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  1. Titre de l'album : Karakuri circus perfect edition t5&6 Scenariste de l'album : Kazuhiro Fujita Dessinateur de l'album : Kazuhiro Fujita Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Tome 5 : Pendant ce temps, à Paris... Un homme se dresse, envers et contre tous !Sans le sou et privé de son chapiteau, le cirque Nakamachi touche le fond ! Les spectacles de rue de Masaru porteront-ils leurs fruits ?! Pendant ce temps, à Paris, bien loin du Japon... Le rideau se lève sur un nouvel acte, l'arc Karakuri ! Commence alors l'étrange aventure d'un homme étrangement familier, qui le mènera aux quatre coins du monde !! Tome 6 : Dans le village où les Shiroganes ont vu le jour...Lucille, la plus anciennes des Shiroganes, raconte enfin la tragédie qui s'est jouée à Krog, le village dans lequel elle a grandi deux cent ans plus tôt. Quelle peut bien être l'origine des Shiroganes ? Et d'où vient cette pierre molle ? C'est là que se trouve la clé qui démêlera les fils du destin ! Critique : J'avais lu que cette série montait en puissance et qu'il fallait perseverer. Ayant bien aimé les premiers tomes, je n'ai pas eu besoin de me forcer pour lire la suite mais je suis d'accord sur le fait que l'histoire monte en puissance. Mais pas que l'histoire. Ce Karakuri Circus nous montre ici une mise en scène jamais vu dans le manga (voir plus). Via une marionnette narratrice, cette histoire est gérée comme une pièce de théâtre, avec des entractes, des levées de rideaux et des sauts d'une scène à l'autre. Autant visuellement qu'en termes de scenario, cette narration théâtrale ajoute à la dramaturgie de notre histoire. Histoire qui prend de plus en plus d'ampleur avec une explication du pourquoi du combat des shiroganes mais aussi du but des automates. La gestion de deux groupes de héros qui se cherchent sans le savoir est aussi une sacrée trouvaille, car cela renforce notre soutien aux héros ! Encore merci à Meian pour cette superbe édition pour un manga qui mérite vraiment qu'on s'y attarde. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/karakuri-circus-tome-5-perfect-edition?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. poseidon2

    Fire force t27

    Si la série Fire force était déjà une très bonne série durant son début et son développement, je dois bien avouer que la fin de la série est elle carrément excellente ! Le 26 était déjà très bon, mais ce 27... fiou je ne trouve rien à y redire ! Plus que de l'action, il nous révèle ce qu'il va se passer avec la fusion des mondes, mais il nous fait surtout nous mordre les doigts sur le piège tendu par le grand prédicateur. Piège dans lequel Shinra fonce tête baissée. Entre tension, émotion et pression, ce tome 27 nous transporte comme un des membres de la huitième brigade et nous promet 7 prochains tomes exceptionnels. Il va juste être difficile de les lire un par un 😞
  3. poseidon2

    Fire force t27

    Titre de l'album : Fire force t27 Scenariste de l'album : Atsushi Ohkubo Dessinateur de l'album : Atsushi Ohkubo Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Quel destin Shinra porte-t-il donc sur ses épaules ? Et quelle est la vérité sur sa naissance et celle de son frère Shô ? Alors que ce dernier, accompagné d'Arrow, mène une enquête sur le mystérieux secret concernant sa famille, il retrouve, par le biais de l'Adora Link, sa mère Mari devenue une Torche humaine. Quelle décision le jeune homme va-t-il prendre après avoir découvert toute la vérité ?! Au même moment, un huitième pilier apparaît dans la baie de Tama et le titan Raffless I descend du ciel, menaçant l'empire plongé dans le désespoir. Alors que tout le peuple tremble devant le châtiment céleste, le combat commence entre deux messies : le jeune héros Shinra face au père fondateur de l'église du Saint-Soleil ! Shinra va faire obstacle à Fairy et à l'escouade du Cataclysme, et découvrir ce qu'est un véritable héros !! Les deux frères Kusakabe vont-ils enfin se retrouver ?! Critique : Si la série Fire force était déjà une très bonne série durant son début et son développement, je dois bien avouer que la fin de la série est elle carrément excellente ! Le 26 était déjà très bon, mais ce 27... fiou je ne trouve rien à y redire ! Plus que de l'action, il nous révèle ce qu'il va se passer avec la fusion des mondes, mais il nous fait surtout nous mordre les doigts sur le piège tendu par le grand prédicateur. Piège dans lequel Shinra fonce tête baissée. Entre tension, émotion et pression, ce tome 27 nous transporte comme un des membres de la huitième brigade et nous promet 7 prochains tomes exceptionnels. Il va juste être difficile de les lire un par un 😞 Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/fire-force-tome-27?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Connaissez-vous le terme shipper ? C’est le fait d’imaginer des gens en couple, un phénomène très tendance chez les Fujoshis (les fans de boy’s love). Alors quand il s’agit du groupe HomeRoom composé de Hibiki et Rui, les fantasmes vont bon train, mais les deux jeunes chanteurs ne sont pas forcément au courant. Le jour où Rui tombe sur une fiction le mettant en scène de façon très très coquine avec Hibiki, ses hormones commencent à s’emballer. Et quand en plus, leur manager leur propose de jouer sur cette thématique, la fiction va très vite devenir réalité. L’histoire est assez légère, même si on aperçoit des aspects du monde du showbizz japonais avec ses jeunes stars montantes qui doivent faire tout un tas de travaux (représentation, publicité, émissions de télé…) pour répondre à la demande. Et que l’on voit aussi quelques comportements des fans, surtout les fujoshis, comment elles imaginent des histoires et comment cela leur suffit. Le manga reste majoritairement sur l’histoire d’amour entre Hibiki et Rui. Les fan fictions provoquent un déclic chez Rui et peu à peu, il va se rendre compte de ses sentiments. Une histoire d’amour mignonne assez classique en somme, avec de nombreuses scènes érotiques et un peu d’humour, le tout sous les feux des projecteurs !
  5. Titre de l'album : Dans les coulisses de HomeRoom tomes 1 et 2 (fin) Scenariste de l'album : KOSHIORA Tsubame Dessinateur de l'album : KOSHIORA Tsubame Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : HomeRoom, c'est le jeune duo à la mode composé de Tachibana Rui et Shinjô Hibiki. L'un est mignon et extraverti, l'autre est placide et pince-sans-rire. Leur succès est entièrement lié aux fantasmes de leurs fans : celles-ci les imaginent en couple, et dans tout un tas de situations très, très explicites... Ils vivent dans l'ignorance bienheureuse de ce phénomène jusqu'au jour où ils tombent sur un site consacré à leurs activités sexuelles présumées. Là, Hibiki propose d'essayer pour de vrai... et Rui accepte. Critique : Connaissez-vous le terme shipper ? C’est le fait d’imaginer des gens en couple, un phénomène très tendance chez les Fujoshis (les fans de boy’s love). Alors quand il s’agit du groupe HomeRoom composé de Hibiki et Rui, les fantasmes vont bon train, mais les deux jeunes chanteurs ne sont pas forcément au courant. Le jour où Rui tombe sur une fiction le mettant en scène de façon très très coquine avec Hibiki, ses hormones commencent à s’emballer. Et quand en plus, leur manager leur propose de jouer sur cette thématique, la fiction va très vite devenir réalité. L’histoire est assez légère, même si on aperçoit des aspects du monde du showbizz japonais avec ses jeunes stars montantes qui doivent faire tout un tas de travaux (représentation, publicité, émissions de télé…) pour répondre à la demande. Et que l’on voit aussi quelques comportements des fans, surtout les fujoshis, comment elles imaginent des histoires et comment cela leur suffit. Le manga reste majoritairement sur l’histoire d’amour entre Hibiki et Rui. Les fan fictions provoquent un déclic chez Rui et peu à peu, il va se rendre compte de ses sentiments. Une histoire d’amour mignonne assez classique en somme, avec de nombreuses scènes érotiques et un peu d’humour, le tout sous les feux des projecteurs ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dans-les-coulisses-de-homeroom-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Nickad

    Tashiro est un peu... tome 1

    Quand Ebihara, jeune étudiant, rencontre Tashiro pour la 1ère fois, il le prend pour un voleur. Il faut dire que Tashiro fait une tête effrayante, c’est surtout un garçon très maladroit et super timide qui en plus est très gêné devant Ebihara, le garçon qu’il aime. De son côté, Ebihara ne fait partie d’aucun club, il traine souvent avec son ami d’enfance au club manga et il a bon fond, il ne juge pas sur les apparences et sait reconnaitre les bonnes intentions. Mais comme Tashiro a rejoint le club manga, les voilà, contraints de se revoir. Tashiro est un peu… porte bien son nom, derrière le « un peu » on peut y mettre beaucoup de choses ; il est un peu timide, maladroit, décalé étrange… C’est un manga avec des personnages touchants qui parle de la vie d’un club et de ses membres avec beaucoup de simplicité et de douceur. C’est l’amour qui éclot, c’est les expressions gênées, les rougissements dans l’ombre, les gestes hésitants. C’est une histoire mignonne et pleine de fraicheur qui se consomme sans modération.
  7. Titre de l'album : Tashiro est un peu... tome 1 Scenariste de l'album : YAMADA Dessinateur de l'album : YAMADA Coloriste : Editeur de l'album : Taifu Note : Résumé de l'album : Son horoscope lui avait promis La rencontre de sa vie, pas celle d'un voleur terrifiant qui en voudrait à son porte-monnaie !! Ebihara n'en revient pas, et prend ses jambes à son cou quand le lendemain, il recroise ce fameux voleur dans la salle de son propre club. Finalement, il s'avère qu'il s'agissait d'un malentendu en partie provoqué par la grande timidité du nouveau venu, qui semble par ailleurs profondément attaché à Ebihara... Et malgré les quiproquos et ses expressions flippantes, ce dernier ne peut s'empêcher d'être intégré par ce...Tashiro, c'est bien ça ? Critique : Quand Ebihara, jeune étudiant, rencontre Tashiro pour la 1ère fois, il le prend pour un voleur. Il faut dire que Tashiro fait une tête effrayante, c’est surtout un garçon très maladroit et super timide qui en plus est très gêné devant Ebihara, le garçon qu’il aime. De son côté, Ebihara ne fait partie d’aucun club, il traine souvent avec son ami d’enfance au club manga et il a bon fond, il ne juge pas sur les apparences et sait reconnaitre les bonnes intentions. Mais comme Tashiro a rejoint le club manga, les voilà, contraints de se revoir. Tashiro est un peu… porte bien son nom, derrière le « un peu » on peut y mettre beaucoup de choses ; il est un peu timide, maladroit, décalé étrange… C’est un manga avec des personnages touchants qui parle de la vie d’un club et de ses membres avec beaucoup de simplicité et de douceur. C’est l’amour qui éclot, c’est les expressions gênées, les rougissements dans l’ombre, les gestes hésitants. C’est une histoire mignonne et pleine de fraicheur qui se consomme sans modération. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tashiro-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. poseidon2

    7th time loop T1&2

    En voilà une belle surprise. Coincé entre tous les Isekai de Meian, ce 7th time loop pour passer pour un "autre" titre du même genre. Et bien, il ne faut surtout pas. En effet, notre héroïne ne se réincarne pas, elle revit la même période de sa vie. Et à chaque vie, elle a vécu une vie différente jusqu'à cette septième boucle. Ces boucles font de notre héroïne une personne aussi bien de son époque que sage comme peu de fille de la cour le sont. Ces deux premiers tomes sont aussi l'occasion de mieux cerner le deuxième personnage principal : le futur empereur. Celui qui provoquera directement ou indirectement toutes les morts de Rishe. Celui qu'elle veut infléchir. Le lien entre les deux personnages est aussi bien géré, avec un réchauffement lent, mais perceptible, et une question qui reste toujours en suspens : rien ne semble amener ce jeune homme à devenir un empereur tyrannique. Que va-t-il se passer dans 5 ans ? Qu'est-ce qui va le faire changer ? Tant de questions qui intéressent notre princesse et nous tout autant. En gros le seul souci de ce manga est que nous n'avons qu'un seul tome de retard sur le Japon.... il va falloir s'armer de patience.
  9. Titre de l'album : 7th time loop T1&2 Scenariste de l'album : Touko Amekawa / Hinoki Kino / Dessinateur de l'album : Wanhachipisu Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Sa septième vie, après diverses expériences... se déroulera en tant qu'épouse du prince héritier du pays ennemi ?!Rishe, fille de duc, a un grand secret : quand elle meurt à 20 ans, elle revient au moment de la rupture de ses fiançailles.Jusqu'à maintenant, elle a connu des vies bien remplies en tant que marchande, apothicaire, suivante et autres. Mais pour cette septième vie, elle a une nouvelle résolution. Cette fois, je veux une vie dans laquelle je me prélasserai ! Malheureusement pour elle, au moment où elle s'échappe du château pour mettre son plan à exécution, elle rencontre par hasard le prince héritier de l'empire de Galkhein, Arnold. Il n'est autre que celui qui l'a tuée dans sa précédente vie, alors qu'elle était chevalier ! Comme si ça ne suffisait pas, pour une raison inconnue, il s'intéresse à elle et la demande en mariage ?! C'est le début d'une septième vie mouvementée, complètement à l'opposé de son désir de farniente.Mais pourquoi il fallait qu'il me mette le grappin dessus ?! Je veux me la couler douce, moi !!7th Time Loop s'approprie les thèmes de la boucle temporelle et de la méchante cherchant à tout prix à éviter le pire pour en proposer une interprétation touchante et pleine d'humour. Derrière les apparences, les plus mal intentionnés ne sont peut-être pas forcément ceux auxquels on pense ! Critique : En voilà une belle surprise. Coincé entre tous les Isekai de Meian, ce 7th time loop pour passer pour un "autre" titre du même genre. Et bien, il ne faut surtout pas. En effet, notre héroïne ne se réincarne pas, elle revit la même période de sa vie. Et à chaque vie, elle a vécu une vie différente jusqu'à cette septième boucle. Ces boucles font de notre héroïne une personne aussi bien de son époque que sage comme peu de fille de la cour le sont. Ces deux premiers tomes sont aussi l'occasion de mieux cerner le deuxième personnage principal : le futur empereur. Celui qui provoquera directement ou indirectement toutes les morts de Rishe. Celui qu'elle veut infléchir. Le lien entre les deux personnages est aussi bien géré, avec un réchauffement lent, mais perceptible, et une question qui reste toujours en suspens : rien ne semble amener ce jeune homme à devenir un empereur tyrannique. Que va-t-il se passer dans 5 ans ? Qu'est-ce qui va le faire changer ? Tant de questions qui intéressent notre princesse et nous tout autant. En gros le seul souci de ce manga est que nous n'avons qu'un seul tome de retard sur le Japon.... il va falloir s'armer de patience. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/7th-time-loop-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Nickad

    Sweet home tome 4

    Le groupe du rez-de-chaussée grimpe dans les étages pour trouver de la nourriture et des survivants. Le groupe de Hyeon-Su décide de descendre pour trouver une voiture et voir au-delà de leur résidence, ils savent qu’ils ne pourront pas vivre indéfiniment dans l’immeuble. Après un affrontement avec un monstre, les deux groupes se rejoignent et Hyeon-Su est mis de côté car tout le monde sait à présent qu’il est infecté. Si au niveau de l’action à proprement parler, cela avance toujours aussi lentement, il y a un passage très intéressant sur ce qui se passe dans la tête de Hyeon-Su quand le monstre en lui essaye de sortir. On comprend mieux les mécanismes de transformation et on a des débuts de piste pour savoir comment refreiner ces pulsions. En plus de cela, on peut assister à une discussion du groupe qui montre bien les comportements humains en tant de crise : qui doit-être sauvé et qui doit-être sacrifié ? Un tome intéressant donc qui permet d’avancer dans l’analyse du phénomène mais qui n’apporte pas pour autant toutes les réponses. A suivre
  11. Nickad

    Sweet home tome 4

    Titre de l'album : Sweet home tome 4 Scenariste de l'album : KIM Carnby Dessinateur de l'album : HWANG Youngchan Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Hyeon-Su, aidé de quelques voisins, est parvenu à sauver les enfants d'une mort certaine. Après s'être débarrassés du monstre géant, lui et ses compagnons décident de se réfugier dans l'appartement 1408 où vit Du-Shik Han, l'expert en bricolage, afin de se reposer et de réfléchir à un plan... Pendant ce temps, les habitants qui s'étaient regroupés dans le hall d'entrée ont monté une équipe pour explorer l'immeuble, dans le but de trouver des vivres et d'éventuels survivants. Mais alors que Sang-Wook et Eun-Yu s'apprêtent à barricader le quatrième étage, leurs voix attirent l'attention de la créature aveugle... qui se propulse jusqu'à eux ! Arriveront-ils à la tuer alors qu'ils ne sont que deux ? Critique : Le groupe du rez-de-chaussée grimpe dans les étages pour trouver de la nourriture et des survivants. Le groupe de Hyeon-Su décide de descendre pour trouver une voiture et voir au-delà de leur résidence, ils savent qu’ils ne pourront pas vivre indéfiniment dans l’immeuble. Après un affrontement avec un monstre, les deux groupes se rejoignent et Hyeon-Su est mis de côté car tout le monde sait à présent qu’il est infecté. Si au niveau de l’action à proprement parler, cela avance toujours aussi lentement, il y a un passage très intéressant sur ce qui se passe dans la tête de Hyeon-Su quand le monstre en lui essaye de sortir. On comprend mieux les mécanismes de transformation et on a des débuts de piste pour savoir comment refreiner ces pulsions. En plus de cela, on peut assister à une discussion du groupe qui montre bien les comportements humains en tant de crise : qui doit-être sauvé et qui doit-être sacrifié ? Un tome intéressant donc qui permet d’avancer dans l’analyse du phénomène mais qui n’apporte pas pour autant toutes les réponses. A suivre Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sweet-home-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. poseidon2

    Undead Unluck t9

    Le combat "final" démarre et, comme depuis le début de la série, il le fait à toute vitesse. La gestion de la séparation entre Undead et Unluck est vraiment bien faites ettrès émouvante. Cela ajoute une motivation à l'Union pour récupérer leur amie/amour. Plus que le début du combat, ce tome 9 nous livre déjà la conclusion d'un premier affrontement ainsi que la fin de présentation des derniers membres de l'union que l'on ne connait pas. Encore un super tome pour une série qui ne payait pas de mine au début, surfant plus sur une mode du "n'importe quoi", mais qui se trouve être finalement l'un des plus intéressants / cohérente de 2022/2023.
  13. Titre de l'album : Undead Unluck t9 Scenariste de l'album : Yoshifumi Tozuka Dessinateur de l'album : Yoshifumi Tozuka Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Fûko s'est livrée à l'Under en échange de l'élimination de l'UMA Winter. L'organisation rivale de l'Union décide alors d'utiliser sa prisonnière pour tuer Spring. De leur côté, les compagnons de Fûko comptent se lancer dans une mission à deux objectifs : éliminer le dernier UMA des saisons encore en liberté et sauver leur amie. Mais comment Unluck va-t-elle parvenir à transmettre à Andy les informations dont il a besoin pour élaborer son plan d'attaque ? Critique : Le combat "final" démarre et, comme depuis le début de la série, il le fait à toute vitesse. La gestion de la séparation entre Undead et Unluck est vraiment bien faites ettrès émouvante. Cela ajoute une motivation à l'Union pour récupérer leur amie/amour. Plus que le début du combat, ce tome 9 nous livre déjà la conclusion d'un premier affrontement ainsi que la fin de présentation des derniers membres de l'union que l'on ne connait pas. Encore un super tome pour une série qui ne payait pas de mine au début, surfant plus sur une mode du "n'importe quoi", mais qui se trouve être finalement l'un des plus intéressants / cohérente de 2022/2023. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/undead-unluck-tome-9?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. The_PoP

    The Frontier - Tome 1

    Oui vous avez bien lu, aujourd'hui je vais vous parler d'un manga, paru aux éditions du Lombard, à l'européenne donc ! Bon le pitch était plus qu'alléchant. Je ne sais pas vous mais il y avait pour moi un parfum de La tour sombre qui flottait agréablement sur ce The Frontier. Et pourtant j'ai été un peu désappointé. Attention ce n'est pas mauvais loin de là, mais j'ai trouvé le rythme un peu délicat à suivre, surtout au niveau des révélations et de l'avancement de l'histoire. Côté dessin, reconnaissons tout d'abord que je ne suis pas un grand habitué des mangas, mais j'ai quand même trouvé que le format était un peu bancal avec le dessin et que cela nuisait globalement à la lisibilité de l'action. Reste que si je parais dur comme ça, il faut bien préciser que The Frontier reste pour autant une lecture assez agréable, on sent clairement le potentiel derrière, certains dessins sont vraiment sympas, et les personnages ont été travaillés. Quand à l'ambition de l'éditeur de nous proposer un manga à l'européenne, je dis oui ! Il faut oser et essayer !
  15. Titre de l'album : The Frontier - Tome 1 Scenariste de l'album : Jacopo Paliagra Dessinateur de l'album : Alessio Fioriniello Coloriste : Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Ouest Américain, 1870. Sauvés de la potence par un étrange homme en blanc, cinq criminels aux pouvoirs surnaturels ont accepté de rejoindre la Frontière. Cette organisation a été créée dans un seul but : stopper la Tempête, un amas de nuages noirs et d'éclairs dont s'échappent des gémissements inhumains et qui sème la mort partout où il passe. Nos cinq salopards sont envoyés dans la ville de Caldwell avec une mission : sacrifier les habitants pour accomplir un rituel de sang et arrêter le cataclysme. Mais nos « héros » sont-ils prêts à sacrifier le peu d'humanité qu'il leur reste ? Critique : Oui vous avez bien lu, aujourd'hui je vais vous parler d'un manga, paru aux éditions du Lombard, à l'européenne donc ! Bon le pitch était plus qu'alléchant. Je ne sais pas vous mais il y avait pour moi un parfum de La tour sombre qui flottait agréablement sur ce The Frontier. Et pourtant j'ai été un peu désappointé. Attention ce n'est pas mauvais loin de là, mais j'ai trouvé le rythme un peu délicat à suivre, surtout au niveau des révélations et de l'avancement de l'histoire. Côté dessin, reconnaissons tout d'abord que je ne suis pas un grand habitué des mangas, mais j'ai quand même trouvé que le format était un peu bancal avec le dessin et que cela nuisait globalement à la lisibilité de l'action. Reste que si je parais dur comme ça, il faut bien préciser que The Frontier reste pour autant une lecture assez agréable, on sent clairement le potentiel derrière, certains dessins sont vraiment sympas, et les personnages ont été travaillés. Quand à l'ambition de l'éditeur de nous proposer un manga à l'européenne, je dis oui ! Il faut oser et essayer ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-frontier-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. poseidon2

    Kingdom T63-64

    Le retour de Kingdom c'est toujours une bonne nouvelle et une promesse d'une heure de lecture frénétique. Et encore plus quand on nous offre rien de moins que la fin de la bataille entre Kanki et Kocho. Une bataille qui voit Kanki depasser les limites admissibles en temps de guerre et remettre en cause une partie de son statut ! Cette fin de bataille est super savoureuse et, pour une fois, ne se fait pas sans perte du côté de Quin. Encore deux tomes excellents et une série qui s'approche de la conquête de Zhao.... ce qui commence à faire un peu peur au vu du nombre de régions qu'il reste à conquérir et donc de ce qu'il reste à raconter.
  17. poseidon2

    Kingdom T63-64

    Titre de l'album : Kingdom T63-64 Scenariste de l'album : Yasuhisa Hara Dessinateur de l'album : Yasuhisa Hara Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : 63 : L'UNITÉ HI SHIN À LA RESCOUSSE ! 234 av. J-C : La conquête de Bujô et Heiyou Dans le but de pouvoir porter leur offensive jusqu'à Kantan, la capitale de l'État de Zhao, les troupes de l'État de Qin se lancent à l'attaque des villes ennemies Bujô et Heiyou. Alors que l'armée de Kanki est dans une situation d'infériorité numérique terrible avec 80.000 hommes contre 240.000, l'unité Hi Shin, déployée dans ses rangs, reçoit l'ordre de se diriger vers Eikyû, un lieu réputé aussi stratégique que dangereux. C'est là, au pied d'une colline escarpée que les hommes de Shin tombent sur la Gyoku Hou, en pleine déconfiture, et qu'ils se retrouvent avec le sort de toute l'armée de Qin entre leurs mains... 64 : ABATTRE KOCHÔ, LE COMMANDANT DES FORCES DE ZHAO ! 234 av. J-C : La conquête de Bujô et Heiyou L'État de Qin porte le fer contre les villes Bujô et Heiyou, les deux dernières places ennemies qui ferment la route menant à la capitale de Zhao. L'armée de Kanki, d'abord confrontée à une dangereuse infériorité numérique, parvient, grâce à l'action brillante de l'unité Hi Shin, à conquérir le terrain escarpé d'Eikyû et à débloquer une situation qui paraissait désespérément figée jusque-là. Tandis que les défaites et désertions se succèdent au niveau des troupes du centre, plus personne ne semble curieusement savoir où est passé le général Kanki... Critique : Le retour de Kingdom c'est toujours une bonne nouvelle et une promesse d'une heure de lecture frénétique. Et encore plus quand on nous offre rien de moins que la fin de la bataille entre Kanki et Kocho. Une bataille qui voit Kanki depasser les limites admissibles en temps de guerre et remettre en cause une partie de son statut ! Cette fin de bataille est super savoureuse et, pour une fois, ne se fait pas sans perte du côté de Quin. Encore deux tomes excellents et une série qui s'approche de la conquête de Zhao.... ce qui commence à faire un peu peur au vu du nombre de régions qu'il reste à conquérir et donc de ce qu'il reste à raconter. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/kingdom-tome-64?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. poseidon2

    Gannibal T11

    Fin de la parenthèse historique sur le village de Kuge et le pourquoi de la mainmise de Gin sur le village. Si ce tome est nécessaire à la compréhension globale de l'intrigue… nous, on veut notre policier devenu fou ! Bon voilà, c'est dit. Ce tome est toujours aussi bon et il était nécessaire. Mais j'attendais au moins un demi tome sur l'histoire principale… Et il va falloir attendre le prochain... Enfin les deux prochains, car ces deux tomes vont conclure notre histoire, dans un sens ou dans l'autre !
  19. poseidon2

    Gannibal T11

    Titre de l'album : Gannibal T11 Scenariste de l'album : Ninomiya Masaki Dessinateur de l'album : Ninomiya Masaki Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Donnez-le en offrande à votre nouveau dieu.Une obstination sans pareille a ressuscité Gin d'entre les morts. Sa soif de meurtres et ses machinations lui permettent de s'emparer de Kuge et d'y implanter un ordre basé sur la peur. Critique : Fin de la parenthèse historique sur le village de Kuge et le pourquoi de la mainmise de Gin sur le village. Si ce tome est nécessaire à la compréhension globale de l'intrigue… nous, on veut notre policier devenu fou ! Bon voilà, c'est dit. Ce tome est toujours aussi bon et il était nécessaire. Mais j'attendais au moins un demi tome sur l'histoire principale… Et il va falloir attendre le prochain... Enfin les deux prochains, car ces deux tomes vont conclure notre histoire, dans un sens ou dans l'autre ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/gannibal-tome-11?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Ikusa no Ko ou la légende d’Oda Nobunaga est un manga historique retraçant, comme son nom l’indique, la vie de Nobunaga Oda. On commence d’abord par voir ses derniers instants avant d’avoir un aperçu rapide de sa naissance. Le récit commence vraiment quand il a 12 ans, il s’appelait alors Kippôshi Oda. Honnêtement, l’histoire est très intéressante, la façon dont le récit se déroule ressemble à une aventure où l’on commence à comprendre pourquoi Oda est devenu une légende. C’est un garçon curieux, très intelligent qui cherche sans cesse à se cultiver et quand c’est fait, il expérimente, il essaye, il tente ! En plus de ça, il n’a pas d’a priori et pour lui, tout est bon à prendre ! On ne s’ennuie pas du tout à la lecture et on a même très envie de voir comment ce garçon va réussir à évoluer. Hélas, si le dessin de Tetsuo Hara est toujours aussi travaillé, surtout dans les décors et les ombrages, sa tendance à la disproportion devient de plus en plus gênante. Dans Soten no Ken, il y avait déjà des personnages peu crédibles (au niveau de la taille notamment) ce qui déservait le manga. Ici, c’est encore plus visible, notamment un rendu du corps féminin dérangeant ou des enfants à la tête disproportionnée. Peut-être qu’au travers de ce graphisme l’auteur cherche à faire ressortir un trait de caractère… ce n’est pas flagrant. Heureusement l’histoire est passionnante et aide à aller au-delà de ce problème.
  21. Titre de l'album : Ikusa no Ko - La légende d'Oda Nobunaga tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : KITAHARA Seibô Dessinateur de l'album : HARA Tetsuo Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Dans le ventre de sa mère, Nobunaga Oda entendait le fracas des batailles. La guerre le prit dans ses bras à sa naissance et ne le lâcha plus jamais. Les champs de bataille furent son berceau. Tout ce qu'il sut, il l'apprit des combats. Plus que nul autre, Nobunaga fut l'enfant de la guerre !Avant d'être Nobunaga Oda, il fut Kippôshi, le pire vaurien qu'on n'ait jamais vu. Voici le récit des méfaits flamboyants qu'il signa fièrement dans le Japon des provinces en guerre ! Retrouvez la toute nouvelle série de Tetsuo Hara et Seibô Kitahara, ancien responsable éditorial du mangaka chez Shueisha, dans cette biographie romancée de la vie d'Oda Nobunaga. Critique : Ikusa no Ko ou la légende d’Oda Nobunaga est un manga historique retraçant, comme son nom l’indique, la vie de Nobunaga Oda. On commence d’abord par voir ses derniers instants avant d’avoir un aperçu rapide de sa naissance. Le récit commence vraiment quand il a 12 ans, il s’appelait alors Kippôshi Oda. Honnêtement, l’histoire est très intéressante, la façon dont le récit se déroule ressemble à une aventure où l’on commence à comprendre pourquoi Oda est devenu une légende. C’est un garçon curieux, très intelligent qui cherche sans cesse à se cultiver et quand c’est fait, il expérimente, il essaye, il tente ! En plus de ça, il n’a pas d’a priori et pour lui, tout est bon à prendre ! On ne s’ennuie pas du tout à la lecture et on a même très envie de voir comment ce garçon va réussir à évoluer. Hélas, si le dessin de Tetsuo Hara est toujours aussi travaillé, surtout dans les décors et les ombrages, sa tendance à la disproportion devient de plus en plus gênante. Dans Soten no Ken, il y avait déjà des personnages peu crédibles (au niveau de la taille notamment) ce qui déservait le manga. Ici, c’est encore plus visible, notamment un rendu du corps féminin dérangeant ou des enfants à la tête disproportionnée. Peut-être qu’au travers de ce graphisme l’auteur cherche à faire ressortir un trait de caractère… ce n’est pas flagrant. Heureusement l’histoire est passionnante et aide à aller au-delà de ce problème. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ikusa-no-ko-la-legende-d-oda-nobunaga-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Toujours dans l’optique de faire reconnaitre la classe de dresseur, Valius passe le concours d’entrée de l’académie d’élite, il finit major avec des scores encore jamais vu. En parallèle, il s’inscrit à la guilde des aventuriers et commence sa première quête. C’est là qu’il rencontre Artemis, une sélénite, qui lui permet de récupérer des pouvoirs divins. Dans ma critique précédente, j’avais dit qu’il fallait attendre la suite pour se prononcer sur l’intérêt de la série. C’est plutôt un point négatif sui se profile : Valius utilise sa magie et ses sorts, il est tellement fort, que finalement être dresseur n’apporte rien de plus. Il ne rencontre aucune difficulté devant lui (ou les règle en claquant des doigts, façon de parler bien sûr) et en plus peut se rendre de la Terre à la Lune aussi facilement que s’il franchissait une porte ! Quant à la partie dresseur, elle est plutôt mise de côté dans ces deux tomes. Graphiquement parlant, s’il y a des idées intéressantes, notamment dans la mise en scène des combats, le manga pêche sur les personnages. Il y a des problèmes de proportion et l’auteur a tendance à aller à la facilité : il ne se donne pas toujours la peine de dessiner les deux yeux de ses héros ; un dessin globalement encore assez jeune. Une lecture finalement pas très passionnante, voir assez quelconque qui ne restera pas dans les annales.
  23. Titre de l'album : Dresseur dans un autre monde tomes 2 et 3 Scenariste de l'album : YOSHIGAE Tamaki Dessinateur de l'album : RHYTHM Niwa / KATTO Coloriste : Editeur de l'album : Komikku Note : Résumé de l'album : Varius poursuit sa progression phénoménale et de nouveaux combats épiques s'annoncent ! Critique : Toujours dans l’optique de faire reconnaitre la classe de dresseur, Valius passe le concours d’entrée de l’académie d’élite, il finit major avec des scores encore jamais vu. En parallèle, il s’inscrit à la guilde des aventuriers et commence sa première quête. C’est là qu’il rencontre Artemis, une sélénite, qui lui permet de récupérer des pouvoirs divins. Dans ma critique précédente, j’avais dit qu’il fallait attendre la suite pour se prononcer sur l’intérêt de la série. C’est plutôt un point négatif sui se profile : Valius utilise sa magie et ses sorts, il est tellement fort, que finalement être dresseur n’apporte rien de plus. Il ne rencontre aucune difficulté devant lui (ou les règle en claquant des doigts, façon de parler bien sûr) et en plus peut se rendre de la Terre à la Lune aussi facilement que s’il franchissait une porte ! Quant à la partie dresseur, elle est plutôt mise de côté dans ces deux tomes. Graphiquement parlant, s’il y a des idées intéressantes, notamment dans la mise en scène des combats, le manga pêche sur les personnages. Il y a des problèmes de proportion et l’auteur a tendance à aller à la facilité : il ne se donne pas toujours la peine de dessiner les deux yeux de ses héros ; un dessin globalement encore assez jeune. Une lecture finalement pas très passionnante, voir assez quelconque qui ne restera pas dans les annales. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dresseur-dans-un-autre-monde-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Nickad

    Slice of life tome 2

    Naruhiko fait pour la 1ère fois face à ses fans ! D’abord avec une fillette de 10 ans amoureuse d’un des personnages du manga et qui est complétement obsédée même au point de menacer les autres fans. Ensuite parce qu’il doit se rendre à Tokyo pour sa 1ère séance de dédicaces, une première pour lui car malgré ses 10 ans de carrière, on ne lui avait encore jamais proposé. C’est une épreuve de taille pour le mangaka qui non seulement doute beaucoup de lui-même lais qui n’a jamais vraiment quitté sa petite ile. J’avoue que ce second tome m’a bien fait rire, la jeune fan de 10 ans est assez extrême, on comprend mieux les comportements d’hystériques que l’on voit parfois à la télé. Et puis il y a le duo de Naruhiko et de son jeune assistant Toshi, le dernier s’amuse beaucoup des déboires du mangaka, il y a des dialogues souvent drôles. Mais on voit aussi toute la complexité du métier, comment il s’inspire des petites scènes du quotidien pour construire son histoire, et surtout les doutes et les angoisses de l’auteur confronté pour la 1ere fois de sa vie à un succès. Un manga fort sympathique où il fait bon de vivre.
  25. Titre de l'album : Slice of life tome 2 Scenariste de l'album : YOSHINO Satsuki Dessinateur de l'album : YOSHINO Satsuki Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Naruhiko vivote depuis dix ans de sa plume de mangaka. Ses récits remplis de dragons et de magie lui ont permis de se faire une place dans les pages des magazines, sans lui assurer un revenu suffisant pour quitter sa petite île natale... Il vit donc dans la maison de sa grand-mère, entouré des bons soins de sa mère et de Toshihito, son assistant dévoué. Alors que sa dernière série vient encore d'être interrompue par manque de succès, il se lance sans conviction dans une histoire tirée de son environnement immédiat : les aventures quotidiennes de quatre garçons nés sur une petite île et liés par une amitié indéfectible. Critique : Naruhiko fait pour la 1ère fois face à ses fans ! D’abord avec une fillette de 10 ans amoureuse d’un des personnages du manga et qui est complétement obsédée même au point de menacer les autres fans. Ensuite parce qu’il doit se rendre à Tokyo pour sa 1ère séance de dédicaces, une première pour lui car malgré ses 10 ans de carrière, on ne lui avait encore jamais proposé. C’est une épreuve de taille pour le mangaka qui non seulement doute beaucoup de lui-même lais qui n’a jamais vraiment quitté sa petite ile. J’avoue que ce second tome m’a bien fait rire, la jeune fan de 10 ans est assez extrême, on comprend mieux les comportements d’hystériques que l’on voit parfois à la télé. Et puis il y a le duo de Naruhiko et de son jeune assistant Toshi, le dernier s’amuse beaucoup des déboires du mangaka, il y a des dialogues souvent drôles. Mais on voit aussi toute la complexité du métier, comment il s’inspire des petites scènes du quotidien pour construire son histoire, et surtout les doutes et les angoisses de l’auteur confronté pour la 1ere fois de sa vie à un succès. Un manga fort sympathique où il fait bon de vivre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/slice-of-life-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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