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  1. Titre de l'album : Nains , tome 25 - Volgrir du bouclier Scenariste de l'album : Nicolas Jarry Dessinateur de l'album : Nicolas Demare Coloriste : Olivier Héban Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Avant de devenir un cognar redouté, Volgrir était un enfant enjoué et rêveur, qui grandit dans une forteresse à la frontière des royaumes nécromants, fief des mages Noirs. Jusqu'au jour où une brume surnaturelle engloutit la région. Débute alors une longue nuit de massacres au terme de laquelle une poignée d'enfants dont Volgrir survivent. Il leur faut fuir l'horreur et rejoindre la résistance. Critique : Quel plaisir de retrouver le trait de Nicolas Demare , ses tomes de la série Nains sont tous excellents ! Son dessin colle parfaitement à l'univers , avec les rondeurs si fidèles à ce peuple et des paysages environnants réalistes et d'une rare beauté . On entendrait presque les bourrasques de vent s'engouffrant entre les montagnes ! Le récit comportant de nombreuses alternances jour/nuit , avec un brouillard envahissant , il est à noter l'excellent travail du coloriste avec des passages nocturnes aux reflets bleutés assez saisissants . C'est un réel atout de cette grande saga initiée par Istin que de s'entourer d'artistes avec un tel talent . Les tomes , tous peuples confondus , avec dessin/couleurs passables , doivent se compter sur les doigts de la main , ou de la pogne comme disent les nains 🙂. L'histoire nous amène dans un passé lointain ( les nains peuvent vivre plus de 400 ans) . Certains noms de nains seront familiers pour les puristes des terres d'Arran . Une forteresse naine , dernier refuge avant des terres nécromanciennes , se retrouve prise dans une brume sortie de l'imagination de Stephen King . On va y suivre plusieurs jeunes nains au prise avec ce brouillard venant s'affaler sur les remparts de la ville . Qui en est l'initiateur , qui tue tous ces fiers guerriers aussi facilement ? Au milieu de ce déferlement d'horreurs , notre jeune troupe va tenter de survivre et se frayer un passage vers des refuges mais aussi vers une maturité forcée . Des rebondissements , des aides inattendues et du chagrin vont jalonner le parcours de ces fiers nains au courage inébranlable . Un excellent tome de cette série , qui n'entre pas dans cette nouvelle chronologie avec ce grand conflit en devenir sur les terres d'Arran , mais qui amène un plus sur des personnages déjà rencontrés , et qui est doté d'une histoire prenante à l'intensité folle . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/nains-tome-25-volgrir-du-bouclier/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Quel plaisir de retrouver le trait de Nicolas Demare , ses tomes de la série Nains sont tous excellents ! Son dessin colle parfaitement à l'univers , avec les rondeurs si fidèles à ce peuple et des paysages environnants réalistes et d'une rare beauté . On entendrait presque les bourrasques de vent s'engouffrant entre les montagnes ! Le récit comportant de nombreuses alternances jour/nuit , avec un brouillard envahissant , il est à noter l'excellent travail du coloriste avec des passages nocturnes aux reflets bleutés assez saisissants . C'est un réel atout de cette grande saga initiée par Istin que de s'entourer d'artistes avec un tel talent . Les tomes , tous peuples confondus , avec dessin/couleurs passables , doivent se compter sur les doigts de la main , ou de la pogne comme disent les nains 🙂. L'histoire nous amène dans un passé lointain ( les nains peuvent vivre plus de 400 ans) . Certains noms de nains seront familiers pour les puristes des terres d'Arran . Une forteresse naine , dernier refuge avant des terres nécromanciennes , se retrouve prise dans une brume sortie de l'imagination de Stephen King . On va y suivre plusieurs jeunes nains au prise avec ce brouillard venant s'affaler sur les remparts de la ville . Qui en est l'initiateur , qui tue tous ces fiers guerriers aussi facilement ? Au milieu de ce déferlement d'horreurs , notre jeune troupe va tenter de survivre et se frayer un passage vers des refuges mais aussi vers une maturité forcée . Des rebondissements , des aides inattendues et du chagrin vont jalonner le parcours de ces fiers nains au courage inébranlable . Un excellent tome de cette série , qui n'entre pas dans cette nouvelle chronologie avec ce grand conflit en devenir sur les terres d'Arran , mais qui amène un plus sur des personnages déjà rencontrés , et qui est doté d'une histoire prenante à l'intensité folle .
  3. Titre de l'album : Elfes , tome 34 La voie des Zull Kassaï Scenariste de l'album : Jean-Luc Istin Dessinateur de l'album : Giovanni Lorusso Coloriste : J. Nanjan Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Nos héros reprennent leur quête mais des questions demeurent. Quel sera le destin de Turuk ? Irinild gardera-t-elle son secret ? Quel nouveau territoire et créatures vont-ils découvrir sur leur chemin ? Trouveront-ils les Zul Kassaï, les dieux à la peau rouge ? De cette question dépend l'avenir de leur mission et l'espoir pour Lea'saa de faire renaître un jour la civilisation des elfes Rouges. Critique : Suite directe du tome 29 et des aventures de Lea'saa et sa troupe cosmopolite , ce nouvel opus de la série Elfes n'est pas sans rebondissements ! Enfin , nous avançons vers ce qui semble être un gigantesque crossover avec plusieurs forces en présence et donc des "têtes connues" par les aficionados de ce riche univers . Nous suivons donc Lea'saa dans sa quête initiatique à travers ces terres inconnues , et le voyage est véritablement semé d'embûches et de rencontres , fortuites ou pas 🙂 . Elle va finir par trouver les elfes rouges , déjà aperçus dans "Terres d'Ogon" , et découvrir une nouvelle menace , encore plus terrifiante que Lah'ssa la nécromancienne . En effet , les hommes ont bel et bien débuté leur plan d'extermination de masse du peuple elfe , mais ce n'est pas tout !! Nulle surprise pour les lecteurs assidus que cette révélation , mais , rassurez-vous, Istin en réserve d'autres . il semble bien qu'après de nombreux tomes "transitoires" , l'intensité va monter de plusieurs crans . De noirs desseins en perspective ! Occupé avec ce nouveau cycle" Terres d'Ogon" , Duarte a passé la main à Lorusso sans que la qualité ne baisse , bien au contraire . Son dessin est fidèle à la série mère ainsi qu'au trait fin et élégant de Duarte . Comme toujours avec cette saga , les couleurs chatoyantes sont au rendez-vous , Istin a décidément une sacrée équipe autour de lui ! Il est préférable d'avoir lu le tome 1 des Terres d'Ogon pour se repérer plus facilement dans ces contrées , ainsi que des populations les occupant . Ce n'est pas une nécessité absolue , mais elle permet une meilleure continuité du récit . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/elfes-tome-34-la-voie-des-zul-kassai/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Suite directe du tome 29 et des aventures de Lea'saa et sa troupe cosmopolite , ce nouvel opus de la série Elfes n'est pas sans rebondissements ! Enfin , nous avançons vers ce qui semble être un gigantesque crossover avec plusieurs forces en présence et donc des "têtes connues" par les aficionados de ce riche univers . Nous suivons donc Lea'saa dans sa quête initiatique à travers ces terres inconnues , et le voyage est véritablement semé d'embûches et de rencontres , fortuites ou pas 🙂 . Elle va finir par trouver les elfes rouges , déjà aperçus dans "Terres d'Ogon" , et découvrir une nouvelle menace , encore plus terrifiante que Lah'ssa la nécromancienne . En effet , les hommes ont bel et bien débuté leur plan d'extermination de masse du peuple elfe , mais ce n'est pas tout !! Nulle surprise pour les lecteurs assidus que cette révélation , mais , rassurez-vous, Istin en réserve d'autres . il semble bien qu'après de nombreux tomes "transitoires" , l'intensité va monter de plusieurs crans . De noirs desseins en perspective ! Occupé avec ce nouveau cycle" Terres d'Ogon" , Duarte a passé la main à Lorusso sans que la qualité ne baisse , bien au contraire . Son dessin est fidèle à la série mère ainsi qu'au trait fin et élégant de Duarte . Comme toujours avec cette saga , les couleurs chatoyantes sont au rendez-vous , Istin a décidément une sacrée équipe autour de lui ! Il est préférable d'avoir lu le tome 1 des Terres d'Ogon pour se repérer plus facilement dans ces contrées , ainsi que des populations les occupant . Ce n'est pas une nécessité absolue , mais elle permet une meilleure continuité du récit .
  5. De retour dans la période Zénith avec ce 51è album. L'histoire est centrée principalement sur Herbert et Isis et leur enfant à venir et en devenir mais comme toujours, en arrière plan du fil principal de l'histoire, on apprend également plein de choses très intéressantes avec de nombreux rappels. Ce qui sert aussi de corde nostalgique pour les lecteurs de la 1ère heure. L'histoire fait aussi appel au dernier Donjon Monster T16 - Quelque part ailleurs pour expliquer quelques points. Une méthode maintenant classique dans la série et qui en fait une série à indice où on cherche les références d'un album à l'autre. On tire aussi petit à petit vers le côté crépuscule au fil des derniers albums de Zénith... Mais ça semble logique, on est loin de l'esprit très léger des 1ers albums. Côté planches, j'ai beaucoup aimé le style de dessin de Boulet qui réalise de très belles planches, rien que la 1ère est vraiment superbe. C'est chargé en noir avec son trait si particulier. Et ça s’accommode très bien avec la mise en couleur de Walter. Côté scénario, ça sonne de manière très particulière vu les évènements relatés dans l'album. On alterne les hautes et les bas avec de véritables surprises tout en passant sur les aspects traditions et les relations familialles de l'heureux évènement à venir pour les jeunes parents. Donc encore un très bon album du Donjon.
  6. Titre de l'album : Donjon Zénith T9 - Larmes et brouillard Scenariste de l'album : Joann Sfar / Lewis Trondheim Dessinateur de l'album : Boulet Coloriste : Walter Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Le fils d'Herbert et Isis est né. Si les jeunes parents se réjouissent de cette nouvelle arrivée, des tensions ne tardent pas à se faire sentir. Alors qu'Isis veut soumettre son bébé au rite de passage traditionnel kochaque, Herbert, jugeant ce dernier bien trop dangereux, tente de l'en dissuader. Incapable de la convaincre, il décide finalement de kidnapper le nourrisson. Critique : De retour dans la période Zénith avec ce 51è album. L'histoire est centrée principalement sur Herbert et Isis et leur enfant à venir et en devenir mais comme toujours, en arrière plan du fil principal de l'histoire, on apprend également plein de choses très intéressantes avec de nombreux rappels. Ce qui sert aussi de corde nostalgique pour les lecteurs de la 1ère heure. L'histoire fait aussi appel au dernier Donjon Monster T16 - Quelque part ailleurs pour expliquer quelques points. Une méthode maintenant classique dans la série et qui en fait une série à indice où on cherche les références d'un album à l'autre. On tire aussi petit à petit vers le côté crépuscule au fil des derniers albums de Zénith... Mais ça semble logique, on est loin de l'esprit très léger des 1ers albums. Côté planches, j'ai beaucoup aimé le style de dessin de Boulet qui réalise de très belles planches, rien que la 1ère est vraiment superbe. C'est chargé en noir avec son trait si particulier. Et ça s’accommode très bien avec la mise en couleur de Walter. Côté scénario, ça sonne de manière très particulière vu les évènements relatés dans l'album. On alterne les hautes et les bas avec de véritables surprises tout en passant sur les aspects traditions et les relations familialles de l'heureux évènement à venir pour les jeunes parents. Donc encore un très bon album du Donjon. Autres infos : Le tome 10 est annoncé pour Avril 2023 Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/donjon-zenith-tome-9-steppes-et-brouillard?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Après les terres d'arran, Soleil nous propose, dans la lignée des derniers épisodes, une série de one shot dans l'univers des nouvelles terres d'Ogon. Une initiative d'autant plus bienvenue que cette fois-ci le monde fantasy imaginé va aller puiser du côté de l'imaginaire de l'Afrique pour nous proposer un monde riche et original. Petit bémol toutefois, quelle maladresse je trouve que de venir parler en promo de "Première bd de Fantasy africaine au monde". Cette BD a heureusement d'autres arguments plus sérieux qui en font une autre grande BD de fantasy parmi d'autre, qui va puiser les sources de son imaginaire dans d'autres contes, légendes, religions et croyances locales tout en mêlant habilement les genres. L'histoire est réussie et prenante, et les enjeux à venir semblent clairs. Si ce premier tome reste assez sage dans son intrigue, et si le monde proposé, une fois digéré les influences, se révèle pour le moment moins riche que ce qu'il aurait pu, le tout forme pourtant une première pierre cohérente et intrigante pour développer à partir d'elle de nouvelles histoires. Côté dessin, rien de neuf sous Soleil, ils poursuivent la recette de leurs succès avec des trios d'auteurs chevronnés et habitués à travailler ensemble, ici Duarte/Istin/Nanjan Mauvaise nouvelle donc pour les amateurs des terres d'Arran, une nouvelle série va venir augmenter le nombre de tomes pléthoriques à suivre dans cet univers de dingue.
  8. Titre de l'album : Terres d'Ogon - Tome 1 - Zul Kassaï Scenariste de l'album : Jean-Luc Istin Dessinateur de l'album : K. Duarte Coloriste : J. Nanjan Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Au nord d'Ogon on dit que le peuple Kulu est sous la protection des Zul Kassaï, dieux immortels à la peau rouge, Lorsqu'un Tog sanguinaire assassine la famille du jeune Ubu, ce dernier se présente à ses dieux réclamant justice. La décision est prise : les Zul Kassaï ne feront pas la guerre aux Tog. Roass'aa n'est pas de cet avis et décide de braver l'interdit et d'accompagner Ubu en pays tog. Critique : Après les terres d'arran, Soleil nous propose, dans la lignée des derniers épisodes, une série de one shot dans l'univers des nouvelles terres d'Ogon. Une initiative d'autant plus bienvenue que cette fois-ci le monde fantasy imaginé va aller puiser du côté de l'imaginaire de l'Afrique pour nous proposer un monde riche et original. Petit bémol toutefois, quelle maladresse je trouve que de venir parler en promo de "Première bd de Fantasy africaine au monde". Cette BD a heureusement d'autres arguments plus sérieux qui en font une autre grande BD de fantasy parmi d'autre, qui va puiser les sources de son imaginaire dans d'autres contes, légendes, religions et croyances locales tout en mêlant habilement les genres. L'histoire est réussie et prenante, et les enjeux à venir semblent clairs. Si ce premier tome reste assez sage dans son intrigue, et si le monde proposé, une fois digéré les influences, se révèle pour le moment moins riche que ce qu'il aurait pu, le tout forme pourtant une première pierre cohérente et intrigante pour développer à partir d'elle de nouvelles histoires. Côté dessin, rien de neuf sous Soleil, ils poursuivent la recette de leurs succès avec des trios d'auteurs chevronnés et habitués à travailler ensemble, ici Duarte/Istin/Nanjan Mauvaise nouvelle donc pour les amateurs des terres d'Arran, une nouvelle série va venir augmenter le nombre de tomes pléthoriques à suivre dans cet univers de dingue. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/terres-d-ogon-tome-1-zul-kassai?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. The_PoP

    Thorgal - Tome 40 - Tupilaks

    Je l'avais annoncé au tome 39, les auteurs avaient là une occasion assez unique de clôturer très proprement les aventures de Thorgal, et pour moi le contrat est rempli. Beaucoup beaucoup de réponses sont apportées dans ce tome, et je pense sincèrement que même les plus irréductibles des fans de Thorgal y trouveront globalement leur compte. C'est propre, c'est bien, et ils ne saccagent rien de l'héritage laissé par 39 tomes de cette immense saga. La part science fiction est bien traitée, et la part laissée au fantastique reste bien présente. Côté dessin, Fred Vignaux s'en sort une nouvelle fois très bien, ses traits étant en plus bien mis en couleurs par Gaetan Georges afin de mieux nous retranscrire les ambiances. Le Lombard décidera-t-il une pose dans les aventures de Thorgal ? Je ne sais le dire tant tout est possible à la fin de cet album. Ce qui est sur c'est que Le Lombard va prolonger ses aventures sous un autre angle au travers de leur nouvelle série Thorgal Saga et ses auteurs invités à donner leur vision de la saga thorgal en un one shot... Dans tous les cas, les amateurs de la série auraient bien tord de passer à côté de ce tome 40. A noter pour les amateurs, et je sais qu'il y en a que le jeux de société Thorgal le pays de Qâ en coopératif pour 1 à 4 joueurs arrive dans le même temps... Hâte d'affronter Ogotaï !
  10. Titre de l'album : Thorgal - Tome 40 - Tupilaks Scenariste de l'album : Yann Dessinateur de l'album : Fred Vignaux Coloriste : Gaétan Geroges Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : De retour dans le vaisseau de ses origines, Thorgal doit affronter Néokora, une intelligence artificielle déterminée à restaurer le règne atlante... Critique : Je l'avais annoncé au tome 39, les auteurs avaient là une occasion assez unique de clôturer très proprement les aventures de Thorgal, et pour moi le contrat est rempli. Beaucoup beaucoup de réponses sont apportées dans ce tome, et je pense sincèrement que même les plus irréductibles des fans de Thorgal y trouveront globalement leur compte. C'est propre, c'est bien, et ils ne saccagent rien de l'héritage laissé par 39 tomes de cette immense saga. La part science fiction est bien traitée, et la part laissée au fantastique reste bien présente. Côté dessin, Fred Vignaux s'en sort une nouvelle fois très bien, ses traits étant en plus bien mis en couleurs par Gaetan Georges afin de mieux nous retranscrire les ambiances. Le Lombard décidera-t-il une pose dans les aventures de Thorgal ? Je ne sais le dire tant tout est possible à la fin de cet album. Ce qui est sur c'est que Le Lombard va prolonger ses aventures sous un autre angle au travers de leur nouvelle série Thorgal Saga et ses auteurs invités à donner leur vision de la saga thorgal en un one shot... Dans tous les cas, les amateurs de la série auraient bien tord de passer à côté de ce tome 40. A noter pour les amateurs, et je sais qu'il y en a que le jeux de société Thorgal le pays de Qâ en coopératif pour 1 à 4 joueurs arrive dans le même temps... Hâte d'affronter Ogotaï ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/thorgal-tome-40-tupilaks?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Chronique réalisée à partir du pdf de lecture et non de la bd papier, des différences peuvent apparaître entre ma chronique et l'original, je vous invite à vérifier par vous même avec votre exemplaire en librairie. La cathédrale des abymés est une série initialement prévue en 4 tomes et, levons vite le doute, ce ne sera pas le cas. Les suiveurs de la série pouvaient facilement s'en douter, tant les multiples personnages de notre histoire ont peiné à se rapprocher. C'est chose faite dans ce début de tome 4 qui va à toute vitesse sur les débuts de la réalisation du Grand Oeuvre dont on devine les contours depuis les premiers tomes. Les forces en jeu sont clairement définies et ce tome de mise en place nous prépare un grand final qui promet d'être haletant. Il est à noter que pour un tome de Fantasy, celui-ci comporte bien peu de batailles, vite soldées. On se concentre sur le déroulement de l'intrigue et c'est plutôt bien fait. Pour ma part j'aurais toutefois souhaité que le rythme de la narration et de l'action soit un peu mieux réparti entre les 4 premiers tomes. Mais je pinaille. Côté graphique, Sébastien Grenier nous montre encore toute l'étendue de son affection et de son art pour la Fantasy, pas de doutes, les codes du genre sont bien respectés.
  12. Titre de l'album : La cathédrale des abymes - Tome 4 - Les splendeurs de soo Scenariste de l'album : Jean-Luc Istin Dessinateur de l'album : Sébastien Grenier Coloriste : Sébastien Grenier Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Pier de La vita se réveille seul en territoire Assany et ne doit sa survie qu'à la séduisante Dame Onaki qui l'introduit auprès du daimyo Akashi. Pier est alors mis en présence du seigneur Toscann Don Costelnau, de la templière Sinead et du druidd Brahnann. Désormais sous la tutelle d'Akashi, leur grand projet pourrait débuter. Mais dans l'ombre, l'empereur et son mage planifient déjà leur mort... Critique : Chronique réalisée à partir du pdf de lecture et non de la bd papier, des différences peuvent apparaître entre ma chronique et l'original, je vous invite à vérifier par vous même avec votre exemplaire en librairie. La cathédrale des abymés est une série initialement prévue en 4 tomes et, levons vite le doute, ce ne sera pas le cas. Les suiveurs de la série pouvaient facilement s'en douter, tant les multiples personnages de notre histoire ont peiné à se rapprocher. C'est chose faite dans ce début de tome 4 qui va à toute vitesse sur les débuts de la réalisation du Grand Oeuvre dont on devine les contours depuis les premiers tomes. Les forces en jeu sont clairement définies et ce tome de mise en place nous prépare un grand final qui promet d'être haletant. Il est à noter que pour un tome de Fantasy, celui-ci comporte bien peu de batailles, vite soldées. On se concentre sur le déroulement de l'intrigue et c'est plutôt bien fait. Pour ma part j'aurais toutefois souhaité que le rythme de la narration et de l'action soit un peu mieux réparti entre les 4 premiers tomes. Mais je pinaille. Côté graphique, Sébastien Grenier nous montre encore toute l'étendue de son affection et de son art pour la Fantasy, pas de doutes, les codes du genre sont bien respectés. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-cathedrale-des-abymes-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Titre de l'album : Seeds of Wars - Tome 1 - Les dieux célestes Scenariste de l'album : Blaede Dessinateur de l'album : Bojan Vukic Coloriste : Digikore Studio Editeur de l'album : Kalopsia Note : Résumé de l'album : Seeds of Wars, nouvelle série de BD Fantasy teintée de science-fiction, débarque avec un premier tome ambitieux. S'appuyant sur le succès du jeu de rôle du même nom, son créateur, Blaede, s'associe au talentueux dessinateur Bojan Vukic (Elfes, Orcs & Gobelins, Les Maîtres Inquisiteurs, chez Soleil) et réalise son rêve de fan de bande dessinée en passant pour la première fois de l'autre côté du miroir. Le récit suit deux aventuriers, Bron et Mira, de redoutables jumeaux d'une espèce inconnue dotés de capacités extraordinaires. Ils naviguent dans les intrigues politiques d'un continent composé d'une myriade de royaumes et de cultures. Orphelins dès leur plus jeune âge, cet étrange duo a fait carrière au service du puissant royaume d'Astaeria. Désormais, ils sont chargés de protéger la jeune Philel, la princesse la plus facétieuse de Cérès, mais rien ne se passera comme prévu. Les Dieux Célestes, une épopée haletante basée sur le jeu de rôle stratégique Seeds of Wars. Critique : Et voici une jolie productions signée d'un jeune éditeur indépendant Kalopsia spécialisé en jeux de rôles et bandes dessinées dérivées. Les rôlistes connaitront déjà peut être l'univers de Seeds of Wars, mais pour ma part je découvrais, il faut dire qu'en fan de bd et de fantasy j'étais alléché puisque ce n'est personne d'autre que M. Vukic au dessin que l'on a connu plus souvent sur l'univers des Terres d'Aran avec les séries Elfes, Mages, Nains, Orcs voir maitres inquisiteurs. Autant dire que son CV le place parmi les auteurs de Fantasy confirmés que l'on ne s'attend pas forcément à croiser sur une sortie d'un éditeur indépendant. Mais venons en au fait, ce Seeds of Wars est pas mal du tout, et s'il manque peut être un petit supplément d'âme à ses personnages principaux sur ce tome 1, l'univers est riche, bien pensé, et nous réserve forcément de belles surprises, évidemment le background jeu de rôle y joue beaucoup je trouve. L'action de ce tome 1 ne tarde pas à démarrer, et les enjeux deviennent très rapidement élevés et matures. J'ai par contre été un poil déçu par le travail de Bojan Vukic, qui s'il est de très très bon calibre pour une production indépendante, reste pour moi légèrement en dessous de ce qu'il a pu produire par ailleurs mais je vous avoue que là je fais un peu le difficile, c'est de la belle fantasy et certaines plus grosses productions n'atteignent pas ce niveau de qualité. On a hâte d'en lire la suite. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/seeds-of-wars-tome-1-les-dieux-celestes?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Et voici une jolie productions signée d'un jeune éditeur indépendant Kalopsia spécialisé en jeux de rôles et bandes dessinées dérivées. Les rôlistes connaitront déjà peut être l'univers de Seeds of Wars, mais pour ma part je découvrais, il faut dire qu'en fan de bd et de fantasy j'étais alléché puisque ce n'est personne d'autre que M. Vukic au dessin que l'on a connu plus souvent sur l'univers des Terres d'Aran avec les séries Elfes, Mages, Nains, Orcs voir maitres inquisiteurs. Autant dire que son CV le place parmi les auteurs de Fantasy confirmés que l'on ne s'attend pas forcément à croiser sur une sortie d'un éditeur indépendant. Mais venons en au fait, ce Seeds of Wars est pas mal du tout, et s'il manque peut être un petit supplément d'âme à ses personnages principaux sur ce tome 1, l'univers est riche, bien pensé, et nous réserve forcément de belles surprises, évidemment le background jeu de rôle y joue beaucoup je trouve. L'action de ce tome 1 ne tarde pas à démarrer, et les enjeux deviennent très rapidement élevés et matures. J'ai par contre été un poil déçu par le travail de Bojan Vukic, qui s'il est de très très bon calibre pour une production indépendante, reste pour moi légèrement en dessous de ce qu'il a pu produire par ailleurs mais je vous avoue que là je fais un peu le difficile, c'est de la belle fantasy et certaines plus grosses productions n'atteignent pas ce niveau de qualité. On a hâte d'en lire la suite.
  15. Il faut reconnaître que si les débuts d'Ekhö m'avaient peu marqués, quand j'ai redécouvert cette série il y a deux ans j'ai été agréablement surpris, depuis c'est une des séries d'Arleston que je lis avec plaisir. Le format one shot permet pas mal de fantaisies au scénariste mais l'ensemble forme un tout qui reste cohérent pour le lecteur occasionnel tel que moi. Le monde d'Ekhö est assez frais, et l'héroïne est assez remarquable dans ses qualités de femme libre. Le principe de la série permet à Arleston de critiquer selon son bon vouloir notre monde actuel à travers une de ses facettes au choix. Les dessins de Alessandro Barbucci sont tout en rondeurs et très jolis. Ce tome 11 reste dans la lignée des précédents, ni bien meilleurs ni moins bon, il ravira donc les fans de la série, dont je commence gentiment à faire partie. Ekhö est définitivement de la bd plaisir, qui si elle ne vous marquera pas l'esprit très longtemps vous assurera un bon moment de lecture, quelques rires, et un joli dépaysement débarrassé d'enjeux trop forts.
  16. Titre de l'album : Ekhö Monde miroir - Tome 11 - Hot tabaaasco Scenariste de l'album : Christophe Arleston Dessinateur de l'album : Alessandro Barbucci Coloriste : Nolwen Lebreton Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : De nombreux cas d'amnésie apparaissent dans la population d'EKHO. A New York, Juan, chercheur mexicain pour un laboratoire US, s'est approprié le corps de Fourmille. Il a découvert que ses employeurs ont diffusé un prion qui rend amnésique, afin de mieux vendre un antidote de leur invention... Pour libérer Fourmille de cet hôte, nos amis se rendent à Mexico à la recherche du passé du défunt Juan... Critique : Il faut reconnaître que si les débuts d'Ekhö m'avaient peu marqués, quand j'ai redécouvert cette série il y a deux ans j'ai été agréablement surpris, depuis c'est une des séries d'Arleston que je lis avec plaisir. Le format one shot permet pas mal de fantaisies au scénariste mais l'ensemble forme un tout qui reste cohérent pour le lecteur occasionnel tel que moi. Le monde d'Ekhö est assez frais, et l'héroïne est assez remarquable dans ses qualités de femme libre. Le principe de la série permet à Arleston de critiquer selon son bon vouloir notre monde actuel à travers une de ses facettes au choix. Les dessins de Alessandro Barbucci sont tout en rondeurs et très jolis. Ce tome 11 reste dans la lignée des précédents, ni bien meilleurs ni moins bon, il ravira donc les fans de la série, dont je commence gentiment à faire partie. Ekhö est définitivement de la bd plaisir, qui si elle ne vous marquera pas l'esprit très longtemps vous assurera un bon moment de lecture, quelques rires, et un joli dépaysement débarrassé d'enjeux trop forts. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ekho-monde-miroir-tome-11-hot-tabaaasco/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Ah je dois bien reconnaitre que ce tome 4 de gagner la guerre m'a fait saliver et qu'il fut l'un des premiers à être lu lors de mon dernier arrivage de belles bd. Pourquoi ? parce que cette série a de belles qualités. D'abord le roman dont elle est l'adaptation est diablement bon. Moins médiatisé que Game of Throne mais autrement plus cohérent. Ensuite parce que les personnages crèvent les pages tellement ils sont vivants et humains. Enfin parce que l'univers présenté est suffisamment fantasy pour autoriser les auteurs à laisser libre court à leur imagination. Et à ce jeu là, Frédéric Genêt est diablement efficace. Sobre et réaliste, son dessin se prête merveilleusement bien aux intrigues de Ciudalia. Mais ne parlons pas plus de la série elle même et attardons nous sur ce tome 4. Qu'on soit bien clairs, il s'agit d'une respiration dans la série, après 3 tomes de forte densité. Ici notre Benvenuto préféré va pouvoir souffler un peu, mais aussi se dévoiler tout en plaçant les pions pour un prochain tome qui s'annonce explosif. Pour le dessin ? C'est de Monsieur Genêt et si vous avez aimé les 3 premiers bon, vous n'avez pas de raison raisonnable de douter 🙂 Gagner la guerre reste l'une de mes références en série en cours médiévale fantasy sérieuse et ce n'est pas prêt de changer je le crains même si ce tome ne sera pas dans les plus mémorables parus à ce jour.
  18. Titre de l'album : Gagner la guerre - Tome 4 - La marche franche Scenariste de l'album : Frédéric Genêt Dessinateur de l'album : Frédéric Genêt Coloriste : Frédéric Genêt Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Il y a bien longtemps, il a été un enfant. Et l'élève du plus grand artiste de Ciudalia. Il présentait des dispositions évidentes pour la peinture mais Benvenuto Gesufal a fait d'autres choix. Il a fait du meurtre son Art et, aujourd'hui, il n'est plus qu'un détail de la grande toile des choses. Un détail que beaucoup souhaitent effacer car il sait trop de choses, a fait couler trop de sang. À présent traqué de toutes parts, dans le monde physique et mental, Benvenuto a-t-il encore une chance de s'en sortir… ? Critique : Ah je dois bien reconnaitre que ce tome 4 de gagner la guerre m'a fait saliver et qu'il fut l'un des premiers à être lu lors de mon dernier arrivage de belles bd. Pourquoi ? parce que cette série a de belles qualités. D'abord le roman dont elle est l'adaptation est diablement bon. Moins médiatisé que Game of Throne mais autrement plus cohérent. Ensuite parce que les personnages crèvent les pages tellement ils sont vivants et humains. Enfin parce que l'univers présenté est suffisamment fantasy pour autoriser les auteurs à laisser libre court à leur imagination. Et à ce jeu là, Frédéric Genêt est diablement efficace. Sobre et réaliste, son dessin se prête merveilleusement bien aux intrigues de Ciudalia. Mais ne parlons pas plus de la série elle même et attardons nous sur ce tome 4. Qu'on soit bien clairs, il s'agit d'une respiration dans la série, après 3 tomes de forte densité. Ici notre Benvenuto préféré va pouvoir souffler un peu, mais aussi se dévoiler tout en plaçant les pions pour un prochain tome qui s'annonce explosif. Pour le dessin ? C'est de Monsieur Genêt et si vous avez aimé les 3 premiers bon, vous n'avez pas de raison raisonnable de douter 🙂 Gagner la guerre reste l'une de mes références en série en cours médiévale fantasy sérieuse et ce n'est pas prêt de changer je le crains même si ce tome ne sera pas dans les plus mémorables parus à ce jour. Autres infos : D'après le roman de Jaworski Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/gagner-la-guerre-tome-4-la-marche-franche?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Titre de l'album : The Witcher - Tome 1 - Un grain de vérité Scenariste de l'album : Jacek Rembis & Travis Currit Dessinateur de l'album : Jonas Scharf Coloriste : José Villarrubia Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : Un best-seller international : David Gemmell Legend Award 2009 du Meilleur roman de Fantasy.L'adaptation comics officielle de la nouvelle «Un grain de vérité».Geralt de Riv est un homme inquiétant, un mutant devenu le parfait assassin grâce à la magie et à un long entraînement. En ces temps obscurs, ogres, goules et vampires pullulent, et les magiciens sont des manipulateurs experts. Contre ces menaces, il faut un tueur à gages à la hauteur, et Geralt est plus qu'un guerrier ou un mage. C'est un sorceleur...Dans ce premier tome, une rencontre macabre au détour d'une forêt mène Geralt à un château abandonné et à son curieux hôte: Nivellen, une créature à l'apparence monstrueuse mais aux manières des plus civilisées. Le temps d'un repas, Nivellen se livre sur son passé, sa famille, et sur le maléfice qui l'accable. Si le poids de ses fautes l'a condamné à cette apparence de bête - un châtiment cher aux contes de fée - pourrait-il aussi y avoir un grain de vérité dans ces légendes, un grain de vérité qui l'aiderait à conjurer le sort? Une réinterprétation magistrale du célèbre conte La Belle et la Bête, pour la première fois adaptée en comics par Jacek Rembis et Jonas Scharf (Avengers, Power Rangers, Bone Parish). Critique : Difficile d'échapper au phénomène The Witcher en ce moment, entre série TV et jeux vidéos à succès, l'oeuvre de Dark Fantasy d'Andrzej Sapkowski a connu ses dernières années un grand succès. Je l'avoue fort simplement j'ai découvert The Witcher par le troisième opus vidéoludique, fort réussi pour le coup. Ce qui m'a naturellement donné envie de lire les romans. Et j'avoue que là j'ai été un peu désappointé par la narration et l'écriture de l'oeuvre originelle. Assumons le, je trouvais le jeux vidéo bien mieux écris. Soit. La série, qui a repris le fil du roman a souffert également de cette trame narrative très spécifique à ce roman. C'est donc avec un brin d'appréhension que je me suis lancé dans ce comics, tiré directement d'une des nouvelles d'Andrzej Sapkowski. Hors rassurez vous tout de suite, le parti pris ici est de nous livrer un Witcher bien plus facile d'accès que le roman ou la série TV et se concentrant (pour le moment ?) sur le gagne pain de notre héros Geralt De Riv. L'intrigue donc en one shot est savoureuse pour tous les amateurs de l'univers de The Witcher, mais aussi accessible pour ceux qui en viendraient à le découvrir. Le dessin de Jonas Scharf est sublime et merveilleusement adapté à cette Dark Fantasy, et la colorisation de José Villarrubia est plus que réussie. Seul bémol et regret pour moi, la faible pagination (48 pages) correspondant certes à un prix de lancement adapté en conséquence de 9,9€ mais présentant le défaut de nous livrer une histoire trop courte. Suffisante donc pour les amateurs de Geralt De Riv, mais qui risque de laisser sur un goût de vraiment trop peu les autres. Si je comprend fort bien le choix fort fait à ce sujet par Hi Comics au vu de la crise que traverse le comics en France, je ne peux toutefois en tant que lecteur que déplorer cette pagination courte... et attendre le prochain tome avec grande impatience. Et si j'ai un souhait : ne serait-il pas possible de nous livrer par la bd un nouvel arc inédit et bien plus conséquent des aventures du Witcher ? A noter que la couverture de la version classique de The WItcher a été réalisée par Kai Carpenter, et qu'une édition collecto de luxe en noir et blanc est également prévue, et qu'elle semble plus que très jolie 🙂 Autres infos : d'après l'oeuvre de Andrzej Sapkowski Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-witcher-comics-tome-1-un-grain-de-verite/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Difficile d'échapper au phénomène The Witcher en ce moment, entre série TV et jeux vidéos à succès, l'oeuvre de Dark Fantasy d'Andrzej Sapkowski a connu ses dernières années un grand succès. Je l'avoue fort simplement j'ai découvert The Witcher par le troisième opus vidéoludique, fort réussi pour le coup. Ce qui m'a naturellement donné envie de lire les romans. Et j'avoue que là j'ai été un peu désappointé par la narration et l'écriture de l'oeuvre originelle. Assumons le, je trouvais le jeux vidéo bien mieux écris. Soit. La série, qui a repris le fil du roman a souffert également de cette trame narrative très spécifique à ce roman. C'est donc avec un brin d'appréhension que je me suis lancé dans ce comics, tiré directement d'une des nouvelles d'Andrzej Sapkowski. Hors rassurez vous tout de suite, le parti pris ici est de nous livrer un Witcher bien plus facile d'accès que le roman ou la série TV et se concentrant (pour le moment ?) sur le gagne pain de notre héros Geralt De Riv. L'intrigue donc en one shot est savoureuse pour tous les amateurs de l'univers de The Witcher, mais aussi accessible pour ceux qui en viendraient à le découvrir. Le dessin de Jonas Scharf est sublime et merveilleusement adapté à cette Dark Fantasy, et la colorisation de José Villarrubia est plus que réussie. Seul bémol et regret pour moi, la faible pagination (48 pages) correspondant certes à un prix de lancement adapté en conséquence de 9,9€ mais présentant le défaut de nous livrer une histoire trop courte. Suffisante donc pour les amateurs de Geralt De Riv, mais qui risque de laisser sur un goût de vraiment trop peu les autres. Si je comprend fort bien le choix fort fait à ce sujet par Hi Comics au vu de la crise que traverse le comics en France, je ne peux toutefois en tant que lecteur que déplorer cette pagination courte... et attendre le prochain tome avec grande impatience. Et si j'ai un souhait : ne serait-il pas possible de nous livrer par la bd un nouvel arc inédit et bien plus conséquent des aventures du Witcher ? A noter que la couverture de la version classique de The WItcher a été réalisée par Kai Carpenter, et qu'une édition collecto de luxe en noir et blanc est également prévue, et qu'elle semble plus que très jolie 🙂
  21. Je dois bien avouer que les dernières productions Soleil m'ont plutôt plu, malheureusement cet Ouroboros est je trouve passé à côté du sujet. C'est diificile à expliquer car l'histoire en soi n'est pas mauvaise, les dessins de Ceyles (dessinateur de la série des Slohka à partir du tome 4) sont loin d'être vilains et présente quelques cases plutôt réussies. La gestion des couleurs est peut être pour moi un peu trop simple mais c'est un ressenti personnel. Par contre le positionnement de la bd m'interroge. On est à priori sur une cible d'un public jeune, mais l'histoire n'est je trouve ni assez dynamique ni sur des enjeux suffisamment clairs pour cette cible. De même l'histoire est globalement ambitieux mais cela interroge du coup pour un diptyque. Je n'ai pas été franchement convaincu par ma lecture d'Ouroboros.
  22. Titre de l'album : Ouroboros - Tome 1 - L'amulette de Saladin Scenariste de l'album : Olivier Pinard & Ceyles Dessinateur de l'album : Ceyles Coloriste : Lou Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Dans le désert, des bédouins veillent sur Xiao, un petit garçon dont les oracles prédisent qu'il provoquera la chute de la Reine des Dragons, sa mère. Aman, aventurier charismatique et énigmatique, a volé l'amulette de Saladin qui contient l'élixir qui permettra à Xiao de vaincre sa moitié dragon et de sauver le monde. Mais le vol de l'amulette a réveillé des êtres aux pouvoirs surnaturels... Critique : Je dois bien avouer que les dernières productions Soleil m'ont plutôt plu, malheureusement cet Ouroboros est je trouve passé à côté du sujet. C'est diificile à expliquer car l'histoire en soi n'est pas mauvaise, les dessins de Ceyles (dessinateur de la série des Slohka à partir du tome 4) sont loin d'être vilains et présente quelques cases plutôt réussies. La gestion des couleurs est peut être pour moi un peu trop simple mais c'est un ressenti personnel. Par contre le positionnement de la bd m'interroge. On est à priori sur une cible d'un public jeune, mais l'histoire n'est je trouve ni assez dynamique ni sur des enjeux suffisamment clairs pour cette cible. De même l'histoire est globalement ambitieux mais cela interroge du coup pour un diptyque. Je n'ai pas été franchement convaincu par ma lecture d'Ouroboros. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ouroboros-tome-1-l-amulette-de-saladin?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Titre de l'album : Freak's squeele - Funérailles - Tome 7 Scenariste de l'album : Florent Maudoux Dessinateur de l'album : Florent Maudoux Coloriste : Florent Maudoux Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : La série arrive à un tournant dans ce tome 7. Les fils de Spartacus sont séparés par les événements alors que Scipio doit gérer une guerre civile qui déchire REM, Pretorius devenu Funérailles se retrouve bombardé, sans le vouloir, gourou d'une secte millénariste. La XIIIème légion devra faire appel à ses meilleurs éléments pour venir en aide aux jumeaux qui sont à deux doigts d'emprunter les chemins qui mènent aux secrets les plus intimes de REM la grande, la puissante... La folle. Critique : Et voici la seconde grosse parution du label 619, passé depuis peu aux éditions Rue de Sèvres. En effet un nouveau tome dans l'univers de Freak's Squeele, même s'il ne s'agit "que" du spin-off sur Funérailles, cela reste un évènement. Ce tome 7 prend directement place à la suite du tome 6 et nous replonge dans l'univers déjanté, mêlant les genre de manière hyper créative de Florent Maudoux. Je ne connais à vrai dire que peu de séries aussi originales que Freak's Squeele et le spin off sur Funérailles n'est évidemment pas en reste. Nous parlant aussi bien de notre quotidien que d'un monde fantastique Florent Maudoux réussit l'exploit de conjuguer nos problématiques actuelles permanentes avec des enjeux héroïques et fantastiques omniprésents, offrant à Freak's Squeele une double ou triple lecture pour peu que l'on prenne le temps d'y songer. Graphiquement ce n'est pas en reste puisque les influences sont nombreuses dans le dessin et les fantaisies imaginées par l'auteur. Ce tome 7 de Funérailles ravira les amateurs de la série, pour les autres, ceux qui sont passés à côté en lui reprochant de partir un peu dans tous les sens, ce n'est pas maintenant qu'ils raccrocheront les wagons: 🙂 Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/freaks-squeele-funerailles-tome-7?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Et voici la seconde grosse parution du label 619, passé depuis peu aux éditions Rue de Sèvres. En effet un nouveau tome dans l'univers de Freak's Squeele, même s'il ne s'agit "que" du spin-off sur Funérailles, cela reste un évènement. Ce tome 7 prend directement place à la suite du tome 6 et nous replonge dans l'univers déjanté, mêlant les genre de manière hyper créative de Florent Maudoux. Je ne connais à vrai dire que peu de séries aussi originales que Freak's Squeele et le spin off sur Funérailles n'est évidemment pas en reste. Nous parlant aussi bien de notre quotidien que d'un monde fantastique Florent Maudoux réussit l'exploit de conjuguer nos problématiques actuelles permanentes avec des enjeux héroïques et fantastiques omniprésents, offrant à Freak's Squeele une double ou triple lecture pour peu que l'on prenne le temps d'y songer. Graphiquement ce n'est pas en reste puisque les influences sont nombreuses dans le dessin et les fantaisies imaginées par l'auteur. Ce tome 7 de Funérailles ravira les amateurs de la série, pour les autres, ceux qui sont passés à côté en lui reprochant de partir un peu dans tous les sens, ce n'est pas maintenant qu'ils raccrocheront les wagons: 🙂
  25. Titre de l'album : La forêt du temps - Tome 1 - Les enfants de la pierre Scenariste de l'album : Tristan Roulot Dessinateur de l'album : Mateo Guerrero Coloriste : Amparo Crespo Cardenete Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Au coeur d'un village hors du temps, Max, Miléva et les autres jeunes élèves du Vénérable ont mis l'éternité à profit pour développer leur intellect, sans limites. Mais cette stase érudite prend fin le jour où une mystérieuse adulte dérobe une partie du cristal qui les protégeait de l'écoulement du temps. Si rien n'est fait, ce dernier reprendra ses droits, et se fera payer les intérêts. Pour empêcher cela, une petite équipe s'aventure hors du village, à la recherche de la voleuse. Leur érudition suffira-t-elle à les protéger de cette fuite du temps qu'on appelle la Vie ? Critique : Eh eh eh, qu'est-ce que ça fait plaisir d'être surpris par une BD. Parce qu'en dehors de la jolie couverture, il faut reconnaitre que je n'attendais comme d'habitude rien d'une bd orientée "enfants". Oui je suis parfois un vieux con. Et là, et bien, pages après pages, je me fais happer, j'essaye de comprendre, je m'attache, bref, je suis immergé dans cette aventure. Je referme la bd. Et je reregarde plus attentivement le nom des auteurs. On a donc Tristan Roulot, scénariste de beaucoup de belles découvertes bd récentes à commencer par Le Convoyeur mais aussi, Psykoparis, ou les Chroniques Diplomatiques. Et à ses côtés on retrouve Mateo Guerrero, dessinateur récent entre autre de la série Jacob Kayne que j'ai tant apprécié. Bon effectivement quand des auteurs confirmés en bande dessinée adultes se lancent dans la bd jeunesse, à priori c'est pas pour nous sortir Un petit Spirou. Paris réussi donc avec cette forêt du temps qui mêle habilement enfants, adolescents, magie, adultes, mystères et aventure pour nous offrir un tome des plus réjouissant, que les parents liront aussi avidement que leurs enfants à chaque nouveau tome, j'en fais le paris. Ce n'est peut être pas le nouvel Harry Potter, mais c'est fichtrement bien foutu quand même. Autres infos : A ne pas manquer de 7 à 77 ans. Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-foret-du-temps-tome-1-les-enfants-de-la-pierre?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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