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  1. Titre de l'album : My Tiny little senpai t1 Scenariste de l'album : Saisou Dessinateur de l'album : Saisou Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Une mini senpai qui prend soin de son kouhai Shinozaki a une bonne raison d'aimer son travail : sa senpai aussi petite que mignonne. Le charme de Katase qui n'est pas seulement petite et mignonne ! Une comédie romantique pleine de douceur ! La comédie romantique au bureau à dévorer ! Critique : Dans la veine de Shikimori n’est pas juste mignonne, voici venir My Tiny Little Sempai toujours aux éditions Meian. On retrouve exactement le format de l’autre manga, mais plus orienté adulte. En effet, on ne parle pas de lycéens, mais bien de collègues de travail. On reste dans le cercle des relations amoureuses et des sentiments non avoués, mais avec des références d’autres, faites de travail, d’alcool, de sous-entendu sexy etc…. Une bonne détente qui voit quand même une évolution type « comédie romantique » se mettre en place et nous laisse espérer une suite pas trop longue. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/my-tiny-senpai-tome-1/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Titre de l'album : Lord Gravestone - Tome 2 - Le dernier loup d'alba Scenariste de l'album : Jérôme Le Gris Dessinateur de l'album : Nicolas Sinner Coloriste : Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Quand le chasseur devient la proie. Mordu par la stryge qui a tué son père, John Gravestone pourrait bien devenir une créature des ténèbres si ce démon venait à parachever son oeuvre. Pour le protéger, son oncle Théophile et son fidèle Tibbett organisent sa fuite vers les terres écossaises de son enfance. Mais malgré leurs efforts, la vampire Camilla reste inexorablement proche de sa proie. Le destin des Gravestone va-t-il se jouer dans la relation ambiguë qui commence à se nouer entre John et Camilla ? Tandis que Tibbett dévoile son vrai visage, la situation pourrait prendre un tournant des plus inattendus. Récit à l'atmosphère sombre et gothique, Lord Gravestone mêle écriture moderne et fable vampirique en puisant aux sources du genre. En plaçant leur oeuvre chronologiquement en amont du célèbre Dracula de Bram Stoker, à l'époque prévictorienne, Jérôme Le Gris et Nicolas Siner imaginent un univers esthétique où le mythe se fond dans une relecture de Roméo et Juliette. Un récit épique et fascinant au coeur de l'épais brouillard anglais. Critique : Décidément cela ne traîne pas. Nicolas Sinner et Jérôme Le Gris n'ont pas le temps pour nous livrer déjà le second tome de leur nouvelle série Lord Gravestone. Oui le tome 1 est sorti seulement au mois de mars de cette année. Et quand on voit la qualité de ces tomes on ne peut qu'être ébahi par ces délais de fous furieux. Ceci étant dit les lecteurs que nous sommes n'ont pas de raisons de se plaindre puisque le souvenir du tome 1 restait vivace dans nos mémoires. Il faut bien reconnaitre qu'il avait su marquer nos esprits par sa qualité et son cliffhanger final. L'aventure et le drame reprennent donc scéance tenante dès le début de ce tome avec un Lord Gravestone toujours aussi perdu face au poids de son héritage et de sa destinée, heureusement il va prendre de la densité au fil de l'album lorsque les fils tissés par le destins vont lentement se refermer sur lui, préparer vous au pire, car s'il y a une chose que l'on a appris avec ces deux auteurs sur Horacio d'Alba, leur précédente collaboration Ô combien réussie, c'est qu'ils n'aiment rien de plus que d'infliger un destin terrible à leurs héros, et Lord Gravestone ne fera pas exception. Les dessins et couleurs de Nicolas Siner sont toujours aussi splendides, et cette bd fut l'une des première que j'ai dévoré dans cette rentrée chargée car elle condense tout ce que j'aime dans la bd, de l'aventure, du drame humain, de l'action époustouflante, un univers riche et une intrigue qu'on aimerait ne pas lâcher. Je ne peux que vous le recommander car à l'heure actuelle, il n'y a que peu de séries qui présentent autant d'attraits que ce Lord Gravestone. Et ce tome 2 vient de confirmer encore une fois tout le bien qu'on pensant de ses deux auteurs. Merci messieurs. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/lord-gravestone-tome-2-les-hauts-loups-d-alba?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Décidément cela ne traîne pas. Nicolas Sinner et Jérôme Le Gris n'ont pas le temps pour nous livrer déjà le second tome de leur nouvelle série Lord Gravestone. Oui le tome 1 est sorti seulement au mois de mars de cette année. Et quand on voit la qualité de ces tomes on ne peut qu'être ébahi par ces délais de fous furieux. Ceci étant dit les lecteurs que nous sommes n'ont pas de raisons de se plaindre puisque le souvenir du tome 1 restait vivace dans nos mémoires. Il faut bien reconnaitre qu'il avait su marquer nos esprits par sa qualité et son cliffhanger final. L'aventure et le drame reprennent donc scéance tenante dès le début de ce tome avec un Lord Gravestone toujours aussi perdu face au poids de son héritage et de sa destinée, heureusement il va prendre de la densité au fil de l'album lorsque les fils tissés par le destins vont lentement se refermer sur lui, préparer vous au pire, car s'il y a une chose que l'on a appris avec ces deux auteurs sur Horacio d'Alba, leur précédente collaboration Ô combien réussie, c'est qu'ils n'aiment rien de plus que d'infliger un destin terrible à leurs héros, et Lord Gravestone ne fera pas exception. Les dessins et couleurs de Nicolas Siner sont toujours aussi splendides, et cette bd fut l'une des première que j'ai dévoré dans cette rentrée chargée car elle condense tout ce que j'aime dans la bd, de l'aventure, du drame humain, de l'action époustouflante, un univers riche et une intrigue qu'on aimerait ne pas lâcher. Je ne peux que vous le recommander car à l'heure actuelle, il n'y a que peu de séries qui présentent autant d'attraits que ce Lord Gravestone. Et ce tome 2 vient de confirmer encore une fois tout le bien qu'on pensant de ses deux auteurs. Merci messieurs.
  4. Titre de l'album : Saotome t10 (fin) Scenariste de l'album : Naoko Mizuguchi Dessinateur de l'album : Naoko Mizuguchi Coloriste : Editeur de l'album : Doki-Doki Note : Résumé de l'album : Ne manquez pas le final tant attendu de cette comédie romantique attachante et atypique ! Alors que l'histoire de la photo agite le lycée d'Umesaki, le combat de Satoru approche à grands pas ! Remportera-t-il enfin sa première victoire ? Quelle tournure va prendre la relation entre nos deux tourtereaux ? Critique : Voila c'est fini chante Jean-louis Aubert. Et je dois vous avouer que le fait que ce soit fini m'attriste un peu tellement je m'étais accroché aux personnages de Saotome et Satoru.Mais juste un peu, car cette fin est belle. Très belle et à l'image de la série. Un tome qui réussi à ne pas nous surprendre, mais à nous émouvoir quand même. En centrant ce tome 10 sur Satoru, notre auteur change la donne et inverse les rôles. C'est lui la star et elle qui se met dans la peau de la groupie au point de tout lâcher.Une histoire d'amour ou nos deux personnages restent fidèles à eux même, même après s'être déclarés officiellement ensemble. Ils restent timides et empotés, mais radicalement amoureux l'un de l'autre. Une belle et tendre histoire d'amour comme on souhaiterait en lire plus souvent et que, comme toute série que l'on aime, l'on aurait voulu voir plus longue. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/saotome-tome-10?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. poseidon2

    Saotome t10 (fin)

    Voila c'est fini chante Jean-louis Aubert. Et je dois vous avouer que le fait que ce soit fini m'attriste un peu tellement je m'étais accroché aux personnages de Saotome et Satoru.Mais juste un peu, car cette fin est belle. Très belle et à l'image de la série. Un tome qui réussi à ne pas nous surprendre, mais à nous émouvoir quand même. En centrant ce tome 10 sur Satoru, notre auteur change la donne et inverse les rôles. C'est lui la star et elle qui se met dans la peau de la groupie au point de tout lâcher.Une histoire d'amour ou nos deux personnages restent fidèles à eux même, même après s'être déclarés officiellement ensemble. Ils restent timides et empotés, mais radicalement amoureux l'un de l'autre. Une belle et tendre histoire d'amour comme on souhaiterait en lire plus souvent et que, comme toute série que l'on aime, l'on aurait voulu voir plus longue.
  6. Titre de l'album : Mushoku tensei t17 Scenariste de l'album : Yuka Fujikawa Dessinateur de l'album : Yuka Fujikawa Coloriste : Editeur de l'album : Doki-Doki Note : Résumé de l'album : Sa première vie sur Terre avait été un ratage total. Réincarné dans un monde de magie et d'épées, Rudeus va tout faire pour éviter les erreurs du passé... et sera peut-être le nouveau héros d'un monde en péril ? J'ai ce monde en horreur !Silent Sevenstar, la mystérieuse élève honoraire de l'Académie de magie de Lanoa, n'est autre que la lycéenne sauvée d'un camion fou par Rudeus dans sa vie antérieure ! Elle s'est lancée dans des recherches effrénées pour trouver le moyen de rentrer dans son monde d'origine. Arrivée dans une impasse, elle demande de l'aide à Rudeus, qui accepte... Dans le même temps, notre sympathique héros se rend enfin à l'évidence : il est fou amoureux de Fitz ! Mais un jour qu'il le croise en ville par hasard, il est abasourdi par la réaction du jeune garde du corps... Critique : Vous avez bien vu la couverture ? Elle est parlante hein ? Bon ben, c'est bon, vous pouvez attendre le 18 ! Voila voila.... sincèrement je suis frustré. Avec la fin des "problèmes de virilité" de notre héros, je pensais sincèrement que notre manga allait enfin redécoller avec ce tome 17... alors qu'en fait, c'est un tome complet de conclusion complètement inutile. Les fans absolus (s'il en reste) de Rudeus seront surement contents de cette ode à la virilité retrouvée du héros.... mais ceux qui ont envie d'en savoir plus sur Eris, sur le dieu qui l'a ramené dans ce monde, sur la guerre entre les divinités... et bien, il faudra encore attendre… Mais l'attente commence à devenir insupportable. Au moins ce n'est pas long à lire.... Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mushoku-tensei-tome-17?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. poseidon2

    Mushoku tensei t17

    Vous avez bien vu la couverture ? Elle est parlante hein ? Bon ben, c'est bon, vous pouvez attendre le 18 ! Voila voila.... sincèrement je suis frustré. Avec la fin des "problèmes de virilité" de notre héros, je pensais sincèrement que notre manga allait enfin redécoller avec ce tome 17... alors qu'en fait, c'est un tome complet de conclusion complètement inutile. Les fans absolus (s'il en reste) de Rudeus seront surement contents de cette ode à la virilité retrouvée du héros.... mais ceux qui ont envie d'en savoir plus sur Eris, sur le dieu qui l'a ramené dans ce monde, sur la guerre entre les divinités... et bien, il faudra encore attendre… Mais l'attente commence à devenir insupportable. Au moins ce n'est pas long à lire....
  8. Titre de l'album : Phobos - Tome 2 - La règle du jeu Scenariste de l'album : Victor Dixen Dessinateur de l'album : Eduardo Francisco Coloriste : Chiara di Francia Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Douze astronautes. Douze joueurs. Douze perdants. Ils misent le tout pour le tout. Propulsés de l'anonymat à la gloire internationale, les douze prétendants du programme Genesis sont sur le point d'atteindre Mars et de choisir leur partenaire pour la vie. Alors que la fin du speed-dating approche, la pression monte et les masques tombent. Elle ne sait plus quelle carte jouer. Léonor, la prétendante française, est rattrapée par ce jeu auquel elle ne voulait pas participer. Mais la règle est faussée et les prétendants risquent d'être tous perdants - ce qui est vraiment sur la table, c'est leur survie à tous... Même si la partie vire au jeu de massacre, il est trop tard pour arrêter. Saga romanesque best-seller couronnée de prix et traduite dans plusieurs langues dont l'anglais, Phobos est un thriller de science-fiction en apesanteur, mariant romance spatiale et course pour la survie. Phobos est aujourd'hui adapté en bande dessinée par son maître d'oeuvre, Victor Dixen, et par le brillant artiste brésilien Eduardo Francisco. La Règle du jeu est le tome 2 de la série de bande-dessinée. Critique : Chronique signée par @Kevin Nivek Un plaisir coupable . C'est ainsi que je perçois cette aventure après avoir lu les 2 tomes . Oui , The_pop a raison de mentionner l'aspect "teenager" avec ces questionnements parfois puérils des protagonistes . Je rappelle que cela concerne des jeunes gens de 18 ans lancés à la conquête de Mars , on peut donc pardonner ces excès juvéniles dans leurs comportements . Passé ce détail qui persiste dans ce second tome , il est toujours aussi plaisant de suivre les pérégrinations de nos jeunes "lofteurs" . On en apprend plus sur les secrets des uns et des autres , les masques tombent ; dans l'espace mais aussi sur terre où les organisateurs de cette aventure spatiale vont voir l'étau se resserrer autour d'eux . Je n'en dis pas plus , mais vous n'êtes pas au bout de vos surprises . C'est bien pour cela que je mentionne un plaisir coupable , on a hâte de lire la suite , car l'orbite de Mars approche et avec tous ces secrets révélés , le suspens est très bien ménagé . On sent que l'écrivain veille au grain sur son oeuvre littéraire . il est bien aidé par le dessin de Eduardo Francisco qui reste sur la très bonne note du tome 1 et nous gratifie de très belles planches , dynamiques , les regards perçants empreints de mensonges dissimulés , ou pas ! Les scènes dans le fameux globe de verre , lieu de rendez-vous des tourtereaux sont très bien réalisées , on sent les effets de l'apesanteur sur les vêtements ainsi que les coupes de cheveux . C'est aussi un des (nombreux) intérêts de cette BD , les nombreuses références techniques que l'on apprend sur le voyage dans l'espace ainsi que les contraintes liées . Je ne suis absolument pas fan de télé réalité , mais ayant été bien intrigué par le premier , je ne peux que vous conseiller d'approfondir avec celui-ci , on a très hâte de les voir arriver (ou pas) sur Mars . D'autant qu'avec un dessinateur de cette trempe , les paysages rouges seraient prometteurs ! Autres infos : Public ado - adultes Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/phobos-tome-2-la-regle-du-jeu?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Chronique signée par @Kevin Nivek Un plaisir coupable . C'est ainsi que je perçois cette aventure après avoir lu les 2 tomes . Oui , The_pop a raison de mentionner l'aspect "teenager" avec ces questionnements parfois puérils des protagonistes . Je rappelle que cela concerne des jeunes gens de 18 ans lancés à la conquête de Mars , on peut donc pardonner ces excès juvéniles dans leurs comportements . Passé ce détail qui persiste dans ce second tome , il est toujours aussi plaisant de suivre les pérégrinations de nos jeunes "lofteurs" . On en apprend plus sur les secrets des uns et des autres , les masques tombent ; dans l'espace mais aussi sur terre où les organisateurs de cette aventure spatiale vont voir l'étau se resserrer autour d'eux . Je n'en dis pas plus , mais vous n'êtes pas au bout de vos surprises . C'est bien pour cela que je mentionne un plaisir coupable , on a hâte de lire la suite , car l'orbite de Mars approche et avec tous ces secrets révélés , le suspens est très bien ménagé . On sent que l'écrivain veille au grain sur son oeuvre littéraire . il est bien aidé par le dessin de Eduardo Francisco qui reste sur la très bonne note du tome 1 et nous gratifie de très belles planches , dynamiques , les regards perçants empreints de mensonges dissimulés , ou pas ! Les scènes dans le fameux globe de verre , lieu de rendez-vous des tourtereaux sont très bien réalisées , on sent les effets de l'apesanteur sur les vêtements ainsi que les coupes de cheveux . C'est aussi un des (nombreux) intérêts de cette BD , les nombreuses références techniques que l'on apprend sur le voyage dans l'espace ainsi que les contraintes liées . Je ne suis absolument pas fan de télé réalité , mais ayant été bien intrigué par le premier , je ne peux que vous conseiller d'approfondir avec celui-ci , on a très hâte de les voir arriver (ou pas) sur Mars . D'autant qu'avec un dessinateur de cette trempe , les paysages rouges seraient prometteurs !
  10. Qu'est-ce que c'est mignon 🙂 Mais attention, pas mignon comme le chat. Mignon comme une belle histoire d'amour, sans fioritures, sans trop d'étalage d'émotion comme dans les mangas. Une vraie belle histoire d'amour entre deux personnes que tout oppose, y compris l'ensemble de la société. Qui dit belle histoire d'amour dit histoire pas forcément surprenante. Mais là n'est pas le propos. Le propos est avant de tout de montrer que l'amour peut soulever toutes les barrières, et ce, peu importe les aventures nécessaires. Et en ces périodes compliquées, une belle histoire d'amour pleine de bons sentiments, c'est une éclaircie dans le brouillard.
  11. Titre de l'album : Love love love t3 : Bip bip yeah Scenariste de l'album : Kid Toussaint Dessinateur de l'album : André garrido Coloriste : André garrido Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : La conclusion d'une sublime histoire d'amour, à la fois futuriste et intemporelle, où Kid Toussaint et Andres Garrido interrogent avec brio le rapport de nos sociétés modernistes aux IA. Le Royaume d'Aquitaine. Un territoire où les IA sont interdites, mais où Elle a décidé de se cacher chez ses parents, en compagnie de Karel, son amoureux mécha. Alors que Lola, la petite fille d'Elle, fait connaissance de son inattendu beau-père, leurs potes Medhi et Dave tentent de rejoindre le couple de fuyards, qu'ils espèrent aider. Un renfort pas inutile, puisque de nombreux poursuivants les traquent, dont Wal Acto, un terrible chasseur de primes robotisé, ainsi que la police qui soupçonne Elle d'une série de meurtres de méchas... Le jeune couple parviendra-t-il à Madrid, où Elle espère repousser la date d'obsolescence programmée de Karel ? Critique : Qu'est-ce que c'est mignon 🙂 Mais attention, pas mignon comme le chat. Mignon comme une belle histoire d'amour, sans fioritures, sans trop d'étalage d'émotion comme dans les mangas. Une vraie belle histoire d'amour entre deux personnes que tout oppose, y compris l'ensemble de la société. Qui dit belle histoire d'amour dit histoire pas forcément surprenante. Mais là n'est pas le propos. Le propos est avant de tout de montrer que l'amour peut soulever toutes les barrières, et ce, peu importe les aventures nécessaires. Et en ces périodes compliquées, une belle histoire d'amour pleine de bons sentiments, c'est une éclaircie dans le brouillard. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/love-love-love-tome-3-bip-bip-yeah?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Pfiou, que j'aime ce genre de lectures ! La finesse de la couverture et des choix graphiques m'avaient fait envie, et puis ne nous voilons pas la face, je suis un très bon client pour les romans graphiques façon tranche de vie. Celui-ci est toutefois particulièrement réussi, et je serai bien en peine de lui trouver des défauts. C'est tendre et touchant, sans jamais devenir niais, ça parle de tous, des adultes au enfants, de nos lâchetés, de nos courages, de la vie qui est parfois bien rude, et de ces moments hors du temps qui façonnent parfois grandement ce que nous deviendront. A travers la photographie et le récit d'une journée d'été, l'auteur réussit avec beaucoup de tendresse à nous dépeindre la vie, la vraie. Je vais en profiter pour mettre les pieds dans le plat, car parfois cela dissuade des lecteurs qui passeraient à côté d'une bien belle lecture. Non cette bd ne traite pas de l'homosexualité. Ce n'est finalement même pas le sujet, il s'agit avant tout de tranches de vies et de problématiques amoureuses vécues par plusieurs personnages à divers moment de leurs vies. Un beau et grand moment, d'une rare pudeur, et pourtant, tout y est dit ou presque. Les personnages ne sont ni excessifs, ni quelconques, ils sont un peu de nous quelque part, et ça fait du bien. Il faut bien reconnaitre sur l'ecueil parfois de ces romans graphiques intimistes et vie quotidienne sont que finalement, les enjeux, les non dits ne sont pas toujours clairs pour le lecteur, et parfois en voulant être trop minimaliste, on finit par avoir une impression de banalité, et un manque d'intérêt. Rassurez-vous, ici vous lirez jusqu'au bout une fois ce roman graphique ouvert. Je tiens également à dire que souvent l'appréciation de ce genre de roman graphique tient beaucoup à notre vécu personnel et à ce que cela peut nous renvoyer. Ici ce n'est pas le cas, cette histoire m'a intéressée pour ce qu'elle est puisqu'elle ne se rapprochait pas vraiment de mes vécus. Une petite merveille donc, à découvrir et que je ne manquerais pas de prêter autour de moi. A noter que si je n'en ai que peu parlé, le dessin est au diapason de la couverture et du propos. Une franche réussite, une histoire d'une rare justesse, de celles que je n'attendais pas à ce niveau. Cerise sur le gâteau, vous pourrez le faire lire à vos ados sans soucis.
  13. Titre de l'album : Toutes les princesses meurent après minuit Scenariste de l'album : Quentin Zuttion Dessinateur de l'album : Quentin Zuttion Coloriste : Quentin Zuttion Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : 31 août 1997 au matin, dans un pavillon de banlieue, une mère de famille repasse le linge quand la télévision lui apprend la nouvelle : Lady Di est morte cette nuit. Au même moment dans la salle de bain, Lulu, son fils de 8 ans, se tartine la bouche de rouge à lèvre et s'imagine embrasser son petit voisin. De son côté, Cam, en pleine adolescence, cache son petit copain dans sa chambre sous le refrain de la musique du moment. Quant au père, il rentre seulement à la maison, lui n'a pas dormi ici. De l'éveil du désir aux passions fanées, le portrait amoureux de cette famille s'esquisse à travers cette journée ensoleillée qui va changer leur vie... Critique : Pfiou, que j'aime ce genre de lectures ! La finesse de la couverture et des choix graphiques m'avaient fait envie, et puis ne nous voilons pas la face, je suis un très bon client pour les romans graphiques façon tranche de vie. Celui-ci est toutefois particulièrement réussi, et je serai bien en peine de lui trouver des défauts. C'est tendre et touchant, sans jamais devenir niais, ça parle de tous, des adultes au enfants, de nos lâchetés, de nos courages, de la vie qui est parfois bien rude, et de ces moments hors du temps qui façonnent parfois grandement ce que nous deviendront. A travers la photographie et le récit d'une journée d'été, l'auteur réussit avec beaucoup de tendresse à nous dépeindre la vie, la vraie. Je vais en profiter pour mettre les pieds dans le plat, car parfois cela dissuade des lecteurs qui passeraient à côté d'une bien belle lecture. Non cette bd ne traite pas de l'homosexualité. Ce n'est finalement même pas le sujet, il s'agit avant tout de tranches de vies et de problématiques amoureuses vécues par plusieurs personnages à divers moment de leurs vies. Un beau et grand moment, d'une rare pudeur, et pourtant, tout y est dit ou presque. Les personnages ne sont ni excessifs, ni quelconques, ils sont un peu de nous quelque part, et ça fait du bien. Il faut bien reconnaitre sur l'ecueil parfois de ces romans graphiques intimistes et vie quotidienne sont que finalement, les enjeux, les non dits ne sont pas toujours clairs pour le lecteur, et parfois en voulant être trop minimaliste, on finit par avoir une impression de banalité, et un manque d'intérêt. Rassurez-vous, ici vous lirez jusqu'au bout une fois ce roman graphique ouvert. Je tiens également à dire que souvent l'appréciation de ce genre de roman graphique tient beaucoup à notre vécu personnel et à ce que cela peut nous renvoyer. Ici ce n'est pas le cas, cette histoire m'a intéressée pour ce qu'elle est puisqu'elle ne se rapprochait pas vraiment de mes vécus. Une petite merveille donc, à découvrir et que je ne manquerais pas de prêter autour de moi. A noter que si je n'en ai que peu parlé, le dessin est au diapason de la couverture et du propos. Une franche réussite, une histoire d'une rare justesse, de celles que je n'attendais pas à ce niveau. Cerise sur le gâteau, vous pourrez le faire lire à vos ados sans soucis. Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/toutes-les-princesses-meurent-apres-minuit?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Soyons honnête, ma lecture du premier tome du Boiseleur m'avait laissé un souvenir mitigé : bon sans être mémorable ( voir le lien de la chronique ici : Et ce tome 2 vient me rappeler pourquoi il faut toujours se laisser tenter par une histoire, fusse-t-elle sur un sujet qui à priori ne vous attire pas, pour peu que les auteurs soient bons. ) Ce boiseleur vient pour moi se ranger finalement à côté de Le Sculpteur, dans sa pertinence à nous parler d'art. Le tour de force de Gaëlle Hersent au dessin est de réussir à nous rendre des sensations de sculpture, de mouvement, d'espaces et de vides sur une feuille de papier. Quand au scénario du génial Hubert, que nous ne pouvons que regretter, il réussit à insuffler un souffle épique dans un second tome prenant là où les enjeux du premier tome ne m'avaient finalement que peu émoustillé. Ce Boiseleur est donc au final une très belle réussite que je ne peux que recommander aux amateurs d'arts, et aux autres.
  15. Titre de l'album : Le boiseleur - Tome 2 - L'esprit d'Atelier Scenariste de l'album : Hubert Dessinateur de l'album : Gaëlle Hersent Coloriste : Gaëlle Hersent Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Le talent d'Illian, jeune sculpteur, franchit les frontières de Solidor et suscite l'intérêt jusqu'à Bélizonde, seule cité dirigée par des artistes. Un couple de grands maîtres sculpteurs, Tullio et Zenia, parvient à convaincre le jeune d'homme d'intégrer leur prestigieux atelier. Leur souhait ? Le faire concourir à un grand événement qui leur permettrait de sauver leur atelier, leur savoir-faire... Critique : Soyons honnête, ma lecture du premier tome du Boiseleur m'avait laissé un souvenir mitigé : bon sans être mémorable ( voir le lien de la chronique ici : Et ce tome 2 vient me rappeler pourquoi il faut toujours se laisser tenter par une histoire, fusse-t-elle sur un sujet qui à priori ne vous attire pas, pour peu que les auteurs soient bons. ) Ce boiseleur vient pour moi se ranger finalement à côté de Le Sculpteur, dans sa pertinence à nous parler d'art. Le tour de force de Gaëlle Hersent au dessin est de réussir à nous rendre des sensations de sculpture, de mouvement, d'espaces et de vides sur une feuille de papier. Quand au scénario du génial Hubert, que nous ne pouvons que regretter, il réussit à insuffler un souffle épique dans un second tome prenant là où les enjeux du premier tome ne m'avaient finalement que peu émoustillé. Ce Boiseleur est donc au final une très belle réussite que je ne peux que recommander aux amateurs d'arts, et aux autres. Autres infos : Fin du diptyque Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-boiseleur-tome-2-l-esprit-d-atelier?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. poseidon2

    Saotome t8

    Arf il fallait bien que cela arrive.... un premier tome de Saotome assez moyen. On est toujours content de retrouver nos personnages mais, à 2 tomes de la fin (10 tomes en tout), on espérait sincèrement une plus grande avancée dans les relations entre Saotome et Satoru. En effet ce tome huit parle presque uniquement de boxe. Les relations entre nos deux amoureux ne sont malheureusement par le centre de ce tome. On les voit, bien entendu, mais leur relation d'avance pas. On enchaine plus les matchs de boxe... avec des matchs sans même Saotome ni Satoru. Bref un tome frustant car on sait pertinemment que la série finie bientôt et que l'on aimerait plus se concentrer sur l'histoire de l'amour, quitte à ce que la boxe passe en second plan. Esperons que le tome 9 change la donne pour nous offrir une belle fin de série !
  17. poseidon2

    Saotome t8

    Titre de l'album : Saotome t8 Scenariste de l'album : Naoki Mizuguchi Dessinateur de l'album : Naoki Mizuguchi Coloriste : Editeur de l'album : Doki-Doki Note : Résumé de l'album : Le tournoi national de boxe féminine débute enfin ! À l'hôtel, Satoru et Saotome tombent sur Kagome Hanami et sa petite soeur Kanoko. Cette dernière fait part à sa grande soeur de sa décision d'aller étudier au lycée d'Umesaki l'an prochain. Kagome, surprise, y met une condition : que Saotome remporte tous ses combats avant la fin du 1er round lors du tournoi junior. Satoru et Saotome vont également vivre une nuit de Noël qui restera gravée dans leur mémoire sous la neige de Kanazawa... Humour, boxe et romantisme sont, une nouvelle fois, au rendez-vous de ce 8e volume à ne surtout pas manquer ! Critique : Arf il fallait bien que cela arrive.... un premier tome de Saotome assez moyen. On est toujours content de retrouver nos personnages mais, à 2 tomes de la fin (10 tomes en tout), on espérait sincèrement une plus grande avancée dans les relations entre Saotome et Satoru. En effet ce tome huit parle presque uniquement de boxe. Les relations entre nos deux amoureux ne sont malheureusement par le centre de ce tome. On les voit, bien entendu, mais leur relation d'avance pas. On enchaine plus les matchs de boxe... avec des matchs sans même Saotome ni Satoru. Bref un tome frustant car on sait pertinemment que la série finie bientôt et que l'on aimerait plus se concentrer sur l'histoire de l'amour, quitte à ce que la boxe passe en second plan. Esperons que le tome 9 change la donne pour nous offrir une belle fin de série ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/saotome-tome-8?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. poseidon2

    After t1

    Titre de l'album : After t1 Scenariste de l'album : Anna Todd Dessinateur de l'album : Anna Todd Coloriste : Anna Todd Editeur de l'album : Hugo bd Note : Résumé de l'album : Avant lui, elle contrôlait sa vie... Tessa est une fille bien. Son petit ami, un garçon doux et sur qui elle peut compter, l'attend dans sa ville natale. Elle est ambitieuse, volontaire, et a une mère déterminée à la garder dans le droit chemin. Elle vient à peine d'emménager dans sa chambre de première année de fac quand elle rencontre Hardin Scott, les cheveux bruns en bataille, un accent anglais insolent et des tatouages sur tout le corps. Il est beau, sûr de lui et plutôt grossier, voire un peu cruel. Avec son arrogance et ses insultes, Hardin représente tout ce que Tessa devrait haïr, et c'est le cas... jusqu'au moment où son côté taciturne finit par avoir raison d'elle. Ce n'est alors plus qu'une question de temps avant qu'Hardin ne souffle sur les braises d'une passion que Tessa n'avait encore jamais connue. Il va lui dire qu'elle est magnifique, affirmer qu'il n'est pas celui qu'il lui faut à coups de faux prétextes et d'absences injustifiées, encore et encore. Il se détournera d'elle, mais s'accrochera encore plus fort lorsqu'elle voudra aller de l'avant. En dépit de la désinvolture avec laquelle Hardin la traite, Tessa ne peut s'empêcher d'être attirée par sa vulnérabilité et est déterminée à révéler le vrai Hardin sous ce masque de mensonges. Critique : Attention. Cette critique s'adresse aux personnes qui ont moins de 17 ans et plus de 12, et majoritairement aux filles..... Je préfère vous le dire tout de suite, car ce comics, tiré d'une série de romans connus pour avoir été écrit sur smartphone par Anna Todd en 2014, enchaine les clichés de l'histoire d'amour américaine pour jeune fille. Notre histoire parle d'une jeune fille de bonne famille de la campagne qui arrive dans la grande université et qui tombe amoureuse du bad guy pas si bad que ça, car mal dans sa peau, mais qu'elle ne doit pas approcher parce qu'elle a un petit ami frigide qui l'attend dans sa cambrousse. Et elle passe par tous les stades normaux de tourments amoureux... Ce n'est pas mal fait, mais c'est juste super téléphoné… À lire si vous n'aviez pas déjà lu de love story américaine depuis 6 mois Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/after-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. poseidon2

    After t1

    Attention. Cette critique s'adresse aux personnes qui ont moins de 17 ans et plus de 12, et majoritairement aux filles..... Je préfère vous le dire tout de suite, car ce comics, tiré d'une série de romans connus pour avoir été écrit sur smartphone par Anna Todd en 2014, enchaine les clichés de l'histoire d'amour américaine pour jeune fille. Notre histoire parle d'une jeune fille de bonne famille de la campagne qui arrive dans la grande université et qui tombe amoureuse du bad guy pas si bad que ça, car mal dans sa peau, mais qu'elle ne doit pas approcher parce qu'elle a un petit ami frigide qui l'attend dans sa cambrousse. Et elle passe par tous les stades normaux de tourments amoureux... Ce n'est pas mal fait, mais c'est juste super téléphoné… À lire si vous n'aviez pas déjà lu de love story américaine depuis 6 mois
  20. poseidon2

    Saotome t1

    Nouvelle série de romantique Doki Doki. Car oui n'en déplaise à la couverture, on est bien dans un gentil et tout mignon manga de romance. Un manga qui détend et nous ramène à nos premières amours. Celles qui nous font nous sentir tout penaud, tout gêné de ressentir des sentiments tout nouveaux. Mais plus qu'une unique romance, Naoki Mizuguchi tiens à ajouter un coté préjugé et gestion des différences quand on est ados. Et cela marche. On se met rapidement dans la tête de Saotome et on comprend très facilement à quelle point être rangée dans la case "sportive" aux gros muscles, pour une fille qui cherche à se faire un petit copain, c'est difficile tout comme le dit copain qui se retrouve à vouloir sortir avec la star sportive du lycée. Le point en plus de ce Saotome, à contrario des Yawara et autre héroïne malgré moi, c'est que le personnage de Saotome est vraiment représenté comme une boxeuse à la féminité "sommaire" dira-t-on. Cela fait sortir le manga du cliché "fille trop belle mais qui ne s'en est pas rendu compte". Là on a vraiment un "couple" complétement mal associé, ce qui n'enlève rien à leur sentiment. Une lecture mignonne, sympathique et pleine de bon sentiment. Parfait pour les vacances !
  21. poseidon2

    Saotome t1

    Titre de l'album : Saotome t1 Scenariste de l'album : Naoki Mizuguchi Dessinateur de l'album : Naoki Mizuguchi Coloriste : Editeur de l'album : Doki-Doki Note : Résumé de l'album : Yae Saotome est une lycéenne au regard froid, une athlète au physique atypique, et une boxeuse qui porte les espoirs de tout un lycée. Mais en réalité, c'est surtout une jeune fille réservée, gauche et fleur bleue... Et cette force la nature est tombée amoureuse d'un garçon maigrichon et empoté ! Parviendront-ils à vivre leur amour malgré les contraintes et leurs différences ? Critique : Nouvelle série de romantique Doki Doki. Car oui n'en déplaise à la couverture, on est bien dans un gentil et tout mignon manga de romance. Un manga qui détend et nous ramène à nos premières amours. Celles qui nous font nous sentir tout penaud, tout gêné de ressentir des sentiments tout nouveaux. Mais plus qu'une unique romance, Naoki Mizuguchi tiens à ajouter un coté préjugé et gestion des différences quand on est ados. Et cela marche. On se met rapidement dans la tête de Saotome et on comprend très facilement à quelle point être rangée dans la case "sportive" aux gros muscles, pour une fille qui cherche à se faire un petit copain, c'est difficile tout comme le dit copain qui se retrouve à vouloir sortir avec la star sportive du lycée. Le point en plus de ce Saotome, à contrario des Yawara et autre héroïne malgré moi, c'est que le personnage de Saotome est vraiment représenté comme une boxeuse à la féminité "sommaire" dira-t-on. Cela fait sortir le manga du cliché "fille trop belle mais qui ne s'en est pas rendu compte". Là on a vraiment un "couple" complétement mal associé, ce qui n'enlève rien à leur sentiment. Une lecture mignonne, sympathique et pleine de bon sentiment. Parfait pour les vacances ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/saotome-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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