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  1. Titre de l'album : Aurora - Tome 2 - Signals Scenariste de l'album : Christophe Bec Dessinateur de l'album : Stefano Raffaele Coloriste : Stéphane Paitreau Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Lorsque s'alignent les huit planètes de notre système solaire, les Enfants de l'Aurore passent à l'action, avec une coordination inexplicable, dans un but de domination et d'asservissement de l'espèce humaine. Leurs caractéristiques de naissance en font des êtres froids et calculateurs. Ceux qui refusent de se soumettre deviennent des proies, les Enfants de l'Aurore se révélant des exterminateurs d'une efficacité terrifiante. Critique : A peine 6 mois après la sortie du tome 1 voici déjà le second tome d'Aurora, nouvelle série de Messieurs Bec et Raffaele sur fond d'apocalypse, de fantastique, de fin du monde et d'horreur. La série est prévue en 4 tomes. Les évènements étranges continuent de se produire. Ce second tome nous en montre une pléthore, allant du glaçant au flippant, sur toute la durée d'adolescence de ces "enfants de l'aurore". Le récit avance donc bien, quelques éléments de compréhension sont posés et on s'attend logiquement à une accélération des révélations dans les prochains tomes. Inutile de dire que Christophe Bec est ici dans son élément, étant un habitué du genre, de même que Raffaele qui nous livre des planches dans son style réaliste qui convient assez bien au genre. Le récit horrifique est toujours délicat en BD, mais il faut reconnaitre à Christophe Bec l'art de manier le surnaturel pour nous faire flipper. Aurora va ravir les habitués du genre qui n'ont pas été lassés par les précédentes séries de M. Bec, pour ma part j'avoue que je préfère pour le moment le début d'Abaddon. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/aurora-tome-2-signal?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. The_PoP

    Aurora - Tome 2 - Signals

    A peine 6 mois après la sortie du tome 1 voici déjà le second tome d'Aurora, nouvelle série de Messieurs Bec et Raffaele sur fond d'apocalypse, de fantastique, de fin du monde et d'horreur. La série est prévue en 4 tomes. Les évènements étranges continuent de se produire. Ce second tome nous en montre une pléthore, allant du glaçant au flippant, sur toute la durée d'adolescence de ces "enfants de l'aurore". Le récit avance donc bien, quelques éléments de compréhension sont posés et on s'attend logiquement à une accélération des révélations dans les prochains tomes. Inutile de dire que Christophe Bec est ici dans son élément, étant un habitué du genre, de même que Raffaele qui nous livre des planches dans son style réaliste qui convient assez bien au genre. Le récit horrifique est toujours délicat en BD, mais il faut reconnaitre à Christophe Bec l'art de manier le surnaturel pour nous faire flipper. Aurora va ravir les habitués du genre qui n'ont pas été lassés par les précédentes séries de M. Bec, pour ma part j'avoue que je préfère pour le moment le début d'Abaddon.
  3. Titre de l'album : Les omniscients - Tome 4 - Scenariste de l'album : Vincent Dugomier Dessinateur de l'album : Renata Castellani Coloriste : Benoît Beckaert Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Trois mois après la découverte du secret le mieux enfoui de New York, la compétition qui oppose les Omniscients aux Iconoclastes prend désormais un tour très public. Et puisque l'origine de leurs dons semble liée aux ruines tazmèdes, quoi de mieux qu'un duel d'archéologie pour régler leur différend ? Malheureusement, personne n'a anticipé qu'exhumer les fondations du passé peut faire vaciller l'édifice du présent... Critique : Les omniscients est l'une des série jeunesse phare du Lombard, mais il faut bien reconnaitre que j'ai du mal à y adhérer. Le premier tome laissait entrevoir de belles promesses mais pour le moment cela ne décolle pas vraiment pour moi, la faute à un scénario un peu fourre-tout je trouve et dont on a du mal à discerner les enjeux. Vincent Dugommier nous avait pourtant habitué à des scénarios plus efficaces sur ces précédentes séries, notamment sur Les enfants de la résistance. Le dessin de Renata Castellani est lui dans la ligne des séries jeunesse du Lombard, avec notamment des visages assez fin nous restituant bien les expressions, mouvements et émotions. J'espère que le prochain tome va clarifier un peu le scénario et ses enjeux pour ne pas me perdre pour cette série. En tous cas, la conclusion approche à grand pas avec son lot de révélations... Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-omniscients-tome-4-affrontements?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. The_PoP

    Les omniscients - Tome 4 -

    Les omniscients est l'une des série jeunesse phare du Lombard, mais il faut bien reconnaitre que j'ai du mal à y adhérer. Le premier tome laissait entrevoir de belles promesses mais pour le moment cela ne décolle pas vraiment pour moi, la faute à un scénario un peu fourre-tout je trouve et dont on a du mal à discerner les enjeux. Vincent Dugommier nous avait pourtant habitué à des scénarios plus efficaces sur ces précédentes séries, notamment sur Les enfants de la résistance. Le dessin de Renata Castellani est lui dans la ligne des séries jeunesse du Lombard, avec notamment des visages assez fin nous restituant bien les expressions, mouvements et émotions. J'espère que le prochain tome va clarifier un peu le scénario et ses enjeux pour ne pas me perdre pour cette série. En tous cas, la conclusion approche à grand pas avec son lot de révélations...
  5. Avec Apparition dans le ciel de Berlin-Est, le scénariste Jeff Loveness propose un huis-clos fantastique dans le climat lourd de la guerre froide. En effet, les soviétiques récupèrent un objet tombé du ciel lors d'une nuit étoilée pour l'étudier dans un bunker secret. Un espion américain s'infiltre pour obtenir des informations. L'auteur joue sur la notion de vérité ou de recherche de vérité durant cette période où les membres de la stasi terrorisaient toute la population. Les deux protagonistes principaux s’affrontent et se questionnent sur leur rôle d'espion ou agent de la Stasi, ainsi que leur choix d'obéir aux ordres. La partie fantastique intervient avec cette entité en quête de réponse qui manipule les humains autour d'elle. La partie graphique est de grande qualité dans un style bande dessinée européenne. Patricio Delpeche sublime l'ensemble avec des couleurs en aquarelle très réussies. L'album se termine sur des recherches graphiques et des illustrations. Les éditions 404 Comics proposent ce titre dans un grand format pour que l'on profite bien des planches, avec une édition soignée comme d’habitude et une excellente couverture. Depuis leur création, les éditions 404 Comics font un sans faute en ne publiant que des titres de grande qualité et des genres différents pour notre plus grand plaisir.
  6. Titre de l'album : Apparition dans le ciel de Berlin-Est Scenariste de l'album : Jeff Loveness Dessinateur de l'album : Lisandro Estherren Coloriste : Patricio Delpeche Editeur de l'album : 404 comics Note : Résumé de l'album : Herring est un espion américain désabusé. Stationné du côté Est du mur de Berlin, il est en proie au doute sur son rôle dans la guerre froide qui semble sans fin. Mais, lorsqu'il est envoyé en mission derrière les lignes ennemies pour infiltrer les services de renseignement Est-Allemand, il découvre que les soviétiques viennent de s'emparer d'une arme secrète qui pourrait changer le cours du conflit : une arme d'un genre nouveau venue d'ailleurs qu'ils ne comprennent pas et qu'aucun camp ne pourra jamais contrôler. Critique : Avec Apparition dans le ciel de Berlin-Est, le scénariste Jeff Loveness propose un huis-clos fantastique dans le climat lourd de la guerre froide. En effet, les soviétiques récupèrent un objet tombé du ciel lors d'une nuit étoilée pour l'étudier dans un bunker secret. Un espion américain s'infiltre pour obtenir des informations. L'auteur joue sur la notion de vérité ou de recherche de vérité durant cette période où les membres de la stasi terrorisaient toute la population. Les deux protagonistes principaux s’affrontent et se questionnent sur leur rôle d'espion ou agent de la Stasi, ainsi que leur choix d'obéir aux ordres. La partie fantastique intervient avec cette entité en quête de réponse qui manipule les humains autour d'elle. La partie graphique est de grande qualité dans un style bande dessinée européenne. Patricio Delpeche sublime l'ensemble avec des couleurs en aquarelle très réussies. L'album se termine sur des recherches graphiques et des illustrations. Les éditions 404 Comics proposent ce titre dans un grand format pour que l'on profite bien des planches, avec une édition soignée comme d’habitude et une excellente couverture. Depuis leur création, les éditions 404 Comics font un sans faute en ne publiant que des titres de grande qualité et des genres différents pour notre plus grand plaisir. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/apparition-dans-le-ciel-de-berlin-est/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. alx23

    Télépathes

    Le scénariste J. Michael Straczynski s'est forgé une bonne réputation avec d'excellents titres comme Midnight nation ou Rising star et sans compter ses nombreux récits de super-héros. Donc je reste toujours à l'écoute de ses nouveaux titres surtout quand il s'associe au dessinateur Steve Epting à qui l'on doit des incontournables comme Velvet ou Captain America, le soldat d'hiver. Les deux auteurs nous proposent un récit qui mélange fantastique et SF. En effet, suite perturbation électromagnétique dû à une éruption solaire, une partie non négligeable de la population mondiale se retrouve avec des dons télépathiques. La transition se fait dans le désordre totale puisqu'une demi-heure après l'évènement, les télépathes lisent dans les pensées de ceux dénués de pouvoirs. Très vite une course poursuite à la recherche d'autres compétences se fait et deux groupes de personnes s’affrontent avec des pouvoirs pendant que le gouvernement tente de comprendre et commence à prendre des mesures pour gérer la situation de crise. La partie graphique de Steve Epting est parfaite, son style est très réaliste et convient bien sur ce genre de récit. Ce premier tome regroupe les six premiers chapitres de l'histoire avec beaucoup d’action en attendant la suite à venir.
  8. alx23

    Télépathes

    Titre de l'album : Télépathes Scenariste de l'album : J. Michael Straczynski Dessinateur de l'album : Steve Epting Coloriste : Brian Reber Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : QUAND AUCUN SECRET NE PEUT ÊTRE CACHÉ, TOUT LE MONDE EST EN DANGER ! Dès les premières manifestations de ces nouveaux pouvoirs, la société s'effondre littéralement. Un policier et un condamné à mort vont devoir s'allier pour éviter le chaos, et l'avenir dépendra de la confiance qui peut s'instaurer entre eux. Critique : Le scénariste J. Michael Straczynski s'est forgé une bonne réputation avec d'excellents titres comme Midnight nation ou Rising star et sans compter ses nombreux récits de super-héros. Donc je reste toujours à l'écoute de ses nouveaux titres surtout quand il s'associe au dessinateur Steve Epting à qui l'on doit des incontournables comme Velvet ou Captain America, le soldat d'hiver. Les deux auteurs nous proposent un récit qui mélange fantastique et SF. En effet, suite perturbation électromagnétique dû à une éruption solaire, une partie non négligeable de la population mondiale se retrouve avec des dons télépathiques. La transition se fait dans le désordre totale puisqu'une demi-heure après l'évènement, les télépathes lisent dans les pensées de ceux dénués de pouvoirs. Très vite une course poursuite à la recherche d'autres compétences se fait et deux groupes de personnes s’affrontent avec des pouvoirs pendant que le gouvernement tente de comprendre et commence à prendre des mesures pour gérer la situation de crise. La partie graphique de Steve Epting est parfaite, son style est très réaliste et convient bien sur ce genre de récit. Ce premier tome regroupe les six premiers chapitres de l'histoire avec beaucoup d’action en attendant la suite à venir. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/telepathes/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. The_PoP

    Les chimères de vénus - Tome 2

    Alain Ayroles continue de nous immerger dans l'univers imaginé par Alex Alice. Ce n'est pas peu dire que ces deux là ce sont bien trouvé tant l'on pourrait penser que cet univers là a bien été pensé pour laisser libre court à l'amour d'Ayrolles pour la poésie, la culture et le fantastique. Jolis mots, dialogues ciselés et comme à son habitude une pincée de Jules Vernes, une goutte de poésie, et du parfum d'imaginaire. Comment ne pas ravir ainsi nos âmes d'enfants conservées dans un coin de notre mémoire ? Reste que si le premier tome m'avait très franchement emballé, la jolie surprise faisant alors pleinement son effet, ce tome-ci m'a laissé un parfum différent. Pas une déception non, tant il est à la hauteur du premier, mais un parfum de nostalgie de De Cape et de crocs qui s'est poursuivi des mots jusqu'à la plume du dessinateur, qui s'il n'est pas Masbou, n'en a pas moins un trait qui ne peut qu'y faire penser. Si la surprise n'est plus, la qualité est là, et l'intrigue fait ce qu'elle nous avait promis, elle nous emporte dans une aventure aux confins de l'imaginaire et de la poésie. Promesse tenue donc. J'ai donc bien aimé ce tome 2. C'est très très bon, et cela plaira probablement un peu moins à tout le monde que ce qu'a pu faire Alex Alice sur les deux premiers cycles, mais cela reste très bien, pour peu que l'on souhaite vivre cette nouvelle épopée humaniste et romantique.
  10. Titre de l'album : Les chimères de vénus - Tome 2 Scenariste de l'album : Alain Ayroles Dessinateur de l'album : Etienne Jung Coloriste : Thierry Leprévost Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : 1874, au coeur de l'âge de l'éther. Les empires terrestres se disputent le contrôle du système solaire. Sur Vénus, le poète Aurélien d'Hormont, évadé des bagnes de Napoléon III, s'enfonce toujours plus loin dans l'inconnu en compagnie d'étranges créatures amphibies. De son côté, l'actrice Hélène Martin redouble de courage et d'ingéniosité pour se frayer un chemin sur cette planète hostile et retrouver son amant hors-la-loi. Bravant l'Océan déchaîné et ses inquiétants abysses, Hélène embarque en direction de l'Île Magnétique. Aventurières intrépides, forçats à la dérive, entités télépathes, croiseur britannique, sous-marin français... toutes et tous semblent inexorablement attirés par ces inaccessibles rivages où se dressent les vestiges d'une mystérieuse civilisation. Critique : Alain Ayroles continue de nous immerger dans l'univers imaginé par Alex Alice. Ce n'est pas peu dire que ces deux là ce sont bien trouvé tant l'on pourrait penser que cet univers là a bien été pensé pour laisser libre court à l'amour d'Ayrolles pour la poésie, la culture et le fantastique. Jolis mots, dialogues ciselés et comme à son habitude une pincée de Jules Vernes, une goutte de poésie, et du parfum d'imaginaire. Comment ne pas ravir ainsi nos âmes d'enfants conservées dans un coin de notre mémoire ? Reste que si le premier tome m'avait très franchement emballé, la jolie surprise faisant alors pleinement son effet, ce tome-ci m'a laissé un parfum différent. Pas une déception non, tant il est à la hauteur du premier, mais un parfum de nostalgie de De Cape et de crocs qui s'est poursuivi des mots jusqu'à la plume du dessinateur, qui s'il n'est pas Masbou, n'en a pas moins un trait qui ne peut qu'y faire penser. Si la surprise n'est plus, la qualité est là, et l'intrigue fait ce qu'elle nous avait promis, elle nous emporte dans une aventure aux confins de l'imaginaire et de la poésie. Promesse tenue donc. J'ai donc bien aimé ce tome 2. C'est très très bon, et cela plaira probablement un peu moins à tout le monde que ce qu'a pu faire Alex Alice sur les deux premiers cycles, mais cela reste très bien, pour peu que l'on souhaite vivre cette nouvelle épopée humaniste et romantique. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-chimeres-de-venus-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. alx23

    Silver coin Tome 1

    Titre de l'album : Silver coin Tome 1 Scenariste de l'album : Chip Zdarsky, Jeff Lemire, Ed Brisson, Michael Walsh & Kelly Thompson Dessinateur de l'album : Michael Walsh Coloriste : Michael Walsh Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Une malédiction doit se nourrir...C’est l’histoire d’une mystérieuse pièce d’argent qui passe de main en main depuis des siècles, de la Nouvelle Angleterre puritaine aux terres ravagées de 2467… Critique : Silver coin est le premier titre des éditions Huginn & Muninn que j'ai l'occasion de lire depuis leur lancement de comics, depuis quelques temps. Silver coin est sortis en même temps que Killadelphia et Ice cream man dans une collection orientée sur horreur ou le fantastique. Pour Silver coin, le scénariste et dessinateur Michael Walsh débute une série concept en invitant plusieurs scénaristes tendances afin d’écrire un récit court d'horreur. Jeff Lemire, Chip Zdarsky et Kelly Thompson sont des bons arguments de vente et m'ont attiré sur l'achat de cet album. Seulement, les histoire courtes proposées ne sont pas originales, voir anecdotiques et vites oubliées après lecture. On est loin des histoires qui ont fait la réputation de ces auteurs. Le fil conducteur entre les cinq récits est une pièce en argent que les protagonistes obtiennent avec leur malédiction. Les histoires nous transportent à plusieurs époques pour comprendre comment est née cette malédiction autour de la pièce. Avec cette belle couverture et les auteurs, Silver coin avait tout pour séduire sauf son contenu. Autres infos : Edition : Huginn & Muninn Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-silver-coin-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. alx23

    Silver coin Tome 1

    Silver coin est le premier titre des éditions Huginn & Muninn que j'ai l'occasion de lire depuis leur lancement de comics, depuis quelques temps. Silver coin est sortis en même temps que Killadelphia et Ice cream man dans une collection orientée sur horreur ou le fantastique. Pour Silver coin, le scénariste et dessinateur Michael Walsh débute une série concept en invitant plusieurs scénaristes tendances afin d’écrire un récit court d'horreur. Jeff Lemire, Chip Zdarsky et Kelly Thompson sont des bons arguments de vente et m'ont attiré sur l'achat de cet album. Seulement, les histoire courtes proposées ne sont pas originales, voir anecdotiques et vites oubliées après lecture. On est loin des histoires qui ont fait la réputation de ces auteurs. Le fil conducteur entre les cinq récits est une pièce en argent que les protagonistes obtiennent avec leur malédiction. Les histoires nous transportent à plusieurs époques pour comprendre comment est née cette malédiction autour de la pièce. Avec cette belle couverture et les auteurs, Silver coin avait tout pour séduire sauf son contenu.
  13. Titre de l'album : Marécage t1 : Sombra Scenariste de l'album : Antonio Zurera Dessinateur de l'album : Antonio Zurera Coloriste : Hiroyuki Ooshima Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Le Marécage. Un territoire maudit, aux contours indéfinis, peuplé d'étranges créatures. Un territoire dangereusement inhospitalier, où l'on n'envoie que les pires criminels. Mais un territoire où Ariston Bergère, capitaine de la Garde du Palais royal de Palantia, va dissimuler Ysaut, bébé héritier du trône au centre de trop de complots. Une mission courageuse et louable. Mais qui va très vite mal tourner. Car la princesse mourra... À moins qu'il ne se trouve un moyen de garder vivant son nom... De quoi pousser ses nombreux ennemis à sortir de l'ombre pour une terrible traque, dans laquelle sera prise une mystérieuse aventurière masquée : Sombra... Quand un maître du design et du dessin animé compose un univers de fantasy animalière convoquant la puissance du Loisel de La Quête de l'oiseau du temps, il est recommandé de bien s'accrocher à son fauteuil avant toute lecture... Attention : choc graphique ! Critique : Messire Gorn, vous êtes de retour ? C'est l'impression que j'ai eu en lisant le début de ce Marécage. Un vrai parfum de Gorn de Tiburce Oger. Et c'est pour moi un beau compliment 😉 Graphiquement déjà Antonio Zurera nous livre un dessin que l'on a pas vu depuis un petit moment. Des dessins chargés et détaillés, des couleurs vives, des personnages travaillés, parfois à l'excès, le tout sur un univers fantastique très dense passant de ville médiéval à... des marécages. Et c'est aussi cette ambiance médiévale-fantastique qui m'a fait penser à Gorn. Cet esprit de chevalerie, mais aussi de trahison et complot propre à cette époque, est un vrai point commun entre les deux. Le point commun s'arrêtera là par contre, car l'histoire est radicalement différente. Le premier tome de ce diptyque nous livre une histoire de complot médiéval pure, fait de trahison, de faux semblants, d'alliance et de pouvoirs. Un mélange porté par une héroïne mystérieuse au caractère bien trempé ! Une histoire qui ravira les fans de pur fantastique. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/marecage-tome-1-sombra?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. poseidon2

    Marécage t1 : Sombra

    Messire Gorn, vous êtes de retour ? C'est l'impression que j'ai eu en lisant le début de ce Marécage. Un vrai parfum de Gorn de Tiburce Oger. Et c'est pour moi un beau compliment 😉 Graphiquement déjà Antonio Zurera nous livre un dessin que l'on a pas vu depuis un petit moment. Des dessins chargés et détaillés, des couleurs vives, des personnages travaillés, parfois à l'excès, le tout sur un univers fantastique très dense passant de ville médiéval à... des marécages. Et c'est aussi cette ambiance médiévale-fantastique qui m'a fait penser à Gorn. Cet esprit de chevalerie, mais aussi de trahison et complot propre à cette époque, est un vrai point commun entre les deux. Le point commun s'arrêtera là par contre, car l'histoire est radicalement différente. Le premier tome de ce diptyque nous livre une histoire de complot médiéval pure, fait de trahison, de faux semblants, d'alliance et de pouvoirs. Un mélange porté par une héroïne mystérieuse au caractère bien trempé ! Une histoire qui ravira les fans de pur fantastique.
  15. Titre de l'album : Hellboy & B.P.R.D. tome 7 - Le retour d'Effie Kolb Scenariste de l'album : Mike Mignola Dessinateur de l'album : Adam Hughes, Matt Smith, Zach Howard & Tiernen Trevallion Coloriste : Dave Stewart Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Hellboy est de retour aux côtés des membres du BPRD pour affronter des fantômes et des démons. Pour cela, il nous entraîne des Appalaches à la Russie, en passant par la France et le sud des États-unis. Critique : Mike Mignloa s'entoure une fois de plus de dessinateurs réputés dans le monde des comics pour mettre en image cinq de ses histoire courtes. Les fidèles de la créature de l'enfer seront heureux de retrouver la suite de l'homme tordu paru dans le tome 11 de la série principale Hellboy. Le dessinateur Zach Howard succède à Richard Corben avec beaucoup de maitrise. Son style convient bien au récit avec beaucoup d'encrage et d'ombre. Le récit L'heure de sa mort fait suite également à une autre histoire d'Helloy & B.P.R.D. intitulée La Bête de Vargu. Tiernen Trevallion se charge avec brio de la partie graphique. Il est amusant de lire des suites de récits courts pour donner encore plus de profondeur à l'univers d'Hellboy et Mignola maitrise très bien cette technique. Ce recueil de récits courts se termine sur des recherches graphiques des autres dessinateurs mais aussi des couvertures de Mignloa et explications des auteurs. Le retour d'Effie Kolb est un excellent moment de lecture avec qui rappelle les premiers tomes de la série. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/hellboy-et-bprd-tome-7-le-retour-d-effie-kolb/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Mike Mignloa s'entoure une fois de plus de dessinateurs réputés dans le monde des comics pour mettre en image cinq de ses histoire courtes. Les fidèles de la créature de l'enfer seront heureux de retrouver la suite de l'homme tordu paru dans le tome 11 de la série principale Hellboy. Le dessinateur Zach Howard succède à Richard Corben avec beaucoup de maitrise. Son style convient bien au récit avec beaucoup d'encrage et d'ombre. Le récit L'heure de sa mort fait suite également à une autre histoire d'Helloy & B.P.R.D. intitulée La Bête de Vargu. Tiernen Trevallion se charge avec brio de la partie graphique. Il est amusant de lire des suites de récits courts pour donner encore plus de profondeur à l'univers d'Hellboy et Mignola maitrise très bien cette technique. Ce recueil de récits courts se termine sur des recherches graphiques des autres dessinateurs mais aussi des couvertures de Mignloa et explications des auteurs. Le retour d'Effie Kolb est un excellent moment de lecture avec qui rappelle les premiers tomes de la série.
  17. Titre de l'album : Odah et Dako - Tome 1 - Les maîtres du flow Scenariste de l'album : Benj Dessinateur de l'album : Valeria Orlando Coloriste : Nicole Feliziani Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Odah et Dako vivent sur leur île suspendue, vaste continent peuplé de créatures en tout genre. Ils ne rêvent que de maîtriser leur flow, pouvoir capable de transformer les mots en éléments magiques, et gagner le grand tournoi qui se déroulera dans la capitale. Mais arrivés dans la grande cité, rien ne se passe pas comme prévu : trois sorcières maléfiques jettent un sort aux deux héros... Critique : Bon soyons francs, j'avais préparé la sulfateuse pour ma chronique quand j'ai reçu cette BD, inspirée par une chaîne Youtube. Faut reconnaitre que les dernières ne m'ont pas laissé une forte impression et quand on connait les difficultés des auteurs de bd à se faire publier, ça fait un peu ronchonner. Et puis, et puis, je me suis laissé emporter. C'est de l'aventure et de l'humour, l'univers est barré et agréable, les dialogues ne sont pas si mal. Je craignais le pire et j'ai finalement passé un moment sympa. Pas plus par contre, et il ne faut clairement pas comparer aux joutes verbales de De cape et de crocs. Le dessin quand à lui est honnête et sert bien le genre aventure/humour avec sa colorisation un peu flashy qui colle assez bien à l'ambiance. Je ne connais pas la chaîne youtube mais si moi j'ai pu passer un moment de lecture agréable, je pense que les fans y trouveront leur compte. Autres infos : BD tirée de la chaîne youtube Odah & Dako Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/odah-et-dako-tome-1-les-maitres-du-flow?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Bon soyons francs, j'avais préparé la sulfateuse pour ma chronique quand j'ai reçu cette BD, inspirée par une chaîne Youtube. Faut reconnaitre que les dernières ne m'ont pas laissé une forte impression et quand on connait les difficultés des auteurs de bd à se faire publier, ça fait un peu ronchonner. Et puis, et puis, je me suis laissé emporter. C'est de l'aventure et de l'humour, l'univers est barré et agréable, les dialogues ne sont pas si mal. Je craignais le pire et j'ai finalement passé un moment sympa. Pas plus par contre, et il ne faut clairement pas comparer aux joutes verbales de De cape et de crocs. Le dessin quand à lui est honnête et sert bien le genre aventure/humour avec sa colorisation un peu flashy qui colle assez bien à l'ambiance. Je ne connais pas la chaîne youtube mais si moi j'ai pu passer un moment de lecture agréable, je pense que les fans y trouveront leur compte.
  19. Bon, je comprend facilement la logique chez le Lombard derrière cette nouvelle série jeunesse : Les héricornes. Kid Toussaint ? Des licornes ? Des princesses qui vont devoir se battre et devenir des héroïnes ? De la magie ? Banco ! Sauf que comme toute bonne potion, mettre tous les ingrédients dans le chaudron ne garantit pas la magie du résultat. Ici ce tome 1 n'a pas su m'enchanter, et si je suis certain que cela plaira à nos jeunes filles, il m'a manqué des personnages et des dialogues un peu plus subtils je pense. Le format court et la relativement faible pagination n'aide pas bien sûr, même si je ne suis pas trop inquiet sur le fait qu'avec son savoir faire, Kid Toussaint saura nous en donner bien plus lors du second tome. Veronica Alvarez nous livre une partie graphique qui est agréable et fluide, loin des facilités que l'on trouve parfois dans les bd jeunesse. Ces héricornes sont une nouvelle série jeunesse qui ne manquera certainement pas son public cible, mais qui aura du mal à conquérir les autres. Si elle est de belle qualité et agréable à lire, elle n'atteint pour autant pas la maestria de certaines des dernières productions jeunesses, notamment chez le lombard, entre Elles et La forêt du temps par exemple.
  20. Titre de l'album : Les héricornes - Tome 1 - L'appel de la déesse Scenariste de l'album : Kid Toussaint Dessinateur de l'album : Véronica Alvarez Coloriste : Véronica Alvarez Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Tous les cent ans, l'héritière du royaume de Lémuria doit se rendre au temple de la Déesse pour lui demander sa protection, et formuler un voeu personnel. Le chemin sera long mais la princesse Céleste peut compter sur les armes de Lémuria et sur sa licorne. Ce qu'elle ignore encore, en revanche, c'est que son glorieux destin n'a rien d'unique. Elle le partagera avec quatre autres « Héricornes », les héritières aux licornes. Le nombre fera-t-il la force ou engendrera-t-il la division...? Critique : Bon, je comprend facilement la logique chez le Lombard derrière cette nouvelle série jeunesse : Les héricornes. Kid Toussaint ? Des licornes ? Des princesses qui vont devoir se battre et devenir des héroïnes ? De la magie ? Banco ! Sauf que comme toute bonne potion, mettre tous les ingrédients dans le chaudron ne garantit pas la magie du résultat. Ici ce tome 1 n'a pas su m'enchanter, et si je suis certain que cela plaira à nos jeunes filles, il m'a manqué des personnages et des dialogues un peu plus subtils je pense. Le format court et la relativement faible pagination n'aide pas bien sûr, même si je ne suis pas trop inquiet sur le fait qu'avec son savoir faire, Kid Toussaint saura nous en donner bien plus lors du second tome. Veronica Alvarez nous livre une partie graphique qui est agréable et fluide, loin des facilités que l'on trouve parfois dans les bd jeunesse. Ces héricornes sont une nouvelle série jeunesse qui ne manquera certainement pas son public cible, mais qui aura du mal à conquérir les autres. Si elle est de belle qualité et agréable à lire, elle n'atteint pour autant pas la maestria de certaines des dernières productions jeunesses, notamment chez le lombard, entre Elles et La forêt du temps par exemple. Autres infos : BD Jeunesse - Petit format Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-hericornes-tome-1-l-appel-de-la-deesse?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. The_PoP

    Abaddon - Tome 1 - Sinaï

    Bon, Christophe Bec au scénario d'une nouvelle série chez Soleil qui va nous parler de l'humanité face à un challenge extraterrestre/divin, c'est pas vraiment d'une rare fraicheur. Et ceux qui me connaissent savent que finalement je n'en suis pas vraiment friand, les séries trainant bien trop à mon goût et les univers graphiques étant rarement marquants. Du coup ma note de 4 est plutôt remarquable quand on part avec ces à priori là. Mais je peux tout vous expliquer. Petit 1 : le dessin de Robert Carey est très bon. Les personnages ont de l'allure, certains de leurs visages sont bien travaillés, on n'est pas dans la non personnification que je reproche souvent aux bd d'anticipation/science fiction. Les doubles pages ont des plans super sympas, il y a quand même du détail et la colorisation est réussie en nous rendant bien les différentes atmosphères où se déroule le récit. Secundo : C'est annoncé en 3 tomes. Et il faut dire qu'il se passe déjà beaucoup beaucoup de choses dans ce tome 1, sans pour autant que cela parte dans tous les sens. Le mystère n'est probablement pas aussi épais que sur ses séries habituelles. Bon point, on a l'impression donc que l'auteur sait où il va et qu'on y sera aussi très vite. Ce qui profite aussi au plaisir de lecture et à la fluidité du récit, ça avance, et c'est bien construit, c'est donc très agréable. Tertio : La narration sur deux périodes est bien dosée, on imagine assez vite ce qui a pu se passer entre les deux, nous laissant suffisamment de questions pour conserver notre intérêt, mais pas trop pour ne pas nous noyer. Bref, je vous conseille cet Abaddon qui m'a l'air bien partit pour mettre d'accord les fans du travail de M. Christophe Bec avec les amateurs de BD en tous genre.
  22. Titre de l'album : Abaddon - Tome 1 - Sinaï Scenariste de l'album : Christophe Bec Dessinateur de l'album : Robert Carey Coloriste : Vincent Powell Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : 2027. Partout dans le monde, des objets mythiques des 5 grandes religions sont découverts. Les pouvoirs de ces artefacts sèment la mort et la panique et les hautes instances religieuses semblent cacher un secret qui pourrait anéantir l'Humanité. Trois générations plus tard. Alors que la société s'est réorganisée, des migrants font route vers Si-Naï, où ils espèrent trouver un dernier refuge. Critique : Bon, Christophe Bec au scénario d'une nouvelle série chez Soleil qui va nous parler de l'humanité face à un challenge extraterrestre/divin, c'est pas vraiment d'une rare fraicheur. Et ceux qui me connaissent savent que finalement je n'en suis pas vraiment friand, les séries trainant bien trop à mon goût et les univers graphiques étant rarement marquants. Du coup ma note de 4 est plutôt remarquable quand on part avec ces à priori là. Mais je peux tout vous expliquer. Petit 1 : le dessin de Robert Carey est très bon. Les personnages ont de l'allure, certains de leurs visages sont bien travaillés, on n'est pas dans la non personnification que je reproche souvent aux bd d'anticipation/science fiction. Les doubles pages ont des plans super sympas, il y a quand même du détail et la colorisation est réussie en nous rendant bien les différentes atmosphères où se déroule le récit. Secundo : C'est annoncé en 3 tomes. Et il faut dire qu'il se passe déjà beaucoup beaucoup de choses dans ce tome 1, sans pour autant que cela parte dans tous les sens. Le mystère n'est probablement pas aussi épais que sur ses séries habituelles. Bon point, on a l'impression donc que l'auteur sait où il va et qu'on y sera aussi très vite. Ce qui profite aussi au plaisir de lecture et à la fluidité du récit, ça avance, et c'est bien construit, c'est donc très agréable. Tertio : La narration sur deux périodes est bien dosée, on imagine assez vite ce qui a pu se passer entre les deux, nous laissant suffisamment de questions pour conserver notre intérêt, mais pas trop pour ne pas nous noyer. Bref, je vous conseille cet Abaddon qui m'a l'air bien partit pour mettre d'accord les fans du travail de M. Christophe Bec avec les amateurs de BD en tous genre. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/abaddon-tome-1-si-nai?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. The_PoP

    Lozère apocalypse

    Pffff, rarement une bd m'aura donné autant de fil à retordre. Le Lombard nous avait prévenu, c'est un OVNI. Bon moi j'aime beaucoup la Lozère alors par principe j'attaque ma bd sereinement. 10 pages plus tard je la repose. Pas possible, ça part dans tous les sens, le dessin semble gentillet mais le ssituations sont plus wtf les unes que les autres, ça donne une impression de foutoir mais avec un humour qui me prend pas tellement. Un peu too much pour moi, je passe mon tour. Et puis je me dis que quand même c'est dommage, et puis que ça n'a beau ressembler à rien, cela ressemble pourtant diablement à Mutafukaz qui m'avait laissé aussi au début très très dubitatif. Seconde chance, deuxième essai donc, je m'accroche. Et petit à petit la mayonnaise prend, elle prend bien même puisque je la finis d'une traite. Alors attention tous les défauts du début ne sont pas gomés, il y a bien dans cet opus 4 nouvelles idées et inventions scénaristiques dingues par pages (ou presque), faut vraiment s'accrocher à son slip tout le long. L'auteur est complètement barré, mais étrangement le tout finit par être cohérent. Il se passe 10000 choses, tout n'est pas encore clair clair, mais en fait on se surprend à penser que le tome 2 répondra globalement à pas mal de choses. Mais qu'on se le dise, entre une violence très assumée, un propos dur, des dessins cartoonesques, et un scénario complètement dingue, faut pas ouvrir Apocalypse Lozère en pensant aller aux champignons et pêcher la truite à Villefort. C'est d'ailleurs mon principal bémol à cet opus, que ça se passe en Lozère ou dans un autre coin de campagne du monde ne change pas grand chose à l'histoire et aux dessins. Le tout forme un Mutafukaz à la française, peut être un poil moins prenant et marrant, mais tout aussi inventif et finalement crédible. Bravo, ça semblait pas gagné, et il faudra s'accrocher pour les téméraires qui franchiront le pas. Je ne note pas, parce que clairement Lozère Apocalypse ne peut pas faire l'objet d'une note.
  24. Titre de l'album : Lozère apocalypse Scenariste de l'album : Stan Silas Dessinateur de l'album : Stan Silas Coloriste : Stan Silas Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Les « alevins » sont surexcités : pour leur douze ans, l'institution qui les a placés en famille d'accueil leur paye un vol vers de super vacances ! Malheureusement, leur avion s'écrase au-dessus de la Lozère et les secours n'arrivent pas. Lorsqu'un groupe d'adolescents mutés en poulets attaque violemment les survivants, ces derniers n'ont d'autre choix que de suivre un renard bipède et loquace. Et ils ne sont vraiment - mais alors vraiment - pas au bout de leurs surprises ! Critique : Pffff, rarement une bd m'aura donné autant de fil à retordre. Le Lombard nous avait prévenu, c'est un OVNI. Bon moi j'aime beaucoup la Lozère alors par principe j'attaque ma bd sereinement. 10 pages plus tard je la repose. Pas possible, ça part dans tous les sens, le dessin semble gentillet mais le ssituations sont plus wtf les unes que les autres, ça donne une impression de foutoir mais avec un humour qui me prend pas tellement. Un peu too much pour moi, je passe mon tour. Et puis je me dis que quand même c'est dommage, et puis que ça n'a beau ressembler à rien, cela ressemble pourtant diablement à Mutafukaz qui m'avait laissé aussi au début très très dubitatif. Seconde chance, deuxième essai donc, je m'accroche. Et petit à petit la mayonnaise prend, elle prend bien même puisque je la finis d'une traite. Alors attention tous les défauts du début ne sont pas gomés, il y a bien dans cet opus 4 nouvelles idées et inventions scénaristiques dingues par pages (ou presque), faut vraiment s'accrocher à son slip tout le long. L'auteur est complètement barré, mais étrangement le tout finit par être cohérent. Il se passe 10000 choses, tout n'est pas encore clair clair, mais en fait on se surprend à penser que le tome 2 répondra globalement à pas mal de choses. Mais qu'on se le dise, entre une violence très assumée, un propos dur, des dessins cartoonesques, et un scénario complètement dingue, faut pas ouvrir Apocalypse Lozère en pensant aller aux champignons et pêcher la truite à Villefort. C'est d'ailleurs mon principal bémol à cet opus, que ça se passe en Lozère ou dans un autre coin de campagne du monde ne change pas grand chose à l'histoire et aux dessins. Le tout forme un Mutafukaz à la française, peut être un poil moins prenant et marrant, mais tout aussi inventif et finalement crédible. Bravo, ça semblait pas gagné, et il faudra s'accrocher pour les téméraires qui franchiront le pas. Je ne note pas, parce que clairement Lozère Apocalypse ne peut pas faire l'objet d'une note. Autres infos : Histoire complète prévue en deux tomes Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/lozere-apocalypse-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Titre de l'album : Seven toi Eternity t4 (fin) : les sources de Zhal Scenariste de l'album : Rick Remender Dessinateur de l'album : Jerome Opeña Coloriste : Jerome Opeña Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Véritable salut ou énième manipulation, les sources légendaires de Zhal promises par le Roi Fange à Adam Osidis ont soudainement rebattu les cartes d'un jeu qui semblait pourtant gagné pour le peuple Mosak et le royaume de Zhal. Aussi, Adam fait désormais cavalier seul au côté du Maître des Murmures, chargé du lourd fardeau d'avoir préféré la vie de son pire ennemi à celles de nombreux innocents. L'honneur de la famille Osidis est mis à rude épreuve et l'heure d'affronter son destin est venu pour chacun. Critique : Alors oui j'ai mis un cœur à ce tome 4 alors même qu'il n'a que 4.5/5. Mais ce cœur récompense la série elle-même et surtout l'ambition et l'imagination de Rick Remender. Car si ce tome 4 est bon (graphiquement époustouflant comme les autres) avec une conclusion à notre histoire un poil trop rapide à mon gout (et encore) et un Adam Osidis plus torturé que jamais, c'est plutôt l'ensemble de la série qui mérite un coup de cœur. En effet, je ne pense pas avoir vu de création d'univers aussi complet et vaste depuis... aller lâchons les grands mots... Star wars. Oui j'exagère forcément, mais on retrouve un peu l'effet découverte de l'univers de Georges Lucas dans ce Seven to Eternity. Rick Remender nous un monde qui ne ressemble à rien de ce que nous connaissons. Mais rien. Que se soit le bestiaire, l'univers, les Moska, les Rumeurs, le marais... tout est nouveau et tout est bien pensé. La tenue du journal par Adam lui-même apporte beaucoup de détails sur la psychologie de notre héros, mais aussi sur l'univers et le passé de la famille. Les flash backs nous explique petit à petit ce qu'il s'est passé dans ce monde et les discussions avec le maitre des Murmures nous permettent de mieux comprendre la psychologie des personnages… à condition que ceux-ci disent la vérité. Et c'est ce qui est aussi excellent dans Seven to Eternity (titre qui prend un double sens dans ce tome 4 de façon magistral) : on ne sait jamais (surtout au vu de la fin du tome 4) si ce que dit le maitre des Murmures est vraie ou juste pile ce que veut entendre la personne avec qui il parle. Ce doute permanent oblige le lecteur à rester éveillé et surtout à réfléchir par lui-même sur les motivations d'Adam. Et c'est le dernier point à mettre en avant : Adam Osidis est un héros des plus intéressants. Dès le début, on le sent plus à l'écoute du compromis que son père alors même que l'on sait que le compromis est l'arme du maitre des Murmures. Mais Adam ne tombe pas non plus dans le héros. Il est pus un héros humains avec ses doutes, ses questions et son égoïsme qu'il cherche à refouler. Égoïsme qu'il peut cacher derrière l'adage qui dit qu'un Osidis à la trahison dans le sang. En bref une série dont le seul défaut aura été les 2 chapitre ou le dessinateur a changé (sans savoir pourquoi car c'est 2 chapitres sur 24...) et qui sera passé sous le radar de beaucoup. Peut-être trop ambitieux à une époque où on a plus l'habitude de toujours lire les mêmes séries ou rester sur des thèmes que l'on connait. Je ne sais pas si Urban prévoit une intégrale de seven to eternity mais si cela arrive je vous encourage à vous plonger dans le monde de Zhal. Vous en sortirez changé. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/seven-to-eternity-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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