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  1. Chronique réalisé à partir du pdf de lecture, la pagination, le rendu graphique peuvent bien évidemment changer en version papier, vérifiez si l'ensemble vous plait chez votre libraire. Après un tome 10 d'Androïdes hyper enthousiasmant, ce tome 11 ne pouvait que m'intéresser. Première info, et non des moindres il s'agit ici d'un diptyque. L'histoire s'arrête en plein vol, et il faudra donc bien attendre le second tome pour jauger de la qualité finale de l'ensemble. Seconde info, également importante, il s'agit d'une transposition assez libre de la nouvelle "Au coeur des ténébres" de Joseph Conrad, nouvelle qui a inspiré déjà pas mal d'oeuvres cinématographiques connues, sans vraiment pourtant avoir été reprise dans son intégralité. Point de frayeur à avoir donc si vous ne connaissez pas l'oeuvre originale, ni d'attente particulière dans le cas contraire. Je trouve qu'après l'œuvre majeure livrée par Alain Brion sur le tome précédent on retombe ici dans une BD graphiquement plus habituelle. C'est joli et assez bien rendu, avec un dynamisme bienvenu dans les rendus de mouvements mais cela ne transcende pas pour autant le récit. Côté histoire, attention, le format diptyque autorise ici Jean Pierre Pecau à nous livrer une embrouille bien plus touffue que ce que l'on a l'habitude, et à la fin de ce tome qui avance pourtant tambour battant il reste encore beaucoup de questions en suspens... Et c'est tant mieux que cette série s'accorde enfin un peu plus d'ambition en sortant du carcan parfois étriqué du one shot.
  2. Titre de l'album : Androïdes - Tome 11 - Marlowe - Chapitre 1 Scenariste de l'album : Jean Pierre Pecau Dessinateur de l'album : Dim D Coloriste : Dim D Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Jean Pierre Pécau, qui n'en est pas à sa première adaptation d'Au coeur des ténèbres de Joseph Conrad, le transpose cette fois dans un futur sombre, dur, désespéré et offre à la série androïdes un diptyque dantesque. Lorsque le capitaine Marlowe est autorisée à sortir de la clinique psychiatrique, c'est pour partir en mission dans le plus grand camp de réfugiés, de narco trafiquants, de hackers et autres terroristes du monde. En bon soldat elle s'exécute sans rechigner. Mais pourquoi déteste-elle les synthétiques et pourquoi l'état-major tient tant à ce que ce soit elle qui se charge de cette mission ? Critique : Chronique réalisé à partir du pdf de lecture, la pagination, le rendu graphique peuvent bien évidemment changer en version papier, vérifiez si l'ensemble vous plait chez votre libraire. Après un tome 10 d'Androïdes hyper enthousiasmant, ce tome 11 ne pouvait que m'intéresser. Première info, et non des moindres il s'agit ici d'un diptyque. L'histoire s'arrête en plein vol, et il faudra donc bien attendre le second tome pour jauger de la qualité finale de l'ensemble. Seconde info, également importante, il s'agit d'une transposition assez libre de la nouvelle "Au coeur des ténébres" de Joseph Conrad, nouvelle qui a inspiré déjà pas mal d'oeuvres cinématographiques connues, sans vraiment pourtant avoir été reprise dans son intégralité. Point de frayeur à avoir donc si vous ne connaissez pas l'oeuvre originale, ni d'attente particulière dans le cas contraire. Je trouve qu'après l'œuvre majeure livrée par Alain Brion sur le tome précédent on retombe ici dans une BD graphiquement plus habituelle. C'est joli et assez bien rendu, avec un dynamisme bienvenu dans les rendus de mouvements mais cela ne transcende pas pour autant le récit. Côté histoire, attention, le format diptyque autorise ici Jean Pierre Pecau à nous livrer une embrouille bien plus touffue que ce que l'on a l'habitude, et à la fin de ce tome qui avance pourtant tambour battant il reste encore beaucoup de questions en suspens... Et c'est tant mieux que cette série s'accorde enfin un peu plus d'ambition en sortant du carcan parfois étriqué du one shot. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/androides-tome-11-marlowe-chapitre-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. poseidon2

    Bettie hunter t1

    Nouvelle sortie dans le collection Comix Buro de Glénât et nous BD "improbable". Aurélien Ducoudray sort de ses scenarios actuels avec un scenario bien plus exigeant car bien plus déluré. Mais il s'en sort de très belle façon avec un découpage innovant, des personnages attachants et un scenario bien mené avec une fin pleine de suspens qui nous donne furieusement envie de lire la suite. Le trait de Marc Lechuga, s'il est surprenant au début, correspond bien à l'ambiance souhaitée et pousse le coté humoristique et décalée de notre héroïne terrienne. Les blagues sur les terriens sont super bien trouvés le mystère global autour de Bettie semble intéressant. Bref un très bon premier tome qui, vu l'expérience de Ducoudray dans les diptyques, annonce une histoire très sympa finie en deux tomes.
  4. Titre de l'album : Bettie hunter t1 Scenariste de l'album : Aurelien Ducoudray Dessinateur de l'album : Marc Lechuga Coloriste : Marc Lechuga Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Chasseuse sachant chasser. Seulement 2480 creds de récompense ?! C'est à se demander si ça valait vraiment le coup de visiter les intestins d'un Lombris Stockus géant pour mettre la main sur le cette crapule de Himmel. Si elle avait eu connaissance de la taxe appliquée aux terriens sur la planète Axolotl 21, Bettie ne se serait surement pas lancée dans cette chasse à l'homme. Mais pas le choix... Pour être rentable, il faut ne jamais s'arrêter. En acceptant de voler à la rescousse de la soeur de Madame Skraalgard, perdue sur Minaria Prime, elle s'est enfoncée dans un nouveau et profond bourbier. Et encore ! Bettie et son acolyte Harvey sont loin d'imaginer l'ampleur des crimes qui ont cours sur cette planète au passé tourmenté. Embarquez aux côtés de la chasseuse de prime que l'on surnomme « Bac +12 » (elle est du genre futé), dans un space opera survolté à l'univers riche et au bestiaire loufoque. Piloté par deux auteurs inventifs à l'humour grinçant, Bettie Hunter aborde avec panache les sujets indissociables que sont la différence et la tolérance. Une aventure survoltée et tapageuse dans la veine des Gardiens de la Galaxie : pop et bien plus dense que d'apparence. Critique : Nouvelle sortie dans le collection Comix Buro de Glénât et nous BD "improbable". Aurélien Ducoudray sort de ses scenarios actuels avec un scenario bien plus exigeant car bien plus déluré. Mais il s'en sort de très belle façon avec un découpage innovant, des personnages attachants et un scenario bien mené avec une fin pleine de suspens qui nous donne furieusement envie de lire la suite. Le trait de Marc Lechuga, s'il est surprenant au début, correspond bien à l'ambiance souhaitée et pousse le coté humoristique et décalée de notre héroïne terrienne. Les blagues sur les terriens sont super bien trouvés le mystère global autour de Bettie semble intéressant. Bref un très bon premier tome qui, vu l'expérience de Ducoudray dans les diptyques, annonce une histoire très sympa finie en deux tomes. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/bettie-hunter-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Titre de l'album : Conquêtes - Tome 8 - Neïta Scenariste de l'album : Jean-Luc Istin Dessinateur de l'album : Erion Campanella Avdisha Coloriste : Olivier Héban Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Les Croisés, en route pour la planète Jérusalem, se posent sur Neïta où vit une colonie de mineurs. L'inquisiteur Evangelisti découvre que Nazareth Prime est devenue une ville fantôme. Commence alors une enquête qui le mènera au coeur de la mine, auprès d'une entité qui dit s'appeler Yahvé. Alors que les colons réapparaissent dans un état proche de la catatonie, sur Neïta, le mystère s'épaissit... Critique : Chronique réalisée à partir du pdf de lecture et non de la bd Papier. Des différences peuvent être constatées. Vérifiez par vous même en librairie avant tout achat. Qu'il est difficile de se forger son avis sur Conquêtes. J'ai beau savoir que ce n'est plus très original depuis longtemps, que le format one shot ne permet guère de complexité et mise sur une action menée tambour battant, j'ai toujours plaisir à en ouvrir un, et souvent à le lire. Ce tome 8 ne fait pas plus exception à la règle que le 6 ou le 7... On passe toujours un beau moment, graphiquement c'est très soigné, peut être même un peu plus que la plupart des Conquêtes, mais je suis également resté sur ma faim tant l'intrigue aurait pu être plus développée. Et la fin est un petit peu parachutée également. La lassitude viendra-t-elle face à ces histoires individuellement indéniablement réussies, mais collectivement finalement redondantes ? Je ne sais pas y répondre. Après tout l'une de mes meilleurs lectures de SF de cette année reste un tome d'Androïdes, série pour laquelle j'aurais également pu écrire le paragraphe ci-dessus. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/conquetes-tome-8-neita?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. The_PoP

    Conquêtes - Tome 8 - Neïta

    Chronique réalisée à partir du pdf de lecture et non de la bd Papier. Des différences peuvent être constatées. Vérifiez par vous même en librairie avant tout achat. Qu'il est difficile de se forger son avis sur Conquêtes. J'ai beau savoir que ce n'est plus très original depuis longtemps, que le format one shot ne permet guère de complexité et mise sur une action menée tambour battant, j'ai toujours plaisir à en ouvrir un, et souvent à le lire. Ce tome 8 ne fait pas plus exception à la règle que le 6 ou le 7... On passe toujours un beau moment, graphiquement c'est très soigné, peut être même un peu plus que la plupart des Conquêtes, mais je suis également resté sur ma faim tant l'intrigue aurait pu être plus développée. Et la fin est un petit peu parachutée également. La lassitude viendra-t-elle face à ces histoires individuellement indéniablement réussies, mais collectivement finalement redondantes ? Je ne sais pas y répondre. Après tout l'une de mes meilleurs lectures de SF de cette année reste un tome d'Androïdes, série pour laquelle j'aurais également pu écrire le paragraphe ci-dessus.
  7. Titre de l'album : Teleportation inc 2/2 Scenariste de l'album : Dominique Latil Dessinateur de l'album : Romain Sordet Coloriste : Romain Sordet Editeur de l'album : Drakoo Note : Résumé de l'album : La téléportation... Le rêve du déplacement instantané est désormais une réalité. Mais les masses d'énergie mises en jeu lors de tels transferts et les exigences des lois de la physique imposent une gestion stricte de ces échanges. C'est le travail de la Compagnie de Téléportation Galactique. Et lorsque certains de ses clients croient pouvoir profiter de la facilité de ce mode de transport pour disparaître, la C.T.G. se doit de réagir vite et fort. Pour cela, elle possède un corps d'élite : à la fois espions et détectives, ces enquêteurs hors pair sont chargés de traquer et de ramener les voyageurs perdus ou en fuite dans toute la galaxie. La plus compétente et la plus radicale de ces agents de retour est Lubia Thorel... Critique : Deuxième tome qui clôture ce diptyque de Téléportation Inc et qui clôture donc... l'introduction. Enfin je l'espère sincèrement. Car c'est l'impression qui ressort à la fin de ce diptyque. Si l'histoire courante est finie plutôt de belle façon, avec un album qui déménage porté par une intrigue plus fines que prévues et un duo de héros hauts en couleurs, ce deuxième tome nous ouvre surtout énormément de pistes. En effet on se met à parler du passé de Lubia qui semble tout sauf simple, mais aussi de l'histoire de la téléportation, de ses risques et surtout de.... shuuuttt on ne dit rien. On se retrouve donc avec un bon deuxième tome mais qui donne plus envie d'en savoir plus sur cet univers. Vu le marché de la BD actuelle, j'espère sincèrement que Téléportation Inc tirera son épingle du jeu pour motiver Drakoo et nos auteurs à se lancer dans un deuxième diptyque. Au moins. Je vous encourage donc à vous lancer dans l'aventure (surtout qu'il y a un coffret très sympa pour 29.00). Vous aurez une histoire très sympa qui continuera potentiellement dans une plus grande et de plus grande envergure. PS: je vous rappelle que Romain Sordet nous a réalisé une superbe interview dessinée. Elle est disponible ici : Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/teleportation-inc-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. poseidon2

    Teleportation inc 2/2

    Deuxième tome qui clôture ce diptyque de Téléportation Inc et qui clôture donc... l'introduction. Enfin je l'espère sincèrement. Car c'est l'impression qui ressort à la fin de ce diptyque. Si l'histoire courante est finie plutôt de belle façon, avec un album qui déménage porté par une intrigue plus fines que prévues et un duo de héros hauts en couleurs, ce deuxième tome nous ouvre surtout énormément de pistes. En effet on se met à parler du passé de Lubia qui semble tout sauf simple, mais aussi de l'histoire de la téléportation, de ses risques et surtout de.... shuuuttt on ne dit rien. On se retrouve donc avec un bon deuxième tome mais qui donne plus envie d'en savoir plus sur cet univers. Vu le marché de la BD actuelle, j'espère sincèrement que Téléportation Inc tirera son épingle du jeu pour motiver Drakoo et nos auteurs à se lancer dans un deuxième diptyque. Au moins. Je vous encourage donc à vous lancer dans l'aventure (surtout qu'il y a un coffret très sympa pour 29.00). Vous aurez une histoire très sympa qui continuera potentiellement dans une plus grande et de plus grande envergure. PS: je vous rappelle que Romain Sordet nous a réalisé une superbe interview dessinée. Elle est disponible ici :
  9. Titre de l'album : I.S.S. Snipers - Tome 2 - Khol Murdock Scenariste de l'album : Louis Dessinateur de l'album : Stéphane Créty & Juliette Créty Coloriste : J. Nanjan Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : La planète Khaliste 24 est prisonnière du traître Gunnar, un monstre modifié qui surclasse les Snipers eux-mêmes ! Incapables de se déployer car limités en autonomie les Snipers enragent. Une unité expérimentale et secrète a cette précieuse autonomie, on les appelle « les Loups ». L'avenir de l'humanité est entre les mains d'un seul loup et pas n'importe lequel, Khôl Murdock, l'alpha de la meute ! Critique : Chez Soleil on ne traine pas vraiment, à peine le tome 1 digéré que voici le second tome sur le thème des ISS Snipers. Las, si Soleil a probablement voulu retenter le joli coup réalisé avec sa série Conquêtes en s'en inspirant, force est de constater que la recette : one shot dans le même univers, SF classique, Action prépondérante, peu de lien entre chaque one shot ne fonctionne pas vraiment ici. Il faut croire qu'il manque d'autres ingrédients. Le tome 1 n,'était pas si inintéressant, mais ce tome 2 sera malheureusement oublié aussi vite qu'il a été lu. Est-ce que cela en fait une mauvaise BD ? Loin de là, puisque graphiquement ou scénaristiquement, le contenu est largement honorable. Simplement je suis déçu par la direction éditoriale donnée à cette série. Les personnages sont monoblocs, taillés à la serpe dans le granit, et la plupart du temps complètement dépourvus d'émotions. On ne croise que très peu d'humains dans cette série. L'action est certes présente, mais elle manque souvent de finesse, d'enjeux palpitants et de rebondissements. Le destin de ces anti-héros m'ai finalement assez complètement indifférent, et l'univers de SF présenté est sympa mais a déjà été vu et revu des dizaines de fois. Alors si globalement j'ai adhéré à Conqu^tes, pour le moment ISS Snipers m'a laissé sur la touche. Espérons que les prochains tomes viennent étoffer un peu cette série dont les auteurs font pourtant le job. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/i-s-s-snipers-t02-khol-murdock?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Chez Soleil on ne traine pas vraiment, à peine le tome 1 digéré que voici le second tome sur le thème des ISS Snipers. Las, si Soleil a probablement voulu retenter le joli coup réalisé avec sa série Conquêtes en s'en inspirant, force est de constater que la recette : one shot dans le même univers, SF classique, Action prépondérante, peu de lien entre chaque one shot ne fonctionne pas vraiment ici. Il faut croire qu'il manque d'autres ingrédients. Le tome 1 n,'était pas si inintéressant, mais ce tome 2 sera malheureusement oublié aussi vite qu'il a été lu. Est-ce que cela en fait une mauvaise BD ? Loin de là, puisque graphiquement ou scénaristiquement, le contenu est largement honorable. Simplement je suis déçu par la direction éditoriale donnée à cette série. Les personnages sont monoblocs, taillés à la serpe dans le granit, et la plupart du temps complètement dépourvus d'émotions. On ne croise que très peu d'humains dans cette série. L'action est certes présente, mais elle manque souvent de finesse, d'enjeux palpitants et de rebondissements. Le destin de ces anti-héros m'ai finalement assez complètement indifférent, et l'univers de SF présenté est sympa mais a déjà été vu et revu des dizaines de fois. Alors si globalement j'ai adhéré à Conqu^tes, pour le moment ISS Snipers m'a laissé sur la touche. Espérons que les prochains tomes viennent étoffer un peu cette série dont les auteurs font pourtant le job.
  11. Dur de ne pas évoquer l'aspect graphique quand on va parler de ce Comics indé. C'est époustouflant. Clairement oui, et cela doit autant au travail du dessinateur Simone Di Meo qu'à la coloriste Mariasara Miotti. A couper le souffle donc. Mais cela ne plaira clairement pas à tout le monde, je pense notamment aux amateurs de ligne claire ou au aficionados du trait de crayon. Reste que le boulot fait sur les effets de lumière est dantesque et remarquable, personnellement j'ai adoré, même s'il m'a fallut un sacré temps d'adaptation, notamment sur les scènes "d'action". Oui, "We only find them when they are dead" se mérite. Il va vous prendre du temps de lecture et de contemplation. Il va vous demander un peu de compréhension aussi, car les choix narratifs forts rendent parfois certains passages un peu nébuleux de prime abord. Reste le meilleur : un grand space opéra intimiste mais aux enjeux grandioses, dans un univers original et à priori maîtrisé qui donne envie avec son final de lire la suite très très vite. Alors pourquoi ce 4,5 au lieu d'un 5 à priori mérité ? Simplement car certaines scènes auraient tout de même gagné en lisibilité je trouve, sans dénaturer pour autant l'oeuvre. Et puis c'est aussi juste un premier tome, et il faudra voir si la suite tiendra ses riches promesses. Mais si vous aimez la SF, et que le graphisme vous donne envie, foncez, peu de chances d'être déçus.
  12. Titre de l'album : We only find them when they are dead Scenariste de l'album : Al Ewing Dessinateur de l'album : Simone Di Meo Coloriste : Mariasara Miotti Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : On n'oublie jamais la première fois que l'on voit un Dieu. Les Dieux sont toujours magnifiques. Et les Dieux sont toujours morts.2367, aux confins de la galaxie. Dans ce futur lointain, l'humanité a épuisé toutes ses ressources et doit sa survie à l'exploitation de dieux morts flottant dans l'espace, dont les cadavres gigantesques servent désormais de matière première. Le Vihan II est l'un des nombreux vaisseaux nécropsiques qui arpentent le cosmos dans l'espoir de trouver ces divinités providentielles. Mais Georges Malik, son capitaine, nourrit une obsession: pourquoi les dieux ne se révèlent-ils que lorsqu'ils sont morts? Pour tenter de s'émanciper de ce système gangréné par les inégalités et la pauvreté,tout l'équipage s'embarque alors dans un périple sous haute tension à la recherche d'un dieu vivant. Al Ewing (Immortal Hulk, Avengers...) et Simone Di Meo (Tortues Ninjas & Power Rangers) livrent avec We Only Find Them When They're Dead un space opera grandiose d'une beauté à couper le souffle. Un premier tome accrocheur et unique en son genre, tout à la fois politique et mystique. « Un space opera à l'univers unique et très prometteur.» Mighty !« Embarquez-moi tout de suite ! »Jason Aaron (Thor, Avengers, Star Wars...)«Un univers graphique emballant avec des couleurs lumineuses et parfaites.» Comicstories Critique : Dur de ne pas évoquer l'aspect graphique quand on va parler de ce Comics indé. C'est époustouflant. Clairement oui, et cela doit autant au travail du dessinateur Simone Di Meo qu'à la coloriste Mariasara Miotti. A couper le souffle donc. Mais cela ne plaira clairement pas à tout le monde, je pense notamment aux amateurs de ligne claire ou au aficionados du trait de crayon. Reste que le boulot fait sur les effets de lumière est dantesque et remarquable, personnellement j'ai adoré, même s'il m'a fallut un sacré temps d'adaptation, notamment sur les scènes "d'action". Oui, "We only find them when they are dead" se mérite. Il va vous prendre du temps de lecture et de contemplation. Il va vous demander un peu de compréhension aussi, car les choix narratifs forts rendent parfois certains passages un peu nébuleux de prime abord. Reste le meilleur : un grand space opéra intimiste mais aux enjeux grandioses, dans un univers original et à priori maîtrisé qui donne envie avec son final de lire la suite très très vite. Alors pourquoi ce 4,5 au lieu d'un 5 à priori mérité ? Simplement car certaines scènes auraient tout de même gagné en lisibilité je trouve, sans dénaturer pour autant l'oeuvre. Et puis c'est aussi juste un premier tome, et il faudra voir si la suite tiendra ses riches promesses. Mais si vous aimez la SF, et que le graphisme vous donne envie, foncez, peu de chances d'être déçus. Autres infos : Très très original Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/we-only-find-them-when-they-re-dead-tome-1-le-voyageur?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Et voici le dernier né dans les sorties récentes de chez Soleil en Science Fiction. Pour ceux qui ont raté la bande annonce de cette nouvelle série, je vous laisse avec le lien pour la découvrir. https://www.editions-soleil.fr/videos/iss-snipers-la-nouvelle-serie-de-jean-luc-istin Alors ce Tome 1 il a quoi dans le ventre ? D'abord de l'action survitaminée, ensuite un personnage fort, foncièrement badass et pas vraiment gentil, et enfin une science fiction où l'on retrouve quand même nos humains et leurs relations au centre de tout. Oui la réflexion sur l'avenir métaphysique de la trans humanité n'est pas vraiment au coeur de ISS Snipers. Ici c'est la guerre, et en version sale. Côté scénario donc des clins d'oeils appuyés à quelques cadors du genre, une histoire relativement courte pour coller au format et une fin ou le Deus Ex Machina intervient un peu rapidement pour ne pas nous faire hausser un sourcil à mon avis. C'est d'ailleurs l'un des défauts de cette BD : ce Background mérite d'être traité sur une série et non en multiples One-Shot. A voir ce que les prochains tomes nous réserveront, mais j'ai un doute sur l'intérêt à long terme de cette série si l'on se contente comme pour Conquêtes de One shot. Reste que comme pour Conquêtes justement, cela nous fait toujours une lecture divertissante de SF survitaminée sans trop avoir besoin de ses neurones. Graphiquement cependant je dis chapeau bas. On sort clairement des standards habituels de chez Soleil, mais on le fait en douceur avec le trait splendide et assez fin de Erwan Seure-Le-Bihan. Sa mise en couleur renforce d'ailleurs l'originalité de son traitement de la SF chez Soleil, et c'est Tant mieux tant cela donne un résultat très frais. Seul bémol, ce que l'on gagne sur les personnages on le perd un peu sur les plans larges façon Space Opéra qui sont un peu moins mis en valeur qu'habituellement sur ce genre de parutions. Mais personnellement je ne m'en plaindrais pas.
  14. Titre de l'album : I.S.S. Snipers - Tome 1 - Reid Eckart Scenariste de l'album : Jean Luc Istin Dessinateur de l'album : Erwan Seure-Le-Bihan Coloriste : Erwan Seure-Le-Bihan Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Je suis le I.S.S. Sniper Reid Eckart, on me surnomme Stock parce que je moissonne la mort et fais un stock de cadavres là où je colle mes bottes. Comme on arrive, on repart. On enchaîne les missions parce que le vent de révolte sur des planètes aussi éloignées, ça souffle plus vite que l'ordre. Ça, c'était avant ! Car depuis qu'on nous a envoyés sur Okeelia, faut bien l'avouer, la donne a changé ! Critique : Et voici le dernier né dans les sorties récentes de chez Soleil en Science Fiction. Pour ceux qui ont raté la bande annonce de cette nouvelle série, je vous laisse avec le lien pour la découvrir. https://www.editions-soleil.fr/videos/iss-snipers-la-nouvelle-serie-de-jean-luc-istin Alors ce Tome 1 il a quoi dans le ventre ? D'abord de l'action survitaminée, ensuite un personnage fort, foncièrement badass et pas vraiment gentil, et enfin une science fiction où l'on retrouve quand même nos humains et leurs relations au centre de tout. Oui la réflexion sur l'avenir métaphysique de la trans humanité n'est pas vraiment au coeur de ISS Snipers. Ici c'est la guerre, et en version sale. Côté scénario donc des clins d'oeils appuyés à quelques cadors du genre, une histoire relativement courte pour coller au format et une fin ou le Deus Ex Machina intervient un peu rapidement pour ne pas nous faire hausser un sourcil à mon avis. C'est d'ailleurs l'un des défauts de cette BD : ce Background mérite d'être traité sur une série et non en multiples One-Shot. A voir ce que les prochains tomes nous réserveront, mais j'ai un doute sur l'intérêt à long terme de cette série si l'on se contente comme pour Conquêtes de One shot. Reste que comme pour Conquêtes justement, cela nous fait toujours une lecture divertissante de SF survitaminée sans trop avoir besoin de ses neurones. Graphiquement cependant je dis chapeau bas. On sort clairement des standards habituels de chez Soleil, mais on le fait en douceur avec le trait splendide et assez fin de Erwan Seure-Le-Bihan. Sa mise en couleur renforce d'ailleurs l'originalité de son traitement de la SF chez Soleil, et c'est Tant mieux tant cela donne un résultat très frais. Seul bémol, ce que l'on gagne sur les personnages on le perd un peu sur les plans larges façon Space Opéra qui sont un peu moins mis en valeur qu'habituellement sur ce genre de parutions. Mais personnellement je ne m'en plaindrais pas. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/i-s-s-snipers-tome-1-reid-eckart?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. The_PoP

    Crusaders - Tome 3 - Spectre

    Crusaders continue sur son rythme de parution effréné puisqu'il s'agit déjà du troisième tome de cette série de SF façon Space opéra, mettant en scène une humanité au bord du gouffre, confrontée à des Aliens ayant des millénaires d'avance technologique sur eux, et englués dans un conflits dont les racines et les implications les dépasse. A la manière d'un Universal War One, Crusaders nous embarque dans le sillage d'une science omniprésente, ou les concepts se bousculent et nous bousculent au service d'une épopée aux enjeux colossaux pour l'humanité. Pour les allergiques à la science, inutile même d'ouvrir ce tome tant l'intrigue est centrée en grande partie là dessus. Le rythme effréné de l'avancée de l'histoire ne permet souvent que de survoler ces sujets, et si cela arrange parfois le scénariste de SF, cela ne laisse au lecteur que peu de temps pour assimiler et réagir aux informations balancées coups sur coups. Les dessins de Leno Carvalho pour les grandes scènes de Space Opéra sont très réussis, et le seul bémol que je pourrais amener sur le traitement graphique de Crusaders ce serait une légère difficulté à appréhender les différents personnages. Mais c'est à la marge, tant les personnages ne sont finalement pas au centre de l'histoire.
  16. Titre de l'album : Crusaders - Tome 3 - Spectre Scenariste de l'album : Christophe Bec Dessinateur de l'album : Leno Carvalho Coloriste : Simon Champelovier Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : La colonie humaine de Titan reçoit les plans de constructions de fabuleux vaisseaux spatiaux et les coordonnées d'une galaxie lointaine. Plusieurs mois plus tard, le Crusader 1 prend la tête d'une armada prête à rejoindre les créateurs du signal. Propulsés à travers des trous de ver, les vaisseaux arrivent en vue d'une gigantesque structure extraterrestre tendue entre deux astres ! Dans quel but ? Critique : Crusaders continue sur son rythme de parution effréné puisqu'il s'agit déjà du troisième tome de cette série de SF façon Space opéra, mettant en scène une humanité au bord du gouffre, confrontée à des Aliens ayant des millénaires d'avance technologique sur eux, et englués dans un conflits dont les racines et les implications les dépasse. A la manière d'un Universal War One, Crusaders nous embarque dans le sillage d'une science omniprésente, ou les concepts se bousculent et nous bousculent au service d'une épopée aux enjeux colossaux pour l'humanité. Pour les allergiques à la science, inutile même d'ouvrir ce tome tant l'intrigue est centrée en grande partie là dessus. Le rythme effréné de l'avancée de l'histoire ne permet souvent que de survoler ces sujets, et si cela arrange parfois le scénariste de SF, cela ne laisse au lecteur que peu de temps pour assimiler et réagir aux informations balancées coups sur coups. Les dessins de Leno Carvalho pour les grandes scènes de Space Opéra sont très réussis, et le seul bémol que je pourrais amener sur le traitement graphique de Crusaders ce serait une légère difficulté à appréhender les différents personnages. Mais c'est à la marge, tant les personnages ne sont finalement pas au centre de l'histoire. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/crusaders-tome-3-spectre?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Métal hurlant est un magazine français de bande dessinée de science-fiction qui a été édité par Les Humanoïdes associés de janvier 1975 à juillet 1987, puis de juillet 2002 à octobre 2004, avec un ultime numéro en 2006. Créé sous l'impulsion de Jean-Pierre Dionnet, son rédacteur en chef de 1975 à 1985, Métal hurlant apparaît comme une des revues majeures de la presse adulte, « un véritable laboratoire d'où sont sortis quelques chefs-d'œuvre et un bon nombre de grands noms de la bande dessinée contemporaine Avec ce projet le magazine serait de retour dès septembre! https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/metal-hurlant-revient Bon à titre personnel j'ai jamais lu mais pourtant je connais de nom. Le projet participatif permet de s'abonner 1 an ou d'avoir le 1er numéro. A suivre... Ou pas (car à titre perso je n'arrive pas à avoir confiance dans ce site de financement).
  18. poseidon2

    Urban t5 (fin)

    Enfin il est là mon précieux !!! 4 ans après la parution du tome 4 le cinquième et dernier tome d’Urban est enfin disponible. Autant vous dire que pour fêter ca j'ai tout relu. On devrait plutôt dire j'ai tout dévoré. Car les 5 d'affilé font de cette histoire une vraie merveille. Cette série prend tout son sens une fois toutes les briques de Brunschwig imbriquées comme il faut. Apres un tome 4 qui nous présentait l'historique du parc et surtout de Springy, ce tome cinq imbrique tous les morceaux. On a nos réponses à toutes nos questions. Que ce soit l'enfant, que ce soit Springy, que ce soit Buzz ou même A.L.I.C.E, on a les réponses à toutes nos questions. Mais plus que cela on a surtout une très belle fin. Une fin bien meilleur que celle que l'on avait envisagé car elle se permet d'allier la logique avec le bonheur. On est donc aussi content pour nos personnages qu'effrayer par le cynisme de cette fin. Un série magnifique encore une fois pour un Luc Brunschwig peu prolifique mais parmi les scénaristes les plus vrillant de sa génération.
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    Urban t5 (fin)

    Titre de l'album : Urban t5 (fin) Scenariste de l'album : Luc Brunschwig Dessinateur de l'album : Roberto Ricci Coloriste : Roberto Ricci Editeur de l'album : Futuropolis Note : Résumé de l'album : Le dernier tome d'une grande série d'anticipation : nommée à Angoulême en 2017 et menée de main de maître par Luc Brunschwig et Roberto Ricci. L'ultime confrontation : les révélations et les coups de théâtre s'enchaînent jusqu'au dénouement final, amer et inquiétant ! Dans un futur pas si lointain, nous sommes conviés à Monplaisir, le dernier lieu de loisir offert à une humanité en train de se reconstruire. Tout y fait l'objet d'un jeu... même la mort. Sur 300 000 hectares, avec deux niveaux d'accès et près de 18 millions de visiteurs quotidien, Monplaisir est le plus grand parc d'attraction de la galaxie, imaginé par Springy Fool, un génie de l'informatique et entièrement géré par A.L.I.C.E., l'I.A. qu'il a créée ! Mais Monplaisir n'attire pas que des visiteurs en mal de divertissement. Voleurs, assassins, violeurs y viennent pour tenter leur chance. Et, parce que tout se finit en jeu, les arrestations sont filmées en direct et font l'objet de paris. Zachary Buzz vient justement d'intégrer la brigade des Urban Interceptors, qui combat ces criminels. Il va découvrir une police qui ne ressemble en rien à l'idée qu'il se fait de la justice, et un monde qu'il n'est pas prêt d'accepter. Avec Urban, comme dans Le Pouvoir des innocents, Luc Brunschwig pointe du doigt les dérives de notre société, où le divertissement fait des fortunes et devient un enjeu sociétal. Roberto Ricci donne corps et vie au monde d'Urban dans un style qui rappelle le meilleur Gimenez ! Critique : Enfin il est là mon précieux !!! 4 ans après la parution du tome 4 le cinquième et dernier tome d’Urban est enfin disponible. Autant vous dire que pour fêter ca j'ai tout relu. On devrait plutôt dire j'ai tout dévoré. Car les 5 d'affilé font de cette histoire une vraie merveille. Cette série prend tout son sens une fois toutes les briques de Brunschwig imbriquées comme il faut. Apres un tome 4 qui nous présentait l'historique du parc et surtout de Springy, ce tome cinq imbrique tous les morceaux. On a nos réponses à toutes nos questions. Que ce soit l'enfant, que ce soit Springy, que ce soit Buzz ou même A.L.I.C.E, on a les réponses à toutes nos questions. Mais plus que cela on a surtout une très belle fin. Une fin bien meilleur que celle que l'on avait envisagé car elle se permet d'allier la logique avec le bonheur. On est donc aussi content pour nos personnages qu'effrayer par le cynisme de cette fin. Un série magnifique encore une fois pour un Luc Brunschwig peu prolifique mais parmi les scénaristes les plus vrillant de sa génération. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/urban-tome-5?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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    Inhumains

    Titre de l'album : Inhumains Scenariste de l'album : Valérie Mangin / Denis Bajram Dessinateur de l'album : Thibaud De Rochebrune Coloriste : Thibaud De Rochebrune Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Dans un moment de folie, un petit vaisseau spatial en mission d'exploration s'écrase sur une planète océan inconnue. Heureusement des sortes de pieuvres géantes aident les cinq rescapés à remonter à la surface et à rejoindre la seule île à l'horizon. À leur grande surprise, ils sont accueillis sur le rivage par des humains aussi primitifs que bienveillants. Si ces hommes et femmes au sourire figé se révèlent être cannibales, le plus inquiétant reste leur totale docilité. Les naufragés sont-ils condamnés eux aussi à se soumettre à la volonté du mystérieux Grand Tout ? "Inhumain" marque le grand retour au scénario de science-fiction de Valérie Mangin et Denis Bajram. En maître du genre, le couple explore à la fois les entrailles d'un monde mystérieux et les tréfonds de l'âme humaine. Ce récit surprenant et spectaculaire permet au dessin de Thibaud de Rochebrune de se déployer avec sensibilité et vertige. Entre récit addictif et fable philosophique, "Inhumain" questionne notre humanité : la souffrance est-elle forcément le prix de la liberté ? Critique : Je dépile ma pile de honte durant cette fin d'année "confinée" et je me suis arrêté sur Inhumains dont j'avais entendu beaucoup de bien. Je l'ai acheté les yeux fermés pour les auteurs et pour la SF. Et bien.... je n'aurais pas du l'acheter pour ces raisons la 🙂 En effet pour moi Bajram et Mangin c'est de la grande science fiction. Du space opera comme on en lit peu avec des titres comme le Fleau des dieux, Universal war ou encore le dernier troyen. Et la on a une SF très intimiste. A mis chemin entre un huit clos angoissant et de la science fiction philosophique. Alors attention je ne dis pas que ce n'est pas bien, loin de la. Je dis juste que je n'ai pas acheté cette album pour les bonnes raisons. Que vous ne fassiez pas de même. Après pou ce qui est du récit lui même, il est vraiment très bon. Ce "grand tout", même si l'explication est un peu évidente à mon gout, et cette histoire de "colonisation" est vraiment bien pensée. Dur de ne pas trop en dire mais l'idée du couple Mangin/Bajram est bonne et bien réfléchie. Et surtout elle est poussée jusqu'au bout avec une fin qui ne se veut pas la pour plaire aux espérances du lecteurs mais bien pour rester dans une logique "réaliste". Cette histoire offre une réflexion sur l'humanité et sa volonté de libre arbitre. Une vraie bonne lecture porté par un dessin très sympa. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/inhumain?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. poseidon2

    Inhumains

    Je dépile ma pile de honte durant cette fin d'année "confinée" et je me suis arrêté sur Inhumains dont j'avais entendu beaucoup de bien. Je l'ai acheté les yeux fermés pour les auteurs et pour la SF. Et bien.... je n'aurais pas du l'acheter pour ces raisons la 🙂 En effet pour moi Bajram et Mangin c'est de la grande science fiction. Du space opera comme on en lit peu avec des titres comme le Fleau des dieux, Universal war ou encore le dernier troyen. Et la on a une SF très intimiste. A mis chemin entre un huit clos angoissant et de la science fiction philosophique. Alors attention je ne dis pas que ce n'est pas bien, loin de la. Je dis juste que je n'ai pas acheté cette album pour les bonnes raisons. Que vous ne fassiez pas de même. Après pou ce qui est du récit lui même, il est vraiment très bon. Ce "grand tout", même si l'explication est un peu évidente à mon gout, et cette histoire de "colonisation" est vraiment bien pensée. Dur de ne pas trop en dire mais l'idée du couple Mangin/Bajram est bonne et bien réfléchie. Et surtout elle est poussée jusqu'au bout avec une fin qui ne se veut pas la pour plaire aux espérances du lecteurs mais bien pour rester dans une logique "réaliste". Cette histoire offre une réflexion sur l'humanité et sa volonté de libre arbitre. Une vraie bonne lecture porté par un dessin très sympa.
  22. Titre de l'album : Sillage - Premières Armes Tome 2 - Vitesse de croisière Scenariste de l'album : Jean-David Morvan / Philippe Buchet Dessinateur de l'album : Pierre-Mony Chan Coloriste : Alice Picard et Pierre-Mony Chan Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Dans un rôle de barmaid qui lui sert de couverture et où elle s'ennuie à mourir, Nävis a infiltré un vaisseau de croisière spatiale pour assurer sa sécurité car de nombreux cargos disparaissent mystérieusement sans laisser de trace. L'agent spécial et son commandement croient avoir affaire à de simples actes de piraterie mais les choses sont rarement ce qu'elles semblent être. Critique : Au premier contact, cet album est très joli visuellement. Avec des planches très efficaces et contemplatives. Le dessin de Pierre-Mony Chan est impeccable, d'ailleurs j'ai cru que c'était Philippe Buchet. La mise en couleur donne beaucoup de dynamisme à l'ensemble. C’est un petit plaisir coupable de retrouver Navïs dans ce Tome 2 de Sillage - Premières armes. La série qui explique la période de formation de Navïs en tant qu'agent de la Constituante et ses 1ères missions. Lecteur, tu trouveras ici un scénario limpide à base de pirates qui abordent des vaisseaux de croisière. Tu trouveras aussi beaucoup d'action mais aussi des nez cassés et un peu d'alcool, Morbleu! C'est simple et efficace. C'est une aventure quasi indépendante à la série mère (je dis quasi car il y a quelques références et un fort lien quand même sur le final). L’album se situe entre le T2 (collection privée) et l'excellent T3 (engrenages), on repart loin en amont et c'est tout de même très sympathique de retrouver notre héroïne placée au début de la série, avec sa jeunesse, sa fougue, ses défauts d'alors et sans tous ses supers pouvoirs et son équipe de fidèles qu'elle s'est constituée au fil des albums, et qui l'a rendent invincible. Bref ici, on ne se prend pas la tête. C'est un chouette album. J’ai même cru que l’Atlantis de ma jeunesse allait sortir d’un portail au détour d'une case tellement on est dans l'ambiance avec les pirates spatiaux, mais non, quand même pas. 😀 Navïs prend son nouveau rôle d’agent de Sillage à cœur en cassant, quelques os au passage dans les nombreuses scènes d'action présentes dans l'histoire. Le tout est présenté avec beaucoup d'humour. Le ton est ici très léger tout au long de l'album. Et c'est très bien. Le principal défaut s'il fallait en trouver un ? Je ne suis pas sûr que cet album marque beaucoup à terme, la série principale nous a habitué à des scénarios plus profonds la majorité du temps. Mais il ne faut pas bouder son plaisir ! Les bonnes choses sont rares ces temps ci. Compagnons lancez l'abordage sinon je vous envoie nourrir les poissons! Autres infos : Ex-libris offert sur le site de BDfugue Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sillage-premieres-armes-tome-2-vitesse-de-croisiere Voir la totalité de enregistrement
  23. Au premier contact, cet album est très joli visuellement. Avec des planches très efficaces et contemplatives. Le dessin de Pierre-Mony Chan est impeccable, d'ailleurs j'ai cru que c'était Philippe Buchet. La mise en couleur donne beaucoup de dynamisme à l'ensemble. C’est un petit plaisir coupable de retrouver Navïs dans ce Tome 2 de Sillage - Premières armes. La série qui explique la période de formation de Navïs en tant qu'agent de la Constituante et ses 1ères missions. Lecteur, tu trouveras ici un scénario limpide à base de pirates qui abordent des vaisseaux de croisière. Tu trouveras aussi beaucoup d'action mais aussi des nez cassés et un peu d'alcool, Morbleu! C'est simple et efficace. C'est une aventure quasi indépendante à la série mère (je dis quasi car il y a quelques références et un fort lien quand même sur le final). L’album se situe entre le T2 (collection privée) et l'excellent T3 (engrenages), on repart loin en amont et c'est tout de même très sympathique de retrouver notre héroïne placée au début de la série, avec sa jeunesse, sa fougue, ses défauts d'alors et sans tous ses supers pouvoirs et son équipe de fidèles qu'elle s'est constituée au fil des albums, et qui l'a rendent invincible. Bref ici, on ne se prend pas la tête. C'est un chouette album. J’ai même cru que l’Atlantis de ma jeunesse allait sortir d’un portail au détour d'une case tellement on est dans l'ambiance avec les pirates spatiaux, mais non, quand même pas. 😀 Navïs prend son nouveau rôle d’agent de Sillage à cœur en cassant, quelques os au passage dans les nombreuses scènes d'action présentes dans l'histoire. Le tout est présenté avec beaucoup d'humour. Le ton est ici très léger tout au long de l'album. Et c'est très bien. Le principal défaut s'il fallait en trouver un ? Je ne suis pas sûr que cet album marque beaucoup à terme, la série principale nous a habitué à des scénarios plus profonds la majorité du temps. Mais il ne faut pas bouder son plaisir ! Les bonnes choses sont rares ces temps ci. Compagnons lancez l'abordage sinon je vous envoie nourrir les poissons!
  24. Titre de l'album : Labyrinthus t2/2 Scenariste de l'album : Christophe Bec Dessinateur de l'album : Fabrice Neaud Coloriste : Fabrice Neaud Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Et si nous n'étions que des cobayes ? 2057. La Terre est en prise à un phénomène sans précédent : de mystérieuses cendres provenant d'étranges typhons recouvrent les paysages et villes d'une couche uniforme. Et partout dans le monde, les cas de maladies respiratoires mortelles se multiplient exponentiellement. Très vite, les autorités scientifiques et politiques sont unanimes : la Cendre est en réalité une arme de destruction massive envoyée pour décimer l'humanité ! Pour comprendre les origines de ce fléau et tenter de l'enrayer, une équipe est envoyée vers Phobos, satellite de Mars, qui abriterait le centre névralgique de la pandémie. En parallèle de la mission américaine, un autre vaisseau concurrent a été envoyé par les chinois. Les deux équipes découvrent que Phobos est en réalité un satellite artificiel conçu par une civilisation extraterrestre extrêmement avancée. La super intelligence artificielle qui dirige le satellite réside dans son coeur, mais pour y accéder, il faudra traverser toute une série de salles piégées. Phobos s'adapte et se réorganise en fonction des personnalités des personnes qui y pénètrent. Et tous ses pièges sont mortels... Critique : Allez c'est officiel, je ne suis pas (plu) client des scénarios de Christophe Bec. Sur ses séries à rallonge il me perd au bout de 3 tomes d'introductions. Alors cette série courte m'a fait de l'œil pour voir s’il réussissait à vraiment condenser son récit. La réponse est, pour moi, non. Pour tout vous dire c'est dommage car cette histoire ci... aurait mérité un tome de plus. 🙂 Oui oui. Car la première moitié de l'histoire, celle de l'exploration du "vaisseau" est pas loin d’être.... incompréhensible/illisible. Pour garder du temps pour développer sa conclusion, Bec va à 200 à l'heure sur l’exploration. On saute de scènes en scènes sans rien comprendre. On nous balance des sino russes à la tête qui ne servent à rien sauf à nous faire mélanger les personnages. Personnages qui, de par la coloration sombres, se ressemble tous avec leurs scaphandre ce qui fait qu'on ne reconnait pas qui est qui.... Bref une première partie brouillonne et inutilement dense. Et c'est dommage car la deuxième partie, avec l'explication, est, elle, vraiment bien pensée. Un peu "facile" mais bien pensée et réalisée. Et 'est ça qui est vraiment dommage : Pourquoi a t il fallut que Bec se force à nous mettre un coté barbouse tiré de Sanctuaire dans cette histoire ? Il aurait très bien resté sur une exploration simple et réfléchis qui en aurait été suivi d'exactement la même fin. Pourquoi a t il fallut qu'il ressorte les mêmes clichés sur la pensée humaine ? Bref un demi-tome qui mérite une demi-note. Un tome qui plaira peut être aux fans de bec mais qui n'ira pas plus loin. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/labyrinthus-tome-2-la-machine?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. poseidon2

    Labyrinthus t2/2

    Allez c'est officiel, je ne suis pas (plu) client des scénarios de Christophe Bec. Sur ses séries à rallonge il me perd au bout de 3 tomes d'introductions. Alors cette série courte m'a fait de l'œil pour voir s’il réussissait à vraiment condenser son récit. La réponse est, pour moi, non. Pour tout vous dire c'est dommage car cette histoire ci... aurait mérité un tome de plus. 🙂 Oui oui. Car la première moitié de l'histoire, celle de l'exploration du "vaisseau" est pas loin d’être.... incompréhensible/illisible. Pour garder du temps pour développer sa conclusion, Bec va à 200 à l'heure sur l’exploration. On saute de scènes en scènes sans rien comprendre. On nous balance des sino russes à la tête qui ne servent à rien sauf à nous faire mélanger les personnages. Personnages qui, de par la coloration sombres, se ressemble tous avec leurs scaphandre ce qui fait qu'on ne reconnait pas qui est qui.... Bref une première partie brouillonne et inutilement dense. Et c'est dommage car la deuxième partie, avec l'explication, est, elle, vraiment bien pensée. Un peu "facile" mais bien pensée et réalisée. Et 'est ça qui est vraiment dommage : Pourquoi a t il fallut que Bec se force à nous mettre un coté barbouse tiré de Sanctuaire dans cette histoire ? Il aurait très bien resté sur une exploration simple et réfléchis qui en aurait été suivi d'exactement la même fin. Pourquoi a t il fallut qu'il ressorte les mêmes clichés sur la pensée humaine ? Bref un demi-tome qui mérite une demi-note. Un tome qui plaira peut être aux fans de bec mais qui n'ira pas plus loin.
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