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  1. Pfffff que j'aime ces deux auteurs. Je le dis et je le répète mais ensemble ils sont juste géniaux. Voici donc la conclusion de la trilogie fantastique des deux auteurs d'Horacio d'Alba revisitant le mythe de Dracula à leur façon. La maestria de Nicolas Siner s'exprime une nouvelle fois dans cette conclusion dramatique à haute intensité. Personnages, mise en scène, action et décors sont sublimes. La noirceur des fonds et couleurs pour des raisons évidentes n'empêche pas le dessin de nous subjuguer. Le scénario de Jérôme Le Gris est lui.... comment dire... terrible, dramatique, intense, et ... Frustrant. Oui si Horacio d'Alba nous avait habitué aux fins tragiques, frustrantes et logiques mais là on franchit définitivement un cap. ON VEUT UNE SUITE ! ON VEUT UN NOUVEAU CYCLE ! C'est beaucoup trop bon pour s'arrêter là. Seule faiblesse je trouve de cette trilogie : le personnage principal, que je trouve un peu trop passif, faible et un brin geignard. D'où l'importance je trouve, sans rien spoiler, de nous raconter la suite 😉
  2. Titre de l'album : Blanche-Neige, rouge sang - Chronique vampirique Scenariste de l'album : Neil Gaiman Dessinateur de l'album : Colleen Doran Coloriste : Colleen Doran Editeur de l'album : Black River Note : Résumé de l'album : Une reine pas si méchante est terrifiée par sa monstrueuse belle-fille et est déterminée à repousser cette créature et à sauver son royaume d'un monde où on ne vit pas si heureux que ça à la fin. Blanche-Neige est une icône de contes de fées classiques, en partie grâce à Walt Disney, son apparence est inoubliable : cheveux noir de jais, lèvres rouge foncé, peau immaculée et blanche comme neige. La description à elle seule évoque une autre légende, une autre créature, tout aussi célèbre. Critique : Neil Gaiman nous propose une réécriture du conte de Blanche neige, bien plus adulte et surprenante. Comme vous pouvez vous en doutez avec Neil Gaiman, on s'éloigne du récit d'origine pour nous offrir un récit fantasmagorique et onirique avec une pointe d'érotisme léger. Les dialogues sont minimalistes pour laisser la place à la vision de la reine avec ses pensées et son ressenti. La partie graphique est impressionnante, Colleen Doran s'est inspiré du travail de Harry Clarke, un peintre-verrier et illustrateur irlandais. Il suffit de regarder une planche pour comprendre ce style avec un personnage au centre de la planche avec beaucoup effets visuels tout autour et d'autres personnages se mélange. On retrouve aussi un peu de Sergio Toppi avec ce style. La partie graphique est magnifique et très originale. L'album se termine sur de nombreuses illustrations, recherches graphiques de Colleen Doran où il explique ses inspirations. Les éditions Black river nous permettent de découvrir des récits indépendants en version française avec des œuvres intéressantes comme cet album sur Blanche neige. On ne pourra reprocher la pagination courte comme on aurait aimer profiter plus longtemps de l’univers développé. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/blanche-neige-rouge-sang-chronique-vampirique?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Neil Gaiman nous propose une réécriture du conte de Blanche neige, bien plus adulte et surprenante. Comme vous pouvez vous en doutez avec Neil Gaiman, on s'éloigne du récit d'origine pour nous offrir un récit fantasmagorique et onirique avec une pointe d'érotisme léger. Les dialogues sont minimalistes pour laisser la place à la vision de la reine avec ses pensées et son ressenti. La partie graphique est impressionnante, Colleen Doran s'est inspiré du travail de Harry Clarke, un peintre-verrier et illustrateur irlandais. Il suffit de regarder une planche pour comprendre ce style avec un personnage au centre de la planche avec beaucoup effets visuels tout autour et d'autres personnages se mélange. On retrouve aussi un peu de Sergio Toppi avec ce style. La partie graphique est magnifique et très originale. L'album se termine sur de nombreuses illustrations, recherches graphiques de Colleen Doran où il explique ses inspirations. Les éditions Black river nous permettent de découvrir des récits indépendants en version française avec des œuvres intéressantes comme cet album sur Blanche neige. On ne pourra reprocher la pagination courte comme on aurait aimer profiter plus longtemps de l’univers développé.
  4. Et pan voici une conclusion comme on aimerait en voir plus souvent... Le convoyeur est une super série ambitieuse en 4 tomes, et au vu des éléments mis en places dans les 3 premiers tomes, on pouvait se demander fort logiquement comment ils allaient bien pouvoir conclure leur bazar proprement. Et bien.... Fort justement, fort logiquement, avec du rythme mais pas trop, en prenant parfois même leur temps, signe d'une narration très bien maitrisée. J'ai lu ces 4 tomes à plusieurs années d'intervalle et pourtant tout reste logique et fluide. Bravo M. Roulot. Pour les dessins, est-il besoin de dire que M. Armand est bien aujourd'hui dans la catégorie des très bons, il va falloir le suivre car sa série est graphiquement au diapason de la narration. Ne vous y trompez pas, le convoyeur est excellent et mémorable, il lui manque peut être un petit quelque chose, notamment au niveau de ses personnages pour franchir le dernier cap dans nos coeurs, mais c'est surtout à cause du choix de narration très très osé et réussi de la transition entre tome 1 et tome 2. Bref, merci, une lecture d'apocalypse fantatstque pas déjà lue trente fois et qui nous surprend assez souvent, c'est un beau cadeau.
  5. Titre de l'album : Le convoyeur - Tome 4 - La saison des spores Scenariste de l'album : Tristan Roulot Dessinateur de l'album : Dimitri Armand Coloriste : Lucille Noël et Dimitri Armand Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Minerva a récupéré son aimé mais l'esprit de ce dernier appartient toujours à la Reine des Convoyeurs. Et les stocks du sérum capable de le rendre à son humanité diminuent drastiquement. A présent, pour sauver Kivan, à défaut d'avoir pu sauver leur fils Iram, Minerva n'a plus le choix : elle doit retrouver le cargo et tuer la Reine ! Enfin, si la horde des Convoyeurs, la Nature ou le mystérieux homme lancé à ses trousses ne la tuent pas avant... Critique : Et pan voici une conclusion comme on aimerait en voir plus souvent... Le convoyeur est une super série ambitieuse en 4 tomes, et au vu des éléments mis en places dans les 3 premiers tomes, on pouvait se demander fort logiquement comment ils allaient bien pouvoir conclure leur bazar proprement. Et bien.... Fort justement, fort logiquement, avec du rythme mais pas trop, en prenant parfois même leur temps, signe d'une narration très bien maitrisée. J'ai lu ces 4 tomes à plusieurs années d'intervalle et pourtant tout reste logique et fluide. Bravo M. Roulot. Pour les dessins, est-il besoin de dire que M. Armand est bien aujourd'hui dans la catégorie des très bons, il va falloir le suivre car sa série est graphiquement au diapason de la narration. Ne vous y trompez pas, le convoyeur est excellent et mémorable, il lui manque peut être un petit quelque chose, notamment au niveau de ses personnages pour franchir le dernier cap dans nos coeurs, mais c'est surtout à cause du choix de narration très très osé et réussi de la transition entre tome 1 et tome 2. Bref, merci, une lecture d'apocalypse fantatstque pas déjà lue trente fois et qui nous surprend assez souvent, c'est un beau cadeau. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-convoyeur-tome-4-la-saison-des-spores?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. alx23

    BRZRKR tome 2

    Titre de l'album : BRZRKR tome 2 Scenariste de l'album : Keanu Reeves & Matt Kindt Dessinateur de l'album : Ron Garney Coloriste : Bill Crabtree Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Mi-mortel et mi-dieu, maudit et contraint à la violence, l'homme connu uniquement sous le nom de B. recommence à errer dans le monde. Après avoir enduré une série d'expériences, B. se souviendra enfin de ses origines. Mais que signifie cette révélation pour son avenir ? Critique : Keanu Reeves est acteur de film d'action comme pour tous ses rôles dans John Wick ou Matrix. C'est donc pas trop étonnant de retrouver sa création en comics dans ce registre. Le scénariste Matt Kindt collabore avec Reeves pour construire cette histoire de personnage immortel au fil des époques et surtout des guerres comme on va pouvoir le découvrir dans cette suite. En effet, le héros explique et raconte quelques moments forts de sa longue vie avec souvent des guerres et le rôle qu'il a joué dans les conflits armés. La partie graphique est intéressante et l'atout majeur de ce titre d'action et guerre. Les combats sont dynamiques et l'auteur jongle entre les époques avec des décors bien travaillés. Le prochain tome de BRZRKR apportera la conclusion de cette série d'action avec les réponses ou explications que l'on commence à avoir dans cette suite. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/brzrkr-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. alx23

    BRZRKR tome 2

    Keanu Reeves est acteur de film d'action comme pour tous ses rôles dans John Wick ou Matrix. C'est donc pas trop étonnant de retrouver sa création en comics dans ce registre. Le scénariste Matt Kindt collabore avec Reeves pour construire cette histoire de personnage immortel au fil des époques et surtout des guerres comme on va pouvoir le découvrir dans cette suite. En effet, le héros explique et raconte quelques moments forts de sa longue vie avec souvent des guerres et le rôle qu'il a joué dans les conflits armés. La partie graphique est intéressante et l'atout majeur de ce titre d'action et guerre. Les combats sont dynamiques et l'auteur jongle entre les époques avec des décors bien travaillés. Le prochain tome de BRZRKR apportera la conclusion de cette série d'action avec les réponses ou explications que l'on commence à avoir dans cette suite.
  8. alx23

    Out of body

    Peter Milligan nous propose une intrigue intéressante en partant de différentes idées proches comme la projection astrale, l'occultisme et la vie après la mort. La projection astrale est une méthode qui permet de dissocier le corps d'une personne et son esprit pour se déplacer ou explorer. L'auteur explique le concept en préface et son expérience personnelle. Out of Body pourrait être comparable à une enquête policière depuis le monde des esprits pour comprendre comment le héros se retrouve dans le coma suite à une agression. On remonte le temps et l'enquête où les personnages proche du héros nous permettent de comprendre et trouver le coupable. Dans cette mission, le héros est aidé par une femme ayant des capacités pour voir le monde des esprits. L'idée est originale et bien amenée pour un one shot prenant. La partie graphique de Miranda est classique dans un style réaliste malgré les thématiques fantastiques rencontrées dans l'histoire. Les couleurs et les visions psychédéliques sont bien réussies avec beaucoup de couleurs pour accompagner le héros. Out of body est une bonne lecture avec beaucoup de rebondissements puisque l'on tâtonne autant que le héros dans son enquête sur lui-même. L'album se termine avec une galerie de couvertures alternatives, des explications et des bonus.
  9. alx23

    Out of body

    Titre de l'album : Out of body Scenariste de l'album : Peter Milligan Dessinateur de l'album : Inaki Miranda Coloriste : Eva De La Cruz Editeur de l'album : Black River Note : Résumé de l'album : Dan Collins se réveille paralysé à l’hôpital et apprend qu’il a été attaqué et laissé pour mort. Il se trouve maintenant dans un état végétatif permanent, et est maintenu en vie grâce à des machines. Il ne peut ni bouger ni communiquer, mais d’une manière ou d’une autre, il doit découvrir qui voulait sa mort, avant de désactiver son assistance respiratoire. Critique : Peter Milligan nous propose une intrigue intéressante en partant de différentes idées proches comme la projection astrale, l'occultisme et la vie après la mort. La projection astrale est une méthode qui permet de dissocier le corps d'une personne et son esprit pour se déplacer ou explorer. L'auteur explique le concept en préface et son expérience personnelle. Out of Body pourrait être comparable à une enquête policière depuis le monde des esprits pour comprendre comment le héros se retrouve dans le coma suite à une agression. On remonte le temps et l'enquête où les personnages proche du héros nous permettent de comprendre et trouver le coupable. Dans cette mission, le héros est aidé par une femme ayant des capacités pour voir le monde des esprits. L'idée est originale et bien amenée pour un one shot prenant. La partie graphique de Miranda est classique dans un style réaliste malgré les thématiques fantastiques rencontrées dans l'histoire. Les couleurs et les visions psychédéliques sont bien réussies avec beaucoup de couleurs pour accompagner le héros. Out of body est une bonne lecture avec beaucoup de rebondissements puisque l'on tâtonne autant que le héros dans son enquête sur lui-même. L'album se termine avec une galerie de couvertures alternatives, des explications et des bonus. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/out-of-body/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Titre de l'album : Urbex - Tome 3 - La fin des cauchemars Scenariste de l'album : Vincent Dugomier Dessinateur de l'album : Clarke Coloriste : Mikl Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Ces derniers temps, Alex ne rêve plus que de morts. Lui et Julie le savent : la seule thérapie qui lui permettra de sortir de ce cauchemar permanent se déroulera entre les murs de la Villa Pandora. Là où leurs inconscients, leurs peurs et leurs souffrances ont fusionné. Entre ses murs fantômes, il leur faudra comprendre les noirs secrets des jumelles Isadora et Marie-Jeanne, dont la psyché hante toujours la Villa. Il faut parfois remonter très loin en arrière pour faire son deuil. Critique : Ce tome 3 apporte la conclusion a cette série fantastique mettant en scène de jeunes ados dans de l'urbex (exploration urbaine)... La vie de Lycéeen se mêlant à celle d'explorateur et de détective fantastique, il ne paraissait pas aisé de tout clôturer proprement dans ce tome 3. Seulement Vincent Dugomier n'en n'est pas à son coup d'essai et la narration se déroule sans accroc jusqu'au révélations finales plutôt logiques ma foi pour une enquête ayant une belle part de fantastique. Nul doute que cette série aura su captiver ses jeunes lecteurs par son univers très particulier mais rendu très prenant par la magie des dessins de Clarke. Pour les lecteurs un peu plus âgés ou pas forcément intéressés par ces thématiques, l'ensemble reste plaisant à lire mais risque d'être plus vite oublié. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/urbex-tome-3-la-fin-des-cauchemars?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Ce tome 3 apporte la conclusion a cette série fantastique mettant en scène de jeunes ados dans de l'urbex (exploration urbaine)... La vie de Lycéeen se mêlant à celle d'explorateur et de détective fantastique, il ne paraissait pas aisé de tout clôturer proprement dans ce tome 3. Seulement Vincent Dugomier n'en n'est pas à son coup d'essai et la narration se déroule sans accroc jusqu'au révélations finales plutôt logiques ma foi pour une enquête ayant une belle part de fantastique. Nul doute que cette série aura su captiver ses jeunes lecteurs par son univers très particulier mais rendu très prenant par la magie des dessins de Clarke. Pour les lecteurs un peu plus âgés ou pas forcément intéressés par ces thématiques, l'ensemble reste plaisant à lire mais risque d'être plus vite oublié.
  12. Titre de l'album : The dark saint tome 3 Scenariste de l'album : Masami Tadokoro Dessinateur de l'album : Mugi Sawai Coloriste : Editeur de l'album : Doki-Doki Note : Résumé de l'album : Faible, trahi et abandonné par son groupe, le guérisseur trouvera-t-il son salut dans la magie noire ? De retour à Adria muni d'un meilleur équipement, Russell le Saint se mesure à nouveau au donjon, en compagnie de Sybilla la déesse des ténèbres.Après avoir écrasé le boss d'étage, les deux partenaires voient apparaître le Diable, qu'ils doivent vaincre pour sauver leur refuge !Grâce à son mana inépuisable, Russell exploite pleinement ses pouvoirs de saint et de grand sorcier.Troisième opus de l'épopée du saint banni à la conquête de la force ultime ! Critique : Encore un très bon tome de "The Dark Saint' avec un retour sur ces anciens amis du début de l'aventure, mais surtout une véritable avancée dans notre histoire. En effet, en parallèle de la montée en compétence de notre héros, un combat contre le diable du Donjon nous permet de nous projeter dans une suite d'histoire plus intéressante avec une ouverture sur le monde dans lequel vit notre héros. Cerise sur ce gâteau, l'intelligent retour d'une partie du groupe de départ qui relance notre héros dans son rôle de saint plus que celui de Dark Saint. Une série qui continue à être des plus sympathique et que l'on continue à suivre avec plaisir et envie. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-dark-saint-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. poseidon2

    The dark saint tome 3

    Encore un très bon tome de "The Dark Saint' avec un retour sur ces anciens amis du début de l'aventure, mais surtout une véritable avancée dans notre histoire. En effet, en parallèle de la montée en compétence de notre héros, un combat contre le diable du Donjon nous permet de nous projeter dans une suite d'histoire plus intéressante avec une ouverture sur le monde dans lequel vit notre héros. Cerise sur ce gâteau, l'intelligent retour d'une partie du groupe de départ qui relance notre héros dans son rôle de saint plus que celui de Dark Saint. Une série qui continue à être des plus sympathique et que l'on continue à suivre avec plaisir et envie.
  14. Titre de l'album : Masques - Tome 2 - Le masque éclipse Scenariste de l'album : Kid Toussaint Dessinateur de l'album : Joël Jurion Coloriste : Yoann Guillé Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : À présent rassemblés sous la direction de JS, Al, Siera, Hector et Gun essaient tant bien que mal de composer avec leur nouvelle réalité. Tous ont en effet hérité de masques antiques leur conférant des pouvoirs. En Australie, Jane, une jeune influenceuse, en a trouvé un qui lui permet littéralement de briller. Au point de ne pas voir qu'à cette lumière correspond une ombre dévorante, qui pourrait bien engloutir son monde... Critique : Caché au milieu des sorties de début septembre, le tome 2 de Masques est passé presque inaperçu. Pourtant cette série continue de nous proposer un récit de qualité, même si elle lorgne parfois du côté de Klaw par certains aspects. On y retrouve le même dessinateur qui excelle toujours autant dans ces séries jeunesse dynamiques et colorées. La colorisation marquée et originale de Yoann Guillé permet toutefois de sortir un peu des sentiers battus en nous donnant un rendu parfois assez subtil. Ce tome 2 déroule l'intrigue de manière fluide, avec aussi l'arrivée de nouveaux protagonistes sans pour autant nous noyer dans les passés des uns et des autres. Comme le thème le veut, les péripéties de nos héros servent aussi de mises en abyme de leurs problématiques personnelles. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/masques-tome-2-le-masque-eclipse?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Caché au milieu des sorties de début septembre, le tome 2 de Masques est passé presque inaperçu. Pourtant cette série continue de nous proposer un récit de qualité, même si elle lorgne parfois du côté de Klaw par certains aspects. On y retrouve le même dessinateur qui excelle toujours autant dans ces séries jeunesse dynamiques et colorées. La colorisation marquée et originale de Yoann Guillé permet toutefois de sortir un peu des sentiers battus en nous donnant un rendu parfois assez subtil. Ce tome 2 déroule l'intrigue de manière fluide, avec aussi l'arrivée de nouveaux protagonistes sans pour autant nous noyer dans les passés des uns et des autres. Comme le thème le veut, les péripéties de nos héros servent aussi de mises en abyme de leurs problématiques personnelles.
  16. Titre de l'album : Hellboy tome 18 - Le club de la lanterne d'argent Scenariste de l'album : Michael Mignola & Chris Roberson Dessinateur de l'album : Matthew Dow Smith & Ben Stenbeck Coloriste : Michelle Madsen Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Hellboy découvre pour la première fois l'histoire du célèbre Club de La Lanterne d'argent ! Son oncle, et ancien membre de ce club très fermé, Simon Bruttenholm, raconte qu'il comptait dans ses rangs Sir Edward Grey (Witchfinder), Sarah Jewell, Lady Bai et le Major Singh, alors qu'ils enquêtaient sur les événements mystérieux à Londres vers la fin du 19e siècle... Critique : Michael Mignola s'associe au scénariste Chris Roberson un habitué de l'univers étendu de Hellboy, avec ses nombreuses participations à des récits du B.P.R.D. ou Witchfinder. Les deux auteurs maitrisent leur sujet et nous ont concocté cet album comme un recueil de cinq récits courts. Avec l'introduction du Club de la Lanterne d'argent, on découvre les membres qui combattent et côtoient le fantastique. Sir Edward Grey joue un rôle essentiel dans ce club si bien que l'on a l'impression de lire un tome de la série Witchfinder. Hellboy ne fait que des apparitions en début et fin de chapitre sans apporter de réel intérêt. Les histoires sont bien mais seront vite oubliées sauf celle avec Yad Tovich, le chasseur de loup-garou que l'on connait déjà d'un autre récit d'Hellboy. Matthew Dow Smith et Ben Stenbeck se chargent de la partie graphique dans un style classique. Pour une fois, Dave Stewart ne gère pas les couleurs, cela contribue au rendu différent par rapport à d'habitude. L'album se termine avec des explications sur les étapes de réalisation de planches. Ce tome 18 est un peu décevant puisque l'on ne s'attend pas à suivre Sir Edward Grey mais Hellboy, un tome assez basique et pas indispensable. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/hellboy-tome-18-la-lanterne-d-argent?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Michael Mignola s'associe au scénariste Chris Roberson un habitué de l'univers étendu de Hellboy, avec ses nombreuses participations à des récits du B.P.R.D. ou Witchfinder. Les deux auteurs maitrisent leur sujet et nous ont concocté cet album comme un recueil de cinq récits courts. Avec l'introduction du Club de la Lanterne d'argent, on découvre les membres qui combattent et côtoient le fantastique. Sir Edward Grey joue un rôle essentiel dans ce club si bien que l'on a l'impression de lire un tome de la série Witchfinder. Hellboy ne fait que des apparitions en début et fin de chapitre sans apporter de réel intérêt. Les histoires sont bien mais seront vite oubliées sauf celle avec Yad Tovich, le chasseur de loup-garou que l'on connait déjà d'un autre récit d'Hellboy. Matthew Dow Smith et Ben Stenbeck se chargent de la partie graphique dans un style classique. Pour une fois, Dave Stewart ne gère pas les couleurs, cela contribue au rendu différent par rapport à d'habitude. L'album se termine avec des explications sur les étapes de réalisation de planches. Ce tome 18 est un peu décevant puisque l'on ne s'attend pas à suivre Sir Edward Grey mais Hellboy, un tome assez basique et pas indispensable.
  18. The_PoP

    Rick & Morty - Il était une fois

    On va faire la chronique de Rick et Morty en deux phases. Ceux qui connaissent et aiment. Les autres. Pour ceux qui connaissent et qui aiment l'humour et l'univers de Rick et Morty, ce tome n'est clairement pas l'un des meilleurs, mais le thème fonctionne bien, l'histoire déroule pas mal, et l'esprit rick et morty est bien là. Pas trop d'inquiétudes donc si vous êtes fan, foncez. En bémol cependant j'ai trouvé la partie graphique parfois brouillone, alors certes il y a un lien avec l'histoire, mais c'est un peu trop marqué pour moi et pas très réussi. Pour ceux qui ne connaissent pas Rick et Morty, ou qui n'aiment pas. Bah vous ne risquez pas d'adhérer grâce à ce tome. S'il est facile d'accès pour les néophytes, les références aux autres épisodes et à l'univers de Rick et Morty étant finalement peu nombreuses, ce n'est clairement pas le plus drôle, ni celui où l'univers présenté apporte le plus. La version Donjon et Dragon était à ce titre plus réussie pour moi. Ce n'est pas pour vous, on est très loin de Fables.
  19. Titre de l'album : Rick & Morty - Il était une fois Scenariste de l'album : Sam Maggs Dessinateur de l'album : Sarah Stern & Emett Helen Coloriste : Sarah Stern Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : Rick et Morty entrent dans un monde à vous faire GRIMacer... un monde de contes de fées inversé !Lorsque Morty doit réviser un examen, Rick lui propose d'utiliser sa dernière invention pour intégrer complètement les connaissances de son manuel Avalonia : Mauvaises histoires pour mauvais enfants. Mais les choses tournent mal lorsque Rick et Morty sont tous deux entraînés à l'intérieur du livre et sont contraints de vivre une aventure dans un univers miroir des contes de Grimm, complètement tordu et bien loin des adaptations édulcorées qu'on connaît ! Critique : On va faire la chronique de Rick et Morty en deux phases. Ceux qui connaissent et aiment. Les autres. Pour ceux qui connaissent et qui aiment l'humour et l'univers de Rick et Morty, ce tome n'est clairement pas l'un des meilleurs, mais le thème fonctionne bien, l'histoire déroule pas mal, et l'esprit rick et morty est bien là. Pas trop d'inquiétudes donc si vous êtes fan, foncez. En bémol cependant j'ai trouvé la partie graphique parfois brouillone, alors certes il y a un lien avec l'histoire, mais c'est un peu trop marqué pour moi et pas très réussi. Pour ceux qui ne connaissent pas Rick et Morty, ou qui n'aiment pas. Bah vous ne risquez pas d'adhérer grâce à ce tome. S'il est facile d'accès pour les néophytes, les références aux autres épisodes et à l'univers de Rick et Morty étant finalement peu nombreuses, ce n'est clairement pas le plus drôle, ni celui où l'univers présenté apporte le plus. La version Donjon et Dragon était à ce titre plus réussie pour moi. Ce n'est pas pour vous, on est très loin de Fables. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/rick-morty-il-etait-une-fois/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. The_PoP

    Rain

    Titre de l'album : Rain Scenariste de l'album : Jo Hill & David M. Booher Dessinateur de l'album : Zoé Thorogood Coloriste : Chris O'Halloran Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : À Boulder dans le Colorado, le ciel est dégagé et Honeysuckle Speck ne pourrait pas être plus heureuse. En cette journée d'aout ensoleillée, elle emménage enfin avec sa petite amie Yolanda. Mais quand le rêve tourne au cauchemar et que des nuages sombres s'accumulent libérant une pluie de clous qui déchiquettent la peau de ceux qui ne sont pas protégés, leur monde vole littéralement en éclat.RAIN donne de la vie à la progression de cet événement apocalyptique, alors que le déluge de clous se répand à travers le pays et le monde, menaçant tout ce que les jeunes amoureuses Honeysuckle et Yolanda chérissent.L'adaptation captivante de la novella de Joe Hill, acclamée par la critique et best-seller du New York Times, par le scénariste David M. Booher (Canto), la dessinatrice Zoe Thorogood (The Impending Blindness of Billie Scott), et le coloriste Chris O'Halloran (Ha-Ha). Critique : Qu'est ce que j'aime le travail éditorial sur le comics indépendant de Hi Comics. Certes quand il s'agit d'une partie du travail de Joe Hill on ne prends pas de gros risques d'un point de vue qualitatifs, mais quand même. Ce Rain en est le parfait exemple. Graphiquement c'est très particulier pour un public européens, on est vraiment sur du comics indé et pour être honnête il m'a fallut un petit temps d'adaptation avant de vraiment en apprécier le style et la finesse. Au niveau de l'histoire cela démarre sur les chapeaux de roue, et si la conclusion parait un peu facile, elle n'en reste pas moins assez bien menée vu l'ambition et le côté one shot/nouvelle. L'auteur nous livre à travers son histoire presque post apo sa vision de l'Amérique actuelle, avec ses craintes et ses moqueries. Cela a déjà été fait certes, mais l'exercice, parfois jouissif, n'en reste pas moins intéressant quand l'auteur s'appelle Joe Hill. Je ne peux que vous encourager à découvrir Rain, surtout si vous arrivez à vous adapter au style graphique très Comics. Autres infos : D'après la novella de Joe Hill Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/rain?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. The_PoP

    Rain

    Qu'est ce que j'aime le travail éditorial sur le comics indépendant de Hi Comics. Certes quand il s'agit d'une partie du travail de Joe Hill on ne prends pas de gros risques d'un point de vue qualitatifs, mais quand même. Ce Rain en est le parfait exemple. Graphiquement c'est très particulier pour un public européens, on est vraiment sur du comics indé et pour être honnête il m'a fallut un petit temps d'adaptation avant de vraiment en apprécier le style et la finesse. Au niveau de l'histoire cela démarre sur les chapeaux de roue, et si la conclusion parait un peu facile, elle n'en reste pas moins assez bien menée vu l'ambition et le côté one shot/nouvelle. L'auteur nous livre à travers son histoire presque post apo sa vision de l'Amérique actuelle, avec ses craintes et ses moqueries. Cela a déjà été fait certes, mais l'exercice, parfois jouissif, n'en reste pas moins intéressant quand l'auteur s'appelle Joe Hill. Je ne peux que vous encourager à découvrir Rain, surtout si vous arrivez à vous adapter au style graphique très Comics.
  22. Tim Probert , l'auteur du remarqué Lightfall ne s'est pas trompé en conseillant vivement ce roman graphique de Jason Pamment . Auteur et illustrateur , il réalise de l'animation ainsi que des jeux vidéos . Et cela se ressent très rapidement à travers une narration fluide et un graphisme très "animé" . Des visages ronds et expressifs , des couleurs numériques agréables et surtout un sens du découpage percutant ! On tourne les pages en suivant la progression des personnages et l'impression d'être immergé dans un dessin-animé est réelle . Un régal pour les yeux ! Nous suivons donc Ambre , vivant dans le monde des humains bien trop grands pour lui , qui est seul et pris d'un profond désir d'apprendre . Sa rencontre avec une tortue géante va le mener vers une île étrange où d'autres "enfants" comme lui fréquentent une école . Son rêve se réalise mais l'auteur ne lui rend pas la tâche facile , car être nouveau dans une école n'est pas de tout repos . On est tous passé par là ! Nouer de nouvelles amitiés devient un chemin semé d'embûches . De plus , de curieux tentacules d'eau de mer s'approchent de lui et cherchent à entrer en contact . Ami , ennemi ? Les aventures d'Ambre peuvent commencer dans cette île pas comme les autres , avec un professeur et une faune locale , assez surprenante . Vous n'êtes pas au bout de vos surprises avec cette histoire complète qui se lit avec émerveillement , et à tout âge 😉
  23. Titre de l'album : Ambre et l'île des créatures perdues Scenariste de l'album : Jason Pamment Dessinateur de l'album : Jason Pamment Coloriste : Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : Ambre est un tout petit garçon dans un monde immense . Escorté à travers l'océan par sa gardienne , Lua , une tortue de mer géante , Ambre peut enfin fréquenter une école à sa taille . Alors qu'il s'efforce de trouver sa place , il se retrouve au coeur d'un mystère . Un étrange monstre des profondeurs menace tout ce qui lui est cher ! Critique : Tim Probert , l'auteur du remarqué Lightfall ne s'est pas trompé en conseillant vivement ce roman graphique de Jason Pamment . Auteur et illustrateur , il réalise de l'animation ainsi que des jeux vidéos . Et cela se ressent très rapidement à travers une narration fluide et un graphisme très "animé" . Des visages ronds et expressifs , des couleurs numériques agréables et surtout un sens du découpage percutant ! On tourne les pages en suivant la progression des personnages et l'impression d'être immergé dans un dessin-animé est réelle . Un régal pour les yeux ! Nous suivons donc Ambre , vivant dans le monde des humains bien trop grands pour lui , qui est seul et pris d'un profond désir d'apprendre . Sa rencontre avec une tortue géante va le mener vers une île étrange où d'autres "enfants" comme lui fréquentent une école . Son rêve se réalise mais l'auteur ne lui rend pas la tâche facile , car être nouveau dans une école n'est pas de tout repos . On est tous passé par là ! Nouer de nouvelles amitiés devient un chemin semé d'embûches . De plus , de curieux tentacules d'eau de mer s'approchent de lui et cherchent à entrer en contact . Ami , ennemi ? Les aventures d'Ambre peuvent commencer dans cette île pas comme les autres , avec un professeur et une faune locale , assez surprenante . Vous n'êtes pas au bout de vos surprises avec cette histoire complète qui se lit avec émerveillement , et à tout âge 😉 Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ambre-et-l-le-des-cr-atures-perdues/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. The_PoP

    The frontier - Tome 2

    Attention il s'agit ici du "manga" du Lombard dont le tome 1 est sorti cette année. Cette série de fantastique futuriste puise ses inspirations entre mangas façon one piece ou Kenshin et comics entre East of West et la Tour Sombre... Las, le résultat reste assez loin de ses prestigieuses sources d'inspiration et si on a bien une galerie de personnages aux pouvoirs fantastiques et aux destins et passés mêlés qui vont s'affronter dans une ambiance de fin du monde, cela ne suffit pas à faire un bon manga. Parfois peu clair, parfois brouillon dans sa narration ou juste trop ambitieux, The Frontier ne se distingue vraiment que par son ambiance far west malheureusement sous exploitée face à la multitude de pouvoirs fantastiques mis en oeuvre. Si la lecture se révèle assez facile finalement, mon intérêt n'a jamais vraiment pris pour cette série. Dommage.
  25. Titre de l'album : The frontier - Tome 2 Scenariste de l'album : Jacopo Paliagra Dessinateur de l'album : Alessio Fioriniello Coloriste : Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Le temps est désormais compté pour Jane et son équipe. Mr Bone, leur ancien employeur et fondateur de La Frontière, a eu ce qu'il voulait et va pouvoir mettre ses sombres desseins à exécution. Leur union fera leur force, mais une telle notion est-elle seulement possible alors que les masques tombent et que le passé rattrape inexorablement les membres de leur groupe ? L'honneur des bandits est une légende qu'ils devront dépasser pour écrire la leur... ou simplement survivre. Critique : Attention il s'agit ici du "manga" du Lombard dont le tome 1 est sorti cette année. Cette série de fantastique futuriste puise ses inspirations entre mangas façon one piece ou Kenshin et comics entre East of West et la Tour Sombre... Las, le résultat reste assez loin de ses prestigieuses sources d'inspiration et si on a bien une galerie de personnages aux pouvoirs fantastiques et aux destins et passés mêlés qui vont s'affronter dans une ambiance de fin du monde, cela ne suffit pas à faire un bon manga. Parfois peu clair, parfois brouillon dans sa narration ou juste trop ambitieux, The Frontier ne se distingue vraiment que par son ambiance far west malheureusement sous exploitée face à la multitude de pouvoirs fantastiques mis en oeuvre. Si la lecture se révèle assez facile finalement, mon intérêt n'a jamais vraiment pris pour cette série. Dommage. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-frontier-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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