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  1. Titre de l'album : L'homme qui venait d'ailleurs Scenariste de l'album : Dan Watters , Walter Tevis Dessinateur de l'album : Dev Pramanik Coloriste : Dev Pramanik Editeur de l'album : Philéas Note : Résumé de l'album : Envoyé sur la Terre pour en rapatrier l'eau qui peut sauver sa planète, un extraterrestre va utiliser son savoir et sa technologie pour arriver à ses fins. Parvenu au sommet de la réussite et séduit par la vie terrienne, il oublie le but de sa mission... L'adaptation du film culte de Nicholas Roeg avec David Bowie d'après le roman de Walter Tevis. L'adaptation en roman graphique du film culte de 1976 avec David Bowie et réalisé par Nicholas Roeg ! Basé sur le roman de Walter Tevis, ce récit de science-fiction voit l'extraterrestre Thomas Jerome Newton atterrir sur Terre à la recherche d'eau pour sauver sa planète mourante et toute sa population. Grâce à ses connaissances scientifiques avancées, Thomas devient incroyablement riche et utilise sa richesse pour chercher un moyen de transporter l'eau vers sa planète natale. Mais alors que sa mission sur Terre s'éternise, Thomas est séduit par les excès de notre monde sans se douter qu'il est devenu une cible d'intérêt pour le gouvernement américain ainsi que pour une sinistre société privée désireuse de l'exploiter... Critique : Je dois bien avouer ne pas avoir vu , ni connaître ce film devenu culte ,avec David Bowie tenant le rôle principal , en 1976 . Je n'étais pas né , mais est-ce une excuse , tant cette histoire semble intemporelle , et même avant-gardiste ? On pense à un autre chef d'oeuvre de SF sorti à l'époque et animé d'un esprit similaire : Soleil vert . J'ai donc plongé dans cette histoire de fiction pas comme les autres avec curiosité . D'emblée , on assiste au crash (atterrissage) de notre "alien" aux yeux vairons . Pas d'aéronef ou autre ovni , on reste dans le subjectif . L'humanoïde ne perd pas de temps et débute immédiatement sa quête : trouver et ramener de l'eau pour sa planète . Sauf que , pour arriver à ses fins , il faut de l'argent ! Il va ainsi profiter de son avancée technologique supérieure et lancer des brevets innovants sur le marché mondial . La cupidité de l'homme va resurgir et influencer l'extra-terrestre jusque dans ses profonds retranchements ... Ajoutez à cela que sa famille lui manque ! Vous l'aurez compris ,on est pas dans de la SF pure et dure , il s'agit ici du parcours d'un self made "man" , son ascension et sa chute dans les méandres de l'humanité et ses vices . Le dessin ultra-réaliste de Dev Pramanik convient à merveille au sujet . Ses couleurs chaudes surgissent des pages et il réalise cependant des ombrages puissants , comme pour mieux souligner la noirceur du sujet . Les regards des protagonistes sont intenses ,autant que les échanges verbaux , et bien entendu , le "héros" possède les traits de feu David Bowie 😉 Une lecture intense , portée par un sujet contemporain , qui viendra garnir les étagères des fans du film et autres amateurs de SF "réelle" . Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-homme-qui-venait-d-ailleurs/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Kevin Nivek

    L'homme qui venait d'ailleurs

    Je dois bien avouer ne pas avoir vu , ni connaître ce film devenu culte ,avec David Bowie tenant le rôle principal , en 1976 . Je n'étais pas né , mais est-ce une excuse , tant cette histoire semble intemporelle , et même avant-gardiste ? On pense à un autre chef d'oeuvre de SF sorti à l'époque et animé d'un esprit similaire : Soleil vert . J'ai donc plongé dans cette histoire de fiction pas comme les autres avec curiosité . D'emblée , on assiste au crash (atterrissage) de notre "alien" aux yeux vairons . Pas d'aéronef ou autre ovni , on reste dans le subjectif . L'humanoïde ne perd pas de temps et débute immédiatement sa quête : trouver et ramener de l'eau pour sa planète . Sauf que , pour arriver à ses fins , il faut de l'argent ! Il va ainsi profiter de son avancée technologique supérieure et lancer des brevets innovants sur le marché mondial . La cupidité de l'homme va resurgir et influencer l'extra-terrestre jusque dans ses profonds retranchements ... Ajoutez à cela que sa famille lui manque ! Vous l'aurez compris ,on est pas dans de la SF pure et dure , il s'agit ici du parcours d'un self made "man" , son ascension et sa chute dans les méandres de l'humanité et ses vices . Le dessin ultra-réaliste de Dev Pramanik convient à merveille au sujet . Ses couleurs chaudes surgissent des pages et il réalise cependant des ombrages puissants , comme pour mieux souligner la noirceur du sujet . Les regards des protagonistes sont intenses ,autant que les échanges verbaux , et bien entendu , le "héros" possède les traits de feu David Bowie 😉 Une lecture intense , portée par un sujet contemporain , qui viendra garnir les étagères des fans du film et autres amateurs de SF "réelle" .
  3. Titre de l'album : La Bulle - Bienvenue sur adenaom Scenariste de l'album : Gabriele Bagnoli Dessinateur de l'album : Gabriele Bagnoli Coloriste : Gabriele Bagnoli Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Quand Welling (12 ans) et Moé (6 ans) se réveillent ce matin, ils ne sont plus dans leur orphelinat mais sur une île étrange. Équipée d’installations super high-tech, elle accueille une centaine d’autres enfants qui ne savent pas non plus comment ils sont arrivés là. Rapidement, une voix les informe qu’une guerre nucléaire a ravagé la Terre et qu’ils sont les seuls survivants. Ce qu’ils ont pris pour une île est en réalité un lieu protégé par une bulle géante qui les préserve de l’air irrespirable du dehors : Adenaom. Ils font partie du projet scientifique de Stavanger, un savant visionnaire, fondateur des OPE (les Orphelinats Privés d’Excellence), qui a mis au point ce lieu de survie régi par une puissante IA, afin de sauver la dernière génération d’humains sur Terre. Tout semble prévu, sous contrôle, mais pourtant, Welling n’est pas à l’aise. Elle va devoir veiller sur son petit frère Moé (6 ans), faire connaissance avec les autres orphelins, découvrir l’île et, rapidement, elle va devoir choisir son camp… Faire tout ce que demande l’IA sans réfléchir ou se poser des questions et essayer de comprendre pourquoi et comment ils se sont tous retrouvés ici ? Pourquoi seuls des orphelins ont-ils été sauvés ? Pourquoi obéir à l’Intelligence Artificielle qui, sous prétexte de sécurité, ne laisse aucune liberté, aucun choix possible aux enfants ? À qui se fier ? Kostia, Zinder et les autres sont-ils vraiment des alliés, des amis ? Quel est ce mystérieux code FH4 écrit à la main sur l’un des bâtiments de l’île ? Qu’y a-t-il au-delà de la bulle de protection qui recouvre Adenaom ? Sont-ils réellement les derniers survivants de la planète ? Welling et ses amis vont faire preuve de courage en s’opposant à l’IA afin de découvrir ce que recèle Adenaom. Critique : Avec la bulle, le jeune public a droit à un récit de science-fiction digne de film tel que Le Labyrinthe. Pour l'histoire, plusieurs enfants orphelins se réveillent sur une île avec un message enregistré leur indiquant la fin du monde. On suit tous ces jeunes dans cet endroti parfaisaique au premier abord, où tout est prévu pour leur apporter leur besoin et amusement via une technologie de pointe. Cependant, un groupe rebelle va remettre en cause la fin du monde et s'organise. Le scénario est bien ficelé pour que les plus jeunes se prennent au jeu et avancent dans l'histoire pour découvrir la vérité. Les dessins de Gabriele Bagnoli sont de qualité pour dépeindre ce petit paradis futuriste. La bulle devrait convaincre facilement son public pour tous les jeunes attirés par des histoires de science-fiction ou pour avoir une première approche avec ce genre. Autres infos : Edition : Auzou Type de l'album : Livre pour enfants Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/abaddon-tome-1-si-nai Voir la totalité de enregistrement
  4. alx23

    La Bulle - Bienvenue sur adenaom

    Avec la bulle, le jeune public a droit à un récit de science-fiction digne de film tel que Le Labyrinthe. Pour l'histoire, plusieurs enfants orphelins se réveillent sur une île avec un message enregistré leur indiquant la fin du monde. On suit tous ces jeunes dans cet endroti parfaisaique au premier abord, où tout est prévu pour leur apporter leur besoin et amusement via une technologie de pointe. Cependant, un groupe rebelle va remettre en cause la fin du monde et s'organise. Le scénario est bien ficelé pour que les plus jeunes se prennent au jeu et avancent dans l'histoire pour découvrir la vérité. Les dessins de Gabriele Bagnoli sont de qualité pour dépeindre ce petit paradis futuriste. La bulle devrait convaincre facilement son public pour tous les jeunes attirés par des histoires de science-fiction ou pour avoir une première approche avec ce genre.
  5. Six mois après avoir découvert A walk through hell de Garth Ennis et Goran Sudzuka, les éditions Black river nous proposent Marjorie Finnegan des deux mêmes auteurs. Garth Ennis en pleine forme avec ce one shot nous embarque dans un récit de science-fiction avec beaucoup d'action et d'humour déjanté. Bien évidement on retrouve les provocations d'Ennis qui sont devenus sa marque de fabrique au fur et à mesure de ses productions. Si vous appréciez cette caractéristique, vous passerez un très bon moment de lecture avec Marjorie Finnegan, cette voleuse peu délicate avec son ami docteur douze, un fusil à pompe. Les voyages dans le temps donnent un prétexte à l'auteur pour faire parcourir sa voleuse excentrique sans scrupule dans des époques clés de l'histoire du monde pour les parodier, comme une fusillade en pleine cérémonie funéraire d’un pharaon. L'auteur ajoute le diable à l'histoire qui n'est autre que l'ex de Marjorie, le seigneur du mal, une sœur shérif des affaires temporelles et une tête pour voyager dans le temps. Garth Ennis s'amuse du voyage dans le temps pour exploiter les incohérences. Les deux auteurs seront en France prochainement au le Paris Fan Festival et en dédicace à Angers. La lecture de Marjorie Finnefan permet de passer un bon moment entre humour et violence avec des voyages dans le temps.
  6. Titre de l'album : Marjorie Finnegan - Criminelle temporelle Scenariste de l'album : Garth Ennis Dessinateur de l'album : Goran Sudzuka Coloriste : Miroslav Mrva Editeur de l'album : Black River Note : Résumé de l'album : Marjorie se balade à travers les époques pour dérober tout ce qui lui fait envie et en profite pour faire tourner en bourrique le monde entier, en particulier sa soeur, chargée de la mettre sous les verrous. Tout ce que Marjorie veut faire, c'est parcourir le Temps et voler tous les objets précieux qu'elle peut. Mais son parcours de voleuse, du Big Bang au 95e Reich, ne passe pas inaperçu. Elle attire l'attention du marshall adjoint, un enquêteur acharné de la police temporelle mais aussi de son ex, un sale type. Ce dernier et son partenaire encore plus pourri ont l'intention d'utiliser sa technologie temporelle pour changer l'histoire à leur propre avantage. Le seul allié de Marjorie ? Un gars appelé Tim. Et c'est juste une tête... Critique : Six mois après avoir découvert A walk through hell de Garth Ennis et Goran Sudzuka, les éditions Black river nous proposent Marjorie Finnegan des deux mêmes auteurs. Garth Ennis en pleine forme avec ce one shot nous embarque dans un récit de science-fiction avec beaucoup d'action et d'humour déjanté. Bien évidement on retrouve les provocations d'Ennis qui sont devenus sa marque de fabrique au fur et à mesure de ses productions. Si vous appréciez cette caractéristique, vous passerez un très bon moment de lecture avec Marjorie Finnegan, cette voleuse peu délicate avec son ami docteur douze, un fusil à pompe. Les voyages dans le temps donnent un prétexte à l'auteur pour faire parcourir sa voleuse excentrique sans scrupule dans des époques clés de l'histoire du monde pour les parodier, comme une fusillade en pleine cérémonie funéraire d’un pharaon. L'auteur ajoute le diable à l'histoire qui n'est autre que l'ex de Marjorie, le seigneur du mal, une sœur shérif des affaires temporelles et une tête pour voyager dans le temps. Garth Ennis s'amuse du voyage dans le temps pour exploiter les incohérences. Les deux auteurs seront en France prochainement au le Paris Fan Festival et en dédicace à Angers. La lecture de Marjorie Finnefan permet de passer un bon moment entre humour et violence avec des voyages dans le temps. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/marjorie-finnegan-criminelle-temporelle/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Titre de l'album : Les futurs de Liu Cixin - Au-delà des montagnes Scenariste de l'album : Eduard Torrents Dessinateur de l'album : Ruben Pellejero Coloriste : Ruben Pellejero Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Stationné à l'aplomb exact de la Terre au-dessus de l'océan, un astronef extra-terrestre provoque une absence totale de gravité. Les flots, comme aspirés vers le ciel, entraînent la formation d'un cyclone abyssal, et notre atmosphère s'échappe par la brèche causée par l'astronef. Le géologue Feng Fan va gravir cette monstrueuse colonne d'eau avec l'espoir d'entrer en contact avec son équipage. Critique : Le rythme effréné se poursuit pour cette série des futurs de Liu Cixin. Le scénariste Eduard Torrents se charge de cette nouvelle adaptation en bande dessinée des nouvelles et romans de l'auteur de science-fiction à succès. Cette histoire est pratiquement en huit clos avec le dialogue entre un humains et un extraterrestre de leur condition de vie et aussi du besoin d'aller plus haut et de franchir des obstacles. J'avais découvert et apprécié les dessins de Ruben Pellejero avec son travail sur les derniers tomes de Corto Mastese. Avec Au-delà des montagnes, l'auteur réussit à mettre en image une histoire par très évidente avec très peu de décor puisqu'une grande partie se déroule en mer et une autre en présence d’un extraterrestre dans des décors minimalistes. J'ai eu un peu de mal à rentrer dans cette histoire mais je pense que toute les nouvelles et romans ne sont pas forcément adaptables en bande dessinée. Sinon on retrouve bien le style de Liu Cixin avec ces descriptions très scientifiques et seulement les adapetes de l’auteur trouveront leur compte. Le rythme est très lent mais aussi le manque d’action ne joue pas en la faveur de cette histoire. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-futurs-de-liu-cixin-au-dela-des-montagnes?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Le rythme effréné se poursuit pour cette série des futurs de Liu Cixin. Le scénariste Eduard Torrents se charge de cette nouvelle adaptation en bande dessinée des nouvelles et romans de l'auteur de science-fiction à succès. Cette histoire est pratiquement en huit clos avec le dialogue entre un humains et un extraterrestre de leur condition de vie et aussi du besoin d'aller plus haut et de franchir des obstacles. J'avais découvert et apprécié les dessins de Ruben Pellejero avec son travail sur les derniers tomes de Corto Mastese. Avec Au-delà des montagnes, l'auteur réussit à mettre en image une histoire par très évidente avec très peu de décor puisqu'une grande partie se déroule en mer et une autre en présence d’un extraterrestre dans des décors minimalistes. J'ai eu un peu de mal à rentrer dans cette histoire mais je pense que toute les nouvelles et romans ne sont pas forcément adaptables en bande dessinée. Sinon on retrouve bien le style de Liu Cixin avec ces descriptions très scientifiques et seulement les adapetes de l’auteur trouveront leur compte. Le rythme est très lent mais aussi le manque d’action ne joue pas en la faveur de cette histoire.
  9. alx23

    Clear

    Clear est le deuxième titre après Démons du studio de création de Scott Snyder, nommé BJP pour Best Jackett Press. On retrouve d'ailleurs Snyder au scénario de ce one shot assez percutant et original. Dans le futur plus ou moins éloigné et suite à des guerres, un nouveau procédé technologique permet aux utilisateurs de connecter leur cerveau à internet et ainsi pouvoir mettre en place des filtres, pour permettre de modifier le regard sur la triste réalité. L'histoire est un mélange de genre entre policier, thriller et science-fiction. On est vite entrainé avec le héros dans cette quête de vérité où l’on est surpris par les rebondissements. Cette thématique permet à Francis Manapul de s'amuser à dessiner plusieurs styles différents surtout durant les scènes d'action, d'une case à l'autre. Ainsi on passe du réaliste à des dessins fantaisistes ou voir cartoon. L’auteur nous en met plein la vue avec cette ville où tous les filtre et visuels sont possibles. L'idée centrale de l'histoire est sympa avec les filtres virtuels neurologiques permettant de modifier la réalité où toute la population vie dans un monde numérique utopique. Scott Snyder confirme son statut de bon scénariste avec cette histoire maitrisée, dont la construction rappelle beaucoup le film Blade Runner.
  10. alx23

    Clear

    Titre de l'album : Clear Scenariste de l'album : Scott Snyder Dessinateur de l'album : Francis Manapul Coloriste : Francis Manapul Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Il est devenu possible d'adapter la réalité à nos propres préférences (modes steampunk, porno, médieval, etc.), tandis que le monde reste statique. Merveilleux, non ? Pas vraiment... SAM DUNE, un ancien flic devenu détective privé, enquête sur un suicide. Dune vit en mode CLEAR, sans aucun filtre. Il voit le monde tel qu'il est vraiment. La victime est son ex-femme, et elle n'avait rien de suicidaire... Critique : Clear est le deuxième titre après Démons du studio de création de Scott Snyder, nommé BJP pour Best Jackett Press. On retrouve d'ailleurs Snyder au scénario de ce one shot assez percutant et original. Dans le futur plus ou moins éloigné et suite à des guerres, un nouveau procédé technologique permet aux utilisateurs de connecter leur cerveau à internet et ainsi pouvoir mettre en place des filtres, pour permettre de modifier le regard sur la triste réalité. L'histoire est un mélange de genre entre policier, thriller et science-fiction. On est vite entrainé avec le héros dans cette quête de vérité où l’on est surpris par les rebondissements. Cette thématique permet à Francis Manapul de s'amuser à dessiner plusieurs styles différents surtout durant les scènes d'action, d'une case à l'autre. Ainsi on passe du réaliste à des dessins fantaisistes ou voir cartoon. L’auteur nous en met plein la vue avec cette ville où tous les filtre et visuels sont possibles. L'idée centrale de l'histoire est sympa avec les filtres virtuels neurologiques permettant de modifier la réalité où toute la population vie dans un monde numérique utopique. Scott Snyder confirme son statut de bon scénariste avec cette histoire maitrisée, dont la construction rappelle beaucoup le film Blade Runner. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/clear/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. alx23

    Avatar - Le champ céleste tome 1

    Le champ céleste débute une nouvelle trilogie dans l'univers d’Avatar, l'histoire se déroule une dizaine d'années après le premier film et se finira juste avant Avatar 2, La Voie de l'eau. L'histoire se base sur un scénario original de James Cameron qui devait servir d'intrigue pour le deuxième film. Ce premier tome propose de remettre en place le contexte avec les événements qui se sont déroulés après la victoire des na’vis et comment ils ont appris à vivre en paix avec les humains restés sur Pandora. L'histoire est assez basique et manque d’intensité, on participe une fois de plus à comment dompter les banshees. L'auteur a du mal à donner de l'intérêt à son histoire où l'on suit les habitants vivant paisiblement sur Pandora. Les dessins sont classiques pour dépeindre ce monde aux créatures bleues dans des décors fluos. Cette introduction ne captive pas beaucoup avec une lecture très plate, en espérant que la suite apporte plus de matière aux auteurs pour redonner de l'intérêt à l'univers étendu.
  12. Titre de l'album : Avatar - Le champ céleste tome 1 Scenariste de l'album : Sherri L. Smith Dessinateur de l'album : Guilherme Balbi Coloriste : Michael Atiyeh, Wes Dzioba Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Cela fait presque une décennie que les humains ont été forcés de quitter Pandora. Mais ils sont de retour avec une armada de vaisseaux lourdement armés ! Après des années de paix, Jake Sully s'est installé avec Neytiri et a fondé une famille. Pour lui, les enjeux sont donc encore plus importants que la dernière fois où il est entré en guerre contre la puissance corporative de la RDA. Critique : Le champ céleste débute une nouvelle trilogie dans l'univers d’Avatar, l'histoire se déroule une dizaine d'années après le premier film et se finira juste avant Avatar 2, La Voie de l'eau. L'histoire se base sur un scénario original de James Cameron qui devait servir d'intrigue pour le deuxième film. Ce premier tome propose de remettre en place le contexte avec les événements qui se sont déroulés après la victoire des na’vis et comment ils ont appris à vivre en paix avec les humains restés sur Pandora. L'histoire est assez basique et manque d’intensité, on participe une fois de plus à comment dompter les banshees. L'auteur a du mal à donner de l'intérêt à son histoire où l'on suit les habitants vivant paisiblement sur Pandora. Les dessins sont classiques pour dépeindre ce monde aux créatures bleues dans des décors fluos. Cette introduction ne captive pas beaucoup avec une lecture très plate, en espérant que la suite apporte plus de matière aux auteurs pour redonner de l'intérêt à l'univers étendu. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/avatar-le-champ-celeste-tome-1/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Titre de l'album : Les futurs de Liu Cixin - L'ère des anges Scenariste de l'album : Sylvain Runberg Dessinateur de l'album : Ma Yi Coloriste : Ma Yi Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Un scientifique africain décide de reprendre le destin de son pays en main. Malgré leurs moyens financiers ou technologiques, les pays développés ne parviennent pas à sortir son pays de la famine. Les fabuleuses ressources de l'Afrique finissent toujours par pervertir l'aide étrangère. Le brillant Dr Ita veut s'affranchir d'un système devenu pernicieux, grâce à une solution génétique contestée. Critique : Avec l'ère des anges, le scénariste Sylvain Runberg signe sa deuxième adaptation des romans et nouvelles de Liu Cixin, ce romancier SF qui rencontre un énorme succès actuellement. Dans ce tome, on découvre un conflit proche de la réalité avec l'exploitation des ressources et richesses d'un pays africain par d'autres nations lourdement armées, avant de basculer dans la science-fiction. Liu Cixin propose souvent des récits très crédibles en se basant sur des notions possibles pour construire ses intrigues. Une fois de plus la science est au milieu de ce récit avec ce jeune prodige qui souhaite régler le problème de la famine dans le monde entier pour éviter aux plus démunis de souffrir. L'album est scindé en deux partie avec le démarrage pour introduire l'histoire avant de basculer sur la partie fiction dans des affrontements inévitables. La partie graphique de Ma Yi est parfaite, dans style originale et réaliste dans les limites du possible. On retrouve un panneau dépliable sur trois pages pour donner une vision panoramique d'une scène d'action qui fait maintenant partie de la marque de fabrique des adaptations de Liu Cixin en BD. Les amateurs de SF trouveront leur compte avec un dessin travaillé et ces adaptations permettent à de nouveaux lecteurs de découvrir cet auteur. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-futurs-de-liu-cixin-l-ere-des-anges/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Avec l'ère des anges, le scénariste Sylvain Runberg signe sa deuxième adaptation des romans et nouvelles de Liu Cixin, ce romancier SF qui rencontre un énorme succès actuellement. Dans ce tome, on découvre un conflit proche de la réalité avec l'exploitation des ressources et richesses d'un pays africain par d'autres nations lourdement armées, avant de basculer dans la science-fiction. Liu Cixin propose souvent des récits très crédibles en se basant sur des notions possibles pour construire ses intrigues. Une fois de plus la science est au milieu de ce récit avec ce jeune prodige qui souhaite régler le problème de la famine dans le monde entier pour éviter aux plus démunis de souffrir. L'album est scindé en deux partie avec le démarrage pour introduire l'histoire avant de basculer sur la partie fiction dans des affrontements inévitables. La partie graphique de Ma Yi est parfaite, dans style originale et réaliste dans les limites du possible. On retrouve un panneau dépliable sur trois pages pour donner une vision panoramique d'une scène d'action qui fait maintenant partie de la marque de fabrique des adaptations de Liu Cixin en BD. Les amateurs de SF trouveront leur compte avec un dessin travaillé et ces adaptations permettent à de nouveaux lecteurs de découvrir cet auteur.
  15. alx23

    Not a robots

    Mark Russell m'avait bien amusé et marqué avec le retour du messie sortie également aux éditions Delcourt, donc je surveillais les nouvelles parutions en français de cet auteur. Avec Not all robots, l'auteur nous propose une critique de notre société, sous la forme d'une histoire de science-fiction avec des robots et leurs problématiques. Les robots remplacent l’homme au travail sans se plaindre et en étant plus efficaces et sans fuite. De leur coté, les humains se sentent inutiles dans cette société en perdition. Un malaise commence à se faire ressentir aussi bien chez les robots dotés d’une conscience que chez les humains. Les robots travaillent de trop et doivent s’occuper de leur famille d’humains trop fragiles et les humains vivent dans la peur des bugs souvent mortels de leurs robots. La partie graphique est de grande qualité pour dépeindre ce monde futuriste dans un style très réaliste. Les robots forcément très nombreux dans ce récit sont très bien représentés. La couverture est assez amusante en reprenant un célèbre tableau américain avec des robots à la place du couple de paysan. Not a robot est un one shot intéressant est très bien pensé, avec des dialogues et réflexions qui sont bien trouvés pour les robots.
  16. alx23

    Not a robots

    Titre de l'album : Not a robots Scenariste de l'album : Mark Russell Dessinateur de l'album : Mike Deodato Jr. Coloriste : Lee Loughridge Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : En 2056, les robots ont remplacé les êtres humains sur le marché du travail. La coexistence est difficile entre les robots et les dix milliards de terriens. Chaque famille humaine dispose d'un robot dont elle dépend entièrement. Le robot des Walter, Razorball, passe - de façon assez inquiétante - tout son temps libre dans le garage à construire des machines conçues pour tuer sa famille d'accueil... Critique : Mark Russell m'avait bien amusé et marqué avec le retour du messie sortie également aux éditions Delcourt, donc je surveillais les nouvelles parutions en français de cet auteur. Avec Not all robots, l'auteur nous propose une critique de notre société, sous la forme d'une histoire de science-fiction avec des robots et leurs problématiques. Les robots remplacent l’homme au travail sans se plaindre et en étant plus efficaces et sans fuite. De leur coté, les humains se sentent inutiles dans cette société en perdition. Un malaise commence à se faire ressentir aussi bien chez les robots dotés d’une conscience que chez les humains. Les robots travaillent de trop et doivent s’occuper de leur famille d’humains trop fragiles et les humains vivent dans la peur des bugs souvent mortels de leurs robots. La partie graphique est de grande qualité pour dépeindre ce monde futuriste dans un style très réaliste. Les robots forcément très nombreux dans ce récit sont très bien représentés. La couverture est assez amusante en reprenant un célèbre tableau américain avec des robots à la place du couple de paysan. Not a robot est un one shot intéressant est très bien pensé, avec des dialogues et réflexions qui sont bien trouvés pour les robots. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/not-all-robots-one-shot-not-all-robots?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. alx23

    No future

    No future propose de suivre l’enquête D’Halen Brennan une mercenaire au tempérament bien trempé, à la solde d’une compagnie de tourisme interstellaire et de Jean-Claude Belmondeau, un voleur doué de ses mains. La rencontre des deux personnages fait des étincelles dans cette ville futuriste où le couple dénote par leur attitude et leur façon de penser. Eric Corbeyran écrit avec No future, son titre le plus loufoque et barré de sa carrière. On se prend vite au jeu du couple dans leur aventure incroyable avec beaucoup d’humour dans les situations et les dialogues. Les clins d’œil sont nombreux tout au long de l’album, pour les références du genre. Les dessins de Jef participent grandement au plaisir de lecture, il faut reconnaitre que l’auteur est très pointilleux avec des planches très chargés avec de nombreux détails et personnages rendant la ville annimée. Il est amusant de voir une course poursuite entre une R16 d’époque et un véhicule. J’ai lu ce tome de No future comme un délire des auteurs pour mettre en image une histoire d’action et humour dans le futur avec un style très réaliste.
  18. alx23

    No future

    Titre de l'album : No future Scenariste de l'album : Eric Corbeyran Dessinateur de l'album : Jef Coloriste : Jef Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : La présidente de la compagnie Stella, leadeur dans le tourisme spatial, recrute Halen Brennan, une mercenaire réputée pour ses méthodes expéditives avec mission de récupérer d'importants documents et d'éliminer l'audacieux voleur. Fidèle aux antiques addictions gagnées à l'école de la rue, la badass se confronte à Jean-Claude Belmondeau, un activiste tout aussi inadapté à ce futur écolo-techno-bobo... Critique : No future propose de suivre l’enquête D’Halen Brennan une mercenaire au tempérament bien trempé, à la solde d’une compagnie de tourisme interstellaire et de Jean-Claude Belmondeau, un voleur doué de ses mains. La rencontre des deux personnages fait des étincelles dans cette ville futuriste où le couple dénote par leur attitude et leur façon de penser. Eric Corbeyran écrit avec No future, son titre le plus loufoque et barré de sa carrière. On se prend vite au jeu du couple dans leur aventure incroyable avec beaucoup d’humour dans les situations et les dialogues. Les clins d’œil sont nombreux tout au long de l’album, pour les références du genre. Les dessins de Jef participent grandement au plaisir de lecture, il faut reconnaitre que l’auteur est très pointilleux avec des planches très chargés avec de nombreux détails et personnages rendant la ville annimée. Il est amusant de voir une course poursuite entre une R16 d’époque et un véhicule. J’ai lu ce tome de No future comme un délire des auteurs pour mettre en image une histoire d’action et humour dans le futur avec un style très réaliste. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/no-future?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. alx23

    Fahrenheit 451

    Fahrenheit 451 est devenu avec les années un roman culte de Ray Bradbury avec sa thématique très particulière pour un récit d'anticipation. En effet, dans cette société proche de la nôtre, les livres sont devenus interdits comme jugés trop dangereux pour l'équilibre et la paix des nations. Les pompiers n'éteignent plus les feux mais les allument en brulant tous les livres conservés illégalement par quelques individus. Tim Hamilton se charge de cette adaptation en restant fidèle au récit de Bradbury. On suit donc un pompier qui commence à remettre en question son métier et le système dans lequel il vit. Plusieurs éléments et évènement le pousseront dans une réflexion et surtout à réfléchir. Cet album est divisé en trois parties distinctes avec de plus en plus d’action une fois le contexte donné. L'auteur se charge également des dessins avec des couleurs sombres pour accompagner à merveilles l'histoire angoissante de cette société privée de liberté. Les lecteurs ne connaissant pas ce classique de la littérature américaine pourront le découvrir par le biais de cette bande dessinée et les auteurs pourront se replonger dans ce récit d'anticipation culte. L'album s'ouvre avec quelques explications de Ray Bradbury et ses sources d'inspirations.
  20. alx23

    Fahrenheit 451

    Titre de l'album : Fahrenheit 451 Scenariste de l'album : Tim Hamilton Dessinateur de l'album : Tim Hamilton Coloriste : Tim Hamilton Editeur de l'album : Philéas Note : Résumé de l'album : Dans un futur proche, Guy Montag est pompier. Mais dans cette société dystopique, les pompiers ont pour mission de brûler les livres ainsi que les maisons de leurs détenteurs : la détention de livre est un délit. 451 degrés Fahrenheit représentent la température à laquelle un livre s'enflamme et se consume. Dans cette société future où la lecture, source de questionnement et de réflexion, est considérée comme un acte antisocial, un corps spécial de pompiers est chargé de brûler tous les livres dont la détention est interdite pour le bien collectif. Guy Montag, le pompier pyromane, se met pourtant à rêver d'un monde différent, qui ne bannirait pas la littérature et l'imaginaire au profit d'un bonheur immédiatement consommable. Il devient dès lors un dangereux criminel, impitoyablement pourchassé par une société qui désavoue son passé. Bradbury y critique les méfaits de l'émergence d'une culture de masse. Comme le décrit le pompier Beatty dans le roman, l'émergence d'une telle société n'a été rendue possible que par l'émergence d'une culture de masse, facilitée par la déliquescence du système scolaire : " Le cinéma et la radio, les magazines, les livres sont nivelés par le bas en une vaste soupe ". Les gens se sont désintéressés de la culture et ont préféré faire du sport ou regarder la télévision. Critique : Fahrenheit 451 est devenu avec les années un roman culte de Ray Bradbury avec sa thématique très particulière pour un récit d'anticipation. En effet, dans cette société proche de la nôtre, les livres sont devenus interdits comme jugés trop dangereux pour l'équilibre et la paix des nations. Les pompiers n'éteignent plus les feux mais les allument en brulant tous les livres conservés illégalement par quelques individus. Tim Hamilton se charge de cette adaptation en restant fidèle au récit de Bradbury. On suit donc un pompier qui commence à remettre en question son métier et le système dans lequel il vit. Plusieurs éléments et évènement le pousseront dans une réflexion et surtout à réfléchir. Cet album est divisé en trois parties distinctes avec de plus en plus d’action une fois le contexte donné. L'auteur se charge également des dessins avec des couleurs sombres pour accompagner à merveilles l'histoire angoissante de cette société privée de liberté. Les lecteurs ne connaissant pas ce classique de la littérature américaine pourront le découvrir par le biais de cette bande dessinée et les auteurs pourront se replonger dans ce récit d'anticipation culte. L'album s'ouvre avec quelques explications de Ray Bradbury et ses sources d'inspirations. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : http://www.bdfugue.com/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. alx23

    La compagnie rouge

    Titre de l'album : La compagnie rouge Scenariste de l'album : Simon Treins Dessinateur de l'album : Jean-Michel Ponzio Coloriste : Jean-Michel Ponzio Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Dans un lointain futur, les guerres ne font plus de mort, mais sont un sport, mené par des robots de combat contrôlés à distance par des mercenaires. Fasciné comme tous les ados par ces mercenaires, le jeune Flint va choisir de quitter sa planète agricole pour les suivre dans leurs missions, dans l'espoir de devenir l'un d'eux, pour le meilleur et pour le pire. Critique : C'est avec un grand plaisir que j'ai découvert cet excellent space opera avec ce double album. Le scénariste Simon Treins nous livre une histoire prenante et originale avec des mercenaires pour héros. Un jeune homme est recruté lors d'une mission et aura pour rôle les archives de la compagnie, par ce procédé les auteurs peuvent nous expliquer le contexte et l'histoire du vaisseau et de la compagnie rouge. Lors des conflits, les mercenaires utilisent des robots et des drones de combats pour régler les problématiques. Quelques références en clin d'œil à des films du genre sont les amusantes et bien placées. La partie graphique de Jean-Michel Ponzio est vraiment remarquable avec son style photoréaliste avec des couleurs numériques. Son style pourra peut-être déstabiliser les non-initiés mais je reste contemplatif devant tous les détails des planches avec les vaisseaux et les scènes de combats dans l'espace. Le seul reproche à faire serait sur les gros plans des visages qui semblent figés sur quelques cases. La compagnie rouge conviendra à tous les lecteurs amateurs de récits de science-fiction et space opera. La fin est un peu expéditive à mon goût mais reste ouverte donc j'espère qu'on aura droit à une suite surtout avec le potentiel possible à développer sur cette base solide. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-compagnie-rouge-tome-1-premier-sang?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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    La compagnie rouge

    C'est avec un grand plaisir que j'ai découvert cet excellent space opera avec ce double album. Le scénariste Simon Treins nous livre une histoire prenante et originale avec des mercenaires pour héros. Un jeune homme est recruté lors d'une mission et aura pour rôle les archives de la compagnie, par ce procédé les auteurs peuvent nous expliquer le contexte et l'histoire du vaisseau et de la compagnie rouge. Lors des conflits, les mercenaires utilisent des robots et des drones de combats pour régler les problématiques. Quelques références en clin d'œil à des films du genre sont les amusantes et bien placées. La partie graphique de Jean-Michel Ponzio est vraiment remarquable avec son style photoréaliste avec des couleurs numériques. Son style pourra peut-être déstabiliser les non-initiés mais je reste contemplatif devant tous les détails des planches avec les vaisseaux et les scènes de combats dans l'espace. Le seul reproche à faire serait sur les gros plans des visages qui semblent figés sur quelques cases. La compagnie rouge conviendra à tous les lecteurs amateurs de récits de science-fiction et space opera. La fin est un peu expéditive à mon goût mais reste ouverte donc j'espère qu'on aura droit à une suite surtout avec le potentiel possible à développer sur cette base solide.
  23. Les adaptations des nouvelles et romans de Liu Cixin un romancier de SF à succès se poursuit avec un récit d'anticipation de guerre et conflits politiques. L'histoire trouve sa partie de science-fiction avec une énorme station spatiale dans l'espace se rapprochant du soleil. En effet, la problématique reposera sur les communications durant les combats et comment les brouiller pour l’ennemi et ainsi prendre l’avantage. Marko Stojanovic apporte trop de dialogues ou de passages sans grand intérêt avec pour résultat, une perte de fluidité lors de la lecture. Les adaptations de romans ne sont pas toujours évidentes et surtout ne se prêtent pas toujours à tous les médias. L'album est assez important en pagination avec une centaine de pages. La partie graphique de Maza est remarquable avec des planches impressionnantes lors des scènes de guerre ou de batailles avec les machines de guerre en action. Le style des dessins se veut réaliste et crédibilise l'ensemble de l'histoire. On retrouve deux panneaux sur trois pages comme pour les tomes précédents. Brouillage intégral est certainement le récit le plus proche de notre époque actuelle sur les huit adaptations de Liu Cixin, très axé sur la guerre par rapport à la SF.
  24. Titre de l'album : Les futurs de Liu Cixin - Brouillage intégral Scenariste de l'album : Marko Stojanovic Dessinateur de l'album : Maza Coloriste : Desko Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Une Troisième Guerre mondiale oppose les membres de l'OTAN à la Russie, un conflit interminable, tactique, technologique et sanglant. Pour gagner du temps en attendant un rassemblement de troupes, le général Levchenko décide d'agir sur le brouillage des transmissions. Les rayonnements solaires, qui influencent la propagation des ondes de surface, pourraient changer l'issue des combats... Critique : Les adaptations des nouvelles et romans de Liu Cixin un romancier de SF à succès se poursuit avec un récit d'anticipation de guerre et conflits politiques. L'histoire trouve sa partie de science-fiction avec une énorme station spatiale dans l'espace se rapprochant du soleil. En effet, la problématique reposera sur les communications durant les combats et comment les brouiller pour l’ennemi et ainsi prendre l’avantage. Marko Stojanovic apporte trop de dialogues ou de passages sans grand intérêt avec pour résultat, une perte de fluidité lors de la lecture. Les adaptations de romans ne sont pas toujours évidentes et surtout ne se prêtent pas toujours à tous les médias. L'album est assez important en pagination avec une centaine de pages. La partie graphique de Maza est remarquable avec des planches impressionnantes lors des scènes de guerre ou de batailles avec les machines de guerre en action. Le style des dessins se veut réaliste et crédibilise l'ensemble de l'histoire. On retrouve deux panneaux sur trois pages comme pour les tomes précédents. Brouillage intégral est certainement le récit le plus proche de notre époque actuelle sur les huit adaptations de Liu Cixin, très axé sur la guerre par rapport à la SF. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-futurs-de-liu-cixin-brouillage-integral?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Dur de ne pas évoquer l'aspect graphique quand on va parler de ce Comics indé. C'est époustouflant. Clairement oui, et cela doit autant au travail du dessinateur Simone Di Meo qu'à la coloriste Mariasara Miotti. A couper le souffle donc. Mais cela ne plaira clairement pas à tout le monde, je pense notamment aux amateurs de ligne claire ou au aficionados du trait de crayon. Reste que le boulot fait sur les effets de lumière est dantesque et remarquable, personnellement j'ai adoré, même s'il m'a fallut un sacré temps d'adaptation, notamment sur les scènes "d'action". Oui, "We only find them when they are dead" se mérite. Il va vous prendre du temps de lecture et de contemplation. Il va vous demander un peu de compréhension aussi, car les choix narratifs forts rendent parfois certains passages un peu nébuleux de prime abord. Reste le meilleur : un grand space opéra intimiste mais aux enjeux grandioses, dans un univers original et à priori maîtrisé qui donne envie avec son final de lire la suite très très vite. Alors pourquoi ce 4,5 au lieu d'un 5 à priori mérité ? Simplement car certaines scènes auraient tout de même gagné en lisibilité je trouve, sans dénaturer pour autant l'oeuvre. Et puis c'est aussi juste un premier tome, et il faudra voir si la suite tiendra ses riches promesses. Mais si vous aimez la SF, et que le graphisme vous donne envie, foncez, peu de chances d'être déçus.
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