Aller au contenu
  • S’inscrire

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'seinen'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Les forums BD
    • Toute la BD
    • Projets participatifs
    • Petites Annonces BD
    • Liens BD vers ailleurs
  • Et si on parlait d'autre chose que la bande dessinée ?
    • Améliorons 1001BD
    • Films et séries TV
    • 1001 Jeux Video
    • Livres - Musique - Spectacles - Théatre - Musées
    • 1001 choses à dire
  • TEAM

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui contiennent…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


  1. Nickad

    Leviathan tome 1

    Juste avant les fêtes, l'excellent éditeur de mangas Ki-oon (adaptations de Lovecraft en cuir relié entre autres) a commencé à teaser cette couverture intrigante et ce titre : Léviathan, créature monstrueuse des profondeurs utilisée maintes et maintes fois dans des adaptations à toutes les sauces. Sauf qu'il ne s'agit pas d'océan ici, mais bien du vide spatial, et j'ai une petite idée de qui est réellement ce monstre enfoui. D’emblée, nous suivons ces trois pillards de l'espace sentant le bon filon à la découverte de cette immense épave de vaisseau spatial. Les coursives sont explorées au fil de la lecture d'un carnet trouvé sur place par l'un des « explorateurs ». Ce récit d'un des anciens passagers (adolescents en voyage scolaire) doit nous en apprendre plus sur les événements passés. Deux temporalités s'offrent donc à nous. On va suivre plus précisément la vie de cette classe vue par un enfant en particulier. La tension va monter crescendo suite à l'explosion de plusieurs parties du navire. Les portes étanches se ferment, le huis clos peut commencer ! Les réserves d'oxygène en berne avec un compte à rebours fatal, une possible voie de survie avec un seul et unique caisson de cryogénisation. Comment réagir, qui peut survivre et pourquoi ? Une véritable mis en abyme des comportements sociaux du groupe se déroule sous nos yeux. C'est bien ici que (pour moi) le monstre des profondeurs sort et pousse les acteurs à effectuer des actions qu'ils n'auraient jamais entreprises en temps normal. L'auteur s'amuse à dépeindre un effondrement total de cette micro-société . Tout ceci sous les yeux horrifiés des trois pillards se demandant bien dans quelle galère ils sont tombés ! Le dessin se veut plutôt réaliste. On peut observer d'ailleurs des similitudes avec Junji Itô dans la manière de présenter le récit : le fantastique étant un prétexte pour critiquer le comportement humain dans ses pires retranchements. Shiro Kuroi propose un trait élégant "encré », évitant les écueils de mangas type (humour, grosses larmes, caricatures dans les bulles etc.…) dont j'avoue ne pas être trop client. Son découpage est impressionnant avec des jeux d'ombres et de regards assez réalistes et vivants. Le tout dans un format plus grand, afin d'apprécier encore plus son trait. Je grille la politesse à @nickad , une fois n'est pas coutume , car je dois bien avouer avoir dévoré cette lecture et surtout, l'avoir appréciée. Critique réalisée par Kevin Pas grand-chose de plus à ajouter à la critique de Kevin à part que je suis sortie de la lecture en me disant que c’était un excellent tome !! Un manga qui a tout : un style graphique réaliste assez inhabituel (pour un manga) qui donne toutes leurs forces aux expressions des personnages, un récit bien mené qui navigue entre science-fiction, suspens et horreur. Une tension qui monte petit à petit jusqu’à nous laisser affamés : on veut la suite !! L’auteur Shiro KUROI signe ici une création originale, directement publiée en France sans passer par le Japon. S’il travaille dans ce secteur depuis une dizaine d’années, il reconnaît avoir été aussi influencé par la bande dessinée européenne et avoir essayé de faire un rendu proche des cités obscures de Schuiten. La série est prévue en 3 tomes.
  2. Nickad

    Leviathan tome 1

    Titre de l'album : Leviathan tome 1 Scenariste de l'album : KUROI Shiro Dessinateur de l'album : KUROI Shiro Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Au fin fond de la galaxie, le Léviathan, un immense vaisseau spatial, flotte à la dérive. Quand des pilleurs d'épaves s'y introduisent, ils découvrent le journal intime d'un collégien, Kazuma, relatant les événements qui ont eu lieu dans les entrailles du navire... À sa lecture, l'évidence s'impose : un survivant de la catastrophe se cache quelque part dans le dédale des ruines ! Des années plus tôt, le jeune Kazuma est en plein voyage scolaire vers la Terre. La fête tourne court quand des explosions d'origine inconnue détruisent une partie de la coque du vaisseau ! Voilà les passagers immobilisés au milieu de nulle part... L'adolescent et sa camarade Futaba surprennent alors une conversation entre leur professeur et un robot de maintenance : les réserves d'oxygène sont insuffisantes pour tenir jusqu'à l'arrivée des secours... Le seul espoir de survie est un caisson de cryogénisation niché au cœur du géant de métal. Or, il ne peut contenir qu'une personne... Malheureusement pour les élèves, l'enseignant comprend vite qu'il a été entendu. C'est le début d'une lutte sanglante pour préserver le secret ! Dans un décor angoissant dépeint avec une minutie extrême, Léviathan nous emporte dans un voyage au bout de l'enfer. Comment garder son humanité dans l'étendue glacée de l'espace ? Critique : Juste avant les fêtes, l'excellent éditeur de mangas Ki-oon (adaptations de Lovecraft en cuir relié entre autres) a commencé à teaser cette couverture intrigante et ce titre : Léviathan, créature monstrueuse des profondeurs utilisée maintes et maintes fois dans des adaptations à toutes les sauces. Sauf qu'il ne s'agit pas d'océan ici, mais bien du vide spatial, et j'ai une petite idée de qui est réellement ce monstre enfoui. D’emblée, nous suivons ces trois pillards de l'espace sentant le bon filon à la découverte de cette immense épave de vaisseau spatial. Les coursives sont explorées au fil de la lecture d'un carnet trouvé sur place par l'un des « explorateurs ». Ce récit d'un des anciens passagers (adolescents en voyage scolaire) doit nous en apprendre plus sur les événements passés. Deux temporalités s'offrent donc à nous. On va suivre plus précisément la vie de cette classe vue par un enfant en particulier. La tension va monter crescendo suite à l'explosion de plusieurs parties du navire. Les portes étanches se ferment, le huis clos peut commencer ! Les réserves d'oxygène en berne avec un compte à rebours fatal, une possible voie de survie avec un seul et unique caisson de cryogénisation. Comment réagir, qui peut survivre et pourquoi ? Une véritable mis en abyme des comportements sociaux du groupe se déroule sous nos yeux. C'est bien ici que (pour moi) le monstre des profondeurs sort et pousse les acteurs à effectuer des actions qu'ils n'auraient jamais entreprises en temps normal. L'auteur s'amuse à dépeindre un effondrement total de cette micro-société . Tout ceci sous les yeux horrifiés des trois pillards se demandant bien dans quelle galère ils sont tombés ! Le dessin se veut plutôt réaliste. On peut observer d'ailleurs des similitudes avec Junji Itô dans la manière de présenter le récit : le fantastique étant un prétexte pour critiquer le comportement humain dans ses pires retranchements. Shiro Kuroi propose un trait élégant "encré », évitant les écueils de mangas type (humour, grosses larmes, caricatures dans les bulles etc.…) dont j'avoue ne pas être trop client. Son découpage est impressionnant avec des jeux d'ombres et de regards assez réalistes et vivants. Le tout dans un format plus grand, afin d'apprécier encore plus son trait. Je grille la politesse à @nickad , une fois n'est pas coutume , car je dois bien avouer avoir dévoré cette lecture et surtout, l'avoir appréciée. Critique réalisée par Kevin Pas grand-chose de plus à ajouter à la critique de Kevin à part que je suis sortie de la lecture en me disant que c’était un excellent tome !! Un manga qui a tout : un style graphique réaliste assez inhabituel (pour un manga) qui donne toutes leurs forces aux expressions des personnages, un récit bien mené qui navigue entre science-fiction, suspens et horreur. Une tension qui monte petit à petit jusqu’à nous laisser affamés : on veut la suite !! L’auteur Shiro KUROI signe ici une création originale, directement publiée en France sans passer par le Japon. S’il travaille dans ce secteur depuis une dizaine d’années, il reconnaît avoir été aussi influencé par la bande dessinée européenne et avoir essayé de faire un rendu proche des cités obscures de Schuiten. La série est prévue en 3 tomes. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/leviathan-tome-1-203910?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Nickad

    La divine comédie

    Le manga est l’adaptation de l’œuvre de Dante qui se compose de 3 parties de 33 poèmes plus 1 poème d’introduction : l’enfer, le purgatoire et le paradis tels qu’ils étaient vus au Moyen-âge. Si l’œuvre originale proposait un équilibre entre les 3, le manga fait la part belle à l’enfer, peut-être parce que c’est plus parlant avec des descriptions concrètes des péchés et des punitions. En comparaison, le purgatoire et le paradis, tel que Dante les présente, sont plus axés sur la théologie avec un aspect plus spirituel. Concernant l’histoire, on ne va pas faire un débat sur le contenu, il faut bien comprendre que c’est une vision ancienne à l’époque où le catholicisme est dominant et en pleine Inquisition. Sur l’adaptation, le manga est une version simplifiée de l’œuvre qui a le mérite d’en montrer les grandes lignes : on retrouve bien les différentes parties, des exemples concrets de pécheurs et les idées importantes. Rappelons que la Divine comédie se voulait être une sorte de guide pour remettre les hommes dans le droit chemin, c’est-à-dire celui qui mène à Dieu. Le manga permet de se faire une idée assez juste et assez compréhensible de l’original, il manque peut-être quelques explications sur la symbolique de telle créature ou personnage qui permettrait de mieux comprendre les allégories. La partie graphique est correcte, comme tous les autres livres de la collection classique, ce n’est pas le point fort car ce n’est pas non plus l’objectif : le but étant de faire connaître les classiques de la littérature en les rendant plus accessibles. Pour information, il existe une autre adaptation manga de la divine comédie réalisée par Gô NAGAI (Goldorak) en 3 volumes, plus complète et plus graphique mais qui se concentre également sur la partie des enfers (2 tomes sur 3).
  4. Nickad

    La divine comédie

    Titre de l'album : La divine comédie Scenariste de l'album : DANTE Alighieri Dessinateur de l'album : Variety Artworks Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Brûlant d'un amour sans retour pour Béatrice, Dante perd toute volonté de vivre au décès de celle-ci. Soudain, il s'aperçoit qu'il erre dans une bien sombre forêt. Il y rencontre Virgile, le poète de la Rome Antique, et pour trouver sa voie, décide de voyager avec lui à travers les divers "royaumes de l'après-vie". Critique : Le manga est l’adaptation de l’œuvre de Dante qui se compose de 3 parties de 33 poèmes plus 1 poème d’introduction : l’enfer, le purgatoire et le paradis tels qu’ils étaient vus au Moyen-âge. Si l’œuvre originale proposait un équilibre entre les 3, le manga fait la part belle à l’enfer, peut-être parce que c’est plus parlant avec des descriptions concrètes des péchés et des punitions. En comparaison, le purgatoire et le paradis, tel que Dante les présente, sont plus axés sur la théologie avec un aspect plus spirituel. Concernant l’histoire, on ne va pas faire un débat sur le contenu, il faut bien comprendre que c’est une vision ancienne à l’époque où le catholicisme est dominant et en pleine Inquisition. Sur l’adaptation, le manga est une version simplifiée de l’œuvre qui a le mérite d’en montrer les grandes lignes : on retrouve bien les différentes parties, des exemples concrets de pécheurs et les idées importantes. Rappelons que la Divine comédie se voulait être une sorte de guide pour remettre les hommes dans le droit chemin, c’est-à-dire celui qui mène à Dieu. Le manga permet de se faire une idée assez juste et assez compréhensible de l’original, il manque peut-être quelques explications sur la symbolique de telle créature ou personnage qui permettrait de mieux comprendre les allégories. La partie graphique est correcte, comme tous les autres livres de la collection classique, ce n’est pas le point fort car ce n’est pas non plus l’objectif : le but étant de faire connaître les classiques de la littérature en les rendant plus accessibles. Pour information, il existe une autre adaptation manga de la divine comédie réalisée par Gô NAGAI (Goldorak) en 3 volumes, plus complète et plus graphique mais qui se concentre également sur la partie des enfers (2 tomes sur 3). Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/divine-comedie?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. poseidon2

    Gannibal t1

    Voilà bien un manga que je ne pensais vraiment pas aimer. C'est con hein de se dire qu'on critique un manga qu'on n'aime pas ? Je suis d'accord mais j'aime donner sa chance à des premiers tomes et sur celui-ci j'ai vraiment bien fait. Là où ce tome 1 a été étonnant c'est qu'il ne cache pas cette histoire de cannibale. Nous ne sommes pas dans une enquête sur la possibilité de cannibalisme. On est plus dans un survival angoissant. ON comprend très bien comment a disparu le précèdent policier mais, tout comme notre héros, on espère qu'il ne lui arrivera pas la même chose ! Ce qui est très bien rendu c'est la pression mise sur le policier dès qu'il débarque en ville et l'impression que les villageois maîtrisent tout et que notre héros est complètement perdu. On part quasiment tout de suite avec le sentiment qu'il ne peut pas s'en sortir.... et on suit donc cette lutte pour la survie de notre famille en dévorant les pages pour voir ce qu'il va se passer. Il faut spécifier aussi que plutôt que de faire du gore absolu, notre auteur préfère laisser imaginer les détails des scènes et mettre l'accent sur des traits sombres et une ambiance lourde. Pile poil ce qu'il me faut : pas trop de visuel, pas trop de sadisme (ca je n’aime pas du tout) mais une vraie ambiance pesante. L'excellente surprise de ces vacances.... à ne pas mettre entre toutes les mains non plus !
  6. poseidon2

    Gannibal t1

    Titre de l'album : Gannibal t1 Scenariste de l'album : Masaaki Ninomiya Dessinateur de l'album : Masaaki Ninomiya Coloriste : Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : "Les habitants de ce village sont cannibales."Daigo Agawa, policier de son état, a été détaché à Kuge, un village de montagne reculé. Bien que la communauté l'accueille chaleureusement lui et sa famille, la mort d'une vieille villageoise fait jaillir des doutes quant à la normalité de ce lieu...Une série d'évènements étranges, le sentiment d'exclusion, une tension permanente... Découvrez tous les tourments de ce village empreint d'ostracisme, dans un thriller riche en suspense. Critique : Voilà bien un manga que je ne pensais vraiment pas aimer. C'est con hein de se dire qu'on critique un manga qu'on n'aime pas ? Je suis d'accord mais j'aime donner sa chance à des premiers tomes et sur celui-ci j'ai vraiment bien fait. Là où ce tome 1 a été étonnant c'est qu'il ne cache pas cette histoire de cannibale. Nous ne sommes pas dans une enquête sur la possibilité de cannibalisme. On est plus dans un survival angoissant. ON comprend très bien comment a disparu le précèdent policier mais, tout comme notre héros, on espère qu'il ne lui arrivera pas la même chose ! Ce qui est très bien rendu c'est la pression mise sur le policier dès qu'il débarque en ville et l'impression que les villageois maîtrisent tout et que notre héros est complètement perdu. On part quasiment tout de suite avec le sentiment qu'il ne peut pas s'en sortir.... et on suit donc cette lutte pour la survie de notre famille en dévorant les pages pour voir ce qu'il va se passer. Il faut spécifier aussi que plutôt que de faire du gore absolu, notre auteur préfère laisser imaginer les détails des scènes et mettre l'accent sur des traits sombres et une ambiance lourde. Pile poil ce qu'il me faut : pas trop de visuel, pas trop de sadisme (ca je n’aime pas du tout) mais une vraie ambiance pesante. L'excellente surprise de ces vacances.... à ne pas mettre entre toutes les mains non plus ! Autres infos : Editions Meian Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/gannibal-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Nickad

    Quand sonne la tempête tome 3

    Sakai et le docteur Kadono sont sur le point de trouver « le lieutenant » mais ce dernier est rusé et leur file entre les doigts non sans avoir compris la situation et essayé de pousser Sakai à éliminer le docteur. Ce dernier semble bien décidé à ne plus se laisser manipuler et décide d’aller fouiller un peu pour comprendre la situation. Le manga est toujours aussi bon, non seulement, il ne manque pas d’action ni de rebondissements mais il est impossible de prédire quelle sera l’issue et comment les choses vont tourner. Le scenario est cohérent, sans temps mort, on est vraiment pris dans cette tempête à chaque fois du début à la fin du livre et on a vraiment hâte de lire la suite. Un très bon thriller.
  8. Titre de l'album : Quand sonne la tempête tome 3 Scenariste de l'album : ENJOJI Masaki Dessinateur de l'album : ENJOJI Masaki Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Shohei en a assez de n'être qu'une marionnette... Mais sa tentative pour essayer de prouver la culpabilité du lieutenant a lamentablement échoué. Pire même, le docteur Kadono semble désormais en danger... Les deux hommes n'ont pas d'autre choix que de s'enfuir pour réfléchir à un nouveau plan. À moins qu'il ne soit trop tard et que leur «ennemi» ne leur échappe pour de bon ? Critique : Sakai et le docteur Kadono sont sur le point de trouver « le lieutenant » mais ce dernier est rusé et leur file entre les doigts non sans avoir compris la situation et essayé de pousser Sakai à éliminer le docteur. Ce dernier semble bien décidé à ne plus se laisser manipuler et décide d’aller fouiller un peu pour comprendre la situation. Le manga est toujours aussi bon, non seulement, il ne manque pas d’action ni de rebondissements mais il est impossible de prédire quelle sera l’issue et comment les choses vont tourner. Le scenario est cohérent, sans temps mort, on est vraiment pris dans cette tempête à chaque fois du début à la fin du livre et on a vraiment hâte de lire la suite. Un très bon thriller. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/quand-sonne-la-tempete-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Nickad

    Jörmungand tome 11 (fin)

    Koko a enfin expliqué ce qu’était le Jörmungand, un dispositif de contrôle des voies de transports via un réseau de satellites. Son premier objectif est d’éliminer tout trafic du ciel, retour en 1910, 700 000 personnes seront alors sacrifiées. Le seul à réagir à cette annonce est Jonah, il menace Koko, quelle décision va-t-il prendre ? Voici la conclusion de la série, une fin en demi-teinte comme le reste du manga d’ailleurs. Le sujet principal « une marchande d’armes qui cherche à apporter la paix dans le monde » est original mais le traitement est parfois décousu, dans chacun des tomes, on suit la vie d’un des membres de l’équipe et on n’a que des bribes de l’intrigue principale. C’est bien, car l’auteur a créé un univers et une personnalité pour chacun des personnages mais en même temps, cela laisse une impression de survol de l’histoire, les scènes s’enchainent comme elles peuvent, on passe de l’un à l’autre mais on ne s’implique pas vraiment, c’est à peine si je me rappelle des noms des membres de l’équipe… Il manque indéniablement quelque chose dans le déroulé, ou dans la façon de raconter ; le manga propose des combats bien menés, une réflexion sur la guerre et le trafic d’armes, et il a le mérite d’apporter une solution, discutable cela-dit. Peut-être que son adaptation en anime est plus percutante… C’est un manga correct mais pas prenant.
  10. Titre de l'album : Jörmungand tome 11 (fin) Scenariste de l'album : TAKAHASHI Keitarô Dessinateur de l'album : TAKAHASHI Keitarô Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Koko réussit à titiller la NSA, et continue de rassembler les pièces nécessaires à l'actionnement du Jormungand. Mais lorsque Jonah apprit que cela impliquait le sacrifice de milliers de vies humaines, il sortit son arme et la pointa sur Koko... Critique : Koko a enfin expliqué ce qu’était le Jörmungand, un dispositif de contrôle des voies de transports via un réseau de satellites. Son premier objectif est d’éliminer tout trafic du ciel, retour en 1910, 700 000 personnes seront alors sacrifiées. Le seul à réagir à cette annonce est Jonah, il menace Koko, quelle décision va-t-il prendre ? Voici la conclusion de la série, une fin en demi-teinte comme le reste du manga d’ailleurs. Le sujet principal « une marchande d’armes qui cherche à apporter la paix dans le monde » est original mais le traitement est parfois décousu, dans chacun des tomes, on suit la vie d’un des membres de l’équipe et on n’a que des bribes de l’intrigue principale. C’est bien, car l’auteur a créé un univers et une personnalité pour chacun des personnages mais en même temps, cela laisse une impression de survol de l’histoire, les scènes s’enchainent comme elles peuvent, on passe de l’un à l’autre mais on ne s’implique pas vraiment, c’est à peine si je me rappelle des noms des membres de l’équipe… Il manque indéniablement quelque chose dans le déroulé, ou dans la façon de raconter ; le manga propose des combats bien menés, une réflexion sur la guerre et le trafic d’armes, et il a le mérite d’apporter une solution, discutable cela-dit. Peut-être que son adaptation en anime est plus percutante… C’est un manga correct mais pas prenant. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/jormungand-tome-11?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Nickad

    Sexy cosplay doll tome 6

    Marine et Gojo se promène à l’aquarium en tenue de cosplay pour faire des photos, ils rencontrent une jeune cosplayeuse Amane Himeno et l’aide à raccommoder sa tenue. Ils découvrent qu’il s’agit en fait d’un garçon qui interprète des personnages féminins. Loin d’être dégoutés, il l’assaille de questions sur ses techniques de maquillage, les endroits où il achète ses tenues et accessoires. La deuxième partie du livre est plus technique et se consacre à l’élaboration d’un corset en donnant des astuces pour ceux qui voudraient se lancer dans une telle création. Peu d’avancée dans leur relation de couple, enfin de futur couple car il apparaît évident que c’est ce qui arrivera à un moment. Par contre, le passage avec Himeno est clairement l’intérêt principal de ce volume, en plus de montrer un garçon qui se déguise en fille, sans être pour autant gay, il explique ce qui l’a amené à faire ce genre de cosplay, comment son entourage l’a pris, comment se passe les relations avec les filles et si elle l’accepte. Le reste du livre n’est pas désagréable mais a un intérêt modéré.
  12. Titre de l'album : Sexy cosplay doll tome 6 Scenariste de l'album : FUKUDA Shinichi Dessinateur de l'album : FUKUDA Shinichi Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Wakana Gojo est un lycéen solitaire. Son rêve est de devenir artisan et de fabriquer les poupées traditionnelles pour le Hina Matsuri. Mais comme cette passion n'est pas très virile, il la cache et ne se fait pas remarquer. Jusqu'au jour ou Marine Kitagawa, la fille la plus populaire du lycée, le voit se servir d'une machine à coudre ! Contre toute attente elle lui demande de devenir son couturier pour réaliser... des tenues de cosplay ! Critique : Marine et Gojo se promène à l’aquarium en tenue de cosplay pour faire des photos, ils rencontrent une jeune cosplayeuse Amane Himeno et l’aide à raccommoder sa tenue. Ils découvrent qu’il s’agit en fait d’un garçon qui interprète des personnages féminins. Loin d’être dégoutés, il l’assaille de questions sur ses techniques de maquillage, les endroits où il achète ses tenues et accessoires. La deuxième partie du livre est plus technique et se consacre à l’élaboration d’un corset en donnant des astuces pour ceux qui voudraient se lancer dans une telle création. Peu d’avancée dans leur relation de couple, enfin de futur couple car il apparaît évident que c’est ce qui arrivera à un moment. Par contre, le passage avec Himeno est clairement l’intérêt principal de ce volume, en plus de montrer un garçon qui se déguise en fille, sans être pour autant gay, il explique ce qui l’a amené à faire ce genre de cosplay, comment son entourage l’a pris, comment se passe les relations avec les filles et si elle l’accepte. Le reste du livre n’est pas désagréable mais a un intérêt modéré. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sexy-cosplay-doll-tome-6?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Nickad

    Anti romance tome 1

    Ryô et Suô vivent ensemble depuis 6 ans, cohabitent plutôt car ils n’ont pas de relations intimes. Ils sont amis depuis l’école et ont choisi de partager un appartement par commodité. Mais leur entourage leur fait comprendre qu’une cohabitation aussi longue est inhabituelle et se pose des questions sur la vraie nature de leur relation. Le défaut et la qualité de ce manga sont les mêmes : l’auteur prend son temps dans le développement de l’intrigue. Défaut, car on peut y ressentir quelques longueurs avec le risque de rester spectateur. Qualité, car on apprend à connaître les personnages, leur quotidien, leurs pensées et leurs sentiments. Anti-romance est une œuvre intimiste, introspective même, les personnages sont à un tournant de leurs relations sans s’en rendre compte au début, ce sont les remarques de leur entourage qui leur font comprendre que leur situation n’est pas courante et les poussent à y réfléchir. Le manga bénéficie d’un graphisme élégant, précis, le sujet est original. On voit que l’auteur prend son temps pour l’écrire (il a fallu 5 ans pour que ce tome soit achevé !). Espérons que la suite ne tombe pas dans le yaoi classique et garde cette approche particulière.
  14. Titre de l'album : Anti romance tome 1 Scenariste de l'album : HIDAKA Shoko Dessinateur de l'album : HIDAKA Shoko Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Ryô et Suô ont toujours été amis. Depuis six ans, ils vivent en colocation dans un appartement de Tôkyô, un peu par convention, semble-t-il, bien que leur entourage se pose de nombreuses questions sur leur relation. Toujours vissés l'un à l'autre, ils n'ont pourtant pas l'intention de démêler leurs sentiments. Mais les non-dits et la jalousie maladive ne peuvent pas s'accumuler sans qu'un jour, tout finisse par exploser... Critique : Ryô et Suô vivent ensemble depuis 6 ans, cohabitent plutôt car ils n’ont pas de relations intimes. Ils sont amis depuis l’école et ont choisi de partager un appartement par commodité. Mais leur entourage leur fait comprendre qu’une cohabitation aussi longue est inhabituelle et se pose des questions sur la vraie nature de leur relation. Le défaut et la qualité de ce manga sont les mêmes : l’auteur prend son temps dans le développement de l’intrigue. Défaut, car on peut y ressentir quelques longueurs avec le risque de rester spectateur. Qualité, car on apprend à connaître les personnages, leur quotidien, leurs pensées et leurs sentiments. Anti-romance est une œuvre intimiste, introspective même, les personnages sont à un tournant de leurs relations sans s’en rendre compte au début, ce sont les remarques de leur entourage qui leur font comprendre que leur situation n’est pas courante et les poussent à y réfléchir. Le manga bénéficie d’un graphisme élégant, précis, le sujet est original. On voit que l’auteur prend son temps pour l’écrire (il a fallu 5 ans pour que ce tome soit achevé !). Espérons que la suite ne tombe pas dans le yaoi classique et garde cette approche particulière. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/anti-romance-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Nickad

    Sans complexe tome 1

    Tsubomi est une jeune fille qui vient de finir le lycée, elle ne poursuit pas ses études et se lance dans la vie active, comme « freeters » : un jeune renonçant aux études et vivant de petits boulots. Elle n’a pas d’ambition, fuit devant les difficultés, se laisse aller : ni envie et ni objectif. Elle pense d’elle-même qu’elle est mal barrée mais ne fait rien pour changer les choses. Les rencontres qu’elle va faire dans le cadre de son boulot vont-elles lui ouvrir de nouvelles perspectives ? Dans ce livre, on nous montre une arrivée à l’âge adulte sans vraiment savoir où aller, comme beaucoup de jeunes Tsubomi finit le lycée sans avoir de projet bien défini et prend les choses comme elle viennent. Elle va faire des rencontres dans le cadre de son travail : des collègues, des clients, qui peu à peu vont lui permettre d’avancer. Parfois, il suffit d’un petit rien pour que le déclic se fasse ! Sans complexe est un manga particulièrement humain, qui met en scène des personnages du quotidien, des gens quelconques qui vont apprendre à faire de leur mieux et prendre leur vie en main. Il y a une grande diversité de visages et de caractères, sans cliché, une certaine justesse dans les choix graphiques. Un premier tome intéressant sans pour autant être captivant. Il faudra attendre la suite pour ce faire une idée plus précise. Série finie en 3 tomes. Extrait ici
  16. Titre de l'album : Sans complexe tome 1 Scenariste de l'album : IKUEMI Ryo Dessinateur de l'album : IKUEMI Ryo Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Tsubomi vient de finir le lycée, mais contrairement à la plupart de ses camarades, pour elle, les études s'achèvent ici ! Sans passer par la case université, elle commence à travailler à temps partiel dans un vidéoclub de quartier... tout en squattant chez ses parents. Sans avenir, sans rêve, elle prend le quotidien comme il vient, tandis que sa cousine, de son côté, commence une carrière dans l’entertainment. En comparaison, Tsubomi se trouve bien ordinaire. Mais quand, au travail, elle rencontre Shiro et Nasukawa, le propriétaire d’un petit restaurant, la jeune femme complexée décide de se prendre en main. Cependant, la route est longue pour s'accepter... Critique : Tsubomi est une jeune fille qui vient de finir le lycée, elle ne poursuit pas ses études et se lance dans la vie active, comme « freeters » : un jeune renonçant aux études et vivant de petits boulots. Elle n’a pas d’ambition, fuit devant les difficultés, se laisse aller : ni envie et ni objectif. Elle pense d’elle-même qu’elle est mal barrée mais ne fait rien pour changer les choses. Les rencontres qu’elle va faire dans le cadre de son boulot vont-elles lui ouvrir de nouvelles perspectives ? Dans ce livre, on nous montre une arrivée à l’âge adulte sans vraiment savoir où aller, comme beaucoup de jeunes Tsubomi finit le lycée sans avoir de projet bien défini et prend les choses comme elle viennent. Elle va faire des rencontres dans le cadre de son travail : des collègues, des clients, qui peu à peu vont lui permettre d’avancer. Parfois, il suffit d’un petit rien pour que le déclic se fasse ! Sans complexe est un manga particulièrement humain, qui met en scène des personnages du quotidien, des gens quelconques qui vont apprendre à faire de leur mieux et prendre leur vie en main. Il y a une grande diversité de visages et de caractères, sans cliché, une certaine justesse dans les choix graphiques. Un premier tome intéressant sans pour autant être captivant. Il faudra attendre la suite pour ce faire une idée plus précise. Série finie en 3 tomes. Extrait ici Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sans-complexe-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. jusqu’à
    C’est le 3 février prochain que la talentueuse Daruma MATSUURA (Kasane – La Voleuse de visage) reviendra enchanter vos lectures avec la sortie du volume 1 de La Danse du soleil et de la lune ! En attendant de plonger dans cette magnifique histoire d’amour, Ki-oon vous propose une première immersion avec un bel extrait ainsi qu'un trailer de ce conte surnaturel fascinant… L’autrice y trace le destin d’un samouraï sans sabre dans un monde où légendes et réalité s’entremêlent à merveille.
  18. Nous voici de retour dans le monde de shy-high survival, cette suite se passe après la série principale, mais on ne sait pas combien de temps après. Senya, un lycéen se retrouve un jour propulsé dans ce monde, il y a toujours les masqués, mais cette fois, certaines armes trouvées sur place sont accompagnées de « cloud » : des formes d’intelligence qui intègrent le cerveau pour y apporter informations et pouvoirs. Si graphiquement l’univers est le même, les règles semblent avoir changées. Pour Senya et les autres humains transportés, l’objectif premier est la survie. C’est pour les masqués que cela change : une grande majorité d’entre eux semblent obéir à une prêtresse dont l’objectif est d’emmagasiner le plus possible de désespoir. Ils poussent les gens à avoir peur jusqu’à ce qu’ils meurent. Le désespoir serait l’énergie nécessaire à faire fonctionner un ascenseur spatial pour accéder à un autre monde. Les bases de cette suite étant posées, qu’en est-il exactement de l’intérêt ? Ce que je recherchais avant tout, c’était d’avoir une vraie conclusion à la 1ere série, les personnages avaient réussi leur combat mais on ne savait pas ce qu’ils devenaient. Les 3 premiers tomes de cette suite sont surtout des rencontres et des combats. Ce n’est que dans le 4eme, que les liens se précisent, les noms des personnages précédents réapparaissent mais pas sous la forme qu’on leur connaissait. Il y a à la fois une grande confusion sur ce qui s’est passé entre les 2 séries et en même temps une réflexion plus poussée sur certains aspects. En tout cas, les pièces du puzzle commencent à s’assembler. J’espère cette fois, qu’on aura une vraie conclusion. Série finie en 7 tomes. J’ai mis 3.5 pour ce tome qui apporte enfin des indications, sinon le début de la série est noté 3.
  19. Titre de l'album : Sky-high survival - next level tome 4 Scenariste de l'album : MIURA Tsuina Dessinateur de l'album : OBA Takahiro Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Un jour, alors qu’il est sur le toit de son école, Senya, voit une sorte de tour apparaître dans le ciel, puis se retrouve dans un autre monde composé de hauts bâtiments reliés entre eux par des ponts suspendus. L’instant d’après, le jeune homme voit une femme se jeter dans le vide, puis un homme masqué, armé d’une lance, qui se dirige vers lui. Critique : Nous voici de retour dans le monde de shy-high survival, cette suite se passe après la série principale, mais on ne sait pas combien de temps après. Senya, un lycéen se retrouve un jour propulsé dans ce monde, il y a toujours les masqués, mais cette fois, certaines armes trouvées sur place sont accompagnées de « cloud » : des formes d’intelligence qui intègrent le cerveau pour y apporter informations et pouvoirs. Si graphiquement l’univers est le même, les règles semblent avoir changées. Pour Senya et les autres humains transportés, l’objectif premier est la survie. C’est pour les masqués que cela change : une grande majorité d’entre eux semblent obéir à une prêtresse dont l’objectif est d’emmagasiner le plus possible de désespoir. Ils poussent les gens à avoir peur jusqu’à ce qu’ils meurent. Le désespoir serait l’énergie nécessaire à faire fonctionner un ascenseur spatial pour accéder à un autre monde. Les bases de cette suite étant posées, qu’en est-il exactement de l’intérêt ? Ce que je recherchais avant tout, c’était d’avoir une vraie conclusion à la 1ere série, les personnages avaient réussi leur combat mais on ne savait pas ce qu’ils devenaient. Les 3 premiers tomes de cette suite sont surtout des rencontres et des combats. Ce n’est que dans le 4eme, que les liens se précisent, les noms des personnages précédents réapparaissent mais pas sous la forme qu’on leur connaissait. Il y a à la fois une grande confusion sur ce qui s’est passé entre les 2 séries et en même temps une réflexion plus poussée sur certains aspects. En tout cas, les pièces du puzzle commencent à s’assembler. J’espère cette fois, qu’on aura une vraie conclusion. Série finie en 7 tomes. J’ai mis 3.5 pour ce tome qui apporte enfin des indications, sinon le début de la série est noté 3. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sky-high-survival-next-level-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Nickad

    & (and) tome 5

    Shiro s’est montré maladroit, il n’a pas su dire ce qu’il pensait vraiment et a mis Kaoru au pied du mur. La jeune fille pensant qu’elle ne fait pas assez d’efforts se lance encore plus dans le travail et décide de suivre une formation d’assistante médicale. Le docteur Yagai regarde ça avec un léger agacement, est-ce parce qu’il voit qu’elle est débordée et s’inquiète pour elle ? Ou est-ce parce qu’elle sera plus en contact avec les médecins dont certains n’ont pas toujours les mains dans les poches ? C’est toujours avec élégance et sans préjugés que Mari Okazaki suit ses personnages, elle sait les mettre en scène avec une certaine pudeur (même dans les moments plus intimes), son histoire s’écoule comme une rivière en montagne, parfois calmement, parfois chahutée. Il y a des instants de grâce sublimés par le trait délicat de l’auteur. Et puis il y a les incertitudes, les doutes des personnages, leur recherche pour trouver une place auprès de ceux qu’ils aiment, la vie tout simplement. Un manga beau et sensible.
  21. Nickad

    & (and) tome 5

    Titre de l'album : & (and) tome 5 Scenariste de l'album : OKAZAKI Mari Dessinateur de l'album : OKAZAKI Mari Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Une employée administrative dans un hôpital décide d’accomplir son rêve et de démarrer une activité professionnelle parallèle. Elle veut ouvrir un salon de manucure qui n’ouvre que le soir, pour les femmes actives qui veulent rester coquettes. Mais se lancer comme indépendante n’est pas une mince affaire, surtout quand les autres, et surtout les hommes, tentent de vous décourager jugeant l’entreprise trop compliquée pour “une petite femme inexpérimentée”. Pourtant, elle va s’accrocher et, petit à petit, trouver sa place dans ce monde fort différent de l’univers des employés de bureau. Critique : Shiro s’est montré maladroit, il n’a pas su dire ce qu’il pensait vraiment et a mis Kaoru au pied du mur. La jeune fille pensant qu’elle ne fait pas assez d’efforts se lance encore plus dans le travail et décide de suivre une formation d’assistante médicale. Le docteur Yagai regarde ça avec un léger agacement, est-ce parce qu’il voit qu’elle est débordée et s’inquiète pour elle ? Ou est-ce parce qu’elle sera plus en contact avec les médecins dont certains n’ont pas toujours les mains dans les poches ? C’est toujours avec élégance et sans préjugés que Mari Okazaki suit ses personnages, elle sait les mettre en scène avec une certaine pudeur (même dans les moments plus intimes), son histoire s’écoule comme une rivière en montagne, parfois calmement, parfois chahutée. Il y a des instants de grâce sublimés par le trait délicat de l’auteur. Et puis il y a les incertitudes, les doutes des personnages, leur recherche pour trouver une place auprès de ceux qu’ils aiment, la vie tout simplement. Un manga beau et sensible. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/and-by-mari-okazaki-tome-5?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Nickad

    Silver wolf - blood bone tome 14

    Hans Vahpet est un ancien « silver wolf », unité de combat qui a exterminé la race des vampires. Depuis, il est à la retraite. Mais un jour, il est demandé pour enquêter sur de mystérieux meurtres. Au fur et à mesure de ses recherches, il va se rendre compte que le meurtrier est en fait un monstre nommé « Grim » qui commande une armée de créatures désosseuses prêtes à tout pour exterminer les humains. Ce 14eme tome est particulier puisque l’on en apprend plus sur le passé des personnages, et que chacun va évoluer pour vaincre son adversaire. Silver Wolf, c’est un manga dans lequel les « monstres » ne représentent ni le mal ni le bien. Chaque espèce a son histoire, ses particularités, ses héros et ses méchants, et un but qui est de protéger et de faire perdurer leur race et être reconnu comme être vivant. Plus qu’une simple histoire de combat inter-espèces, ce manga est avant tout une façon de se battre contre l’inacceptable, puisqu’humains et vampires vont s’allier face aux atrocités de Grim. Durant ces 14 premiers 14 tomes (sur une série finie en 16 tomes), il n’y a pas de temps mort, chaque tome étant plus puissant que le précédent. Les personnages sont attachants, l’histoire captivante : rien à redire là-dessus. Quant au graphisme, il est dynamique, légèrement violent de temps en temps et nous plonge bien dans l’ambiance du manga. Critique réalisée par ma fille qui tenait absolument à vous parler de ce manga
  23. Titre de l'album : Silver wolf - blood bone tome 14 Scenariste de l'album : KONDA Tatsukazu Dessinateur de l'album : YUKIYAMA Shimeji Coloriste : Editeur de l'album : Kurokawa Note : Résumé de l'album : Une enquête sombre et sanglante, où vampires et autres monstres sèment la terreur parmi les êtres humains. Les camarades de Hans et les ressuscités de Grim s'affrontent ! De son côté, Cocowill la petite demi-vampire se voit obligée de faire face à Kyle au milieu d'un cimetière de chair et d'os... Ces retrouvailles entre frère et sœur mèneront-elles à une tragédie ou à une rédemption ? Critique : Hans Vahpet est un ancien « silver wolf », unité de combat qui a exterminé la race des vampires. Depuis, il est à la retraite. Mais un jour, il est demandé pour enquêter sur de mystérieux meurtres. Au fur et à mesure de ses recherches, il va se rendre compte que le meurtrier est en fait un monstre nommé « Grim » qui commande une armée de créatures désosseuses prêtes à tout pour exterminer les humains. Ce 14eme tome est particulier puisque l’on en apprend plus sur le passé des personnages, et que chacun va évoluer pour vaincre son adversaire. Silver Wolf, c’est un manga dans lequel les « monstres » ne représentent ni le mal ni le bien. Chaque espèce a son histoire, ses particularités, ses héros et ses méchants, et un but qui est de protéger et de faire perdurer leur race et être reconnu comme être vivant. Plus qu’une simple histoire de combat inter-espèces, ce manga est avant tout une façon de se battre contre l’inacceptable, puisqu’humains et vampires vont s’allier face aux atrocités de Grim. Durant ces 14 premiers 14 tomes (sur une série finie en 16 tomes), il n’y a pas de temps mort, chaque tome étant plus puissant que le précédent. Les personnages sont attachants, l’histoire captivante : rien à redire là-dessus. Quant au graphisme, il est dynamique, légèrement violent de temps en temps et nous plonge bien dans l’ambiance du manga. Critique réalisée par ma fille qui tenait absolument à vous parler de ce manga Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/silver-wolf-blood-bone-tome-14?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Nickad

    Sôten no Ken tome 2

    Kenshiro est de retour à Shanghai et compte bien assouvir sa vengeance. Il doit arriver à se rapprocher des chefs de l’union du pavot s’en se faire remarquer d’autant plus que ces derniers bénéficient de la protection de la police de la concession française. En même temps, il foit obtenir des informations et ne peut compter que sur Yé et son fils pour le moment. Sôten no Ken mêle habilement le côté historique (l’occupation de Shanghai, l’existence des concessions, l’influence des mafias…) et les arts martiaux. Le 2eme n’étant qu’un outil utilisé dans les affrontements qui ont lieu, le Hokuto n’est donc pas au centre du récit mais sert le héros, il y a quand même quelques apartés de temps en temps autour de ses origines. On n’est pas dans un manga de combat, ni de sport mais bien dans une sorte de thriller où l’on voit les sombres dessous du pouvoir : les manipulations de l’ombre, la mafia impitoyable plongée dans la violence et le meurtre, les conflits d’intérêt et les victimes collatérales. Le graphisme est très travaillé et permet une bonne immersion dans l’ambiance du livre. Le scenario est bien ficelé, sans temps mort et offre de nombreux développements possibles. Mais attention, il est à réserver aux adultes car il y a des scènes vraiment violentes.
  25. Titre de l'album : Sôten no Ken tome 2 Scenariste de l'album : BURONSON Dessinateur de l'album : HARA Tetsuo Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Dans les années 1930, Kenshirô Kasumi, « Roi des Enfers » (Yan-Wang, deux générations avant celle de Hokuto no Ken), 62e grand maître de la technique de combat Hokuto Shinken (« poing divin de la grande ourse ») se trouve pris dans des conflits autour de la Mandchourie Critique : Kenshiro est de retour à Shanghai et compte bien assouvir sa vengeance. Il doit arriver à se rapprocher des chefs de l’union du pavot s’en se faire remarquer d’autant plus que ces derniers bénéficient de la protection de la police de la concession française. En même temps, il foit obtenir des informations et ne peut compter que sur Yé et son fils pour le moment. Sôten no Ken mêle habilement le côté historique (l’occupation de Shanghai, l’existence des concessions, l’influence des mafias…) et les arts martiaux. Le 2eme n’étant qu’un outil utilisé dans les affrontements qui ont lieu, le Hokuto n’est donc pas au centre du récit mais sert le héros, il y a quand même quelques apartés de temps en temps autour de ses origines. On n’est pas dans un manga de combat, ni de sport mais bien dans une sorte de thriller où l’on voit les sombres dessous du pouvoir : les manipulations de l’ombre, la mafia impitoyable plongée dans la violence et le meurtre, les conflits d’intérêt et les victimes collatérales. Le graphisme est très travaillé et permet une bonne immersion dans l’ambiance du livre. Le scenario est bien ficelé, sans temps mort et offre de nombreux développements possibles. Mais attention, il est à réserver aux adultes car il y a des scènes vraiment violentes. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/soten-no-ken-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
×
×
  • Créer...