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  1. Titre de l'album : Utsubora tome 2 (fin) Scenariste de l'album : NAKAMURA Asumiko Dessinateur de l'album : NAKAMURA Asumiko Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Asumiko Nakamura, autrice culte au style graphique unique, revient en français avec un polar psychologique particulièrement complexe et ambitieux. Entre suicide, plagiat et fantasmes, où se trouve la vérité ? Malgré l'enquête en cours, le mystère entourant le décès d'Aki reste entier. Les détectives peinent à démêler le vrai du faux... De son côté, Mizorogi continue à graviter autour de celle qui se prétend la jumelle de la victime. Restée seule, Koyomi est rejointe par Tsuji et Yatabe pour un dîner riche en spéculations : tous deux s'interrogent sur la véritable provenance d'Utsubora... Les masques finiront-ils enfin par tomber ? Critique : Difficile de donner un résumé de ce 2eme et dernier tome, difficile sans risquer de gâcher l’impression du livre, de piétiner le cheminement, de couper l’intrigue… Bon sang que ce livre est bon, il mérite d’y revenir, de reprendre le fil, de découvrir à nouveau. Car ce qui fait l’intrigue ce ne sont pas tant les événements que les cheminements de pensées, c’est l’essence des personnages qui détermine toute l’histoire. Et en même temps, il est difficile d’accès, il faut remettre les éléments dans l’ordre au fur et à mesure qu’on les découvre et il faut avoir une certaine quantité d’empathie pour arriver à effleurer la sensibilité des personnages. Se mettre à leur place serait prétentieux tellement ils sont complexes ! Car tout est là : il y a ce qui fait l’écrivain, sa raison de vivre et surtout ce qui lui manque quand arrive la page blanche. Il y a ceux qui gravitent autour, celles qui cherchent désespérément une place auprès de lui, ceux qui s’inspirent, ceux qui cherchent simplement à exister. Et puis il y a le graphisme, étrangement captivant par moment qui fait ressortir les cris de l’âme. Une belle œuvre, à demi-mot, pour ceux qui veulent prendre le temps d’entendre et qui veulent bien se laisser apprivoiser. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/utsubora-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Nickad

    Utsubora tome 2 (fin)

    Difficile de donner un résumé de ce 2eme et dernier tome, difficile sans risquer de gâcher l’impression du livre, de piétiner le cheminement, de couper l’intrigue… Bon sang que ce livre est bon, il mérite d’y revenir, de reprendre le fil, de découvrir à nouveau. Car ce qui fait l’intrigue ce ne sont pas tant les événements que les cheminements de pensées, c’est l’essence des personnages qui détermine toute l’histoire. Et en même temps, il est difficile d’accès, il faut remettre les éléments dans l’ordre au fur et à mesure qu’on les découvre et il faut avoir une certaine quantité d’empathie pour arriver à effleurer la sensibilité des personnages. Se mettre à leur place serait prétentieux tellement ils sont complexes ! Car tout est là : il y a ce qui fait l’écrivain, sa raison de vivre et surtout ce qui lui manque quand arrive la page blanche. Il y a ceux qui gravitent autour, celles qui cherchent désespérément une place auprès de lui, ceux qui s’inspirent, ceux qui cherchent simplement à exister. Et puis il y a le graphisme, étrangement captivant par moment qui fait ressortir les cris de l’âme. Une belle œuvre, à demi-mot, pour ceux qui veulent prendre le temps d’entendre et qui veulent bien se laisser apprivoiser.
  3. Nickad

    La grossesse de M. Hiyama

    Depuis une dizaine d’années ; les hommes peuvent tomber enceints ; pas d’un autre homme comme beaucoup le pense, mais d’une femme. Difficile pour eux de le savoir avant que cela n’arrive vu qu’ils n’ont pas de cycle menstruel. Quand M Hiyama réalise qu’il est enceint, il en est à douze semaines environ, mais il n’est pas marié et ne sait pas qui est la mère. Et comme il est chef d’entreprise, il doit alors prendre une décision cruciale : garder ou non le bébé. Au travers de cette histoire un peu fantaisiste, l’autrice aborde tous les préjugés qui existent autour de la grossesse même des préjugés qui pourraient exister si un jour ce cas de figure devenait réel. Cela passe par les remarques désobligées au travail, dans les transports, dans les lieux publics « vous allez être en retard parce que vous avez la nausée […] vous pourriez faire un effort, non ? ». Les remarques sur les parents célibataires sont aussi bien présentes et dans le cas de M Hiyama, la méconnaissance qui le catalogue directement en personne gay. D’un autre côté, le fait qu’un homme soit enceint lui permet de mieux réfléchir à la situation, aux difficultés qu’il rencontre, il revient aussi sur sa façon de penser avant d’être dans cette situation. Il est toujours difficile de se mettre à la place des gens quand on n’est pas concerné, on a beau faire de son mieux pour comprendre, ce n’est pas comme si on le vivait, et je ne parle pas que de la grossesse… Alors un livre comme la grossesse de M Hiyama est une aubaine qui pousse le lecteur à voir les choses différemment, il porte un véritable message de tolérance et de compréhension tout en abordant le sujet avec une certaine légèreté et beaucoup de bienveillance. Une réussite ! Pour information, une série a été réalisée à partir de ce livre sous le même nom, elle est disponible sur Netflix. Extrait
  4. Titre de l'album : La grossesse de M. Hiyama Scenariste de l'album : SAKAI Eri Dessinateur de l'album : SAKAI Eri Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Cela fait environ dix ans que, suite à une évolution naturelle, tous les hommes fertiles peuvent tomber enceints. Et jusqu'à ce que ça lui arrive, Kentarô Hiyama n'avait jamais envisagé cette éventualité. Salaryman chargé d'un poste à responsabilité, coureur de jupons célibataire, il profitait de la vie sans réfléchir aux conséquences. Mais quand son médecin lui annonce qu'il est enceint d'environ dix semaines, il devra tout remettre en question. Réalisant alors à quel point la société est inégalitaire, il décide de porter l'enfant à terme et de créer sa place lui-même ! Critique : Depuis une dizaine d’années ; les hommes peuvent tomber enceints ; pas d’un autre homme comme beaucoup le pense, mais d’une femme. Difficile pour eux de le savoir avant que cela n’arrive vu qu’ils n’ont pas de cycle menstruel. Quand M Hiyama réalise qu’il est enceint, il en est à douze semaines environ, mais il n’est pas marié et ne sait pas qui est la mère. Et comme il est chef d’entreprise, il doit alors prendre une décision cruciale : garder ou non le bébé. Au travers de cette histoire un peu fantaisiste, l’autrice aborde tous les préjugés qui existent autour de la grossesse même des préjugés qui pourraient exister si un jour ce cas de figure devenait réel. Cela passe par les remarques désobligées au travail, dans les transports, dans les lieux publics « vous allez être en retard parce que vous avez la nausée […] vous pourriez faire un effort, non ? ». Les remarques sur les parents célibataires sont aussi bien présentes et dans le cas de M Hiyama, la méconnaissance qui le catalogue directement en personne gay. D’un autre côté, le fait qu’un homme soit enceint lui permet de mieux réfléchir à la situation, aux difficultés qu’il rencontre, il revient aussi sur sa façon de penser avant d’être dans cette situation. Il est toujours difficile de se mettre à la place des gens quand on n’est pas concerné, on a beau faire de son mieux pour comprendre, ce n’est pas comme si on le vivait, et je ne parle pas que de la grossesse… Alors un livre comme la grossesse de M Hiyama est une aubaine qui pousse le lecteur à voir les choses différemment, il porte un véritable message de tolérance et de compréhension tout en abordant le sujet avec une certaine légèreté et beaucoup de bienveillance. Une réussite ! Pour information, une série a été réalisée à partir de ce livre sous le même nom, elle est disponible sur Netflix. Extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-grossesse-de-m-hiyama?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Titre de l'album : Kujo l'implacable t1 Scenariste de l'album : Shôhei Manabe Dessinateur de l'album : Shôhei Manabe Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Pour Taiza Kujô, la loi et la morale sont deux choses différentes. C'est pourquoi il ne ressent pas de culpabilité à défendre des membres de la pègre ou des individus ayant déjà un casier judiciaire bien rempli. Son objectif est de trouver une ligne de défense qui aura un maximum d'avantages pour le client qu'il défend. Le profit ne l'intéresse d'ailleurs pas. Son seul objectif : défendre son client, qui que soit l'adversaire en face. Critique : Nouveau manga sorti en grande pompe chez Kana : Kujo l’implacable. Nouveau manga de l’auteur de L’usurier de l’ombre, manga dont je n’ai pas manqué vous faire part de tout le dégout que me donnait le personnage principal. J’avais un peu peur que ce Kujo l’implacable soit dans la même veine, surtout au vu de la couverture et du résumé. Mais il n’en est rien. Enfin pas complètement. Shôhei Manabe nous livre ici un avocat qui se fait l’avocat de tous les clients mafieux, donc un avocat pourri de prime abord. Mais cet avocat se retrouve vouloir défendre les plus faibles de ce milieu et choisit donc d’être un moindre mal dans une société qui ne différencie pas un Yakuza d’un gamin enrôlé de force dans un gang. Si on met du temps à aimer le personnage, on finit par s’identifier à son « second ». Un assistant premier de sa promo qui est le seul à avoir découvert en quoi Kujo était un avocat d’exception. Un excellent premier tome qui nous promet d’ors et déjà une belle série. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/kujo-implacable-tome-1/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. poseidon2

    Kujo l'implacable t1

    Nouveau manga sorti en grande pompe chez Kana : Kujo l’implacable. Nouveau manga de l’auteur de L’usurier de l’ombre, manga dont je n’ai pas manqué vous faire part de tout le dégout que me donnait le personnage principal. J’avais un peu peur que ce Kujo l’implacable soit dans la même veine, surtout au vu de la couverture et du résumé. Mais il n’en est rien. Enfin pas complètement. Shôhei Manabe nous livre ici un avocat qui se fait l’avocat de tous les clients mafieux, donc un avocat pourri de prime abord. Mais cet avocat se retrouve vouloir défendre les plus faibles de ce milieu et choisit donc d’être un moindre mal dans une société qui ne différencie pas un Yakuza d’un gamin enrôlé de force dans un gang. Si on met du temps à aimer le personnage, on finit par s’identifier à son « second ». Un assistant premier de sa promo qui est le seul à avoir découvert en quoi Kujo était un avocat d’exception. Un excellent premier tome qui nous promet d’ors et déjà une belle série.
  7. Nickad

    Sexy cosplay doll tome 9

    Marine se retrouve face à un problème de poids : elle a grossi ! Enfin légèrement bien sûr mais suffisamment pour ne plus rentrer dans les costumes que Gojô lui a fait. Elle finit par comprendre que c’est parce qu’elle est trop gourmande et surtout qu’elle mange entre les repas ! Puis tous les deux s’essayent à la photographie comme Marine s’est acheté un super appareil photo ! Gojô se découvre alors un nouvel intérêt et commence à communiquer avec un certain Akira qu’il décide de rencontrer à la prochaine convention. Nos deux héros continuent leur petit bonhomme de chemin, tranquillement, un peu trop peut-être concernant leur histoire sentimentale ! On aimerait vraiment qu’ils passent enfin la seconde ! Mais ce qui est bien, c’est qu’ils sont comme tout le monde, de simples adolescents passionnés. Le lecteur peut facilement s’identifier et apprendre tout un tas d’astuces sur le cosplay, le maquillage, la photographie… On se rend compte quand même que du côté du cosplay, les français sont moins bien lotis que les japonais et n’ont pas de boutiques dédiées avec tout un tas de matériaux et d’accessoires. Le manga reste toujours agréable à lire, alterne entre cosplay et tranche de vie pour ne pas lasser. Un bon divertissement.
  8. Titre de l'album : Sexy cosplay doll tome 9 Scenariste de l'album : FUKUDA Shinichi Dessinateur de l'album : FUKUDA Shinichi Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Les dures journées de travail de Marine sont enfin récompensées avec l'achat de son propre appareil photo ! Pour le tester, elle décide de participer au prochain rassemblement de cosplayeurs, mais, cette fois, de l'autre côté de l'objectif. Gojô, lui, a prévu de retrouver une personne rencontrée sur les réseaux sociaux et qu'il admire beaucoup, au même rassemblement. Invité avec Marine à un after par d'autres cosplayeurs, il plonge encore plus profondément dans l'univers des fans de mangas et d'anime ! Critique : Marine se retrouve face à un problème de poids : elle a grossi ! Enfin légèrement bien sûr mais suffisamment pour ne plus rentrer dans les costumes que Gojô lui a fait. Elle finit par comprendre que c’est parce qu’elle est trop gourmande et surtout qu’elle mange entre les repas ! Puis tous les deux s’essayent à la photographie comme Marine s’est acheté un super appareil photo ! Gojô se découvre alors un nouvel intérêt et commence à communiquer avec un certain Akira qu’il décide de rencontrer à la prochaine convention. Nos deux héros continuent leur petit bonhomme de chemin, tranquillement, un peu trop peut-être concernant leur histoire sentimentale ! On aimerait vraiment qu’ils passent enfin la seconde ! Mais ce qui est bien, c’est qu’ils sont comme tout le monde, de simples adolescents passionnés. Le lecteur peut facilement s’identifier et apprendre tout un tas d’astuces sur le cosplay, le maquillage, la photographie… On se rend compte quand même que du côté du cosplay, les français sont moins bien lotis que les japonais et n’ont pas de boutiques dédiées avec tout un tas de matériaux et d’accessoires. Le manga reste toujours agréable à lire, alterne entre cosplay et tranche de vie pour ne pas lasser. Un bon divertissement. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sexy-cosplay-doll-tome-9?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Nickad

    Game of Familia tomes 4 et 5

    Le machiavélique Sasae a manipulé les différents enfants du roi de Daba afin qu’ils s’entretuent, pendant ce temps, il compte bien trouver le mécanisme qui bloque la magie. Mais il n’est pas le seul à être malin et il se retrouve à affronter le roi ! Tout finit bien pour la familia qui se retrouve à participer aux affaires politiques de Daba. Si les 3 femmes de la familia sont plus là pour le plaisir des yeux que pour l’avancée de l’histoire, Sasae lui est le personnage principal autour duquel tout s’articule. Il est le manipulateur de l’ombre qui s’occupe des sales besognes et qui semble toujours avoir un coup d’avance. Cela rend l’histoire très mature et un poil obscure. Comme il s’agit de survie avant tout et de protéger sa familia, ses décisions sont parfois très dures et son sens moral peut être remis en question. On en apprend plus sur son passé avec son père, qui en passant, était une belle ordure ! Toujours destiné à un lectorat adulte, ce sombre « héros » apporte une vraie nouveauté dans l’isekai, rend les situations plus denses et intenses. Mais attention, les ennemis de Sasae semblent être tout autant intelligents et les stratagèmes se multiplient. C’est bien aussi parfois d’avoir des méchants puissants et des affrontements complexes ! Un manga tout en action et bien rythmé.
  10. Titre de l'album : Game of Familia tomes 4 et 5 Scenariste de l'album : YAMAGUCHI Mikoto Dessinateur de l'album : D.P. Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Un nouvel arc commence ! En s'infiltrant dans l'État magique de Laiknel, Sasae va découvrir une puissance technologique allant à l'encontre de la morale humaine... ! L'ordre a enfin été rétabli à Daba, mais le répit de Sasae et sa famille sera de courte durée, car ils apprennent que les Dead Mells ont finalement brisé les derniers remparts de la forteresse nord et ont envahi le royaume. Suspectant que l'État magique de Laiknel pourrait être responsable d'avoir utilisé la force de l'armée des Dead Mells à son avantage, Sasae prétend vouloir inscrire Hinana dans leur école de magie pour infiltrer le pays avec elle et mener son enquête. Dans cette école où enseigne le plus puissant des Sorciers, Ode Seeker, ils vont tenter de percer le mystère entourant une étrange jeune fille et des expériences qui semblent conduites par l'école... Pour le bien de son pays, elle va offrir son corps au démon ! Que l'opération d'infiltration de l'école de magie commence !! Critique : Le machiavélique Sasae a manipulé les différents enfants du roi de Daba afin qu’ils s’entretuent, pendant ce temps, il compte bien trouver le mécanisme qui bloque la magie. Mais il n’est pas le seul à être malin et il se retrouve à affronter le roi ! Tout finit bien pour la familia qui se retrouve à participer aux affaires politiques de Daba. Si les 3 femmes de la familia sont plus là pour le plaisir des yeux que pour l’avancée de l’histoire, Sasae lui est le personnage principal autour duquel tout s’articule. Il est le manipulateur de l’ombre qui s’occupe des sales besognes et qui semble toujours avoir un coup d’avance. Cela rend l’histoire très mature et un poil obscure. Comme il s’agit de survie avant tout et de protéger sa familia, ses décisions sont parfois très dures et son sens moral peut être remis en question. On en apprend plus sur son passé avec son père, qui en passant, était une belle ordure ! Toujours destiné à un lectorat adulte, ce sombre « héros » apporte une vraie nouveauté dans l’isekai, rend les situations plus denses et intenses. Mais attention, les ennemis de Sasae semblent être tout autant intelligents et les stratagèmes se multiplient. C’est bien aussi parfois d’avoir des méchants puissants et des affrontements complexes ! Un manga tout en action et bien rythmé. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/game-of-familia-tome-5?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Asako est un jeune policier qui a un don bien étrange, en allant sur des scènes de crimes, il peut ressentir les derniers instants de la victime. Non seulement il accède à ses pensées, à ses dernières paroles mais les traces des violences apparaissent alors sur son corps. Cela permet aux enquêteurs de trouver des indices sur les événements. Asako fait partie de la 6eme division et il travaille avec l’inspecteur Kurowa. Leurs relations commencent à changer au moment au la victime est l’ex-femme de Kurowa, Asako ne sait plus si ce qu’il ressent vient de lui ou de la défunte. Accèder à la dernière essence d’une victime de meurtre, on l’a déjà vu, mais c’était surtout des informations ou des visions, il n’y avait encore jamais eu l’apparition de stigmates. Ça c’est la première nouveauté, la seconde c’est le partage de sentiments entre la victime et Asako, ce mélange qui lui fait perdre pied sans savoir si ce sont ses propres sentiments ou ceux d’une autre. La trame du récit est innovante et intéressante. Le graphisme est inégal, parfois détaillé, il lui arrive d’être aussi épuré, c’est peut-être volontaire mais c’est plus difficile de s’immerger dans l’histoire. Quant aux sentiments des personnages (attention scènes érotiques), ils auraient pu être plus profonds, on reste dans une certaine incertitude. Globalement le manga nous apporte de la nouveauté mais il laisse un côté inachevé qui ne convainc pas vraiment.
  12. Titre de l'album : Stigmata - les empreintes de la passion tomes 1 et 2 (FIN) Scenariste de l'album : TAKAHASHI Hidebu Dessinateur de l'album : TAKAHASHI Hidebu Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Depuis qu'il s'est installé chez Kuroiwa, Asako a de plus en plus de mal à contenir ses sentiments. Perturbé par ses rêves et visions, il ne sait plus comment se comporter avec son collègue, surtout que ce dernier fait parfois preuve d'une intimité troublante. Mais tandis que l'enquête sur l'assassinat de Mari piétine, une vieille photo pourrait donner les premiers éléments de réponse... Critique : Asako est un jeune policier qui a un don bien étrange, en allant sur des scènes de crimes, il peut ressentir les derniers instants de la victime. Non seulement il accède à ses pensées, à ses dernières paroles mais les traces des violences apparaissent alors sur son corps. Cela permet aux enquêteurs de trouver des indices sur les événements. Asako fait partie de la 6eme division et il travaille avec l’inspecteur Kurowa. Leurs relations commencent à changer au moment au la victime est l’ex-femme de Kurowa, Asako ne sait plus si ce qu’il ressent vient de lui ou de la défunte. Accèder à la dernière essence d’une victime de meurtre, on l’a déjà vu, mais c’était surtout des informations ou des visions, il n’y avait encore jamais eu l’apparition de stigmates. Ça c’est la première nouveauté, la seconde c’est le partage de sentiments entre la victime et Asako, ce mélange qui lui fait perdre pied sans savoir si ce sont ses propres sentiments ou ceux d’une autre. La trame du récit est innovante et intéressante. Le graphisme est inégal, parfois détaillé, il lui arrive d’être aussi épuré, c’est peut-être volontaire mais c’est plus difficile de s’immerger dans l’histoire. Quant aux sentiments des personnages (attention scènes érotiques), ils auraient pu être plus profonds, on reste dans une certaine incertitude. Globalement le manga nous apporte de la nouveauté mais il laisse un côté inachevé qui ne convainc pas vraiment. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/stigmata-les-empreintes-de-la-passion-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Nickad

    Hitomoji - stress mortel tome 1

    Un petit début scientifique pour bien comprendre le manga : certaines personnes sont porteuses d’une bactérie appelée anthropamide, quand celle-ci se réveille à cause d’un stress important, son hôte perd alors sa forme humaine (sauf la tête), devient une sorte de blob et peut finir par mourir si la cause du stress n’est pas résolue le plus rapidement possible. On les appelle alors des hitomojis. L’histoire suit le quotidien de la brigade spéciale en charge des hitomojis, elle doit d’une part protéger le malade et les personnes aux alentours (quand un hitomoji meurt, il répand alors ses miasmes dans l’air), et elle doit surtout trouver rapidement la cause du stress et essayer de le résoudre. Ce 1er tome suit donc deux patients : un homme divorcé pris dans les tumultes du droit de garde et une femme devenue alcoolique suit à l’abandon de son petit ami. S’il y a une part de fantastique sur la transformation de l’homme en hitomoji, c’est surtout la psychologie qui est importante. Ici, l’enquête doit être rapide et ensuite il faut user de diplomatie pour arriver à résoudre les problèmes. Ce qui est bien, c’est que la brigade spéciale ne réussit pas à tous les coups. Finalement, on se rend compte que l’hitomoji n’est qu’une métaphore de notre société, c’est une représentation physique du stress qui nous ronge, de ce « poison quotidien » qu’il convient d’éliminer avant qu’il ne soit trop tard. Une série intéressante finie en 4 tomes.
  14. Titre de l'album : Hitomoji - stress mortel tome 1 Scenariste de l'album : MASE Motoro Dessinateur de l'album : MASE Motoro Coloriste : Editeur de l'album : Crunchyroll Note : Résumé de l'album : Le Japon ploie sous une épidémie sans précédent. Une mutation du myxomycète, organisme de la famille des amibes, contamine les humains et, sous l'effet du stress, les transforme en hitomoji. Mais la brigade médicale menée par la téméraire Misaki Tamaru se bat pour aider les victimes à surmonter leurs angoisses... Car chaque minute compte avant que la mutation ne grignote leur humanité et ne fasse de nouvelles victimes ! Critique : Un petit début scientifique pour bien comprendre le manga : certaines personnes sont porteuses d’une bactérie appelée anthropamide, quand celle-ci se réveille à cause d’un stress important, son hôte perd alors sa forme humaine (sauf la tête), devient une sorte de blob et peut finir par mourir si la cause du stress n’est pas résolue le plus rapidement possible. On les appelle alors des hitomojis. L’histoire suit le quotidien de la brigade spéciale en charge des hitomojis, elle doit d’une part protéger le malade et les personnes aux alentours (quand un hitomoji meurt, il répand alors ses miasmes dans l’air), et elle doit surtout trouver rapidement la cause du stress et essayer de le résoudre. Ce 1er tome suit donc deux patients : un homme divorcé pris dans les tumultes du droit de garde et une femme devenue alcoolique suit à l’abandon de son petit ami. S’il y a une part de fantastique sur la transformation de l’homme en hitomoji, c’est surtout la psychologie qui est importante. Ici, l’enquête doit être rapide et ensuite il faut user de diplomatie pour arriver à résoudre les problèmes. Ce qui est bien, c’est que la brigade spéciale ne réussit pas à tous les coups. Finalement, on se rend compte que l’hitomoji n’est qu’une métaphore de notre société, c’est une représentation physique du stress qui nous ronge, de ce « poison quotidien » qu’il convient d’éliminer avant qu’il ne soit trop tard. Une série intéressante finie en 4 tomes. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/hitomoji-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Nickad

    Elden ring tome 1

    A l’origine Elden Ring est un jeu vidéo sorti en 2022, un univers de dark fantasy sérieux et assez sombre qui a eu un certain succès. Rien d’étonnant à ce qu’il y ait une adaptation manga et pour ceux qui connaissent le jeu, l’auteur a voulu en faire une version plus légère, comique même. Le personnage principal « Sans-nom » semble être destiné à un grand avenir, ou plutôt il a été choisi par la Grâce pour potentiellement devenir le seigneur d’Elden. Mais lui se réveille en sous-vêtement et sans souvenir, il se retrouve dans un environnement où il ne comprend rien et rencontre d’étranges personnages tous plus énigmatiques les uns que les autres. Je serai bien en peine de noter ce manga, d’abord parce que je ne connais pas l’univers d’Elden Ring, ensuite parce que le décalage volontaire du personnage me laisse perplexe. Il y a en même temps un côté très sérieux avec une quête à accomplir et de belle phrases et de l’autre, un gars un peu brut qui comprend surtout le langage propre aux jeux vidéo et qui en plus ne semble pas faire grand cas de l’objectif qui lui a été donné. Je ne sais pas quoi penser de ce scénario qui semble un peu partir dans tous les sens…. Par contre, le graphisme est très intéressant, il y a des décors et des personnages plus proches de la BD d’heroic fantasy que du manga et visiblement, on y retrouve les lieux et certains personnages du jeu. Donc si comme moi, vous débarquez dans cet univers, sachez que le livre est tout à fait lisible sans connaissance et qu’il faudra aller plus loin pour se faire vraiment un avis sur le scénario. La suite est déjà disponible en numérique sur le site de Mana books au prix de 0.49€ le chapitre. Extrait PS : la dernière image ci-dessous vient du jeu vidéo
  16. Nickad

    Elden ring tome 1

    Titre de l'album : Elden ring tome 1 Scenariste de l'album : TOBITA Nikkichi / FromSoftware Dessinateur de l'album : TOBITA Nikkichi Coloriste : Editeur de l'album : Mana Books Note : Résumé de l'album : Nécrolimbe, royaume de l'Entre-Terre. C'est sans le sou et sans vêtements que «Sans-nom» vient d'atterrir ici. Désespéré face au caractère impitoyable du monde dans lequel il a été projeté, il fait la rencontre de la mystérieuse Melina. Celle-ci lui propose alors un marché et l'encourage à suivre la grâce jusqu'à l'Arbre-Monde. Sur sa route, Sans-nom tombera sur un panel d'individus tous plus gratinés les uns que les autres : Pat l'Affranchi, Blaidd le Semi-Loup, Margit le Déchu, Godrick le Greffé, et Ranni la Sorcière... Poursuivant son voyage à travers Nécrolimbe au péril de sa vie, notre héros arrive bientôt à sa prochaine destination : le château de Voilorage ! Critique : A l’origine Elden Ring est un jeu vidéo sorti en 2022, un univers de dark fantasy sérieux et assez sombre qui a eu un certain succès. Rien d’étonnant à ce qu’il y ait une adaptation manga et pour ceux qui connaissent le jeu, l’auteur a voulu en faire une version plus légère, comique même. Le personnage principal « Sans-nom » semble être destiné à un grand avenir, ou plutôt il a été choisi par la Grâce pour potentiellement devenir le seigneur d’Elden. Mais lui se réveille en sous-vêtement et sans souvenir, il se retrouve dans un environnement où il ne comprend rien et rencontre d’étranges personnages tous plus énigmatiques les uns que les autres. Je serai bien en peine de noter ce manga, d’abord parce que je ne connais pas l’univers d’Elden Ring, ensuite parce que le décalage volontaire du personnage me laisse perplexe. Il y a en même temps un côté très sérieux avec une quête à accomplir et de belle phrases et de l’autre, un gars un peu brut qui comprend surtout le langage propre aux jeux vidéo et qui en plus ne semble pas faire grand cas de l’objectif qui lui a été donné. Je ne sais pas quoi penser de ce scénario qui semble un peu partir dans tous les sens…. Par contre, le graphisme est très intéressant, il y a des décors et des personnages plus proches de la BD d’heroic fantasy que du manga et visiblement, on y retrouve les lieux et certains personnages du jeu. Donc si comme moi, vous débarquez dans cet univers, sachez que le livre est tout à fait lisible sans connaissance et qu’il faudra aller plus loin pour se faire vraiment un avis sur le scénario. La suite est déjà disponible en numérique sur le site de Mana books au prix de 0.49€ le chapitre. Extrait PS : la dernière image ci-dessous vient du jeu vidéo Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/elden-ring-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Nickad

    Entre nos mains tome 1

    Makimura et Midori ont passé tout le lycée ensemble, les deux jeunes filles filaient le parfait amour et profitaient de chaque instant. Mais le jour du diplôme Midori s’en va, estimant que deux filles ensemble, cela ne peut pas durer éternellement. Des années plus tard, Makimura se lamente auprès d’une amie, ce n’est pas facile de trouver l’amour quand on aime les filles et encore moins facile quand on n’a jamais pu oublier son amour de jeunesse. C’est là qu’elle croise Midori, elle pense pouvoir se rapprocher et avoir une seconde chance mais apprend que cette dernière est sur le point de se marier. Dans ce manga, chaque personnage amène un sujet. Makimura permet de montrer toute la difficulté d’être lesbienne dans la société actuelle. Midori représente parfaitement le conflit qui peut exister entre faire ce dont on a envie et se conformer à ce que la majorité considère comme normal : se marier avec un homme, devenir une bonne mère, être responsable quand on est adulte… Et Tazune (le futur mari) incarne le mâle suprême d’une société patriarcale qui se sent supérieur aux femmes. Il a d’ailleurs un certain nombre de propos offusquants « les femmes […] elles sont faciles à manipuler ». Mais toute l’histoire tourne autour de Midori, c’est elle le chef d’orchestre sauf qu’elle ne sait pas encore quelle partition jouer, elle hésite et ne se rend pas encore compte des futures tornades qu’elle engendre. Un peu dérangée par le graphisme où il y a quelques problèmes de proportion, le manga a quand même capté mon attention. Entre les réflexions du futur mari et cette pauvre Midori qui ne sait plus où elle en est et qui essaye de se convaincre qu’elle pourra être heureuse de cette façon, l’autrice arrive à nous faire réagir et à nous donner l’envie de lire la suite. La série est terminée en 4 tomes. Extrait
  18. Titre de l'album : Entre nos mains tome 1 Scenariste de l'album : BATTAN Dessinateur de l'album : BATTAN Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Makimura n'a jamais pu oublier Midori, la fille qu'elle aimait au lycée. Aujourd'hui étudiante, sur le point de terminer ses études, elle reste prisonnière de cette relation du passé. Mais quand Midori surgit par hasard dans le cabinet d'ophtalmologie où elle travaille, la jeune femme veut croire à un coup du destin. Mais la vie prend parfois des détours compliqués, et devenue adulte, Midori est-elle prête à enfin s'engager ouvertement aux yeux de tous ? Critique : Makimura et Midori ont passé tout le lycée ensemble, les deux jeunes filles filaient le parfait amour et profitaient de chaque instant. Mais le jour du diplôme Midori s’en va, estimant que deux filles ensemble, cela ne peut pas durer éternellement. Des années plus tard, Makimura se lamente auprès d’une amie, ce n’est pas facile de trouver l’amour quand on aime les filles et encore moins facile quand on n’a jamais pu oublier son amour de jeunesse. C’est là qu’elle croise Midori, elle pense pouvoir se rapprocher et avoir une seconde chance mais apprend que cette dernière est sur le point de se marier. Dans ce manga, chaque personnage amène un sujet. Makimura permet de montrer toute la difficulté d’être lesbienne dans la société actuelle. Midori représente parfaitement le conflit qui peut exister entre faire ce dont on a envie et se conformer à ce que la majorité considère comme normal : se marier avec un homme, devenir une bonne mère, être responsable quand on est adulte… Et Tazune (le futur mari) incarne le mâle suprême d’une société patriarcale qui se sent supérieur aux femmes. Il a d’ailleurs un certain nombre de propos offusquants « les femmes […] elles sont faciles à manipuler ». Mais toute l’histoire tourne autour de Midori, c’est elle le chef d’orchestre sauf qu’elle ne sait pas encore quelle partition jouer, elle hésite et ne se rend pas encore compte des futures tornades qu’elle engendre. Un peu dérangée par le graphisme où il y a quelques problèmes de proportion, le manga a quand même capté mon attention. Entre les réflexions du futur mari et cette pauvre Midori qui ne sait plus où elle en est et qui essaye de se convaincre qu’elle pourra être heureuse de cette façon, l’autrice arrive à nous faire réagir et à nous donner l’envie de lire la suite. La série est terminée en 4 tomes. Extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/entre-nos-mains-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Nickad

    Soloist in a cage tome 1

    La Cité-prison est une ville où tous les prisonniers sont enfermés, une ville isolée du reste par de grands murs infranchissables mais où la population carcérale a fini par se construire une vie avec ses propres règles, avec des familles qui se créent et qui procréent. Chloé est une enfant née dans cette ville impitoyable, elle vit seule avec son petit frère encore bébé. Ils ne sont jamais sortis de leurs appartements et leurs parents ont disparus. Alors quand leur voisin leur propose de s’échapper avec lui, Chloé finit par le suivre mais dans sa fuite, elle est séparée de son frère. Des années plus tard, elle reviendra pour le retrouver. Soloist in a cage est d’abord une claque visuelle, un dessin détaillé et fourni qui fait ressortir toutes les émotions de cet endroit. On y sent le froid de la neige, l’obscurité de la ville, la noirceur des habitants. Puis arrive le contraste avec la présence de ces deux enfants qui survivent, une vie malgré tout joyeuse avec des rires et des danses. Ensuite une Chloé partagée entre désespoir et espoir, avec une volonté capable de renverser des montagnes, des rencontres fortes, des personnages singuliers… Le livre nous entraine avec lui dès le début et ne nous lâche plus, tout est soigné, le graphisme comme le scénario. Je n’ai qu’une crainte que les 3 tomes de la série soient trop courts ! Un premier tome à lire et à savourer. Extrait Trailer
  20. Titre de l'album : Soloist in a cage tome 1 Scenariste de l'album : MORIYA Shiro Dessinateur de l'album : MORIYA Shiro Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : La Cité-prison est un immense ghetto où sont rassemblés des criminels de tous horizons. Une fois entré, aucun espoir d'en sortir... Chloé, sept ans, et son petit frère Locke, encore nourrisson, sont nés dans cette enceinte et n'ont jamais quitté leur chambre. Depuis la disparition de leurs parents, prendre soin de son cadet est devenu la raison de vivre de la fillette ; elle le dorlote, le rassure et danse pour garder une lueur d'espoir dans leur foyer. Les seules ressources à disposition viennent d'un voisin inconnu, qui dépose des provisions devant leur porte... Leur bienfaiteur n'est autre que Ross Sandberg, chef d'un groupe de mercenaires craint de tous. Quand Chloé découvre qu'il prépare une évasion, elle prend une décision folle : pour assurer l'avenir de son frère, elle suit l'homme et escalade les murs à sa suite, le bébé sur le dos ! Mais les robots de surveillance la repèrent vite... Locke tombe, et Chloé est rattrapée de justesse par Ross, qui parvient à l'emmener à l'extérieur. Il lui promet de la protéger et de lui transmettre son savoir, afin qu'un jour Chloé puisse revenir chercher son frère... Dans ce huis clos angoissant, la mort rôde à chaque coin de rue tandis que l'amour se cache dans des repères insoupçonnés. Critique : La Cité-prison est une ville où tous les prisonniers sont enfermés, une ville isolée du reste par de grands murs infranchissables mais où la population carcérale a fini par se construire une vie avec ses propres règles, avec des familles qui se créent et qui procréent. Chloé est une enfant née dans cette ville impitoyable, elle vit seule avec son petit frère encore bébé. Ils ne sont jamais sortis de leurs appartements et leurs parents ont disparus. Alors quand leur voisin leur propose de s’échapper avec lui, Chloé finit par le suivre mais dans sa fuite, elle est séparée de son frère. Des années plus tard, elle reviendra pour le retrouver. Soloist in a cage est d’abord une claque visuelle, un dessin détaillé et fourni qui fait ressortir toutes les émotions de cet endroit. On y sent le froid de la neige, l’obscurité de la ville, la noirceur des habitants. Puis arrive le contraste avec la présence de ces deux enfants qui survivent, une vie malgré tout joyeuse avec des rires et des danses. Ensuite une Chloé partagée entre désespoir et espoir, avec une volonté capable de renverser des montagnes, des rencontres fortes, des personnages singuliers… Le livre nous entraine avec lui dès le début et ne nous lâche plus, tout est soigné, le graphisme comme le scénario. Je n’ai qu’une crainte que les 3 tomes de la série soient trop courts ! Un premier tome à lire et à savourer. Extrait Trailer Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/soloist-in-a-cage-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Nickad

    Clevatess tome 3

    Clenn se sépare d’Alicia et Luna pour aller affronter Dorel et surtout lui poser des questions concernant la disparition de bêtes démoniaques. De son côté Alicia, accompagnée à présent de Nellie arrivent au village de Shiron pour y séjourner un peu mais se retrouvent face à deux magiciens du royaume de Boelate bien décidés à mettre la main sur Luna, le prince de Hiden, le seul capable de faire fonctionner la forge royale. Ce qui est bien dans ce manga c’est qu’il y a vraiment deux niveaux de lecture tout aussi intéressants l’un que l’autre : il y a l’aventure dans le monde de fantasy avec des monstres et des méchants encore plus monstrueux que les démons mais il y a surtout de vraies réflexions sur différents sujets. Ce qui est mis en avant dans ce tome c’est le rapport aux traditions : faut-il suivre aveuglément les traditions ? « Est-ce qu’elle mérite tant de sacrifices ? Quels bénéfices est-ce qu’on en retire ? ». Dans Clevatess, il y a toujours des propos qui interpellent, une question à laquelle on n’avait pas pensé et qui nous poussent à réfléchir ? Un manga très bien fait à continuer.
  22. Nickad

    Clevatess tome 3

    Titre de l'album : Clevatess tome 3 Scenariste de l'album : IWAHARA Yuji Dessinateur de l'album : IWAHARA Yuji Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Le puissant démon Clevatess est dérangé dans son antre par une troupe de héros venue l'éliminer. Voilà un millénaire qu'il n'avait pas fait face à des humains. Ceux-ci s'élancent vaillamment... et sont décimés ! Malgré tout, leurs épées, forgées dans un métal rare, ont égratigné ses cornes... La créature s'interroge. Comment ces insectes insignifiants ont-ils pu développer de telles armes ? Pourquoi veulent-ils sa mort ? Critique : Clenn se sépare d’Alicia et Luna pour aller affronter Dorel et surtout lui poser des questions concernant la disparition de bêtes démoniaques. De son côté Alicia, accompagnée à présent de Nellie arrivent au village de Shiron pour y séjourner un peu mais se retrouvent face à deux magiciens du royaume de Boelate bien décidés à mettre la main sur Luna, le prince de Hiden, le seul capable de faire fonctionner la forge royale. Ce qui est bien dans ce manga c’est qu’il y a vraiment deux niveaux de lecture tout aussi intéressants l’un que l’autre : il y a l’aventure dans le monde de fantasy avec des monstres et des méchants encore plus monstrueux que les démons mais il y a surtout de vraies réflexions sur différents sujets. Ce qui est mis en avant dans ce tome c’est le rapport aux traditions : faut-il suivre aveuglément les traditions ? « Est-ce qu’elle mérite tant de sacrifices ? Quels bénéfices est-ce qu’on en retire ? ». Dans Clevatess, il y a toujours des propos qui interpellent, une question à laquelle on n’avait pas pensé et qui nous poussent à réfléchir ? Un manga très bien fait à continuer. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/clevatess-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Nickad

    Amour Placebo tome 1

    Voici le nouveau manga d’Akane TORIKAI, encore une fois, elle nous emmène sur des thèmes peu fréquents avec sa façon très particulière de mettre les femmes à l’honneur. Et le thème n’est pas facile car il parle de prostitution, pas de façon générale mais d’un jeune trentenaire Tamio Satô qui décide d’aller pour la première fois en maison close et de la jeune femme qu’il va rencontrer : Serika. Satô est un jeune homme écorché, qui a eu une adolescence difficile, il est professeur d’arts dans un lycée, il n’a pas de contrat à long terme, il n’a personne dans sa vie et il se sent surtout rejeté par la société. Il peut néanmoins se confier à une amie, ancienne copine de fac, qui va incarner le sens moral « commun » face à la situation. Serika est une jeune femme pleine de vie qui semble être sincère avec ses clients, qui ne juge pas, qui est compréhensive. Et tous deux vont peu à peu dépasser les limites de la relation professionnelle comme s’ils avaient trouvé leur âme sœur. L’histoire est là, l’histoire de leur relation compliquée, difficilement avouable et encore moins acceptable. Car on s’interroge, est-ce que cet amour est vrai ? N’est-ce pas un peu trop facile ? C’est encore une fois une thématique difficile qu’Akane Torikai nous propose, elle nous met face à des situations sur lesquelles nous n’aurions peut-être pas réfléchies, elle met en scène des personnages complexes, difficiles à cerner, des existences sur le fil du rasoir. Série finie en 2 tomes.
  24. Titre de l'album : Amour Placebo tome 1 Scenariste de l'album : TORIKAI Akane Dessinateur de l'album : TORIKAI Akane Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Tamio Satô est un professeur d'art qui peine à trouver un emploi stable. Célibataire et malheureux en amour, il ne correspond pas au modèle de réussite véhiculé par la société. Un soir, réalisant à quel point la solitude commence à lui peser, il décide de s'offrir le service de prostituées pour combler le vide en lui, sans grand succès. Cependant, tout change lorsqu'il rencontre Serika, une jeune femme de la maison close. Au fil des jours, alors qu'une véritable intimité se développe entre eux, Tamio Satô ne risque-t-il pas de se brûler les ailes ? Critique : Voici le nouveau manga d’Akane TORIKAI, encore une fois, elle nous emmène sur des thèmes peu fréquents avec sa façon très particulière de mettre les femmes à l’honneur. Et le thème n’est pas facile car il parle de prostitution, pas de façon générale mais d’un jeune trentenaire Tamio Satô qui décide d’aller pour la première fois en maison close et de la jeune femme qu’il va rencontrer : Serika. Satô est un jeune homme écorché, qui a eu une adolescence difficile, il est professeur d’arts dans un lycée, il n’a pas de contrat à long terme, il n’a personne dans sa vie et il se sent surtout rejeté par la société. Il peut néanmoins se confier à une amie, ancienne copine de fac, qui va incarner le sens moral « commun » face à la situation. Serika est une jeune femme pleine de vie qui semble être sincère avec ses clients, qui ne juge pas, qui est compréhensive. Et tous deux vont peu à peu dépasser les limites de la relation professionnelle comme s’ils avaient trouvé leur âme sœur. L’histoire est là, l’histoire de leur relation compliquée, difficilement avouable et encore moins acceptable. Car on s’interroge, est-ce que cet amour est vrai ? N’est-ce pas un peu trop facile ? C’est encore une fois une thématique difficile qu’Akane Torikai nous propose, elle nous met face à des situations sur lesquelles nous n’aurions peut-être pas réfléchies, elle met en scène des personnages complexes, difficiles à cerner, des existences sur le fil du rasoir. Série finie en 2 tomes. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/amour-placebo-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Nickad

    Mighty mothers tome 1

    Akane est une mère célibataire, elle courre entre son petit boulot où elle n’excelle pas vraiment et le jardin d’enfant. Ce dernier accueille surtout les enfants de mères seules en difficulté, mais cache en réalité une organisation prête à défendre les opprimés. Ces mamans agissent dans l’ombre contre la mafia locale qui fait du trafic d’humains, de jeunes femmes notamment destinées à la prostitution ou la revente d’organes… Mais une riposte se prépare et un affrontement violent est inévitable… Mighty mothers est un manga d’action avec une organisation secrète qui agit contre les « méchants », c’est un graphisme dynamique avec des personnages principaux féminins forts, c’est des scènes de combats efficaces dans un contexte assez sombre. Car si on y regarde de plus près, le manga pointe du doigt les agissements de l’ombre, dénonce l’impuissance de la loi et de la justice… Il y a aussi le témoignage sur la vie des mères célibataires qui font de leur mieux avec ce qu’elles ont, partagées entre les difficultés de leurs situations et leur amour maternel. Cependant, Mighty Mothers reste avant tout de l’action efficace qui va à 100 à l’heure ! Des super mamans à la James Bond qui vont aller remettre de l’ordre dans les malversations de notre société !
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