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  1. Titre de l'album : Harem in the fantasy world dungeon tomes 6 et 7 Scenariste de l'album : SOGANO Shachi Dessinateur de l'album : HYOUJU Issei Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Dans le labyrinthe, Michio procède par tâtonnements afin de permettre à Sherry de devenir forgeron. De retour chez lui et pour se remettre de cette journée, il profite d'un bon bain en compagnie de Sherry et de Roxanne. C'est bientôt l'heure de sa première nuit avec Sherry, grâce à laquelle il va enfin pouvoir goûter au bonheur du harem ! Critique : Michio et Roxanne se sont bien habitués à leur nouvelle vie, entre exploration du labyrinthe et moments coquins, ils sont bien occupés. Mais pour pouvoir aller dans les niveaux supérieurs, il leur faut renforcer leur équipe, Michio décide donc d’aller acheter une seconde esclave, une naine en espérant qu’elle développera des capacités de forgeron et une femme bien sûr, pour avancer dans la voie du harem. Je suis toujours bien embêtée avec ce manga, il a tendance à trainer en longueur avec beaucoup d’explications sur ce que les personnages font et comment ils le font. Et c’est quand je me dis que j’arrête qu’il y a quelques éléments éparpillés par ci par là qui attirent mon attention. Pas assez spectaculaires cependant pour me donner envie de relire le tome ni de vouloir absolument lire la suite. Et du côté charme, Roxanne assure toujours le fan service mais la création du harem avance également lentement, il aura fallu 7 tomes pour que la 2eme demoiselle arrive, on en peut pas vraiment appeler ça un harem encore… Pour ce qui de l’aspect fantasy, à moins de vraiment penser un jour se faire isekaier (eh oui, un nouveau verbe traine chez les jeunes..), toutes ces informations sont lourdes et ne servent pas à grand-chose. On aurait aimé que la promesse du titre, le fameux harem, soit tenue avec plus de rythme et de mordant mais à ce rythme-là, on y sera encore dans 10 ans… Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/harem-in-the-fantasy-world-dungeon-tome-7?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Nickad

    Live forever tome 1

    Sarah était une adolescente comme une autre, pleine de vie, qui s'amusait et jouait dans un groupe de rock, jusqu'au jour où sa mère meurt subitement d'une maladie. Sarah ne sait pas comment faire pour gérer son chagrin, son deuil, alors elle s'accroche à une folle rumeur qui dit que le vieil d'homme d'à côté serait un vampire. Alors Sarah cherche à se rapprocher de lui, essaye de trouver ses secrets, lui vole du sang mais elle trouve aussi une oreille attentive à qui elle peut confier tout ce qu'elle ressent. Live forever n'est pas qu'une revisite du mythe du vampire. Il y a un côté fantastique avec des énigmes et des phénomènes étranges mais c'est aussi et peut-être avant tout, un livre sur le deuil et la perte d'un proche. Avec son petit côté comics et son graphisme à la Sin City en plus épuré, le webcomic sait capter notre attention. C'est graphiquement très beau, on s'attarde, on profite et en même temps c'est émouvant de voir cette adolescente qui s'accroche à un espoir de vie éternelle et qui tient parfois des propos très profonds sur la vie et la mort. Fini en 2 tomes, Live forever mérite le détour.
  3. Titre de l'album : Live forever tome 1 Scenariste de l'album : TREVINO Raul Dessinateur de l'album : TREVINO Raul Coloriste : Editeur de l'album : Kotoon Note : Résumé de l'album : Jouer avec la vie et la mort n'est pas sans risque... Sarah vient de perdre sa mère. Le deuil et la douleur sont tellement trop difficiles à vivre qu'elle part à la recherche d'un antidote qui offrirait à ses proches la vie éternelle. Elle décide alors de croire les rumeurs selon lesquelles son voisin serait un vampire. Critique : Sarah était une adolescente comme une autre, pleine de vie, qui s'amusait et jouait dans un groupe de rock, jusqu'au jour où sa mère meurt subitement d'une maladie. Sarah ne sait pas comment faire pour gérer son chagrin, son deuil, alors elle s'accroche à une folle rumeur qui dit que le vieil d'homme d'à côté serait un vampire. Alors Sarah cherche à se rapprocher de lui, essaye de trouver ses secrets, lui vole du sang mais elle trouve aussi une oreille attentive à qui elle peut confier tout ce qu'elle ressent. Live forever n'est pas qu'une revisite du mythe du vampire. Il y a un côté fantastique avec des énigmes et des phénomènes étranges mais c'est aussi et peut-être avant tout, un livre sur le deuil et la perte d'un proche. Avec son petit côté comics et son graphisme à la Sin City en plus épuré, le webcomic sait capter notre attention. C'est graphiquement très beau, on s'attarde, on profite et en même temps c'est émouvant de voir cette adolescente qui s'accroche à un espoir de vie éternelle et qui tient parfois des propos très profonds sur la vie et la mort. Fini en 2 tomes, Live forever mérite le détour. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/live-forever-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Nickad

    Soïchi

    Soïchi est le personnage humoristique de Junji Itô, celui qui ne réussit jamais ce qu’il entreprend et heureusement ! Car Soïchi est un vraiment un cas, attiré irrémédiablement par l’obscurantisme, il cherche à tout prix à lancer des malédictions sur autrui. Il est glauque, pas attirant, et emmerde son monde. Même quand il veut rendre service, il dérange son entourage que ce soit en famille ou à l’école. Cette intégrale, composée de 14 histoires, reprend les aventures de Soïchi dans l’ordre chronologique. Un point intéressant quand on sait qu’il a une progression entre ces histoires : on découvre l’évolution de Soïchi et surtout le changement dans ses rapports avec son environnement. Et c’est encore plus intéressant car certains chapitres sont liés. Le point négatif se trouve dans la surprise et l’horreur : les aventures se déroulant toujours sur un même schéma (il prépare un mauvais coup et finit par échouer) on a moins de suspense sur l’issue des récits et l’horreur se fait moins sentir. On prendra plaisir de découvrir ses aventures, surtout les dernières du recueil et on appréciera de voir que certains personnages phares de l’œuvre de Junji Itîo sont également présents (Tomié, la Mannequin). Soïchi est une œuvre à lire bien qu’elle nous entraine un peu moins dans l’univers horrifique de son auteur.
  5. Nickad

    Soïchi

    Titre de l'album : Soïchi Scenariste de l'album : ITO Junji Dessinateur de l'album : ITO Junji Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : L'été s'annonce radieux pour Michina et Yûsuke, mais leur jeune cousin Soïchi, lui, ne l'entend pas de cette oreille. Sombre et facétieux, le garçon au terrifiant sourire clouté n'hésite pas à recourir à la sorcellerie vaudou, aux farces obscures et à son imagination démoniaque pour éteindre le sourire lumineux de tous ceux qui l'agacent ou le rejettent. Prenez place dans le sinistre train fantôme de l'un des personnages les plus emblématiques de Junji Ito et parcourez un recueil qui réunit pour la première fois l'intégralité des aventures de l'enfant terrible de l'auteur. Critique : Soïchi est le personnage humoristique de Junji Itô, celui qui ne réussit jamais ce qu’il entreprend et heureusement ! Car Soïchi est un vraiment un cas, attiré irrémédiablement par l’obscurantisme, il cherche à tout prix à lancer des malédictions sur autrui. Il est glauque, pas attirant, et emmerde son monde. Même quand il veut rendre service, il dérange son entourage que ce soit en famille ou à l’école. Cette intégrale, composée de 14 histoires, reprend les aventures de Soïchi dans l’ordre chronologique. Un point intéressant quand on sait qu’il a une progression entre ces histoires : on découvre l’évolution de Soïchi et surtout le changement dans ses rapports avec son environnement. Et c’est encore plus intéressant car certains chapitres sont liés. Le point négatif se trouve dans la surprise et l’horreur : les aventures se déroulant toujours sur un même schéma (il prépare un mauvais coup et finit par échouer) on a moins de suspense sur l’issue des récits et l’horreur se fait moins sentir. On prendra plaisir de découvrir ses aventures, surtout les dernières du recueil et on appréciera de voir que certains personnages phares de l’œuvre de Junji Itîo sont également présents (Tomié, la Mannequin). Soïchi est une œuvre à lire bien qu’elle nous entraine un peu moins dans l’univers horrifique de son auteur. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/soichi?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Nickad

    Une autre moi

    Découverte avec le titre a tail's tale, série qui avait d'ailleurs remporté le tournoi seinen manga news de 2021, Mizu SAHARA revient avec un recueil d'histoires courtes. La seconde "la princesse aux promesses "est particulièrement courte, elle ne fait que 8 pages et elle est sans doute la moins intéressante du recueil; sans doute car elle s'éloigne un peu du style tranche de vie et joue moins sur l'émotion. Les deux autres récits parlent de différences ou plutôt de ce que l'on croit être des différences, cette façon que l'on a souvent de penser des choses sur les autres sans les connaître vraiment. Toutes ces idées qui font que l'on peut aimer ou détester quelqu'un juste à cause de ce qu'il représente sans savoir ce qu'il y a derrière les apparences. Ce sont ces sentiments et aussi la connaissance de l'autre qui sont mis en avant dans ce manga. Les personnages se cherchent et peut-être pour échapper à leur propre réalité, ils préfèrent se focaliser sur une autre personne, qui servira de déversoir jusqu'à ce qu'ils arrivent à se regarder en face. Une personne chez qui ils finiront par trouver un écho de leur âme. Les personnages sont comme des écorchés vifs, on subit leurs émotions de plein fouet et on les accompagne avec une certaine tendresse dans leur quête de bonheur. Un bel ouvrage, sensible et émouvant.
  7. Nickad

    Une autre moi

    Titre de l'album : Une autre moi Scenariste de l'album : SAHARA Mizu Dessinateur de l'album : SAHARA Mizu Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : Recueil d'histoires courtes de Mizu Sahara, ce volume inclut les titres suivants : - Le captif du jardin miniature : un homme vivant reclus rencontre une lycéenne qui lui déclare sa flamme... - La princesse aux promesses : Kiriko fait des promesses avec n'importe qui... dans l'attente que ses partenaires les rompent. - Une autre moi : nos noms sont identiques, mais nous n'avons rien en commun... laquelle de nous deux est la plus heureuse ? Critique : Découverte avec le titre a tail's tale, série qui avait d'ailleurs remporté le tournoi seinen manga news de 2021, Mizu SAHARA revient avec un recueil d'histoires courtes. La seconde "la princesse aux promesses "est particulièrement courte, elle ne fait que 8 pages et elle est sans doute la moins intéressante du recueil; sans doute car elle s'éloigne un peu du style tranche de vie et joue moins sur l'émotion. Les deux autres récits parlent de différences ou plutôt de ce que l'on croit être des différences, cette façon que l'on a souvent de penser des choses sur les autres sans les connaître vraiment. Toutes ces idées qui font que l'on peut aimer ou détester quelqu'un juste à cause de ce qu'il représente sans savoir ce qu'il y a derrière les apparences. Ce sont ces sentiments et aussi la connaissance de l'autre qui sont mis en avant dans ce manga. Les personnages se cherchent et peut-être pour échapper à leur propre réalité, ils préfèrent se focaliser sur une autre personne, qui servira de déversoir jusqu'à ce qu'ils arrivent à se regarder en face. Une personne chez qui ils finiront par trouver un écho de leur âme. Les personnages sont comme des écorchés vifs, on subit leurs émotions de plein fouet et on les accompagne avec une certaine tendresse dans leur quête de bonheur. Un bel ouvrage, sensible et émouvant. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/une-autre-moi?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Dans un monde post-apocalyptique, une lycéenne vadrouille en compagnie de son chien, un shiba inu. Elle semble être la dernière humaine, ne sait pas où elle va, n'a pas d'objectif à part voyager. Son chien est un shiba inu, le chien typique des japonais, un chien têtu et fier qui parle. D'ailleurs tout le monde parle dans cette historie : les animaux mais aussi les différentes espèces qui peuplent la Terre, que ce soit les créatures du folklore ou les extraterrestres. Ces derniers se sont installés tranquillement, ne sont pas forcément la cause de la disparition des humains (on n'en sait rien d'ailleurs) et cultivent leurs champs comme si c'était leur rêve de toujours. Comme le dit l'autrice dans sa postface, l'histoire se déroule dans un monde où tout est possible, absolument libre. Elle laisse libre court à son imagination, mais loin d'en faire un récit loufoque, cela lui permet en plus des parties humoristiques de philosopher un peu. Parfois la lycéenne se pose des questions intelligentes genre "est-ce que les gens changent ? qu'est- ce qu'il y a après la mort ? est-ce que l'homme qui se fait téléporter reste toujours lui-même ? ...". Des questions riches et variées auxquelles le chien va répondre de façon tout à fait sérieuse, le tout ponctué de citations célèbres intéressantes qui poussent à la réflexion. Derrière son côté road-trip sans grand intérêt, la fin du monde avec mon shiba inu est donc un livre à plusieurs niveaux de lecture. Il y a le côté humoristique où tout est possible et s'appuie surtout sur la relation entre la lycéenne et son shiba inu. Puis il y a un côté plus réfléchi, celui où elle couche sur papier toutes les questions que l'on a pu se poser un jour en tentant d'y répondre de façon objective et philosophique. Donc contrairement à ce que je craignais, le livre est plutôt agréable et réserve de bonnes surprises mais, et oui car il y a un "mais"... ce genre d'histoires, format yonkoma (4 cases verticales) publié d'abord sur les réseaux sociaux peut se retrouver vite indigeste quand on les assemble en recueil relié et a un potentiel de relecture réduit. Ce qui n'empêche pas d'apprécier certains passages. Un livre sympathique à lire en prenant son temps
  9. Titre de l'album : La fin du monde avec mon shiba inu tome 1 Scenariste de l'album : ISHIHARA Yu Dessinateur de l'album : ISHIHARA Yu Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Aimeriez-vous faire un voyage tranquille, vertigineux et sans but dans un monde post-apocalyptique avec un adorable Shiba Inu ? Bienvenue dans l'univers décalé de Yû Ishihara ! Le quotidien étrange d'une lycéenne et d'un shiba inu très mignon qui parcourent un monde post-apocalyptique. Critique : Dans un monde post-apocalyptique, une lycéenne vadrouille en compagnie de son chien, un shiba inu. Elle semble être la dernière humaine, ne sait pas où elle va, n'a pas d'objectif à part voyager. Son chien est un shiba inu, le chien typique des japonais, un chien têtu et fier qui parle. D'ailleurs tout le monde parle dans cette historie : les animaux mais aussi les différentes espèces qui peuplent la Terre, que ce soit les créatures du folklore ou les extraterrestres. Ces derniers se sont installés tranquillement, ne sont pas forcément la cause de la disparition des humains (on n'en sait rien d'ailleurs) et cultivent leurs champs comme si c'était leur rêve de toujours. Comme le dit l'autrice dans sa postface, l'histoire se déroule dans un monde où tout est possible, absolument libre. Elle laisse libre court à son imagination, mais loin d'en faire un récit loufoque, cela lui permet en plus des parties humoristiques de philosopher un peu. Parfois la lycéenne se pose des questions intelligentes genre "est-ce que les gens changent ? qu'est- ce qu'il y a après la mort ? est-ce que l'homme qui se fait téléporter reste toujours lui-même ? ...". Des questions riches et variées auxquelles le chien va répondre de façon tout à fait sérieuse, le tout ponctué de citations célèbres intéressantes qui poussent à la réflexion. Derrière son côté road-trip sans grand intérêt, la fin du monde avec mon shiba inu est donc un livre à plusieurs niveaux de lecture. Il y a le côté humoristique où tout est possible et s'appuie surtout sur la relation entre la lycéenne et son shiba inu. Puis il y a un côté plus réfléchi, celui où elle couche sur papier toutes les questions que l'on a pu se poser un jour en tentant d'y répondre de façon objective et philosophique. Donc contrairement à ce que je craignais, le livre est plutôt agréable et réserve de bonnes surprises mais, et oui car il y a un "mais"... ce genre d'histoires, format yonkoma (4 cases verticales) publié d'abord sur les réseaux sociaux peut se retrouver vite indigeste quand on les assemble en recueil relié et a un potentiel de relecture réduit. Ce qui n'empêche pas d'apprécier certains passages. Un livre sympathique à lire en prenant son temps Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-fin-du-monde-avec-mon-shiba-inu-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Nickad

    Leviathan deep water tome 2

    Teon Ma, le père, a fini par vaincre le leviathan mais au prix de sa vie, ses enfants sont alors secourus par Kana, une harponneuse à 3 étoiles. Ils apprennent alors plusieurs choses : que le leviathan qui les as attaqués s’appelle Kentrassi et qu’il était l’un des sept démons des mers, que leur père qui avait 6 étoiles devait être une légende chez les harponneurs et que la cité flottante Union Busan ne les accueillera qu’à condition qu’ils se rendent utiles, même si ce ne sont que des enfants. Ils vont vite comprendre que leur père avait de nombreux secrets et que les monstres marins ne sont pas les seuls dangers de ce nouveau monde ! Dans Leviathan deep water, on n’a pas le temps de souffler, les personnages non plus d’ailleurs ! On reste sur le qui-vive tout le long du volume, que ce soit par rapport aux monstres marins ou humains qui profitent toujours des situations désespérées pour se tapir dans l’ombre. Le webtoon est toujours très bien réalisé graphiquement que ce soit dans les détails des décors, l’expression des personnages ou la mise en œuvre des scènes d’action. Les auteurs savent très bien harponner le lecteur pour ne plus le lâcher et l’embarquer dans l’aventure ! Pour information, le nombre de chapitres du livre ne correspondent pas aux chapitres du webtoon, pour le 1er tome ; 5 chapitres dans le livres = 14 chapitres du webtoon.
  11. Titre de l'album : Leviathan deep water tome 2 Scenariste de l'album : LEE Gyungtak Dessinateur de l'album : NOH Miyoung Coloriste : Editeur de l'album : Kmicks Note : Résumé de l'album : « J'exterminerai tous les monstres de ce monde. » Sauvés in extremis par Kana, Bota et Rita trouvent ce qu'ils cherchaient depuis si longtemps : d'autres survivants ! Mais reste à faire ses preuves pour mériter sa place au sein d'Union Busan... Tout n'est pas sans difficulté, surtout quand le poids du passé continue de peser sur le cœur de chacun. Et que Kana voit-elle dans les yeux de Bota, dont la volonté farouche de survivre lui rappelle ses propres souffrances ? Critique : Teon Ma, le père, a fini par vaincre le leviathan mais au prix de sa vie, ses enfants sont alors secourus par Kana, une harponneuse à 3 étoiles. Ils apprennent alors plusieurs choses : que le leviathan qui les as attaqués s’appelle Kentrassi et qu’il était l’un des sept démons des mers, que leur père qui avait 6 étoiles devait être une légende chez les harponneurs et que la cité flottante Union Busan ne les accueillera qu’à condition qu’ils se rendent utiles, même si ce ne sont que des enfants. Ils vont vite comprendre que leur père avait de nombreux secrets et que les monstres marins ne sont pas les seuls dangers de ce nouveau monde ! Dans Leviathan deep water, on n’a pas le temps de souffler, les personnages non plus d’ailleurs ! On reste sur le qui-vive tout le long du volume, que ce soit par rapport aux monstres marins ou humains qui profitent toujours des situations désespérées pour se tapir dans l’ombre. Le webtoon est toujours très bien réalisé graphiquement que ce soit dans les détails des décors, l’expression des personnages ou la mise en œuvre des scènes d’action. Les auteurs savent très bien harponner le lecteur pour ne plus le lâcher et l’embarquer dans l’aventure ! Pour information, le nombre de chapitres du livre ne correspondent pas aux chapitres du webtoon, pour le 1er tome ; 5 chapitres dans le livres = 14 chapitres du webtoon. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/leviathan-deep-water-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Nickad

    Who's next tome 2

    Le 1er tome se finissait sur un cliffhanger qui pouvait changer toute l’orientation de l’histoire. Si l’arrivée de nouveaux arrivants soulève son lot de questions, cela amène également quelques personnages qui auront leur importance pour la suite. Quant aux réponses, il ne faut pas s’y fier : les nouveaux disent qu’ils ont été laissé au lycée car c’est un refuge sûr, on ne peut que se dire qu’ils se sont fait manipuler quand on connaît l’appétit de la créature qui rôde. Est-ce que les autorités ou armées auraient des objectifs cachés ?? Bref, ce sont des éléments que l’on découvrira plus tard. En attendant, un petit groupe de survivants, plus doué que les autres ou peut-être juste plus chanceux, se forme et envisage de se faire la malle. Ce n’est pas comme s’ils avaient le choix non plus. Du coup, l’histoire semble prendre une tournure de road trip à la Bucket list of the dead. On verra dans le prochain tome si cette orientation se confirmera ou si le manga prendra une autre tournure, que l’on espère, sera surprenante.
  13. Nickad

    Who's next tome 2

    Titre de l'album : Who's next tome 2 Scenariste de l'album : WAKASUGI Kiwinori Dessinateur de l'album : WAKASUGI Kiwinori Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt - Tonkam Note : Résumé de l'album : Coincé dans leur lycée après une attaque mondiale de monstres, un groupe formé des élèves les plus forts, décide de sacrifier un survivant par jour pour apaiser la créature qui les empêche de sortir. Mais alors qu'ils ne sont plus que sept, les rapports de force commencent à changer. La loi du plus fort s'applique-t-elle vraiment ici ? Critique : Le 1er tome se finissait sur un cliffhanger qui pouvait changer toute l’orientation de l’histoire. Si l’arrivée de nouveaux arrivants soulève son lot de questions, cela amène également quelques personnages qui auront leur importance pour la suite. Quant aux réponses, il ne faut pas s’y fier : les nouveaux disent qu’ils ont été laissé au lycée car c’est un refuge sûr, on ne peut que se dire qu’ils se sont fait manipuler quand on connaît l’appétit de la créature qui rôde. Est-ce que les autorités ou armées auraient des objectifs cachés ?? Bref, ce sont des éléments que l’on découvrira plus tard. En attendant, un petit groupe de survivants, plus doué que les autres ou peut-être juste plus chanceux, se forme et envisage de se faire la malle. Ce n’est pas comme s’ils avaient le choix non plus. Du coup, l’histoire semble prendre une tournure de road trip à la Bucket list of the dead. On verra dans le prochain tome si cette orientation se confirmera ou si le manga prendra une autre tournure, que l’on espère, sera surprenante. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/who-s-next-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Nickad

    Sleeping dead tome 1

    M Sada est un professeur de lycée serviable et apprécié des élèves et des autres professeurs. Un soir de ronde dans le quartier, il surprend le meurtre d’une de ses élèves, il se retrouve lui-même pourchassé et attaqué au couteau. Il se réveille sur une table d’autopsie, attaché, avec un scientifique étrange à ses côtés qui lui annonce qu’il l’a ramassé par hasard et qu’il est devenu un mort-vivant. J’ai attendu pendant tout le livre de découvrir où se cachait le côté yaoi de l’histoire, ce n’est que vers la fin du manga qu’il y a quelques traces d’une situation qui sera développé dans le prochain tome. C’est intéressant de voir l’évolution de Sada, pas tant physiquement que mentalement. Il découvre qu’il est mort, qu’il a plus ou moins été transformé en zombie, qu’il ne peut plus se nourrir d’alimentation habituelle et que sa vie est définitivement derrière lui. Il lui faudra du temps pour s’accepter tel qu’il est. A côté, on a une sorte de scientifique de génie ou limite un savant fou qui dit agir pour le progrès de la médecine mais qui en même temps cache beaucoup de choses. Quelles sont véritablement ses intentions et est-ce qu’il passait vraiment par là par hasard ? Malgré un graphisme pas très attirant au premier regard, le manga capte notre attention et l’on suit l’histoire avec un intérêt certain. Fin dans le prochain tome.
  15. Titre de l'album : Sleeping dead tome 1 Scenariste de l'album : NEMUI Asada Dessinateur de l'album : NEMUI Asada Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Consciencieux et agréable, M. Sada est un professeur de lycée très apprécié de ses collègues et de ses élèves. Un soir, alors qu'il fait une ronde autour de l'établissement après les cours, il voit une silhouette suspecte attaquer une étudiante avec un couteau. Lorsqu'il essaye de s'enfuir, il est rattrapé et finit par perdre la vie... avant de se réveiller sur une table gelée. Critique : M Sada est un professeur de lycée serviable et apprécié des élèves et des autres professeurs. Un soir de ronde dans le quartier, il surprend le meurtre d’une de ses élèves, il se retrouve lui-même pourchassé et attaqué au couteau. Il se réveille sur une table d’autopsie, attaché, avec un scientifique étrange à ses côtés qui lui annonce qu’il l’a ramassé par hasard et qu’il est devenu un mort-vivant. J’ai attendu pendant tout le livre de découvrir où se cachait le côté yaoi de l’histoire, ce n’est que vers la fin du manga qu’il y a quelques traces d’une situation qui sera développé dans le prochain tome. C’est intéressant de voir l’évolution de Sada, pas tant physiquement que mentalement. Il découvre qu’il est mort, qu’il a plus ou moins été transformé en zombie, qu’il ne peut plus se nourrir d’alimentation habituelle et que sa vie est définitivement derrière lui. Il lui faudra du temps pour s’accepter tel qu’il est. A côté, on a une sorte de scientifique de génie ou limite un savant fou qui dit agir pour le progrès de la médecine mais qui en même temps cache beaucoup de choses. Quelles sont véritablement ses intentions et est-ce qu’il passait vraiment par là par hasard ? Malgré un graphisme pas très attirant au premier regard, le manga capte notre attention et l’on suit l’histoire avec un intérêt certain. Fin dans le prochain tome. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sleeping-dead-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Je suis parti sans certitudes et avec mes maigres connaissances nippones dans cette lecture . Et je dois bien avouer que j'ai été conquis très rapidement . Le fait que l'auteure soit suédoise et non japonaise donne encore plus d'ampleur à ce que l'on peut appeler un choc de cultures . A travers ces chapitres bien segmentés et traitant de coutumes sociétales , elle parvient à nous immerger totalement . Sans être rébarbatifs , les échanges mis en place entre l'auteure et une ou un spécialiste japonais de la question sont parfaitement illustrés avec des schémas et explications bien détaillés . On sent rapidement à quel point Asa Ekstrom est touchée par cette culture et le soin qu'elle met à s'adapter et respecter les (très) nombreuses règles d'un certain art de vivre à la japonaise . On découvre une vie sociétale très hiérarchisée , emprunte d'un profond respect envers l'autre , et d'un lien indéfectible avec la nature environnante . Il semble compliqué de respecter tous ces codes pour un européen , car il y en a énormément et ils différent grandement des nôtres . Il est difficile de juger la partie graphique tant elle est "simpliste" et ponctuée de croquis et annotations , servant le récit . L'auteure use abondamment des expressions disproportionnées des visages , mais cela reste dans une volonté de s'adapter et respecter les codes du manga japonais . Au final , c'est une aide précieuse pour quiconque envisage un voyage au pays du soleil levant , et de façon tout à fait ludique .
  17. Titre de l'album : A la découverte du Japon ! Asa , une suédoise au pays du soleil levant Scenariste de l'album : Asa Ekstrom Dessinateur de l'album : Asa Ekstrom Coloriste : Editeur de l'album : IMHO Note : Résumé de l'album : Asa est un artiste manga suédois qui est venu de Scandinavie en Suède, impressionné par les anime et les mangas japonais. Elle vit au Japon depuis neuf ans maintenant, mais il y a encore beaucoup de coutumes qu'elle trouve étranges. Dans ce livre, vous apprendrez à manger au Japon, à parler la langue japonaise, à socialiser et à dépenser de l'argent, grâce à un professeur spécialisé dans chacun de ces sujets. Comment le karaben est-il apparu au Japon ? Quelles sont les origines de "chan", "kun", "san" et "sama" ? Pourquoi les Japonais sont-ils si protecteurs de leur argent ? Ce ne sont là que quelques-unes des questions auxquelles nous répondrons en nous plongeant de plus en plus profondément dans la culture unique du Japon. Critique : Je suis parti sans certitudes et avec mes maigres connaissances nippones dans cette lecture . Et je dois bien avouer que j'ai été conquis très rapidement . Le fait que l'auteure soit suédoise et non japonaise donne encore plus d'ampleur à ce que l'on peut appeler un choc de cultures . A travers ces chapitres bien segmentés et traitant de coutumes sociétales , elle parvient à nous immerger totalement . Sans être rébarbatifs , les échanges mis en place entre l'auteure et une ou un spécialiste japonais de la question sont parfaitement illustrés avec des schémas et explications bien détaillés . On sent rapidement à quel point Asa Ekstrom est touchée par cette culture et le soin qu'elle met à s'adapter et respecter les (très) nombreuses règles d'un certain art de vivre à la japonaise . On découvre une vie sociétale très hiérarchisée , emprunte d'un profond respect envers l'autre , et d'un lien indéfectible avec la nature environnante . Il semble compliqué de respecter tous ces codes pour un européen , car il y en a énormément et ils différent grandement des nôtres . Il est difficile de juger la partie graphique tant elle est "simpliste" et ponctuée de croquis et annotations , servant le récit . L'auteure use abondamment des expressions disproportionnées des visages , mais cela reste dans une volonté de s'adapter et respecter les codes du manga japonais . Au final , c'est une aide précieuse pour quiconque envisage un voyage au pays du soleil levant , et de façon tout à fait ludique . Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : http://www.bdfugue.com/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Nickad

    Oshi no Ko tome 6

    Déjà le tome 6, enfin non, le tome 7 est sorti… et c’est la première critique sur le site, alors une petite présentation de la série s’impose. L’histoire d’Oshi no ko se déroule dans le monde du divertissement japonais, les chanteurs, les acteurs, la télévision… tout ce qui tourne autour de ces jeunes idoles qui affolent les foules (et pas que les adolescentes !!). Résumé de la série : Aï Hoshino est la chanteuse star du girls band B Komachi. Gorô est un obstétricien dans un petit hôpital de campagne, il partage avec Sarina, une patiente de 12 ans en phase terminale, sa passion pour le groupe B Komachi et ils sont tous les deux fans d’Aï. La situation change quand, après le décès de Serina, la chanteuse débarque dans ce petit hôpital pour accoucher en toute discrétion. Gorô développe un côté surprotecteur et meurt en voulant la protéger d’un curieux prêt à tout pour avoir un scoop. Etrangement, Serina et Gorô se réincarnent avec leurs souvenirs, ils sont à présent les enfants jumeaux d’Aï Hoshino : Aquamarine et Ruby ! Et chacun ignore qui était l’autre avant. En grandissant, ils se lancent tous les deux dans le monde du spectacle, Aqua en tant que comédien et Ruby en tant que chanteuse qui monte un groupe appelé les nouvelles B Komachi. Résumé et avis du tome 6 : Aqua est en pleine répétition pour l’adaptation au théâtre du manga Tokyo Blade, seulement pour pouvoir être à la hauteur, il va falloir qu’il puise au fond de lui-même et qu’il joue avec ses tripes. Mais le traumatisme du passé est lourd de conséquences, et Aqua ne l’a toujours pas surmonté, arrivera-t-il à se dépasser ? Ce 6eme tome est particulièrement intéressant. Outre le fait qu’Aqua dévoile la raison qu’il a de vouloir devenir comédien, on assiste à un véritable discours sur le « jeu » d’acteur. Je parlais dans la critique quelques mangas précédemment que le propos n’était pas toujours à la hauteur dans cette thématique. Oshi no ko est très riche en la matière, avec ses nombreux comédiens, on découvre et comprend les différentes approches qui peuvent exister et la façon d’aborder son rôle. Oshi no Ko est une superbe série qui montre tous les dessous du showbusiness, le côté travail évidemment mais surtout les rivalités et petits arrangements qui pourraient exister. En plus de cette thématique, il y a l’enquête d’Aqua qui va vouloir découvrir les secrets sur le passé de sa mère. La série est enrichissante et superbement illustré par Yokoyari Mengo que l’on retrouve aussi sur No Control ou Scum’s wish. Donc si vous ne connaissez pas la série, il est grand temps d’aller la découvrir ! oshinoko-bande-annonce.mp4
  19. Nickad

    Oshi no Ko tome 6

    Titre de l'album : Oshi no Ko tome 6 Scenariste de l'album : AKASAKA Aka Dessinateur de l'album : YOKOYARI Mengo Coloriste : Editeur de l'album : Kurokawa Note : Résumé de l'album : La cinquième partie "pièce de théâtre adaptée d'un manga" bat son plein. La première représentation est proche. Au départ, Abiko Samejima, la mangaka de Tokyo Blade avait refusé en bloc le texte de la pièce, mais elle a finalement trouvé un terrain d'entente avec GOA le dramaturge qui a écrit la pièce et ensemble ils élaborent un script qui les satisfait tous les deux. Les comédiens sauront-ils s'emparer du texte pour en faire une pièce digne de ce nom ? Critique : Déjà le tome 6, enfin non, le tome 7 est sorti… et c’est la première critique sur le site, alors une petite présentation de la série s’impose. L’histoire d’Oshi no ko se déroule dans le monde du divertissement japonais, les chanteurs, les acteurs, la télévision… tout ce qui tourne autour de ces jeunes idoles qui affolent les foules (et pas que les adolescentes !!). Résumé de la série : Aï Hoshino est la chanteuse star du girls band B Komachi. Gorô est un obstétricien dans un petit hôpital de campagne, il partage avec Sarina, une patiente de 12 ans en phase terminale, sa passion pour le groupe B Komachi et ils sont tous les deux fans d’Aï. La situation change quand, après le décès de Serina, la chanteuse débarque dans ce petit hôpital pour accoucher en toute discrétion. Gorô développe un côté surprotecteur et meurt en voulant la protéger d’un curieux prêt à tout pour avoir un scoop. Etrangement, Serina et Gorô se réincarnent avec leurs souvenirs, ils sont à présent les enfants jumeaux d’Aï Hoshino : Aquamarine et Ruby ! Et chacun ignore qui était l’autre avant. En grandissant, ils se lancent tous les deux dans le monde du spectacle, Aqua en tant que comédien et Ruby en tant que chanteuse qui monte un groupe appelé les nouvelles B Komachi. Résumé et avis du tome 6 : Aqua est en pleine répétition pour l’adaptation au théâtre du manga Tokyo Blade, seulement pour pouvoir être à la hauteur, il va falloir qu’il puise au fond de lui-même et qu’il joue avec ses tripes. Mais le traumatisme du passé est lourd de conséquences, et Aqua ne l’a toujours pas surmonté, arrivera-t-il à se dépasser ? Ce 6eme tome est particulièrement intéressant. Outre le fait qu’Aqua dévoile la raison qu’il a de vouloir devenir comédien, on assiste à un véritable discours sur le « jeu » d’acteur. Je parlais dans la critique quelques mangas précédemment que le propos n’était pas toujours à la hauteur dans cette thématique. Oshi no ko est très riche en la matière, avec ses nombreux comédiens, on découvre et comprend les différentes approches qui peuvent exister et la façon d’aborder son rôle. Oshi no Ko est une superbe série qui montre tous les dessous du showbusiness, le côté travail évidemment mais surtout les rivalités et petits arrangements qui pourraient exister. En plus de cette thématique, il y a l’enquête d’Aqua qui va vouloir découvrir les secrets sur le passé de sa mère. La série est enrichissante et superbement illustré par Yokoyari Mengo que l’on retrouve aussi sur No Control ou Scum’s wish. Donc si vous ne connaissez pas la série, il est grand temps d’aller la découvrir ! oshinoko-bande-annonce.mp4 Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/oshi-no-ko-tome-6?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. poseidon2

    L'amie de ma fille t5

    Plus cela va, plus j'aime cette série. J'aime sa complexité. Non pas complexité sur l'histoire, mais complexité sur les sentiments de nos deux personnages. Sentiments qui se heurtent à la raison pour notre héros. Sentiments qui oscillent entre des sentiments amoureux et la recherche d'une figure paternelle de l'autre. Ces hésitations font toutes la saveur de cette histoire. Surtout quand, comme dans ce tome 5, elle s'entrecoupe avec la réalité. Ici, on sort du cadre de la relation entre le père et sa fille pour passer au débordement de ces sentiments sur le travail de Kosuke que ce soit au niveau détachement ou au niveau intérêt. Un vrai manga pour adulte avec de vraies questions posées humblement et sans chercher à faire dans le racolage… J'en viendrai presque à regretter qu'il n'y ait que 7 tomes…
  21. Titre de l'album : L'amie de ma fille t5 Scenariste de l'album : Asami Hagiwara Dessinateur de l'album : Asami Hagiwara Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Un ange, un démon, ou, tout simplement, un être humain ? De toute manière, je ne parviens pas à réprimer les sentiments que j'éprouve pour l'amie de ma fille, alors c'est décidé, j'arrête de mentir. Non seulement, j'ai moi-même besoin d'elle, mais je suis aussi le seul capable de soulager sa peine, de la comprendre. Elle qui commence doucement à se confier sur son passé... Oui, il n'y a sûrement que moi qui puisse le faire... Il y a au fond de toi quelque chose d'unique et de mystérieux... C'est décidé, j'arrête de mentir ! Des sentiments impossibles à réprimer... J'ai besoin d'elle. Tout comme je suis le seul capable de soulager sa peine. Critique : Plus cela va, plus j'aime cette série. J'aime sa complexité. Non pas complexité sur l'histoire, mais complexité sur les sentiments de nos deux personnages. Sentiments qui se heurtent à la raison pour notre héros. Sentiments qui oscillent entre des sentiments amoureux et la recherche d'une figure paternelle de l'autre. Ces hésitations font toutes la saveur de cette histoire. Surtout quand, comme dans ce tome 5, elle s'entrecoupe avec la réalité. Ici, on sort du cadre de la relation entre le père et sa fille pour passer au débordement de ces sentiments sur le travail de Kosuke que ce soit au niveau détachement ou au niveau intérêt. Un vrai manga pour adulte avec de vraies questions posées humblement et sans chercher à faire dans le racolage… J'en viendrai presque à regretter qu'il n'y ait que 7 tomes… Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-amie-de-ma-fille-tome-5?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Titre de l'album : Mibu Gishi Den tome 3 Scenariste de l'album : ASADA Jiro Dessinateur de l'album : NAGAYASU Takumi Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Après le tenancier, c'est au tour d'un des anciens élèves de Kan'ichirô Yoshimura, l'entrepreneur Sakuraba, de livrer sa vision de ce samouraï hors-normes. L'homme se rappelle bien le jour du départ de cet instructeur qui a renié son clan dans l'espoir d'offrir à sa famille une vie plus digne. Une désertion qui n'est pas sans conséquences, car c'est hélas à cette dernière, restée dans le nord, d'en payer le prix. Yoshimura parti, son fils se retrouve ainsi couvert d'opprobre et doit faire face au jugement intraitable de ses camarades. Le rideau se lève sur un nouveau chapitre poignant de la vie de Yoshimura, tiraillé entre son devoir et son amour pour sa famille. Critique : Yoshimura doit se faire seppuku, pourtant il hésite, il repense à sa famille et surtout à sa femme Shizu pour laquelle il aurait tout donner y compris sa vie. Puis un nouveau témoignage nous plonge dans le passé de Yoshimura avant qu’il ne quitte sa ville et sa famille. C’est en plongeant dans la vie d’un simple samouraï, en découvrant ses maigres revenus, ses difficultés à se faire une place, ce qui venait surtout d’un classement hiérarchique plutôt que d’un problème de compétences que l’on comprend combien la vie à cette époque était difficile. Loin de l’image que l’on a découvert au travers des films en occident, la loi du bushido (code d’honneur des samouraïs) était très stricte, souvent injuste et implacable. Il était également impossible de s’extirper de la condition dans laquelle ont été né, les hommes subissaient leurs conditions et si évoluer était impensable, régresser ou se retrouver sans rien du jour au lendemain était courant. Alors un homme comme Yoshimura, instruit en sciences et doué au sabre, vivant pour son amour avant de vivre pour son seigneur, n’avait clairement pas sa place à cette époque. Mais c’est ce qui est intéressant dans ce manga, c’est de découvrir la dure réalité du commun des mortels. Le livre ne nous vend pas du rêve mais nous explique avec beaucoup de justesse une page d’histoire méconnue et l’on ne peut que vibrer pour la complainte du cœur de Yoshimura superbement mise en dessin par Takumi NAGAYASU. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mibu-gishi-den-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Nickad

    Mibu Gishi Den tome 3

    Yoshimura doit se faire seppuku, pourtant il hésite, il repense à sa famille et surtout à sa femme Shizu pour laquelle il aurait tout donner y compris sa vie. Puis un nouveau témoignage nous plonge dans le passé de Yoshimura avant qu’il ne quitte sa ville et sa famille. C’est en plongeant dans la vie d’un simple samouraï, en découvrant ses maigres revenus, ses difficultés à se faire une place, ce qui venait surtout d’un classement hiérarchique plutôt que d’un problème de compétences que l’on comprend combien la vie à cette époque était difficile. Loin de l’image que l’on a découvert au travers des films en occident, la loi du bushido (code d’honneur des samouraïs) était très stricte, souvent injuste et implacable. Il était également impossible de s’extirper de la condition dans laquelle ont été né, les hommes subissaient leurs conditions et si évoluer était impensable, régresser ou se retrouver sans rien du jour au lendemain était courant. Alors un homme comme Yoshimura, instruit en sciences et doué au sabre, vivant pour son amour avant de vivre pour son seigneur, n’avait clairement pas sa place à cette époque. Mais c’est ce qui est intéressant dans ce manga, c’est de découvrir la dure réalité du commun des mortels. Le livre ne nous vend pas du rêve mais nous explique avec beaucoup de justesse une page d’histoire méconnue et l’on ne peut que vibrer pour la complainte du cœur de Yoshimura superbement mise en dessin par Takumi NAGAYASU.
  24. Nickad

    Tengu hunter brothers tome 1

    Des tengus attaquant des humains, une famille de prêtres qui voue son existence à les combattre dans le plus grand secret, un fils ainé obligé de suivre les traditions au point de risquer sa vie tous les jours… rien de très innovant dans le fond de l’histoire. Cependant elle est très bien menée, la lecture est fluide et le dessin agréable mais c’est sans doute l’importance de la fratrie de 3 frères qui donne un plus au récit. Chacun est prêt à tout pour protéger les autres même quand les choses tournent mal. L’autre plus est la spécificité des tengus qui peuvent s’approprier certaines caractéristiques de leurs victimes. Tengu hunter brothers a donc peut-être une problématique que l’on a déjà vu ailleurs mais comme c’est bien écrit et dessiné, on se laisse facilement entrainé par l’histoire. Reste maintenant à découvrir la suite pour voir si le manga saura se démarquer des autres récits du même genre. Trailer
  25. Titre de l'album : Tengu hunter brothers tome 1 Scenariste de l'album : HAREKAWA Shinta Dessinateur de l'album : HAREKAWA Shinta Coloriste : Editeur de l'album : Michel Lafon Note : Résumé de l'album : Le jeune exorciste Mamoru Yamaemori vit avec ses deux frères dans une montagne infestée de tengus maléfiques, protégeant les humains qui habitent à côté. Jusqu'au jour où s'éveillent en lui les pouvoirs de ses ennemis. Tiraillé entre son humanité et cette nouvelle partie démoniaque, Mamoru doit tout faire pour ne pas céder à ses instincts monstrueux. Ou ses frères devront l'arrêter... définitivement. Critique : Des tengus attaquant des humains, une famille de prêtres qui voue son existence à les combattre dans le plus grand secret, un fils ainé obligé de suivre les traditions au point de risquer sa vie tous les jours… rien de très innovant dans le fond de l’histoire. Cependant elle est très bien menée, la lecture est fluide et le dessin agréable mais c’est sans doute l’importance de la fratrie de 3 frères qui donne un plus au récit. Chacun est prêt à tout pour protéger les autres même quand les choses tournent mal. L’autre plus est la spécificité des tengus qui peuvent s’approprier certaines caractéristiques de leurs victimes. Tengu hunter brothers a donc peut-être une problématique que l’on a déjà vu ailleurs mais comme c’est bien écrit et dessiné, on se laisse facilement entrainé par l’histoire. Reste maintenant à découvrir la suite pour voir si le manga saura se démarquer des autres récits du même genre. Trailer Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tengu-hunter-brothers-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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