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  1. Titre de l'album : Alamander Tome 1 - Mystères à la tour de l'horloge Scenariste de l'album : Gihef Dessinateur de l'album : Marco Dominici Coloriste : Andrea Celestine & Alessandro Russoto Editeur de l'album : Kamiti Note : Résumé de l'album : Oubliez la fantasy que vous connaissez !! Aujourdhui, vous entrez dans le monde dAlamänder ! Jonas Alamänder, mage et détective, vient de perdre sa maison confisquée par un royaume voisin. Accompagné de son facétieux compagnon Retzel, un démon de 2ème ordre, il part pour la capitale de Kung-Bohr afin dy plaider sa cause. Ce sont finalement intrigues de cour et ennemis redoutables qui se dresseront devant les deux compagnons dinfortune. Montrant autant de talent dans lart de la magie que dincrédulité face aux mystères qui sopposent à lui, Jonas Alamänder devra déployer tout son talent pour tâcher de déjouer la terrible machination qui se prépare... Pendant ce temps, Maek, un jeune garçon aux penchants morbides, décide de rallier la fameuse école des assassins TSanks Critique : Elle fait du bien cette bd. D'aboprd parce que Kamiti a gommé sur cette sortie beaucoup des défauts que l'on reprochait à leurs précédentes parutions. Ensuite parce que le monde décrit, les personnages, et le type d'aventure narrée sont assez originale dans le monde de la fantasy. C'est frais, dépaysant, l'humour est bien présent, les personnages sont bien pensés, et à part quelques transitions un peu brutales au fil des pages, globalement l'ensemble avance avec un rythme intéressant. Et comme en plus les auteurs et éditeurs ont eu le bon goût de ne pas miser sur de simples one-shot posés les uns derrière les autres, et bien on finit ce tome avec une très furieuse envie d'en savoir plus. Graphiquement le travail de Dominici est très proche de ce qui se fait en fantasy ces derniers temps, et si certains visages ont eu du mal à m'emballer, l'ensemble a une belle cohérence, et ce n'est il me semble qu'une affaire de goût. Il est évident qu'en cette rentrée surchargée de poids lourds en sorties bd, notamment en Fantasy, cet Alamander risque de ne pas bénéficier de l'éclairage optimum, mais cela restera une des lectures les plus rafraichissante de la rentrée. Autres infos : D'après l'oeuvre d'Alexis Flamand Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/alamander-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Second tome de nos deux aventuriers qui enquêtent grâce à l'exploration urbaine (Urbex donc) sur des affaires familiales et paranormales. L'étrange villa est loin de révéler tous ses secrets mais continue de se dévoiler peu à peu. Les indices sont posés, et on comprend bien que certains seront utilisés plus tard. Les relations entre nos deux héros vont grandement évoluer dans ce tome, et dans une direction étonnamment inattendue, c'est chouette. Clarke nous livre une nouvelle fois de belles planches, qui si elles s'inscrivent dans les codes de la bd pour ados réussiront toutefois à faire passer de beaux moments au lecteur adulte. Le thème général d'urbex ne m'a pas parlé plus que cela je vous l'avoue, et comme le paranormal n'est guère une passion pour moi aussi, vous comprendrez plus facilement la note que j'ai mis qui ne reflète pas forcément la qualité globale de cette BD pour ado. Les goûts et les couleurs...
  3. Titre de l'album : Urbex - Tome 2 - Douleurs fantômes Scenariste de l'album : Vincent Dugomier Dessinateur de l'album : Clarke Coloriste : Mikl Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Alex et Julie partagent bien plus que l'Urbex : ils viennent de se découvrir une arrière-grand-mère en commun ! C'est la Villa Pandora, « leur » manoir fantôme, qui le leur a révélé. Et sans doute dissimule-t-elle encore bien des réponses. Mais Pandora est telle une psyché humaine : tortueuse et hantée par son passé. Pour en pousser les portes les plus recluses, ils vont devoir continuer leur oeuvre de « psys de l'urbex ». Peut-être, alors, que cet héritage maudit cessera de venir les tourmenter jusque dans leur quotidien, et dans leur chair... Critique : Second tome de nos deux aventuriers qui enquêtent grâce à l'exploration urbaine (Urbex donc) sur des affaires familiales et paranormales. L'étrange villa est loin de révéler tous ses secrets mais continue de se dévoiler peu à peu. Les indices sont posés, et on comprend bien que certains seront utilisés plus tard. Les relations entre nos deux héros vont grandement évoluer dans ce tome, et dans une direction étonnamment inattendue, c'est chouette. Clarke nous livre une nouvelle fois de belles planches, qui si elles s'inscrivent dans les codes de la bd pour ados réussiront toutefois à faire passer de beaux moments au lecteur adulte. Le thème général d'urbex ne m'a pas parlé plus que cela je vous l'avoue, et comme le paranormal n'est guère une passion pour moi aussi, vous comprendrez plus facilement la note que j'ai mis qui ne reflète pas forcément la qualité globale de cette BD pour ado. Les goûts et les couleurs... Autres infos : Exploration urbaine pour ados doublée d'enquête fantastique Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/urbex-tome-2-douleurs-fantomes?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. The_PoP

    Green Class - Tome 4 - L'éveil

    Ah que j'en veux toujours aux auteurs pour cette transition entre le tome 1 et le tome 2 qui m'a semblée tellement hardue pour le lecteur... Quand on voit la maitrise qu'il y a eu ensuite dans la narration sur les 2 tomes suivants c'est dommage car je pense que Green class aurait gagné des lecteurs. Cette série a tout pour plaire à un public large : un thème classique bien travaillé qui se révèle finalement surprenant, des héros ados mais qui "vieillissent" vite dans les épreuves, permettant à adultes comme aux ados de s'y retrouver, de l'action et des enjeux clairs finalement au bout de deux tomes, une édition très qualitative avec une couverture vraiment plaisante, et pour finir, cerise sur le gâteau, un dessin de David Tako toujours vif, dynamique et personnalisant à merveille ses héros. Bref, j'aime Green Class et je regrette que le tome 2 nous ai fait un peu décrocher du fil conducteur de la série à l'époque, car nul doute que sans cela ce serait l'une des sorties marquantes de la rentrée. La première comparaison qui me vient c'est Gung Ho, et si Green Class ne boxe peut être pas tout à fait dans la même catégorie, il n'y pas trois classes d'écart entre les deux séries. C'est vous dire si l'ensemble est réussi.
  5. Titre de l'album : Green Class - Tome 4 - L'éveil Scenariste de l'album : Jérôme Hamon Dessinateur de l'album : David Tako Coloriste : David Tako Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Le plan de Naïa ayant foiré en beauté, nos cinq amis sont à présent séparés. Pire, ils sont traqués par des militaires bien décidés à ne laisser personne les empêcher d'ouvrir le portail entre la Terre et le monde des grands anciens. Le général espère que ces derniers feront table rase de l'humanité et de tous ses excès. Mais, dans leur fuite, Lucas et Sato découvrent une fresque qui pose une question des plus dérangeantes : si les « infectés » - les Shoggoths ? sont les serviteurs des Grands Anciens et qu'ils sont déjà venus sur Terre, alors pourquoi n'ont-ils pas ouvert le portail à l'époque ? Critique : Ah que j'en veux toujours aux auteurs pour cette transition entre le tome 1 et le tome 2 qui m'a semblée tellement hardue pour le lecteur... Quand on voit la maitrise qu'il y a eu ensuite dans la narration sur les 2 tomes suivants c'est dommage car je pense que Green class aurait gagné des lecteurs. Cette série a tout pour plaire à un public large : un thème classique bien travaillé qui se révèle finalement surprenant, des héros ados mais qui "vieillissent" vite dans les épreuves, permettant à adultes comme aux ados de s'y retrouver, de l'action et des enjeux clairs finalement au bout de deux tomes, une édition très qualitative avec une couverture vraiment plaisante, et pour finir, cerise sur le gâteau, un dessin de David Tako toujours vif, dynamique et personnalisant à merveille ses héros. Bref, j'aime Green Class et je regrette que le tome 2 nous ai fait un peu décrocher du fil conducteur de la série à l'époque, car nul doute que sans cela ce serait l'une des sorties marquantes de la rentrée. La première comparaison qui me vient c'est Gung Ho, et si Green Class ne boxe peut être pas tout à fait dans la même catégorie, il n'y pas trois classes d'écart entre les deux séries. C'est vous dire si l'ensemble est réussi. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/green-class-tome-4-l-eveil/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. The_PoP

    The Cape - Fallen

    Titre de l'album : The Cape - Fallen Scenariste de l'album : Jason Ciaramella Dessinateur de l'album : Zach Howard Coloriste : Nelson Daniel Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : La parenthèse sanglante d'Eric Chase, l'anti-héros découvert dans The Cape. Après avoir commis l'irréparable, Eric Chase disparaît. En pleine confusion, il part se réfugier dans le lieu où, avec son frère, ils ont passé leurs dernières vacances en compagnie de leur père. Mais la cabane de son enfance est désormais occupée par un groupe de rôlistes, et le voilà invité à participer à un jeu grandeur nature. Au milieu de la forêt, coupé de la réalité, Eric parvient à s'intégrer... jusqu'à ce qu'il impose ses propres règles. Le jeu de rôle devient alors jeu de massacre. Une cape prodigieuse et unesoif inextinguible de vengeance... Critique : Et voici le troisième et dernier opus constituant l'adaptation de la nouvelle de Joe Hill. Je reste encore une fois TRES déçu que le nom des auteurs n'apparaissent même pas sur la couverture. j'en comprends la nécessité économique, surtout pour un marché du comics moribond en France, mais sincèrement est-ce que cela aurait vraiment été dommageable de faire apparaitre le nom des deux auteurs de cette adaptation plutôt réussie ? Il faut ajouter à cela que le dessinateur, Zach Howard nous livre encore une fois une belle partition, son trait particulier se conjuguant à merveille avec la noirceur du récit imaginé par Jason Ciaramella autour de la nouvelle de Joe Hill. Bref, ceux qui ont lu et aimé les deux premiers opus ne passeront pas à côté de celui-ci, pour les autres, attention, si The Cape n'est pas The Boys, ce super héros là, n'a pas grand chose à leur envier en terme de noirceur d'âme. Toujours aussi intéressant psychologiquement parlant, et formant une parenthèse originale bienvenue dans la trame scénaristique de base, ce Fallen est décidément une belle surprise. Autres infos : D'après l'oeuvre de Joe Hill Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-cape-fallen?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. The_PoP

    The Cape - Fallen

    Et voici le troisième et dernier opus constituant l'adaptation de la nouvelle de Joe Hill. Je reste encore une fois TRES déçu que le nom des auteurs n'apparaissent même pas sur la couverture. j'en comprends la nécessité économique, surtout pour un marché du comics moribond en France, mais sincèrement est-ce que cela aurait vraiment été dommageable de faire apparaitre le nom des deux auteurs de cette adaptation plutôt réussie ? Il faut ajouter à cela que le dessinateur, Zach Howard nous livre encore une fois une belle partition, son trait particulier se conjuguant à merveille avec la noirceur du récit imaginé par Jason Ciaramella autour de la nouvelle de Joe Hill. Bref, ceux qui ont lu et aimé les deux premiers opus ne passeront pas à côté de celui-ci, pour les autres, attention, si The Cape n'est pas The Boys, ce super héros là, n'a pas grand chose à leur envier en terme de noirceur d'âme. Toujours aussi intéressant psychologiquement parlant, et formant une parenthèse originale bienvenue dans la trame scénaristique de base, ce Fallen est décidément une belle surprise.
  8. Titre de l'album : Les rivières du passé tome 2 - Lamia Scenariste de l'album : Stephen Desberg Dessinateur de l'album : Yannick Corboz Coloriste : Yannick Corboz Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Dans les ruines d’une Venise ravagée, Lamia est à la recherche du codex qu’elle a subtilisé au seigneur de la peur. Avec l’aide de Linn, son amie et complice, elle part sur les traces de Ay, le pharaon maudit et le plus grand mystère de l’Égypte ancienne. En approchant de Venise, Lamia se remémore sa première rencontre avec le Seigneur de la peur, au Palazzo Grassi. La jeune archéologue a immédiatement été fascinée par cet homme étrange, dangereux, et qui n’ignorait rien des mystères de l’Égypte ancienne. Il lui fit visiter son palais, véritable musée constitué de trésors que l’on pensait disparus, en particulier une représentation de Ay, le pharaon maudit, dont toutes les représentations ont en principe été détruites. Ce pharaon oublié a-t-il été l’inventeur du premier Dieu unique ? Critique : Ce deuxième tome clôture les aventures de Lamia et Linn, les deux jeunes aventurières des rivières du passé. Avec cette série, Stephen Desberg mélange les genres entre fantastiques et histoire de l'ancienne Egypte avec Ay, le pharaon maudit. La partie fantastique de l'histoire offre aux personnages la possibilité de voyager entre deux univers parallèles à l'aide de porte. Lamia et Linn sont en quête de vérité, l'une est passionnée par l'histoire de l’Egypte et ses secrets et l'autre est une voleuse réputée. Avec leur compétences, on va affronter les pires dangers. La partie graphique de Yannick Corboz est somptueuse, l'auteur nous fait voyager dans les différentes époques avec un univers post-apocalyptique ouvert aux monstres sanguinaires qui ravagent le monde. L’album se termine sur des illustrations de l’auteur. Une version luxueuse en noir et blanc en grand format est disponible avec un ex-libris comme pour le premier tome afin de profiter des dessins de Corboz. D'ailleurs, les planches originales de la série sont exposées à la galerie Maghen jusqu'au 10 septembre. Les rivières du passé est un diptyque efficace sur l’histoire de l’Egypte avec beaucoup d’action et des dessins magnifiques. Chronique premier tome : Les rivières du passé tome 1 la voleuse Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-rivieres-du-passe-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Ce deuxième tome clôture les aventures de Lamia et Linn, les deux jeunes aventurières des rivières du passé. Avec cette série, Stephen Desberg mélange les genres entre fantastiques et histoire de l'ancienne Egypte avec Ay, le pharaon maudit. La partie fantastique de l'histoire offre aux personnages la possibilité de voyager entre deux univers parallèles à l'aide de porte. Lamia et Linn sont en quête de vérité, l'une est passionnée par l'histoire de l’Egypte et ses secrets et l'autre est une voleuse réputée. Avec leur compétences, on va affronter les pires dangers. La partie graphique de Yannick Corboz est somptueuse, l'auteur nous fait voyager dans les différentes époques avec un univers post-apocalyptique ouvert aux monstres sanguinaires qui ravagent le monde. L’album se termine sur des illustrations de l’auteur. Une version luxueuse en noir et blanc en grand format est disponible avec un ex-libris comme pour le premier tome afin de profiter des dessins de Corboz. D'ailleurs, les planches originales de la série sont exposées à la galerie Maghen jusqu'au 10 septembre. Les rivières du passé est un diptyque efficace sur l’histoire de l’Egypte avec beaucoup d’action et des dessins magnifiques. Chronique premier tome : Les rivières du passé tome 1 la voleuse
  10. Titre de l'album : White Blood tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : LIM Lina Dessinateur de l'album : LIM Lina Coloriste : Editeur de l'album : Michel Lafon Note : Résumé de l'album : Park Hayan est une vampire de sang pur qui ne rêve que de vivre en paix avec les humains. Mais pour ces derniers, les vampires sont des monstres eff­rayants. Et chaque nouveau meurtre commis par un vampire renforce la haine que les humains leur vouent. Pour s'intégrer à la société et obtenir la paix qu'elle désire, Hayan doit mettre fin aux crimes des autres membres de son espèce. Critique : White blood est le 1er webtoon que publie les éditions Michel Lafon sous le label SIKKU. La série est finie, compte 92 chapitres ce qui fera entre 7 et 8 tomes selon. Quant à l’édition, elle est de qualité, avec un bon travail sur l’agencement des images. Il y a 10 ans de cela, des vampires sont apparus de nulle part, si le 1er contact a été assez violent, ils se sont cachés au sein des humains, œuvrant surtout la nuit, la vie a radicalement changée et une brigade de police spéciale vampire a été créée. Park Hayan est une vampire au sang pur, elle ne se rappelle de rien avant ces 10 dernières années et essaye de mener une vie normale à l’université. Seulement les autres vampires sont à sa recherche ou plutôt cherche à récupérer son cœur pour obtenir plus de pouvoirs et vivre plus longtemps. Elle qui essaye de vivre normalement, qui vit avec un prêtre et 2 autres orphelins souhaite avant tout protéger les innocents, elle va rencontrer un jeune policier qui semble être de son côté. Je trouve que les webtoons d’action ont tendance à avoir un graphisme simplifié surtout dans les arrière-plans, celui-ci est particulièrement travaillé et nous offre de très beaux dessins. On a une héroïne qui a une grande force physique mais une grande faiblesse sentimentale, souffrant de sa différence, elle a toujours eu envie de se faire des amis et regrette de ne pas être humaine. Et puis il y a l’inspecteur Hwang, beau gosse, brillant, il lutte contre les vampires mais est conscient qu’il a besoin d’aide car ces derniers sont infiltrés partout. L’histoire est bien menée, il y a un juste équilibre entre combats, enquête et vie personnelle, on ne voit pas passer les 580 pages de ces deux tomes et on a envie de lire la suite. Un très bon début. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/white-blood-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Nickad

    White Blood tomes 1 et 2

    White blood est le 1er webtoon que publie les éditions Michel Lafon sous le label SIKKU. La série est finie, compte 92 chapitres ce qui fera entre 7 et 8 tomes selon. Quant à l’édition, elle est de qualité, avec un bon travail sur l’agencement des images. Il y a 10 ans de cela, des vampires sont apparus de nulle part, si le 1er contact a été assez violent, ils se sont cachés au sein des humains, œuvrant surtout la nuit, la vie a radicalement changée et une brigade de police spéciale vampire a été créée. Park Hayan est une vampire au sang pur, elle ne se rappelle de rien avant ces 10 dernières années et essaye de mener une vie normale à l’université. Seulement les autres vampires sont à sa recherche ou plutôt cherche à récupérer son cœur pour obtenir plus de pouvoirs et vivre plus longtemps. Elle qui essaye de vivre normalement, qui vit avec un prêtre et 2 autres orphelins souhaite avant tout protéger les innocents, elle va rencontrer un jeune policier qui semble être de son côté. Je trouve que les webtoons d’action ont tendance à avoir un graphisme simplifié surtout dans les arrière-plans, celui-ci est particulièrement travaillé et nous offre de très beaux dessins. On a une héroïne qui a une grande force physique mais une grande faiblesse sentimentale, souffrant de sa différence, elle a toujours eu envie de se faire des amis et regrette de ne pas être humaine. Et puis il y a l’inspecteur Hwang, beau gosse, brillant, il lutte contre les vampires mais est conscient qu’il a besoin d’aide car ces derniers sont infiltrés partout. L’histoire est bien menée, il y a un juste équilibre entre combats, enquête et vie personnelle, on ne voit pas passer les 580 pages de ces deux tomes et on a envie de lire la suite. Un très bon début.
  12. alx23

    The goddamned tome 2

    Il aura fallu attendre quelques années avant d'avoir la suite de The goddamned mais quand on voit la qualité de cette série, ce n'est pas un problème de patienter. Les deux auteurs ensemble avaient déjà réalisé Scalped, une série culte de l'ancienne collection Vertigo, chez DC comics. Jason Aaron nous propose pas moins qu’une réécriture de la Genèse avant le déluge. Le premier tome donnait une première claque et cette suite est dans la continuité. La religion en prend quand même un sacré coup sous la plume de Aaron avec cette version très sombre et violente. Dans ce deuxième tome, on suit le parcours de deux jeunes filles élevées par des sœurs autoritaires et sadiques pour être offerte à dieu pour donner naissance aux nephilims. Elles vont fuir cet avenir peu réjouissant. Pour les dessins, R.M. Guéra nous donne une claque visuelle avec des planches magnifiques. Guéra réalise des dessins très détaillés avec beaucoup d’encrage. On retrouve quelques croquis et couvertures des comics vo en fin d’album. J’ai adoré cette suite que je recommande pour les adultes, les deux auteurs se lâchent et vont encore produire une série surprenante et trash.
  13. Titre de l'album : The goddamned tome 2 Scenariste de l'album : Jason Aaron Dessinateur de l'album : R.M. Guéra Coloriste : Giulia Brusco Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Avant le Déluge, au matin du monde, la terre des hommes était pleine de bruit et de fureur. Mais dissimulé au sommet d'une montagne, un sanctuaire semble encore exempt de toute violence, de toute dépravation, un lieu sans hommes. Dirigé par des soeurs saintes, ce couvent élève ces filles orphelines afin d'en faire les futures épouses des Fils de Dieu. Mais lorsque Sharri et Jael, deux jeunes filles sur le point d'être initiées, découvrent ce que cette union implique, elles réalisent rapidement que leur seule échappatoire est de fuir... Critique : Il aura fallu attendre quelques années avant d'avoir la suite de The goddamned mais quand on voit la qualité de cette série, ce n'est pas un problème de patienter. Les deux auteurs ensemble avaient déjà réalisé Scalped, une série culte de l'ancienne collection Vertigo, chez DC comics. Jason Aaron nous propose pas moins qu’une réécriture de la Genèse avant le déluge. Le premier tome donnait une première claque et cette suite est dans la continuité. La religion en prend quand même un sacré coup sous la plume de Aaron avec cette version très sombre et violente. Dans ce deuxième tome, on suit le parcours de deux jeunes filles élevées par des sœurs autoritaires et sadiques pour être offerte à dieu pour donner naissance aux nephilims. Elles vont fuir cet avenir peu réjouissant. Pour les dessins, R.M. Guéra nous donne une claque visuelle avec des planches magnifiques. Guéra réalise des dessins très détaillés avec beaucoup d’encrage. On retrouve quelques croquis et couvertures des comics vo en fin d’album. J’ai adoré cette suite que je recommande pour les adultes, les deux auteurs se lâchent et vont encore produire une série surprenante et trash. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-goddamned-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Quand le scénariste de Elles s'associent au dessinateur de Klaw on ne peut que s'attendre à une nouvelle série jeunesse de qualité. Et disons le tout de suite, Masques assume sans fausse note. Le dessin de Joël Jurion est au niveau de ce qu'il a fait sur Klaw avec peut être une colorisation plus subtile qui n'est pas pour me déplaire même si j'ai toujours un peu de mal avec ses visages parfois un peu trop appuyés. Mais c'est une question de style, et sincèrement difficile d'imaginer un jeune ado ne pas aimer ce dessin. Le scénario de Kid Toussaint est lui très efficace, finalement assez sobre, ne nous perdant pas dans des mystères trop opaques ou des explications trop fouillies, le dosage est indéniablement bon, et signe de grande maitrise. Alors pourquoi je ne suis pas plus emballé que cela ? Simplement car l'histoire a pour le moment un peu trop air de déjà lu. Je n'ai pas ressenti l'excitation que j'ai pu avoir en lisant la forêt du temps par exemple, sur le même type de bd jeunesse fantastique. Reste que la base de ce tome 1 de Masques peut permettre au tout de prendre un peu plus d'ampleur et de nous réserver des surprises. Ce Masques est indéniablement une des séries jeunesse avec lesquelles il faudra compter.
  15. Titre de l'album : Masques - Tome 1 - Le masque sans visage Scenariste de l'album : Kid Toussaint Dessinateur de l'album : Joël Jurion Coloriste : Joël Jurion Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Al, Siera et Hector n'avaient rien en commun jusqu'à ce que des masques fassent irruption dans leurs vies. Des masques antiques qui leur confèrent des pouvoirs défiant l'imagination. Comment gérer un tel don quand on a quinze ans et d'autres problèmes en tête ? Pourquoi ont-ils été choisis ? Pas le temps de se poser trop de questions, un masque puissant est tombé dans de mauvaises mains. Il va falloir s'allier et le récupérer avant qu'il ne soit trop tard…. Critique : Quand le scénariste de Elles s'associent au dessinateur de Klaw on ne peut que s'attendre à une nouvelle série jeunesse de qualité. Et disons le tout de suite, Masques assume sans fausse note. Le dessin de Joël Jurion est au niveau de ce qu'il a fait sur Klaw avec peut être une colorisation plus subtile qui n'est pas pour me déplaire même si j'ai toujours un peu de mal avec ses visages parfois un peu trop appuyés. Mais c'est une question de style, et sincèrement difficile d'imaginer un jeune ado ne pas aimer ce dessin. Le scénario de Kid Toussaint est lui très efficace, finalement assez sobre, ne nous perdant pas dans des mystères trop opaques ou des explications trop fouillies, le dosage est indéniablement bon, et signe de grande maitrise. Alors pourquoi je ne suis pas plus emballé que cela ? Simplement car l'histoire a pour le moment un peu trop air de déjà lu. Je n'ai pas ressenti l'excitation que j'ai pu avoir en lisant la forêt du temps par exemple, sur le même type de bd jeunesse fantastique. Reste que la base de ce tome 1 de Masques peut permettre au tout de prendre un peu plus d'ampleur et de nous réserver des surprises. Ce Masques est indéniablement une des séries jeunesse avec lesquelles il faudra compter. Autres infos : Bd fantastique jeunesse Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/masques-tome-1-le-masque-sans-visage?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. The_PoP

    The Cape - 1969

    Après la nouvelle édition de The Cape, l'adaptation en comics de la nouvelle fantastique de Joe Hill s'attaquant au mythe du super héros, voici la parution de la réédition du préquel de The Cape sur les origines de la nouvelle principale. On plongera avec ce récit dans l'horreur de la guerre du Vietnam et le combat du père du héros de The Cape. Récit fantastique aux relents d'Apocalypse Now et de Voyage au bout de l'enfer, The Cape est un comics qui comme son grand frère se lit d'une traite à un rythme vraiment soutenu. Reste que le côté remarquable du scénario de l'original est ici du coup un peu éventé ce qui nous retire un peu du plaisir de la découverte et de la fraicheur. Graphiquement le dessin de Nelson Daniel qui s'occupait seulement des couleurs sur The Cape est un peu moins prenant et expressif au niveau des personnages que celui de son homologue Zach Howard mais il reste dans l'ambiance et la lignée directe de The Cape donc pas d'inquiétude de ce côté là. Au final pour ceux qui ont lu et aimé The Cape je ne peux que vous conseiller cette lecture, qui si elle n'est pas un indispensable, permet de renouer sérieusement avec le plaisir du comics original. Pour ceux qui n'ont pas aimé The Cape, inutile de réessayer avec ce one shot préquel, les ingrédients sont sensiblement identiques.
  17. The_PoP

    The Cape - 1969

    Titre de l'album : The Cape - 1969 Scenariste de l'album : Jason Ciaramella Dessinateur de l'album : Nelson Daniel Coloriste : Nelson Daniel Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : Découvrez les événements fondateurs de The Cape, le comics nominé aux Eisner Awards et encensé par la critique ! 1969. La guerre du Vietnam fait rage. L'hélicoptère du capitaine Chase, pilote d'Evasan pour l'armée américaine, est abattu en territoire ennemi. Ses hommes et lui sont obligés de fuir, poursuivis par les soldats viêt-Cong... et ils découvriront vite que le mugissement des armes automatiques n'est pas le seul danger dans la jungle. Un comics viscéral aux allures de graphic novel, qui retrace le destin poignant et fantastique du père des enfants découverts dans The Cape. Tiré d'une nouvelle de Joe Hill, The Cape pulvérise le mythe du héros - et du super-héros. Critique : Après la nouvelle édition de The Cape, l'adaptation en comics de la nouvelle fantastique de Joe Hill s'attaquant au mythe du super héros, voici la parution de la réédition du préquel de The Cape sur les origines de la nouvelle principale. On plongera avec ce récit dans l'horreur de la guerre du Vietnam et le combat du père du héros de The Cape. Récit fantastique aux relents d'Apocalypse Now et de Voyage au bout de l'enfer, The Cape est un comics qui comme son grand frère se lit d'une traite à un rythme vraiment soutenu. Reste que le côté remarquable du scénario de l'original est ici du coup un peu éventé ce qui nous retire un peu du plaisir de la découverte et de la fraicheur. Graphiquement le dessin de Nelson Daniel qui s'occupait seulement des couleurs sur The Cape est un peu moins prenant et expressif au niveau des personnages que celui de son homologue Zach Howard mais il reste dans l'ambiance et la lignée directe de The Cape donc pas d'inquiétude de ce côté là. Au final pour ceux qui ont lu et aimé The Cape je ne peux que vous conseiller cette lecture, qui si elle n'est pas un indispensable, permet de renouer sérieusement avec le plaisir du comics original. Pour ceux qui n'ont pas aimé The Cape, inutile de réessayer avec ce one shot préquel, les ingrédients sont sensiblement identiques. Autres infos : D'après une nouvelle de Joe Hill Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-cape-1969-232026?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. poseidon2

    Bertille & Bertille

    Après des tomes assez moyens, ou il n'était qu'au dessin, Eric Stalner reprend l'entièreté de la gestion de "Bertille et Bertille" pour nous livrer une très belle histoire. Une histoire qui ressemble à un bonbon dur à l'ancienne. Vous savez les bonbons qui, une fois mis en bouche, n'ont pas encore trop de gout et qui, plus on les garde, nous apporte du réconfort et du bon gout avec le temps. Et bien ici, c'est pareil. Sans jamais chercher à produire une BD d'enquête ou même de fantastique, sans jamais chercher à nous expliquer quoi que ce soit, Stalner nous livre un album où l'on est, comme Bertille, au rang des curieux qui regarde tout ce petit monde se poser trop de questions. Des curieux qui regarde aussi nos Bertille jouer au chat et à la souris, tout en retenu très émouvante et très touchante. Une bien belle lecture reposante et humaine, comme on n'en lit plus assez.
  19. Titre de l'album : Bertille & Bertille Scenariste de l'album : Éric Stalner Dessinateur de l'album : Éric Stalner Coloriste : Éric Stalner Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : La rencontre improbable d’un flic bougon, d’une jeune aristocrate… et d’une grosse boule rouge ! Bertille et Bertille. Prénom pour l’une, nom de famille pour l’autre. C’est bien tout ce qui rapproche cette jeune fille de bonne famille et ce commissaire ! Ils ont pourtant un autre point commun pour le moins incongru. Ils ont tous deux assisté à l’atterrissage mouvementé d’un objet insolite. Un objet qui grossit, grossit, grossit au sens propre du terme devenant un véritable casse-tête pour le gouvernement. Tandis que nos deux personnages s’affrontent dans de réjouissantes joutes verbales, cette mystérieuse boule rouge devient une menace pour la France des Années folles. Écrasée près de Paris, et ne cessant de grandir, elle se rapproche de la capitale… Critique : Après des tomes assez moyens, ou il n'était qu'au dessin, Eric Stalner reprend l'entièreté de la gestion de "Bertille et Bertille" pour nous livrer une très belle histoire. Une histoire qui ressemble à un bonbon dur à l'ancienne. Vous savez les bonbons qui, une fois mis en bouche, n'ont pas encore trop de gout et qui, plus on les garde, nous apporte du réconfort et du bon gout avec le temps. Et bien ici, c'est pareil. Sans jamais chercher à produire une BD d'enquête ou même de fantastique, sans jamais chercher à nous expliquer quoi que ce soit, Stalner nous livre un album où l'on est, comme Bertille, au rang des curieux qui regarde tout ce petit monde se poser trop de questions. Des curieux qui regarde aussi nos Bertille jouer au chat et à la souris, tout en retenu très émouvante et très touchante. Une bien belle lecture reposante et humaine, comme on n'en lit plus assez. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/bertille-et-bertille-tome-1-l-etrange-boule-rouge?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Titre de l'album : House of slaughter tome 1 Scenariste de l'album : James Tynion IV & Tate Brombal Dessinateur de l'album : Chris Shehan Coloriste : Miquel Muerto Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Avant de revêtir le masque noir, le mentor d'Erica Slaughter, Aaron Slaughter, a fait ses armes dans un ordre peu conventionnel. Fief de l'ordre des chasseurs, les enfants, destinés à devenir des guerriers, y sont confrontés à des menaces plurielles. Élève réservé, la trajectoire d'Aaron prend une tournure inattendue et inquiétante quand il s'éprend du jeune homme qui deviendra son rival. La chasse horrifique dans les forêts du Midwest se teinte alors d'un drame intime. Critique : Le quatrième tome de something is killing the children était centré sur la jeunesse du personnage d'Erica alors que House of slaughter se consacre à Aaron slaughter, la première recrue des membres des masques noir de la loge du massacre. James Tynion IV en profite pour nous révéler beaucoup d'informations sur le fonctionnement de la loge. On retrouve la même qualité d'écriture avec une histoire passionnante qui donne envie de poursuivre l'aventure, d'ailleurs un deuxième tome est déjà annoncé au dos du comics. Something is killing the children doit recevoir un bon accueil des lecteurs en France pour avoir droit à une version cartonnée et après au House of slaughter dans le même univers. Les dessins de Chris Shehan sont dans la même mouvance que ceux de Werther Dell'Edera, les couleurs sont toujours réalisées par Miquel Muerto, ce qui donne certainement cette harmonie entre les deux dessinateurs. Les auteurs prouvent avoir beaucoup d'idées intéressantes pour leur création et c'est avec plaisir que j'ai lu cet épisode. Les fans de something is killing the children peuvent se le procurer les yeux fermés, en plus le prix de lancement finira de convaincre les autres lecteurs. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/house-of-slaughter-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. alx23

    House of slaughter tome 1

    Le quatrième tome de something is killing the children était centré sur la jeunesse du personnage d'Erica alors que House of slaughter se consacre à Aaron slaughter, la première recrue des membres des masques noir de la loge du massacre. James Tynion IV en profite pour nous révéler beaucoup d'informations sur le fonctionnement de la loge. On retrouve la même qualité d'écriture avec une histoire passionnante qui donne envie de poursuivre l'aventure, d'ailleurs un deuxième tome est déjà annoncé au dos du comics. Something is killing the children doit recevoir un bon accueil des lecteurs en France pour avoir droit à une version cartonnée et après au House of slaughter dans le même univers. Les dessins de Chris Shehan sont dans la même mouvance que ceux de Werther Dell'Edera, les couleurs sont toujours réalisées par Miquel Muerto, ce qui donne certainement cette harmonie entre les deux dessinateurs. Les auteurs prouvent avoir beaucoup d'idées intéressantes pour leur création et c'est avec plaisir que j'ai lu cet épisode. Les fans de something is killing the children peuvent se le procurer les yeux fermés, en plus le prix de lancement finira de convaincre les autres lecteurs.
  22. alx23

    Une étude en émeraude

    Ce comics est l'adaptation d’une nouvelle écrit par Neil Gaiman, auteur de nombreux comics cultes comme Sandman pour ne citer que celui-là. Le scénariste Rafael Scavone se charge de son adaptation en comics. Avec une étude en émeraude, les auteurs s'inspirent des univers d’Arthur Conan Doyle pour la partie Sherlock Holmes et de Howard Phillips Lovecraft pour la partie des grands anciens, ces divinités sombres et tentaculaires. L'histoire est donc un mélange de récit policier avec une partie fantastique bien présente. Dans le monde du détective privé, les grands anciens gouvernent les hommes avec de postes clés parmi les familles royales. Cette dimension apporte évidemment beaucoup d'originalité à l'histoire mais l'on pourra regretter que le récit ne développe pas assez ce concept. Il reste très plaisant de suivre les aventures du détective avec toutes ses déductions qui ont fait son succès. La partie graphique est réalisée par Rafael Albuquerque très en forme sur cette histoire. Les planches sont de qualité avec une ambiance bien sombre comme on peut l'attendre d'un tel récit. Pour parfaire l'ensemble, Dave Stewart assure les couleurs. Avec Une étude en émeraude, les auteurs rendent de nombreux hommages comme vous pourrez le découvrir à des références de la littératures de cette époque, comme le docteur Jekyll et mister Hyde ou Dracula avec Vlad Tepes.
  23. Titre de l'album : Une étude en émeraude Scenariste de l'album : Rafael Scavone, Neil Gaiman Dessinateur de l'album : Rafael Albuquerque Coloriste : Dave Stewart Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : L'éventreur frappe à Londres et seul le plus grand détective du monde saura l'arrêter ! Face à un étrange assassinat d'horreur cosmique, un détective de génie et son partenaire sont appelés à l'aide. Dans un monde où Sherlock Holmes et Chtulhu cohabitent, ce mystère surnaturel conduira les deux enquêteurs de Baker Street jusqu'au Palais de la Reine afin de résoudre un meurtre transcendant le genre humain. Après avoir remporté les prix Hugo, Bram Stoker, Locus, World Fantasy et Nebula, l'écrivain à succès Neil Gaiman nous livre cette adaptation en roman graphique, assisté au dessin par Rafael Albuquerque ! Critique : Ce comics est l'adaptation d’une nouvelle écrit par Neil Gaiman, auteur de nombreux comics cultes comme Sandman pour ne citer que celui-là. Le scénariste Rafael Scavone se charge de son adaptation en comics. Avec une étude en émeraude, les auteurs s'inspirent des univers d’Arthur Conan Doyle pour la partie Sherlock Holmes et de Howard Phillips Lovecraft pour la partie des grands anciens, ces divinités sombres et tentaculaires. L'histoire est donc un mélange de récit policier avec une partie fantastique bien présente. Dans le monde du détective privé, les grands anciens gouvernent les hommes avec de postes clés parmi les familles royales. Cette dimension apporte évidemment beaucoup d'originalité à l'histoire mais l'on pourra regretter que le récit ne développe pas assez ce concept. Il reste très plaisant de suivre les aventures du détective avec toutes ses déductions qui ont fait son succès. La partie graphique est réalisée par Rafael Albuquerque très en forme sur cette histoire. Les planches sont de qualité avec une ambiance bien sombre comme on peut l'attendre d'un tel récit. Pour parfaire l'ensemble, Dave Stewart assure les couleurs. Avec Une étude en émeraude, les auteurs rendent de nombreux hommages comme vous pourrez le découvrir à des références de la littératures de cette époque, comme le docteur Jekyll et mister Hyde ou Dracula avec Vlad Tepes. Autres infos : Edition Black River Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/une-etude-en-emeraude?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Titre de l'album : Les Omniscients - tome 3 - Le Berceau Scenariste de l'album : Vincent Dugomier Dessinateur de l'album : Renata Castellani Coloriste : Benoît Beckaert Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Les cerveaux les plus remplis du monde vont devoir mettre leur immense savoir théorique à l'épreuve de la pratique ! Pour parvenir à délivrer la mystérieuse soeur jumelle de Diego de l'île où le FBI compte l'étudier et empêcher les Iconoclastes de diffuser le virus informatique le plus destructeur de l'Histoire, ils vont même devoir faire preuve d'ubiquité. Mais au bout de cette épreuve les attend une des rares connaissances qu'ils ignorent encore : le secret de leurs origines ! Critique : Le troisième tome de cette série jeunesse plutôt réussie et qui rencontre son petit succès déboule, et pour ma part je vous avoue que j'ai été un brin déçu. Le scénario bifurque tranquillement et logiquement mais la direction prise ne m'a pas plus emballé que cela. Ceci étant dit les personnages de cette aventure jeunesse sont bien pensés et sympathiques, le rythme est soutenu et bien dosé, et l'histoire avance bien, alors je crois que les amateurs de la série y trouveront largement leur compte. Reste que pour ma part il me manque un petit quelque chose pour vraiment trépigner à l'idée de lire la suite, comme cela peut pourtant être le cas sur une série jeunesse comme La forêt du temps. Renata Castellani maitrise elle bien tous ses personnages et son univers et nous livre des planches réussies, bien mises en couleur par Benoît Beckaert. C'est dynamique et vivant et donc réussi. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-omniscients-tome-3-le-berceau?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Le troisième tome de cette série jeunesse plutôt réussie et qui rencontre son petit succès déboule, et pour ma part je vous avoue que j'ai été un brin déçu. Le scénario bifurque tranquillement et logiquement mais la direction prise ne m'a pas plus emballé que cela. Ceci étant dit les personnages de cette aventure jeunesse sont bien pensés et sympathiques, le rythme est soutenu et bien dosé, et l'histoire avance bien, alors je crois que les amateurs de la série y trouveront largement leur compte. Reste que pour ma part il me manque un petit quelque chose pour vraiment trépigner à l'idée de lire la suite, comme cela peut pourtant être le cas sur une série jeunesse comme La forêt du temps. Renata Castellani maitrise elle bien tous ses personnages et son univers et nous livre des planches réussies, bien mises en couleur par Benoît Beckaert. C'est dynamique et vivant et donc réussi.
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