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  1. alx23

    Fahrenheit 451

    Titre de l'album : Fahrenheit 451 Scenariste de l'album : Tim Hamilton Dessinateur de l'album : Tim Hamilton Coloriste : Tim Hamilton Editeur de l'album : Philéas Note : Résumé de l'album : Dans un futur proche, Guy Montag est pompier. Mais dans cette société dystopique, les pompiers ont pour mission de brûler les livres ainsi que les maisons de leurs détenteurs : la détention de livre est un délit. 451 degrés Fahrenheit représentent la température à laquelle un livre s'enflamme et se consume. Dans cette société future où la lecture, source de questionnement et de réflexion, est considérée comme un acte antisocial, un corps spécial de pompiers est chargé de brûler tous les livres dont la détention est interdite pour le bien collectif. Guy Montag, le pompier pyromane, se met pourtant à rêver d'un monde différent, qui ne bannirait pas la littérature et l'imaginaire au profit d'un bonheur immédiatement consommable. Il devient dès lors un dangereux criminel, impitoyablement pourchassé par une société qui désavoue son passé. Bradbury y critique les méfaits de l'émergence d'une culture de masse. Comme le décrit le pompier Beatty dans le roman, l'émergence d'une telle société n'a été rendue possible que par l'émergence d'une culture de masse, facilitée par la déliquescence du système scolaire : " Le cinéma et la radio, les magazines, les livres sont nivelés par le bas en une vaste soupe ". Les gens se sont désintéressés de la culture et ont préféré faire du sport ou regarder la télévision. Critique : Fahrenheit 451 est devenu avec les années un roman culte de Ray Bradbury avec sa thématique très particulière pour un récit d'anticipation. En effet, dans cette société proche de la nôtre, les livres sont devenus interdits comme jugés trop dangereux pour l'équilibre et la paix des nations. Les pompiers n'éteignent plus les feux mais les allument en brulant tous les livres conservés illégalement par quelques individus. Tim Hamilton se charge de cette adaptation en restant fidèle au récit de Bradbury. On suit donc un pompier qui commence à remettre en question son métier et le système dans lequel il vit. Plusieurs éléments et évènement le pousseront dans une réflexion et surtout à réfléchir. Cet album est divisé en trois parties distinctes avec de plus en plus d’action une fois le contexte donné. L'auteur se charge également des dessins avec des couleurs sombres pour accompagner à merveilles l'histoire angoissante de cette société privée de liberté. Les lecteurs ne connaissant pas ce classique de la littérature américaine pourront le découvrir par le biais de cette bande dessinée et les auteurs pourront se replonger dans ce récit d'anticipation culte. L'album s'ouvre avec quelques explications de Ray Bradbury et ses sources d'inspirations. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : http://www.bdfugue.com/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. alx23

    La compagnie rouge

    Titre de l'album : La compagnie rouge Scenariste de l'album : Simon Treins Dessinateur de l'album : Jean-Michel Ponzio Coloriste : Jean-Michel Ponzio Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Dans un lointain futur, les guerres ne font plus de mort, mais sont un sport, mené par des robots de combat contrôlés à distance par des mercenaires. Fasciné comme tous les ados par ces mercenaires, le jeune Flint va choisir de quitter sa planète agricole pour les suivre dans leurs missions, dans l'espoir de devenir l'un d'eux, pour le meilleur et pour le pire. Critique : C'est avec un grand plaisir que j'ai découvert cet excellent space opera avec ce double album. Le scénariste Simon Treins nous livre une histoire prenante et originale avec des mercenaires pour héros. Un jeune homme est recruté lors d'une mission et aura pour rôle les archives de la compagnie, par ce procédé les auteurs peuvent nous expliquer le contexte et l'histoire du vaisseau et de la compagnie rouge. Lors des conflits, les mercenaires utilisent des robots et des drones de combats pour régler les problématiques. Quelques références en clin d'œil à des films du genre sont les amusantes et bien placées. La partie graphique de Jean-Michel Ponzio est vraiment remarquable avec son style photoréaliste avec des couleurs numériques. Son style pourra peut-être déstabiliser les non-initiés mais je reste contemplatif devant tous les détails des planches avec les vaisseaux et les scènes de combats dans l'espace. Le seul reproche à faire serait sur les gros plans des visages qui semblent figés sur quelques cases. La compagnie rouge conviendra à tous les lecteurs amateurs de récits de science-fiction et space opera. La fin est un peu expéditive à mon goût mais reste ouverte donc j'espère qu'on aura droit à une suite surtout avec le potentiel possible à développer sur cette base solide. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-compagnie-rouge-tome-1-premier-sang?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. alx23

    La compagnie rouge

    C'est avec un grand plaisir que j'ai découvert cet excellent space opera avec ce double album. Le scénariste Simon Treins nous livre une histoire prenante et originale avec des mercenaires pour héros. Un jeune homme est recruté lors d'une mission et aura pour rôle les archives de la compagnie, par ce procédé les auteurs peuvent nous expliquer le contexte et l'histoire du vaisseau et de la compagnie rouge. Lors des conflits, les mercenaires utilisent des robots et des drones de combats pour régler les problématiques. Quelques références en clin d'œil à des films du genre sont les amusantes et bien placées. La partie graphique de Jean-Michel Ponzio est vraiment remarquable avec son style photoréaliste avec des couleurs numériques. Son style pourra peut-être déstabiliser les non-initiés mais je reste contemplatif devant tous les détails des planches avec les vaisseaux et les scènes de combats dans l'espace. Le seul reproche à faire serait sur les gros plans des visages qui semblent figés sur quelques cases. La compagnie rouge conviendra à tous les lecteurs amateurs de récits de science-fiction et space opera. La fin est un peu expéditive à mon goût mais reste ouverte donc j'espère qu'on aura droit à une suite surtout avec le potentiel possible à développer sur cette base solide.
  4. Les adaptations des nouvelles et romans de Liu Cixin un romancier de SF à succès se poursuit avec un récit d'anticipation de guerre et conflits politiques. L'histoire trouve sa partie de science-fiction avec une énorme station spatiale dans l'espace se rapprochant du soleil. En effet, la problématique reposera sur les communications durant les combats et comment les brouiller pour l’ennemi et ainsi prendre l’avantage. Marko Stojanovic apporte trop de dialogues ou de passages sans grand intérêt avec pour résultat, une perte de fluidité lors de la lecture. Les adaptations de romans ne sont pas toujours évidentes et surtout ne se prêtent pas toujours à tous les médias. L'album est assez important en pagination avec une centaine de pages. La partie graphique de Maza est remarquable avec des planches impressionnantes lors des scènes de guerre ou de batailles avec les machines de guerre en action. Le style des dessins se veut réaliste et crédibilise l'ensemble de l'histoire. On retrouve deux panneaux sur trois pages comme pour les tomes précédents. Brouillage intégral est certainement le récit le plus proche de notre époque actuelle sur les huit adaptations de Liu Cixin, très axé sur la guerre par rapport à la SF.
  5. Titre de l'album : Les futurs de Liu Cixin - Brouillage intégral Scenariste de l'album : Marko Stojanovic Dessinateur de l'album : Maza Coloriste : Desko Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Une Troisième Guerre mondiale oppose les membres de l'OTAN à la Russie, un conflit interminable, tactique, technologique et sanglant. Pour gagner du temps en attendant un rassemblement de troupes, le général Levchenko décide d'agir sur le brouillage des transmissions. Les rayonnements solaires, qui influencent la propagation des ondes de surface, pourraient changer l'issue des combats... Critique : Les adaptations des nouvelles et romans de Liu Cixin un romancier de SF à succès se poursuit avec un récit d'anticipation de guerre et conflits politiques. L'histoire trouve sa partie de science-fiction avec une énorme station spatiale dans l'espace se rapprochant du soleil. En effet, la problématique reposera sur les communications durant les combats et comment les brouiller pour l’ennemi et ainsi prendre l’avantage. Marko Stojanovic apporte trop de dialogues ou de passages sans grand intérêt avec pour résultat, une perte de fluidité lors de la lecture. Les adaptations de romans ne sont pas toujours évidentes et surtout ne se prêtent pas toujours à tous les médias. L'album est assez important en pagination avec une centaine de pages. La partie graphique de Maza est remarquable avec des planches impressionnantes lors des scènes de guerre ou de batailles avec les machines de guerre en action. Le style des dessins se veut réaliste et crédibilise l'ensemble de l'histoire. On retrouve deux panneaux sur trois pages comme pour les tomes précédents. Brouillage intégral est certainement le récit le plus proche de notre époque actuelle sur les huit adaptations de Liu Cixin, très axé sur la guerre par rapport à la SF. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-futurs-de-liu-cixin-brouillage-integral?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Dur de ne pas évoquer l'aspect graphique quand on va parler de ce Comics indé. C'est époustouflant. Clairement oui, et cela doit autant au travail du dessinateur Simone Di Meo qu'à la coloriste Mariasara Miotti. A couper le souffle donc. Mais cela ne plaira clairement pas à tout le monde, je pense notamment aux amateurs de ligne claire ou au aficionados du trait de crayon. Reste que le boulot fait sur les effets de lumière est dantesque et remarquable, personnellement j'ai adoré, même s'il m'a fallut un sacré temps d'adaptation, notamment sur les scènes "d'action". Oui, "We only find them when they are dead" se mérite. Il va vous prendre du temps de lecture et de contemplation. Il va vous demander un peu de compréhension aussi, car les choix narratifs forts rendent parfois certains passages un peu nébuleux de prime abord. Reste le meilleur : un grand space opéra intimiste mais aux enjeux grandioses, dans un univers original et à priori maîtrisé qui donne envie avec son final de lire la suite très très vite. Alors pourquoi ce 4,5 au lieu d'un 5 à priori mérité ? Simplement car certaines scènes auraient tout de même gagné en lisibilité je trouve, sans dénaturer pour autant l'oeuvre. Et puis c'est aussi juste un premier tome, et il faudra voir si la suite tiendra ses riches promesses. Mais si vous aimez la SF, et que le graphisme vous donne envie, foncez, peu de chances d'être déçus.
  7. Titre de l'album : We only find them when they are dead Scenariste de l'album : Al Ewing Dessinateur de l'album : Simone Di Meo Coloriste : Mariasara Miotti Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : On n'oublie jamais la première fois que l'on voit un Dieu. Les Dieux sont toujours magnifiques. Et les Dieux sont toujours morts.2367, aux confins de la galaxie. Dans ce futur lointain, l'humanité a épuisé toutes ses ressources et doit sa survie à l'exploitation de dieux morts flottant dans l'espace, dont les cadavres gigantesques servent désormais de matière première. Le Vihan II est l'un des nombreux vaisseaux nécropsiques qui arpentent le cosmos dans l'espoir de trouver ces divinités providentielles. Mais Georges Malik, son capitaine, nourrit une obsession: pourquoi les dieux ne se révèlent-ils que lorsqu'ils sont morts? Pour tenter de s'émanciper de ce système gangréné par les inégalités et la pauvreté,tout l'équipage s'embarque alors dans un périple sous haute tension à la recherche d'un dieu vivant. Al Ewing (Immortal Hulk, Avengers...) et Simone Di Meo (Tortues Ninjas & Power Rangers) livrent avec We Only Find Them When They're Dead un space opera grandiose d'une beauté à couper le souffle. Un premier tome accrocheur et unique en son genre, tout à la fois politique et mystique. « Un space opera à l'univers unique et très prometteur.» Mighty !« Embarquez-moi tout de suite ! »Jason Aaron (Thor, Avengers, Star Wars...)«Un univers graphique emballant avec des couleurs lumineuses et parfaites.» Comicstories Critique : Dur de ne pas évoquer l'aspect graphique quand on va parler de ce Comics indé. C'est époustouflant. Clairement oui, et cela doit autant au travail du dessinateur Simone Di Meo qu'à la coloriste Mariasara Miotti. A couper le souffle donc. Mais cela ne plaira clairement pas à tout le monde, je pense notamment aux amateurs de ligne claire ou au aficionados du trait de crayon. Reste que le boulot fait sur les effets de lumière est dantesque et remarquable, personnellement j'ai adoré, même s'il m'a fallut un sacré temps d'adaptation, notamment sur les scènes "d'action". Oui, "We only find them when they are dead" se mérite. Il va vous prendre du temps de lecture et de contemplation. Il va vous demander un peu de compréhension aussi, car les choix narratifs forts rendent parfois certains passages un peu nébuleux de prime abord. Reste le meilleur : un grand space opéra intimiste mais aux enjeux grandioses, dans un univers original et à priori maîtrisé qui donne envie avec son final de lire la suite très très vite. Alors pourquoi ce 4,5 au lieu d'un 5 à priori mérité ? Simplement car certaines scènes auraient tout de même gagné en lisibilité je trouve, sans dénaturer pour autant l'oeuvre. Et puis c'est aussi juste un premier tome, et il faudra voir si la suite tiendra ses riches promesses. Mais si vous aimez la SF, et que le graphisme vous donne envie, foncez, peu de chances d'être déçus. Autres infos : Très très original Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/we-only-find-them-when-they-re-dead-tome-1-le-voyageur?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Après un excellent premier tome, cette suite était très attendue par de nombreux lecteurs et par chance les éditions 404 comics nous proposent le titre seulement un mois après la sortie ne version originale. L'aventure reprend six ans après les événements du premier épisode, où l'on a assisté à la naissance des super-héros, les palladions. Les enfants élus se sont transformés en adolescent avec des armures pour combattre toutes les créatures, les cénotes mères qui voulaient anéantir le restant de l'humanité. Une fois de plus Roy Miranda et Inaki Miranda surprennent les lecteurs avec une histoire proches de célèbres méchas et Kaijus pour des combats intenses. Les nouveaux héros doivent défendre la métropole en parallèle la relation entre Hototo et Tala a évolué comme les frères et sœurs ont vieilli. Les dessins de Miranda Inaki sont absolument fantastiques pour dépeindre cet univers et les décors dévastés. Les scènes d’action sont dynamiques et très impressionnantes. Les couleurs sont intenses et apportent la touche originale de l’histoire. L'album se termine avec une galerie d'illustrations réalisées par d'autres dessinateurs de comics. En deux tomes, We live s'impose comme une nouvelle référence dans le genre SF dans un monde postapocalyptique, avec des enfants en héros pour sauver ce qui reste de la planète.
  9. Titre de l'album : We live tome 2 - L'ère des Palladions Scenariste de l'album : Roy Miranda & Inaki Miranda Dessinateur de l'album : Miranda Inaki Coloriste : Eva De La Cruz Editeur de l'album : 404 comics Note : Résumé de l'album : Tala et Hototo ont grandi mais la survie de l'enfance a fait place à la responsabilité étouffante de la survie du monde ! Les frères Miranda et toute l'équipe créative de WE LIVE revient pour ce nouveau chapitre de l'histoire de Tala et Hototo et de leur monde terrible. 2090, six ans se sont écoulés depuis le Jour du Salut, lorsque les Palladions avec leurs pouvoirs majestueux sont devenus les protecteurs de l'humanité. Ils sauvèrent les cinq Mégalopoles restantes, assurant l'avenir de l'espèce humaine. Mais rien n'est intangible et l'horizon promet une nouvelle tempête. Critique : Après un excellent premier tome, cette suite était très attendue par de nombreux lecteurs et par chance les éditions 404 comics nous proposent le titre seulement un mois après la sortie ne version originale. L'aventure reprend six ans après les événements du premier épisode, où l'on a assisté à la naissance des super-héros, les palladions. Les enfants élus se sont transformés en adolescent avec des armures pour combattre toutes les créatures, les cénotes mères qui voulaient anéantir le restant de l'humanité. Une fois de plus Roy Miranda et Inaki Miranda surprennent les lecteurs avec une histoire proches de célèbres méchas et Kaijus pour des combats intenses. Les nouveaux héros doivent défendre la métropole en parallèle la relation entre Hototo et Tala a évolué comme les frères et sœurs ont vieilli. Les dessins de Miranda Inaki sont absolument fantastiques pour dépeindre cet univers et les décors dévastés. Les scènes d’action sont dynamiques et très impressionnantes. Les couleurs sont intenses et apportent la touche originale de l’histoire. L'album se termine avec une galerie d'illustrations réalisées par d'autres dessinateurs de comics. En deux tomes, We live s'impose comme une nouvelle référence dans le genre SF dans un monde postapocalyptique, avec des enfants en héros pour sauver ce qui reste de la planète. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/we-live-l-ere-des-palladions-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. alx23

    Nocterra Tome 2

    On peut dire que les histoires de Scott Snyder sont originales avec Nocterra, le soleil n'éclaire plus assez les hommes sur terre alors que la plupart d'entre eux ont muté. On reprend la suite de l'aventure dans une ambiance qui mélange plusieurs genres, fantastique et science-fiction avec une pointe de Mad Max, comme les héros se déplacent en convoi de camions armés de lumière pour combattre les ombres en cas d'attaques. Le groupe de survivants va devoir s'allier avec un personnage emblématique du premier tome et assez surprenant comme vous pourrez le découvrir afin d'attaquer Luna, l'endroit d'où viennent tous les nocturnes. Les dessins de Tony S Daniel sont de qualité pour représenter cet univers dévasté avec ces créatures. L'album se termine sur un interlude sur les origines de Blacktop Bill, dessiné par Denys Cowan. Ensuite on retrouve toutes les couvertures de comics US. Nocterra comme Undiscovered country sont des séries fantastiques où l'on retrouve la touche de Scott Snyder pour imager des mondes après une catastrophes et les survivants devant faire face à des créatures. La voix-off très présente encire dans ce tome joue sur le rythme de lecture. Le prochain tome apportera la conclusion à cette série.
  11. alx23

    Nocterra Tome 2

    Titre de l'album : Nocterra Tome 2 Scenariste de l'album : Scott Snyder Dessinateur de l'album : Tony S Daniel Coloriste : Marcelo Maiolo Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Après avoir échappé aux pires horreurs, Val, Em, Bailey et les passeurs recherchent l'emplacement d'Eos, l'endroit où le mal s'est déchaîné sur le monde lorsque le soleil s'est couché pour toujours. Alors que nos héros traversent les eaux infestées d'ombre, ils vont devoir faire des pactes inattendus avec leurs anciens ennemis s'ils espèrent pouvoir survivre... Critique : On peut dire que les histoires de Scott Snyder sont originales avec Nocterra, le soleil n'éclaire plus assez les hommes sur terre alors que la plupart d'entre eux ont muté. On reprend la suite de l'aventure dans une ambiance qui mélange plusieurs genres, fantastique et science-fiction avec une pointe de Mad Max, comme les héros se déplacent en convoi de camions armés de lumière pour combattre les ombres en cas d'attaques. Le groupe de survivants va devoir s'allier avec un personnage emblématique du premier tome et assez surprenant comme vous pourrez le découvrir afin d'attaquer Luna, l'endroit d'où viennent tous les nocturnes. Les dessins de Tony S Daniel sont de qualité pour représenter cet univers dévasté avec ces créatures. L'album se termine sur un interlude sur les origines de Blacktop Bill, dessiné par Denys Cowan. Ensuite on retrouve toutes les couvertures de comics US. Nocterra comme Undiscovered country sont des séries fantastiques où l'on retrouve la touche de Scott Snyder pour imager des mondes après une catastrophes et les survivants devant faire face à des créatures. La voix-off très présente encire dans ce tome joue sur le rythme de lecture. Le prochain tome apportera la conclusion à cette série. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/nocterra-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Nouvelle adaptation en bande dessinée des romans et nouvelles de Liu Cixin, le romancier de science-fiction à succès de notre génération. Thierry Robin se charge intégralement de cette adaptation sur quelques 270 planches pour ce titre. Liu Cixin aime s'inspirer des sciences et de la technologie pour créer ses histoires et apporter des explications crédibles au sujet fantastiques ou relevant de la science-fiction. Dans L'attraction de la foudre, le héros voit ses parents mourir devant lui suite à l'apparition d'une foudre globulaire, une sphère créée lors d'un orage intense. En grandissant, le héros devient un éminent scientifique avec pour objectif d'approfondir ses connaissances sur ce phénome rare et peu connu. L'armée va lui permettre de pouvoir expérimenter mais avec une terrible finalité. Avec la pagination importante de cet album, Thierry Robin prend son temps pour développer l'histoire. Il dessine l'ensemble de l'album avec la collaboration de Yang Fei pour la réalisions des décors. On retrouve deux panoramas sur quatre pages qui sont la marque de fabrique de cette série. L'attraction de la foudre se penche sur la dualité du héros entre le besoin de travailler sur des expérimentations essentielles pour lui, tout en sachant que ses découvertes seront détournées.
  13. Titre de l'album : Les futurs de Liu Cixin - L'attraction de la foudre Scenariste de l'album : Thierry Robin Dessinateur de l'album : Thierry Robin Coloriste : Cyril Saint-Blancat Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Chen est fasciné par la foudre globulaire depuis une expérience traumatisante vécue dans l'enfance. Doctorant en modélisations mathématiques, il est poussé par son université vers l'armée qui allie ressources financières et capacités d'expérimentation. Chen se retrouve ainsi à tenter de capturer et analyser ces boules d'énergie brute, alors que les tensions internationales s'intensifient. Critique : Nouvelle adaptation en bande dessinée des romans et nouvelles de Liu Cixin, le romancier de science-fiction à succès de notre génération. Thierry Robin se charge intégralement de cette adaptation sur quelques 270 planches pour ce titre. Liu Cixin aime s'inspirer des sciences et de la technologie pour créer ses histoires et apporter des explications crédibles au sujet fantastiques ou relevant de la science-fiction. Dans L'attraction de la foudre, le héros voit ses parents mourir devant lui suite à l'apparition d'une foudre globulaire, une sphère créée lors d'un orage intense. En grandissant, le héros devient un éminent scientifique avec pour objectif d'approfondir ses connaissances sur ce phénome rare et peu connu. L'armée va lui permettre de pouvoir expérimenter mais avec une terrible finalité. Avec la pagination importante de cet album, Thierry Robin prend son temps pour développer l'histoire. Il dessine l'ensemble de l'album avec la collaboration de Yang Fei pour la réalisions des décors. On retrouve deux panoramas sur quatre pages qui sont la marque de fabrique de cette série. L'attraction de la foudre se penche sur la dualité du héros entre le besoin de travailler sur des expérimentations essentielles pour lui, tout en sachant que ses découvertes seront détournées. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-futurs-de-liu-cixin-l-attraction-de-la-foudre?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. alx23

    OMS en série - intégrale

    Les éditions Ankama proposent une nouvelle intégrale à moindre frais après le coffret, les trois albums sont réunis dans un seul album. Cette inétgrale devraient permettre à de nouveaux lecteurs de découvrir en bande dessinée les romans de Stefan Wul adapté en bande dessinée. Le scénariste Jean-David Morvan se charge de cette adaptation en restant très fidèle à l'œuvre d'origine. Au niveau de l'histoire, on suit les aventures des Oms, des êtres semblables aux humais qui sont des animaux de compagnie pour les Draags, une race extraterrestre. Esnuite viendra, l'heure de la révolte des Oms pour redevenir pour rejoindre les Oms sauvages et vivre en liberté. Le personnage de Terr sera le représentant des Oms. L’histoire est prenante avec beaucoup d’action, on se laisse embarquer dans cette intrigue de science-fiction dès les premières planches. Mike Hawthorne nous offre une représentation crédible de Draags et de leur planète avec des bâtiments proche de la vie aquatique. Une coloriste rejoint les auteurs pour finaliser les planches dans un rendu de qualité. Oms en série est une très bonne adaptation, d'un classique de science-fiction de Wul.
  15. Titre de l'album : OMS en série - intégrale Scenariste de l'album : Jean-David Morvan Dessinateur de l'album : Mike Hawthorne Coloriste : Scarlett Smulkowski Editeur de l'album : Ankama Note : Résumé de l'album : Les Oms sont des animaux : "le meilleur ami du Draag ", comme le dit l'expression consacrée. Ils vivent dans de jolies niches, et lorsqu'une mère met bas, on offre le petit à une autre famille. C'est ce qu'il advient de Terr, un Om tout à fait banal... Mais qui se révèle unique en son genre lorsque son collier magnétique le branche sur les ondes du casque pédagogique de sa petite maîtresse, lui ouvrant les portes de ce qu'aucun Om avant lui n'avait encore effleuré : le savoir. Le langage des Draags d'abord, puis leur histoire, qui inclut celle de sa propre espèce... Comprenant que les Oms ont été capturés autrefois sur une lointaine planète, Terr s'échappe. Débute alors une guerre d'indépendance qui, à son tour, marquera l'histoire des Draags... et des Hommes. La révolte des Oms est en marche ! Critique : Les éditions Ankama proposent une nouvelle intégrale à moindre frais après le coffret, les trois albums sont réunis dans un seul album. Cette inétgrale devraient permettre à de nouveaux lecteurs de découvrir en bande dessinée les romans de Stefan Wul adapté en bande dessinée. Le scénariste Jean-David Morvan se charge de cette adaptation en restant très fidèle à l'œuvre d'origine. Au niveau de l'histoire, on suit les aventures des Oms, des êtres semblables aux humais qui sont des animaux de compagnie pour les Draags, une race extraterrestre. Esnuite viendra, l'heure de la révolte des Oms pour redevenir pour rejoindre les Oms sauvages et vivre en liberté. Le personnage de Terr sera le représentant des Oms. L’histoire est prenante avec beaucoup d’action, on se laisse embarquer dans cette intrigue de science-fiction dès les premières planches. Mike Hawthorne nous offre une représentation crédible de Draags et de leur planète avec des bâtiments proche de la vie aquatique. Une coloriste rejoint les auteurs pour finaliser les planches dans un rendu de qualité. Oms en série est une très bonne adaptation, d'un classique de science-fiction de Wul. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/wul-oms-en-serie-l-integrale?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Titre de l'album : Le meilleur des mondes Scenariste de l'album : Fred Fordham Dessinateur de l'album : Fred Fordham Coloriste : Fred Fordham Editeur de l'album : Philéas Note : Résumé de l'album : Le chef-d’œuvre d’Aldous Huxley, Le Meilleur des Mondes, “L’une des œuvres dystopiques les plus prophétiques du XXe siècle” (Wall Street Journal), pour la première fois adapté en roman graphique. Publié pour la première fois en 1932, Le Meilleur des Mondes est l’une des œuvres les plus vénérées et les plus profondes de la littérature du XXe siècle. Abordant les thèmes de l’hédonisme et du contrôle, de l’humanité, de la technologie et de l’influence, le classique d’Aldous Huxley est un reflet et un avertissement pour l’époque à laquelle il a été écrit, mais reste terriblement pertinent aujourd’hui. Critique : Fred Fordham se charge de l'adaptation revisitée du meilleur des mondes d’Aldous Huxley, en bande dessinée avec une pagination importante, dans un format plus petit et à la couverture souple. On retrouve un peu le style ainsi que le design de la série tv qui était sorti il y a quelques temps. Pour l'histoire, dans une cité futuriste avec des innovations scientifiques importantes, la population est contrôlée depuis la naissance. Ainsi on affecte un rôle et un titre à chaque nouvel enfant. Plus tard, les jeunes adultes vivent dans un univers étrange en prenant des drogues de synthèses pour modifier les émotions. On suit la destinée de Lénina et d'Henry Foster au milieu de toute cette population docile et conditionnée. Les dessins sont de qualité pour dépeindre ce monde futuriste. Cette adaptation plaira autant aux lecteurs connaissant l'œuvre d'origine qu'aux lecteurs désirant découvrir ce monument de science-fiction. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-meilleur-des-mondes?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. alx23

    Le meilleur des mondes

    Fred Fordham se charge de l'adaptation revisitée du meilleur des mondes d’Aldous Huxley, en bande dessinée avec une pagination importante, dans un format plus petit et à la couverture souple. On retrouve un peu le style ainsi que le design de la série tv qui était sorti il y a quelques temps. Pour l'histoire, dans une cité futuriste avec des innovations scientifiques importantes, la population est contrôlée depuis la naissance. Ainsi on affecte un rôle et un titre à chaque nouvel enfant. Plus tard, les jeunes adultes vivent dans un univers étrange en prenant des drogues de synthèses pour modifier les émotions. On suit la destinée de Lénina et d'Henry Foster au milieu de toute cette population docile et conditionnée. Les dessins sont de qualité pour dépeindre ce monde futuriste. Cette adaptation plaira autant aux lecteurs connaissant l'œuvre d'origine qu'aux lecteurs désirant découvrir ce monument de science-fiction.
  18. Titre de l'album : Valérian et Laurine vu par ... La où naissent les étoiles Scenariste de l'album : Pierre Christin Dessinateur de l'album : Virginie Augustin Coloriste : Virginie Augustin Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Les Delphes, des créatures possédant le talent de raconter des histoires, sont chargés d'écrire les sitcoms qui cartonnent sur toutes les chaînes de Point Central. Malheureusement la substance qui nourrit leur créativité se fait rare... Il est urgent pour eux d'obtenir l'aide de Galaxity afin qu'un autre gisement soit exploité. Celui-ci se situe dans un coin perdu sur la Terre du XXe siècle ! Le service spatio-temporel terrien est sur le coup... Mais leurs meilleurs agents sont redevenus enfants. Pas facile de travailler avec un duo d'ados et interdiction pour eux de louper les cours de danse et de judo ! Critique : Alors, j'avoue, je n'ai tellement pas relu les Valérian et Laureline depuis des lustres que j’étais un peu perdu en débutant la lecture (mais ça fait partie du principe de la série de mémoire), mais c'est revenu très vite en découvrant l'histoire, sa mise en place, et ses nombreuses références. La lecture est super agréable et très fluide mais j'ai pourtant l'impression d'avoir manqué beaucoup de références (et en fouillant un peu sur internet, ce point s'est bien confirmé, et les fans de la série verront beaucoup plus de choses que mon œil inexercé). Il faudra que je relise aux moins les quelques tomes clés et les derniers pour me remettre complètement dans le bain. 🙂 En tout cas, pour une participation à la série, le travail est fait et bien fait. Côté scénario, on retrouve dans ce one shot nos héros et la galerie de personnages habituels. Ils vont se découvrir au fil des planches puisqu'ils sont placé en enfance et sans leur mémoire. Ils vont néanmoins surmonter toutes les difficultés avec brio (et on en attendait pas moins). Côté dessin, c'est différent tout en étant comme les tomes de la série principale. Les planches sont agréables et très lisibles. Ce tome rappelle donc des bons souvenirs dans un contexte déplacé (dans le temps - ah ah). Bref c'est du bon. J'aime beaucoup le principe (le scénario égratigne au passage notre société actuelle... discrètement... mais férocement quand même). J'espère que les auteurs continueront quelques tomes. 🙂 Autres infos : Vlad, parti relire la cité des eaux mouvantes Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/valerian-vu-par-christin-et-augustin-la-ou-naissent-histoire?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Alors, j'avoue, je n'ai tellement pas relu les Valérian et Laureline depuis des lustres que j’étais un peu perdu en débutant la lecture (mais ça fait partie du principe de la série de mémoire), mais c'est revenu très vite en découvrant l'histoire, sa mise en place, et ses nombreuses références. La lecture est super agréable et très fluide mais j'ai pourtant l'impression d'avoir manqué beaucoup de références (et en fouillant un peu sur internet, ce point s'est bien confirmé, et les fans de la série verront beaucoup plus de choses que mon œil inexercé). Il faudra que je relise aux moins les quelques tomes clés et les derniers pour me remettre complètement dans le bain. 🙂 En tout cas, pour une participation à la série, le travail est fait et bien fait. Côté scénario, on retrouve dans ce one shot nos héros et la galerie de personnages habituels. Ils vont se découvrir au fil des planches puisqu'ils sont placé en enfance et sans leur mémoire. Ils vont néanmoins surmonter toutes les difficultés avec brio (et on en attendait pas moins). Côté dessin, c'est différent tout en étant comme les tomes de la série principale. Les planches sont agréables et très lisibles. Ce tome rappelle donc des bons souvenirs dans un contexte déplacé (dans le temps - ah ah). Bref c'est du bon. J'aime beaucoup le principe (le scénario égratigne au passage notre société actuelle... discrètement... mais férocement quand même). J'espère que les auteurs continueront quelques tomes. 🙂
  20. Titre de l'album : Les futurs de Liu Cixin - Proies et prédateurs Scenariste de l'album : Jean-David Morvan Dessinateur de l'album : Yang WeiLin Coloriste : Hiroyuki Ooshima Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Un surprenant émissaire informe l'ONU que des extraterrestres sont en route sur leur planète-vaisseau en forme de tore, le Dévoreur. Ceinturant notre planète, ils en absorberont la moindre ressource, puis la recracheront comme on le fait d'un noyau. Notre fin est inéluctable : leur supériorité technologique ne laisse aucun doute. Un soldat met en oeuvre tous les moyens imaginables pour riposter. Critique : Les quinze adaptations des œuvres de Liu Cixin sont réalisées par des équipes artistiques différentes, les délais de sortie entre chaque album sont donc très court. Proies et prédateurs est le sixième tome de la collection les futurs de Liu Cixin, Jean-David Morvan se charge cette adaptation en bande dessinée. Je ne connaissais pas les romans et nouvelles de Cixin mais les bandes dessinées sont très chargée en dialogues. Dans ce tome, l'empire dévoreur annonce sa venue prochaine sur Terre pour piller toutes les ressources de la planète avant sa destruction. La population humaine sera dévorée par cette race extraterrestre. Une longue communication sur plusieurs années va débuter entre le représentant des dévoreurs et un éminent colonel. Maintenant on connait un peu les mécaniques scénaristiques de Liu Cixin notamment avec l'idée de déplacer la Lune avec un réacteur. L'histoire reste originale avec pour finalité un conflit imminent et obligatoire. Les dessins de Yang WeiLin sont de qualité avec toujours un panorama sur quatre pages cette fois pour mettre en image une scène de guerre. Les amateurs des futurs de Liu Cixin peuvent se rassurer avec un bon nouveau tome à lire. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-futurs-de-liu-cixin-proies-et-predateurs?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Les quinze adaptations des œuvres de Liu Cixin sont réalisées par des équipes artistiques différentes, les délais de sortie entre chaque album sont donc très court. Proies et prédateurs est le sixième tome de la collection les futurs de Liu Cixin, Jean-David Morvan se charge cette adaptation en bande dessinée. Je ne connaissais pas les romans et nouvelles de Cixin mais les bandes dessinées sont très chargée en dialogues. Dans ce tome, l'empire dévoreur annonce sa venue prochaine sur Terre pour piller toutes les ressources de la planète avant sa destruction. La population humaine sera dévorée par cette race extraterrestre. Une longue communication sur plusieurs années va débuter entre le représentant des dévoreurs et un éminent colonel. Maintenant on connait un peu les mécaniques scénaristiques de Liu Cixin notamment avec l'idée de déplacer la Lune avec un réacteur. L'histoire reste originale avec pour finalité un conflit imminent et obligatoire. Les dessins de Yang WeiLin sont de qualité avec toujours un panorama sur quatre pages cette fois pour mettre en image une scène de guerre. Les amateurs des futurs de Liu Cixin peuvent se rassurer avec un bon nouveau tome à lire.
  22. Qu'est-ce que c'est mignon 🙂 Mais attention, pas mignon comme le chat. Mignon comme une belle histoire d'amour, sans fioritures, sans trop d'étalage d'émotion comme dans les mangas. Une vraie belle histoire d'amour entre deux personnes que tout oppose, y compris l'ensemble de la société. Qui dit belle histoire d'amour dit histoire pas forcément surprenante. Mais là n'est pas le propos. Le propos est avant de tout de montrer que l'amour peut soulever toutes les barrières, et ce, peu importe les aventures nécessaires. Et en ces périodes compliquées, une belle histoire d'amour pleine de bons sentiments, c'est une éclaircie dans le brouillard.
  23. Titre de l'album : Love love love t3 : Bip bip yeah Scenariste de l'album : Kid Toussaint Dessinateur de l'album : André garrido Coloriste : André garrido Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : La conclusion d'une sublime histoire d'amour, à la fois futuriste et intemporelle, où Kid Toussaint et Andres Garrido interrogent avec brio le rapport de nos sociétés modernistes aux IA. Le Royaume d'Aquitaine. Un territoire où les IA sont interdites, mais où Elle a décidé de se cacher chez ses parents, en compagnie de Karel, son amoureux mécha. Alors que Lola, la petite fille d'Elle, fait connaissance de son inattendu beau-père, leurs potes Medhi et Dave tentent de rejoindre le couple de fuyards, qu'ils espèrent aider. Un renfort pas inutile, puisque de nombreux poursuivants les traquent, dont Wal Acto, un terrible chasseur de primes robotisé, ainsi que la police qui soupçonne Elle d'une série de meurtres de méchas... Le jeune couple parviendra-t-il à Madrid, où Elle espère repousser la date d'obsolescence programmée de Karel ? Critique : Qu'est-ce que c'est mignon 🙂 Mais attention, pas mignon comme le chat. Mignon comme une belle histoire d'amour, sans fioritures, sans trop d'étalage d'émotion comme dans les mangas. Une vraie belle histoire d'amour entre deux personnes que tout oppose, y compris l'ensemble de la société. Qui dit belle histoire d'amour dit histoire pas forcément surprenante. Mais là n'est pas le propos. Le propos est avant de tout de montrer que l'amour peut soulever toutes les barrières, et ce, peu importe les aventures nécessaires. Et en ces périodes compliquées, une belle histoire d'amour pleine de bons sentiments, c'est une éclaircie dans le brouillard. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/love-love-love-tome-3-bip-bip-yeah?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. poseidon2

    Elecboy t2 : révélations

    Voilà le deuxième tome tant attendu d'Elecboy. Attendu car le premier avait été une des belles surprises de l'année dernière avec un dessin superbe et surtout une histoire envoutante mais très mystérieuse. La fin du tome un nous laissait dans l'expectative avec une ouverture pleine de promesse. Et bien autant vous dire que ce tome 2 tient toutes ses promesses. En effet Jaouen Salaun réussit à continuer à nous expliquer les "spécificités" de Joshua sans pour autant trahir le côté "post apocalyptique", clan et vie en communauté qui rendait si bien dans le premier tome. Les différents personnages prennent en épaisseur au fur et à mesure que l'on découvre leur passé et notre histoire se révèle petit à petit. Bref une histoire toujours aussi bien gérée et qui prend le temps qu'il faut pour faire les choses bien. Partie comme ça on est bien partie pour au moins 4 tomes (je parierais sur 6) mais on ne va pas s'en plaindre, loin de là.
  25. Titre de l'album : Elecboy t2 : révélations Scenariste de l'album : Jaouen Salaun Dessinateur de l'album : Jaouen Salaun Coloriste : Jaouen Salaun Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : 2122, quelque part en Amérique du Nord. Le monde d'avant n'est plus qu'un lointain souvenir. Les derniers vestiges de la civilisation, recouverts par le sable, se sont presque effacés pour laisser place au désert. Dans ce décor de fin du monde, un homme marche, accompagné par un géant. Puis il rejoint une communauté et demande à parler à son chef. Il lui annonce une prophétie : un jour, un homme sans visage viendra. Lui seul pourra mettre un terme à la souffrance humaine. Cette communauté, c'est celle du jeune Joshua. En conflit avec son père, en butte aux morsures de l'amour et à l'emprise de la violence, il tente de trouver sa place. Il s'interroge sur ses origines et sur les étranges pouvoirs qu'il détient. Pour lui, l'heure de la révélation est imminente... Dans ce deuxième volet d'une fresque de science-fiction en quatre tomes, Jaouen Salaün nous plonge au coeur d'un univers fascinant, entre rêve et cauchemar, entre Mad Max et Akira. Une fresque servie par un trait enchanteur, une imagination onirique et des couleurs éblouissantes. Critique : Voilà le deuxième tome tant attendu d'Elecboy. Attendu car le premier avait été une des belles surprises de l'année dernière avec un dessin superbe et surtout une histoire envoutante mais très mystérieuse. La fin du tome un nous laissait dans l'expectative avec une ouverture pleine de promesse. Et bien autant vous dire que ce tome 2 tient toutes ses promesses. En effet Jaouen Salaun réussit à continuer à nous expliquer les "spécificités" de Joshua sans pour autant trahir le côté "post apocalyptique", clan et vie en communauté qui rendait si bien dans le premier tome. Les différents personnages prennent en épaisseur au fur et à mesure que l'on découvre leur passé et notre histoire se révèle petit à petit. Bref une histoire toujours aussi bien gérée et qui prend le temps qu'il faut pour faire les choses bien. Partie comme ça on est bien partie pour au moins 4 tomes (je parierais sur 6) mais on ne va pas s'en plaindre, loin de là. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/elecboy-tome-2-revelations?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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