouveau lecteur que pour lecteur averti.
  5. Titre de l'album : Red hood : Souriez Scenariste de l'album : Chip Zdarsky Dessinateur de l'album : Eddy Barrows Coloriste : Eddy Barrows Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Jason Todd est de retour à Gotham City et les problèmes de la ville le poussent à porter le masque à nouveau. La menace numéro un : une nouvelle drogue envahit la ville et son influence grandissante devient extrêmement problématique. Alors qu'il enquête sur l'origine de ce nouveau fléau, l'ancien Robin croisera inévitablement la route du Chevaler Noir. Red Hood et Batman arriveront-ils à unir leurs forces pour arrêter ce nouveau fléau ? Critique : Jason Todd est un héros qui a le vent en poupe. Bien aidé par la mode actuelle d'avoir des héros ambivalents, ce red hood nous livre une histoire dans l'univers à part de ce anti héros. SI l'histoire est globalement sympathique, avec un nouveau méchant et une nouvelle drogue qui pollue la vie de Gotham, on pourra reprocher à ce Red Hood de s'obliger à nous re-re-re- repeter l'histoire de Jason Todd en tant que Robin. On se retrouve avec toute une partie qui coupe l'histoire principale et qui ennuiera le lecteur averti. Ce tome est plus un tome de présentation pour nouveau lecteur que pour lecteur averti. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/red-hood-souriez/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Et voilà , clap de fin pour Calie et sa ville Violette , dans une tempête d'action ! Ce second et dernier tome , clôturant ce nouvel arc scénaristique , se veut plus psychologique que l'opus précédent . Toujours en fâcheuses postures , nos héroïnes vont devoir puiser dans leurs retranchements pour lutter efficacement . La reine de pique , toujours dans sa volonté de régner , cherche une autre reine , perdue dans les contrées enneigées et qui semble une proie facile . Mais les apparences sont parfois trompeuses 😉 . Calie et sa fille , toujours en fuite , pensent avoir trouvé un havre de paix , mais une curieuse voisine va faire irruption dans leur vie ! A Los Angeles ainsi qu'à Wonderland , vont se jouer des batailles épiques avec un final pas si évident que ça . Je vous laisse le découvrir . J'ai trouvé le dessin plus précis et détaillé que lors du premier tome . Sheldon Goh est aidé par 3 auteurs assez talentueux , qui donnent de la profondeur et du réalisme aux diverses scènes du livre . Cela rend un graphisme moins stérile et informatisé . Dans l'ensemble c'est une série qui comblera les amateurs et fans de la première saga . J'avoue pour ma part avoir eu un peu de mal à m'immerger dans le récit , n'ayant pas lu les événements précédents .
  7. Titre de l'album : Wonderland - le monde d'après tome 2 Scenariste de l'album : Grégory Raven Dessinateur de l'album : Sheldon Goh Coloriste : Ulises Grostieta Editeur de l'album : Graph Zeppelin Note : Résumé de l'album : Après avoir vaincu l'esprit malveillant du Chapelier Fou et fuit la terreur d'une ville possédée par la folie, Calie et sa fille Violette se dirigent vers Los Angeles dans l'espoir d'échapper à l'emprise toujours croissante du Pays des Merveilles mais elles vont très vite découvrir que peu importe où elles se cachent, Wonderland ne les lâchera jamais. Arriveront-elles à se faire oublier de ce royaume où règne le chaos et où une bataille fait rage pour s'emparer du trône de l'ancien maître, le Jabberwock ? Sombreront-elles dans la folie suintante de ce monde cauchemardesque ? Mélange subtil d'horreur, de thriller et de fantastique, la série Wonderland nous invite à un voyage aux confins de la folie ! Critique : Et voilà , clap de fin pour Calie et sa ville Violette , dans une tempête d'action ! Ce second et dernier tome , clôturant ce nouvel arc scénaristique , se veut plus psychologique que l'opus précédent . Toujours en fâcheuses postures , nos héroïnes vont devoir puiser dans leurs retranchements pour lutter efficacement . La reine de pique , toujours dans sa volonté de régner , cherche une autre reine , perdue dans les contrées enneigées et qui semble une proie facile . Mais les apparences sont parfois trompeuses 😉 . Calie et sa fille , toujours en fuite , pensent avoir trouvé un havre de paix , mais une curieuse voisine va faire irruption dans leur vie ! A Los Angeles ainsi qu'à Wonderland , vont se jouer des batailles épiques avec un final pas si évident que ça . Je vous laisse le découvrir . J'ai trouvé le dessin plus précis et détaillé que lors du premier tome . Sheldon Goh est aidé par 3 auteurs assez talentueux , qui donnent de la profondeur et du réalisme aux diverses scènes du livre . Cela rend un graphisme moins stérile et informatisé . Dans l'ensemble c'est une série qui comblera les amateurs et fans de la première saga . J'avoue pour ma part avoir eu un peu de mal à m'immerger dans le récit , n'ayant pas lu les événements précédents . Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/wonderland-le-monde-d-apres-2/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. alx23

    Hotell Tome 1

    Les recueils d'histoires d'horreur sont très tendances en comics actuellement, mais Hotell se démarque de tous les autres concurrents avec quatre histoires de qualité. Le scénariste John Lees maitrise bien son sujet avec l'hôtel nommé Pierrot courts, en point commun entre toutes les histoires ainsi que le réceptionniste qui introduit les histoires. De plus, les personnages des différentes histoires se croisent ou discutent ensemble avant de les retrouver dans leur propre récit. On pense forcément à Norman Bates de Psychose avec ce réceptionniste mais ce dernier n'intervient jamais car l'horreur provient du lieu lui-même. Les intrigues sont originales et l’on prend plaisir à suivre les protagonistes dans des aventures improbables ou l’horreur s’impose en conclusion. Dalibor Talajic dessine aussi bien des grosses productions de chez Marvel que des titres de maison d'éditions plus indépendantes comme Awa comics pour Hotell. Il réalise des planches de qualité pour installer un climat effrayant. Le format d’histoires courtes convient très bien pour les récits d’horreur dans le genre Tales from the Crypt, Creepshow et maintenant Hotell. Un deuxième tome est déjà sortis en version originale qui j’espère sera bientôt disponible en français pour retourner au Pierrot Courts.
  9. alx23

    Hotell Tome 1

    Titre de l'album : Hotell Tome 1 Scenariste de l'album : John Lees Dessinateur de l'album : Dalibor Talajic Coloriste : Dalibor Talajic Editeur de l'album : Black River Note : Résumé de l'album : Quatre histoires d'horreur interconnectées se déroulant toutes dans un hôtel mystérieux qui semble n'apparaître qu'à certains clients. L'hôtel Pierrot Courts. Vous ne le trouverez sur aucune carte, mais s'il vous arrive de conduire sur la Route 66 tard dans la nuit et que vous avez désespérément besoin d'un refuge ou de vous cacher, vous apercevrez peut-être un panneau abîmé en bordure de route. C'est un endroit où beaucoup s'enregistrent au comptoir mais d'où bien peu repartent. Et vu les horreurs qui vous attendent à l'intérieur, vous auriez peut-être préféré continuer à rouler... Critique : Les recueils d'histoires d'horreur sont très tendances en comics actuellement, mais Hotell se démarque de tous les autres concurrents avec quatre histoires de qualité. Le scénariste John Lees maitrise bien son sujet avec l'hôtel nommé Pierrot courts, en point commun entre toutes les histoires ainsi que le réceptionniste qui introduit les histoires. De plus, les personnages des différentes histoires se croisent ou discutent ensemble avant de les retrouver dans leur propre récit. On pense forcément à Norman Bates de Psychose avec ce réceptionniste mais ce dernier n'intervient jamais car l'horreur provient du lieu lui-même. Les intrigues sont originales et l’on prend plaisir à suivre les protagonistes dans des aventures improbables ou l’horreur s’impose en conclusion. Dalibor Talajic dessine aussi bien des grosses productions de chez Marvel que des titres de maison d'éditions plus indépendantes comme Awa comics pour Hotell. Il réalise des planches de qualité pour installer un climat effrayant. Le format d’histoires courtes convient très bien pour les récits d’horreur dans le genre Tales from the Crypt, Creepshow et maintenant Hotell. Un deuxième tome est déjà sortis en version originale qui j’espère sera bientôt disponible en français pour retourner au Pierrot Courts. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/hotell?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Gilt, la guilde de temporalistes indépendants est un mélange des genres entre SF, humour et chronique sociale le tout écrit par la scénariste Alisa Kwitney. En effet, la thématique principale tourne autour du voyage temporel avec deux femmes qui conservent leur conscience et mémoire du futur quand elles intègrent leur corps plus jeune dans les années 70. L'autre thème mis en place par Alisa Kwitney est la condition des femmes avec le point de vue des années 70, puis comment il évolue jusqu'à nos jours. Pour traiter ces deux thématiques, Alisa Kwitney ajoute une note d'humour bien présente tout l’album. Le dessinateur Mauricet réalise souvent des comics en parallèle d'autres productions de bande dessinée franco-belge. Le style de l'auteur convient bien avec des planches détaillées. L’album se termine sur un carnet de croquis, de recherches graphiques pour les personnages ou encore des essais de couvertures avec les commentaires de l’auteur. Gilt, la guilde de temporalistes indépendants devrait trouver son publique avec ce comics des éditions Ahoy comics dont la plupart des titres sont traduits aux éditions Delcourt en France. Gilt est un bon one shot à lire.
  11. Titre de l'album : Gilt, la guilde de temporalistes indépendants Scenariste de l'album : Alisa Kwitney Dessinateur de l'album : Mauricet Coloriste : Mauricet Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Hildy Winters est une survivante, une dure à cuire de l'Upper West Side de New York, une sacrée vieille bonne femme qui possède son propre portail lui permettant de voyager dans le temps. Hildy appartient à La Guilde des Temporalistes Indépendantes, des femmes capables de voyager dans le passé (sans le modifier !), tout en bénéficiant de leur expérience accumulée jusqu'à présent. Critique : Gilt, la guilde de temporalistes indépendants est un mélange des genres entre SF, humour et chronique sociale le tout écrit par la scénariste Alisa Kwitney. En effet, la thématique principale tourne autour du voyage temporel avec deux femmes qui conservent leur conscience et mémoire du futur quand elles intègrent leur corps plus jeune dans les années 70. L'autre thème mis en place par Alisa Kwitney est la condition des femmes avec le point de vue des années 70, puis comment il évolue jusqu'à nos jours. Pour traiter ces deux thématiques, Alisa Kwitney ajoute une note d'humour bien présente tout l’album. Le dessinateur Mauricet réalise souvent des comics en parallèle d'autres productions de bande dessinée franco-belge. Le style de l'auteur convient bien avec des planches détaillées. L’album se termine sur un carnet de croquis, de recherches graphiques pour les personnages ou encore des essais de couvertures avec les commentaires de l’auteur. Gilt, la guilde de temporalistes indépendants devrait trouver son publique avec ce comics des éditions Ahoy comics dont la plupart des titres sont traduits aux éditions Delcourt en France. Gilt est un bon one shot à lire. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/gilt-la-guilde-de-temporalistes-independants/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. La faute d'un clou est une réédition du comics parue en 1998 par Alan Davis et de sa suite parue elle en 2004. C'est un des exemples de la collection Elseworlds, ces "what if" si cher à DC. Ici on est dans le changement minimaliste aux retombées gigantesques : et si les kent avaient crevé au moment de l'atterrissage de Clark sur terre et n'avaient donc pas sauvé et élevé l'enfant qui deviendrait le fer de lance des super héros ? Quel impact cela aurait-il ? Si l'idée n''est pas nouvelle en 2023 (Mark Millar et son red Son sont passés par la depuis) elle était super novatrice en 1998 et a été parfaitement exécutée par Alan Davis. Surtout la première partie. En effet il réussit à nous montrer un monde différent (je vous laisserais découvrir les différences) sans forcément devoir tout nous réexpliquer. il réussit surtout à nous faire comprendre la chaine d'impact de ce "clou" sans avoir à nous livrer des flashbacks à n'en plus finir. Un vrai tour de force. Tour de force un peu trop exagéré dans la suite de 2004 présent en deuxième partie de ce tome. En effet cela tourne plus au catalogue de héros dans cet univers parallèle qu'autre chose. L'histoire est alambiquée et globalement brouillonne et a surtout pour elle d'être très bien dessinée. Je ne saurai donc trop quoi vous dire mise à part : lisez la première partie qui mérite un 4.5/5.... ici ou ailleurs en occase. Et si c'est avec cette intégrale... et bien lisez la deuxième tant qu'à faire même si lui ne mérite qu'un 3.5 😉
  13. Titre de l'album : Justice league - Faute d'un clou... Scenariste de l'album : Alan Davis Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Il y a de longues années, dans le Kansas : Martha et Jonathan Kent, qui ont projeté de faire quelques courses dans la bourgade de Smallville, découvrent qu'un pneu de leur voiture est crevé. Ils choisissent de reporter leur balade à plus tard et restent chez eux, sans se rendre compte que le ciel est traversé par une météorite étrange. Celle-ci abrite un enfant extraterrestre envoyé sur Terre depuis une lointaine planète. L'engin s'écrase un peu plus loin, et les Kent ne seront jamais là pour adopter l'enfant tombé des étoiles. Au fil des ans, les premiers super-héros apparaissent, mais dans ce monde légèrement différent du nôtre, jamais Superman ne se fera connaître, et l'histoire en sera à jamais bouleversée. Critique : La faute d'un clou est une réédition du comics parue en 1998 par Alan Davis et de sa suite parue elle en 2004. C'est un des exemples de la collection Elseworlds, ces "what if" si cher à DC. Ici on est dans le changement minimaliste aux retombées gigantesques : et si les kent avaient crevé au moment de l'atterrissage de Clark sur terre et n'avaient donc pas sauvé et élevé l'enfant qui deviendrait le fer de lance des super héros ? Quel impact cela aurait-il ? Si l'idée n''est pas nouvelle en 2023 (Mark Millar et son red Son sont passés par la depuis) elle était super novatrice en 1998 et a été parfaitement exécutée par Alan Davis. Surtout la première partie. En effet il réussit à nous montrer un monde différent (je vous laisserais découvrir les différences) sans forcément devoir tout nous réexpliquer. il réussit surtout à nous faire comprendre la chaine d'impact de ce "clou" sans avoir à nous livrer des flashbacks à n'en plus finir. Un vrai tour de force. Tour de force un peu trop exagéré dans la suite de 2004 présent en deuxième partie de ce tome. En effet cela tourne plus au catalogue de héros dans cet univers parallèle qu'autre chose. L'histoire est alambiquée et globalement brouillonne et a surtout pour elle d'être très bien dessinée. Je ne saurai donc trop quoi vous dire mise à part : lisez la première partie qui mérite un 4.5/5.... ici ou ailleurs en occase. Et si c'est avec cette intégrale... et bien lisez la deuxième tant qu'à faire même si lui ne mérite qu'un 3.5 😉 Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/jla-le-clou?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. poseidon2

    The flash Chronicles 1992

    A chaque mois son nouveau "Chronicles" et, sans lignée de la sortie du film, c'est Flash qui maintenant droit au sien avec un focus sur l'année 1992. Année de prise de pouvoir de Mark Waid de la franchise sur héros super rapide. Reprise qui est marquée par la montée en puissance de....Wally West. Et oui on se trouve après la mort de ce dernier dans Crisis on Infinite Earth. Ce Chronicles marque un changement dans l'univers DC avec un Mark Waid qui cherche à bien plus se pencher sur la vie du héros plus que sur des suites d'intrigues sans lendemain. Il change le personnage de Wally West pour le faire passer d'égoïste à l'un des héros les plus aimés des fans de DC. Un chronicles super intéressant centré sur l'un des flash les plus complexes du "speed verse" A note : un dessin typique des années 90, mettant en avant les formes généreuses de ces dames... on aime ou pas. Mais il faut le savoir 😉
  15. Titre de l'album : The flash Chronicles 1992 Scenariste de l'album : Mark Waid Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Mark WAID a largement contribué à développer le personnage de Flash à travers la personnalité de Wally West, là où la série des années 1950-1960, incarnée par Barry Allen se concentrait davantage sur l'intrigue des épisodes. L'auteur, en incluant des éléments de sa vie personnelle, humanise le super-héros et le rend plus accessible aux yeux du lecteur, transformant le successeur de Barry Allen en l'un des héros les plus populaires de DC. Critique : A chaque mois son nouveau "Chronicles" et, sans lignée de la sortie du film, c'est Flash qui maintenant droit au sien avec un focus sur l'année 1992. Année de prise de pouvoir de Mark Waid de la franchise sur héros super rapide. Reprise qui est marquée par la montée en puissance de....Wally West. Et oui on se trouve après la mort de ce dernier dans Crisis on Infinite Earth. Ce Chronicles marque un changement dans l'univers DC avec un Mark Waid qui cherche à bien plus se pencher sur la vie du héros plus que sur des suites d'intrigues sans lendemain. Il change le personnage de Wally West pour le faire passer d'égoïste à l'un des héros les plus aimés des fans de DC. Un chronicles super intéressant centré sur l'un des flash les plus complexes du "speed verse" A note : un dessin typique des années 90, mettant en avant les formes généreuses de ces dames... on aime ou pas. Mais il faut le savoir 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-flash-chronicles-1992?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. L'infâme Jabberwock vaincu , Calie ( anagramme de Alice) peut tenter de reprendre le cours de sa vie avec sa fille , dans une certaine normalité . Mais très vite les événements s'enchaînent sans laisser de répit au lecteur et la folie Wonderland s'invite de nouveau dans la vie de nos deux héroïnes . De nouveaux ennemis , ainsi que des alliances fortuites (ou pas) , font leur apparitions et il semblerait bien que le "pays des merveilles" désire s'inviter chez nous , dans notre monde bien terre à terre ! Le scénario va effectivement à 100 à l'heure et passe d'un protagoniste à l'autre au fil des pages , dans une frénésie absolue . On commence à deviner les tenants et aboutissants du plan machiavélique voulu par cette nouvelle reine , ou dame ,plus propice aux jeux de cartes 😉 . Il y aurait un soupçon de Fables (la grande saga de Bill Willingham) dans cette histoire teintée d'épouvante . Le dessin assez "numérique" correspond aux attentes du type de lectorat recherché : les filles sont belles , avec de jolies courbes et de longues jambes , les hommes ont des corps d'Apollon . C'est moderne et pas forcément à mon goût , mais nul doute qu'après le succès de la première "saison" des aventures de Calie , les fans seront ravis de la retrouver dans de fâcheuses postures .
  17. Titre de l'album : Wonderland - le monde d'après tome 1 Scenariste de l'album : Grégory Raven Dessinateur de l'album : Sheldon Goh Coloriste : Ulises Grostieta Editeur de l'album : Graph Zeppelin Note : Résumé de l'album : Il existe un royaume où la folie et le mal règnent. Un monde malsain qui n'a pas d'âge. Un lieu où, des années auparavant, son ancien maître, l'infernal Jabberwock, a été vaincu. Calie Liddle aurait aimé croire qu'elle était enfin libérée de l'influence néfaste du Pays des Merveilles. Elle aurait aimé croire que ce cauchemar avait pris fin... Elle aurait aimé avoir raison... Hélas, Calie et sa fille Violette, vont apprendre à leurs dépens que la défaite du Jabberwock n'était que les prémices d'un cauchemar sans fin et que le Pays des Merveilles ne cessera jamais de les hanter et qu'il va falloir s'adapter en permanence pour survivre à la folie de Wonderland. Mélange subtil d'horreur, de thriller et de fantastique, la série Wonderland nous invite à un voyage aux confins de la folie ! Critique : L'infâme Jabberwock vaincu , Calie ( anagramme de Alice) peut tenter de reprendre le cours de sa vie avec sa fille , dans une certaine normalité . Mais très vite les événements s'enchaînent sans laisser de répit au lecteur et la folie Wonderland s'invite de nouveau dans la vie de nos deux héroïnes . De nouveaux ennemis , ainsi que des alliances fortuites (ou pas) , font leur apparitions et il semblerait bien que le "pays des merveilles" désire s'inviter chez nous , dans notre monde bien terre à terre ! Le scénario va effectivement à 100 à l'heure et passe d'un protagoniste à l'autre au fil des pages , dans une frénésie absolue . On commence à deviner les tenants et aboutissants du plan machiavélique voulu par cette nouvelle reine , ou dame ,plus propice aux jeux de cartes 😉 . Il y aurait un soupçon de Fables (la grande saga de Bill Willingham) dans cette histoire teintée d'épouvante . Le dessin assez "numérique" correspond aux attentes du type de lectorat recherché : les filles sont belles , avec de jolies courbes et de longues jambes , les hommes ont des corps d'Apollon . C'est moderne et pas forcément à mon goût , mais nul doute qu'après le succès de la première "saison" des aventures de Calie , les fans seront ravis de la retrouver dans de fâcheuses postures . Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/wonderland-le-monde-d-apres-1/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Nouvel opus des aventures de Batm , euh non , des ennemis de Batman 🙂 Veuillez excuser cette maladresse inopportune ! Mr Freeze ( non ce n'est pas un bâtonnet glacé à la grenadine) fait des siennes dans une ville de Gotham sous un manteau neigeux . Pour l'arrêter , nos intrépides héros , oui , je dis bien "nos héros" car pour la première fois dans cette série "bad guys" , est incorporé Robin , le jeune compagnon de Bruce Wayne . Les auteurs ont voulu imprimer un caractère old school au récit avec des costumes "rétros" , celui de Batman est gris , similaire à celui d'Adam West . Il en va de même pour les batmobiles décapotables et imprégnées du look des 30 glorieuses . Mais rassurez-vous , nous sommes bel et bien à une époque contemporaine où les ordinateurs et autres labos de recherches sont à la pointe du progrès . Gerry Duggan a voulu donner de l'envergure à ce méchant pas comme les autres , en imaginant Batman lui tendre la main afin de sauver sa femme cryogénisée . La suite ne se déroulera pas exactement comme prévue ! J'espérais en savoir un peu plus sur ce vilain givré , mais sa vie passée en couple est succincte , le récit s'attarde peu à sa relation amoureuse ainsi que la tragédie à venir . Au lieu de cela , il nous propose un Bruce Wayne se déguisant en alcoolo en quête d'indices et donne un ton assez humoristique à la relation Batman / Robin . Cela plaira à certains , moins sûr pour une grande majorité d'autres ! Scalera et son trait (dont je ne suis pas un grand fan) assure le boulot dans son style si particulier : un dessin avec des proportions taillées à la serpe , dans un trait arrondi ! Je mets la moyenne car cela finit sur une note amusante et empreinte de sincérité sur Freeze ; il en aurait fallu un peu plus ... Décidément , tout le monde n'est pas Tom King ! NDLR : Note gloable remontée à 3/5 pour refléter l'avis de @poseidon2 qui a bien plus apprécié de tome.
  19. Titre de l'album : Batman - one bad day - Mr. Freeze Scenariste de l'album : Gerry Duggan Dessinateur de l'album : Matteo Scalera Coloriste : Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Un manteau de givre et de glace s'abat sur Gotham City et fait entrer la cité dans son hiver le plus rude. Le froid est tel que Mr. Freeze peut désormais sortir à l'air libre, libéré de son armure réfrigérée. Et le Chevalier Noir sait qu'il n'en est que plus dangereux, d'autant qu'en apparence les intentions de Victor Fries paraissent on ne peut plus honorables : après tout, son seul désir est de sauver sa femme, Nora. C'est en tout cas ce qu'il confesse à Robin, ralliant le jeune équipier à sa cause. Mais Batman n'est pas dupe, et les rigueurs de l'hiver ne tarderont pas à lui donner raison. Critique : Nouvel opus des aventures de Batm , euh non , des ennemis de Batman 🙂 Veuillez excuser cette maladresse inopportune ! Mr Freeze ( non ce n'est pas un bâtonnet glacé à la grenadine) fait des siennes dans une ville de Gotham sous un manteau neigeux . Pour l'arrêter , nos intrépides héros , oui , je dis bien "nos héros" car pour la première fois dans cette série "bad guys" , est incorporé Robin , le jeune compagnon de Bruce Wayne . Les auteurs ont voulu imprimer un caractère old school au récit avec des costumes "rétros" , celui de Batman est gris , similaire à celui d'Adam West . Il en va de même pour les batmobiles décapotables et imprégnées du look des 30 glorieuses . Mais rassurez-vous , nous sommes bel et bien à une époque contemporaine où les ordinateurs et autres labos de recherches sont à la pointe du progrès . Gerry Duggan a voulu donner de l'envergure à ce méchant pas comme les autres , en imaginant Batman lui tendre la main afin de sauver sa femme cryogénisée . La suite ne se déroulera pas exactement comme prévue ! J'espérais en savoir un peu plus sur ce vilain givré , mais sa vie passée en couple est succincte , le récit s'attarde peu à sa relation amoureuse ainsi que la tragédie à venir . Au lieu de cela , il nous propose un Bruce Wayne se déguisant en alcoolo en quête d'indices et donne un ton assez humoristique à la relation Batman / Robin . Cela plaira à certains , moins sûr pour une grande majorité d'autres ! Scalera et son trait (dont je ne suis pas un grand fan) assure le boulot dans son style si particulier : un dessin avec des proportions taillées à la serpe , dans un trait arrondi ! Je mets la moyenne car cela finit sur une note amusante et empreinte de sincérité sur Freeze ; il en aurait fallu un peu plus ... Décidément , tout le monde n'est pas Tom King ! NDLR : Note gloable remontée à 3/5 pour refléter l'avis de @poseidon2 qui a bien plus apprécié de tome. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/batman-one-bad-day-mr-freeze/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Avec Apparition dans le ciel de Berlin-Est, le scénariste Jeff Loveness propose un huis-clos fantastique dans le climat lourd de la guerre froide. En effet, les soviétiques récupèrent un objet tombé du ciel lors d'une nuit étoilée pour l'étudier dans un bunker secret. Un espion américain s'infiltre pour obtenir des informations. L'auteur joue sur la notion de vérité ou de recherche de vérité durant cette période où les membres de la stasi terrorisaient toute la population. Les deux protagonistes principaux s’affrontent et se questionnent sur leur rôle d'espion ou agent de la Stasi, ainsi que leur choix d'obéir aux ordres. La partie fantastique intervient avec cette entité en quête de réponse qui manipule les humains autour d'elle. La partie graphique est de grande qualité dans un style bande dessinée européenne. Patricio Delpeche sublime l'ensemble avec des couleurs en aquarelle très réussies. L'album se termine sur des recherches graphiques et des illustrations. Les éditions 404 Comics proposent ce titre dans un grand format pour que l'on profite bien des planches, avec une édition soignée comme d’habitude et une excellente couverture. Depuis leur création, les éditions 404 Comics font un sans faute en ne publiant que des titres de grande qualité et des genres différents pour notre plus grand plaisir.
  21. Titre de l'album : Apparition dans le ciel de Berlin-Est Scenariste de l'album : Jeff Loveness Dessinateur de l'album : Lisandro Estherren Coloriste : Patricio Delpeche Editeur de l'album : 404 comics Note : Résumé de l'album : Herring est un espion américain désabusé. Stationné du côté Est du mur de Berlin, il est en proie au doute sur son rôle dans la guerre froide qui semble sans fin. Mais, lorsqu'il est envoyé en mission derrière les lignes ennemies pour infiltrer les services de renseignement Est-Allemand, il découvre que les soviétiques viennent de s'emparer d'une arme secrète qui pourrait changer le cours du conflit : une arme d'un genre nouveau venue d'ailleurs qu'ils ne comprennent pas et qu'aucun camp ne pourra jamais contrôler. Critique : Avec Apparition dans le ciel de Berlin-Est, le scénariste Jeff Loveness propose un huis-clos fantastique dans le climat lourd de la guerre froide. En effet, les soviétiques récupèrent un objet tombé du ciel lors d'une nuit étoilée pour l'étudier dans un bunker secret. Un espion américain s'infiltre pour obtenir des informations. L'auteur joue sur la notion de vérité ou de recherche de vérité durant cette période où les membres de la stasi terrorisaient toute la population. Les deux protagonistes principaux s’affrontent et se questionnent sur leur rôle d'espion ou agent de la Stasi, ainsi que leur choix d'obéir aux ordres. La partie fantastique intervient avec cette entité en quête de réponse qui manipule les humains autour d'elle. La partie graphique est de grande qualité dans un style bande dessinée européenne. Patricio Delpeche sublime l'ensemble avec des couleurs en aquarelle très réussies. L'album se termine sur des recherches graphiques et des illustrations. Les éditions 404 Comics proposent ce titre dans un grand format pour que l'on profite bien des planches, avec une édition soignée comme d’habitude et une excellente couverture. Depuis leur création, les éditions 404 Comics font un sans faute en ne publiant que des titres de grande qualité et des genres différents pour notre plus grand plaisir. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/apparition-dans-le-ciel-de-berlin-est/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Kevin Nivek

    Environnement toxique

    Attention , attention , la lecture de ce roman graphique autobiographique peut potentiellement vous hanter un bon moment ! Cette plongée en abîme dans les sables bitumineux canadiens d'une jeune femme est à couper le souffle et la chique du capitaine Haddock . Kate Beaton , fraîchement diplômée en histoire et anthropologie, décide de tenter l'aventure dans la région Alberta , siège principal de cette aberration écologique , afin de rembourser rapidement son prêt étudiant . De camps en camps , elle va découvrir un milieu composé essentiellement d'hommes , peu éduqués et/ou diplômés , et pris de surcroît dans les engrenages terribles d'un tombereau de solitude et de testostérone . Cette très vilaine association fait des ravages au sein de la communauté vivant en autarcie au rythme des heures de travail effrénées . Blagues douteuses , déclarations spontanées et jeux de mots assez crus , sont vite le quotidien de cette jeune et jolie provinciale ne demandant rien d'autre que de pouvoir effectuer son travail dignement . Et cela peut prendre de plus grandes proportions , hélas dans certains cas , du genre irréversible 😞 . On tourne les pages en noir pétrole et blanc sableux , en spectateurs de sa vie et on souffre pour elle , cela en devient même insoutenable parfois .Elle insère cependant de l'humour çà et là dans des situations cocasses qui semblent irréelles , alors que ... C'est durant ces deux années qu'elle s'est plongée (un peu plus ) dans le dessin et s'est découvert une possible orientation professionnelle . Derrière son trait simpliste sur les personnages , se cachent des cases "photographiques" avec de multiples détails et une grande précision . Mais on n'aborde pas ce livre pour le dessin , ni pour ce scandale écologique , on le lit pour elle et les millions de femmes qui subissent un harcèlement moral et/ou sexiste au travail (et dans la vie) , pour son courage et son abnégation . Je souhaite que ce travail auto-psychanalytique lui soit des plus favorables , sincèrement ! Vous l'aurez compris , c'est un grand coup de coeur pour ce livre , auquel je n'attribue pas la note de 5 , en raison du potentiel relecture . Il s'agit en effet d'une BD que l'on prête , et que tout le monde doit lire , mais qui n'appelle pas forcément à une seconde lecture .
  23. Titre de l'album : Environnement toxique Scenariste de l'album : Kate Beaton Dessinateur de l'album : Kate Beaton Coloriste : Editeur de l'album : Casterman Note : Résumé de l'album : Pour rembourser son prêt étudiant, Kate n'a guère le choix : elle doit quitter sa Nouvelle-Écosse natale pour aller travailler à l'autre bout du Canada, dans l'ouest lointain, là où l'on extrait le pétrole des sables bitumineux. Souvent isolée, naviguant de site en site, la jeune femme découvre un monde marqué par le harcèlement quotidien et le sexisme de nombreux collègues masculins. Sans se départir de son empathie ni de son humour, soutenue par des allié.e.s de confiance, Kate s'interroge sur la violence de son univers professionnel, qu'il s'agisse des relations humaines ou de l'exploitation forcenée des ressources naturelles. A-t-elle mis les pieds dans un univers parallèle, ou cette violence n'est-elle que le reflet de notre société ? Critique : Attention , attention , la lecture de ce roman graphique autobiographique peut potentiellement vous hanter un bon moment ! Cette plongée en abîme dans les sables bitumineux canadiens d'une jeune femme est à couper le souffle et la chique du capitaine Haddock . Kate Beaton , fraîchement diplômée en histoire et anthropologie, décide de tenter l'aventure dans la région Alberta , siège principal de cette aberration écologique , afin de rembourser rapidement son prêt étudiant . De camps en camps , elle va découvrir un milieu composé essentiellement d'hommes , peu éduqués et/ou diplômés , et pris de surcroît dans les engrenages terribles d'un tombereau de solitude et de testostérone . Cette très vilaine association fait des ravages au sein de la communauté vivant en autarcie au rythme des heures de travail effrénées . Blagues douteuses , déclarations spontanées et jeux de mots assez crus , sont vite le quotidien de cette jeune et jolie provinciale ne demandant rien d'autre que de pouvoir effectuer son travail dignement . Et cela peut prendre de plus grandes proportions , hélas dans certains cas , du genre irréversible 😞 . On tourne les pages en noir pétrole et blanc sableux , en spectateurs de sa vie et on souffre pour elle , cela en devient même insoutenable parfois .Elle insère cependant de l'humour çà et là dans des situations cocasses qui semblent irréelles , alors que ... C'est durant ces deux années qu'elle s'est plongée (un peu plus ) dans le dessin et s'est découvert une possible orientation professionnelle . Derrière son trait simpliste sur les personnages , se cachent des cases "photographiques" avec de multiples détails et une grande précision . Mais on n'aborde pas ce livre pour le dessin , ni pour ce scandale écologique , on le lit pour elle et les millions de femmes qui subissent un harcèlement moral et/ou sexiste au travail (et dans la vie) , pour son courage et son abnégation . Je souhaite que ce travail auto-psychanalytique lui soit des plus favorables , sincèrement ! Vous l'aurez compris , c'est un grand coup de coeur pour ce livre , auquel je n'attribue pas la note de 5 , en raison du potentiel relecture . Il s'agit en effet d'une BD que l'on prête , et que tout le monde doit lire , mais qui n'appelle pas forcément à une seconde lecture . Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/environnement-toxique-243987/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. alx23

    Ragnarök - Le dernier dieu Tome 1

    Dans la préface, Walter Simonson raconte comment il travaille depuis longtemps sur cette série avant de se lancer pour donner une version de Thor plus proche de celle de la mythologie. Par chance, ce choix personnel de l'auteur apporte de l'originalité à une histoire surexploité en bande dessinée, comics et films... Ce premier tome débute avec un couple d'Elfes noirs assassins avec une nouvelle cible à exécuter. La femme part seule accompagner d'une bande de tueurs sans cervelle pour l'aider à accomplir sa tâche pendant que son mari l'attend avec leur nouveau-né. Ce récit d'Heroic fantasy regroupe tous les éléments nécessaires pour un bon récit plein d'action et d'aventure avec toute une galerie de monstres prêt à en découdre. La partie graphique est de qualité dans le genre comics classique. L'album se termine sur une galerie de couvertures alternatives, de recherches graphiques et crayonnées, comme d’habitude les éditions Black River apportent beaucoup de soin à leur titre avec beaucoup de bonus. L'auteurs gère bien son univers et l'on se laisse prendre dans cette aventure prévue en trilogie. Les lecteurs aimant ce genre, seront satisfaits avec cette nouvelle série d’Heroic fantasy autour de la mythologie nordique.
  25. Titre de l'album : Ragnarök - Le dernier dieu Tome 1 Scenariste de l'album : Walter Simonson Dessinateur de l'album : Walter Simonson Coloriste : Walter Simonson Editeur de l'album : Black River Note : Résumé de l'album : Les dieux nordiques sont tous morts. Thor est un zombie. Il fait serment de retrouver une fillette. Et maintenant... ça va saigner ! Asgard est tombée. Ragnarök, le crépuscule des dieux dans la mythologie nordique, a eu lieu. TOUS les dieux sont morts mais les habitants des neuf royaumes subsistent. Un petit groupe s'introduit dans un temple désaffecté et découvre le cadavre de Thor, le dieu du tonnerre, enchaîné. Bien que mort, ce dernier se réveille, massacre les indésirables après avoir récupéré Mjöllnir, son marteau légendaire. Il promet ensuite de retrouver et de protéger la fille d'une des intrus. Critique : Dans la préface, Walter Simonson raconte comment il travaille depuis longtemps sur cette série avant de se lancer pour donner une version de Thor plus proche de celle de la mythologie. Par chance, ce choix personnel de l'auteur apporte de l'originalité à une histoire surexploité en bande dessinée, comics et films... Ce premier tome débute avec un couple d'Elfes noirs assassins avec une nouvelle cible à exécuter. La femme part seule accompagner d'une bande de tueurs sans cervelle pour l'aider à accomplir sa tâche pendant que son mari l'attend avec leur nouveau-né. Ce récit d'Heroic fantasy regroupe tous les éléments nécessaires pour un bon récit plein d'action et d'aventure avec toute une galerie de monstres prêt à en découdre. La partie graphique est de qualité dans le genre comics classique. L'album se termine sur une galerie de couvertures alternatives, de recherches graphiques et crayonnées, comme d’habitude les éditions Black River apportent beaucoup de soin à leur titre avec beaucoup de bonus. L'auteurs gère bien son univers et l'on se laisse prendre dans cette aventure prévue en trilogie. Les lecteurs aimant ce genre, seront satisfaits avec cette nouvelle série d’Heroic fantasy autour de la mythologie nordique. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ragnarok-le-dernier-dieu/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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