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  1. L’action se déroule dans un futur moyennement proche, la Terre a vu le niveau des mers et océans augmenter et une flotte mystérieuse dite » flotte du brouillard » prendre la suprématie sur les mers, flotte hostile à tout déplacement maritime. Ces nouveaux navires surpuissants sont dotés d’une intelligence représentée sous la forme d’humanoïde féminin. L’un d’eux « 401 » a collabore avec un équipage japonais pour lutter contre ces « envahisseurs ». Le Japon a réussi a développé une nouvelle arme qui pourrait être déterminante dans cette lutte mais n’a pas les moyens de la produire, elle demande donc à l’équipage du 401 de l’emmener aux Etats-Unis. Arpeggio of blue steel a commencé à être écrit en 2009, il est le pionner d’un genre nouveau où les armes et/ou équipements militaires sont dotés de conscience représentée sous forme d’un avatar, le genre plaît beaucoup au Japon et le manga est un véritable succès, il est toujours en cours et compte 22 volumes à ce jour sans compter les adaptations en anime. Concernant l’histoire, les deux premiers tomes servent de mise en place : la situation de l’espèce humaine dans ce qu’il reste du monde, la menace de la flotte du brouillard, l’équipage réduit du 401 avec son commandant Gunzo Chihaya dont le père aurait trahi l’humanité et surtout en apprend à connaître ces avatars et la raison pour laquelle ils ont été créés En plus du côté futuriste et guerre, le manga se penche sur la notion même de l’humanité. Il y a quelques longueurs au début, surement liées à la mise en place du contexte. Le manga ne manque pas d’actions ni de mystères qui entretiennent l’intérêt. A suivre donc.
  2. Titre de l'album : Arpeggio of blue steel tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : ARK Performance Dessinateur de l'album : ARK Performance Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : 2039 : alors que le réchauffement climatique a fait monter le niveau des océans, les forces navales humaines sont décimées par la mystérieuse «flotte du Brouillard», dont les navires doués d'intelligence empêchent tout déplacement maritime. 17 ans plus tard Iona, avatar de l'un de ces navires, rejoint les forces humaines et s'allie à Gunzo Chihaya. Son aide ne sera pas de trop car le jeune homme, capitaine des corsaires Blue Steel, est engagé par le gouvernement japonais pour une mission qui pourrait enfin permettre à l'humanité de rivaliser avec ses ennemis. Critique : L’action se déroule dans un futur moyennement proche, la Terre a vu le niveau des mers et océans augmenter et une flotte mystérieuse dite » flotte du brouillard » prendre la suprématie sur les mers, flotte hostile à tout déplacement maritime. Ces nouveaux navires surpuissants sont dotés d’une intelligence représentée sous la forme d’humanoïde féminin. L’un d’eux « 401 » a collabore avec un équipage japonais pour lutter contre ces « envahisseurs ». Le Japon a réussi a développé une nouvelle arme qui pourrait être déterminante dans cette lutte mais n’a pas les moyens de la produire, elle demande donc à l’équipage du 401 de l’emmener aux Etats-Unis. Arpeggio of blue steel a commencé à être écrit en 2009, il est le pionner d’un genre nouveau où les armes et/ou équipements militaires sont dotés de conscience représentée sous forme d’un avatar, le genre plaît beaucoup au Japon et le manga est un véritable succès, il est toujours en cours et compte 22 volumes à ce jour sans compter les adaptations en anime. Concernant l’histoire, les deux premiers tomes servent de mise en place : la situation de l’espèce humaine dans ce qu’il reste du monde, la menace de la flotte du brouillard, l’équipage réduit du 401 avec son commandant Gunzo Chihaya dont le père aurait trahi l’humanité et surtout en apprend à connaître ces avatars et la raison pour laquelle ils ont été créés En plus du côté futuriste et guerre, le manga se penche sur la notion même de l’humanité. Il y a quelques longueurs au début, surement liées à la mise en place du contexte. Le manga ne manque pas d’actions ni de mystères qui entretiennent l’intérêt. A suivre donc. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/arpeggio-of-blue-steel-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Nickad

    My elder sister tome 3

    Yuu et Chiyo continuent leur cohabitation, leur quotidien d’une grande tendresse empreint de douceur. C’est au travers de petits détails que chacun apprend sur l’autre mais aussi prend conscience qu’il ne sait pas grand-chose en réalité. Cette vie semble leur convenir mais il pourrait bien que d’autres facteurs extérieurs viennent perturber ce quotidien. Encore une fois, la majorité du tome reste centré sur nos deux personnages qui semblent n’avoir besoin de personne d’autre. Une ambiance intimiste entre douceur et séduction car l’auteure sait mettre en valeur son héroïne avec une pointe d’érotisme sans jamais tomber dans le vulgaire. Le graphisme est à la hauteur, il est agréable et dégage une certaine chaleur. Ce n’est que vers la fin du tome que des changements arrivent, changements annoncés dès le début de la série par le narrateur (qui n’est autre que Yuu plus âgé). N’oublions pas que Chiyo est un démon et qu’un pacte a été passé. Un tome qui prend son temps, un peu court peut-être (132 pages seulement) mais toujours très agréable, surtout visuellement.
  4. Titre de l'album : My elder sister tome 3 Scenariste de l'album : IIDA Pochi Dessinateur de l'album : IIDA Pochi Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Démons comme dieux, sont au-delà du bien et du mal. Malgré son inquiétude, Yuu continue de mener sa vie de famille heureuse aux côtés de Chiyo. Cependant, une menace, difficile à définir, plane... Que peut bien manigancer la dénommée Haru ? Critique : Yuu et Chiyo continuent leur cohabitation, leur quotidien d’une grande tendresse empreint de douceur. C’est au travers de petits détails que chacun apprend sur l’autre mais aussi prend conscience qu’il ne sait pas grand-chose en réalité. Cette vie semble leur convenir mais il pourrait bien que d’autres facteurs extérieurs viennent perturber ce quotidien. Encore une fois, la majorité du tome reste centré sur nos deux personnages qui semblent n’avoir besoin de personne d’autre. Une ambiance intimiste entre douceur et séduction car l’auteure sait mettre en valeur son héroïne avec une pointe d’érotisme sans jamais tomber dans le vulgaire. Le graphisme est à la hauteur, il est agréable et dégage une certaine chaleur. Ce n’est que vers la fin du tome que des changements arrivent, changements annoncés dès le début de la série par le narrateur (qui n’est autre que Yuu plus âgé). N’oublions pas que Chiyo est un démon et qu’un pacte a été passé. Un tome qui prend son temps, un peu court peut-être (132 pages seulement) mais toujours très agréable, surtout visuellement. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/my-elder-sister-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Nickad

    Entre les lignes tome 3

    Premier jour de lycée pour Asa, elle y retrouve son amie Emiri, mais lors d’une discussion entre nouveaux camarades de classe, elle leur annonce que ces parents sont morts dans un accident et qu’elle vit avec sa tante romancière. Elle se demande après coup si ce n’était pas une erreur. Elle se rend compte très vite que les réponses sa tante Makio et celles de sa mère ne sont pas les mêmes, elle se sent perdus ne sachant qui écouter. De son côté, quand Emiri vient rendre visite à Asa, Makio réalise que son petit chez elle n’est plus qu’à elle, elle se sent envahie. Le manga est toujours aussi juste quand il s’agit de décrire les sentiments, aucune de ses deux protagonistes n’étant très expressives, même plutôt renfermée, c’est au cours de leurs réflexions qu’on comprend leurs émotions. Chacune doit apprendre à vivre avec une personne qu’elle n’a pas choisi tout en voyant leur quotidien être complètement chamboulé. Petit à petit Asa met des mots sur son chagrin, sa colère, elle chemine lentement dans le processus du deuil. Si le dessin n’est pas toujours très net, surtout sur les visages, le teste est intelligent et sensible.
  6. Titre de l'album : Entre les lignes tome 3 Scenariste de l'album : YAMASHITA Tomoko Dessinateur de l'album : YAMASHITA Tomoko Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : L'heure de la rentrée au lycée a sonné pour Asa. Makio est absente lors de la cérémonie d'entrée de sa nièce. Makio ne sera pas une seconde maman pour Asa même si elle l'accompagne dans la vie. Et Asa ne peut s'empêcher de se sentir différentes de ses nouveaux camarades accompagnés par leurs parents. Le journal que sa tante lui a conseillé de tenir l'attend mais elle ne sait pas toujours quoi écrire dans ce tourbillon de sentiments et d'émotions contradictoires qui l'assaillent... Critique : Premier jour de lycée pour Asa, elle y retrouve son amie Emiri, mais lors d’une discussion entre nouveaux camarades de classe, elle leur annonce que ces parents sont morts dans un accident et qu’elle vit avec sa tante romancière. Elle se demande après coup si ce n’était pas une erreur. Elle se rend compte très vite que les réponses sa tante Makio et celles de sa mère ne sont pas les mêmes, elle se sent perdus ne sachant qui écouter. De son côté, quand Emiri vient rendre visite à Asa, Makio réalise que son petit chez elle n’est plus qu’à elle, elle se sent envahie. Le manga est toujours aussi juste quand il s’agit de décrire les sentiments, aucune de ses deux protagonistes n’étant très expressives, même plutôt renfermée, c’est au cours de leurs réflexions qu’on comprend leurs émotions. Chacune doit apprendre à vivre avec une personne qu’elle n’a pas choisi tout en voyant leur quotidien être complètement chamboulé. Petit à petit Asa met des mots sur son chagrin, sa colère, elle chemine lentement dans le processus du deuil. Si le dessin n’est pas toujours très net, surtout sur les visages, le teste est intelligent et sensible. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/entre-les-lignes-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. poseidon2

    Fire force t20-21

    Pfffff comme c'est bon. Et comme j'ai bien fait d'écouter mon fiston. J'avais un peu laché l'affaire sur Fire force. Trop de truc à lire, trop de séries en cours.... et il y avait un temp mort. Mon fils m'a seriné durant des jours me disant qu'il fallait que je me remette à jour alors un jour ou j'avais envie de ne pas reflechir je l'ai écouté et j'ai vraiment bien fait. Ces deux tomes sont excellents. Tout bouge ! le grand prédicateur, l'empire, la 8 ieme brigade, les pouvoirs de Shinra et d'Arthur, le capitaine Obi.... tout ! Un rythme de dingue, des combats de folie, des retournements de situations, des personnages qui vont au bout d'eux même et un suspens insoutenable. On ferme ce tome comme on peut fermer les meilleurs tomes des séries de Shonen : avec une furieuse envie de lire la suite ! C'est de la lecture détente mais de la bonne. Une lecture qui nous fait oublier des les premiers pages les soucis du quotidien et qui nous plonge au plein coeur d'une aventure démentielle. J'en veux encore ! et vite !
  8. Titre de l'album : Fire force t20-21 Scenariste de l'album : Atsushi Ohkubo Dessinateur de l'album : Atsushi Ohkubo Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : L'église du Saint-Soleil s'est alliée avec le Grand Prédicateur, et le capitaine Ôbi de la 8e brigade a été emprisonné. Afin de sauver leur capitaine, Shinra et ses camarades, poursuivis par l'empire, vont s'introduire dans la grande prison de Fuchû avec l'aide du mystérieux Joker. Mais le capitaine Barns de la 1re brigade et les Exterminateurs, des experts en combat contre les détenteurs de pouvoirs, les attendent de pied ferme ! Face à Barns, le plus puissant adversaire qu'il ait jamais affronté, Shinra va devoir montrer que l'entraînement suivi à Asakusa a porté ses fruits ! Critique : Pfffff comme c'est bon. Et comme j'ai bien fait d'écouter mon fiston. J'avais un peu laché l'affaire sur Fire force. Trop de truc à lire, trop de séries en cours.... et il y avait un temp mort. Mon fils m'a seriné durant des jours me disant qu'il fallait que je me remette à jour alors un jour ou j'avais envie de ne pas reflechir je l'ai écouté et j'ai vraiment bien fait. Ces deux tomes sont excellents. Tout bouge ! le grand prédicateur, l'empire, la 8 ieme brigade, les pouvoirs de Shinra et d'Arthur, le capitaine Obi.... tout ! Un rythme de dingue, des combats de folie, des retournements de situations, des personnages qui vont au bout d'eux même et un suspens insoutenable. On ferme ce tome comme on peut fermer les meilleurs tomes des séries de Shonen : avec une furieuse envie de lire la suite ! C'est de la lecture détente mais de la bonne. Une lecture qui nous fait oublier des les premiers pages les soucis du quotidien et qui nous plonge au plein coeur d'une aventure démentielle. J'en veux encore ! et vite ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/fire-force-tome-21?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Nickad

    Tower of God tome 4

    Ce tome voit la fin du jeu de la couronne qui prend bien la moitié du livre, ce n’est pas la plus intéressante des épreuves mais encore une fois, cela permet d’introduire les personnages (et leurs capacités) qui auront de l’importance plus tard. La fin de ce jeu voit l’arrivée de Rachel avec un retour en arrière sur son passé commun avec Bam, son apparition va-t-elle changer la situation ? Comment Bam va-t-il réagir ? Une première moitié un peu moins intéressante, quelques longueurs sur ce jeu de la couronne mais une seconde qui réserve son lot de surprises. Un manga toujours agréable à lire, un graphisme parfois un peu simple, rappelons qu’il s’agit de la 1ere œuvre de l’auteur. On commence à voir quels sont les personnages qui se démarquent et qui vont poursuivre l’aventure; Khun notamment est clairement le personnage central de ce tome; par contre il reste beaucoup d’énigmes concernant la Tour. Un manga que je lis avec plaisir (relire dans mon cas, l’ayant découvert dans sa version webtoon).
  10. Titre de l'album : Tower of God tome 4 Scenariste de l'album : SIU Dessinateur de l'album : SIU Coloriste : Editeur de l'album : Ototo Note : Résumé de l'album : Pour celles et ceux qui réussissent à atteindre son sommet, il n’est aucun désir que la Tour de Dieu ne puisse exaucer. Seulement, combien y parviennent ? Pour le protéger, Bam a été contraint de parier le Mars Noir avec Anak. Khun, Rak et lui n’ont plus d’autres choix que de gagner le jeu de la couronne... Leur entrée en scène s’est bien passée puisqu’ils se sont emparés du précieux couvre-chef. Toutefois, Khun l’a immédiatement rejeté entre leurs ennemis en se moquant d’eux, excitant leur colère ! Qu’a-t-il en tête ? Critique : Ce tome voit la fin du jeu de la couronne qui prend bien la moitié du livre, ce n’est pas la plus intéressante des épreuves mais encore une fois, cela permet d’introduire les personnages (et leurs capacités) qui auront de l’importance plus tard. La fin de ce jeu voit l’arrivée de Rachel avec un retour en arrière sur son passé commun avec Bam, son apparition va-t-elle changer la situation ? Comment Bam va-t-il réagir ? Une première moitié un peu moins intéressante, quelques longueurs sur ce jeu de la couronne mais une seconde qui réserve son lot de surprises. Un manga toujours agréable à lire, un graphisme parfois un peu simple, rappelons qu’il s’agit de la 1ere œuvre de l’auteur. On commence à voir quels sont les personnages qui se démarquent et qui vont poursuivre l’aventure; Khun notamment est clairement le personnage central de ce tome; par contre il reste beaucoup d’énigmes concernant la Tour. Un manga que je lis avec plaisir (relire dans mon cas, l’ayant découvert dans sa version webtoon). Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tower-of-god-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Ces deux tomes marquent la fin de l’épisode du « désastre », quelques combats mais surtout des révélations sur le passé d’Akira, de Yuri, de Mion, des observateurs... On commence à comprendre quels sont les objectifs d’un tel jeu. Mais surtout il y a une conversation entre Akira et Kumagiri sur la confiance : qu’est-ce que c’est et comment l’accorder/l’obtenir. Cela va avoir des conséquences sur Akira qui va devoir se remettre en cause mais cela va lui permettre d’évoluer. Tout en ayant toujours beaucoup d’action, le manga gagne en profondeur, Akira et Otomo ne sont pas là par hasard (entre autre). Et s’il y a parfois des longueurs, le manga continue à être intéressant d’autant plus qu’il est servi par un graphisme adéquate, dynamique et détaillé. On continuera donc de le lire.
  12. Titre de l'album : Battle game in 5 seconds tomes 16 et 17 Scenariste de l'album : HARAWATA Saizou Dessinateur de l'album : KASHIWA Miyako Coloriste : Editeur de l'album : Doki-Doki Note : Résumé de l'album : Le Désastre se clôture enfin! Akira va faire un choix radical pour se prouver quelque chose. Akira a perdu plusieurs camarades brutalement assassinés par Leonhardt. Au moment où il s'échappe du parc d'attractions qui est en train de s'effondrer, Akira prend une décision. Le Désastre se clôt sur un rebondissement que personne n'avait prévu ! Critique : Ces deux tomes marquent la fin de l’épisode du « désastre », quelques combats mais surtout des révélations sur le passé d’Akira, de Yuri, de Mion, des observateurs... On commence à comprendre quels sont les objectifs d’un tel jeu. Mais surtout il y a une conversation entre Akira et Kumagiri sur la confiance : qu’est-ce que c’est et comment l’accorder/l’obtenir. Cela va avoir des conséquences sur Akira qui va devoir se remettre en cause mais cela va lui permettre d’évoluer. Tout en ayant toujours beaucoup d’action, le manga gagne en profondeur, Akira et Otomo ne sont pas là par hasard (entre autre). Et s’il y a parfois des longueurs, le manga continue à être intéressant d’autant plus qu’il est servi par un graphisme adéquate, dynamique et détaillé. On continuera donc de le lire. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/battle-game-in-5-seconds-tome-17?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Nickad

    Leviathan tome 1

    Juste avant les fêtes, l'excellent éditeur de mangas Ki-oon (adaptations de Lovecraft en cuir relié entre autres) a commencé à teaser cette couverture intrigante et ce titre : Léviathan, créature monstrueuse des profondeurs utilisée maintes et maintes fois dans des adaptations à toutes les sauces. Sauf qu'il ne s'agit pas d'océan ici, mais bien du vide spatial, et j'ai une petite idée de qui est réellement ce monstre enfoui. D’emblée, nous suivons ces trois pillards de l'espace sentant le bon filon à la découverte de cette immense épave de vaisseau spatial. Les coursives sont explorées au fil de la lecture d'un carnet trouvé sur place par l'un des « explorateurs ». Ce récit d'un des anciens passagers (adolescents en voyage scolaire) doit nous en apprendre plus sur les événements passés. Deux temporalités s'offrent donc à nous. On va suivre plus précisément la vie de cette classe vue par un enfant en particulier. La tension va monter crescendo suite à l'explosion de plusieurs parties du navire. Les portes étanches se ferment, le huis clos peut commencer ! Les réserves d'oxygène en berne avec un compte à rebours fatal, une possible voie de survie avec un seul et unique caisson de cryogénisation. Comment réagir, qui peut survivre et pourquoi ? Une véritable mis en abyme des comportements sociaux du groupe se déroule sous nos yeux. C'est bien ici que (pour moi) le monstre des profondeurs sort et pousse les acteurs à effectuer des actions qu'ils n'auraient jamais entreprises en temps normal. L'auteur s'amuse à dépeindre un effondrement total de cette micro-société . Tout ceci sous les yeux horrifiés des trois pillards se demandant bien dans quelle galère ils sont tombés ! Le dessin se veut plutôt réaliste. On peut observer d'ailleurs des similitudes avec Junji Itô dans la manière de présenter le récit : le fantastique étant un prétexte pour critiquer le comportement humain dans ses pires retranchements. Shiro Kuroi propose un trait élégant "encré », évitant les écueils de mangas type (humour, grosses larmes, caricatures dans les bulles etc.…) dont j'avoue ne pas être trop client. Son découpage est impressionnant avec des jeux d'ombres et de regards assez réalistes et vivants. Le tout dans un format plus grand, afin d'apprécier encore plus son trait. Je grille la politesse à @nickad , une fois n'est pas coutume , car je dois bien avouer avoir dévoré cette lecture et surtout, l'avoir appréciée. Critique réalisée par Kevin Pas grand-chose de plus à ajouter à la critique de Kevin à part que je suis sortie de la lecture en me disant que c’était un excellent tome !! Un manga qui a tout : un style graphique réaliste assez inhabituel (pour un manga) qui donne toutes leurs forces aux expressions des personnages, un récit bien mené qui navigue entre science-fiction, suspens et horreur. Une tension qui monte petit à petit jusqu’à nous laisser affamés : on veut la suite !! L’auteur Shiro KUROI signe ici une création originale, directement publiée en France sans passer par le Japon. S’il travaille dans ce secteur depuis une dizaine d’années, il reconnaît avoir été aussi influencé par la bande dessinée européenne et avoir essayé de faire un rendu proche des cités obscures de Schuiten. La série est prévue en 3 tomes.
  14. Nickad

    Leviathan tome 1

    Titre de l'album : Leviathan tome 1 Scenariste de l'album : KUROI Shiro Dessinateur de l'album : KUROI Shiro Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Au fin fond de la galaxie, le Léviathan, un immense vaisseau spatial, flotte à la dérive. Quand des pilleurs d'épaves s'y introduisent, ils découvrent le journal intime d'un collégien, Kazuma, relatant les événements qui ont eu lieu dans les entrailles du navire... À sa lecture, l'évidence s'impose : un survivant de la catastrophe se cache quelque part dans le dédale des ruines ! Des années plus tôt, le jeune Kazuma est en plein voyage scolaire vers la Terre. La fête tourne court quand des explosions d'origine inconnue détruisent une partie de la coque du vaisseau ! Voilà les passagers immobilisés au milieu de nulle part... L'adolescent et sa camarade Futaba surprennent alors une conversation entre leur professeur et un robot de maintenance : les réserves d'oxygène sont insuffisantes pour tenir jusqu'à l'arrivée des secours... Le seul espoir de survie est un caisson de cryogénisation niché au cœur du géant de métal. Or, il ne peut contenir qu'une personne... Malheureusement pour les élèves, l'enseignant comprend vite qu'il a été entendu. C'est le début d'une lutte sanglante pour préserver le secret ! Dans un décor angoissant dépeint avec une minutie extrême, Léviathan nous emporte dans un voyage au bout de l'enfer. Comment garder son humanité dans l'étendue glacée de l'espace ? Critique : Juste avant les fêtes, l'excellent éditeur de mangas Ki-oon (adaptations de Lovecraft en cuir relié entre autres) a commencé à teaser cette couverture intrigante et ce titre : Léviathan, créature monstrueuse des profondeurs utilisée maintes et maintes fois dans des adaptations à toutes les sauces. Sauf qu'il ne s'agit pas d'océan ici, mais bien du vide spatial, et j'ai une petite idée de qui est réellement ce monstre enfoui. D’emblée, nous suivons ces trois pillards de l'espace sentant le bon filon à la découverte de cette immense épave de vaisseau spatial. Les coursives sont explorées au fil de la lecture d'un carnet trouvé sur place par l'un des « explorateurs ». Ce récit d'un des anciens passagers (adolescents en voyage scolaire) doit nous en apprendre plus sur les événements passés. Deux temporalités s'offrent donc à nous. On va suivre plus précisément la vie de cette classe vue par un enfant en particulier. La tension va monter crescendo suite à l'explosion de plusieurs parties du navire. Les portes étanches se ferment, le huis clos peut commencer ! Les réserves d'oxygène en berne avec un compte à rebours fatal, une possible voie de survie avec un seul et unique caisson de cryogénisation. Comment réagir, qui peut survivre et pourquoi ? Une véritable mis en abyme des comportements sociaux du groupe se déroule sous nos yeux. C'est bien ici que (pour moi) le monstre des profondeurs sort et pousse les acteurs à effectuer des actions qu'ils n'auraient jamais entreprises en temps normal. L'auteur s'amuse à dépeindre un effondrement total de cette micro-société . Tout ceci sous les yeux horrifiés des trois pillards se demandant bien dans quelle galère ils sont tombés ! Le dessin se veut plutôt réaliste. On peut observer d'ailleurs des similitudes avec Junji Itô dans la manière de présenter le récit : le fantastique étant un prétexte pour critiquer le comportement humain dans ses pires retranchements. Shiro Kuroi propose un trait élégant "encré », évitant les écueils de mangas type (humour, grosses larmes, caricatures dans les bulles etc.…) dont j'avoue ne pas être trop client. Son découpage est impressionnant avec des jeux d'ombres et de regards assez réalistes et vivants. Le tout dans un format plus grand, afin d'apprécier encore plus son trait. Je grille la politesse à @nickad , une fois n'est pas coutume , car je dois bien avouer avoir dévoré cette lecture et surtout, l'avoir appréciée. Critique réalisée par Kevin Pas grand-chose de plus à ajouter à la critique de Kevin à part que je suis sortie de la lecture en me disant que c’était un excellent tome !! Un manga qui a tout : un style graphique réaliste assez inhabituel (pour un manga) qui donne toutes leurs forces aux expressions des personnages, un récit bien mené qui navigue entre science-fiction, suspens et horreur. Une tension qui monte petit à petit jusqu’à nous laisser affamés : on veut la suite !! L’auteur Shiro KUROI signe ici une création originale, directement publiée en France sans passer par le Japon. S’il travaille dans ce secteur depuis une dizaine d’années, il reconnaît avoir été aussi influencé par la bande dessinée européenne et avoir essayé de faire un rendu proche des cités obscures de Schuiten. La série est prévue en 3 tomes. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/leviathan-tome-1-203910?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Nickad

    My Hero Academia Smash tome 1

    Vous connaissez les gags en 4 cases, appelés yonkoma, que l’on trouve parfois à la fin d’un chapitre ou à la fin d’un tome ? C’est le principe ici : Hirofumi NEDA reprend le déroulé de My Hero Academia et le décline en yonkoma en proposant une variante humoristique. Il signe d’ailleurs avec ce titre son 1er manga qui est fini en 5 tomes. Si le manga original ne manque pas d’humour, cette déclinaison n’en manque pas non plus, on s’amuse à retrouver les personnages dans des situations variées avec des réflexions un peu plus cash parfois. Côté graphisme, l’auteur s’est appliqué on reconnait bien les héros et chaque case est travaillée avec décor et arrière-plan (ce n’est pas toujours le cas dans ce format). Le manga peut être lu par ceux qui ne connaitraient pas encore la série, cela permet de découvrir l’univers, les personnages, suivre globalement l’intrigue par contre, il ne faut pas s’attacher aux détails car cela reste une variante. Pour les fans de la 1ere heure, c’est le petit plus humoristique agréable et bien fait qui permet de prolonger le plaisir. En plus, comme ce sont des gags, on n’est pas obligé de lire le livre en 1 fois. Pour information, le film My Hero Academia : World Heroes’ Missions est sorti le 26 janvier au cinéma.
  16. Titre de l'album : My Hero Academia Smash tome 1 Scenariste de l'album : NEDA Hirofumi Dessinateur de l'album : NEDA Hirofumi Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Et si All Might ne perdait pas de kilos en même temps que sa force, mais... en gagnait ? Et si Izuku devenait accro aux achats en ligne dans sa quête de puissance ? Et si Katsuki était fait pour être baby-sitter sans le savoir ? Toutes les situations les plus improbables que vous ayez jamais imaginées en lisant My Hero Academia rassemblées dans une série de gags plus fous les uns que les autres ! Retrouvez tous les personnages du manga phénomène dans un recueil d'histoires courtes à l'humour déjanté ! Sans tabou ni limites, cette parodie plus ultra vous fera découvrir vos héros sous un nouveau jour ! Critique : Vous connaissez les gags en 4 cases, appelés yonkoma, que l’on trouve parfois à la fin d’un chapitre ou à la fin d’un tome ? C’est le principe ici : Hirofumi NEDA reprend le déroulé de My Hero Academia et le décline en yonkoma en proposant une variante humoristique. Il signe d’ailleurs avec ce titre son 1er manga qui est fini en 5 tomes. Si le manga original ne manque pas d’humour, cette déclinaison n’en manque pas non plus, on s’amuse à retrouver les personnages dans des situations variées avec des réflexions un peu plus cash parfois. Côté graphisme, l’auteur s’est appliqué on reconnait bien les héros et chaque case est travaillée avec décor et arrière-plan (ce n’est pas toujours le cas dans ce format). Le manga peut être lu par ceux qui ne connaitraient pas encore la série, cela permet de découvrir l’univers, les personnages, suivre globalement l’intrigue par contre, il ne faut pas s’attacher aux détails car cela reste une variante. Pour les fans de la 1ere heure, c’est le petit plus humoristique agréable et bien fait qui permet de prolonger le plaisir. En plus, comme ce sont des gags, on n’est pas obligé de lire le livre en 1 fois. Pour information, le film My Hero Academia : World Heroes’ Missions est sorti le 26 janvier au cinéma. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/my-hero-academia-smash-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Nickad

    La divine comédie

    Le manga est l’adaptation de l’œuvre de Dante qui se compose de 3 parties de 33 poèmes plus 1 poème d’introduction : l’enfer, le purgatoire et le paradis tels qu’ils étaient vus au Moyen-âge. Si l’œuvre originale proposait un équilibre entre les 3, le manga fait la part belle à l’enfer, peut-être parce que c’est plus parlant avec des descriptions concrètes des péchés et des punitions. En comparaison, le purgatoire et le paradis, tel que Dante les présente, sont plus axés sur la théologie avec un aspect plus spirituel. Concernant l’histoire, on ne va pas faire un débat sur le contenu, il faut bien comprendre que c’est une vision ancienne à l’époque où le catholicisme est dominant et en pleine Inquisition. Sur l’adaptation, le manga est une version simplifiée de l’œuvre qui a le mérite d’en montrer les grandes lignes : on retrouve bien les différentes parties, des exemples concrets de pécheurs et les idées importantes. Rappelons que la Divine comédie se voulait être une sorte de guide pour remettre les hommes dans le droit chemin, c’est-à-dire celui qui mène à Dieu. Le manga permet de se faire une idée assez juste et assez compréhensible de l’original, il manque peut-être quelques explications sur la symbolique de telle créature ou personnage qui permettrait de mieux comprendre les allégories. La partie graphique est correcte, comme tous les autres livres de la collection classique, ce n’est pas le point fort car ce n’est pas non plus l’objectif : le but étant de faire connaître les classiques de la littérature en les rendant plus accessibles. Pour information, il existe une autre adaptation manga de la divine comédie réalisée par Gô NAGAI (Goldorak) en 3 volumes, plus complète et plus graphique mais qui se concentre également sur la partie des enfers (2 tomes sur 3).
  18. Nickad

    La divine comédie

    Titre de l'album : La divine comédie Scenariste de l'album : DANTE Alighieri Dessinateur de l'album : Variety Artworks Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Brûlant d'un amour sans retour pour Béatrice, Dante perd toute volonté de vivre au décès de celle-ci. Soudain, il s'aperçoit qu'il erre dans une bien sombre forêt. Il y rencontre Virgile, le poète de la Rome Antique, et pour trouver sa voie, décide de voyager avec lui à travers les divers "royaumes de l'après-vie". Critique : Le manga est l’adaptation de l’œuvre de Dante qui se compose de 3 parties de 33 poèmes plus 1 poème d’introduction : l’enfer, le purgatoire et le paradis tels qu’ils étaient vus au Moyen-âge. Si l’œuvre originale proposait un équilibre entre les 3, le manga fait la part belle à l’enfer, peut-être parce que c’est plus parlant avec des descriptions concrètes des péchés et des punitions. En comparaison, le purgatoire et le paradis, tel que Dante les présente, sont plus axés sur la théologie avec un aspect plus spirituel. Concernant l’histoire, on ne va pas faire un débat sur le contenu, il faut bien comprendre que c’est une vision ancienne à l’époque où le catholicisme est dominant et en pleine Inquisition. Sur l’adaptation, le manga est une version simplifiée de l’œuvre qui a le mérite d’en montrer les grandes lignes : on retrouve bien les différentes parties, des exemples concrets de pécheurs et les idées importantes. Rappelons que la Divine comédie se voulait être une sorte de guide pour remettre les hommes dans le droit chemin, c’est-à-dire celui qui mène à Dieu. Le manga permet de se faire une idée assez juste et assez compréhensible de l’original, il manque peut-être quelques explications sur la symbolique de telle créature ou personnage qui permettrait de mieux comprendre les allégories. La partie graphique est correcte, comme tous les autres livres de la collection classique, ce n’est pas le point fort car ce n’est pas non plus l’objectif : le but étant de faire connaître les classiques de la littérature en les rendant plus accessibles. Pour information, il existe une autre adaptation manga de la divine comédie réalisée par Gô NAGAI (Goldorak) en 3 volumes, plus complète et plus graphique mais qui se concentre également sur la partie des enfers (2 tomes sur 3). Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/divine-comedie?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Nickad

    Come to hand

    Miharu est un professeur de musique trentenaire, Arashi un gérant d’un tattoo shop. Un jour Arashi trouve Miharu évanoui devant sa porte, il l’aide. Chacun des deux semblent intrigués par l’autre, au fur et à mesure de leurs rencontres, ils vont apprendre à se connaître et leurs sentiments vont se développer. Come to hand est un manga tout en douceur, chaque personnage cherche à connaître l’autre sans pour autant délaisser leur propre vie et en faisant attention de ne pas trop empiéter sur la vie de l’autre. Le graphisme est agréable sans pour autant être très poussé, on regrettera l’aspect trop jeune du professeur qui fait (à mon goût) trop enfantin. C’est un manga mignon qui se laisse lire.
  20. Nickad

    Come to hand

    Titre de l'album : Come to hand Scenariste de l'album : SEI Dessinateur de l'album : SEI Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Miharu, un professeur de musique débordé, s'effondre sur la route enneigée à cause de son surmenage. Recueilli par Arashi, le gérant d'un tattoo shop, il ne peut cacher son appréhension en voyant pour la première fois de vrais tatouages et finit par lui faire des commentaires déplacés. Regrettant sa conduite, il décide de repasser à la boutique d'Arashi pour lui présenter ses excuses. La gentillesse et la prévenance du jeune homme donneront à Miharu envie d'apprendre à le connaître, mais trouvera-t-il le temps de laisser place à l'amour ? Critique : Miharu est un professeur de musique trentenaire, Arashi un gérant d’un tattoo shop. Un jour Arashi trouve Miharu évanoui devant sa porte, il l’aide. Chacun des deux semblent intrigués par l’autre, au fur et à mesure de leurs rencontres, ils vont apprendre à se connaître et leurs sentiments vont se développer. Come to hand est un manga tout en douceur, chaque personnage cherche à connaître l’autre sans pour autant délaisser leur propre vie et en faisant attention de ne pas trop empiéter sur la vie de l’autre. Le graphisme est agréable sans pour autant être très poussé, on regrettera l’aspect trop jeune du professeur qui fait (à mon goût) trop enfantin. C’est un manga mignon qui se laisse lire. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/come-to-hand?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. poseidon2

    Gannibal t1

    Voilà bien un manga que je ne pensais vraiment pas aimer. C'est con hein de se dire qu'on critique un manga qu'on n'aime pas ? Je suis d'accord mais j'aime donner sa chance à des premiers tomes et sur celui-ci j'ai vraiment bien fait. Là où ce tome 1 a été étonnant c'est qu'il ne cache pas cette histoire de cannibale. Nous ne sommes pas dans une enquête sur la possibilité de cannibalisme. On est plus dans un survival angoissant. ON comprend très bien comment a disparu le précèdent policier mais, tout comme notre héros, on espère qu'il ne lui arrivera pas la même chose ! Ce qui est très bien rendu c'est la pression mise sur le policier dès qu'il débarque en ville et l'impression que les villageois maîtrisent tout et que notre héros est complètement perdu. On part quasiment tout de suite avec le sentiment qu'il ne peut pas s'en sortir.... et on suit donc cette lutte pour la survie de notre famille en dévorant les pages pour voir ce qu'il va se passer. Il faut spécifier aussi que plutôt que de faire du gore absolu, notre auteur préfère laisser imaginer les détails des scènes et mettre l'accent sur des traits sombres et une ambiance lourde. Pile poil ce qu'il me faut : pas trop de visuel, pas trop de sadisme (ca je n’aime pas du tout) mais une vraie ambiance pesante. L'excellente surprise de ces vacances.... à ne pas mettre entre toutes les mains non plus !
  22. poseidon2

    Gannibal t1

    Titre de l'album : Gannibal t1 Scenariste de l'album : Masaaki Ninomiya Dessinateur de l'album : Masaaki Ninomiya Coloriste : Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : "Les habitants de ce village sont cannibales."Daigo Agawa, policier de son état, a été détaché à Kuge, un village de montagne reculé. Bien que la communauté l'accueille chaleureusement lui et sa famille, la mort d'une vieille villageoise fait jaillir des doutes quant à la normalité de ce lieu...Une série d'évènements étranges, le sentiment d'exclusion, une tension permanente... Découvrez tous les tourments de ce village empreint d'ostracisme, dans un thriller riche en suspense. Critique : Voilà bien un manga que je ne pensais vraiment pas aimer. C'est con hein de se dire qu'on critique un manga qu'on n'aime pas ? Je suis d'accord mais j'aime donner sa chance à des premiers tomes et sur celui-ci j'ai vraiment bien fait. Là où ce tome 1 a été étonnant c'est qu'il ne cache pas cette histoire de cannibale. Nous ne sommes pas dans une enquête sur la possibilité de cannibalisme. On est plus dans un survival angoissant. ON comprend très bien comment a disparu le précèdent policier mais, tout comme notre héros, on espère qu'il ne lui arrivera pas la même chose ! Ce qui est très bien rendu c'est la pression mise sur le policier dès qu'il débarque en ville et l'impression que les villageois maîtrisent tout et que notre héros est complètement perdu. On part quasiment tout de suite avec le sentiment qu'il ne peut pas s'en sortir.... et on suit donc cette lutte pour la survie de notre famille en dévorant les pages pour voir ce qu'il va se passer. Il faut spécifier aussi que plutôt que de faire du gore absolu, notre auteur préfère laisser imaginer les détails des scènes et mettre l'accent sur des traits sombres et une ambiance lourde. Pile poil ce qu'il me faut : pas trop de visuel, pas trop de sadisme (ca je n’aime pas du tout) mais une vraie ambiance pesante. L'excellente surprise de ces vacances.... à ne pas mettre entre toutes les mains non plus ! Autres infos : Editions Meian Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/gannibal-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Les premiers tomes avaient été les exemples de ce qu'est la machine à cash du manga avec une histoire basique sans originalité qui se repose sur le succès d'un genre. Et bien je dois avouer que ces deux tomes commencent à donner une certaine personnalité à ce manga. ET étrangement cette personnalité vient... du contexte. Et oui notre héros reste assez lisse pour l'instant mais le contexte est lui plus complexe que l'on pouvait imaginer. Autour de ce trafic d'être non humains, on découvre un jeu de pouvoir vraiment intéressant. Les méandres du pouvoir et les atrocités des puissants ajoute une vraie chappe de plomb sur l'histoire et rende les "aventures" de Ark plus lourdes de sens et tendent à énerver notre héros et donc lui faire prendre du "poids". Une vraie avancée qui donne de l'intérêt a la série. Espérons que les prochains tomes gardent la même dynamique.
  24. Titre de l'album : Skeleton knight in another world T3&4 Scenariste de l'album : Ennki Hakari Dessinateur de l'album : Akira Sawano Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : En route pour vaincre l'hydre démoniaque ! La poursuite des elfes disparus conduit Ark et sa bande dans la ville de Keyseck, à la frontière du Saint-Empire Leblanc. Ils sont alors témoins de la tyrannie et de l'inhumanité de Fumba, une créature magique qui effraye les habitants. Incapable d'ignorer les appels à l'aide des citoyens, Ark s'infiltre dans la forteresse du monstre pour l'affronter de toute sa puissance ! La bataille décisive des monstres va-t-elle éclater ?! Critique : Les premiers tomes avaient été les exemples de ce qu'est la machine à cash du manga avec une histoire basique sans originalité qui se repose sur le succès d'un genre. Et bien je dois avouer que ces deux tomes commencent à donner une certaine personnalité à ce manga. ET étrangement cette personnalité vient... du contexte. Et oui notre héros reste assez lisse pour l'instant mais le contexte est lui plus complexe que l'on pouvait imaginer. Autour de ce trafic d'être non humains, on découvre un jeu de pouvoir vraiment intéressant. Les méandres du pouvoir et les atrocités des puissants ajoute une vraie chappe de plomb sur l'histoire et rende les "aventures" de Ark plus lourdes de sens et tendent à énerver notre héros et donc lui faire prendre du "poids". Une vraie avancée qui donne de l'intérêt a la série. Espérons que les prochains tomes gardent la même dynamique. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/skeleton-knight-in-another-world-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. poseidon2

    Kingdom T61-62

    Alala qu'est-ce que j'ai du mal à attendre ces nouveaux tomes de kingdom ! Et "seulement" deux tomes d’un coup.... On aimerait avoir tout jusqu'au bout tellement c'est toujours aussi bon. C'est rigolo car depuis le début de la série, je n'ai trouvé personne a qui j'ai prêté la série qui n'ait pas été addict par la suite. Et ce n'est pas ces deux tomes qui dégouteront les fans. Car sur ces deux tomes il y en a pour tout le monde. Yasuhisa Hara réussit à nous surprendre en ne s'éternisant pas sur la prise de Jûko. Emballé c'est pesé et cela permet de se concentrer sur une nouvelle entrante dans notre histoire mais surtout sur l'importance qu'a été la perte de Sousa dans les tomes précédents. Cela nous donne un tome 61 assez dynamique et un tome 62 beaucoup plus calme et beaucoup plus stratégique avec un retour sur l'invasion de Zhao par les troupes de Qin et une grande nouveauté dans le commandement des forces de Qin. Encore deux bons tomes qui ouvrent sur deux tomes à venir qui seront eux excellents en plein cœur de la grande bataille pour la conquête de Zhao !
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