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  1. The_PoP

    Lombric

    Titre de l'album : Lombric Scenariste de l'album : Mathieu Sapin Dessinateur de l'album : Patrick Pion Coloriste : Cyrille Bertin Editeur de l'album : Soleil - Metamorphoses Note : Résumé de l'album : Scénarisé par Mathieu Sapin (Le Ministère secret, Gérard) et dessiné avec style par Patrick Pion, Lombric raconte la vie d'un vermisseau touché par la grâce, yôkai flippant et mignon, qui découvre la vie dans une nature tantôt hostile, tantôt enchanteresse. Parallèlement, un batracien détective s'adjoint l'aide d'une souris désemparée pour tenter de retrouver la piste d'un mystérieux malfaiteur... Critique : Oh que c'est difficile de parler de Lombric. C'est un ovni. Un conte que l'on suit avec intérêt sans aucune idée de là où il va nous mener. Un conte qu'on referme persuadé d'attendre une suite, qui n'existera jamais et qui n'aurait aucun sens. .Un conte qui poussera à la réflexion, au désespoir aussi un peu, mais un univers graphique riche, original et séduisant. C'est exactement le type de bd qui justifie la collection Métamorphose de chez Soleil, qui est à ce jour je le pense sincèrement l'une des plus créative et burnée de la bd franco belge. Je ne sais pas à qui cela va plaire, mais je sais en tous cas que les lecteurs ne seront pas indifférents à cette poésie mélancolique et bucolique pleine de charme. C'est un OVNI. Je n'en dirais pas plus, feuilletez le, n'en attendez rien, découvrez le, faites vous votre avis. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/lombric?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Titre de l'album : Léo en petits morceaux Scenariste de l'album : Mayana Itoïz Dessinateur de l'album : Mayana Itoïz Coloriste : Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : En 1967, un Allemand fait visiter le Pays basque à sa femme. Dans le bâtiment où il était cantonné durant la Seconde Guerre mondiale, et qui était alors une auberge, il retrouve par hasard Léo, jeune fille à l'époque. Cette rencontre inattendue plonge celle-ci dans son passé en la confrontant à ses souvenirs. Certains lui rappellent des moments agréables, d'autres se révèlent plus douloureux. Vingt-cinq ans plus tôt, Léo traversait la guerre en vivant en secret une histoire d'amour avec Félix, un soldat allemand, tout en travaillant comme serveuse dans l'auberge familiale avec sa grande soeur. Entre les contraintes matérielles et les instants fugitifs de bonheur, dérobés à un quotidien difficile et angoissant, la vie suivait son cours... À partir d'une photographie prise durant le conflit et retrouvée en 1961 par le mari de Léo, Mayana Itoïz - créatrice avec Wilfrid Lupano et Paul Cauuet de la série à succès Le Loup en slip - évoque le destin contrarié de sa propre grand-mère, dans un magnifique récit porté par un graphisme pictural subtil et une narration tout en légèreté. Critique : Léo en petits morceaux ou comment une belle et intelligente mise en page peut faire passer d'une histoire assez standard à une lecture intéressante. En effet, sans être inintéressante, l'histoire de Léo n'en est pas moins assez commune. L'histoire d'une femme qui tombe amoureuse d'un homme en s'imaginant que son amour allait dépasser le contexte dans lequel ils vivaient et c'étaient rencontrés. Si cette belle histoire d'amour entre une Française et un soldat allemand sort de l'ordinaire, c'est par l'étrange, mais intéressante idée de glisser, grâce à d'intelligente feuille de papier calque, de reste de véritable photo qui vont venir se juxtaposer sur des dessins. La qualité de réalisation st assez impressionnante et cela rend la lecture intrigante. Au final, en plus d'une belle histoire d'amour, on a aussi un bien bel ouvrage. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/leo-en-petits-morceaux?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. poseidon2

    Léo en petits morceaux

    Léo en petits morceaux ou comment une belle et intelligente mise en page peut faire passer d'une histoire assez standard à une lecture intéressante. En effet, sans être inintéressante, l'histoire de Léo n'en est pas moins assez commune. L'histoire d'une femme qui tombe amoureuse d'un homme en s'imaginant que son amour allait dépasser le contexte dans lequel ils vivaient et c'étaient rencontrés. Si cette belle histoire d'amour entre une Française et un soldat allemand sort de l'ordinaire, c'est par l'étrange, mais intéressante idée de glisser, grâce à d'intelligente feuille de papier calque, de reste de véritable photo qui vont venir se juxtaposer sur des dessins. La qualité de réalisation st assez impressionnante et cela rend la lecture intrigante. Au final, en plus d'une belle histoire d'amour, on a aussi un bien bel ouvrage.
  4. Titre de l'album : Les contrées salées Scenariste de l'album : Hope Larson Dessinateur de l'album : Rebecca Mock Coloriste : Rebecca Mock Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : Lorsque Elber, le frère aîné de Vonceil, revient à la ferme familiale de l'Oklahoma après avoir servi sur les lignes de front de la Première Guerre mondiale, les choses ne se passent pas comme elle l'espérait. L'expérience traumatisante de la guerre l'ont transformé en homme austère et responsable qui n'a plus de temps à lui consacrer. Alors qu'il vient d'épouser la fille qu'il avait laissée derrière lui, surgit une femme en blanc mystérieuse et captivante qui accuse Elber de l'avoir abandonnée en France. Lorsqu'il refuse de quitter sa femme, elle jette un sort au puits familial, qui transforme les réserves d'eau pure de la ville en eau salée. Qui est cette dame en blanc, qu'a-t-elle fait à la ferme et que sait le vieil oncle Dell de Vonceil à son sujet ? Pour le savoir, Vonceil va devoir affronter le monde de la sorcellerie peuplé de parents dangereux, d'animaux métamorphosés, d'une capricieuse sorcière du sucre et de la Dame en blanc, la sinistre sorcière du sel. Au cours de ce voyage épique qui va la transformer, la jeune fille en apprendra beaucoup sur l'amour et sur ce que cela signifie de grandir. Les Contrées salées est un conte de fées graphique magnifiquement illustré par Rebecca Mock sur un scénario de Hope Larson, autrice de All Summer Long, nominé pour le prix Eisner, et de A Wrinkle in Time: The Graphic Novel, lauréat du prix Eisner. Critique : Ne tournons pas autour du pot, il y a un parfum de magicien d'Oz dans ces Contrées salées à destination des enfants et jeunes ados que les adultes dévoreront en cachette également ! Chose étonnante, la très belle couverture cache je trouve un dessin tout aussi harmonieux mais dans un style moins éthéré à l'intérieur de cet album. Si Hope Larson nous livre un conte envoutant aux multiples leçons et niveaux de lecture, peuplé de personnages attachants, sensibles et intéressants, la mise en image de Rebecca Mock vient nous sublimer l'ensemble dans un style qui n'a pas été sans me rappeler le travail du studio ghibli sur leurs productions. C'est clair, expressif, enjoué et inspiré, bravo. Je ne peux que vous en conseiller la lecture, c'est indéniablement un de ces ouvrages dont la magie déborde pour infuser le cœur de ses lecteurs, des plus jeunes aux plus anciens. Autres infos : Eisner Awards 2022 : Meilleure publication pour enfants (9-12 ans) Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/contrees-salees?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. The_PoP

    Les contrées salées

    Ne tournons pas autour du pot, il y a un parfum de magicien d'Oz dans ces Contrées salées à destination des enfants et jeunes ados que les adultes dévoreront en cachette également ! Chose étonnante, la très belle couverture cache je trouve un dessin tout aussi harmonieux mais dans un style moins éthéré à l'intérieur de cet album. Si Hope Larson nous livre un conte envoutant aux multiples leçons et niveaux de lecture, peuplé de personnages attachants, sensibles et intéressants, la mise en image de Rebecca Mock vient nous sublimer l'ensemble dans un style qui n'a pas été sans me rappeler le travail du studio ghibli sur leurs productions. C'est clair, expressif, enjoué et inspiré, bravo. Je ne peux que vous en conseiller la lecture, c'est indéniablement un de ces ouvrages dont la magie déborde pour infuser le cœur de ses lecteurs, des plus jeunes aux plus anciens.
  6. Après avoir réalisé plusieurs titres pour enfant, Lisa Sanchis signe son premier roman graphique pour adulte, avec la route du bloc. Elle met en image la vie de Benjamin, son compagnon qui depuis son enfance rêvait d'être chirurgien. Ainsi débute l'histoire de cet enfant, il consacre beaucoup de temps et travaille dans le milieu hospitalier avant de pouvoir débuter les longues études pour devenir chirurgien. A travers ce livre, Lisa montre comment ce métier de vocation pour venir en aide et sauver des vies qui peut devenir un enfer pour le personnel médical. On suit les douze années d'études de Benjamin jusqu'à sa rencontre avec Lisa, jusqu'à son burn-out, par des horaires et des cadences de travail pas possible à gérer sur le long terme. Lisa apporte quelques touches d'humour pour alléger la thématique de l'histoire, très problématique actuellement. Elle insère quelques références à la culture geek comme des images des crados pour représenter quelques traumatismes, ou des références à des dessins animés. Les dessins sont simples mais efficace et souvent représente des docteurs aux urgences. Lisa Sanchis réussit à vulgariser le jargon médical pour la compréhension de tout public. Avec ce titre, elle met en évidence la problématique pour le personnel hospitalier surchargé de travail à réaliser dans l'urgence pour sauver des vies.
  7. Titre de l'album : La route du bloc - Une vocation à l'épreuve du réel Scenariste de l'album : Lisa Sanchis Dessinateur de l'album : Lisa Sanchis Coloriste : Lisa Sanchis Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Lisa Sanchis dessine le parcours du combattant d'un chirurgien, de sa vocation enfantine à la désillusion en passant par les années d'internat dévoilant la vie des médecins et la crise de l'hôpital public. Entre fatigue, drames et joies, nous suivons l'apprenti médecin, sans approximation ni jargon grâce à des références pop qui rendent accessible avec le sourire un métier dur et magnifique. Critique : Après avoir réalisé plusieurs titres pour enfant, Lisa Sanchis signe son premier roman graphique pour adulte, avec la route du bloc. Elle met en image la vie de Benjamin, son compagnon qui depuis son enfance rêvait d'être chirurgien. Ainsi débute l'histoire de cet enfant, il consacre beaucoup de temps et travaille dans le milieu hospitalier avant de pouvoir débuter les longues études pour devenir chirurgien. A travers ce livre, Lisa montre comment ce métier de vocation pour venir en aide et sauver des vies qui peut devenir un enfer pour le personnel médical. On suit les douze années d'études de Benjamin jusqu'à sa rencontre avec Lisa, jusqu'à son burn-out, par des horaires et des cadences de travail pas possible à gérer sur le long terme. Lisa apporte quelques touches d'humour pour alléger la thématique de l'histoire, très problématique actuellement. Elle insère quelques références à la culture geek comme des images des crados pour représenter quelques traumatismes, ou des références à des dessins animés. Les dessins sont simples mais efficace et souvent représente des docteurs aux urgences. Lisa Sanchis réussit à vulgariser le jargon médical pour la compréhension de tout public. Avec ce titre, elle met en évidence la problématique pour le personnel hospitalier surchargé de travail à réaliser dans l'urgence pour sauver des vies. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-route-du-bloc-une-vocation-a-l-epreuve-du-reel?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Pfiou, que j'aime ce genre de lectures ! La finesse de la couverture et des choix graphiques m'avaient fait envie, et puis ne nous voilons pas la face, je suis un très bon client pour les romans graphiques façon tranche de vie. Celui-ci est toutefois particulièrement réussi, et je serai bien en peine de lui trouver des défauts. C'est tendre et touchant, sans jamais devenir niais, ça parle de tous, des adultes au enfants, de nos lâchetés, de nos courages, de la vie qui est parfois bien rude, et de ces moments hors du temps qui façonnent parfois grandement ce que nous deviendront. A travers la photographie et le récit d'une journée d'été, l'auteur réussit avec beaucoup de tendresse à nous dépeindre la vie, la vraie. Je vais en profiter pour mettre les pieds dans le plat, car parfois cela dissuade des lecteurs qui passeraient à côté d'une bien belle lecture. Non cette bd ne traite pas de l'homosexualité. Ce n'est finalement même pas le sujet, il s'agit avant tout de tranches de vies et de problématiques amoureuses vécues par plusieurs personnages à divers moment de leurs vies. Un beau et grand moment, d'une rare pudeur, et pourtant, tout y est dit ou presque. Les personnages ne sont ni excessifs, ni quelconques, ils sont un peu de nous quelque part, et ça fait du bien. Il faut bien reconnaitre sur l'ecueil parfois de ces romans graphiques intimistes et vie quotidienne sont que finalement, les enjeux, les non dits ne sont pas toujours clairs pour le lecteur, et parfois en voulant être trop minimaliste, on finit par avoir une impression de banalité, et un manque d'intérêt. Rassurez-vous, ici vous lirez jusqu'au bout une fois ce roman graphique ouvert. Je tiens également à dire que souvent l'appréciation de ce genre de roman graphique tient beaucoup à notre vécu personnel et à ce que cela peut nous renvoyer. Ici ce n'est pas le cas, cette histoire m'a intéressée pour ce qu'elle est puisqu'elle ne se rapprochait pas vraiment de mes vécus. Une petite merveille donc, à découvrir et que je ne manquerais pas de prêter autour de moi. A noter que si je n'en ai que peu parlé, le dessin est au diapason de la couverture et du propos. Une franche réussite, une histoire d'une rare justesse, de celles que je n'attendais pas à ce niveau. Cerise sur le gâteau, vous pourrez le faire lire à vos ados sans soucis.
  9. Titre de l'album : Toutes les princesses meurent après minuit Scenariste de l'album : Quentin Zuttion Dessinateur de l'album : Quentin Zuttion Coloriste : Quentin Zuttion Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : 31 août 1997 au matin, dans un pavillon de banlieue, une mère de famille repasse le linge quand la télévision lui apprend la nouvelle : Lady Di est morte cette nuit. Au même moment dans la salle de bain, Lulu, son fils de 8 ans, se tartine la bouche de rouge à lèvre et s'imagine embrasser son petit voisin. De son côté, Cam, en pleine adolescence, cache son petit copain dans sa chambre sous le refrain de la musique du moment. Quant au père, il rentre seulement à la maison, lui n'a pas dormi ici. De l'éveil du désir aux passions fanées, le portrait amoureux de cette famille s'esquisse à travers cette journée ensoleillée qui va changer leur vie... Critique : Pfiou, que j'aime ce genre de lectures ! La finesse de la couverture et des choix graphiques m'avaient fait envie, et puis ne nous voilons pas la face, je suis un très bon client pour les romans graphiques façon tranche de vie. Celui-ci est toutefois particulièrement réussi, et je serai bien en peine de lui trouver des défauts. C'est tendre et touchant, sans jamais devenir niais, ça parle de tous, des adultes au enfants, de nos lâchetés, de nos courages, de la vie qui est parfois bien rude, et de ces moments hors du temps qui façonnent parfois grandement ce que nous deviendront. A travers la photographie et le récit d'une journée d'été, l'auteur réussit avec beaucoup de tendresse à nous dépeindre la vie, la vraie. Je vais en profiter pour mettre les pieds dans le plat, car parfois cela dissuade des lecteurs qui passeraient à côté d'une bien belle lecture. Non cette bd ne traite pas de l'homosexualité. Ce n'est finalement même pas le sujet, il s'agit avant tout de tranches de vies et de problématiques amoureuses vécues par plusieurs personnages à divers moment de leurs vies. Un beau et grand moment, d'une rare pudeur, et pourtant, tout y est dit ou presque. Les personnages ne sont ni excessifs, ni quelconques, ils sont un peu de nous quelque part, et ça fait du bien. Il faut bien reconnaitre sur l'ecueil parfois de ces romans graphiques intimistes et vie quotidienne sont que finalement, les enjeux, les non dits ne sont pas toujours clairs pour le lecteur, et parfois en voulant être trop minimaliste, on finit par avoir une impression de banalité, et un manque d'intérêt. Rassurez-vous, ici vous lirez jusqu'au bout une fois ce roman graphique ouvert. Je tiens également à dire que souvent l'appréciation de ce genre de roman graphique tient beaucoup à notre vécu personnel et à ce que cela peut nous renvoyer. Ici ce n'est pas le cas, cette histoire m'a intéressée pour ce qu'elle est puisqu'elle ne se rapprochait pas vraiment de mes vécus. Une petite merveille donc, à découvrir et que je ne manquerais pas de prêter autour de moi. A noter que si je n'en ai que peu parlé, le dessin est au diapason de la couverture et du propos. Une franche réussite, une histoire d'une rare justesse, de celles que je n'attendais pas à ce niveau. Cerise sur le gâteau, vous pourrez le faire lire à vos ados sans soucis. Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/toutes-les-princesses-meurent-apres-minuit?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Titre de l'album : Perpendiculaire au soleil Scenariste de l'album : Valentine Cuny-Le Callet Dessinateur de l'album : Valentine Cuny-Le Callet Coloriste : Valentine Cuny-Le Callet Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Au travail au crayon et en gravure sur bois, se mêlent des images singulières, colorées, qui parlent de la beauté du monde, qui ont vu le jour dans des conditions extrêmes. Témoignage bouleversant sur une amitié naissante, ce récit se penche sur la brutalité du système carcéral, et la ténacité avec laquelle les condamnés reconstruisent leur vie, depuis une cellule de cinq mètres carrés. Critique : Perpendiculaire au soleil est un roman graphique relatant la correspondance entre une jeune femme française et un détenu dans le couloir de la mort aux Etats-Unis. Valentine Cuny-Le Callet réalise son premier projet de bande dessinée sur cette correspondance en accord avec Renaldo McGirth, le détenu. Valentine Cuny-Le Callet reprend depuis le départ son objectif et pourquoi elle souhaite établir cette relation avec un détenu condamné à mort. Elle choisit le noir et blanc pour réaliser les dessins avec de temps à autre quelques illustrations de couleur pour accentuer les moments agréables pour le détenu. Elle retrace ainsi tout son parcours, mais aussi le système judiciaire aux Etats-Unis, la condition des détenus en attente de la date fatidique de leurs exécutions mais aussi le combat de ce détenu pour faire réviser son jugement et la thématique bien présente de la peine de mort. Le récit est évidemment très intense comme il se base sur une histoire vraie. Le choix de cette histoire pour son premier roman graphique est très fort et on le ressent à la lecture. Les dessins alternent entre très réalise, illustrations ou style enfantin ou alors seulement d'ombre. Perpendiculaire au soleil est un pavé imposant de quatre cent pages intimistes entre la relation des deux protagonistes, souvent émouvant et qui donne une réflexion sur la peine de mort. Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/perpendiculaire-au-soleil?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. alx23

    Perpendiculaire au soleil

    Perpendiculaire au soleil est un roman graphique relatant la correspondance entre une jeune femme française et un détenu dans le couloir de la mort aux Etats-Unis. Valentine Cuny-Le Callet réalise son premier projet de bande dessinée sur cette correspondance en accord avec Renaldo McGirth, le détenu. Valentine Cuny-Le Callet reprend depuis le départ son objectif et pourquoi elle souhaite établir cette relation avec un détenu condamné à mort. Elle choisit le noir et blanc pour réaliser les dessins avec de temps à autre quelques illustrations de couleur pour accentuer les moments agréables pour le détenu. Elle retrace ainsi tout son parcours, mais aussi le système judiciaire aux Etats-Unis, la condition des détenus en attente de la date fatidique de leurs exécutions mais aussi le combat de ce détenu pour faire réviser son jugement et la thématique bien présente de la peine de mort. Le récit est évidemment très intense comme il se base sur une histoire vraie. Le choix de cette histoire pour son premier roman graphique est très fort et on le ressent à la lecture. Les dessins alternent entre très réalise, illustrations ou style enfantin ou alors seulement d'ombre. Perpendiculaire au soleil est un pavé imposant de quatre cent pages intimistes entre la relation des deux protagonistes, souvent émouvant et qui donne une réflexion sur la peine de mort.
  12. Amis des belles histoires d'amours, laissez tomber vos mangas ! Kris et Bailly, après un sac de billes, ou le multiplement primé Notre Mère la guerre, reviennent à leurs histoires Irlandaises (après coupures irlandaises) pour nous livrer une romance extrêmement prenante et humaine. L'histoire d'un couple qui pense et espère qu'au XXIe siècle les clivages religieux aient été dépassés et que tout le monde puisse les laisser s'aimer librement, malgré les tensions toujours présentes entre Unionistes et indépendantistes. Et c'est tout le mal qu'on leur souhaite tout au long de la lecture de cette belle histoire d'amour moderne. Une histoire comme on aimerait (ou on aurait aimé) en vivre : un coup de foudre réciproque, une histoire de découverte et d'acceptation des différences comme dans tous les bons contes. Si le graphisme de Vincent Bailly pourra paraitre étrange aux nouveaux lecteurs, tout en aquarelles et en crayonné, je vous encourage à franchir le pas pour découvrir une histoire d'amour... dont le deuxième volet de l'histoire nous dira si elle a été plus fort que la guerre.
  13. Titre de l'album : Partitions irlandaises premier couplet Scenariste de l'album : Kris Dessinateur de l'album : Vincent Bailly Coloriste : Vincent Bailly Editeur de l'album : Ankama Note : Résumé de l'album : Tim est protestant. Pas n'importe quel protestant : il est le fils de Frankie Brown, héros de la lutte unioniste, mort au combat à la fin des années 90. Mary est catholique, fille d'un ancien activiste de l'IRA, Patrick Pearse, qui a déposé les armes il y près de 20 ans, avant même les accords de paix du Vendredi Saint, signés le 10 avril 1998 entre les partisans de l'union avec la Grande-Bretagne et les nationalistes du Sinn Féin. Ces deux-là n'avaient aucune chance de se rencontrer. Mais ça leur est tombé dessus, comme ça. Tim et Mary. Mary et Tim. Alors ils se sont fait l'amour comme une dernière nuit avant la guerre. Sans voir qu'ils allumaient la mèche. Une histoire d'amour magnifique et tourmentée dans le Belfast tout aussi tourmenté d'aujourd'hui, entre Brexit et retour des tensions identitaires. Kris et Vincent Bailly reviennent en Irlande du Nord douze ans après le succès du récit complet Coupures irlandaises. Critique : Amis des belles histoires d'amours, laissez tomber vos mangas ! Kris et Bailly, après un sac de billes, ou le multiplement primé Notre Mère la guerre, reviennent à leurs histoires Irlandaises (après coupures irlandaises) pour nous livrer une romance extrêmement prenante et humaine. L'histoire d'un couple qui pense et espère qu'au XXIe siècle les clivages religieux aient été dépassés et que tout le monde puisse les laisser s'aimer librement, malgré les tensions toujours présentes entre Unionistes et indépendantistes. Et c'est tout le mal qu'on leur souhaite tout au long de la lecture de cette belle histoire d'amour moderne. Une histoire comme on aimerait (ou on aurait aimé) en vivre : un coup de foudre réciproque, une histoire de découverte et d'acceptation des différences comme dans tous les bons contes. Si le graphisme de Vincent Bailly pourra paraitre étrange aux nouveaux lecteurs, tout en aquarelles et en crayonné, je vous encourage à franchir le pas pour découvrir une histoire d'amour... dont le deuxième volet de l'histoire nous dira si elle a été plus fort que la guerre. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/partitions-irlandaises-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. alx23

    The cloven

    Garth Stein gère très bien son histoire avec suffisamment de mystère autour du héros pour nous amener à suivre son aventure durant son évasion d'un laboratoire. En effet, James Tucker est un enfant créé génétiquement et modifié avec l'ADN d'un bouc, pour améliorer ses compétences physiques. Il possède les sabots du bouc avec fourrure sur les jambes et le corps d'un enfant, c'est un fourchu (the cloven). Pour ne rien arranger à la situation, il a quelques pertes de mémoires et se souvient difficilement de son enfance. A la lecture du résumé, on est obligé de penser à Sweet Tooth de Jeff Lemire. L'histoire de ce premier tome est très proche avec une construction narrative basée les mystères durant l'enfance, les expériences de mutations entre enfants et animaux. Les dessins de Matthew Southworth conviennent à merveille sur ce roman graphique avec beaucoup d'encrage pour un résultat très sombre. L'ambiance est excellente avec un découpage très bien maitrisé. J’apprécie beaucoup ce genre de récits fantastiques qui possèdent des histoires très prenantes où l’on ressent beaucoup d’émotions à la lecture, pour les mutants perdus dans notre société. Le scénario n'est pas très original mais possède une atmosphère forte, la suite nous permettra de me mieux juger du potentiel de l'histoire.
  15. alx23

    The cloven

    Titre de l'album : The cloven Scenariste de l'album : Garth Stein Dessinateur de l'album : Matthew Southworth Coloriste : Matthew Southworth Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : James Tucker, connu de ses amis sous le nom de «Tuck», rêve d´une vie normale comme celle d´étudiant à l´université. Le souci est qu´il vit prisonnier au fin fond d´un laboratoire secret, financé par des fonds privés. Là-bas, il y est un cobaye de choix, un organisme humain modifié génétiquement, probablement le plus abouti jamais créé. Tucker est le croisement entre un humain et une chèvre : un Cloven. Sa vie va prendre une nouvelle tournure lorsqu´une jeune femme découvre son existence... Critique : Garth Stein gère très bien son histoire avec suffisamment de mystère autour du héros pour nous amener à suivre son aventure durant son évasion d'un laboratoire. En effet, James Tucker est un enfant créé génétiquement et modifié avec l'ADN d'un bouc, pour améliorer ses compétences physiques. Il possède les sabots du bouc avec fourrure sur les jambes et le corps d'un enfant, c'est un fourchu (the cloven). Pour ne rien arranger à la situation, il a quelques pertes de mémoires et se souvient difficilement de son enfance. A la lecture du résumé, on est obligé de penser à Sweet Tooth de Jeff Lemire. L'histoire de ce premier tome est très proche avec une construction narrative basée les mystères durant l'enfance, les expériences de mutations entre enfants et animaux. Les dessins de Matthew Southworth conviennent à merveille sur ce roman graphique avec beaucoup d'encrage pour un résultat très sombre. L'ambiance est excellente avec un découpage très bien maitrisé. J’apprécie beaucoup ce genre de récits fantastiques qui possèdent des histoires très prenantes où l’on ressent beaucoup d’émotions à la lecture, pour les mutants perdus dans notre société. Le scénario n'est pas très original mais possède une atmosphère forte, la suite nous permettra de me mieux juger du potentiel de l'histoire. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-cloven?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. alx23

    Goat mountain

    Titre de l'album : Goat mountain Scenariste de l'album : O. Carol Dessinateur de l'album : Georges Van Linthout Coloriste : Georges Van Linthout Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Automne 1978, nord de la Californie. C'est l'ouverture de la chasse sur les deux cent cinquante hectares du ranch de Goat Mountain où un garçon de onze ans, son père, son grand-père et un ami de la famille se retrouvent comme chaque année pour chasser. À leur arrivée, les quatre hommes aperçoivent au loin un braconnier qu'ils observent à travers la lunette de leur fusil. Le père invite son fils à tenir l'arme et à venir regarder. Et l'irréparable se produit. De cet instant figé découle l'éternité : les instincts primitifs se mesurent aux conséquences à vie, les croyances universelles se heurtent aux résonances des tragédies. Et le parcours initiatique du jeune garçon, abandonné à ses instincts sauvages, se poursuivra pendant plusieurs jours, entre chasse au gibier et chasse à l'homme. Critique : Goat mountain est l'adaptation en bande dessinée du roman de David Vann par le scénariste O. Carol. L'histoire nous présente un jeune adolescent de onze ans qui va pouvoir chasser pour la première fois de sa vie même si la loi ne l'autorise pas encore, c'est une tradition familiale. Cet enfant est accompagné de son père, son grand-père et un ami de la famille pour chasser le cerf. Un drame survient dès que les quatre hommes arrivent sur leur terre et surprennent un braconnier. Toute l'intrigue va se dérouler en huit clos dans des décors naturels magnifiques avec les réglementes de compte de cette famille. Une décision doit être prise alors que la violence semble la seule alternative pour cette famille. Je ne connaissais pas cet auteur et encore moins le roman mais je trouve que la fin est vraiment trop rapide, je ne sais pas si c'est comme dans le livre. Les dessins de Georges Van Linthout sont impressionnants avec des personnages en dégradé de gris autour de forêts californiennes immenses où seulement quelques touches de couleurs vertes, oranges et rouges. Goat mountain est un récit fort et violent dont l'histoire pourrait déranger avec les décisions des membres de la famille. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/goat-mountain?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. alx23

    Goat mountain

    Goat mountain est l'adaptation en bande dessinée du roman de David Vann par le scénariste O. Carol. L'histoire nous présente un jeune adolescent de onze ans qui va pouvoir chasser pour la première fois de sa vie même si la loi ne l'autorise pas encore, c'est une tradition familiale. Cet enfant est accompagné de son père, son grand-père et un ami de la famille pour chasser le cerf. Un drame survient dès que les quatre hommes arrivent sur leur terre et surprennent un braconnier. Toute l'intrigue va se dérouler en huit clos dans des décors naturels magnifiques avec les réglementes de compte de cette famille. Une décision doit être prise alors que la violence semble la seule alternative pour cette famille. Je ne connaissais pas cet auteur et encore moins le roman mais je trouve que la fin est vraiment trop rapide, je ne sais pas si c'est comme dans le livre. Les dessins de Georges Van Linthout sont impressionnants avec des personnages en dégradé de gris autour de forêts californiennes immenses où seulement quelques touches de couleurs vertes, oranges et rouges. Goat mountain est un récit fort et violent dont l'histoire pourrait déranger avec les décisions des membres de la famille.
  18. The_PoP

    Pearl et le monstre marin

    En ce moment je suis gâté car je découvre plein de belles sorties. Ce Pearl et le monstre marin en est une, et je ressort de cette lecture pourtant ciblée pour les ados en ayant pris un grand plaisir. Certes, le scénario et l'histoire reste plutôt simple, mais tout y est bien dosé et le dessin de Willem Samuel comme la mise en couleur de Clyde Beech est pour beaucoup dans cette atmosphère bienveillante qui se dégage de cet ouvrage. Ce Pearl et le monstre marin nous livre une belle aventure de tolérance, de découverte de la nature, et de soi. Les personnages y sont bien croqués et l'humain y est dépeint sans trop d'excès car comme toutes les histoires de monstres, celle-ci s'intéresse encore davantage à ceux qui sommeillent en nous. Une belle lecture plaisante et éducative.
  19. Titre de l'album : Pearl et le monstre marin Scenariste de l'album : Willem Samuel & Anthony Silverston & Raffaella Delle Donne Dessinateur de l'album : Willem Samuel Coloriste : Clyde Beech Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : Entre l'absence d'une mère ayant disparue et les difficultés financières d'un père ne parvenant plus à trouver de travail, Pearl s'évade grâce à la plongée sous-marine. Un jour où elle s'aventure sur des territoires interdits à la pêche, elle découvre réfugiée dans une grotte une créature extraordinaire : une pieuvre géante, qu'elle appelle affectueusement Otto, et avec qui elle noue un lien d'amitié fort. La présence de son nouveau compagnon n'échappe pas aux braconniers et marins du villages, qui reconnaissent en Otto le responsable d'un naufrage causé il y a plusieurs années par la bête qui tentaient d'échapper aux pêcheurs. L'amitié improbable d'une jeune fille et d'un gigantesque animal marin résistera-t-elle à la colère aveugle des hommes ? Critique : En ce moment je suis gâté car je découvre plein de belles sorties. Ce Pearl et le monstre marin en est une, et je ressort de cette lecture pourtant ciblée pour les ados en ayant pris un grand plaisir. Certes, le scénario et l'histoire reste plutôt simple, mais tout y est bien dosé et le dessin de Willem Samuel comme la mise en couleur de Clyde Beech est pour beaucoup dans cette atmosphère bienveillante qui se dégage de cet ouvrage. Ce Pearl et le monstre marin nous livre une belle aventure de tolérance, de découverte de la nature, et de soi. Les personnages y sont bien croqués et l'humain y est dépeint sans trop d'excès car comme toutes les histoires de monstres, celle-ci s'intéresse encore davantage à ceux qui sommeillent en nous. Une belle lecture plaisante et éducative. Autres infos : Traduction de Alice Delarbre Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/pearl-monstre-marin?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. The_PoP

    Le serpent à deux têtes

    Deuxième parution de grande qualité pour Noctambule ce mois-ci avec ce "Serpent à deux têtes" qui ne paye pas de mine mais nous narre une histoire vraie passionnante et documentée mise en image de manière très délicate par Gani Jakupi. C'est à travers les yeux et les témoignages de plusieurs des protagonistes de cette histoire que celle-ci a été recoupée, la plus important étant celle hallucinante du principal intéressé. Si vous aimez l'australie, les pionniers, les histoires vraies incroyables, les peuplades étrangères, et l'Histoire en général, foncez sur ce Serpent à deux têtes, c'est passionnant.
  21. Titre de l'album : Le serpent à deux têtes Scenariste de l'album : Gani Jakupi Dessinateur de l'album : Gani Jakupi Coloriste : Gani Jakupi Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : À l'aube de la fondation de ce qu'on appellera l'Australie, tandis que Sidney n'est encore qu'un village, les destins de M'rrangoureuk, guerrier aborigène revenu d'entre les morts, et de William Buckley, fugitif britannique, se croisent et se confondent. Cette double trajectoire fait écho aux interrogations contemporaines sur l'identité et les mélanges culturels dans notre monde globalisé. Critique : Deuxième parution de grande qualité pour Noctambule ce mois-ci avec ce "Serpent à deux têtes" qui ne paye pas de mine mais nous narre une histoire vraie passionnante et documentée mise en image de manière très délicate par Gani Jakupi. C'est à travers les yeux et les témoignages de plusieurs des protagonistes de cette histoire que celle-ci a été recoupée, la plus important étant celle hallucinante du principal intéressé. Si vous aimez l'australie, les pionniers, les histoires vraies incroyables, les peuplades étrangères, et l'Histoire en général, foncez sur ce Serpent à deux têtes, c'est passionnant. Autres infos : D'après l'histoire vraie de William Buckley Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-serpent-a-deux-tetes?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. alx23

    BFF

    Les deux scénaristes Thomas Cadène et Joseph Safieddine collaborent de nouveau ensemble sur BFF pour relater le quotidien d'une bande d'amis unis depuis l'enfance. Ils s'entendent tous très bien mais aucun d'eux ne dit vraiment la vérité. Les auteurs nous proposent donc de suivre cette histoire d'amitié qui se base sur des mensonges dans notre époque. Le quotidien de chacun est difficile à gérer entre les adultères, le fait de cacher la réussite professionnelle et bien d'autres thèmes seront abordés dans ce roman graphique à la pagination importante. L'album est donc composé de 24 chapitres avant que les vérités ne soient mises à jour par cette bande de trentenaire qui se voient souvent. L'histoire se centralise sur le personnage de Gro un pianiste de renommé qui préfère le cacher à ses amis en vivant d'un petit appartement qui donne accès à un énorme loft. Pour la partie graphique, la couverture est bien représentative des planches intérieures. Les décors sont souvent vides ou minimalistes pour mettre en avant les relations des amis avec des fonds unis. BFF est paru initialement sous la forme d'un webtoon pour webtoon factory avant d'être aujourd'hui proposé dans un format roman graphique. BFF nous donne des tranches de vie avec la problématique de comment de sortir de ses mensonges et vivre dans la réalité.
  23. alx23

    BFF

    Titre de l'album : BFF Scenariste de l'album : Thomas Cadène & Joseph Safieddine Dessinateur de l'album : Clément C. Fabre Coloriste : Clément C. Fabre Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Gro est un artiste, du genre qui galère et vit dans un studio miteux. C'est ce que croient ses potes... En réalité, il est un pianiste classique à succès. Dans son groupe d'amis, c'est le raté sympa dont l'échec rassure, ils l'aiment comme ça et il ne veut pas que ça change. Mais tous ont des secrets... Et la préparation du mariage d'Oscar et Claire va faire vaciller cet édifice de mensonges. Critique : Les deux scénaristes Thomas Cadène et Joseph Safieddine collaborent de nouveau ensemble sur BFF pour relater le quotidien d'une bande d'amis unis depuis l'enfance. Ils s'entendent tous très bien mais aucun d'eux ne dit vraiment la vérité. Les auteurs nous proposent donc de suivre cette histoire d'amitié qui se base sur des mensonges dans notre époque. Le quotidien de chacun est difficile à gérer entre les adultères, le fait de cacher la réussite professionnelle et bien d'autres thèmes seront abordés dans ce roman graphique à la pagination importante. L'album est donc composé de 24 chapitres avant que les vérités ne soient mises à jour par cette bande de trentenaire qui se voient souvent. L'histoire se centralise sur le personnage de Gro un pianiste de renommé qui préfère le cacher à ses amis en vivant d'un petit appartement qui donne accès à un énorme loft. Pour la partie graphique, la couverture est bien représentative des planches intérieures. Les décors sont souvent vides ou minimalistes pour mettre en avant les relations des amis avec des fonds unis. BFF est paru initialement sous la forme d'un webtoon pour webtoon factory avant d'être aujourd'hui proposé dans un format roman graphique. BFF nous donne des tranches de vie avec la problématique de comment de sortir de ses mensonges et vivre dans la réalité. Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/bff?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. poseidon2

    Breakwater

    Révélation britannique de l'année du New York Times, ce Breakwater nous présente un roman graphique à part dans les parutions actuelles. En effet, c'est un roman graphique qui ne cherche pas à surfer sur ce qui marche bien en boutique, mais qui cherche à parler aux gens qui ne reconnaissent pas dans les parutions actuelles : les personnes que l'on ne remarque pas. La tranche qui n'est ni ado ni âgé. Sans problème de famille ni secret dérangeant. Des gens qui sont juste des gens. Qui font un boulot de services que l'on ne remarque pas assez. C'est a ces gens que ce roman graphique s'adresse. Ou à tous ceux qui ont envie de changer de lecture. Et une fois que l'on a compris cela, on se rend compte à quel point cet album est bon. Il est bon, car il va au rythme de personnes qui n'ont pas envie de vivre la grande vie, mais qui ont des plaisirs simples. Des gens qui n'ont pas fait d'études et n'arrivent pas à avoir des perspectives. Mais des gens pour qui l'amitié est encore plus important. Et l'amitié, c'est soutenir ces amis dans les moments facile, mais aussi dans les moments difficiles. Une belle histoire d'amitié.
  25. poseidon2

    Breakwater

    Titre de l'album : Breakwater Scenariste de l'album : Katriona Chapman Dessinateur de l'album : Katriona Chapman Coloriste : Katriona Chapman Editeur de l'album : Futuropolis Note : Résumé de l'album : Le Breakwater, ce cinéma de Brighton, a définitivement connu des jours meilleurs : autrefois grande et somptueuse cette salle est désormais vide à l'exception des souris, des oiseaux, des employés occasionnels en pause, et de quelques rares spectateurs habitués. Assez étrangement, cependant, il est toujours en activité, détenu de manière indépendante par un vieil alcoolique. Chris est une femme introvertie d'une quarantaine d'années, isolée socialement et sous-employée, apparemment par choix, dont les rêves d'un diplôme en travail social sont depuis longtemps derrière elle. Mais, lorsque Dan commence à travailler au Breakwater, il ravive le désir en elle de retourner peut-être à ses études et faire autre chose de sa vie malgré - ou peut-être à cause de - leurs différences évidentes. Car Dan est gay, asiatique, et beaucoup plus jeune. Mais Dan est lui-même désemparé, il vient d'arriver en ville et ne connaît personne. Au fil des jours, une amitié va naître... Le premier roman graphique publié en français de Katriona Chapman, ouvrage époustouflant d'une jeune créatrice qui fera à coup sûr parler d'elle. Élu l'un des meilleurs romans graphiques de 2020 du New York Times. Critique : Révélation britannique de l'année du New York Times, ce Breakwater nous présente un roman graphique à part dans les parutions actuelles. En effet, c'est un roman graphique qui ne cherche pas à surfer sur ce qui marche bien en boutique, mais qui cherche à parler aux gens qui ne reconnaissent pas dans les parutions actuelles : les personnes que l'on ne remarque pas. La tranche qui n'est ni ado ni âgé. Sans problème de famille ni secret dérangeant. Des gens qui sont juste des gens. Qui font un boulot de services que l'on ne remarque pas assez. C'est a ces gens que ce roman graphique s'adresse. Ou à tous ceux qui ont envie de changer de lecture. Et une fois que l'on a compris cela, on se rend compte à quel point cet album est bon. Il est bon, car il va au rythme de personnes qui n'ont pas envie de vivre la grande vie, mais qui ont des plaisirs simples. Des gens qui n'ont pas fait d'études et n'arrivent pas à avoir des perspectives. Mais des gens pour qui l'amitié est encore plus important. Et l'amitié, c'est soutenir ces amis dans les moments facile, mais aussi dans les moments difficiles. Une belle histoire d'amitié. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/breakwater/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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