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  1. Nickad

    Nakano boogie-woogie tome 1

    2eme manga atypique de la soirée. Au cœur du quartier de Nakano à Tokyo existe un centre commercial le Nakano Broadway devenu au fil des années le paradis des otaku. Mirei est une étudiante aux beaux-arts pas très assidue aux cours et a grandi avec ce centre où elle traine tout le temps. Un jour, elle trouve un drôle de chat qu’elle va adopter. Bon ce chat n’en est pas vraiment un, c’est une sorte de créature cyclope à quatre pattes qui parle humain, raffole du poisson et a été baptisé Neuneuil. Est-ce parce que ce centre est atypique que personne ne se pose des questions sur ce qu’il est vraiment ? Est-ce que ce chat est porte-bonheur et va permettre à Mirei de retrouver sa motivation ? Voici des histoires au cœur du Nakano Broadway. La lecture n’est pas déplaisante, sympathique même, mais la vraie question c’est : est-ce qu’il y a un intérêt ? Ok je l’ai lu et après ? est-ce qu’il m’a amusé, ennuyé, interpellé ? Rien de tout ça, je suis vraiment sortie de la lecture en me disant « je ne sais pas » Pour information, le tome 1 est sorti en numérique le 11 février mais sa sortie physique est reportée en avril. Les deux tomes de la série (et oui il n’y a que 2 tomes) sortiront simultanément.
  2. Titre de l'album : Nakano boogie-woogie tome 1 Scenariste de l'album : KENSOGEN Dessinateur de l'album : KENSOGEN Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : Mirei, étudiante en école préparatoire aux Beaux-Arts, est née et a toujours vécu à Nakano. Elle n'a qu'une vision très floue de son avenir, refait parfois le monde avec son ami Toyoda et vit au jour le jour. Du moins jusqu'à sa rencontre avec Omémé, une forme de vie bien mystérieuse... La voilà embarquée dans un nouveau quotidien aussi drôle que mouvementé, où l'on découvrira qu'à Nakano, tout peut arriver ! Critique : 2eme manga atypique de la soirée. Au cœur du quartier de Nakano à Tokyo existe un centre commercial le Nakano Broadway devenu au fil des années le paradis des otaku. Mirei est une étudiante aux beaux-arts pas très assidue aux cours et a grandi avec ce centre où elle traine tout le temps. Un jour, elle trouve un drôle de chat qu’elle va adopter. Bon ce chat n’en est pas vraiment un, c’est une sorte de créature cyclope à quatre pattes qui parle humain, raffole du poisson et a été baptisé Neuneuil. Est-ce parce que ce centre est atypique que personne ne se pose des questions sur ce qu’il est vraiment ? Est-ce que ce chat est porte-bonheur et va permettre à Mirei de retrouver sa motivation ? Voici des histoires au cœur du Nakano Broadway. La lecture n’est pas déplaisante, sympathique même, mais la vraie question c’est : est-ce qu’il y a un intérêt ? Ok je l’ai lu et après ? est-ce qu’il m’a amusé, ennuyé, interpellé ? Rien de tout ça, je suis vraiment sortie de la lecture en me disant « je ne sais pas » Pour information, le tome 1 est sorti en numérique le 11 février mais sa sortie physique est reportée en avril. Les deux tomes de la série (et oui il n’y a que 2 tomes) sortiront simultanément. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/nakano-boogie-woogie-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Nickad

    Dai Dark tome 1

    Je vous propose ce soir 2 mangas qui m’ont laissé perplexe, chacun dans son style je suis incapable de dire si j’ai aimé ou non, ce qui est sûr c’est qu’ils ne laissent pas indifférent. Le 1er c’est Dai Dark et c’est clairement un ovni. La première impression est évidemment graphique, loin des mangas habituels, j’ai plutôt eu l’impression d’être dans une bande dessinée, à part 3 personnages aux visages un peu ronds et encore quand ils enlèvent leur masque, tout nous éloigne de ce qu’on attend d’un manga. Ensuite il y a l’histoire, un étrange mélange de science-fiction et de comédie avec une touche WTF. Tout sort de l’ordinaire, que ce soit le personnage principal, son équipement, les mondes ou endroits qu’il visite, les personnages secondaires… C’est une aventure spatiale mais impossible de savoir où l’auteur veut nous emmener. Du coup, le manga est assez déstabilisant mais reste en tête. Un début très intéressant en tout cas pour un livre difficile à classer et une auteure surprenante connue en France pour son manga Dorohedoro, un titre déjà très original. Ma note souligne tous ces aspects car dans le genre (et quel genre ?) il est bien réalisé. A noter que le livre a une superbe jaquette transparente qui dévoile une autre facette du personnage une fois enlevée, c’est sans doute la raison également du prix élevé du livre par rapport à son format.
  4. Nickad

    Dai Dark tome 1

    Titre de l'album : Dai Dark tome 1 Scenariste de l'album : Q-HAYASHIDA Dessinateur de l'album : Q-HAYASHIDA Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Sanko Zaha, un ado qui adore les spaghettis, voyage dans les ténèbres de l'espace infini. On raconte que ses os exauceraient n'importe quel souhait. C'est pourquoi les pires malfrats de l'univers veulent lui faire la peau ! Heureusement, toujours accompagné d'Avakian, son fidèle compère, il n'hésitera pas à désosser gaiement tous ses assaillants. Critique : Je vous propose ce soir 2 mangas qui m’ont laissé perplexe, chacun dans son style je suis incapable de dire si j’ai aimé ou non, ce qui est sûr c’est qu’ils ne laissent pas indifférent. Le 1er c’est Dai Dark et c’est clairement un ovni. La première impression est évidemment graphique, loin des mangas habituels, j’ai plutôt eu l’impression d’être dans une bande dessinée, à part 3 personnages aux visages un peu ronds et encore quand ils enlèvent leur masque, tout nous éloigne de ce qu’on attend d’un manga. Ensuite il y a l’histoire, un étrange mélange de science-fiction et de comédie avec une touche WTF. Tout sort de l’ordinaire, que ce soit le personnage principal, son équipement, les mondes ou endroits qu’il visite, les personnages secondaires… C’est une aventure spatiale mais impossible de savoir où l’auteur veut nous emmener. Du coup, le manga est assez déstabilisant mais reste en tête. Un début très intéressant en tout cas pour un livre difficile à classer et une auteure surprenante connue en France pour son manga Dorohedoro, un titre déjà très original. Ma note souligne tous ces aspects car dans le genre (et quel genre ?) il est bien réalisé. A noter que le livre a une superbe jaquette transparente qui dévoile une autre facette du personnage une fois enlevée, c’est sans doute la raison également du prix élevé du livre par rapport à son format. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dai-dark-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Nickad

    Isabella Bird tome 8

    Le manga raconte le voyage de l’exploratrice Isabella Bird au XIXe siècle au Japon, peu de temps après son ouverture au monde. L’auteur est parti de la correspondance d’Isabella à ses amis et famille et a comblé les « trous » avec les connaissances sur le Japon de l’époque. Le personnage suit donc le vrai trajet de la voyageuse, le récit a beaucoup de détails sur la vie des habitants et leurs coutumes, en essayant d’être le plus juste possible, sans tricher sur la réalité : on y découvre donc les mœurs de l’époque mais aussi la méfiance vis-à-vis des étrangers, les situations parfois désastreuses des villages (pauvreté ou maladie) mais également toutes la richesse du pays par ses coutumes, ses plats, ses objets… Dans ce 8eme tome, Isabella et son guide Ito sont à Akita, on leur propose d’assister à un mariage, sauf que le cas de ces fiancés est loin d’être banal, le mariage a été autorisé à contrecœur pour préserver l’honneur de la famille de la mariée. Cela dit, à part l’absence du père, le mariage se déroule selon les coutumes de l’époque. Comme toujours, Ie manga est riche en informations, on y découvre toujours tout un tas d’usages et on est vraiment dépaysés. Isabella observe le monde qui l’entoure avec curiosité mais sans jamais juger, elle essaye de comprendre au mieux. On prend toujours plaisir à l’accompagner dans son périple car il y a un juste équilibre entre la partie aventure de son voyage et la partie culturelle, le récit n’est jamais pompeux, jamais ennuyant. Le graphisme est soigné, les paysages travaillés et pleins de détails, les villes, les costumes respectent bien la période évoquée. Un vrai plaisir.
  6. Titre de l'album : Isabella Bird tome 8 Scenariste de l'album : SASSA Taiga Dessinateur de l'album : SASSA Taiga Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : À Akita, Isabella croise à nouveau la route du Dr Kobayashi, que James Hepburn a chargé d'une mission : veiller sur la santé fragile de l'exploratrice ! Elle apprend que sir Harry Parkes a également négocié avec les autorités pour lui apporter l'aide de la police. Il ne reste qu'un seul obstacle à la découverte d'Ezo : Charles Maries, l'ancien employeur d'Ito, est toujours décidé à récupérer son boy. Mais les deux voyageurs ont réglé leurs différends et sont prêts à tout pour le convaincre d'abandonner... De quoi partir sur de bonnes bases pour finir la traversée de la plus grande île du Japon ! Critique : Le manga raconte le voyage de l’exploratrice Isabella Bird au XIXe siècle au Japon, peu de temps après son ouverture au monde. L’auteur est parti de la correspondance d’Isabella à ses amis et famille et a comblé les « trous » avec les connaissances sur le Japon de l’époque. Le personnage suit donc le vrai trajet de la voyageuse, le récit a beaucoup de détails sur la vie des habitants et leurs coutumes, en essayant d’être le plus juste possible, sans tricher sur la réalité : on y découvre donc les mœurs de l’époque mais aussi la méfiance vis-à-vis des étrangers, les situations parfois désastreuses des villages (pauvreté ou maladie) mais également toutes la richesse du pays par ses coutumes, ses plats, ses objets… Dans ce 8eme tome, Isabella et son guide Ito sont à Akita, on leur propose d’assister à un mariage, sauf que le cas de ces fiancés est loin d’être banal, le mariage a été autorisé à contrecœur pour préserver l’honneur de la famille de la mariée. Cela dit, à part l’absence du père, le mariage se déroule selon les coutumes de l’époque. Comme toujours, Ie manga est riche en informations, on y découvre toujours tout un tas d’usages et on est vraiment dépaysés. Isabella observe le monde qui l’entoure avec curiosité mais sans jamais juger, elle essaye de comprendre au mieux. On prend toujours plaisir à l’accompagner dans son périple car il y a un juste équilibre entre la partie aventure de son voyage et la partie culturelle, le récit n’est jamais pompeux, jamais ennuyant. Le graphisme est soigné, les paysages travaillés et pleins de détails, les villes, les costumes respectent bien la période évoquée. Un vrai plaisir. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/isabella-bird-femme-exploratrice-tome-8?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Nickad

    Pilote sacrifié tome 1

    Pilote sacrifié raconte la création des brigades spéciales de pilotes kamikaze. Le sujet est abordé de façon historique au travers le témoignage de Sasaki Tomoji, le seul pilote à être revenu 9 fois de missions suicidaires. L’histoire commence quand Tomoji est enfant, 6eme d’une famille de 12 enfants, sa famille était modeste et devenir pilote était pour lui un rêve. Recalé à l’armée de terre, il suivit une formation de pilotes dépendante du ministère des communications. Tous les pilotes furent intégrés à l’armée quand la guerre éclata. Ce qui est vraiment intéressant, c’est que toute l’histoire est racontée du point de vue des pilotes, on y apprend qu’ils ont été mis devant le fait accompli et qu’ils n’ont pas eu le choix, on apprend aussi que d’autres choix d’actions était possible pour détruire les bateaux américains mais que la politique avait besoin d’un symbole fort pour la gloire. On ne s’ennuie pas un instant et on a hâte de découvrir ce qui est arrivé à Tomoji et surtout comment il a fait pour revenir de ces raids mortels. Sasaki Tomoji est mort à 92 ans en 2016. La série est en cours et compte 10 tomes pour le moment. Extrait
  8. Titre de l'album : Pilote sacrifié tome 1 Scenariste de l'album : AZUMA Naoki Dessinateur de l'album : KOKAMI Shoji Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Sasaki Tomoji est aviateur à l'école des pilotes de l'armée de terre de Hokota. Ses capacités sont très vite remarquées et il devient pilote d'attaque spéciale dans 4e Corps aérien. La mission qu'il se voit confier consiste à se jeter avec son appareil sur l'ennemi. Il devient un Tokkôhei, plus connu en occident sous le nom de Kamikaze. Découvrez comment Tomoji a pu rentrer vivant à neuf reprises. Critique : Pilote sacrifié raconte la création des brigades spéciales de pilotes kamikaze. Le sujet est abordé de façon historique au travers le témoignage de Sasaki Tomoji, le seul pilote à être revenu 9 fois de missions suicidaires. L’histoire commence quand Tomoji est enfant, 6eme d’une famille de 12 enfants, sa famille était modeste et devenir pilote était pour lui un rêve. Recalé à l’armée de terre, il suivit une formation de pilotes dépendante du ministère des communications. Tous les pilotes furent intégrés à l’armée quand la guerre éclata. Ce qui est vraiment intéressant, c’est que toute l’histoire est racontée du point de vue des pilotes, on y apprend qu’ils ont été mis devant le fait accompli et qu’ils n’ont pas eu le choix, on apprend aussi que d’autres choix d’actions était possible pour détruire les bateaux américains mais que la politique avait besoin d’un symbole fort pour la gloire. On ne s’ennuie pas un instant et on a hâte de découvrir ce qui est arrivé à Tomoji et surtout comment il a fait pour revenir de ces raids mortels. Sasaki Tomoji est mort à 92 ans en 2016. La série est en cours et compte 10 tomes pour le moment. Extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/pilote-sacrifie-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Nickad

    Lost children tome 8

    Dans le monde de Lost Children, la société fonctionne sous un système de castes, Les Gathiya sont tout en bas, certains issus de peuple conquis, ils vivent dans la misère et font les tâches ingrates. Ran est un enfant Gathiya, il se lie d’amitié avec Yuri, un enfant d’une classe supérieure qui a perdu un œil et qui est isolé, qui va lui apprendre à lire. La relation des deux amis n’est pas bien vue par le reste de la ville et quand les rebelles débarquent, les deux enfants décident de s’enfuir. Hélas, ils vont être séparés : Ran, apprenant le drame de sa famille va rejoindre le rang des révolutionnaires et Yuri va se retrouver obligé de tenir le rôle de Kussuf, une sorte de prêtre dans un village isolé de la montagne. Lost chidren est d’abord un manga d’aventures, une lutte de minorité contre un système politique injuste, une lutte contre un tyran qui ne pense qu’à une épuration ethnique et vois tous les autres comme des déchets. C’est l’histoire de deux enfants d’origine différente, qui vont être amené à subir un destin difficile entre violence t sacrifice. Mais c’est aussi une critique sur le comportement des hommes envers ceux qui sont différents. Ce 8eme volume est particulièrement prenant car il voit les retrouvailles de Ran et Yuri mais hélas, le temps a passé et certaines coutumes risquent d’avoir des répercussions néfastes sur leurs avenirs. Si au début de la série, on a un gros retour en arrière sur l’enfance des deux garçons, le rythme de l’histoire est toujours très dynamique, on a toujours une partie sur la vie de Ran, une sur celle de Yuri tout en prenant le temps de s’appesantir sur des personnages secondaires importants à l’histoire. C’est un très bon manga avec des graphismes soignés et un scénario qui ne faiblit pas.
  10. Titre de l'album : Lost children tome 8 Scenariste de l'album : SUMIYAMA Tomomi Dessinateur de l'album : SUMIYAMA Tomomi Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Peut-on prendre les armes et échapper au destin tracé à sa naissance ? Les forces révolutionnaires de Dakhna se trouvent confrontées à une drogue mystérieuse qui fait des ravages dans leur zone d'influence... Pas de doute, c'est l'oeuvre du gouvernement ! Les pistes mènent à la région d'Alhuma, où Ran est donc envoyé pour enquêter. Au village, Harui a compris que les kussuf étaient sacrifiés aux dieux après avoir rempli leur rôle... Elle est prête à tout pour que son ami soit épargné, mais Yuri refuse d'être sauvé. Miné par la culpabilité qui le ronge et se mêle aux hallucinations provoquées par les feuilles d'yssa, il s'évanouit en pleine forêt, où c'est Ran qui le découvre ! Le destin va-t-il enfin permettre aux deux hommes de réparer les erreurs du passé ? Critique : Dans le monde de Lost Children, la société fonctionne sous un système de castes, Les Gathiya sont tout en bas, certains issus de peuple conquis, ils vivent dans la misère et font les tâches ingrates. Ran est un enfant Gathiya, il se lie d’amitié avec Yuri, un enfant d’une classe supérieure qui a perdu un œil et qui est isolé, qui va lui apprendre à lire. La relation des deux amis n’est pas bien vue par le reste de la ville et quand les rebelles débarquent, les deux enfants décident de s’enfuir. Hélas, ils vont être séparés : Ran, apprenant le drame de sa famille va rejoindre le rang des révolutionnaires et Yuri va se retrouver obligé de tenir le rôle de Kussuf, une sorte de prêtre dans un village isolé de la montagne. Lost chidren est d’abord un manga d’aventures, une lutte de minorité contre un système politique injuste, une lutte contre un tyran qui ne pense qu’à une épuration ethnique et vois tous les autres comme des déchets. C’est l’histoire de deux enfants d’origine différente, qui vont être amené à subir un destin difficile entre violence t sacrifice. Mais c’est aussi une critique sur le comportement des hommes envers ceux qui sont différents. Ce 8eme volume est particulièrement prenant car il voit les retrouvailles de Ran et Yuri mais hélas, le temps a passé et certaines coutumes risquent d’avoir des répercussions néfastes sur leurs avenirs. Si au début de la série, on a un gros retour en arrière sur l’enfance des deux garçons, le rythme de l’histoire est toujours très dynamique, on a toujours une partie sur la vie de Ran, une sur celle de Yuri tout en prenant le temps de s’appesantir sur des personnages secondaires importants à l’histoire. C’est un très bon manga avec des graphismes soignés et un scénario qui ne faiblit pas. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/lost-children-tome-8?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Après un 18ieme tome qui remettait l'histoire sur les rails, ce 19ieme tome continu dans le bon sens marquant une avancée dans l'histoire comme on l'attendait depuis ... fiou je ne me souviens plus. Si c'est une bonne chose, ce tome 19 marque aussi l'acceptation de ce que l'on voyait depuis plusieurs tomes : The rising of shield hero est résolument devenu un manga pour enfant. Si les premiers tomes était plutot orientés ado avec des conflits moraux sur les esclaves et sur le role du héros au bouclier, on est maintenant dans une manga globalement assez plat prenant bien son temps pour expliquer tous les sous-entendus pour être sur que leurs chers lecteurs les plus jeunes puissent bien comprendre. Et comprendre quoi ? et bien qu'au final tout le monde est beau et gentil et que si ils étaient méchants avant c'est parce qu'il voulaient etre gentil en fait.... SI le fait d'assumer d'etre un manga pour enfant permet à l'histoire d'avancer plus vite, je ne peux qu'encourager les auteurs à continuer dans ce sens la, car ce developpement de série plait beaucoup... à mon fils de 10 ans.
  12. Titre de l'album : The rising of the shield hero t19 Scenariste de l'album : Kyû Aiya Dessinateur de l'album : Kyû Aiya Coloriste : Editeur de l'album : Doki-Doki Note : Résumé de l'album : Naofumi et sa compagnie se faufilent dans la ville où est conservé un Sablier du Dragon. C'est là qu'ils retrouvent Raphtalia, qui a entretemps été choisie comme nouvelle détentrice de l'épée clanique. Mais les réjouissances sont de courte durée, car ils sont aussitôt attaqués par des clones du grand tigre blanc... Lark, Tellis et Glass se précipitent alors à leur secours ! Les héros de deux mondes unissent leurs forces pour affronter des ennemis communs ! Critique : Après un 18ieme tome qui remettait l'histoire sur les rails, ce 19ieme tome continu dans le bon sens marquant une avancée dans l'histoire comme on l'attendait depuis ... fiou je ne me souviens plus. Si c'est une bonne chose, ce tome 19 marque aussi l'acceptation de ce que l'on voyait depuis plusieurs tomes : The rising of shield hero est résolument devenu un manga pour enfant. Si les premiers tomes était plutot orientés ado avec des conflits moraux sur les esclaves et sur le role du héros au bouclier, on est maintenant dans une manga globalement assez plat prenant bien son temps pour expliquer tous les sous-entendus pour être sur que leurs chers lecteurs les plus jeunes puissent bien comprendre. Et comprendre quoi ? et bien qu'au final tout le monde est beau et gentil et que si ils étaient méchants avant c'est parce qu'il voulaient etre gentil en fait.... SI le fait d'assumer d'etre un manga pour enfant permet à l'histoire d'avancer plus vite, je ne peux qu'encourager les auteurs à continuer dans ce sens la, car ce developpement de série plait beaucoup... à mon fils de 10 ans. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-rising-of-the-shield-hero-tome-19?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Nickad

    Arrivée du manga FRIEREN chez Ki-oon

    jusqu’à
    Sorties des tomes 1 et 2 le 3 mars avec une version collector pour le tome 1 Issu du Shonen Sunday, ce manga d’heroic fantasy est le premier né de la nouvelle stratégie éditoriale du célèbre magazine de Shogakukan : former de nouveaux mangakas de A à Z, sous la houlette des auteurs iconiques de la maison afin de ne pas en perdre l’ADN. Une politique audacieuse qui porte ses fruits ! Élu manga de l’année au Manga Taishô Awards 2021 et lauréat du prix Osamu Tezuka de la meilleure nouveauté 2021, Frieren est un véritable succès critique et commercial au Japon ! Cette série signée Kanehito YAMADA et Tsukasa ABE revisite le genre de la fantasy de manière originale et délicate, et nous offre ainsi une approche aussi rafraîchissante que captivante. Peignant avec brio la beauté éphémère des choses, ce titre est une merveilleuse ode à l’amitié et à l’importance du temps qui passe… Résumé : Le jeune héros Himmel et ses compagnons, l’elfe Frieren, le nain Eisen et le prêtre Heiter, rentrent victorieux de leur combat contre le roi des démons. Au bout de dix années d’efforts, ils ont ramené la paix dans le royaume. Il est temps pour eux de retrouver une vie normale... Difficile à imaginer après tant d’aventures en commun ! Frieren, elle, ne semble guère touchée par la séparation. Pour la magicienne à la longévité exceptionnelle, une décennie ne pèse pas lourd. Elle reprend la route en solo et promet de retrouver ses camarades un demi-siècle plus tard. Elle tient parole… mais ces retrouvailles sont aussi les derniers instants passés avec Himmel, devenu un vieillard qui s’éteint paisiblement sous ses yeux. Frieren est sous le choc... La vie des humains est si courte ! L’elfe a beau être experte en magie, il lui reste encore un long chemin à parcourir pour comprendre la race humaine... Son nouvel objectif : s’initier aux arcanes du cœur ! Extrait Trailer
  14. Nickad

    Si nous étions adultes... tome 2

    Ayano a juste échangé un baiser mais pour elle, c’est comme si elle avait trompé son mari, elle pense qu’il vaut mieux divorcer. C’est à ce moment qu’arrive sa belle-mère qui leur propose de venir habiter avec elle suite à l’hospitalisation de son mari, Ayano hésite vu la situation. Mais après avoir expliqué la situation à sa belle-mère, cette dernière ne voit pas cela comme une raison de rupture, et son mari ne veut pas non plus divorcer. Contrainte de déménager, elle voit cela comme une bonne raison d’oublier Akari. Sans s’appesantir sur le côté dramatique, l’auteure montre avec simplicité les failles du cœur, la difficulté de mettre des mots sur ce que l’on ressent, la difficulté de prendre des décisions et l’influence des comportements sociétaux sur elles. Il y a le trouble dans lequel se trouve Ayano et il y a ce que son environnement lui dit de faire, sans doute plus pour les apparences que pour son bien-être. Le graphisme n’est pas toujours très détaillé surtout dans les visages, mais l’expression des sentiments passe bien. Une simplicité qui va à l’essentiel et qui fait mouche.
  15. Titre de l'album : Si nous étions adultes... tome 2 Scenariste de l'album : SHIMURA Takako Dessinateur de l'album : SHIMURA Takako Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Depuis le barbecue au parc, il y a comme de l'orage dans l'air entre Ayano et Wataru, son conjoint. C'est dans ce contexte déjà très tendu que débarque à l'improviste la mère de ce dernier. Réalisant le malaise qui s'est installé au sein du couple de son fils, elle cherche à comprendre ce qu'il s'est passé. Mais ses indiscrétions pourraient avoir de lourdes conséquences... Critique : Ayano a juste échangé un baiser mais pour elle, c’est comme si elle avait trompé son mari, elle pense qu’il vaut mieux divorcer. C’est à ce moment qu’arrive sa belle-mère qui leur propose de venir habiter avec elle suite à l’hospitalisation de son mari, Ayano hésite vu la situation. Mais après avoir expliqué la situation à sa belle-mère, cette dernière ne voit pas cela comme une raison de rupture, et son mari ne veut pas non plus divorcer. Contrainte de déménager, elle voit cela comme une bonne raison d’oublier Akari. Sans s’appesantir sur le côté dramatique, l’auteure montre avec simplicité les failles du cœur, la difficulté de mettre des mots sur ce que l’on ressent, la difficulté de prendre des décisions et l’influence des comportements sociétaux sur elles. Il y a le trouble dans lequel se trouve Ayano et il y a ce que son environnement lui dit de faire, sans doute plus pour les apparences que pour son bien-être. Le graphisme n’est pas toujours très détaillé surtout dans les visages, mais l’expression des sentiments passe bien. Une simplicité qui va à l’essentiel et qui fait mouche. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/si-nous-etions-adultes-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Saison 2 de la série, 2eme période de la vie de Mai. Cette dernière atteinte par la dévorante, une maladie qui tue ceux qui ont trop de magie en eux et pas les moyens de l’en extirper à l’aide d’objets magiques n’a pas d’autre choix que de rejoindre le temple si elle veut survivre. Les négociations pratiques vont avoir lieu : l’argent qu’elle versera comme tribut, sa résidence, son activité avec son atelier pour fabriquer du papier et ses activités commerciales avec Benno. Le plus difficile pour elle est qu’elle va devoir agir comme une noble et apprendre l’étiquette, elle se voit également attribuer 3 servants, aucun vraiment motivés pour servir une roturière. Si La petite faiseuse de livres est un isekai, il n’a rien à voir avec la majorité d’entre eux, même si Mai a de la magie en elle, elle n’a pas de super pouvoirs, ne doit pas vaincre le roi des démons, c’est juste sa vie au quotidien, avec son ambition de fabriquer des livres et d’en faire un objet accessible à tous avec les moyens dont elle dispose du haut de ses 7 ans. Elle se heurte aux difficultés du quotidien, à ses devoirs en tant qu’enfant de famille modeste, aux règles qui régissent la société et aux différents statuts. Devenu apprentie prêtresse, elle est à présent confrontée à un univers qu’elle ne connaît pas du tout et ce qui est acquis dans notre monde n’est pas du tout vu de la même façon dans celui-là. C’est vraiment l’un de mes mangas préférés, car il n’y a pas trop de côté isekai (juste quand elle pense à de nouveaux objets ou recettes de cuisine), qu’il y a un juste équilibre entre tranche de vie et aventure et les personnages sont attachants. Un manga à découvrir si vous ne l’avez pas déjà fait, l’adaptation en anime est disponible sur crunchyroll sous le titre "ascendance of a bookworm".
  17. Titre de l'album : La petite faiseuse de livres - 2eme arc tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : KAZUKI Miya Dessinateur de l'album : SUZUKA Coloriste : Editeur de l'album : Ototo Note : Résumé de l'album : a suite des aventures d'Urano Motosu, jeune fille passionnée de lecture, réincarnée dans le corps de Maïn, dans un monde où le papier n'existe pas. Critique : Saison 2 de la série, 2eme période de la vie de Mai. Cette dernière atteinte par la dévorante, une maladie qui tue ceux qui ont trop de magie en eux et pas les moyens de l’en extirper à l’aide d’objets magiques n’a pas d’autre choix que de rejoindre le temple si elle veut survivre. Les négociations pratiques vont avoir lieu : l’argent qu’elle versera comme tribut, sa résidence, son activité avec son atelier pour fabriquer du papier et ses activités commerciales avec Benno. Le plus difficile pour elle est qu’elle va devoir agir comme une noble et apprendre l’étiquette, elle se voit également attribuer 3 servants, aucun vraiment motivés pour servir une roturière. Si La petite faiseuse de livres est un isekai, il n’a rien à voir avec la majorité d’entre eux, même si Mai a de la magie en elle, elle n’a pas de super pouvoirs, ne doit pas vaincre le roi des démons, c’est juste sa vie au quotidien, avec son ambition de fabriquer des livres et d’en faire un objet accessible à tous avec les moyens dont elle dispose du haut de ses 7 ans. Elle se heurte aux difficultés du quotidien, à ses devoirs en tant qu’enfant de famille modeste, aux règles qui régissent la société et aux différents statuts. Devenu apprentie prêtresse, elle est à présent confrontée à un univers qu’elle ne connaît pas du tout et ce qui est acquis dans notre monde n’est pas du tout vu de la même façon dans celui-là. C’est vraiment l’un de mes mangas préférés, car il n’y a pas trop de côté isekai (juste quand elle pense à de nouveaux objets ou recettes de cuisine), qu’il y a un juste équilibre entre tranche de vie et aventure et les personnages sont attachants. Un manga à découvrir si vous ne l’avez pas déjà fait, l’adaptation en anime est disponible sur crunchyroll sous le titre "ascendance of a bookworm". Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-petite-faiseuse-de-livres-saison-2-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Rhhaaaa la déception. Il n'y a pas vraiment d'autre mot. Cela biaise forcement mon jugement. En effet avec une couverture superbe, le coté sorcière et librairie je m'attendais à une histoire de sorcière…. Et en fait on n’a pas une histoire de sorcière mais pleins d'histoires de sorcières.... Mais sans réelles rapports entre elles. Juste des petites histoires. Hop un Yokai sort d'un livre on l'attrape. Hope un deuxième on l'attrape aussi.... Ok un Tanuki malin. Hop on l'attrape aussi. Vous l'aurez compris je me suis... ennuyé. Si graphiquement c'est très joli, c'est trop redondant en termes d'histoires et trop plat en termes d'évolution pour me transporter dans l'univers. Et pourtant je suis un public facile. Certains fans de légendes de Yokai japonaises trouveront surement leur compte. Moi je ne suis surement pas assez féru de japon….
  19. Titre de l'album : Touhou : Forbidden Scrollery T1&2 Scenariste de l'album : Zun Dessinateur de l'album : Moé Harukawa Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Bienvenue dans la plus étrange des librairies ! Nous avons tout en boutique : des livres du monde extérieur, des ouvrages rares... et bien sûr, des grimoires démoniaques ! Kosuzu Motoori tient la librairie " Suzunaan ", dans le village des humains, au coeur des terres illusoires. Elle est collectionneuse de "grimoires démoniaques", des livres ésotériques que personne ne peut déchiffrer. Un jour, Kosuzu parvient soudainement à les lire ! Pendant ce temps, l'ombre d'un dangereux yôkai plane sur le village... Découvrez la mystérieuse librairie des yôkais aux livres insolites... Suzunaan ! Critique : Rhhaaaa la déception. Il n'y a pas vraiment d'autre mot. Cela biaise forcement mon jugement. En effet avec une couverture superbe, le coté sorcière et librairie je m'attendais à une histoire de sorcière…. Et en fait on n’a pas une histoire de sorcière mais pleins d'histoires de sorcières.... Mais sans réelles rapports entre elles. Juste des petites histoires. Hop un Yokai sort d'un livre on l'attrape. Hope un deuxième on l'attrape aussi.... Ok un Tanuki malin. Hop on l'attrape aussi. Vous l'aurez compris je me suis... ennuyé. Si graphiquement c'est très joli, c'est trop redondant en termes d'histoires et trop plat en termes d'évolution pour me transporter dans l'univers. Et pourtant je suis un public facile. Certains fans de légendes de Yokai japonaises trouveront surement leur compte. Moi je ne suis surement pas assez féru de japon…. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/touhou-forbidden-scrollery-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Nickad

    Masked sheep tome 1

    Le pitch du manga est assez intriguant pour que je ne fasse pas de résumé, d’ailleurs, j’aurais du mal à le faire sans rien dévoiler, la surprise est plus intéressante ! Le titre du manga signifiant mouton masqué pour ceux qui seraient nuls en anglais, ne vous donnera aucune indication non plus. Omaké est devenu l’éditeur principal des mangas sombres, une certaine horreur qui n’est pas forcément toujours gore. Encore une fois, ce qui se passe dans ce sous-sol a de quoi interpeller, peut-être plus psychologiquement que physiquement et franchement, je ne m’y attendais absolument pas ! L’histoire intrigue, interpelle, nous laisse sur des réflexions. Le graphisme est soigné et l’utilisation des trames accentue le côté glauque de l’endroit. Et une révélation finale que l’on voit arriver mais qui donne envie de poursuivre la lecture. La série est finie en 5 tomes.
  21. Titre de l'album : Masked sheep tome 1 Scenariste de l'album : FUNAKI Kyosuke Dessinateur de l'album : FUNAKI Kyosuke Coloriste : Editeur de l'album : Omaké Note : Résumé de l'album : Si vous parlez, vous êtes mort ! RÉSUMÉ DE L'OEUVRE : L'absence d'un être cher vous rend malade ? Un proche décédé vous manque au point que vous vouliez mourir à votre tour ? Dans ce cas, entrez dans ce bâtiment et descendez au sous-sol. Une personne coiffée d'un étrange masque vous attend et devrait vous aider à trouver une solution à tous vos problèmes. Sa solution ? Chut, quand vous ressortirez, personne ne doit rien savoir... Critique : Le pitch du manga est assez intriguant pour que je ne fasse pas de résumé, d’ailleurs, j’aurais du mal à le faire sans rien dévoiler, la surprise est plus intéressante ! Le titre du manga signifiant mouton masqué pour ceux qui seraient nuls en anglais, ne vous donnera aucune indication non plus. Omaké est devenu l’éditeur principal des mangas sombres, une certaine horreur qui n’est pas forcément toujours gore. Encore une fois, ce qui se passe dans ce sous-sol a de quoi interpeller, peut-être plus psychologiquement que physiquement et franchement, je ne m’y attendais absolument pas ! L’histoire intrigue, interpelle, nous laisse sur des réflexions. Le graphisme est soigné et l’utilisation des trames accentue le côté glauque de l’endroit. Et une révélation finale que l’on voit arriver mais qui donne envie de poursuivre la lecture. La série est finie en 5 tomes. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/masked-sheep-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Nickad

    A Tire-d'Aile

    Adapté d’une nouvelle de Tatsuo HORI, écrivain et poète célèbre au Japon dont l’un de ses titres le vent se lève a inspiré Hayao Miyazaki, le manga est à la fois une réflexion sur les « rêves » des enfants et un hommage au personnage de Zigomar, apparu dans un film français de 1917. Quand je parle de « rêve » il s’agit plus particulièrement de cette capacité qu’ont les enfants à incarner leurs héros, à se projeter dans les aventures des films ou des livres, à vivre leurs jeux et leurs univers à fond. Suite au succès du film Zigomar, roi des voleurs, une bande d’enfants se prête au jeu. Mais quand un drame survient dans la vie de Gigi, il se pourrait bien que ce dernier se laisse un peu trop entrainer dans ce monde imaginaire. Le livre bénéficie d’un graphisme parfait, l’auteur s’est inspiré des illustrations parisiennes d’époque et de l’ambiance particulière des photographies de Brassai, Atget ou Doisneau, il a également tenu à représenter les costumes du début du XXeme siècle. Le résultat est là, on plonge directement dans l’ambiance ! L’agencement des images et la représentation de certaines scènes donnent l’impression d’être pris dans un tourbillon, un peu comme ces enfants qui sont entre réalité et fiction. Quant à l’histoire, ce one shot se suffit à lui-même. Je vous conseille de prendre le temps de lire la postface de l’auteur, c’est intéressant de voir comment la littérature française a laissé sa trace au pays du soleil levant. Un bien beau livre ma foi.
  23. Nickad

    A Tire-d'Aile

    Titre de l'album : A Tire-d'Aile Scenariste de l'album : HORI Tatsuo Dessinateur de l'album : HATOYAMA Ikuko Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : Au début du XXe siècle, le personnage de Zigomar, criminel masqué créé par Léon Sazie, déchaîne les passions et l'imagination des jeunes garçons. Gigi et Kiki sont de ceux-là, tout comme le reste de leur petite bande. Des gamins ordinaires. Mais Gigi est différent : plus fort, plus beau, plus charismatique, il suscite l'admiration et parfois la peur de Kiki, qui tente de le cerner... Critique : Adapté d’une nouvelle de Tatsuo HORI, écrivain et poète célèbre au Japon dont l’un de ses titres le vent se lève a inspiré Hayao Miyazaki, le manga est à la fois une réflexion sur les « rêves » des enfants et un hommage au personnage de Zigomar, apparu dans un film français de 1917. Quand je parle de « rêve » il s’agit plus particulièrement de cette capacité qu’ont les enfants à incarner leurs héros, à se projeter dans les aventures des films ou des livres, à vivre leurs jeux et leurs univers à fond. Suite au succès du film Zigomar, roi des voleurs, une bande d’enfants se prête au jeu. Mais quand un drame survient dans la vie de Gigi, il se pourrait bien que ce dernier se laisse un peu trop entrainer dans ce monde imaginaire. Le livre bénéficie d’un graphisme parfait, l’auteur s’est inspiré des illustrations parisiennes d’époque et de l’ambiance particulière des photographies de Brassai, Atget ou Doisneau, il a également tenu à représenter les costumes du début du XXeme siècle. Le résultat est là, on plonge directement dans l’ambiance ! L’agencement des images et la représentation de certaines scènes donnent l’impression d’être pris dans un tourbillon, un peu comme ces enfants qui sont entre réalité et fiction. Quant à l’histoire, ce one shot se suffit à lui-même. Je vous conseille de prendre le temps de lire la postface de l’auteur, c’est intéressant de voir comment la littérature française a laissé sa trace au pays du soleil levant. Un bien beau livre ma foi. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/a-tire-d-aile-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. poseidon2

    Bucket list of the dead t4

    Le WTF manga de chez Kana continue sa route (c'est le cas de le dire) et prends un peu d'épaisseur. A l'instar de Grand Blue chez Meian, ce tome quatre commence à dépasser le simple WTF au milieu des zombies avec la rencontre avec les parents d'Akira et une fébrilité certaine entre lui et Shizuka. Pour amener un peu de nouveauté, un nouveau personnage débarque dans l'horizon de notre trio en la personne d'une belle blonde Allemande à forte poitrine. Mais une jeune fille fan de japon et pleine de dynamisme qui pousse Akira à suivre ces délires. Et c'est un changement de ce tome 4. En effet tous nos personnages se sont appropriés la liste d'Akira et tous le poussent à accomplir ses rêves. Même Shizuka. C'est court, c'est sympa, ça détend.... C’est un bon manga 🙂
  25. Titre de l'album : Bucket list of the dead t4 Scenariste de l'album : Haro Asô Dessinateur de l'album : Kotaro Takata Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Après avoir réussi à surmonter la relation abusive qui le maintenait sous le joug de son ancien supérieur hiérarchique, Akira se remet en route vers le village de ses parents. Mais le trajet n'est pas de tout repos, peuplé de zombies et semé de nouvelles missions à accomplir ! Sushis, sources chaudes, maison dans les arbres... Les occasions de s'émerveiller ne manquent pas pour Akira et ses compagnons, qui profitent à fond de leur voyage, tout en gardant un oeil sur les zombies ! Critique : Le WTF manga de chez Kana continue sa route (c'est le cas de le dire) et prends un peu d'épaisseur. A l'instar de Grand Blue chez Meian, ce tome quatre commence à dépasser le simple WTF au milieu des zombies avec la rencontre avec les parents d'Akira et une fébrilité certaine entre lui et Shizuka. Pour amener un peu de nouveauté, un nouveau personnage débarque dans l'horizon de notre trio en la personne d'une belle blonde Allemande à forte poitrine. Mais une jeune fille fan de japon et pleine de dynamisme qui pousse Akira à suivre ces délires. Et c'est un changement de ce tome 4. En effet tous nos personnages se sont appropriés la liste d'Akira et tous le poussent à accomplir ses rêves. Même Shizuka. C'est court, c'est sympa, ça détend.... C’est un bon manga 🙂 Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/bucket-list-of-the-dead-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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