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  1. Titre de l'album : Manchuria Opium Squad tome 1 Scenariste de l'album : MONMA Tsukasa Dessinateur de l'album : SHIKAKO Coloriste : Editeur de l'album : VEGA Note : Résumé de l'album : Il existe peu de documents sur l'ombre du Japon, en particulier sur les agissements de l'armée d'avant-guerre. Cependant, en raison de la situation financière de l'époque, les difficultés financières en Mandchourie étaient chroniques. L'opium est devenu ainsi le point de départ d'une guerre sous la dynastie britannique et le joug des Qing. Mais l'opium était aussi largement utilisé en Chine. La taille de ce marché fut extraordinaire et ses fonds énormes. Une économie qui comprenait des chefs de guerre, des fonctionnaires et des marchands, ainsi que des organisations clandestines. Dans ce contexte tendu, un jeune agriculteur va faire le choix de l'opium pour enfin gagner l'argent nécessaire pour soigner sa mère. Mais ce faisant, il met un premier pas dans un engrenage qui va le transporter en pleine guerre des mafias. Critique : Manga sur fond historique, le livre nous propose de nous immerger dans le Mandchoukouo, nouvel état crée par les Japonais sur le sol chinois qui exista entre 1932 et 1945. On va suivre l’ascension (et probablement la chute) de deux personnages : Isamu Higata, jeune soldat réaffecté suite à la perte de son œil droit et devant trouver de l’argent pour s’occuper de sa famille et Lihua, la fille d’un boss de la mafia qui trempe dans le trafic d’opium. Le manga a pour ambition de nous faire découvrir deux choses : l’opium tout d’abord, son trafic, son importance et surtout ses effets. Il veut également mettre en lumière l’histoire de ce territoire « fantoche » crée par les Japonais au moment de leur politique d’expansion. Si la trame de fond est réelle et historique, les personnages principaux ne le sont pas mais les auteurs ont tout fait pour que l’immersion soit complète et que le lecteur croit à cette histoire. Probablement qu’il y a eu des faits similaires mais devant le manque de documents précis et les zones blanches, ils ont préféré romancer une partie (par exemple, il n’y a pas de certitude que l’armée faisait commerce d’opium). Cela dit, les scènes, que ce soit la vie des soldats, les comportements vis-à-vis du peuple ou même les passages plus violents sont des exemples de ce qui s’est vraiment passé. Le graphisme est travaillé, le rendu des personnages sous l’influence de l’opium est remarquable, il y a une véritable recherche sur l’angle de rendu avec des points de vue intéressants. Le manga est à réserver à un public averti, la série compte pour le moment 7 tomes. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/manchuria-opium-squad-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Nickad

    Magus of the library tome 5

    Shio a été reçu au concours de Kahuna, il a retrouvé des personnes avec qui il a passé des épreuves et conforte ses amitiés. Les voilà partis pour un an d’apprentissage au terme duquel ils seront redirigés vers l’un des départements de la grande bibliothèque, seulement, seuls les 3 premiers pourront choisir leurs affectations. La concurrence est rude et Shio se rend compte qu’il a du retard par rapport aux autres. La vraie leçon de ce tome c’est « ne pas juger les gens sans les connaître » : les apprentis Kahunas viennent des différents peuples, chacun avec ses coutumes et ses croyances, chacun avec un passé et une raison de vouloir devenir Kahuna. Certains pensent être les meilleurs et n’hésitent pas à dire des méchancetés ou jugent selon les origines ou l’apparence. Shio doit non seulement s’améliorer car il n’a pas pu étudier autant que les autres car il devait travailler, mais il doit apprendre à connaître les autres et surtout à se faire connaitre. De temps en temps, l’auteur nous laisse des indices sur ce qui va se passer, comme la rencontre de fin de volume. Le manga est toujours très soigné graphiquement, un trait fin et détaillé qui rend hommage à l’univers du livre, à la fois ethnique et fantastique. Le scenario est toujours aussi intéressant, on ne s’ennuie pas une seule seconde. Le seul bémol de la série, c’est le temps d’attente entre chaque tome mais sinon, c’est un superbe manga à découvrir si ce n’est déjà fait.
  3. Titre de l'album : Magus of the library tome 5 Scenariste de l'album : IZUMI Mitsu Dessinateur de l'album : IZUMI Mitsu Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : En tant qu’apprenti kahuna, Shio peine à trouver sa place parmi les brillants élèves qui l’entourent... et son cœur balance entre les différentes voies qui s’offrent à lui ! Seulement, pour avoir le droit de choisir son affectation, il va devoir travailler d’arrache-pied, car seuls les éléments les plus prometteurs pourront intégrer le département de leurs rêves...Après le discours de Komako, le garçon retrouve à sa grande surprise Sedona. Mais alors qu’il s’apprête à lui rendre son livre, le mage lui demande de le garder jusqu’au jour où il sera devenu kahuna à part entière... Plus motivé que jamais, Shio se lance donc à corps perdu dans les études ! Critique : Shio a été reçu au concours de Kahuna, il a retrouvé des personnes avec qui il a passé des épreuves et conforte ses amitiés. Les voilà partis pour un an d’apprentissage au terme duquel ils seront redirigés vers l’un des départements de la grande bibliothèque, seulement, seuls les 3 premiers pourront choisir leurs affectations. La concurrence est rude et Shio se rend compte qu’il a du retard par rapport aux autres. La vraie leçon de ce tome c’est « ne pas juger les gens sans les connaître » : les apprentis Kahunas viennent des différents peuples, chacun avec ses coutumes et ses croyances, chacun avec un passé et une raison de vouloir devenir Kahuna. Certains pensent être les meilleurs et n’hésitent pas à dire des méchancetés ou jugent selon les origines ou l’apparence. Shio doit non seulement s’améliorer car il n’a pas pu étudier autant que les autres car il devait travailler, mais il doit apprendre à connaître les autres et surtout à se faire connaitre. De temps en temps, l’auteur nous laisse des indices sur ce qui va se passer, comme la rencontre de fin de volume. Le manga est toujours très soigné graphiquement, un trait fin et détaillé qui rend hommage à l’univers du livre, à la fois ethnique et fantastique. Le scenario est toujours aussi intéressant, on ne s’ennuie pas une seule seconde. Le seul bémol de la série, c’est le temps d’attente entre chaque tome mais sinon, c’est un superbe manga à découvrir si ce n’est déjà fait. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/magus-of-the-library-tome-5?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Nickad

    Les affamés tome 1

    Le monde a changé, les zombies sont devenus la population principale de notre monde, mais comme il n’y a plus d’humains, ils sont affamés. L’un d’eux, Wataru, est un peu particulier : bien que mort-vivant, il a gardé son intelligence et une partie de ses sentiments. Il a un plan pour lutter contre cette situation : faire un élevage d’humains mais pour cela, il faut déjà en trouver ! Le manga aborde le thème du zombie de façon inhabituelle, on découvre les petits tracas de Wataru mais aussi ce que son état de zombie lui apporte (nourriture, sommeil, santé…). Mais son problème majeur va d’être d’appliquer son plan, peut-il vraiment considérer les humains comme du bétail quand il a encore des sentiments ? Et s’il tombait sur une de ses connaissances, que ferait-il ? D’un autre côté, comment les survivants vont-ils le voir : comme un monstre ou comme un allié potentiel ? En dehors de ce côté innovant d’histoire de zombies, l’auteur en profite pour passer au crible les comportements de notre société et se demander ce qu’est vraiment l’humanité. Le graphisme est également intéressant, on est dans du seinen sans compromis, limite réaliste les personnages sont parfois repoussants, il y a des scène gores. Un vrai bon manga d’horreur qui ne vient pas que des zombies… 3 tomes en cours
  5. Titre de l'album : Les affamés tome 1 Scenariste de l'album : TOMOYASU Kunitaro Dessinateur de l'album : TOMOYASU Kunitaro Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : La race humaine est au bord de l'extinction, menaçant la nouvelle « société » zombie d'une crise alimentaire sans précédant. Wataru, mort-vivant à la constitution unique, a gardé son intelligence, mais aussi une part de ses émotions d'être humain. Avec l'espoir de devenir maître du monde, il élabore un plan sans pareil pour nourrir ses congénères : séquestrer un homme et une femme pour les faire se reproduire et donner leurs nouveaux-nés en pâture à ses camarades ! Mais quand il croise enfin la route d'une survivante humaine, il pourrait bien remettre en cause ses projets... Critique : Le monde a changé, les zombies sont devenus la population principale de notre monde, mais comme il n’y a plus d’humains, ils sont affamés. L’un d’eux, Wataru, est un peu particulier : bien que mort-vivant, il a gardé son intelligence et une partie de ses sentiments. Il a un plan pour lutter contre cette situation : faire un élevage d’humains mais pour cela, il faut déjà en trouver ! Le manga aborde le thème du zombie de façon inhabituelle, on découvre les petits tracas de Wataru mais aussi ce que son état de zombie lui apporte (nourriture, sommeil, santé…). Mais son problème majeur va d’être d’appliquer son plan, peut-il vraiment considérer les humains comme du bétail quand il a encore des sentiments ? Et s’il tombait sur une de ses connaissances, que ferait-il ? D’un autre côté, comment les survivants vont-ils le voir : comme un monstre ou comme un allié potentiel ? En dehors de ce côté innovant d’histoire de zombies, l’auteur en profite pour passer au crible les comportements de notre société et se demander ce qu’est vraiment l’humanité. Le graphisme est également intéressant, on est dans du seinen sans compromis, limite réaliste les personnages sont parfois repoussants, il y a des scène gores. Un vrai bon manga d’horreur qui ne vient pas que des zombies… 3 tomes en cours Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/affames-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. poseidon2

    The most notorious Talker t2

    Bon ça y est je sais où classer ce manga. Dans les mangas pour adultes. J’ai eu un doute à la fin du tome 1. Non pas que ce manga soit visuellement agressif. Beaucoup moins que beaucoup d'autres. Mais il est assez malsain et dure. Notre héros commence ce tome par valider ce qu'il avait fait dans le tome précèdent : vendre ses coéquipiers comme esclaves pour rembourser leurs dettes. Et notre héros nous prouve tout au long du tome qu'il n'a que peu de considération pour les sentiments et usera de tout ce qu'il est possible de faire pour réussir son objectif. Et c'est à la fois le coté intéressant et troublant de ce manga : Le héros est un salaud. Mais pas un salaud au grand cœur. Un salaud tout cour. Ça a un côté rafraichissant dans notre univers de manga dégoulinant de gens plus gentils que les autres dans les mangas fantastiques. Mais le sérieux du traitement me fait dire que ce manga n'est pas à mettre entre les mains des jeunes lecteurs d'Isekai et autres mangas d'aventures. Une fois ceci passé, le traitement graphique est plutôt sympa et ce tome 2 à l'air de vraiment lancer l'histoire. Un bon manga mais qui restera dans l'étagère pour personnes de plus d'un 1m75.
  7. Titre de l'album : The most notorious Talker t2 Scenariste de l'album : Yamorichan Dessinateur de l'album : Jaki Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Noel, le Talker qui avait promis à son grand-père de devenir le plus fort des Seekers, est maintenant le stratège des Blue Beyond, un groupe d'aventuriers qu'il mène de main de maître. Malheureusement, il découvre un jour que deux de ses camarades se sont enfuis avec toute leur fortune ! Ces derniers sont bien loin de se douter de la cruauté du sort qui les attend... Noel se met ensuite à la recherche de nouveaux aventuriers afin de combler le vide laissé par les malheureux traîtres. Dans un premier temps, son annonce n'attire aucun candidat intéressant, jusqu'à ce qu'une mystérieuse jeune femme du nom d'Alma, qui prétend être la descendante d'un assassin légendaire, fasse son apparition !! Critique : Bon ça y est je sais où classer ce manga. Dans les mangas pour adultes. J’ai eu un doute à la fin du tome 1. Non pas que ce manga soit visuellement agressif. Beaucoup moins que beaucoup d'autres. Mais il est assez malsain et dure. Notre héros commence ce tome par valider ce qu'il avait fait dans le tome précèdent : vendre ses coéquipiers comme esclaves pour rembourser leurs dettes. Et notre héros nous prouve tout au long du tome qu'il n'a que peu de considération pour les sentiments et usera de tout ce qu'il est possible de faire pour réussir son objectif. Et c'est à la fois le coté intéressant et troublant de ce manga : Le héros est un salaud. Mais pas un salaud au grand cœur. Un salaud tout cour. Ça a un côté rafraichissant dans notre univers de manga dégoulinant de gens plus gentils que les autres dans les mangas fantastiques. Mais le sérieux du traitement me fait dire que ce manga n'est pas à mettre entre les mains des jeunes lecteurs d'Isekai et autres mangas d'aventures. Une fois ceci passé, le traitement graphique est plutôt sympa et ce tome 2 à l'air de vraiment lancer l'histoire. Un bon manga mais qui restera dans l'étagère pour personnes de plus d'un 1m75. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : http://www.bdfugue.com/the-most-notorious-talker-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Nickad

    Nakano boogie-woogie tome 1

    2eme manga atypique de la soirée. Au cœur du quartier de Nakano à Tokyo existe un centre commercial le Nakano Broadway devenu au fil des années le paradis des otaku. Mirei est une étudiante aux beaux-arts pas très assidue aux cours et a grandi avec ce centre où elle traine tout le temps. Un jour, elle trouve un drôle de chat qu’elle va adopter. Bon ce chat n’en est pas vraiment un, c’est une sorte de créature cyclope à quatre pattes qui parle humain, raffole du poisson et a été baptisé Neuneuil. Est-ce parce que ce centre est atypique que personne ne se pose des questions sur ce qu’il est vraiment ? Est-ce que ce chat est porte-bonheur et va permettre à Mirei de retrouver sa motivation ? Voici des histoires au cœur du Nakano Broadway. La lecture n’est pas déplaisante, sympathique même, mais la vraie question c’est : est-ce qu’il y a un intérêt ? Ok je l’ai lu et après ? est-ce qu’il m’a amusé, ennuyé, interpellé ? Rien de tout ça, je suis vraiment sortie de la lecture en me disant « je ne sais pas » Pour information, le tome 1 est sorti en numérique le 11 février mais sa sortie physique est reportée en avril. Les deux tomes de la série (et oui il n’y a que 2 tomes) sortiront simultanément.
  9. Titre de l'album : Nakano boogie-woogie tome 1 Scenariste de l'album : KENSOGEN Dessinateur de l'album : KENSOGEN Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : Mirei, étudiante en école préparatoire aux Beaux-Arts, est née et a toujours vécu à Nakano. Elle n'a qu'une vision très floue de son avenir, refait parfois le monde avec son ami Toyoda et vit au jour le jour. Du moins jusqu'à sa rencontre avec Omémé, une forme de vie bien mystérieuse... La voilà embarquée dans un nouveau quotidien aussi drôle que mouvementé, où l'on découvrira qu'à Nakano, tout peut arriver ! Critique : 2eme manga atypique de la soirée. Au cœur du quartier de Nakano à Tokyo existe un centre commercial le Nakano Broadway devenu au fil des années le paradis des otaku. Mirei est une étudiante aux beaux-arts pas très assidue aux cours et a grandi avec ce centre où elle traine tout le temps. Un jour, elle trouve un drôle de chat qu’elle va adopter. Bon ce chat n’en est pas vraiment un, c’est une sorte de créature cyclope à quatre pattes qui parle humain, raffole du poisson et a été baptisé Neuneuil. Est-ce parce que ce centre est atypique que personne ne se pose des questions sur ce qu’il est vraiment ? Est-ce que ce chat est porte-bonheur et va permettre à Mirei de retrouver sa motivation ? Voici des histoires au cœur du Nakano Broadway. La lecture n’est pas déplaisante, sympathique même, mais la vraie question c’est : est-ce qu’il y a un intérêt ? Ok je l’ai lu et après ? est-ce qu’il m’a amusé, ennuyé, interpellé ? Rien de tout ça, je suis vraiment sortie de la lecture en me disant « je ne sais pas » Pour information, le tome 1 est sorti en numérique le 11 février mais sa sortie physique est reportée en avril. Les deux tomes de la série (et oui il n’y a que 2 tomes) sortiront simultanément. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/nakano-boogie-woogie-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Nickad

    Dai Dark tome 1

    Je vous propose ce soir 2 mangas qui m’ont laissé perplexe, chacun dans son style je suis incapable de dire si j’ai aimé ou non, ce qui est sûr c’est qu’ils ne laissent pas indifférent. Le 1er c’est Dai Dark et c’est clairement un ovni. La première impression est évidemment graphique, loin des mangas habituels, j’ai plutôt eu l’impression d’être dans une bande dessinée, à part 3 personnages aux visages un peu ronds et encore quand ils enlèvent leur masque, tout nous éloigne de ce qu’on attend d’un manga. Ensuite il y a l’histoire, un étrange mélange de science-fiction et de comédie avec une touche WTF. Tout sort de l’ordinaire, que ce soit le personnage principal, son équipement, les mondes ou endroits qu’il visite, les personnages secondaires… C’est une aventure spatiale mais impossible de savoir où l’auteur veut nous emmener. Du coup, le manga est assez déstabilisant mais reste en tête. Un début très intéressant en tout cas pour un livre difficile à classer et une auteure surprenante connue en France pour son manga Dorohedoro, un titre déjà très original. Ma note souligne tous ces aspects car dans le genre (et quel genre ?) il est bien réalisé. A noter que le livre a une superbe jaquette transparente qui dévoile une autre facette du personnage une fois enlevée, c’est sans doute la raison également du prix élevé du livre par rapport à son format.
  11. Nickad

    Dai Dark tome 1

    Titre de l'album : Dai Dark tome 1 Scenariste de l'album : Q-HAYASHIDA Dessinateur de l'album : Q-HAYASHIDA Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Sanko Zaha, un ado qui adore les spaghettis, voyage dans les ténèbres de l'espace infini. On raconte que ses os exauceraient n'importe quel souhait. C'est pourquoi les pires malfrats de l'univers veulent lui faire la peau ! Heureusement, toujours accompagné d'Avakian, son fidèle compère, il n'hésitera pas à désosser gaiement tous ses assaillants. Critique : Je vous propose ce soir 2 mangas qui m’ont laissé perplexe, chacun dans son style je suis incapable de dire si j’ai aimé ou non, ce qui est sûr c’est qu’ils ne laissent pas indifférent. Le 1er c’est Dai Dark et c’est clairement un ovni. La première impression est évidemment graphique, loin des mangas habituels, j’ai plutôt eu l’impression d’être dans une bande dessinée, à part 3 personnages aux visages un peu ronds et encore quand ils enlèvent leur masque, tout nous éloigne de ce qu’on attend d’un manga. Ensuite il y a l’histoire, un étrange mélange de science-fiction et de comédie avec une touche WTF. Tout sort de l’ordinaire, que ce soit le personnage principal, son équipement, les mondes ou endroits qu’il visite, les personnages secondaires… C’est une aventure spatiale mais impossible de savoir où l’auteur veut nous emmener. Du coup, le manga est assez déstabilisant mais reste en tête. Un début très intéressant en tout cas pour un livre difficile à classer et une auteure surprenante connue en France pour son manga Dorohedoro, un titre déjà très original. Ma note souligne tous ces aspects car dans le genre (et quel genre ?) il est bien réalisé. A noter que le livre a une superbe jaquette transparente qui dévoile une autre facette du personnage une fois enlevée, c’est sans doute la raison également du prix élevé du livre par rapport à son format. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dai-dark-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Nickad

    Isabella Bird tome 8

    Le manga raconte le voyage de l’exploratrice Isabella Bird au XIXe siècle au Japon, peu de temps après son ouverture au monde. L’auteur est parti de la correspondance d’Isabella à ses amis et famille et a comblé les « trous » avec les connaissances sur le Japon de l’époque. Le personnage suit donc le vrai trajet de la voyageuse, le récit a beaucoup de détails sur la vie des habitants et leurs coutumes, en essayant d’être le plus juste possible, sans tricher sur la réalité : on y découvre donc les mœurs de l’époque mais aussi la méfiance vis-à-vis des étrangers, les situations parfois désastreuses des villages (pauvreté ou maladie) mais également toutes la richesse du pays par ses coutumes, ses plats, ses objets… Dans ce 8eme tome, Isabella et son guide Ito sont à Akita, on leur propose d’assister à un mariage, sauf que le cas de ces fiancés est loin d’être banal, le mariage a été autorisé à contrecœur pour préserver l’honneur de la famille de la mariée. Cela dit, à part l’absence du père, le mariage se déroule selon les coutumes de l’époque. Comme toujours, Ie manga est riche en informations, on y découvre toujours tout un tas d’usages et on est vraiment dépaysés. Isabella observe le monde qui l’entoure avec curiosité mais sans jamais juger, elle essaye de comprendre au mieux. On prend toujours plaisir à l’accompagner dans son périple car il y a un juste équilibre entre la partie aventure de son voyage et la partie culturelle, le récit n’est jamais pompeux, jamais ennuyant. Le graphisme est soigné, les paysages travaillés et pleins de détails, les villes, les costumes respectent bien la période évoquée. Un vrai plaisir.
  13. Titre de l'album : Isabella Bird tome 8 Scenariste de l'album : SASSA Taiga Dessinateur de l'album : SASSA Taiga Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : À Akita, Isabella croise à nouveau la route du Dr Kobayashi, que James Hepburn a chargé d'une mission : veiller sur la santé fragile de l'exploratrice ! Elle apprend que sir Harry Parkes a également négocié avec les autorités pour lui apporter l'aide de la police. Il ne reste qu'un seul obstacle à la découverte d'Ezo : Charles Maries, l'ancien employeur d'Ito, est toujours décidé à récupérer son boy. Mais les deux voyageurs ont réglé leurs différends et sont prêts à tout pour le convaincre d'abandonner... De quoi partir sur de bonnes bases pour finir la traversée de la plus grande île du Japon ! Critique : Le manga raconte le voyage de l’exploratrice Isabella Bird au XIXe siècle au Japon, peu de temps après son ouverture au monde. L’auteur est parti de la correspondance d’Isabella à ses amis et famille et a comblé les « trous » avec les connaissances sur le Japon de l’époque. Le personnage suit donc le vrai trajet de la voyageuse, le récit a beaucoup de détails sur la vie des habitants et leurs coutumes, en essayant d’être le plus juste possible, sans tricher sur la réalité : on y découvre donc les mœurs de l’époque mais aussi la méfiance vis-à-vis des étrangers, les situations parfois désastreuses des villages (pauvreté ou maladie) mais également toutes la richesse du pays par ses coutumes, ses plats, ses objets… Dans ce 8eme tome, Isabella et son guide Ito sont à Akita, on leur propose d’assister à un mariage, sauf que le cas de ces fiancés est loin d’être banal, le mariage a été autorisé à contrecœur pour préserver l’honneur de la famille de la mariée. Cela dit, à part l’absence du père, le mariage se déroule selon les coutumes de l’époque. Comme toujours, Ie manga est riche en informations, on y découvre toujours tout un tas d’usages et on est vraiment dépaysés. Isabella observe le monde qui l’entoure avec curiosité mais sans jamais juger, elle essaye de comprendre au mieux. On prend toujours plaisir à l’accompagner dans son périple car il y a un juste équilibre entre la partie aventure de son voyage et la partie culturelle, le récit n’est jamais pompeux, jamais ennuyant. Le graphisme est soigné, les paysages travaillés et pleins de détails, les villes, les costumes respectent bien la période évoquée. Un vrai plaisir. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/isabella-bird-femme-exploratrice-tome-8?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Nickad

    Pilote sacrifié tome 1

    Pilote sacrifié raconte la création des brigades spéciales de pilotes kamikaze. Le sujet est abordé de façon historique au travers le témoignage de Sasaki Tomoji, le seul pilote à être revenu 9 fois de missions suicidaires. L’histoire commence quand Tomoji est enfant, 6eme d’une famille de 12 enfants, sa famille était modeste et devenir pilote était pour lui un rêve. Recalé à l’armée de terre, il suivit une formation de pilotes dépendante du ministère des communications. Tous les pilotes furent intégrés à l’armée quand la guerre éclata. Ce qui est vraiment intéressant, c’est que toute l’histoire est racontée du point de vue des pilotes, on y apprend qu’ils ont été mis devant le fait accompli et qu’ils n’ont pas eu le choix, on apprend aussi que d’autres choix d’actions était possible pour détruire les bateaux américains mais que la politique avait besoin d’un symbole fort pour la gloire. On ne s’ennuie pas un instant et on a hâte de découvrir ce qui est arrivé à Tomoji et surtout comment il a fait pour revenir de ces raids mortels. Sasaki Tomoji est mort à 92 ans en 2016. La série est en cours et compte 10 tomes pour le moment. Extrait
  15. Titre de l'album : Pilote sacrifié tome 1 Scenariste de l'album : AZUMA Naoki Dessinateur de l'album : KOKAMI Shoji Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Sasaki Tomoji est aviateur à l'école des pilotes de l'armée de terre de Hokota. Ses capacités sont très vite remarquées et il devient pilote d'attaque spéciale dans 4e Corps aérien. La mission qu'il se voit confier consiste à se jeter avec son appareil sur l'ennemi. Il devient un Tokkôhei, plus connu en occident sous le nom de Kamikaze. Découvrez comment Tomoji a pu rentrer vivant à neuf reprises. Critique : Pilote sacrifié raconte la création des brigades spéciales de pilotes kamikaze. Le sujet est abordé de façon historique au travers le témoignage de Sasaki Tomoji, le seul pilote à être revenu 9 fois de missions suicidaires. L’histoire commence quand Tomoji est enfant, 6eme d’une famille de 12 enfants, sa famille était modeste et devenir pilote était pour lui un rêve. Recalé à l’armée de terre, il suivit une formation de pilotes dépendante du ministère des communications. Tous les pilotes furent intégrés à l’armée quand la guerre éclata. Ce qui est vraiment intéressant, c’est que toute l’histoire est racontée du point de vue des pilotes, on y apprend qu’ils ont été mis devant le fait accompli et qu’ils n’ont pas eu le choix, on apprend aussi que d’autres choix d’actions était possible pour détruire les bateaux américains mais que la politique avait besoin d’un symbole fort pour la gloire. On ne s’ennuie pas un instant et on a hâte de découvrir ce qui est arrivé à Tomoji et surtout comment il a fait pour revenir de ces raids mortels. Sasaki Tomoji est mort à 92 ans en 2016. La série est en cours et compte 10 tomes pour le moment. Extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/pilote-sacrifie-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Nickad

    Lost children tome 8

    Dans le monde de Lost Children, la société fonctionne sous un système de castes, Les Gathiya sont tout en bas, certains issus de peuple conquis, ils vivent dans la misère et font les tâches ingrates. Ran est un enfant Gathiya, il se lie d’amitié avec Yuri, un enfant d’une classe supérieure qui a perdu un œil et qui est isolé, qui va lui apprendre à lire. La relation des deux amis n’est pas bien vue par le reste de la ville et quand les rebelles débarquent, les deux enfants décident de s’enfuir. Hélas, ils vont être séparés : Ran, apprenant le drame de sa famille va rejoindre le rang des révolutionnaires et Yuri va se retrouver obligé de tenir le rôle de Kussuf, une sorte de prêtre dans un village isolé de la montagne. Lost chidren est d’abord un manga d’aventures, une lutte de minorité contre un système politique injuste, une lutte contre un tyran qui ne pense qu’à une épuration ethnique et vois tous les autres comme des déchets. C’est l’histoire de deux enfants d’origine différente, qui vont être amené à subir un destin difficile entre violence t sacrifice. Mais c’est aussi une critique sur le comportement des hommes envers ceux qui sont différents. Ce 8eme volume est particulièrement prenant car il voit les retrouvailles de Ran et Yuri mais hélas, le temps a passé et certaines coutumes risquent d’avoir des répercussions néfastes sur leurs avenirs. Si au début de la série, on a un gros retour en arrière sur l’enfance des deux garçons, le rythme de l’histoire est toujours très dynamique, on a toujours une partie sur la vie de Ran, une sur celle de Yuri tout en prenant le temps de s’appesantir sur des personnages secondaires importants à l’histoire. C’est un très bon manga avec des graphismes soignés et un scénario qui ne faiblit pas.
  17. Titre de l'album : Lost children tome 8 Scenariste de l'album : SUMIYAMA Tomomi Dessinateur de l'album : SUMIYAMA Tomomi Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Peut-on prendre les armes et échapper au destin tracé à sa naissance ? Les forces révolutionnaires de Dakhna se trouvent confrontées à une drogue mystérieuse qui fait des ravages dans leur zone d'influence... Pas de doute, c'est l'oeuvre du gouvernement ! Les pistes mènent à la région d'Alhuma, où Ran est donc envoyé pour enquêter. Au village, Harui a compris que les kussuf étaient sacrifiés aux dieux après avoir rempli leur rôle... Elle est prête à tout pour que son ami soit épargné, mais Yuri refuse d'être sauvé. Miné par la culpabilité qui le ronge et se mêle aux hallucinations provoquées par les feuilles d'yssa, il s'évanouit en pleine forêt, où c'est Ran qui le découvre ! Le destin va-t-il enfin permettre aux deux hommes de réparer les erreurs du passé ? Critique : Dans le monde de Lost Children, la société fonctionne sous un système de castes, Les Gathiya sont tout en bas, certains issus de peuple conquis, ils vivent dans la misère et font les tâches ingrates. Ran est un enfant Gathiya, il se lie d’amitié avec Yuri, un enfant d’une classe supérieure qui a perdu un œil et qui est isolé, qui va lui apprendre à lire. La relation des deux amis n’est pas bien vue par le reste de la ville et quand les rebelles débarquent, les deux enfants décident de s’enfuir. Hélas, ils vont être séparés : Ran, apprenant le drame de sa famille va rejoindre le rang des révolutionnaires et Yuri va se retrouver obligé de tenir le rôle de Kussuf, une sorte de prêtre dans un village isolé de la montagne. Lost chidren est d’abord un manga d’aventures, une lutte de minorité contre un système politique injuste, une lutte contre un tyran qui ne pense qu’à une épuration ethnique et vois tous les autres comme des déchets. C’est l’histoire de deux enfants d’origine différente, qui vont être amené à subir un destin difficile entre violence t sacrifice. Mais c’est aussi une critique sur le comportement des hommes envers ceux qui sont différents. Ce 8eme volume est particulièrement prenant car il voit les retrouvailles de Ran et Yuri mais hélas, le temps a passé et certaines coutumes risquent d’avoir des répercussions néfastes sur leurs avenirs. Si au début de la série, on a un gros retour en arrière sur l’enfance des deux garçons, le rythme de l’histoire est toujours très dynamique, on a toujours une partie sur la vie de Ran, une sur celle de Yuri tout en prenant le temps de s’appesantir sur des personnages secondaires importants à l’histoire. C’est un très bon manga avec des graphismes soignés et un scénario qui ne faiblit pas. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/lost-children-tome-8?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Nickad

    Si nous étions adultes... tome 2

    Ayano a juste échangé un baiser mais pour elle, c’est comme si elle avait trompé son mari, elle pense qu’il vaut mieux divorcer. C’est à ce moment qu’arrive sa belle-mère qui leur propose de venir habiter avec elle suite à l’hospitalisation de son mari, Ayano hésite vu la situation. Mais après avoir expliqué la situation à sa belle-mère, cette dernière ne voit pas cela comme une raison de rupture, et son mari ne veut pas non plus divorcer. Contrainte de déménager, elle voit cela comme une bonne raison d’oublier Akari. Sans s’appesantir sur le côté dramatique, l’auteure montre avec simplicité les failles du cœur, la difficulté de mettre des mots sur ce que l’on ressent, la difficulté de prendre des décisions et l’influence des comportements sociétaux sur elles. Il y a le trouble dans lequel se trouve Ayano et il y a ce que son environnement lui dit de faire, sans doute plus pour les apparences que pour son bien-être. Le graphisme n’est pas toujours très détaillé surtout dans les visages, mais l’expression des sentiments passe bien. Une simplicité qui va à l’essentiel et qui fait mouche.
  19. Titre de l'album : Si nous étions adultes... tome 2 Scenariste de l'album : SHIMURA Takako Dessinateur de l'album : SHIMURA Takako Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Depuis le barbecue au parc, il y a comme de l'orage dans l'air entre Ayano et Wataru, son conjoint. C'est dans ce contexte déjà très tendu que débarque à l'improviste la mère de ce dernier. Réalisant le malaise qui s'est installé au sein du couple de son fils, elle cherche à comprendre ce qu'il s'est passé. Mais ses indiscrétions pourraient avoir de lourdes conséquences... Critique : Ayano a juste échangé un baiser mais pour elle, c’est comme si elle avait trompé son mari, elle pense qu’il vaut mieux divorcer. C’est à ce moment qu’arrive sa belle-mère qui leur propose de venir habiter avec elle suite à l’hospitalisation de son mari, Ayano hésite vu la situation. Mais après avoir expliqué la situation à sa belle-mère, cette dernière ne voit pas cela comme une raison de rupture, et son mari ne veut pas non plus divorcer. Contrainte de déménager, elle voit cela comme une bonne raison d’oublier Akari. Sans s’appesantir sur le côté dramatique, l’auteure montre avec simplicité les failles du cœur, la difficulté de mettre des mots sur ce que l’on ressent, la difficulté de prendre des décisions et l’influence des comportements sociétaux sur elles. Il y a le trouble dans lequel se trouve Ayano et il y a ce que son environnement lui dit de faire, sans doute plus pour les apparences que pour son bien-être. Le graphisme n’est pas toujours très détaillé surtout dans les visages, mais l’expression des sentiments passe bien. Une simplicité qui va à l’essentiel et qui fait mouche. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/si-nous-etions-adultes-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Nickad

    Masked sheep tome 1

    Le pitch du manga est assez intriguant pour que je ne fasse pas de résumé, d’ailleurs, j’aurais du mal à le faire sans rien dévoiler, la surprise est plus intéressante ! Le titre du manga signifiant mouton masqué pour ceux qui seraient nuls en anglais, ne vous donnera aucune indication non plus. Omaké est devenu l’éditeur principal des mangas sombres, une certaine horreur qui n’est pas forcément toujours gore. Encore une fois, ce qui se passe dans ce sous-sol a de quoi interpeller, peut-être plus psychologiquement que physiquement et franchement, je ne m’y attendais absolument pas ! L’histoire intrigue, interpelle, nous laisse sur des réflexions. Le graphisme est soigné et l’utilisation des trames accentue le côté glauque de l’endroit. Et une révélation finale que l’on voit arriver mais qui donne envie de poursuivre la lecture. La série est finie en 5 tomes.
  21. Titre de l'album : Masked sheep tome 1 Scenariste de l'album : FUNAKI Kyosuke Dessinateur de l'album : FUNAKI Kyosuke Coloriste : Editeur de l'album : Omaké Note : Résumé de l'album : Si vous parlez, vous êtes mort ! RÉSUMÉ DE L'OEUVRE : L'absence d'un être cher vous rend malade ? Un proche décédé vous manque au point que vous vouliez mourir à votre tour ? Dans ce cas, entrez dans ce bâtiment et descendez au sous-sol. Une personne coiffée d'un étrange masque vous attend et devrait vous aider à trouver une solution à tous vos problèmes. Sa solution ? Chut, quand vous ressortirez, personne ne doit rien savoir... Critique : Le pitch du manga est assez intriguant pour que je ne fasse pas de résumé, d’ailleurs, j’aurais du mal à le faire sans rien dévoiler, la surprise est plus intéressante ! Le titre du manga signifiant mouton masqué pour ceux qui seraient nuls en anglais, ne vous donnera aucune indication non plus. Omaké est devenu l’éditeur principal des mangas sombres, une certaine horreur qui n’est pas forcément toujours gore. Encore une fois, ce qui se passe dans ce sous-sol a de quoi interpeller, peut-être plus psychologiquement que physiquement et franchement, je ne m’y attendais absolument pas ! L’histoire intrigue, interpelle, nous laisse sur des réflexions. Le graphisme est soigné et l’utilisation des trames accentue le côté glauque de l’endroit. Et une révélation finale que l’on voit arriver mais qui donne envie de poursuivre la lecture. La série est finie en 5 tomes. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/masked-sheep-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Nickad

    A Tire-d'Aile

    Adapté d’une nouvelle de Tatsuo HORI, écrivain et poète célèbre au Japon dont l’un de ses titres le vent se lève a inspiré Hayao Miyazaki, le manga est à la fois une réflexion sur les « rêves » des enfants et un hommage au personnage de Zigomar, apparu dans un film français de 1917. Quand je parle de « rêve » il s’agit plus particulièrement de cette capacité qu’ont les enfants à incarner leurs héros, à se projeter dans les aventures des films ou des livres, à vivre leurs jeux et leurs univers à fond. Suite au succès du film Zigomar, roi des voleurs, une bande d’enfants se prête au jeu. Mais quand un drame survient dans la vie de Gigi, il se pourrait bien que ce dernier se laisse un peu trop entrainer dans ce monde imaginaire. Le livre bénéficie d’un graphisme parfait, l’auteur s’est inspiré des illustrations parisiennes d’époque et de l’ambiance particulière des photographies de Brassai, Atget ou Doisneau, il a également tenu à représenter les costumes du début du XXeme siècle. Le résultat est là, on plonge directement dans l’ambiance ! L’agencement des images et la représentation de certaines scènes donnent l’impression d’être pris dans un tourbillon, un peu comme ces enfants qui sont entre réalité et fiction. Quant à l’histoire, ce one shot se suffit à lui-même. Je vous conseille de prendre le temps de lire la postface de l’auteur, c’est intéressant de voir comment la littérature française a laissé sa trace au pays du soleil levant. Un bien beau livre ma foi.
  23. Nickad

    A Tire-d'Aile

    Titre de l'album : A Tire-d'Aile Scenariste de l'album : HORI Tatsuo Dessinateur de l'album : HATOYAMA Ikuko Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : Au début du XXe siècle, le personnage de Zigomar, criminel masqué créé par Léon Sazie, déchaîne les passions et l'imagination des jeunes garçons. Gigi et Kiki sont de ceux-là, tout comme le reste de leur petite bande. Des gamins ordinaires. Mais Gigi est différent : plus fort, plus beau, plus charismatique, il suscite l'admiration et parfois la peur de Kiki, qui tente de le cerner... Critique : Adapté d’une nouvelle de Tatsuo HORI, écrivain et poète célèbre au Japon dont l’un de ses titres le vent se lève a inspiré Hayao Miyazaki, le manga est à la fois une réflexion sur les « rêves » des enfants et un hommage au personnage de Zigomar, apparu dans un film français de 1917. Quand je parle de « rêve » il s’agit plus particulièrement de cette capacité qu’ont les enfants à incarner leurs héros, à se projeter dans les aventures des films ou des livres, à vivre leurs jeux et leurs univers à fond. Suite au succès du film Zigomar, roi des voleurs, une bande d’enfants se prête au jeu. Mais quand un drame survient dans la vie de Gigi, il se pourrait bien que ce dernier se laisse un peu trop entrainer dans ce monde imaginaire. Le livre bénéficie d’un graphisme parfait, l’auteur s’est inspiré des illustrations parisiennes d’époque et de l’ambiance particulière des photographies de Brassai, Atget ou Doisneau, il a également tenu à représenter les costumes du début du XXeme siècle. Le résultat est là, on plonge directement dans l’ambiance ! L’agencement des images et la représentation de certaines scènes donnent l’impression d’être pris dans un tourbillon, un peu comme ces enfants qui sont entre réalité et fiction. Quant à l’histoire, ce one shot se suffit à lui-même. Je vous conseille de prendre le temps de lire la postface de l’auteur, c’est intéressant de voir comment la littérature française a laissé sa trace au pays du soleil levant. Un bien beau livre ma foi. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/a-tire-d-aile-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Nickad

    Le souffle des légendes tome 1

    J’ai lu ce livre le 11 février mais je n’ai pas écrit la critique dans la foulée, j’aime bien, quand j’ai le temps de procéder de cette façon, ça me permet de voir ce qu’il me reste du manga presque 1 mois plus tard. Pour le coup, je suis un peu embêtée, à la lecture le livre ne m’avait pas déplu mais j’avoue qu’il ne m’en reste pas grand-chose et ça ce n’est jamais bon signe… Dans un monde fantastique avec épées et créatures étranges, Lal Viento, chef responsable des archives du Sanctuaire accompagné de son assistante Gilet Kracht parcourent le monde à la recherche de légendes dans le but de démêler les faits de la fiction et d’écrire un nouvel ouvrage historique. Seulement, ils vont être amener à se mêler des problèmes des villes et villages où ils passent et en cherchant les origines des us et coutumes, ils vont aider malgré eux la population. Voici le récit de leurs aventures. Bien obligée de le parcourir une seconde fois… je peux vraiment dire que l’histoire est plutôt sympathique, il y a de l’aventure, du fantastique, des combats… Le livre comporte 3 aventures indépendantes, la dernière est assez tragique et montre en plus les vils côtés de la nature humaine. Il semble qu’il y est peut-être une quête ou un objectif particulier à atteindre pour Lal Viento mais peu d’informations là-dessus pour le moment. Hélas, et je pense que c’est la raison de mon oubli, les personnages ne sont pas attachants et il n’y a pas l’étincelle qui donne envie de savoir la suite à tout prix.
  25. Titre de l'album : Le souffle des légendes tome 1 Scenariste de l'album : HAZUMI Tsukasa Dessinateur de l'album : HAZUMI Tsukasa Coloriste : Editeur de l'album : Komikku Note : Résumé de l'album : Lal Viento et son assistante Gilet Kracht sont deux agents du Sanctuaire. Leur mission : parcourir le monde pour compiler les vieux récits et les légendes de chaque région. Seulement, chaque histoire dissimule son lot de vérités et c'est au duo qu'il revient de faire le tri entre légendes et faits historiques. Critique : J’ai lu ce livre le 11 février mais je n’ai pas écrit la critique dans la foulée, j’aime bien, quand j’ai le temps de procéder de cette façon, ça me permet de voir ce qu’il me reste du manga presque 1 mois plus tard. Pour le coup, je suis un peu embêtée, à la lecture le livre ne m’avait pas déplu mais j’avoue qu’il ne m’en reste pas grand-chose et ça ce n’est jamais bon signe… Dans un monde fantastique avec épées et créatures étranges, Lal Viento, chef responsable des archives du Sanctuaire accompagné de son assistante Gilet Kracht parcourent le monde à la recherche de légendes dans le but de démêler les faits de la fiction et d’écrire un nouvel ouvrage historique. Seulement, ils vont être amener à se mêler des problèmes des villes et villages où ils passent et en cherchant les origines des us et coutumes, ils vont aider malgré eux la population. Voici le récit de leurs aventures. Bien obligée de le parcourir une seconde fois… je peux vraiment dire que l’histoire est plutôt sympathique, il y a de l’aventure, du fantastique, des combats… Le livre comporte 3 aventures indépendantes, la dernière est assez tragique et montre en plus les vils côtés de la nature humaine. Il semble qu’il y est peut-être une quête ou un objectif particulier à atteindre pour Lal Viento mais peu d’informations là-dessus pour le moment. Hélas, et je pense que c’est la raison de mon oubli, les personnages ne sont pas attachants et il n’y a pas l’étincelle qui donne envie de savoir la suite à tout prix. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-souffle-des-legendes-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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