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Titre de l'album : Marcie - Le point de bascule Scenariste de l'album : Cati Baur Dessinateur de l'album : Cati Baur Coloriste : Cati Baur Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Caroline mène une existence moyenne, dans un corps qu'elle juge moyen. Alors que la cinquantaine arrive, et avec elle les affres de la périménopause, elle se fait licencier d'un travail qui était, sans surprise, moyen. C'est décidé, puisque plus personne ne la remarque ni ne la considère, Caroline entreprend de mettre à profit son super pouvoir d'invisibilité pour devenir détective privée. Ce changement de cap va la conduire jusqu'à New York et à la rencontre d'elle-même, et lui permettre de renouer avec sa véritable identité, celle de Marcie Bangor ! Critique : En voila une belle BD pour commencer l'année. Une bd feel good qui nous montre qu'il n'y a pas d'age pour croire en ses rêves. Pas d'age pour changer. Alors oui c'est plus dure. Oui il faut souvent un coup du destin. Mais cela peut parfois amener à un véritable en termes d’estime de soi et de plaisir de vie. Quand en plus ce métier et celui qui vous fait rêver depuis petit.... Et cette "crise" de la cinquantaine est supportée par une enquête plutôt bien ficelée portée par une Marcie aussi drôle que maligne. Une lecture qui ne sera pas la plus marquante de l'année mais qui permet de commencer celle-ci avec un sourire aux lèvres ce qui est déjà une très bonne chose. Une mention toute particulière à la fille de Marcie, succulente dans ses remarques et son amour pour sa mère. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/marcie-le-point-de-bascule?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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En voila une belle BD pour commencer l'année. Une bd feel good qui nous montre qu'il n'y a pas d'age pour croire en ses rêves. Pas d'age pour changer. Alors oui c'est plus dure. Oui il faut souvent un coup du destin. Mais cela peut parfois amener à un véritable en termes d’estime de soi et de plaisir de vie. Quand en plus ce métier et celui qui vous fait rêver depuis petit.... Et cette "crise" de la cinquantaine est supportée par une enquête plutôt bien ficelée portée par une Marcie aussi drôle que maligne. Une lecture qui ne sera pas la plus marquante de l'année mais qui permet de commencer celle-ci avec un sourire aux lèvres ce qui est déjà une très bonne chose. Une mention toute particulière à la fille de Marcie, succulente dans ses remarques et son amour pour sa mère.
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Titre de l'album : Compulsion Scenariste de l'album : Adam Roberts Dessinateur de l'album : François Schuiten Coloriste : François Schuiten Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : « Partout, on pouvait voir ces structures nouvelles, petites et grandes, larges et hautes ; des monolithes, des dômes et des sphères bâtis par Obligation, se dressant fièrement au-dessus des pâturages comme les lettres d'un texte inédit, colossal et impénétrable. » Il y a quelque temps, insidieusement, le comportement humain a changé. Des hommes et des femmes, que rien n'apparente les uns aux autres, ont commencé à déplacer des objets du quotidien vers des lieux précis, mus par un sentiment d'obligation contre lequel il semble impossible de lutter. De quelques dizaines d'individus dans un premier temps, leur nombre est passé à des milliers à travers le monde, s'activant pour répondre à cette étrange injonction dont la cause est à ce jour totalement inconnue. Si certains objets semblent parfaitement inoffensifs, tels un vieux modèle de téléphone ou bien la capsule cabossée d'une bouteille de bière, d'autres sont bien plus complexes et déroutants : la turbine d'un moteur à réaction expérimental ou le processeur d'un superordinateur. Ceux qui se sentent obligés de transporter tous ces objets ne se contentent pas, une fois arrivés à destination, de les empiler comme des ordures. Les Obligés sont en effet capables de connecter ces éléments sans rapport manifeste entre eux, comme les pièces d'un puzzle tridimensionnel. Les structures qu'ils conçoivent semblent d'ailleurs dotées d'un potentiel mécanique et technologique destiné à servir à quelque chose. Mais... à quoi donc ? Nouvelle futuriste écrite par l'écrivain britannique Adam Roberts et transcendée par les grandioses illustrations architecturales du Belge François Schuiten, « Compulsion » offre un panel de personnages hétéroclites, coincés dans d'inextricables situations, et dont les réactions créent une tension habilement construite. Critique : Si je suis fan de SF, j'avoue que le genre "nouvelle" illustrée me laisse souvent froid. En effet j'ai bien m'immerger dans une histoire et la nouvelle le permet rarement (de mon point de vue). J'avais donc gardé cet album pour le début des vacances, afin de le lire d'un coup sans être interrompu. Et bien j'ai bien fait car j'ai été embarqué par l'histoire. Histoire superbement portée par des doubles planche magique de François Schuiten permettant de mettre un visuel sur des mots. Un visuel qui correspond exactement à ce que l'on s'imaginait. C'est bluffant. On est tiraillé entre prendre le temps de bien apprécier ces doubles planches et lire l'histoire pour voir ce qu'il arrive à nos 5 personnages. Car plus que les dessins de François Schuiten, cette nouvelle est captivante. Cette histoire d'Obligés et de Compulsion est super réaliste, tant pas son illogisme que par son traitement. On imagine bien le monde démunis contre ce comportement qu'il ne comprend pas. Si je vous laisse juger la fin, soumise à interprétation (forcement au vu du peu de page de l'histoire), on ne peut nier que cet album est une véritable réussite, à lire au calme pour bien en profiter. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/compulsion?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Si je suis fan de SF, j'avoue que le genre "nouvelle" illustrée me laisse souvent froid. En effet j'ai bien m'immerger dans une histoire et la nouvelle le permet rarement (de mon point de vue). J'avais donc gardé cet album pour le début des vacances, afin de le lire d'un coup sans être interrompu. Et bien j'ai bien fait car j'ai été embarqué par l'histoire. Histoire superbement portée par des doubles planche magique de François Schuiten permettant de mettre un visuel sur des mots. Un visuel qui correspond exactement à ce que l'on s'imaginait. C'est bluffant. On est tiraillé entre prendre le temps de bien apprécier ces doubles planches et lire l'histoire pour voir ce qu'il arrive à nos 5 personnages. Car plus que les dessins de François Schuiten, cette nouvelle est captivante. Cette histoire d'Obligés et de Compulsion est super réaliste, tant pas son illogisme que par son traitement. On imagine bien le monde démunis contre ce comportement qu'il ne comprend pas. Si je vous laisse juger la fin, soumise à interprétation (forcement au vu du peu de page de l'histoire), on ne peut nier que cet album est une véritable réussite, à lire au calme pour bien en profiter.
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Jamais renoncer - Le Vendée globe qui déjoua tous les pronostics
poseidon2 a posté un sujet dans Toute la BD
Titre de l'album : Jamais renoncer - Le Vendée globe qui déjoua tous les pronostics Scenariste de l'album : Alexandre Chenet Dessinateur de l'album : Renaud Garreta Coloriste : Renaud Garreta Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Le 8 novembre 2020, 33 concurrents s’élancent pour la 9e édition du Vendée Globe, marquée par des conditions météos délicates, un naufrage et un sauvetage d’anthologie, une vaillante résistance de l’ancienne génération de foils, quelques abandons déchirants et une arrivée qui bouleversera tous les pronostics. Alexandre Chenet et Renaud Garreta connaissent très bien cette course, ces bateaux, et leurs skippers. Avec talents ils nous narrent aussi bien la course des premiers arrivés que de ceux qui ont dû abandonner. Un récit épique et humain, complété par un dossier donnant toutes les infos sur les participants et bateaux prévus pour l’édition de 2024. Critique : Ca devient une habitude : à chaque Vendée globe sa BD. Et celle-ci partait avec un scenario tout fiat tellement le Vendée globe 2020 fut rocambolesque. Même moi qui ne suis pas un fanatique de voile, j'ai suivi cette arrivée haletante ! Alors je me suis : cool la BD va nous amener au cœur de la course ! Et bien c'est partiellement vrai. Si le récit de la course est plutôt bien fait, la multiplication des points de vue et surtout les petites transitions "humoristiques" de nos auteurs nous sortent un peu de l'ambiance, nous laissant dans un rôle de spectateur. Beaucoup plus que sur "A bord avec Thomas Coville" par exemple, toujours chez Dargaud et avec les deux mêmes compères aux manettes. Celui-ci intéressera presque plus les amateurs de l'édition courante, nous donnant, en fin d'album, une présentation des skippers de l'édition 2024 ainsi que de leurs bateaux. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/jamais-renoncer-le-vendee-globe-qui-dejoua-tous-les-pronostics?ref=44 Voir la totalité de enregistrement-
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Ca devient une habitude : à chaque Vendée globe sa BD. Et celle-ci partait avec un scenario tout fiat tellement le Vendée globe 2020 fut rocambolesque. Même moi qui ne suis pas un fanatique de voile, j'ai suivi cette arrivée haletante ! Alors je me suis : cool la BD va nous amener au cœur de la course ! Et bien c'est partiellement vrai. Si le récit de la course est plutôt bien fait, la multiplication des points de vue et surtout les petites transitions "humoristiques" de nos auteurs nous sortent un peu de l'ambiance, nous laissant dans un rôle de spectateur. Beaucoup plus que sur "A bord avec Thomas Coville" par exemple, toujours chez Dargaud et avec les deux mêmes compères aux manettes. Celui-ci intéressera presque plus les amateurs de l'édition courante, nous donnant, en fin d'album, une présentation des skippers de l'édition 2024 ainsi que de leurs bateaux.
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Titre de l'album : Les vieux fourneaux tome 8 - Graines de voyous Scenariste de l'album : Wilfrid Lupano Dessinateur de l'album : Paul Cauuet Coloriste : Paul Cauuet Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : C'est l'été, Montcoeur est sec comme un 49,3. La canicule est telle qu'on voit même le fond de l'étang la Gibelette ! Du jamais-vu. Pourtant, ce n'est pas la météo qui va empêcher Sophie d'organiser une fête pour les 60 ans du « Loup en slip ». L'occasion de se replonger dans les souvenirs et de dépoussiérer quelques vieilles photos. Le loup en Slip, dans le coin, c'est pas rien. Naturellement, Pierrot fait le déplacement, mais voilà, est-ce la chaleur ? Il semblerait que le vieil anar se tape une crise de foi en arrivant au bled. Fraichement descendu du bus, les radicalisés du bar La Chope le retrouvent à l'église à se poncer les rotules sous la croix. Pour le groupe, ça ne fait aucun doute: Pierrot est à deux doigts de caner. Pendant ce temps, dans la plantation de pommes, un octogénaire se lance dans le MMA. On se met à craindre le pire, et on a bien raison. Critique : Ah enfin ! Enfin un retour aux sources des Vieux fourneaux. En effet tous les tomes qui se focalisaient sur "Ni yeux ni maitre" ou tombait dans la caricature trop ridicule de nos petits vieux m'avaient lassé. Et bien celui-ci revient à ce qui m'avait vraiment plu dans les premiers : un coté nostalgique et très humains d'une bande de copains qui font des conneries, sans aller jusqu'aux revendications militantes. Ici on a le droit aux conneries d'une bande de potes... enfin de leurs conneries de jeunes ! Entre nostalgie et amitiés, ce tome nous rappel que les vieux fourneaux n'ont pas bâti leur succès uniquement sur les loufoqueries de Pierrot mais aussi (et surtout d'après moi) sur la camaraderie et l'esprit d'équipe de nos anciens. Une remise en avant de belles valeurs salutaire pour une série qui commençait à tomber dans la redite Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-vieux-fourneaux-tome-8-graines-de-voyous?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Ah enfin ! Enfin un retour aux sources des Vieux fourneaux. En effet tous les tomes qui se focalisaient sur "Ni yeux ni maitre" ou tombait dans la caricature trop ridicule de nos petits vieux m'avaient lassé. Et bien celui-ci revient à ce qui m'avait vraiment plu dans les premiers : un coté nostalgique et très humains d'une bande de copains qui font des conneries, sans aller jusqu'aux revendications militantes. Ici on a le droit aux conneries d'une bande de potes... enfin de leurs conneries de jeunes ! Entre nostalgie et amitiés, ce tome nous rappel que les vieux fourneaux n'ont pas bâti leur succès uniquement sur les loufoqueries de Pierrot mais aussi (et surtout d'après moi) sur la camaraderie et l'esprit d'équipe de nos anciens. Une remise en avant de belles valeurs salutaire pour une série qui commençait à tomber dans la redite
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Bon alors autant vous dire que je ne connaissais Ava Gardner que de nom. Moi les star actuelle j'ai deja du mal alors les anciennes stars.... Mais ce n'est pas pour autant que je n'aie pas apprécié la BD. je dirais même que j'ai été surpris par la découverte d'une femme au caractère bien trempée et celle d'une époque où la starisation existait, et ce, malgré l'absence d'internet. J'ai pris cette BD comme une découverte d'une époque autant que d'une actrice et ses caprices. Une époque ou tout le monde ne savait pas encore tout sur tout et/ou le dépaysement était disponible dès la tombée de l'avion, tout comme les chocs des cultures. Graphiquement très bien dessinée, cette BD ravira les fans d'Ava Gardner (s'il en reste) et permettra aux autres de découvrir LA première icône internationale (et son caractère) du cinéma tout autant que le monde dans les années 50.
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Titre de l'album : Ava - 48h dans la vie d'ava Gardner Scenariste de l'album : Emilio Ruiz Dessinateur de l'album : Ana Mirallès Coloriste : Ana Mirallès Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Ava Gardner est née sous une bonne étoile, celle de Bethléem pourrait-on même préciser, elle qui vit le jour lors du réveillon de Noël 1922. Ava Gardner, c'est 70 films en quarante ans de carrière : une petite étudiante en sténodactylo à la beauté renversante, repérée très tôt par la Metro Goldwyn Mayer et qui en fit l'archétype de la femme fatale. Ava, c'est aussi trois mariages, un nombre impressionnant d'amants et une addiction à la fête et à la vie nocturne animée. Une actrice adulée, une icône inaccessible. Cependant, un évènement de 1954, lors de sa tournée pour présenter le film « La Comtesse aux pieds nus », a effrité l'adoration du public. À Rio de Janeiro, dans un contexte politique instable, la star y reçoit un accueil éprouvant, étouffant et est au coeur de plusieurs controverses. La presse ne l'épargne pas. C'est cet épisode qui a fragilisé l'actrice, scénarisé par Emilio Ruiz, qu'Ana Mirallès a choisi d'illustrer. Avec « Ava », elle met en lumière une vie teintée de violence : celle des hommes et de leur désir de posséder. Un portrait plus intime de celle qu'on a surnommé « le plus bel animal du monde », en proie aux désillusions. Critique : Bon alors autant vous dire que je ne connaissais Ava Gardner que de nom. Moi les star actuelle j'ai deja du mal alors les anciennes stars.... Mais ce n'est pas pour autant que je n'aie pas apprécié la BD. je dirais même que j'ai été surpris par la découverte d'une femme au caractère bien trempée et celle d'une époque où la starisation existait, et ce, malgré l'absence d'internet. J'ai pris cette BD comme une découverte d'une époque autant que d'une actrice et ses caprices. Une époque ou tout le monde ne savait pas encore tout sur tout et/ou le dépaysement était disponible dès la tombée de l'avion, tout comme les chocs des cultures. Graphiquement très bien dessinée, cette BD ravira les fans d'Ava Gardner (s'il en reste) et permettra aux autres de découvrir LA première icône internationale (et son caractère) du cinéma tout autant que le monde dans les années 50. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ava?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Globe-trotteuses, le tour du monde de Nellie Bly et Elizabeth Bisland
poseidon2 a posté un sujet dans Toute la BD
Titre de l'album : Globe-trotteuses, le tour du monde de Nellie Bly et Elizabeth Bisland Scenariste de l'album : Julian Voloj Dessinateur de l'album : Julie Rocheleau Coloriste : Julie Rocheleau Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Le tour du monde en moins de 80 jours ! Voici le défi que se décide à relever la journaliste Nellie Bly à la fin du XIXe siècle : battre le fameux record établi par Phileas Fogg, personnage inventé par Jules Verne. Alors que la jeune journaliste démarre son tour du monde pour le compte du New York World, le patron d’un journal concurrent décide d’envoyer une autre femme, Elizabeth Bisland, et que la meilleure gagne. C’est dès lors pour ces deux femmes le début d’une course contre la montre, le sexisme, et les préjugés… Une ode à l’audace et à la détermination ! Critique : Ce que j'aime la BD ! Je l'aime parce qu'elle nous offre des histoires très diversifiés mais aussi des biographies et des informations sur des personnages historiques inconnus comme (ou peu connu) comme c'est le cas de Nelly Bly. J'avais déjà découvert son reportage dans les asiles anglais pour femmes à la fin du 19ieme siècle.... Mais je ne savais pas qu'elle avait réalisé un tour du monde en moins de 80 jours. Et encore moins que cette course avait faite en concourrence avec une autre journaliste. Cette aventure ce transforme en course et nous permet aussi de nous replonger à une époque ou les voyages prenait du temps et ou le retard et décalage faisait partie de la planification. Bien illustré, coloré et intéressant, cette double "biographie" permet de se replonger das les grandes époques de l'exploration et des exploits ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/globe-trotteuses-le-tour-du-monde-de-nellie-bly-et-elizabeth-bisland?ref=44 Voir la totalité de enregistrement-
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Ce que j'aime la BD ! Je l'aime parce qu'elle nous offre des histoires très diversifiés mais aussi des biographies et des informations sur des personnages historiques inconnus comme (ou peu connu) comme c'est le cas de Nelly Bly. J'avais déjà découvert son reportage dans les asiles anglais pour femmes à la fin du 19ieme siècle.... Mais je ne savais pas qu'elle avait réalisé un tour du monde en moins de 80 jours. Et encore moins que cette course avait faite en concourrence avec une autre journaliste. Cette aventure ce transforme en course et nous permet aussi de nous replonger à une époque ou les voyages prenait du temps et ou le retard et décalage faisait partie de la planification. Bien illustré, coloré et intéressant, cette double "biographie" permet de se replonger das les grandes époques de l'exploration et des exploits !
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Titre de l'album : Raven tome 3 - Furies (Fin) Scenariste de l'album : Mathieu Lauffray Dessinateur de l'album : Mathieu Lauffray Coloriste : Mathieu Lauffray Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : En piégeant Lady Darksee, Raven fait preuve d'une audace folle. Non seulement, il avait déjà récupéré les émeraudes, mais en plus, il isole la capitaine pirate de son équipage resté au camp. Malheureusement, pour les rescapés du naufrage, la situation est critique : le comte est assassiné par Drago, le second de Darksee, et le « Capricorne » qui devait permettre à tout ce petit monde de s'enfuir de cet enfer, est échoué sur la plage. La menace des cannibales est plus que jamais présente et amis et ennemis d'autrefois devront s'entendre pour faire face à cette menace mortelle. Mais gare aux coups bas ! La conclusion de la grande saga de pirates de ces dernières années ! Critique : On était tous d'accord, chez 1001bd, pour dire que le plus dur serait quasiment de rater la fin de cette trilogie, tellement les deux précédents étaient bons. Et bien si Lauffray a fait dans la facilité( i e il nous livre une bonne fin), il l'a fait d'une très belle façon ! En effet, ce tome est plus que bon, il est excellent. Graphiquement, on n'avait aucun doute tellement le style "pirate" lui va à merveille depuis Long John Silver. Mais encore fallait-il terminer ce scenario"dans les règles" comme dit monsieur mouche. Et ce tome trois deviendrait presque la définition de la règle tellement c'est une fin... digne des codes de la piraterie ! Des combats, des trahisons, du bluff, des navires, des trésors, mais aussi un héros aux grandes illusions et une Némésis qui n'a pas dit son dernier mot. On en prend plein les yeux et on se téléporte immédiatement sur les mats du Capricorne en criant : Libérer la grand voile !! Le début était haletant, la fin est, elle, succulente de décontraction. Allez ce soir, c'est l'ile aux trésors, puis relecture de Long Joh Silver ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/raven-tome-3-furies?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : Neuf Scenariste de l'album : Philippe Pelaez Dessinateur de l'album : Guénaël Grabowski Coloriste : Guénaël Grabowski Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Johnny C. Hubel est un astronaute hors pair. À bord d'une navette spatiale, il est sur le point de se poser sur la planète Neuf. Une planète mythique, étape ultime de l'exploration spatiale, dont l'existence est longtemps restée hypothétique. Soudain, c'est le drame. Prise dans une tempête magnétique, la navette s'enflamme. Pourtant, comme par miracle, John échappe de peu à la mort... pour se retrouver au volant d'une voiture. À ses côtés se trouve Astrid, sa petite amie. John a déjà vécu cette scène, vingt ans plus tôt. Ce jour-là, il n'avait pu éviter la collision avec un camion, ce qui avait provoqué le décès d'Astrid. Cette fois, John a le bon réflexe : il évite l'accident. Il comprend alors qu'il est sur le point de revivre ses vingt dernières années. Ce retour vers le passé lui offrira la possibilité de donner une direction différente à sa vie, et peut-être de sauver d'autres de ses proches... Inspirés par des films comme Interstellar, Seul sur Mars et Ad Astra, le scénariste Philippe Pelaez (Six, Noir Horizon) et le dessinateur Guénaël Grabowski (Nautilus) s'inscrivent dans la tradition de la grande épopée spatiale, à travers un récit alliant science-fiction et aventure humaine. Critique : Neuf c'est LA BD de SF du moment, du moins pour les puristes comme les fans de Nolan qui apprécieront surement. En effet Neuf est une BD de SF réfléchie et bien pensée. Très loin d'un space opera, elle nous livre une BD de science-fiction, une réflexion Nolanesque sur le voyage dans le temps, sur les changements que cela implique et sur les probabilités que ces changements ne mènent pas au désastre. Et le tout sur fond de conquête spatial. Tout est présent pour me plaire... mais je n'ai pas eu le declic tant attendu. J'ai trouvé que le récit "aventureux", alors même qu'il est globalement classique, prenait trop de place à rapport à l'aspect "voyage" dans le temps. J'aurais aimé que ce dernier soit plus au cœur de notre histoire. Que les impacts des sauts dans le temps aient des impacts moins prévisibles et pas uniquement bénéfiques... Bref peut être un peu plus de surprise en fait. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : http://www.bdfugue.com/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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On était tous d'accord, chez 1001bd, pour dire que le plus dur serait quasiment de rater la fin de cette trilogie, tellement les deux précédents étaient bons. Et bien si Lauffray a fait dans la facilité( i e il nous livre une bonne fin), il l'a fait d'une très belle façon ! En effet, ce tome est plus que bon, il est excellent. Graphiquement, on n'avait aucun doute tellement le style "pirate" lui va à merveille depuis Long John Silver. Mais encore fallait-il terminer ce scenario"dans les règles" comme dit monsieur mouche. Et ce tome trois deviendrait presque la définition de la règle tellement c'est une fin... digne des codes de la piraterie ! Des combats, des trahisons, du bluff, des navires, des trésors, mais aussi un héros aux grandes illusions et une Némésis qui n'a pas dit son dernier mot. On en prend plein les yeux et on se téléporte immédiatement sur les mats du Capricorne en criant : Libérer la grand voile !! Le début était haletant, la fin est, elle, succulente de décontraction. Allez ce soir, c'est l'ile aux trésors, puis relecture de Long Joh Silver !
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Emma et Capucine tome 8 - Le premier jour de ma nouvelle vie !
poseidon2 a posté un sujet dans Toute la BD
Titre de l'album : Emma et Capucine tome 8 - Le premier jour de ma nouvelle vie ! Scenariste de l'album : Jérôme Hamon Dessinateur de l'album : Lena Sayaphoum Coloriste : Lena Sayaphoum Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Capucine et Emma semblent plus épanouies que jamais et continuent de tracer leur chemin dans la danse. Mais l'année scolaire touche bientôt à sa fin et les soeurs doivent faire face à de nouveaux défis. Emma et Jake commencent tous deux un stage, elle dans un magasin vendant des articles de danse, lui dans une société de production. Le stage de Jake le passionne mais il est frustré de ne pas pouvoir toucher au matériel mis à sa disposition et montrer de quoi il est capable. Toute la bande décide donc de réaliser un nouveau clip. Mais Jake n'étant pas satisfait du résultat, Emma propose de l'aider en se chargeant de la chorégraphie. Et si c'était l'occasion pour Emma de se découvrir un nouveau talent ? Capucine, quant à elle vit son rêve et danse à l'Opera Bastille entourée de ses meilleures amies et des danseurs qu'elle admire. Mais son trio est mis en péril par le départ de Manon, qui part à New York l'année prochaine. Capucine accuse le coup mais elle peut compter sur le soutien de Maël et de sa soeur, prêts à tout pour l'aider. Critique : Un tome Feel Good puissance mille avec ce tome 8. Un tome qui fait du bien et ce même s'il est un peu trop vite lu. Un tome qui nous montre deux sœurs, ainsi que leurs parents, épanouis et bien dans leurs bottes. Que ce soit en termes de vie amoureuse qu'en termes de danse, notre petite famille respire la tranquillité et ca fait du bien au moral. Fini les soucis de cœur ou les problématiques de poursuite d'étude. Place à une grande et belle entente pour une famille qui donne envie et qui nous fait nous dire que oui un instant de bonheur familial c'est possible. Sans chercher plus, cet album est ce qu'il nous faut dans cette période triste de début d'automne. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/emma-et-capucine-tome-8-le-premier-jour-de-ma-nouvelle-vie?ref=44 Voir la totalité de enregistrement -
Un tome Feel Good puissance mille avec ce tome 8. Un tome qui fait du bien et ce même s'il est un peu trop vite lu. Un tome qui nous montre deux sœurs, ainsi que leurs parents, épanouis et bien dans leurs bottes. Que ce soit en termes de vie amoureuse qu'en termes de danse, notre petite famille respire la tranquillité et ca fait du bien au moral. Fini les soucis de cœur ou les problématiques de poursuite d'étude. Place à une grande et belle entente pour une famille qui donne envie et qui nous fait nous dire que oui un instant de bonheur familial c'est possible. Sans chercher plus, cet album est ce qu'il nous faut dans cette période triste de début d'automne.
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Titre de l'album : Vesper tome 4 - Valse éternelle (Fin) Scenariste de l'album : Jérémy Dessinateur de l'album : Jérémy Coloriste : Jérémy Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Prisonnière à Rosencrowe, la capitale du royaume de Sylvæstris, Vesper est libérée grâce à un mystérieux dignitaire ... Qui n'est autre que Crimson en personne ! Malgré les doutes de Vesper, il s'agit bien de Crimson, revenu à la vie dans un nouveau corps, mais constitué de son ether : sa mémoire, son esprit et son âme. Face au retour de Crimson, qui tient autant du miracle que du mauvais présage, l'Oracle Joachim révèle à tous les origines de la couronne éthérée, un pouvoir divin dont Crimson a hérité. Tandis que Crimson recouvre son nom de Lamont et le rang de Prince héritier qui lui est dû, Vesper retrouve Zarak, Sulcia Nocturna, Vanea et Eko, ses fidèles compagnons, avec lesquels elle peut enfin vivre des temps de paix... Paix apparente, car l'ombre de l'Archimériste plane toujours sur Etheria. Tandis que le monde se prépare à une ultime confrontation, l'Archimériste patiente, attendant l'heure fatidique où tous ses pions seront en place pour enfin déclencher son apocalypse. Critique : Quatrième et dernier tome la fresque fantastique de Jérémy et une fin maitrisée, bien qu'un poil trop dense. Maitrisée car Jeremy répond bien à toutes nos questions et dieu seul sait qu'on en avait beaucoup. On apprend énormément de chose sur le passé du monde, sur l'Archimeriste, sur l'Ether mais aussi sur nos personnages principaux. Et cela sans pour autant sacrifier des belles scènes de batailles et les sublimes planche dont Jeremy nous gratifie à chaque fois. Comment fait il alors me demanderez-vous ? Et bien il y a quelques pages dans l'album qui tiennent plus du roman que de la bande dessinée. C'est bien écrit et intéressant mais c'est quand même assez dense à digérer et ca vaut le coup de vous prévenir. Moi cela ne m'a pas gêné outre mesure et m'a surtout permis de bien comprendre l'univers et d'apprécier la fin du récit d'une bonne série de Fantastique. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/vesper-tome-4-valse-eternelle?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Quatrième et dernier tome la fresque fantastique de Jérémy et une fin maitrisée, bien qu'un poil trop dense. Maitrisée car Jeremy répond bien à toutes nos questions et dieu seul sait qu'on en avait beaucoup. On apprend énormément de chose sur le passé du monde, sur l'Archimeriste, sur l'Ether mais aussi sur nos personnages principaux. Et cela sans pour autant sacrifier des belles scènes de batailles et les sublimes planche dont Jeremy nous gratifie à chaque fois. Comment fait il alors me demanderez-vous ? Et bien il y a quelques pages dans l'album qui tiennent plus du roman que de la bande dessinée. C'est bien écrit et intéressant mais c'est quand même assez dense à digérer et ca vaut le coup de vous prévenir. Moi cela ne m'a pas gêné outre mesure et m'a surtout permis de bien comprendre l'univers et d'apprécier la fin du récit d'une bonne série de Fantastique.
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Titre de l'album : La fleur au fusil Scenariste de l'album : Cédric Mayen Dessinateur de l'album : Cristiano Crescenzi Coloriste : Cristiano Crescenzi Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : En 1868, dans la province qui s'étend entre Rome et Naples, un groupe de brigands planifie une embuscade contre l'armée piémontaise, qui régit d'une main de fer toute l'Italie depuis que Garibaldi a initié le Risorgimento, l'unification nationale italienne. À sa tête : Francesco Guerra, ancien soldat entré en rébellion contre ce nouvel État qui assomme le peuple de taxes ; et sa compagne, la troublante Michelina di Cesare, qui a réussi l'exploit d'unifier les ciociari, ces fermiers-brigands vivant dans le maquis. D'un sang-froid à toute épreuve, Michelina abat froidement les soldats pris en embuscade. Mais d'où lui vient cette haine farouche?? Serait-elle, comme dans les histoires que raconte son frère Nino, une janara, figure folklorique à mi-chemin entre harpie et sorcière?? La Fleur au fusil est l'histoire vraie de cette pasionaria italienne, autrice de nombreux vols, enlèvements et attaques à mains armées contre l'armée et l'État. Héroïne défenseure du peuple ou criminelle aux stratagèmes élaborés?? C'est au lecteur d'en juger. Dans un style inspiré des westerns en Technicolor de John Ford et Sam Peckinpah, ce one-shot écrit par Cédric Mayen et superbement mis en images par Cristiano Crescenzi nous raconte la vie et le destin tragique d'une femme rebelle, féministe avant l'heure. Critique : La fleur au fusil est la mise en avant d'un personnage italien complètement inconnu en France, tout comme l'histoire qui l'entoure. Car qui peut prétendre connaitre les dessous de l'unification forcée de l'Italie, sous pression des Piémontais ? Personne, je pense et c'est pour cela que l'histoire de notre robin des bois Italien en jupon est vraiment intéressante : pas uniquement pour le côté aventureux de notre héroïne, mais bien pour le côté historique de ce qui en découle. Un très heureux mélange qui nous livre une histoire aussi dynamique qu'intéressante car à peine romancée. La preuve en est une fin.... non consensuelle pour le XXIieme siècle. BIen aidé par un dessin très lumineux, dans la lignée d'un Servais, ce one shot ne décevra pas ceux qui le liront ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-fleur-au-fusil-9782505112662?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : Reines & dragons - La petite reine Scenariste de l'album : Joann Sfar Dessinateur de l'album : Joann Sfar Coloriste : Joann Sfar Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Elle est une jeune fille aimée de ses parents, des monarques éclairés et progressistes qui au lieu de dépenser leur fortune dans la guerre et les fortifications, ont tout investi dans l'art et la culture. Une belle démarche et un bon esprit, jusqu'à ce qu'une armée de monstres sanguinaires attaque le château et s'emploie à trucider tout le monde. Notre jeune princesse est donc réveillée en pleine nuit par des feux grégeois et un semi-orque avec un micropénis penché au-dessus de son lit qui cherche à la bouffer et pire. Heureusement, forte dans pas mal de domaines dont les arts martiaux et la capoeïra, elle parvient à s'échapper de sa chambre. Près des restes calcinés de ses parents, elle croise, par chance, le magicien du palais qui parvient à l'aider à s'enfuir du château envahi. Juste avant de mourir, il lui offrit un objet exceptionnel sorti du fin fond de son labo bordélique et poussiéreux : une « bicyclette ». Accompagnée de ce truc qui roule, sonne et éclaire dont elle ne sait rien, notre héroïne quitte le château détruit pour survivre et poursuivre sa route... Une route qui, bien entendu et malheureusement, pour une jeune fille seule, sera tout aussi dangereuse. Critique : Le nouveau Sfar aux éditions Dargaud et un one shot qui lui ressemble bien. Il reprend les poncifs du genre du conte et leur tord le cou avec humour et... un peu de sauvagerie. Avec un vrai penchant du côté de ses albums chez Donjon, Johann Sfar nous livre un album décapant ou notre héroïne est aussi bête que pleines de volonté et où notre dragon est tout sauf une grosse bête immonde sans pour autant être vraiment gentil. L'alternance entre les scènes "gores" et humoristique (je vous laisserais savourer les passages avec le vélo) est super bien pensée et nous offre un bon moment de détente pour un one shot très agréable (si on aime le style de dessin de Sfar) Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/reines-dragons?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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La fleur au fusil est la mise en avant d'un personnage italien complètement inconnu en France, tout comme l'histoire qui l'entoure. Car qui peut prétendre connaitre les dessous de l'unification forcée de l'Italie, sous pression des Piémontais ? Personne, je pense et c'est pour cela que l'histoire de notre robin des bois Italien en jupon est vraiment intéressante : pas uniquement pour le côté aventureux de notre héroïne, mais bien pour le côté historique de ce qui en découle. Un très heureux mélange qui nous livre une histoire aussi dynamique qu'intéressante car à peine romancée. La preuve en est une fin.... non consensuelle pour le XXIieme siècle. BIen aidé par un dessin très lumineux, dans la lignée d'un Servais, ce one shot ne décevra pas ceux qui le liront !
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Nouvel album de la collection Combo avec un album mangaisant parlant de magie dans la région de Strasbourg du XXIieme siècle. C'est un pari osé car il nous montre des sorcières devant faire, avec pôle emploi, le métier de livraison à vélo et autre dépollution de centrale. Et un pari que je ne trouve pas forcement réussi.... Si les idées sont la, notre auteur a du mal à trancher sur l'aspect sorcellerie de son histoire. Je n'ai pas réussi à savoir si nos sorcières étaient de gentilles marginales ou bien de vraies sorcières. Si je comprends l'idée de ne pas tomber dans la saga à la harry Potter, je trouve que ce manque de "preuve" nous laisse tellement perplexes que l'on reste spectateur de l'histoire, s'attendant à des révélations qui ne viennent pas à tel point que le cliffhanger fait "plouf".
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Titre de l'album : Majo no michi tome 1 Scenariste de l'album : Tony Concrete Dessinateur de l'album : Tony Concrete Coloriste : Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Vera et Mary sont des sorcières. Mais ici point de balais : c'est à vélo qu'elles parcourent le territoire qu'elles ont pour mission de protéger. Leur quotidien est celui de jeunes adultes précaires, entre soirées, jeux vidéo, chômage et petits jobs. En explorant la forêt, elles font un jour une terrible découverte : un bâtiment maudit empoisonne leur région ! S'engagent alors une lutte contre ce qui semble être un réseau d'énergie néfaste réparti à la surface de la Terre : les « Temples de béton ». Critique : Nouvel album de la collection Combo avec un album mangaisant parlant de magie dans la région de Strasbourg du XXIieme siècle. C'est un pari osé car il nous montre des sorcières devant faire, avec pôle emploi, le métier de livraison à vélo et autre dépollution de centrale. Et un pari que je ne trouve pas forcement réussi.... Si les idées sont la, notre auteur a du mal à trancher sur l'aspect sorcellerie de son histoire. Je n'ai pas réussi à savoir si nos sorcières étaient de gentilles marginales ou bien de vraies sorcières. Si je comprends l'idée de ne pas tomber dans la saga à la harry Potter, je trouve que ce manque de "preuve" nous laisse tellement perplexes que l'on reste spectateur de l'histoire, s'attendant à des révélations qui ne viennent pas à tel point que le cliffhanger fait "plouf". Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/majo-no-michi-le-sentier-des-sorcieres-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Neuf c'est LA BD de SF du moment, du moins pour les puristes comme les fans de Nolan qui apprécieront surement. En effet Neuf est une BD de SF réfléchie et bien pensée. Très loin d'un space opera, elle nous livre une BD de science-fiction, une réflexion Nolanesque sur le voyage dans le temps, sur les changements que cela implique et sur les probabilités que ces changements ne mènent pas au désastre. Et le tout sur fond de conquête spatial. Tout est présent pour me plaire... mais je n'ai pas eu le declic tant attendu. J'ai trouvé que le récit "aventureux", alors même qu'il est globalement classique, prenait trop de place à rapport à l'aspect "voyage" dans le temps. J'aurais aimé que ce dernier soit plus au cœur de notre histoire. Que les impacts des sauts dans le temps aient des impacts moins prévisibles et pas uniquement bénéfiques... Bref peut être un peu plus de surprise en fait.
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