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Titre de l'album : Grizzly jam Scenariste de l'album : Alice Chemama Dessinateur de l'album : Alice Chemama Coloriste : Alice Chemama Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Au Yellowstone, il y a les individus qui cherchent la connexion avec la nature, d'autres avec la 4G. Ceux qui auraient dû mieux lire les panneaux, ceux qui nettoient les toilettes et ceux qui se prennent pour Blanche-Neige. Il y a ceux qui découvrent et ceux qui se rappellent, ceux qui habitent et ceux qui passent. Ce projet nous conduit à la rencontre des rangers, visiteurs, scientifiques et saisonniers qui sillonnent le parc national de Yellowstone. Totem ou trophée, animal en peluche ou monstre d'histoire au coin du feu... Quels rapports entretenons-nous aujourd'hui avec l'ours ? Quelle a été l'influence de la culture populaire dans ces perceptions ? Critique : Voici une BD étonnante. A mi-chemin entre le documentaire et la tranche de vie. Le documentaire avec une véritable étude sur les grizzlys et leurs ours, la façon dont notre société vie "avec" et les risques pour les touristes. Bien documenté et tout. Tranche de vie car on suit aussi le job d'été d'une jeune fille qui découvre les grands espaces et essaye de découvrir l'amour... mais qui n'ait pas forcément doué.. ni la personne sur laquelle elle a jeté son dévolu. Bref, c'est pas forcément ma came et je n'ai pas réussi à trouver ca plus que 'intéressant'. Je ne saurai trop pourquoi, car le style graphique est sympa et d'habitude j'aime bien les tranches de vie. Bref "Joker" Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/grizzly-jam?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Voici une BD étonnante. A mi-chemin entre le documentaire et la tranche de vie. Le documentaire avec une véritable étude sur les grizzlys et leurs ours, la façon dont notre société vie "avec" et les risques pour les touristes. Bien documenté et tout. Tranche de vie car on suit aussi le job d'été d'une jeune fille qui découvre les grands espaces et essaye de découvrir l'amour... mais qui n'ait pas forcément doué.. ni la personne sur laquelle elle a jeté son dévolu. Bref, c'est pas forcément ma came et je n'ai pas réussi à trouver ca plus que 'intéressant'. Je ne saurai trop pourquoi, car le style graphique est sympa et d'habitude j'aime bien les tranches de vie. Bref "Joker"
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Titre de l'album : Yon t1 Scenariste de l'album : Camille Broutin Dessinateur de l'album : Camille Broutin Coloriste : Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Dans le paysage plat et sans vie d'un désert de pierres se trouve un internat disciplinaire. Depuis sept ans, Margot y cultive sa solitude. Transparente et stoïque, elle observe Dan et son groupe faire la loi dans les couloirs, Solweig se bagarrer dans l'ombre des bâtiments, et Olga, la fille du directeur, faire la sieste au soleil. Elles sont en terminale et, alors que la liberté se profile à l'horizon de leurs dix-sept ans, se produit le PHÉNOMÈNE. Lorsque l'alarme retentit ce jour-là, il ne s'agit pas d'un entraînement. Il ne reste que quelques minutes avant que de petites créatures mortelles tombent du ciel. Toute personne n'ayant pas évacué les lieux y sera enfermée avec ces êtres mystérieux, abandonnée à son sort. Les élèves se bousculent, se marchent dessus, se ruent vers les grilles. Mais, perdue dans les couloirs labyrinthiques d'une section abandonnée des bâtiments, Margot finit par renoncer à courir et se rend à l'évidence: il est trop tard pour fuir. Yon est la première histoire signée par Camille Méhu en tant qu'autrice complète. Un manga très inspiré qui entre dans la nouvelle collection Young Adult de Dargaud, « Combo ». Critique : La collection Combo de Dargaud nous avait déjà montré qu'elle était éclectique et qu'elle cherchait à présenter des contenus Yound Adult sans restriction de genre. Yon est encore un excellent exemple de cette démarche. En effet, c'est un design pur manga réalisé par une autrice française avec un format "grand" plus typique du comics que du manga. Ce format permet de bien apprécier le très très léché, plus proche de "manga roman graphique" que du shonen. Dessin au centre d'une histoire très visuelle ou les expressions des filles sont aussi importantes que leurs discours. Coté scenario, Camille Broutin reste dans un cadre manga avec une histoire se passant dans un lycée de jeunes filles, attaquées par des "monstres" et laissée à elles-mêmes le temps que l'attaque passe. La touche personnelle de notre autrice est de nous présenter des "montres" très loin des habituels Kaiju et autres Démons. Mais on ressent bien que même si les monstres ne sont pas visuellement effrayants, nos personnages savent bien à quels points ils sont dangereux. Entre huis clos, guerre de décisions parmi les filles, et angoisse sur la transformation des monstres, on a un premier tome prenant, intense et joli. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/yon-tome-1-9782505128656?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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La collection Combo de Dargaud nous avait déjà montré qu'elle était éclectique et qu'elle cherchait à présenter des contenus Yound Adult sans restriction de genre. Yon est encore un excellent exemple de cette démarche. En effet, c'est un design pur manga réalisé par une autrice française avec un format "grand" plus typique du comics que du manga. Ce format permet de bien apprécier le très très léché, plus proche de "manga roman graphique" que du shonen. Dessin au centre d'une histoire très visuelle ou les expressions des filles sont aussi importantes que leurs discours. Coté scenario, Camille Broutin reste dans un cadre manga avec une histoire se passant dans un lycée de jeunes filles, attaquées par des "monstres" et laissée à elles-mêmes le temps que l'attaque passe. La touche personnelle de notre autrice est de nous présenter des "montres" très loin des habituels Kaiju et autres Démons. Mais on ressent bien que même si les monstres ne sont pas visuellement effrayants, nos personnages savent bien à quels points ils sont dangereux. Entre huis clos, guerre de décisions parmi les filles, et angoisse sur la transformation des monstres, on a un premier tome prenant, intense et joli.
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Titre de l'album : Moi, Cléopâtre, dernière reine d'Égypte Scenariste de l'album : Isabelle Dethan Dessinateur de l'album : Isabelle Dethan Coloriste : Isabelle Dethan Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Kleopatra Philopator, septième du nom, fut la dernière reine d'Égypte. D'elle, nous avons retenu son nez aquilin, ses charmes vénéneux qui ont envoûté César et Marc Antoine, et ses manigances meurtrières. Nul ne semble pourtant se souvenir qu'elle parlait dix langues et avait lu tous les philosophes. La vérité à son propos n'aurait-elle pas été tronquée par l'Histoire ? Vingt siècles après son règne, la reine est sortie de son mausolée, et nous la retrouvons assise face à la baie d'Alexandrie, contemplant son royaume englouti. Elle n'a pas d'ombre face au soleil levant : c'est normal, elle n'est qu'un souvenir. Une version fantomatique d'elle-même, non dénuée d'humour, qui papote avec son singe fétiche embaumé. C'est sous ainsi sous la forme loufoque d'une reine revenante qu'Isabelle Dethan, avec la précision d'une historienne et la créativité d'une artiste, offre à cette grande femme la possibilité de nous conter sa véritable histoire. Critique : Cléopâtre est un personnage historique que l'on ne présente plus... voila ce que l'on aurait tendance à se dire. Mais c'est aussi trop vrai. En effet on connait tous La Cléopâtre au sommet de sa gloire. Ses liens avec César, Marc Antoine et sa "mort". Mais on parle ici de la fin de la vie de Cléopâtre. Et non de sa présentation. C'est en cela que la BD d'Isabelle Dethan est très intéressante. Elle ne nous parle pas que de la partie connue, mais bien de l'entièreté de l'histoire de Cléopâtre. Et ce depuis sa plus tendre enfance. On découvre donc l'enfance de LA reine emblématique d'Égypte, son père, ses frères et sœurs et surtout une lutte acharnée de pouvoir, tant pour rester en vie que pour garder la puissante Égypte sous sa coupe. Sacrifice, trahison, amour et gloire. Un cocktail que nous décrit Isabelle Dethan avec intelligence, sortant du cadre pure du récit historique en remplaçant la voie off par une discussion de la reine avec la momie de Kheops et sa discussion de fantômes avec son singe de compagnie. Cela rend la BD plus vivante, évitant les fatidiques périodes de lassitudes dans ce genre de recit historique. Pour tout dire le 208 pages semble presque peu tellement la vie de la dernière reine d'Égypte fut remplie. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/moi-cleopatre-derniere-reine-d-egypte?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Cléopâtre est un personnage historique que l'on ne présente plus... voila ce que l'on aurait tendance à se dire. Mais c'est aussi trop vrai. En effet on connait tous La Cléopâtre au sommet de sa gloire. Ses liens avec César, Marc Antoine et sa "mort". Mais on parle ici de la fin de la vie de Cléopâtre. Et non de sa présentation. C'est en cela que la BD d'Isabelle Dethan est très intéressante. Elle ne nous parle pas que de la partie connue, mais bien de l'entièreté de l'histoire de Cléopâtre. Et ce depuis sa plus tendre enfance. On découvre donc l'enfance de LA reine emblématique d'Égypte, son père, ses frères et sœurs et surtout une lutte acharnée de pouvoir, tant pour rester en vie que pour garder la puissante Égypte sous sa coupe. Sacrifice, trahison, amour et gloire. Un cocktail que nous décrit Isabelle Dethan avec intelligence, sortant du cadre pure du récit historique en remplaçant la voie off par une discussion de la reine avec la momie de Kheops et sa discussion de fantômes avec son singe de compagnie. Cela rend la BD plus vivante, évitant les fatidiques périodes de lassitudes dans ce genre de recit historique. Pour tout dire le 208 pages semble presque peu tellement la vie de la dernière reine d'Égypte fut remplie.
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Titre de l'album : Bienvenue à Pandemonia Scenariste de l'album : Diego Agrimbau Dessinateur de l'album : Gabriel Ippoliti Coloriste : Gabriel Ippoliti Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Lorsqu'Uriaki Posta meurt et se retrouve aux Enfers, il se dit qu'il s'agit d'une erreur : Comment un gourou du développement personnel avec des millions d'adeptes pourrait-il être damné ? Mais même en utilisant tous ses trucs de coaching, difficile de faire entendre raison à la bureaucratie infernale. Car la situation est compliquée aussi pour Lucifer et son conseil d'administration de Princes-démons : les damnés arrivent en trop grand nombre, et pas de directives du Paradis, le Grand Patron ne prend plus aucun appel ! Une satire féroce élaborée par Diego Agrimbau (« L'Humain ») et enluminée par Gabriele Ippoliti, qui signe là son premier album pour Dargaud. Critique : En voilà un tome surprenant. Surprenant, car tournant très vite dans le n'importe quoi. Mais du très bon n'importe quoi ! On est dans une histoire ou un boni menteur beau parleur se retrouve en enfer et ne se laisse pas démonter. Mais un enfer qui n'est qu'un reflet de notre monde, avec ses problèmes, ses syndicats et un nombre de péchés dingues qui augmentent en même temps que les nouvelles technologies arrivent. Un monde plein de démons qui râlent, avec une hiérarchie qui n'en peu plus et des condamnés au final pas si mal lotis. Une BD pleine d'humour, de second degré, mais aussi de critique des beaux parleurs et de ceux qui les croient sans réfléchir. Le seul truc dommage c'est qu'il semblerait sur ce soit un one shot... meme si..... 4 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/bienvenue-a-pandemonia?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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En voilà un tome surprenant. Surprenant, car tournant très vite dans le n'importe quoi. Mais du très bon n'importe quoi ! On est dans une histoire ou un boni menteur beau parleur se retrouve en enfer et ne se laisse pas démonter. Mais un enfer qui n'est qu'un reflet de notre monde, avec ses problèmes, ses syndicats et un nombre de péchés dingues qui augmentent en même temps que les nouvelles technologies arrivent. Un monde plein de démons qui râlent, avec une hiérarchie qui n'en peu plus et des condamnés au final pas si mal lotis. Une BD pleine d'humour, de second degré, mais aussi de critique des beaux parleurs et de ceux qui les croient sans réfléchir. Le seul truc dommage c'est qu'il semblerait sur ce soit un one shot... meme si..... 4
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Aude Picault nous revient avec un album sur son passage à la quarantaine. Quarantaine qui veut que l'on essaye encore de tout faire partout sans vraiment prendre son temps. Elle nous décrit son quotidien de maman surbookée. Maman qui essaye toujours de tout gérer et qui finit au bord du burn out. Si le point de vue très féminin de l'album pourrait rebuter certaines personnes, j'ai trouvé, personnellement, cela facilement transposable. Je me suis retrouvé dans cette vie pleine d'engagement que ce soit vis-à-vis des enfants, des activités extra travail ou du travail lui-même. Je suis juste content d'avoir des enfants plus jeune et donc de plus profiter de cette période avec des échanges plus constructifs avec mes grands enfants 🙂 Une vie à 200 à l'heure dont on ne profite pas vraiment si on ne prend pas le temps de lever le pied. Graphiquement, on est dans du pur Aude Picault : des strips très expressif pour une artiste qui se met à nu.
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Titre de l'album : Moi je, quarantaine Scenariste de l'album : Aude Picault Dessinateur de l'album : Aude Picault Coloriste : Aude Picault Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Vivre la quarantaine pour Aude Picault, c'est se rebeller contre l'inexorable routine quotidienne, l'usure du couple, les inévitables contraintes familiales et donc professionnelles, sans compter l'éco-politico-anxiété galopante... Mais la quarantaine, c'est aussi cet âge où l'on apprend à s'accepter tel que l'on est et à trouver son chemin ! Critique : Aude Picault nous revient avec un album sur son passage à la quarantaine. Quarantaine qui veut que l'on essaye encore de tout faire partout sans vraiment prendre son temps. Elle nous décrit son quotidien de maman surbookée. Maman qui essaye toujours de tout gérer et qui finit au bord du burn out. Si le point de vue très féminin de l'album pourrait rebuter certaines personnes, j'ai trouvé, personnellement, cela facilement transposable. Je me suis retrouvé dans cette vie pleine d'engagement que ce soit vis-à-vis des enfants, des activités extra travail ou du travail lui-même. Je suis juste content d'avoir des enfants plus jeune et donc de plus profiter de cette période avec des échanges plus constructifs avec mes grands enfants 🙂 Une vie à 200 à l'heure dont on ne profite pas vraiment si on ne prend pas le temps de lever le pied. Graphiquement, on est dans du pur Aude Picault : des strips très expressif pour une artiste qui se met à nu. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/moi-je-quarantaine?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : Apogée tome 1 - Les boucles du Celadön Scenariste de l'album : Fred Duval Dessinateur de l'album : Emem | Fred Blanchard Coloriste : Emem | Fred Blanchard Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Le « Complexe » est une fédération dont la Terre est le 24e membre. Constitué depuis des millénaires par trois planètes fondatrices (Thorgon, Kobalt et Skuall), le Complexe a connu de nombreux conflits dont celui du premier conflit interstellaire ! Il affronte alors la civilisation Ouroboros, prête à faire la guerre afin de mettre la main sur de nouvelles ressources. Nous découvrirons cette guerre spatiale à travers 4 personnages : Un frère et une soeur venus de la planète Kerath, dame Eliz, une Ouroboros qui critique ouvertement la volonté hégémonique de son peuple et Marcus Valerius, un humain enlevé par les Ouroboros avec plusieurs de ses hommes. La nouvelle saga des créateurs de "Renaissance "! Critique : Les auteurs de Renaissance n'en ont pas fini avec la SF et reviennent avec une nouvelle série qui s'annonce galactique ! Ce premier tome oscille à merveille entre les space opera, avec le début d'une guerre interstellaire, et la SF pure avec un univers ou les humains ne sont pas présents et où les espèces très évoluées sont légion. C'est un des changements par rapport à Renaissance : ici, on est plus proche d'un mix entre Aquablue et Orbital que d'Interstellar. Tous les ingrédients d'une bonne série de SF sont la ! Nos auteurs se payent même le luxe de mixer présentation de l'univers et démarrage d'une guerre galactique. Cette série en 3 tomes, vues par Fred Duval comme un préquel à Renaissance, ravira les amateurs de la série principale, mais aussi les amateurs de SF tous cours qui, comme moi, n'ont pas suivi la série mère. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/apogee-tome-1-les-boucles-du-celadon?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Les auteurs de Renaissance n'en ont pas fini avec la SF et reviennent avec une nouvelle série qui s'annonce galactique ! Ce premier tome oscille à merveille entre les space opera, avec le début d'une guerre interstellaire, et la SF pure avec un univers ou les humains ne sont pas présents et où les espèces très évoluées sont légion. C'est un des changements par rapport à Renaissance : ici, on est plus proche d'un mix entre Aquablue et Orbital que d'Interstellar. Tous les ingrédients d'une bonne série de SF sont la ! Nos auteurs se payent même le luxe de mixer présentation de l'univers et démarrage d'une guerre galactique. Cette série en 3 tomes, vues par Fred Duval comme un préquel à Renaissance, ravira les amateurs de la série principale, mais aussi les amateurs de SF tous cours qui, comme moi, n'ont pas suivi la série mère.
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Titre de l'album : Marcie - Le point de bascule Scenariste de l'album : Cati Baur Dessinateur de l'album : Cati Baur Coloriste : Cati Baur Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Caroline mène une existence moyenne, dans un corps qu'elle juge moyen. Alors que la cinquantaine arrive, et avec elle les affres de la périménopause, elle se fait licencier d'un travail qui était, sans surprise, moyen. C'est décidé, puisque plus personne ne la remarque ni ne la considère, Caroline entreprend de mettre à profit son super pouvoir d'invisibilité pour devenir détective privée. Ce changement de cap va la conduire jusqu'à New York et à la rencontre d'elle-même, et lui permettre de renouer avec sa véritable identité, celle de Marcie Bangor ! Critique : En voila une belle BD pour commencer l'année. Une bd feel good qui nous montre qu'il n'y a pas d'age pour croire en ses rêves. Pas d'age pour changer. Alors oui c'est plus dure. Oui il faut souvent un coup du destin. Mais cela peut parfois amener à un véritable en termes d’estime de soi et de plaisir de vie. Quand en plus ce métier et celui qui vous fait rêver depuis petit.... Et cette "crise" de la cinquantaine est supportée par une enquête plutôt bien ficelée portée par une Marcie aussi drôle que maligne. Une lecture qui ne sera pas la plus marquante de l'année mais qui permet de commencer celle-ci avec un sourire aux lèvres ce qui est déjà une très bonne chose. Une mention toute particulière à la fille de Marcie, succulente dans ses remarques et son amour pour sa mère. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/marcie-le-point-de-bascule?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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En voila une belle BD pour commencer l'année. Une bd feel good qui nous montre qu'il n'y a pas d'age pour croire en ses rêves. Pas d'age pour changer. Alors oui c'est plus dure. Oui il faut souvent un coup du destin. Mais cela peut parfois amener à un véritable en termes d’estime de soi et de plaisir de vie. Quand en plus ce métier et celui qui vous fait rêver depuis petit.... Et cette "crise" de la cinquantaine est supportée par une enquête plutôt bien ficelée portée par une Marcie aussi drôle que maligne. Une lecture qui ne sera pas la plus marquante de l'année mais qui permet de commencer celle-ci avec un sourire aux lèvres ce qui est déjà une très bonne chose. Une mention toute particulière à la fille de Marcie, succulente dans ses remarques et son amour pour sa mère.
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Titre de l'album : Compulsion Scenariste de l'album : Adam Roberts Dessinateur de l'album : François Schuiten Coloriste : François Schuiten Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : « Partout, on pouvait voir ces structures nouvelles, petites et grandes, larges et hautes ; des monolithes, des dômes et des sphères bâtis par Obligation, se dressant fièrement au-dessus des pâturages comme les lettres d'un texte inédit, colossal et impénétrable. » Il y a quelque temps, insidieusement, le comportement humain a changé. Des hommes et des femmes, que rien n'apparente les uns aux autres, ont commencé à déplacer des objets du quotidien vers des lieux précis, mus par un sentiment d'obligation contre lequel il semble impossible de lutter. De quelques dizaines d'individus dans un premier temps, leur nombre est passé à des milliers à travers le monde, s'activant pour répondre à cette étrange injonction dont la cause est à ce jour totalement inconnue. Si certains objets semblent parfaitement inoffensifs, tels un vieux modèle de téléphone ou bien la capsule cabossée d'une bouteille de bière, d'autres sont bien plus complexes et déroutants : la turbine d'un moteur à réaction expérimental ou le processeur d'un superordinateur. Ceux qui se sentent obligés de transporter tous ces objets ne se contentent pas, une fois arrivés à destination, de les empiler comme des ordures. Les Obligés sont en effet capables de connecter ces éléments sans rapport manifeste entre eux, comme les pièces d'un puzzle tridimensionnel. Les structures qu'ils conçoivent semblent d'ailleurs dotées d'un potentiel mécanique et technologique destiné à servir à quelque chose. Mais... à quoi donc ? Nouvelle futuriste écrite par l'écrivain britannique Adam Roberts et transcendée par les grandioses illustrations architecturales du Belge François Schuiten, « Compulsion » offre un panel de personnages hétéroclites, coincés dans d'inextricables situations, et dont les réactions créent une tension habilement construite. Critique : Si je suis fan de SF, j'avoue que le genre "nouvelle" illustrée me laisse souvent froid. En effet j'ai bien m'immerger dans une histoire et la nouvelle le permet rarement (de mon point de vue). J'avais donc gardé cet album pour le début des vacances, afin de le lire d'un coup sans être interrompu. Et bien j'ai bien fait car j'ai été embarqué par l'histoire. Histoire superbement portée par des doubles planche magique de François Schuiten permettant de mettre un visuel sur des mots. Un visuel qui correspond exactement à ce que l'on s'imaginait. C'est bluffant. On est tiraillé entre prendre le temps de bien apprécier ces doubles planches et lire l'histoire pour voir ce qu'il arrive à nos 5 personnages. Car plus que les dessins de François Schuiten, cette nouvelle est captivante. Cette histoire d'Obligés et de Compulsion est super réaliste, tant pas son illogisme que par son traitement. On imagine bien le monde démunis contre ce comportement qu'il ne comprend pas. Si je vous laisse juger la fin, soumise à interprétation (forcement au vu du peu de page de l'histoire), on ne peut nier que cet album est une véritable réussite, à lire au calme pour bien en profiter. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/compulsion?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Si je suis fan de SF, j'avoue que le genre "nouvelle" illustrée me laisse souvent froid. En effet j'ai bien m'immerger dans une histoire et la nouvelle le permet rarement (de mon point de vue). J'avais donc gardé cet album pour le début des vacances, afin de le lire d'un coup sans être interrompu. Et bien j'ai bien fait car j'ai été embarqué par l'histoire. Histoire superbement portée par des doubles planche magique de François Schuiten permettant de mettre un visuel sur des mots. Un visuel qui correspond exactement à ce que l'on s'imaginait. C'est bluffant. On est tiraillé entre prendre le temps de bien apprécier ces doubles planches et lire l'histoire pour voir ce qu'il arrive à nos 5 personnages. Car plus que les dessins de François Schuiten, cette nouvelle est captivante. Cette histoire d'Obligés et de Compulsion est super réaliste, tant pas son illogisme que par son traitement. On imagine bien le monde démunis contre ce comportement qu'il ne comprend pas. Si je vous laisse juger la fin, soumise à interprétation (forcement au vu du peu de page de l'histoire), on ne peut nier que cet album est une véritable réussite, à lire au calme pour bien en profiter.
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Ca devient une habitude : à chaque Vendée globe sa BD. Et celle-ci partait avec un scenario tout fiat tellement le Vendée globe 2020 fut rocambolesque. Même moi qui ne suis pas un fanatique de voile, j'ai suivi cette arrivée haletante ! Alors je me suis : cool la BD va nous amener au cœur de la course ! Et bien c'est partiellement vrai. Si le récit de la course est plutôt bien fait, la multiplication des points de vue et surtout les petites transitions "humoristiques" de nos auteurs nous sortent un peu de l'ambiance, nous laissant dans un rôle de spectateur. Beaucoup plus que sur "A bord avec Thomas Coville" par exemple, toujours chez Dargaud et avec les deux mêmes compères aux manettes. Celui-ci intéressera presque plus les amateurs de l'édition courante, nous donnant, en fin d'album, une présentation des skippers de l'édition 2024 ainsi que de leurs bateaux.
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Jamais renoncer - Le Vendée globe qui déjoua tous les pronostics
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Titre de l'album : Jamais renoncer - Le Vendée globe qui déjoua tous les pronostics Scenariste de l'album : Alexandre Chenet Dessinateur de l'album : Renaud Garreta Coloriste : Renaud Garreta Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Le 8 novembre 2020, 33 concurrents s’élancent pour la 9e édition du Vendée Globe, marquée par des conditions météos délicates, un naufrage et un sauvetage d’anthologie, une vaillante résistance de l’ancienne génération de foils, quelques abandons déchirants et une arrivée qui bouleversera tous les pronostics. Alexandre Chenet et Renaud Garreta connaissent très bien cette course, ces bateaux, et leurs skippers. Avec talents ils nous narrent aussi bien la course des premiers arrivés que de ceux qui ont dû abandonner. Un récit épique et humain, complété par un dossier donnant toutes les infos sur les participants et bateaux prévus pour l’édition de 2024. Critique : Ca devient une habitude : à chaque Vendée globe sa BD. Et celle-ci partait avec un scenario tout fiat tellement le Vendée globe 2020 fut rocambolesque. Même moi qui ne suis pas un fanatique de voile, j'ai suivi cette arrivée haletante ! Alors je me suis : cool la BD va nous amener au cœur de la course ! Et bien c'est partiellement vrai. Si le récit de la course est plutôt bien fait, la multiplication des points de vue et surtout les petites transitions "humoristiques" de nos auteurs nous sortent un peu de l'ambiance, nous laissant dans un rôle de spectateur. Beaucoup plus que sur "A bord avec Thomas Coville" par exemple, toujours chez Dargaud et avec les deux mêmes compères aux manettes. Celui-ci intéressera presque plus les amateurs de l'édition courante, nous donnant, en fin d'album, une présentation des skippers de l'édition 2024 ainsi que de leurs bateaux. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/jamais-renoncer-le-vendee-globe-qui-dejoua-tous-les-pronostics?ref=44 Voir la totalité de enregistrement-
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Titre de l'album : Les vieux fourneaux tome 8 - Graines de voyous Scenariste de l'album : Wilfrid Lupano Dessinateur de l'album : Paul Cauuet Coloriste : Paul Cauuet Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : C'est l'été, Montcoeur est sec comme un 49,3. La canicule est telle qu'on voit même le fond de l'étang la Gibelette ! Du jamais-vu. Pourtant, ce n'est pas la météo qui va empêcher Sophie d'organiser une fête pour les 60 ans du « Loup en slip ». L'occasion de se replonger dans les souvenirs et de dépoussiérer quelques vieilles photos. Le loup en Slip, dans le coin, c'est pas rien. Naturellement, Pierrot fait le déplacement, mais voilà, est-ce la chaleur ? Il semblerait que le vieil anar se tape une crise de foi en arrivant au bled. Fraichement descendu du bus, les radicalisés du bar La Chope le retrouvent à l'église à se poncer les rotules sous la croix. Pour le groupe, ça ne fait aucun doute: Pierrot est à deux doigts de caner. Pendant ce temps, dans la plantation de pommes, un octogénaire se lance dans le MMA. On se met à craindre le pire, et on a bien raison. Critique : Ah enfin ! Enfin un retour aux sources des Vieux fourneaux. En effet tous les tomes qui se focalisaient sur "Ni yeux ni maitre" ou tombait dans la caricature trop ridicule de nos petits vieux m'avaient lassé. Et bien celui-ci revient à ce qui m'avait vraiment plu dans les premiers : un coté nostalgique et très humains d'une bande de copains qui font des conneries, sans aller jusqu'aux revendications militantes. Ici on a le droit aux conneries d'une bande de potes... enfin de leurs conneries de jeunes ! Entre nostalgie et amitiés, ce tome nous rappel que les vieux fourneaux n'ont pas bâti leur succès uniquement sur les loufoqueries de Pierrot mais aussi (et surtout d'après moi) sur la camaraderie et l'esprit d'équipe de nos anciens. Une remise en avant de belles valeurs salutaire pour une série qui commençait à tomber dans la redite Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-vieux-fourneaux-tome-8-graines-de-voyous?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Ah enfin ! Enfin un retour aux sources des Vieux fourneaux. En effet tous les tomes qui se focalisaient sur "Ni yeux ni maitre" ou tombait dans la caricature trop ridicule de nos petits vieux m'avaient lassé. Et bien celui-ci revient à ce qui m'avait vraiment plu dans les premiers : un coté nostalgique et très humains d'une bande de copains qui font des conneries, sans aller jusqu'aux revendications militantes. Ici on a le droit aux conneries d'une bande de potes... enfin de leurs conneries de jeunes ! Entre nostalgie et amitiés, ce tome nous rappel que les vieux fourneaux n'ont pas bâti leur succès uniquement sur les loufoqueries de Pierrot mais aussi (et surtout d'après moi) sur la camaraderie et l'esprit d'équipe de nos anciens. Une remise en avant de belles valeurs salutaire pour une série qui commençait à tomber dans la redite
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Titre de l'album : Ava - 48h dans la vie d'ava Gardner Scenariste de l'album : Emilio Ruiz Dessinateur de l'album : Ana Mirallès Coloriste : Ana Mirallès Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Ava Gardner est née sous une bonne étoile, celle de Bethléem pourrait-on même préciser, elle qui vit le jour lors du réveillon de Noël 1922. Ava Gardner, c'est 70 films en quarante ans de carrière : une petite étudiante en sténodactylo à la beauté renversante, repérée très tôt par la Metro Goldwyn Mayer et qui en fit l'archétype de la femme fatale. Ava, c'est aussi trois mariages, un nombre impressionnant d'amants et une addiction à la fête et à la vie nocturne animée. Une actrice adulée, une icône inaccessible. Cependant, un évènement de 1954, lors de sa tournée pour présenter le film « La Comtesse aux pieds nus », a effrité l'adoration du public. À Rio de Janeiro, dans un contexte politique instable, la star y reçoit un accueil éprouvant, étouffant et est au coeur de plusieurs controverses. La presse ne l'épargne pas. C'est cet épisode qui a fragilisé l'actrice, scénarisé par Emilio Ruiz, qu'Ana Mirallès a choisi d'illustrer. Avec « Ava », elle met en lumière une vie teintée de violence : celle des hommes et de leur désir de posséder. Un portrait plus intime de celle qu'on a surnommé « le plus bel animal du monde », en proie aux désillusions. Critique : Bon alors autant vous dire que je ne connaissais Ava Gardner que de nom. Moi les star actuelle j'ai deja du mal alors les anciennes stars.... Mais ce n'est pas pour autant que je n'aie pas apprécié la BD. je dirais même que j'ai été surpris par la découverte d'une femme au caractère bien trempée et celle d'une époque où la starisation existait, et ce, malgré l'absence d'internet. J'ai pris cette BD comme une découverte d'une époque autant que d'une actrice et ses caprices. Une époque ou tout le monde ne savait pas encore tout sur tout et/ou le dépaysement était disponible dès la tombée de l'avion, tout comme les chocs des cultures. Graphiquement très bien dessinée, cette BD ravira les fans d'Ava Gardner (s'il en reste) et permettra aux autres de découvrir LA première icône internationale (et son caractère) du cinéma tout autant que le monde dans les années 50. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ava?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Bon alors autant vous dire que je ne connaissais Ava Gardner que de nom. Moi les star actuelle j'ai deja du mal alors les anciennes stars.... Mais ce n'est pas pour autant que je n'aie pas apprécié la BD. je dirais même que j'ai été surpris par la découverte d'une femme au caractère bien trempée et celle d'une époque où la starisation existait, et ce, malgré l'absence d'internet. J'ai pris cette BD comme une découverte d'une époque autant que d'une actrice et ses caprices. Une époque ou tout le monde ne savait pas encore tout sur tout et/ou le dépaysement était disponible dès la tombée de l'avion, tout comme les chocs des cultures. Graphiquement très bien dessinée, cette BD ravira les fans d'Ava Gardner (s'il en reste) et permettra aux autres de découvrir LA première icône internationale (et son caractère) du cinéma tout autant que le monde dans les années 50.
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Ce que j'aime la BD ! Je l'aime parce qu'elle nous offre des histoires très diversifiés mais aussi des biographies et des informations sur des personnages historiques inconnus comme (ou peu connu) comme c'est le cas de Nelly Bly. J'avais déjà découvert son reportage dans les asiles anglais pour femmes à la fin du 19ieme siècle.... Mais je ne savais pas qu'elle avait réalisé un tour du monde en moins de 80 jours. Et encore moins que cette course avait faite en concourrence avec une autre journaliste. Cette aventure ce transforme en course et nous permet aussi de nous replonger à une époque ou les voyages prenait du temps et ou le retard et décalage faisait partie de la planification. Bien illustré, coloré et intéressant, cette double "biographie" permet de se replonger das les grandes époques de l'exploration et des exploits !
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Globe-trotteuses, le tour du monde de Nellie Bly et Elizabeth Bisland
poseidon2 a posté un sujet dans Toute la BD
Titre de l'album : Globe-trotteuses, le tour du monde de Nellie Bly et Elizabeth Bisland Scenariste de l'album : Julian Voloj Dessinateur de l'album : Julie Rocheleau Coloriste : Julie Rocheleau Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Le tour du monde en moins de 80 jours ! Voici le défi que se décide à relever la journaliste Nellie Bly à la fin du XIXe siècle : battre le fameux record établi par Phileas Fogg, personnage inventé par Jules Verne. Alors que la jeune journaliste démarre son tour du monde pour le compte du New York World, le patron d’un journal concurrent décide d’envoyer une autre femme, Elizabeth Bisland, et que la meilleure gagne. C’est dès lors pour ces deux femmes le début d’une course contre la montre, le sexisme, et les préjugés… Une ode à l’audace et à la détermination ! Critique : Ce que j'aime la BD ! Je l'aime parce qu'elle nous offre des histoires très diversifiés mais aussi des biographies et des informations sur des personnages historiques inconnus comme (ou peu connu) comme c'est le cas de Nelly Bly. J'avais déjà découvert son reportage dans les asiles anglais pour femmes à la fin du 19ieme siècle.... Mais je ne savais pas qu'elle avait réalisé un tour du monde en moins de 80 jours. Et encore moins que cette course avait faite en concourrence avec une autre journaliste. Cette aventure ce transforme en course et nous permet aussi de nous replonger à une époque ou les voyages prenait du temps et ou le retard et décalage faisait partie de la planification. Bien illustré, coloré et intéressant, cette double "biographie" permet de se replonger das les grandes époques de l'exploration et des exploits ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/globe-trotteuses-le-tour-du-monde-de-nellie-bly-et-elizabeth-bisland?ref=44 Voir la totalité de enregistrement-
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Titre de l'album : Raven tome 3 - Furies (Fin) Scenariste de l'album : Mathieu Lauffray Dessinateur de l'album : Mathieu Lauffray Coloriste : Mathieu Lauffray Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : En piégeant Lady Darksee, Raven fait preuve d'une audace folle. Non seulement, il avait déjà récupéré les émeraudes, mais en plus, il isole la capitaine pirate de son équipage resté au camp. Malheureusement, pour les rescapés du naufrage, la situation est critique : le comte est assassiné par Drago, le second de Darksee, et le « Capricorne » qui devait permettre à tout ce petit monde de s'enfuir de cet enfer, est échoué sur la plage. La menace des cannibales est plus que jamais présente et amis et ennemis d'autrefois devront s'entendre pour faire face à cette menace mortelle. Mais gare aux coups bas ! La conclusion de la grande saga de pirates de ces dernières années ! Critique : On était tous d'accord, chez 1001bd, pour dire que le plus dur serait quasiment de rater la fin de cette trilogie, tellement les deux précédents étaient bons. Et bien si Lauffray a fait dans la facilité( i e il nous livre une bonne fin), il l'a fait d'une très belle façon ! En effet, ce tome est plus que bon, il est excellent. Graphiquement, on n'avait aucun doute tellement le style "pirate" lui va à merveille depuis Long John Silver. Mais encore fallait-il terminer ce scenario"dans les règles" comme dit monsieur mouche. Et ce tome trois deviendrait presque la définition de la règle tellement c'est une fin... digne des codes de la piraterie ! Des combats, des trahisons, du bluff, des navires, des trésors, mais aussi un héros aux grandes illusions et une Némésis qui n'a pas dit son dernier mot. On en prend plein les yeux et on se téléporte immédiatement sur les mats du Capricorne en criant : Libérer la grand voile !! Le début était haletant, la fin est, elle, succulente de décontraction. Allez ce soir, c'est l'ile aux trésors, puis relecture de Long Joh Silver ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/raven-tome-3-furies?ref=44 Voir la totalité de enregistrement