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  1. Nickad

    Gestalt tome 2

    Titre de l'album : Gestalt tome 2 Scenariste de l'album : YÔTÔ Ringo Dessinateur de l'album : YÔTÔ Ringo Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Pour réinitialiser l'humanité, appuyez ici. Après leur entrevue avec la concierge, Soso, Hanami et les autres sont transportés à Los Angeles afin d'éliminer les humains... Là, leurs gadgets se déclenchent et détruisent la ville accidentellement ! De retour sur l'arche, le petit groupe d'élus découvre que s'il n'obéit pas à la maîtresse des lieux, l'un d'entre eux sera tué dans d'atroces souffrances... Tandis qu'ils essaient de maîtriser leurs nouveaux pouvoirs afin d'éviter un massacre, les lycéens et leurs compagnons sont téléportés à Mumbai... Cette fois, ils vont tenter de sauver les habitants. Mais le pourront-ils seulement ? Pour les élus, l'enfer commence... Se sacrifier ou détruire sa propre espèce, tel est le dilemme ultime auquel ils font face ! Laissez-vous emporter dans un récit de science-fiction aux allures de film hollywoodien ! Critique : Après s’être rendu à Los Angeles où les 100 élus ont dû faire face rapidement à un choix, les voilà envoyés à Mumbai. Si certains choisissent de sauver la ville, ce n’est pas le cas de tous et deux clans se forment : obéir à l’arche ou s’y opposer. En plus de cela, un autre humain puissant arrive pour les éliminer, il se réclame du seigneur de la renaissance et leur dit qu’ils sont du côté de la dame de la destruction. Bon passé la très bonne surprise du 1er tome, on se retrouve avec une histoire qui semble partir dans une autre direction. En plus avec les découvertes sur l’arche et les tensions entre les élus, cela fait beaucoup d’éléments à régler dans un seul volume vu que le prochain sera le dernier. J’espère vraiment qu’il y aura une fin intelligente et réussie car là, on ne sait pas trop où l’on va. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/gestalt-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Nickad

    Yokai wars tome 1

    Un meurtre mystérieux a eu lieu, une lycéenne a été retrouvée morte chez elle avec une pierre tombale portant son nom à ses côtés. C’est dans ce contexte tendu que deux lycéens qui ne se connaissent pas sont transportés sans le vouloir dans une dimension parallèle, la seule façon de rentrer chez lui est de tuer un yokai. Incrédules et perdus, ils découvrent vite qu’il va falloir se battre et perdre signifie mourir. Forcément ce début m’a fait penser à Gantz : des humains transportés ailleurs obligés de combattre des monstres sous peine de mort. Pourquoi ? Comment ? c’est le grand flou et les informations viendront sûrement par la suite. La série est (a priori) finie en 10 volumes et compte 9 tomes actuellement. Si l’histoire n’est pas sans intérêt et les combats bien orchestrés, j’ai eu un peu de mal avec le graphisme : les personnages ont des grosses têtes et des yeux qui prennent presque la moitié du visage ! Passé le temps d’adaptation, il faudra aller plus loin dans la lecture pour savoir s’il y a un scénario derrière ce début ou si ce sera juste une accumulation de combats sanglants.
  3. Nickad

    Yokai wars tome 1

    Titre de l'album : Yokai wars tome 1 Scenariste de l'album : Yumisaki Misakix Dessinateur de l'album : Yumisaki Misakix Coloriste : Editeur de l'album : Mana Books Note : Résumé de l'album : L'enfer n'est pas sur Terre ! Masora est un jeune homme qui mène une vie ennuyeuse et répétitive. Son obsession : rester discret en classe ! Un jour, il perd connaissance dans le gymnase du lycée et se réveille dans le village des yokai ! Le seul moyen de retourner dans son monde est de terrasser Wanyudo, le yokai en forme de roue en feu. Accompagné de Mikako, une lycéenne pour le moins étrange, les deux étudiants partent défier le maître des lieux, prêts à tout pour survivre et s'échapper de cet endroit infernal ! Critique : Un meurtre mystérieux a eu lieu, une lycéenne a été retrouvée morte chez elle avec une pierre tombale portant son nom à ses côtés. C’est dans ce contexte tendu que deux lycéens qui ne se connaissent pas sont transportés sans le vouloir dans une dimension parallèle, la seule façon de rentrer chez lui est de tuer un yokai. Incrédules et perdus, ils découvrent vite qu’il va falloir se battre et perdre signifie mourir. Forcément ce début m’a fait penser à Gantz : des humains transportés ailleurs obligés de combattre des monstres sous peine de mort. Pourquoi ? Comment ? c’est le grand flou et les informations viendront sûrement par la suite. La série est (a priori) finie en 10 volumes et compte 9 tomes actuellement. Si l’histoire n’est pas sans intérêt et les combats bien orchestrés, j’ai eu un peu de mal avec le graphisme : les personnages ont des grosses têtes et des yeux qui prennent presque la moitié du visage ! Passé le temps d’adaptation, il faudra aller plus loin dans la lecture pour savoir s’il y a un scénario derrière ce début ou si ce sera juste une accumulation de combats sanglants. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/yokai-wars-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Nouvelle série 100% Glenat Fantastique ! Quesako me direz vous une série 100% Glénat ? Et bien c'est : une couverture qui claque. Un dessinateur au dessin traditionnel, mais de haut niveau. Un découpage original sans etre risqué. un scenario sur une base solide et qui ne prend pas trop risques. En gros pour moi c'est : Une bonne BD traditionnelle qui ravira les fans de BDs classiques. Avec une petite couche sombre comme c'est la mode. Dans la veine de : Hawkmoon, Lord Gavestone, Elric, Conan, le troisième oeil, le troisième testament.... Et alors ? Et alors rien 🙂 Ca permet de bien décrire ce que vous aurez dans les mains. Moi, et ce malgré le manque d'originalité, j'ai trouvé ça très bien. C'est Très beau, c'est un mythe qui me parle et... c'est très beau. Bon s'il fallait choisir entre celui-ci et Once and future, je garderai l'autre... pour son originalité. Ca ca c'est une question de gout ! Et j'ai quand même hâte de lire la suite.
  5. poseidon2

    Ring eyes tome 3

    Rhaaaa mais pourquoi seulement 4 tomes. On a définitivement des gouts différents que les Japonais. Ce tome trois est excellent ! On a eu le background dans le précédent tome et on passe maintenant à l'action tout comme les ennemis du clan Ryûri. Le rythme est tel que l'on se demande vraiment comment il va conclure au tome 4.... Alors soyons bien d'accord, on est dans un manga de pure action ou l'on ne regardera pas si les enchainements sont bien raccords et si tout est vraiment cohérent. De toute façon on n'aurait pas le temps. Les scènes d'actions s'enchainent et font suite à des scènes d'avancée des relations entre nos deux amoureux qui font suite à des scènes d'actions. On n'a pas le temps de s'ennuyer et c'est tant mieux, car c'est exactement ce que l'on demande à cette série
  6. Titre de l'album : Ring eyes tome 3 Scenariste de l'album : Hajime Inoryu Dessinateur de l'album : Takahiro Ôba Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Afin de venger son amie d'enfance, Mamoru Inubô se rend sur le continent avec Riko. Il arrive par hasard dans la demeure des Ryûri et, à la suite d'un combat sanglant, il découvre l'identité de Riko et la vérité sur l'affaire d'il y a douze ans. Pendant ce temps, une réunion secrète des Cinq Lumières, qui dirigent la société des extras, se tient sur le continent. Lors de cette réunion, il est décidé que Riko doit être capturée et exécutée. Critique : Rhaaaa mais pourquoi seulement 4 tomes. On a définitivement des gouts différents que les Japonais. Ce tome trois est excellent ! On a eu le background dans le précédent tome et on passe maintenant à l'action tout comme les ennemis du clan Ryûri. Le rythme est tel que l'on se demande vraiment comment il va conclure au tome 4.... Alors soyons bien d'accord, on est dans un manga de pure action ou l'on ne regardera pas si les enchainements sont bien raccords et si tout est vraiment cohérent. De toute façon on n'aurait pas le temps. Les scènes d'actions s'enchainent et font suite à des scènes d'avancée des relations entre nos deux amoureux qui font suite à des scènes d'actions. On n'a pas le temps de s'ennuyer et c'est tant mieux, car c'est exactement ce que l'on demande à cette série Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ring-eyes-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Nickad

    Vatican, carnet de voyage tome 1

    On sait que l’implantation du christianisme au Japon ne s’est pas faite en douceur et qu’il y a eu de nombreux martyrs. Malgré tout, la religion est bien présente et il y a de nombreux croyants (Je dis ça pour ceux qui trouveraient le sujet un peu étrange). Nanase Tôjô est un adolescent qui a perdu ses parents et qui vit avec la famille de sa tante. C’est un garçon gentil, résolument positif et qui réagit toujours avec un sourire. Il apprend l’italien auprès du prêtre de sa ville mais en dehors de ça, il n’a pas d’ami et son cousin ne cesse de le rejeter. C’est pourquoi quand X, le premier aviateur à avoir relié l’Europe et l’Asie arrive et lui conseille d’aller découvrir le monde, Nanase accepte la proposition du Vatican de rejoindre l’université pontificale grégorienne à Rome. Le voilà parti pour un long voyage plein de découvertes et de rencontres. Ce manga est une agréable découverte, d’abord parce que l’histoire prend place en grande partie au Vatican avec un aspect tranche de vie (on avait déjà eu des évocations du Vatican avec des histoires mystiques et des exorcistes). Ensuite parce que Nanase et les deux autres élèves qu’il va rencontrer sont pétillants et pleins de bonne intentions, on sent qu’ensembles, ils arriveront à changer les mentalités ! Le graphisme n’est pas trop chargé, va à l’essentiel ; il met en valeur les expressions des personnages et réserve par moment, de beaux paysages. En résumé, c’est un bon 1er tome avec un scénario original inscrit dans l’Histoire, une lecture sympathique que l’on continuera à suivre.
  8. Titre de l'album : Vatican, carnet de voyage tome 1 Scenariste de l'album : ASUKA Ikuni Dessinateur de l'album : ASUKA Ikuni Coloriste : Editeur de l'album : Komikku Note : Résumé de l'album : Un voyage au cœur de l'Italie et du Vatican ! Voici que commence le voyage d'un jeune homme qui cherche à trouver sa place dans le monde. En 1921, en l'an 10 de l'ère Taishô, durant la fragile période de paix entre les deux guerres mondiales, Nanase, un jeune garçon du quartier de Senba à Osaka, a beaucoup de mal à exprimer ses sentiments depuis la mort de ses parents. Mais un jour, il reçoit une lettre venant d'Italie qui s'apprête à changer sa vie du tout au tout. Critique : On sait que l’implantation du christianisme au Japon ne s’est pas faite en douceur et qu’il y a eu de nombreux martyrs. Malgré tout, la religion est bien présente et il y a de nombreux croyants (Je dis ça pour ceux qui trouveraient le sujet un peu étrange). Nanase Tôjô est un adolescent qui a perdu ses parents et qui vit avec la famille de sa tante. C’est un garçon gentil, résolument positif et qui réagit toujours avec un sourire. Il apprend l’italien auprès du prêtre de sa ville mais en dehors de ça, il n’a pas d’ami et son cousin ne cesse de le rejeter. C’est pourquoi quand X, le premier aviateur à avoir relié l’Europe et l’Asie arrive et lui conseille d’aller découvrir le monde, Nanase accepte la proposition du Vatican de rejoindre l’université pontificale grégorienne à Rome. Le voilà parti pour un long voyage plein de découvertes et de rencontres. Ce manga est une agréable découverte, d’abord parce que l’histoire prend place en grande partie au Vatican avec un aspect tranche de vie (on avait déjà eu des évocations du Vatican avec des histoires mystiques et des exorcistes). Ensuite parce que Nanase et les deux autres élèves qu’il va rencontrer sont pétillants et pleins de bonne intentions, on sent qu’ensembles, ils arriveront à changer les mentalités ! Le graphisme n’est pas trop chargé, va à l’essentiel ; il met en valeur les expressions des personnages et réserve par moment, de beaux paysages. En résumé, c’est un bon 1er tome avec un scénario original inscrit dans l’Histoire, une lecture sympathique que l’on continuera à suivre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/vatican-carnet-de-voyage-t01?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Nickad

    Monotone blue

    Voici le premier des deux titres qui inaugurent la nouvelle collection Y2 de Noeve Grafx, une collection destinée à parler d’amour au sens large en mettant la diversité en avant. Monotone blue est donc une romance entre thérianthropes d’espèces différentes. Pour s’adapter à l’évolution, les animaux ont évolué, sont devenue des bipèdes intelligents et vivent comme les humains (comme dans Beastars). Il existe cependant des répartitions géographiques et les espèces se mélangent rarement. C’est pourquoi quand Aoi arrive dans le lycée, il attire l’attention : c’est un lézard qui se retrouve au milieu de mammifères. Mais ce n’est pas pour cette raison que Hachi, le chat somnolent, l’aborde ; lui qui ne s’intéresse à presque rien se retrouve ébloui par la couleur bleu roi de la queue d’Aoi ! Ici la thérianthropie n’est qu’un prétexte, l’auteur ne s’attarde pas sur les caractéristiques profondes des animaux (à part certains aspects physiques, la queue d’Aoi notamment) ; ce n’est qu’une métaphore pour parler des différences et de l’acceptation de l’autre. C’est sûr que c’est plus imagé de montrer plusieurs espèces plutôt qu’une différence aussi minime soit-elle entre deux humains et c’est tout de suite plus marquant. Il y a aussi une approche, non pas du harcèlement, mais de la suite psychologique de la victime : comment arriver à s’intégrer et comment accorder sa confiance. Et bien sûr, un enrobage romantique avec sa dose de douceur et sa positivité ! Monotone blue est un one shot réussi, agréable à lire qui aborde des sujets importants sans plomber l’ambiance mais en dehors de la partie thérianthropie, il n’est pas forcément très original sur le fond.
  10. Nickad

    Monotone blue

    Titre de l'album : Monotone blue Scenariste de l'album : NAGABE Dessinateur de l'album : NAGABE Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : Un élève inconnu vient d’arriver au lycée des thérianthropes... et le nouveau venu, Aoi, n’est autre qu’un lézard ! Une rareté qui suscite la curiosité de ses camarades de classe. À l’exception d’un : Hachi, le chat blasé que rien n’enthousiasme jamais. Du moins jusqu’à ce qu’il découvre, par hasard, le secret qu’Aoi s’efforce de dissimuler. Un secret d’un bleu intense, qui illumine sa vie monotone... et éveille un intérêt insoupçonné. Critique : Voici le premier des deux titres qui inaugurent la nouvelle collection Y2 de Noeve Grafx, une collection destinée à parler d’amour au sens large en mettant la diversité en avant. Monotone blue est donc une romance entre thérianthropes d’espèces différentes. Pour s’adapter à l’évolution, les animaux ont évolué, sont devenue des bipèdes intelligents et vivent comme les humains (comme dans Beastars). Il existe cependant des répartitions géographiques et les espèces se mélangent rarement. C’est pourquoi quand Aoi arrive dans le lycée, il attire l’attention : c’est un lézard qui se retrouve au milieu de mammifères. Mais ce n’est pas pour cette raison que Hachi, le chat somnolent, l’aborde ; lui qui ne s’intéresse à presque rien se retrouve ébloui par la couleur bleu roi de la queue d’Aoi ! Ici la thérianthropie n’est qu’un prétexte, l’auteur ne s’attarde pas sur les caractéristiques profondes des animaux (à part certains aspects physiques, la queue d’Aoi notamment) ; ce n’est qu’une métaphore pour parler des différences et de l’acceptation de l’autre. C’est sûr que c’est plus imagé de montrer plusieurs espèces plutôt qu’une différence aussi minime soit-elle entre deux humains et c’est tout de suite plus marquant. Il y a aussi une approche, non pas du harcèlement, mais de la suite psychologique de la victime : comment arriver à s’intégrer et comment accorder sa confiance. Et bien sûr, un enrobage romantique avec sa dose de douceur et sa positivité ! Monotone blue est un one shot réussi, agréable à lire qui aborde des sujets importants sans plomber l’ambiance mais en dehors de la partie thérianthropie, il n’est pas forcément très original sur le fond. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/monotone-blue?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Rhhhhaa décidément cette série est excellente ! Excellente parce qu'elle est orientée vers un public averti et ne nous propose donc pas un manga d'aventure gentillet comme souvent. Mais il garde quand même les codes du manga d'aventure avec les montées en compétence, la formation d'une équipe étc.... Et ce tome 5 continue dans la foulée du précédent avec la fin de partie entre le groupe de Noel et le clan de Gambino. Une fin haute en couleur qui réussit à passer l'aspect courut d'avance du combat (car oui Noel ne va pas mourir) en nous livrant, encore une fois, une réflexion impressionnante de maturité et de fourberie de la part de Noel. Intelligemment, la renommée du petit groupe commence à se répandre et on voit arriver, au fur et à mesure, des gros poissons intrigué par le groupe... que ce soit en tant que futur concurrent ou futur alliés. La montée en puissance continue et notre intérêt pour cette série finalement hors norme s'en trouve renforcé.
  12. Titre de l'album : The most notorious talker tome 5 Scenariste de l'album : Jaki Dessinateur de l'album : Yamorichan Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Le duel entre Noel et les Gambino, arbitré par Finocchio, commence enfin ! N'étant doté d'aucune compétence martiale, Albert envoie Kôga se battre à sa place... Leur combat à mort reprend enfin. Après trois affrontements, chacun connaît la valeur de l'autre... Et Kôga a eu tout le loisir d'observer Noel qui vise la suprématie malgré son job ! Quel chemin choisira notre fine-lame ? Noel commence les démarches pour fonder son propre clan tout en reprenant son activité de Seeker. Son ascension semble s'accélérer, mais les choses se passeront-elles vraiment aussi simplement ? L'aventure continue pour notre jeune Talker qui manipule sans scrupules les aventuriers les plus forts, dans un cinquième tome décisif ! Critique : Rhhhhaa décidément cette série est excellente ! Excellente parce qu'elle est orientée vers un public averti et ne nous propose donc pas un manga d'aventure gentillet comme souvent. Mais il garde quand même les codes du manga d'aventure avec les montées en compétence, la formation d'une équipe étc.... Et ce tome 5 continue dans la foulée du précédent avec la fin de partie entre le groupe de Noel et le clan de Gambino. Une fin haute en couleur qui réussit à passer l'aspect courut d'avance du combat (car oui Noel ne va pas mourir) en nous livrant, encore une fois, une réflexion impressionnante de maturité et de fourberie de la part de Noel. Intelligemment, la renommée du petit groupe commence à se répandre et on voit arriver, au fur et à mesure, des gros poissons intrigué par le groupe... que ce soit en tant que futur concurrent ou futur alliés. La montée en puissance continue et notre intérêt pour cette série finalement hors norme s'en trouve renforcé. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-most-notorious-talker-tome-5?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Nickad

    Pink Ribbon

    On avait déjà découvert l'autrice taiwanaise Monday Recover avec 9 lives man et Contes merveilleux du printemps (cliquez sur les titres pour voir les articles), Pink Ribbon est sa première œuvre qui parle d'histoires d'amour de lycéennes et de tenues de lolita (robe à froufrou, rubans...). Lou Minou aime s'habiller différemment, elle vit sa féminité à fond et s'habille en lolita dès qu'elle le peut. Un jour elle croise Yuxuan, c'est une jeune fille petite, toute mince et avec les cheveux courts, on pourrait croire que c'est un garçon de dix ans ! Lou Minou va essayer de se rapprocher de Yuxuan pour arriver à lui faire porter des jolies tenues. Mais Yuxuan n'est intéressé que par le volley et son camarade Azhe pour qui elle éprouve de doux sentiments. On voit tout de suite que c'est la première œuvre de Monday Recover, il y a des maladresses dans le dessin surtout sur les proportions (de grosses têtes), et le physique des filles ne correspond pas vraiment à des lycéennes ce qui n'est pas cohérent avec celui des garçons (peut-être que c'est fait exprès mais cela ne m'avait pas marqué dans les autres livres). Au niveau de la romance, l'histoire est assez classique. Ce qui fait le charme de ce manhua, c'est la grande douceur qui existe entre les deux filles et le temps qui semble être suspendu quand elles sont dans leur moment d'échange. Et puis il y a les tenues de Lou Minou, particulièrement bien représentées, qui renforce le côté fleur bleue de l'histoire. Un manhua agréable à lire et tout mignon.
  14. Nickad

    Pink Ribbon

    Titre de l'album : Pink Ribbon Scenariste de l'album : RECOVER Monday Dessinateur de l'album : RECOVER Monday Coloriste : Editeur de l'album : Nazca Editions Note : Résumé de l'album : Lou Minou est une lycéenne qui adore porter des robes à froufrous et des nœuds. Un jour, elle croise une autre étudiante, la petite Yu-Hsuan, sur le campus, et devient convaincue qu'elle a la morphologie parfaite pour le même style. Mais Yu-Hsuan, une sportive timide et aux cheveux courts, résiste aux tentatives de sa nouvelle amie de la persuader et de la piéger dans un nouveau look. Elles vont faire découvrir à l'autre leur univers et se rapprocher l'une de l'autre. Critique : On avait déjà découvert l'autrice taiwanaise Monday Recover avec 9 lives man et Contes merveilleux du printemps (cliquez sur les titres pour voir les articles), Pink Ribbon est sa première œuvre qui parle d'histoires d'amour de lycéennes et de tenues de lolita (robe à froufrou, rubans...). Lou Minou aime s'habiller différemment, elle vit sa féminité à fond et s'habille en lolita dès qu'elle le peut. Un jour elle croise Yuxuan, c'est une jeune fille petite, toute mince et avec les cheveux courts, on pourrait croire que c'est un garçon de dix ans ! Lou Minou va essayer de se rapprocher de Yuxuan pour arriver à lui faire porter des jolies tenues. Mais Yuxuan n'est intéressé que par le volley et son camarade Azhe pour qui elle éprouve de doux sentiments. On voit tout de suite que c'est la première œuvre de Monday Recover, il y a des maladresses dans le dessin surtout sur les proportions (de grosses têtes), et le physique des filles ne correspond pas vraiment à des lycéennes ce qui n'est pas cohérent avec celui des garçons (peut-être que c'est fait exprès mais cela ne m'avait pas marqué dans les autres livres). Au niveau de la romance, l'histoire est assez classique. Ce qui fait le charme de ce manhua, c'est la grande douceur qui existe entre les deux filles et le temps qui semble être suspendu quand elles sont dans leur moment d'échange. Et puis il y a les tenues de Lou Minou, particulièrement bien représentées, qui renforce le côté fleur bleue de l'histoire. Un manhua agréable à lire et tout mignon. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/pink-ribbon?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Nouvelle longue licence chez Meian qui propose d’ailleurs un système d’abonnement à la série (coffret de 4 tomes avec posters, marque-pages et ex-libris exclusifs) ; la série est en cours et compte 24 tomes actuellement. Sleepy princess in the demon castle est une revisite humoristique du conte de fée au pays de la fantasy : la princesse du monde des humains a été kidnappée par le roi-démon, il espère ainsi gouverner le monde et soumettre les humains ! Enfin ça c’est la version officielle, car en réalité, c’est juste un prétexte pour organiser un jeu de piste pour le héros ! Donc il n’a nulle intention de faire du mal à la princesse. Seulement son plan ne se déroule pas comme prévu car la princesse Syalis compte bien profiter du temps qu’elle a pour se prélasser, ne rien faire et surtout dormir ! Sauf, et oui, il faut bien qu’il y ait un « sauf » ou un « mais » … le château du roi démon n’est pas aussi confortable que son palais, la literie n’est pas de qualité, les oreillers ne sont pas moelleux et les draps sont rêches ! La voilà partie en quête des matériaux nécessaires pour confectionner le lit de ses rêves ! Ensuite viendra la gestion du bruit, des courants d’air, de la chaleur… La princesse est prête à tout pour arriver à ses fins et met le bazar au château, elle n’hésite pas à utiliser les monstres ni à les découper pour obtenir ce qu’elle veut. On a l’habitude de croiser des princesses capricieuses mais une qui ne pense qu’à dormir c’est une nouveauté. L’humour est omniprésent sans être trop lourd, même si chaque chapitre à sa petite aventure, l’auteur ne se focalise pas sur le côté drôle mais développe également son environnement, les caractéristiques des monstres et l’utilisation détournée qu’en fait la princesse. Pour ceux qui avaient lu Pillow Bear, on retrouve l’aspect décalé et les bonnes trouvailles de l’auteur. Sleepy princess in the demon castle est étonnamment agréable à lire, les chapitres sont assez courts (12 pages environ) mais on n’a pas la sensation d’accumulation de gags comme ça arrive parfois. Reste à savoir si on ne s’ennuiera pas sur la longueur. En attendant, profitez d’une lecture parfaite pour se détendre. Pour information, la saison 1 de l’anime est disponible sur crunchyroll.
  16. Titre de l'album : Sleepy princess in the demon castle tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : KUMANOMATA Kagiji Dessinateur de l'album : KUMANOMATA Kagiji Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : La comédie médiéval-fantastique de Kagiji Kumanomata ! Suivez les caprices de la princesse Syalis, Kidnappée par les démons, à la recherche d'une bonne nuit de repos !! Il n'y a pas de doute ! La princesse est bien réveillée ! L'heure est grave ! Alors que les humains cohabitent tant bien que mal avec les démons, Syalis, une princesse humaine est kidnappée par le Roi Démon et séquestrée dans son château. En apprenant l'enlèvement, le peuple est furieux !! Certains hommes, parmi les plus courageux, se lancent dans une mission de sauvetage. Pendant ce temps, dans sa prison... la princesse Syalis s'ennuie ferme ! Elle n'a rien d'autre à faire que dormir, mais la piètre qualité de son lit ne lui permet pas de passer des nuits reposantes. Elle décide donc d'utiliser les ressources dont elle dispose pour améliorer sa qualité de vie... et surtout de sommeil ! Découvrez le premier volume de la grande épopée fantasy comique de la princesse Syalis, à la recherche d'une bonne nuit de repos !! Critique : Nouvelle longue licence chez Meian qui propose d’ailleurs un système d’abonnement à la série (coffret de 4 tomes avec posters, marque-pages et ex-libris exclusifs) ; la série est en cours et compte 24 tomes actuellement. Sleepy princess in the demon castle est une revisite humoristique du conte de fée au pays de la fantasy : la princesse du monde des humains a été kidnappée par le roi-démon, il espère ainsi gouverner le monde et soumettre les humains ! Enfin ça c’est la version officielle, car en réalité, c’est juste un prétexte pour organiser un jeu de piste pour le héros ! Donc il n’a nulle intention de faire du mal à la princesse. Seulement son plan ne se déroule pas comme prévu car la princesse Syalis compte bien profiter du temps qu’elle a pour se prélasser, ne rien faire et surtout dormir ! Sauf, et oui, il faut bien qu’il y ait un « sauf » ou un « mais » … le château du roi démon n’est pas aussi confortable que son palais, la literie n’est pas de qualité, les oreillers ne sont pas moelleux et les draps sont rêches ! La voilà partie en quête des matériaux nécessaires pour confectionner le lit de ses rêves ! Ensuite viendra la gestion du bruit, des courants d’air, de la chaleur… La princesse est prête à tout pour arriver à ses fins et met le bazar au château, elle n’hésite pas à utiliser les monstres ni à les découper pour obtenir ce qu’elle veut. On a l’habitude de croiser des princesses capricieuses mais une qui ne pense qu’à dormir c’est une nouveauté. L’humour est omniprésent sans être trop lourd, même si chaque chapitre à sa petite aventure, l’auteur ne se focalise pas sur le côté drôle mais développe également son environnement, les caractéristiques des monstres et l’utilisation détournée qu’en fait la princesse. Pour ceux qui avaient lu Pillow Bear, on retrouve l’aspect décalé et les bonnes trouvailles de l’auteur. Sleepy princess in the demon castle est étonnamment agréable à lire, les chapitres sont assez courts (12 pages environ) mais on n’a pas la sensation d’accumulation de gags comme ça arrive parfois. Reste à savoir si on ne s’ennuiera pas sur la longueur. En attendant, profitez d’une lecture parfaite pour se détendre. Pour information, la saison 1 de l’anime est disponible sur crunchyroll. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sleepy-princess-in-the-demon-castle-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. On a là un tome mignon et drôle. Durant ce tome, on rencontre un autre yakuza ; on parle tatouage de yakuza ; on parle job de yakuza ; on apprend la roulade ; on découvre la rencontre du chef et de sa femme et on parle lien et retrouvaille --> en conclusion ce tome nous permet d'en savoir encore plus sur les "yakuzas". Ce tome n'est pas tourné autour du babysitting de la petite du chef par Kirishima mais plus sur les yakuzas... ça change du tome basé sur la petite qui était celui d'avant (le 4) et personnellement ce n'est pas pour me déplaire En tout cas si vous voulez rire un bon coup, ce manga est fait pour vous ! Si vous ne voulez pas vous prendre la tête, ce manga est fait pour vous ! Si vous voulez lire un truc tranquille sans trop avoir à réfléchir, ce manga est fait pour vous ! Si vous avez eu une mauvaise journée, ce manga est fait pour vous ! Si vous êtes de mauvaise humeur, ce manga est fait pour vous ! Dans tous les cas : vous avez une envie de vous détendre avec une lecture drôle sans être compliqué à comprendre, ce manga est fait pour vous !
  18. Titre de l'album : Critique par une ado : The Yakuza's Guide to Babysitting t5 Scenariste de l'album : Tsukiya Dessinateur de l'album : Tsukiya Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Kirishima est un yakuza surnommé « le démon » et ses missions finissent bien souvent dans un bain de sang. Le boss du clan, qui en a marre de masquer les bévues de son subalterne, lui confie une mission qu'il ne peut refuser : prendre soin de sa précieuse fille, Yaeka, 7 ans. Critique : On a là un tome mignon et drôle. Durant ce tome, on rencontre un autre yakuza ; on parle tatouage de yakuza ; on parle job de yakuza ; on apprend la roulade ; on découvre la rencontre du chef et de sa femme et on parle lien et retrouvaille --> en conclusion ce tome nous permet d'en savoir encore plus sur les "yakuzas". Ce tome n'est pas tourné autour du babysitting de la petite du chef par Kirishima mais plus sur les yakuzas... ça change du tome basé sur la petite qui était celui d'avant (le 4) et personnellement ce n'est pas pour me déplaire En tout cas si vous voulez rire un bon coup, ce manga est fait pour vous ! Si vous ne voulez pas vous prendre la tête, ce manga est fait pour vous ! Si vous voulez lire un truc tranquille sans trop avoir à réfléchir, ce manga est fait pour vous ! Si vous avez eu une mauvaise journée, ce manga est fait pour vous ! Si vous êtes de mauvaise humeur, ce manga est fait pour vous ! Dans tous les cas : vous avez une envie de vous détendre avec une lecture drôle sans être compliqué à comprendre, ce manga est fait pour vous ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-yakuza-s-guide-to-babysitting-tome-5?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. The_PoP

    The frontier - Tome 2

    Attention il s'agit ici du "manga" du Lombard dont le tome 1 est sorti cette année. Cette série de fantastique futuriste puise ses inspirations entre mangas façon one piece ou Kenshin et comics entre East of West et la Tour Sombre... Las, le résultat reste assez loin de ses prestigieuses sources d'inspiration et si on a bien une galerie de personnages aux pouvoirs fantastiques et aux destins et passés mêlés qui vont s'affronter dans une ambiance de fin du monde, cela ne suffit pas à faire un bon manga. Parfois peu clair, parfois brouillon dans sa narration ou juste trop ambitieux, The Frontier ne se distingue vraiment que par son ambiance far west malheureusement sous exploitée face à la multitude de pouvoirs fantastiques mis en oeuvre. Si la lecture se révèle assez facile finalement, mon intérêt n'a jamais vraiment pris pour cette série. Dommage.
  20. Titre de l'album : The frontier - Tome 2 Scenariste de l'album : Jacopo Paliagra Dessinateur de l'album : Alessio Fioriniello Coloriste : Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Le temps est désormais compté pour Jane et son équipe. Mr Bone, leur ancien employeur et fondateur de La Frontière, a eu ce qu'il voulait et va pouvoir mettre ses sombres desseins à exécution. Leur union fera leur force, mais une telle notion est-elle seulement possible alors que les masques tombent et que le passé rattrape inexorablement les membres de leur groupe ? L'honneur des bandits est une légende qu'ils devront dépasser pour écrire la leur... ou simplement survivre. Critique : Attention il s'agit ici du "manga" du Lombard dont le tome 1 est sorti cette année. Cette série de fantastique futuriste puise ses inspirations entre mangas façon one piece ou Kenshin et comics entre East of West et la Tour Sombre... Las, le résultat reste assez loin de ses prestigieuses sources d'inspiration et si on a bien une galerie de personnages aux pouvoirs fantastiques et aux destins et passés mêlés qui vont s'affronter dans une ambiance de fin du monde, cela ne suffit pas à faire un bon manga. Parfois peu clair, parfois brouillon dans sa narration ou juste trop ambitieux, The Frontier ne se distingue vraiment que par son ambiance far west malheureusement sous exploitée face à la multitude de pouvoirs fantastiques mis en oeuvre. Si la lecture se révèle assez facile finalement, mon intérêt n'a jamais vraiment pris pour cette série. Dommage. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-frontier-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Nickad

    An hour of romance tome 1

    Ju An est une cheffe de service efficace et exigeante. Elle est douée dans son travail mais pas vraiment dans les relations sociales, d’ailleurs elle ne cherche pas vraiment à nouer des liens avec ses collègues. Dojin est un jeune employé sous les ordres de Ju An et il est son exact opposé : maladroit avec un rendement peu élevé mais très gentil, apprécié de tout le monde et beau gosse. Au cours d’un projet, ils se rendent dans un temple et font la connaissance d’un jeune moine énigmatique qui leur réserve une surprise : chaque jour, pendant une heure, chacun va se retrouver dans la peau de l’autre ! J’avais un peu peur de tomber dans une « Office romance » classique (romance se déroulant en entreprise), des histoires de couples souvent sympathiques mais pas forcément originales. Heureusement, la partie fantastique (l’échange de corps) permet de pimenter un peu la situation surtout que cet échange n’est pas régulier et peut se dérouler à n’importe quel moment de la journée ! Les situations rocambolesques peuvent donc s’enchainer pour notre plus grand plaisir et il y a de quoi faire. Donc après un début un peu lent, l’histoire se bonifie à partir du début de l’échange de corps et gagne en intérêt. A tel point que la fin arrive trop vite et que l’on a vraiment envie de lire la suite. Extrait
  22. Titre de l'album : An hour of romance tome 1 Scenariste de l'album : KIM Myeongmi Dessinateur de l'album : KIM Myeongmi Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt - KBooks Note : Résumé de l'album : Ju An est une boss ambitieuse qui gère ses employés avec autorité. Do Jin est un beau gosse maladroit mais généreux, qui vient d'obtenir un poste de directeur marketing suite à un quiproquo. Lors d'un voyage d'affaires, leur vie va être bouleversée : victimes d'une malédiction, ils doivent échanger leur corps chaque jour pendant une heure. Ce duo improbable doit alors coopérer pour sauver leur réputation ! Critique : Ju An est une cheffe de service efficace et exigeante. Elle est douée dans son travail mais pas vraiment dans les relations sociales, d’ailleurs elle ne cherche pas vraiment à nouer des liens avec ses collègues. Dojin est un jeune employé sous les ordres de Ju An et il est son exact opposé : maladroit avec un rendement peu élevé mais très gentil, apprécié de tout le monde et beau gosse. Au cours d’un projet, ils se rendent dans un temple et font la connaissance d’un jeune moine énigmatique qui leur réserve une surprise : chaque jour, pendant une heure, chacun va se retrouver dans la peau de l’autre ! J’avais un peu peur de tomber dans une « Office romance » classique (romance se déroulant en entreprise), des histoires de couples souvent sympathiques mais pas forcément originales. Heureusement, la partie fantastique (l’échange de corps) permet de pimenter un peu la situation surtout que cet échange n’est pas régulier et peut se dérouler à n’importe quel moment de la journée ! Les situations rocambolesques peuvent donc s’enchainer pour notre plus grand plaisir et il y a de quoi faire. Donc après un début un peu lent, l’histoire se bonifie à partir du début de l’échange de corps et gagne en intérêt. A tel point que la fin arrive trop vite et que l’on a vraiment envie de lire la suite. Extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/an-hour-of-romance-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Nickad

    Because I can't love you tome 1

    Because I can’t love you (BICLY pour les intimes) est un webtoon français de la jeune autrice LIEF, qui connait un gros succès avec plus de 20 millions de vues. BICLY est une comédie romantique (une rom-com comme on dit) qui met en scène un groupe d’étudiants et qui se concentre surtout sur leurs relations amoureuses. Il y a les confidences entre ami(e)s, le petit ami, l’ex, le sexfriend, les petits secrets, les envies, les jalousies… toute la panoplie des situations possibles et toute la complexité des sentiments. Ajouté à cela les liens familiaux avec des familles recomposées, les liens entre jumeaux et la très classique question de l’amour et l’amitié, vous obtiendrez donc un aperçu assez vaste de ce qui vous attend. Et c’est justement ce qui fait le succès de la série ! Lief ne se contente pas d’une seule histoire d’amour, elle travaille ses différents personnages, les rend consistants et les suit. Même si le récit commence avec Priti (la jumelle) et fait d’elle le personnage principal autour duquel les autres gravitent, elle n’est pas toujours présente et on va s’appesantir sur la situation de chacun. Enfin l’amorce car il y a déjà 14 personnages dans ce 1er tome, autant dire que le schéma récapitulatif à la fin est d’une grande aide pour s’y retrouver !! Si le graphisme s’inscrit parfaitement dans les webtoons romantiques, Lief arrive à lui donner une dimension supplémentaire dans le choix de ses prises de vue, sujet que l’on a d’ailleurs abordé dans son interview que vous retrouverez prochainement. BICLY est une histoire qui fonctionne bien, le seul inconvénient de ce 1er tome c’est la somme d’informations à digérer, on s’y perd un peu dans les relations entre les personnages mais c’est normal car on vient tout juste de faire leur connaissance ! Une histoire à suivre et pour les impatients, vous pouvez aller la lire sur Webtoon.
  24. Titre de l'album : Because I can't love you tome 1 Scenariste de l'album : LIEF Dessinateur de l'album : LIEF Coloriste : Editeur de l'album : VEGA Note : Résumé de l'album : Priti, une jeune étudiante, a un crush pour Liam. Mais ce dernier la rejette après une mystérieuse dispute avec Cole, son frère. Une situation qui se révélera la conséquence de plusieurs destins croisés, entre secrets, amitiés, romances et drames. Car l'université, c'est avant tout l'école de la vie, où l'on expérimente l'autre, l'amour, et parfois même soi-même, que ce soit pour définir son identité sexuelle, échapper à la maltraitance ou ne pas trahir une amitié... Critique : Because I can’t love you (BICLY pour les intimes) est un webtoon français de la jeune autrice LIEF, qui connait un gros succès avec plus de 20 millions de vues. BICLY est une comédie romantique (une rom-com comme on dit) qui met en scène un groupe d’étudiants et qui se concentre surtout sur leurs relations amoureuses. Il y a les confidences entre ami(e)s, le petit ami, l’ex, le sexfriend, les petits secrets, les envies, les jalousies… toute la panoplie des situations possibles et toute la complexité des sentiments. Ajouté à cela les liens familiaux avec des familles recomposées, les liens entre jumeaux et la très classique question de l’amour et l’amitié, vous obtiendrez donc un aperçu assez vaste de ce qui vous attend. Et c’est justement ce qui fait le succès de la série ! Lief ne se contente pas d’une seule histoire d’amour, elle travaille ses différents personnages, les rend consistants et les suit. Même si le récit commence avec Priti (la jumelle) et fait d’elle le personnage principal autour duquel les autres gravitent, elle n’est pas toujours présente et on va s’appesantir sur la situation de chacun. Enfin l’amorce car il y a déjà 14 personnages dans ce 1er tome, autant dire que le schéma récapitulatif à la fin est d’une grande aide pour s’y retrouver !! Si le graphisme s’inscrit parfaitement dans les webtoons romantiques, Lief arrive à lui donner une dimension supplémentaire dans le choix de ses prises de vue, sujet que l’on a d’ailleurs abordé dans son interview que vous retrouverez prochainement. BICLY est une histoire qui fonctionne bien, le seul inconvénient de ce 1er tome c’est la somme d’informations à digérer, on s’y perd un peu dans les relations entre les personnages mais c’est normal car on vient tout juste de faire leur connaissance ! Une histoire à suivre et pour les impatients, vous pouvez aller la lire sur Webtoon. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/because-i-can-t-love-you-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Ces dernières années, on a vu un certain nombre de mangas proposant des histoires avec des personnes handicapées. C’est une bonne chose de s’éloigner des stéréotypes et de s’ouvrir à la différence. Si parfois le handicap est la thématique principale de l’histoire, ici ce n’est pas le cas. Le personnage de Subaru est en fauteuil roulant et vit très bien sa vie ; cela n’aura que très peu d’impact sur le déroulé du récit. Ce qui ressort le plus dans cette histoire c’est la passion : pas celle entre les deux protagonistes, tout au moins pas au début, mais celle liée à la photographie et aux étoiles. C’est parce que Togo Amase est un photographe talentueux, réputé pour ces photos de ciels étoilés que Subaru l’apprécie. Il en est même un grand fan alors quand il a l’occasion de rencontrer son idole au cours d’un travail, il ne peut s’empêcher de vouloir mieux le connaitre. De son côté, Togo est touché de voir à quel point ses photos ont réussi à émouvoir et à donner le sourire. Après avoir regardé le ciel étoilé est une très belle histoire pleine de douceur et d’amour. Je m’interroge juste sur le contenu du second tome vu que l’histoire pourrait s’arrêter là et qu’il y a indiqué « fin » sur la dernière page… Extrait
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