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  1. Titre de l'album : Marshal bass tome 9 - Texas rangers Scenariste de l'album : Darko Macan Dessinateur de l'album : Igor Kordey Coloriste : Nikola Vitkovic Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Le Marshal, rejoint par sept Texas Rangers sans foi ni loi, traque une bande de Comanches. Mais certains secrets, qu'il aimerait ne jamais découvrir, refont surface... Critique : Il est toujours très intéressant de voir ce que réserve le scénariste Darko Macan au Marshal Bass, surtout quand on voit la couverture de ce nouvel épisode. Le scénariste sépare son histoire en deux parties entre une femme docteure qui pratique d'étrange soin comme vous pourrez le découvrir à travers son parcours et ses rencontres avec des familles sans scrupules. Puis l'intrigue principale, celle avec le marshal Bass en mauvaise compagnie avant de rejoindre un groupe de Texas rangers pour venir soi-disant en aide à un village subissant des attaques indiennes. Ce neuvième tome débute donc une aventure à suivre en plusieurs tomes. La partie graphique d'Igor Kordey fonctionne très bien avec ce récit très sombre et violent. Les tomes s'enchainent en gardant une constante au niveau qualité pour cette très grande saga western menée par le Marshal Bass. Vivement la suite pour découvrir comment le héro va s’en sortir. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/marshal-bass-tome-9-texas-rangers?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. The_PoP

    Jeremiah Johnson - Chapitre IV

    Avant dernier tome de cette biographie de Jeremiah Johnson, toujours marquée par sa guerre sanglante contre les Crows. On voit enfin le héros évoluer et une forme de réflexion sur les cycles infinis de sauvagerie et de violence pointer le bout de son nez. Au niveau dessin, je suis toujours un peu désappointé par cette série car si certaines planches m'ont beaucoup plu, j'ai eu du mal sur d'autres, notamment sur les visages et certains fonds/décors. Le tome 5 viendra clôturer cette série et la vie remarquable de Jeremiah Johnson qui nous aura permis de nous immerger dans la vie des trappeurs de la conquête de l'Ouest mais pour laquelle j'ai eu du mal à me passionner, le point de vue sur Jeremiah suscitant pour le personnage peu d'empathie jusqu'ici et le traitement graphique étant un peu inégal.
  3. Titre de l'album : Jeremiah Johnson - Chapitre IV Scenariste de l'album : Fred Duval & Jean Pierre Pecau Dessinateur de l'album : Jack Jadson Coloriste : Nuria Sayago Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Après la mort de femme folle, Jeremiah réunit une bande de trappeurs sanguinaires pour se venger de ses assassins. Les bandidos vont écumer la plaine sans faire de prisonniers, collectionnant les scalps dans un déchaînement de violence. Critique : Avant dernier tome de cette biographie de Jeremiah Johnson, toujours marquée par sa guerre sanglante contre les Crows. On voit enfin le héros évoluer et une forme de réflexion sur les cycles infinis de sauvagerie et de violence pointer le bout de son nez. Au niveau dessin, je suis toujours un peu désappointé par cette série car si certaines planches m'ont beaucoup plu, j'ai eu du mal sur d'autres, notamment sur les visages et certains fonds/décors. Le tome 5 viendra clôturer cette série et la vie remarquable de Jeremiah Johnson qui nous aura permis de nous immerger dans la vie des trappeurs de la conquête de l'Ouest mais pour laquelle j'ai eu du mal à me passionner, le point de vue sur Jeremiah suscitant pour le personnage peu d'empathie jusqu'ici et le traitement graphique étant un peu inégal. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/jeremiah-johnson-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. alx23

    Little Big Horn

    Titre de l'album : Little Big Horn Scenariste de l'album : Luca Blengino & David Goy Dessinateur de l'album : Antoine Giner-Belmonte Coloriste : Chris Regnault Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Été 1874, Territoire du Dakota. De l’or est découvert dans les Black Hills, la terre sacrée des Sioux. En pleine période de récession, le gouvernement américain cherche un moyen pacifique d’acquérir cette contrée aux dépens des Indiens et de satisfaire les velléités d’expansion des colons. Mais les négociations échouent. Au printemps 1876, la guerre est déclarée. Tandis que trois colonnes sont lancées simultanément à la recherche des bandes irréductibles, le chef Sitting Bull décrète l’union sacrée et prend la tête d’une vaste coalition de Sioux et de Cheyennes. Les États-Unis s’apprêtent à fêter le centenaire de leur indépendance et personne ne peut imaginer le désastre qui va suivre… À la tête du 7e régiment de cavalerie, le fer de lance de l’armée fédérale, le lieutenant-colonel George Armstrong Custer entend bien mener ses hommes à la victoire et entrer dans la légende. Après une folle chevauchée, il parvient à localiser ses adversaires dans le sud du Montana et se prépare, seul, à l’assaut. Devant lui, pourtant, se dresse le plus grand campement indien jamais vu dans les Grandes Plaines. Le dimanche 25 juin, après un combat d’une extrême violence, les tuniques bleues essuient leur plus cinglante défaite dans leurs affrontements contre les tribus amérindiennes. Il n’y a aucun survivant parmi les troupes placées sous les ordres directs de Custer. À la stupéfaction générale s’ajoute l’humiliation d’une défaite qui ne cessera pas d’alimenter la controverse. Mais que s’est-il réellement passé à Little Big Horn ? Critique : Little Big Horn est le quatrième titre de l'excellente collection, la véritable histoire du Far-West. Cette collection propose plusieurs one-shot sur des figures emblématiques du Far-West et maintenant sur une célèbre bataille avec Little Big Horn. Les deux scénaristes David Goy et Luca Blengino collaborent avec Farid Ameur, le spécialiste de la conquête de l’Ouest américain pour écrire cette nouvelle histoire. Le récit débute avec la découverte de nombreux gisements d'or dans les Black Hills. Seulement, les terres des Black Hills sont sacrée pour les tribus indiennes. Pour faire face à la crise économique (déjà à cette époque) les dirigeants vont tenter d'acheter les terres avant d'envoyer les soldats et colons en quête de richesse. Les dessins d’Antoine Giner-Belmonte sont dans un style réaliste très réussi et dans la continuité des tomes précédents. L’auteur est très à l’aise pour mettre en image les champs de batailles entre indiens et tuniques blues. L'album se termine avec un dossier historique pour revenir sur de plus amples détails et faits historiques. Si vous avez apprécié les premiers tomes, vous trouverez votre compte avec Little Big Horn et les autres pourront se laisser tenter avec des albums indépendants. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/little-big-horn/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. alx23

    Little Big Horn

    Little Big Horn est le quatrième titre de l'excellente collection, la véritable histoire du Far-West. Cette collection propose plusieurs one-shot sur des figures emblématiques du Far-West et maintenant sur une célèbre bataille avec Little Big Horn. Les deux scénaristes David Goy et Luca Blengino collaborent avec Farid Ameur, le spécialiste de la conquête de l’Ouest américain pour écrire cette nouvelle histoire. Le récit débute avec la découverte de nombreux gisements d'or dans les Black Hills. Seulement, les terres des Black Hills sont sacrée pour les tribus indiennes. Pour faire face à la crise économique (déjà à cette époque) les dirigeants vont tenter d'acheter les terres avant d'envoyer les soldats et colons en quête de richesse. Les dessins d’Antoine Giner-Belmonte sont dans un style réaliste très réussi et dans la continuité des tomes précédents. L’auteur est très à l’aise pour mettre en image les champs de batailles entre indiens et tuniques blues. L'album se termine avec un dossier historique pour revenir sur de plus amples détails et faits historiques. Si vous avez apprécié les premiers tomes, vous trouverez votre compte avec Little Big Horn et les autres pourront se laisser tenter avec des albums indépendants.
  6. Clap de fin avec ce tome 5 pour cette série Western de chez Rue de Sèvres menée par Laurent Astier. J'ai toujours été un peu dur avec cette série car je ne suis pas plus sensible que cela au dessin de Laurent Astier, pourtant très travaillé. Question de goût avant tout donc. Ce tome 5 a le mérite de venir apporter des réponses complètes et parfois complexes aux questions soulevées tout au long de l'aventure, las, j'ai trouvé que le rythme qui caractérisait la série s'essouflait un brin en raison des nombreux dialogues et flashbacks explicatifs nécessaires à la compréhension de l'intrigue. Nénamoins il faut relever aussi qu'un tel niveau de complexité dans le récit sur un Western est rare, voir très rare, les enjeux ici étant souvent bien tordus et cachés. Les rebondissements finaux apportent toutefois un peu de peps à cette fin d'album, mais j'ai eu du mal à beaucoup accrocher au personnage d'Emily. La venin reste une solide série de Western en dépit de mes simagrées, et elle fera passer un bon moment de lecture aux amateurs de Western, car elle a le bon goût d'en explorer plusieurs facettes en s'éloignant finalement assez vite des grands espaces de l'Ouest américain d'origine pour se rapprocher de la côte Est des Etats Unis du début du siècle qui nous est moins familière.
  7. Titre de l'album : La venin - Tome 5 - Soleil de plomb Scenariste de l'album : Laurent Astier Dessinateur de l'album : Laurent Astier Coloriste : Stéphane Astier Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : Emily arrive au terme de sa quête de vengeance, visant à retrouver et éliminer les meurtriers de sa mère. Après avoir fait le deuil Stanley Whitman, l'homme qu'elle aimait, elle met en place le plan qui lui permettra d'atteindre sa dernière cible et ainsi achever son sanglant projet. Pour cette ultime étape, la plus ambitieuse et dangereuse de toutes, Emily est prête à prendre tous les risques. L'homme à abattre n'est en effet autre que le président des Etats-Unis. Critique : Clap de fin avec ce tome 5 pour cette série Western de chez Rue de Sèvres menée par Laurent Astier. J'ai toujours été un peu dur avec cette série car je ne suis pas plus sensible que cela au dessin de Laurent Astier, pourtant très travaillé. Question de goût avant tout donc. Ce tome 5 a le mérite de venir apporter des réponses complètes et parfois complexes aux questions soulevées tout au long de l'aventure, las, j'ai trouvé que le rythme qui caractérisait la série s'essouflait un brin en raison des nombreux dialogues et flashbacks explicatifs nécessaires à la compréhension de l'intrigue. Nénamoins il faut relever aussi qu'un tel niveau de complexité dans le récit sur un Western est rare, voir très rare, les enjeux ici étant souvent bien tordus et cachés. Les rebondissements finaux apportent toutefois un peu de peps à cette fin d'album, mais j'ai eu du mal à beaucoup accrocher au personnage d'Emily. La venin reste une solide série de Western en dépit de mes simagrées, et elle fera passer un bon moment de lecture aux amateurs de Western, car elle a le bon goût d'en explorer plusieurs facettes en s'éloignant finalement assez vite des grands espaces de l'Ouest américain d'origine pour se rapprocher de la côte Est des Etats Unis du début du siècle qui nous est moins familière. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-venin-tome-5-soleil-de-plomb?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Titre de l'album : Duke tome 7 - Ce monde n'est pas le mien Scenariste de l'album : Yves H. Dessinateur de l'album : Hermann Coloriste : Hermann Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : De retour en Californie, Duke touche au but : il va enfin pouvoir arracher Peg des griffes de King. Mais à peine a-t-il fait quelques pas en ville qu'il finit derrière les barreaux, où le retrouve Manolito. Le colosse mystique et sanguinaire lui propose un étrange marché : il le sortira de là si Duke reconnaît qu'ils appartiennent à la même espèce de démons. Si Duke veut la fin, il lui faudra accepter les moyens ! Car, au fond, la meilleure arme du diable n'est-elle pas la Vérité... ? Critique : En conclusion de cette série Western d'Hermann, ce tome 7 vient nous apporter un joli final qui s'il se révèle finalement très logique, n'en demeure pas moins réussi pour les amateurs de la série. Vous l'aurez compris pour ma part je suis resté un peu déçu par cette série que je n'ai jamais pu m'empêcher de comparer à Comanche, l'autre série Western phare de Hermann. Ici j'en viens presque à lui reprocher sa colorisation, qui faisait pourtant des merveilles sur l'univers de Comanche, mais qui je trouve peine à convaincre dans cette Californie où se déroule ce tome. Le scénario de Yves H quand à lui, s'il a eu le mérite de nous présenter des personnages très humains et crédibles, n'a pas réussi à retenir mon attention, la faute à un héros finalement trop insipide et nuancé. Duke reste une bonne série Western, mais pour moi malheureusement un cran en dessous des ténors du genre, et même des autres séries d'Hermann. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/duke-tome-7-ce-monde-n-est-pas-le-mien?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. En conclusion de cette série Western d'Hermann, ce tome 7 vient nous apporter un joli final qui s'il se révèle finalement très logique, n'en demeure pas moins réussi pour les amateurs de la série. Vous l'aurez compris pour ma part je suis resté un peu déçu par cette série que je n'ai jamais pu m'empêcher de comparer à Comanche, l'autre série Western phare de Hermann. Ici j'en viens presque à lui reprocher sa colorisation, qui faisait pourtant des merveilles sur l'univers de Comanche, mais qui je trouve peine à convaincre dans cette Californie où se déroule ce tome. Le scénario de Yves H quand à lui, s'il a eu le mérite de nous présenter des personnages très humains et crédibles, n'a pas réussi à retenir mon attention, la faute à un héros finalement trop insipide et nuancé. Duke reste une bonne série Western, mais pour moi malheureusement un cran en dessous des ténors du genre, et même des autres séries d'Hermann.
  10. alx23

    Jim Bridger

    Titre de l'album : Jim Bridger Scenariste de l'album : Pierre Place Dessinateur de l'album : Pierre Place Coloriste : Chris Régnault Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : En 1822, le jeune Jim n’a pas encore 18 ans mais il sait que l’aventure l’attend à l’ouest de Saint-Louis, cette ville marchande et cosmopolite du Missouri située à l’extrémité du front pionnier. Le cœur ouvert à l’inconnu, il débute sa carrière de trappeur en s’engageant dans la première grande expédition, celle de William Ashley, qui avec deux bateaux et une centaine de volontaires, remonte la haute vallée du Missouri à la recherche de « l’or brun des Rocheuses », les peaux de castor. Au péril de sa vie, il affronte les hivers redoutables et les grizzlys, rencontre les peuples amérindiens pour lesquels il nourrit un profond respect et explore les territoires les plus reculés de l’Ouest, du Grand Lac salé aux geysers de Yellowstone. Démontrant un courage, une sérénité et une endurance à toute épreuve, il connaît de folles aventures dans les régions montagneuses, se fiant à son instinct de survie et son sens exceptionnel de l’orientation pour se tirer d’affaire. Au fil du temps, sa renommée est si établie que les convois de pionniers et les détachements de cavalerie s’arrachent ses services pour les guider au milieu d’une nature hostile et sauvage ! Devenu une légende vivante, Jim Bridger force l’admiration et nous ouvre les portes d’un âge d’or où trappeurs, négociants et Indiens se réunissaient chaque année dans les somptueuses vallées du Wyoming pour commercer et se divertir. La conquête de l’Ouest n’en est encore qu’à ses débuts et va bientôt bouleverser cet équilibre. Une époque passionnante de l’histoire américaine dans lequel éclot le mythe des Mountain Men, ces êtres rudes, entreprenants et individualistes, vivant en osmose avec un territoire qu’ils ont vu disparaître sous les roues des chariots qu’ils avaient eux-mêmes guidés… Critique : La collection sur la véritable histoire du Far-west continu de nous passionner avec ce troisième tome sur Jim Bridger après les deux tomes sur Jesse James et Will Bill Hickok. Cette figure historique est moins connue mais son histoire n'en reste pas moins intéressante pour autant. Pierre Place revient sur la vie pleine d'aventures incroyables de Jim Bridger ce trappeur ou Mountain man comme on les appelait. Le récit débute alors que Jim Bridger tient compagnie au civils enfermés dans un fort lors d'un blizzard avant une attaque imminente. Le trappeur commence alors le récit de sa vie avec plusieurs anecdotes et faits d'armes auprès de figures légendaires et de tribus indiennes. La vie des trappeurs n'est pas facile dans ce monde sauvage avec le climat et l'isolement dans les montagnes enneigées. Avec cette méthode de narration, l’auteur peut jongler sur les moments forts du trappeur. Avec leur mode de vie en milieu hostile, les mountain men étaient considérés comme une tribu par les indiens. Pierre Place réalise aussi les dessins avec beaucoup de maitrise pour dépeindre les paysages magnifiques et encore l’ouest sauvage. L’album se termine sur une biographie écrite par Farid Ameur, docteur en histoire à l’université, spécialisé sur les Etats-Unis. Jim Bridger reprend les parties importantes de la vie de ce trappeur avec tous les ingrédients essentielles pour une grande aventure au far-west et un très bon moment de lecture. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/jim-bridger?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. alx23

    Jim Bridger

    La collection sur la véritable histoire du Far-west continu de nous passionner avec ce troisième tome sur Jim Bridger après les deux tomes sur Jesse James et Will Bill Hickok. Cette figure historique est moins connue mais son histoire n'en reste pas moins intéressante pour autant. Pierre Place revient sur la vie pleine d'aventures incroyables de Jim Bridger ce trappeur ou Mountain man comme on les appelait. Le récit débute alors que Jim Bridger tient compagnie au civils enfermés dans un fort lors d'un blizzard avant une attaque imminente. Le trappeur commence alors le récit de sa vie avec plusieurs anecdotes et faits d'armes auprès de figures légendaires et de tribus indiennes. La vie des trappeurs n'est pas facile dans ce monde sauvage avec le climat et l'isolement dans les montagnes enneigées. Avec cette méthode de narration, l’auteur peut jongler sur les moments forts du trappeur. Avec leur mode de vie en milieu hostile, les mountain men étaient considérés comme une tribu par les indiens. Pierre Place réalise aussi les dessins avec beaucoup de maitrise pour dépeindre les paysages magnifiques et encore l’ouest sauvage. L’album se termine sur une biographie écrite par Farid Ameur, docteur en histoire à l’université, spécialisé sur les Etats-Unis. Jim Bridger reprend les parties importantes de la vie de ce trappeur avec tous les ingrédients essentielles pour une grande aventure au far-west et un très bon moment de lecture.
  12. The_PoP

    Dernier Souffle

    Pfff quelle claque. J'adore les Western. Et là je prends une leçon de maitrise du mouvement en BD par une BD initialement née sur Instagram. Là où les western brillent souvent par leurs dessins détaillés, les visages travaillés dans un style souvent très réalistes, dans la lignée des Blueberry, Comanche et autres Durango, ici Thierry Martin nous livre un trait puissant, évocateur, transpirant émotions, intentions, et psychologies des personnages dans ce sombre règlement de compte ultra violent et minimaliste dans son scénario. Un vrai régal, qui se lit hélas bien trop vite, et qui laisse cette impression étrange de coup de poing dans l'estomac. Dernier souffle va marquer les esprits et si son prix me parait un poil élevé au vu de la pagination et d'un scénario léger, je vous recommande pourtant de vous laisser tenter par cette expérience forte, et cet objet magnifique dans son coffret.
  13. The_PoP

    Dernier Souffle

    Titre de l'album : Dernier Souffle Scenariste de l'album : Thierry Martin Dessinateur de l'album : Thierry Martin Coloriste : Thierry Martin Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Signé Thierry Martin, Dernier Souffle propose de suivre la traque obsédante et silencieuse, menée par un homme porté par le souffle de la vengeance. Une traque immuable aux multiples rebondissements dont les plus terribles prédateurs ne seront peut-être pas ceux qu'on imagine... Un western haletant né sur Instagram, un défi scénaristique et graphique, une improvisation maîtrisée, au jour le jour. Critique : Pfff quelle claque. J'adore les Western. Et là je prends une leçon de maitrise du mouvement en BD par une BD initialement née sur Instagram. Là où les western brillent souvent par leurs dessins détaillés, les visages travaillés dans un style souvent très réalistes, dans la lignée des Blueberry, Comanche et autres Durango, ici Thierry Martin nous livre un trait puissant, évocateur, transpirant émotions, intentions, et psychologies des personnages dans ce sombre règlement de compte ultra violent et minimaliste dans son scénario. Un vrai régal, qui se lit hélas bien trop vite, et qui laisse cette impression étrange de coup de poing dans l'estomac. Dernier souffle va marquer les esprits et si son prix me parait un poil élevé au vu de la pagination et d'un scénario léger, je vous recommande pourtant de vous laisser tenter par cette expérience forte, et cet objet magnifique dans son coffret. Autres infos : Western muet à couper le souffle Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dernier-souffle?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Titre de l'album : Go west young man Scenariste de l'album : Tiburce Oger Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : Le parcours sauvage et violentd 'une montre pendant la conquête de l'Ouest.Un western qui sent la poudre et la boue... En quatorze histoires, Go West young man retrace la conquête de l'Ouestaméricain, de 1763 à 1938. Des conflits des grands lacs au désert duMexique, les destins se succèdent. Trappeurs et pionniers, tribus indiennes,desperados et prostituées vont se battre et survivre dans les grandes plaines,les villes champignons et les guerres interminables. Si les grands thèmes sontà l'honneur dans cet album, c'est le côté obscur des Hommes qui ressort,présentant avec un goût amer le rêve américain. Racisme, génocide indien,condition des femmes, guerres et misère. Go West young man est un hommageau western, mais un hommage lucide. Texte : Tiburce Oger. Dessins : Christian Rossi, François Boucq, Patrick Prugne, Hugues Labiano, Michel Rouge, Michel Blanc-Dumont, Félix Meynet, Enrico Marini, Dominique Bertail, Ronan Toulhoat, Benjamin Blasco-martinez, Paul GASTINE, Steve CUZOR, Eric HERENGUEL, TaDuc, Ralph MEYER. Critique : Pour bien prendre en compte la porté de l'œuvre (car oui il faut appeler cela une œuvre) de Tiburce Oger, il faut se dire que je ne suis pas le fan de Western du site. Je dirais même que je suis peut être la cible la moins facile du site. Moi je suis un fan de Tiburce Oger sur Gorn. Et pourtant pourtant.... on ne peut que reconnaitre le travail qui a été réalisé par Tiburce Oger. Ce pourquoi j'ai mis en avant le fait que c'était une œuvre. Car réussir à réunir 17 dessinateurs différents, tous plus bons les uns que les autres, pour nous livrer des mini histoires toutes très denses et très poignantes. Tiburce Oger réussi très intelligemment à balayer tout ce qui a pu être fait sur le Western et à chaque fois avec une histoire bien trouvée. Notre montre passe dans les mains de cowboy, d'indiens, de tuniques bleues, de sudistes, de mexicains ou encore de trappeurs du grand nord. Et chacun des 17 dessinateurs s'est prit au jeu et a donné le maximum pour illustrer sa mini histoire. Le voyage de cette montre est un immense et superbe hommage à ce que le western nous à offert et un gigantesque appel à découvrir ce que la BD peut nous proposer sur le thème. Je regrette de ne pas avoir pris la version deluxe tient ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/go-west-young-man?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. poseidon2

    Go west young man

    Pour bien prendre en compte la porté de l'œuvre (car oui il faut appeler cela une œuvre) de Tiburce Oger, il faut se dire que je ne suis pas le fan de Western du site. Je dirais même que je suis peut être la cible la moins facile du site. Moi je suis un fan de Tiburce Oger sur Gorn. Et pourtant pourtant.... on ne peut que reconnaitre le travail qui a été réalisé par Tiburce Oger. Ce pourquoi j'ai mis en avant le fait que c'était une œuvre. Car réussir à réunir 17 dessinateurs différents, tous plus bons les uns que les autres, pour nous livrer des mini histoires toutes très denses et très poignantes. Tiburce Oger réussi très intelligemment à balayer tout ce qui a pu être fait sur le Western et à chaque fois avec une histoire bien trouvée. Notre montre passe dans les mains de cowboy, d'indiens, de tuniques bleues, de sudistes, de mexicains ou encore de trappeurs du grand nord. Et chacun des 17 dessinateurs s'est prit au jeu et a donné le maximum pour illustrer sa mini histoire. Le voyage de cette montre est un immense et superbe hommage à ce que le western nous à offert et un gigantesque appel à découvrir ce que la BD peut nous proposer sur le thème. Je regrette de ne pas avoir pris la version deluxe tient !
  16. The_PoP

    Ringo - intégrale

    Cette intégrale contient les albums de Ringo à savoir : - Piste pour Santé Fé - Le serment de Gettysburg - Trois salopards dans la neige Ainsi que les histoires plus courtes suivantes : La ville de la peur, L'or des déserteurs et El Diablo s'en mêle. Ne manque à priori que l'histoire courte Le Duel. Dix ans séparent les deux premiers albums du dernier, ce qui permet effectivement de voir l'évolution du dessin de Vance sur cette période. Allons-y franco, pour moi cette intégrale fait relativement pâle figure face aux derniers Westerns sortis ces dernières années en BD, que ce soit d'un point de vue graphique ou narratif. Cela m'a surpris car s'il faut bien reconnaitre que Ringo n'a jamais eu le succès d'un Blueberry ou d'un Comanche, M. Vance reste tout de même un génie de la bd. Cela rend d'ailleurs cette intégrale d'autant plus intéressante puisqu'elle nous permet de mesurer l'évolution de notre art favori. L'évolution technique dans un premier temps est celle qui nous saute aux yeux, tant les planches n'ont rien à voir avec celles qu'un Undertaker ou un Sykes peut nous proposer. Nos yeux ne sont plus habitués et il faut un nécessaire temps d'adaptation. Vient ensuite le choc sur la narration, qui nous semble de prime abord plus décousue, voir parfois sibylline avec des ellipses et un usage marqué des textes descriptifs. Pour les amateurs de Westerns, ayant un goût prononcé pour les classiques, et des yeux pas encore déformés par les nouveaux excellents Westerns parus, cette intégrale de Ringo est une vraie bonne pioche. Pour les simples lecteurs de Western habitués aux productions franco belges récentes, j'ai peur que vous soyez un peu déçus tant le décalage est important puisque Ringo a désormais plus de 50 ans.
  17. Titre de l'album : Ringo - intégrale Scenariste de l'album : William Vance (Tome 1) & Jacques Acar (Tome 2) & André-Paul Duchateau (Tome 3) Dessinateur de l'album : William Vance Coloriste : Petra Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Convoyeur de fonds pour la Wells Fargo au beau milieu d'un territoire sans foi et à la loi balbutiante, Ray Ringo ne peut compter que sur sa fine gâchette. Pourtant entre les flèches des Apaches, les crocs des coyotes, les balles des malandrins ou les feux croisés du Nord et du Sud, ce ne sont pas les façons de mourir qui manquent, dans le Far-West... Et entreprendre cette chevauchée en compagnie de Ringo, c'est remonter une seconde piste tout aussi palpitante : l'évolution graphique de William Vance à travers une décennie ! Critique : Cette intégrale contient les albums de Ringo à savoir : - Piste pour Santé Fé - Le serment de Gettysburg - Trois salopards dans la neige Ainsi que les histoires plus courtes suivantes : La ville de la peur, L'or des déserteurs et El Diablo s'en mêle. Ne manque à priori que l'histoire courte Le Duel. Dix ans séparent les deux premiers albums du dernier, ce qui permet effectivement de voir l'évolution du dessin de Vance sur cette période. Allons-y franco, pour moi cette intégrale fait relativement pâle figure face aux derniers Westerns sortis ces dernières années en BD, que ce soit d'un point de vue graphique ou narratif. Cela m'a surpris car s'il faut bien reconnaitre que Ringo n'a jamais eu le succès d'un Blueberry ou d'un Comanche, M. Vance reste tout de même un génie de la bd. Cela rend d'ailleurs cette intégrale d'autant plus intéressante puisqu'elle nous permet de mesurer l'évolution de notre art favori. L'évolution technique dans un premier temps est celle qui nous saute aux yeux, tant les planches n'ont rien à voir avec celles qu'un Undertaker ou un Sykes peut nous proposer. Nos yeux ne sont plus habitués et il faut un nécessaire temps d'adaptation. Vient ensuite le choc sur la narration, qui nous semble de prime abord plus décousue, voir parfois sibylline avec des ellipses et un usage marqué des textes descriptifs. Pour les amateurs de Westerns, ayant un goût prononcé pour les classiques, et des yeux pas encore déformés par les nouveaux excellents Westerns parus, cette intégrale de Ringo est une vraie bonne pioche. Pour les simples lecteurs de Western habitués aux productions franco belges récentes, j'ai peur que vous soyez un peu déçus tant le décalage est important puisque Ringo a désormais plus de 50 ans. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ringo-integrale?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Yves Swolfs relance Durango, l'une des séries qui l'a fait connaître en démarrant une trilogie centrée sur la jeunesse de Durango. Où comment un jeune cow-boy est devenu la plus fine gâchette de l'Ouest Américain. Roman Surzenkho assure sur cette trilogie la partie graphique, et ce paris là est clairement réussi puisqu'on retrouve enfin à mon avis un dessinateur capable de poursuivre l'héritage colossal laissé par Yves Swolfs. S'il lui manque encore un soupçon de maestria sur les personnages, l'ensemble est cohérent et intéressant et l'on retrouve le style et les gueules Swolfs qui raviront les amateurs du genre. Il lui faudra toutefois confirmer l'essai sur les deux prochains tomes pour nous conquérir définitivement. Faisons toutefois confiance à cet auteur, qui a déjà fait plus que ses preuves sur ses séries dérivées dans l'univers de Thorgal. Côté scénario, Yves Swolfs nous livre une guerre entre éleveurs qui semble de prime abord assez classique mais dont les protagonistes et enjeux risquent vite d'enrichir le drame qui se noue. C'est enfin avec plaisir que j'ai retrouvé Durango, après quelques tomes de la série mère qui m'avaient déçus assez fortement. On reste assez loin de la qualité de l'origine de la série mais c'est déjà bien !
  19. Titre de l'album : Durango la jeunesse - Tome 1 - Le premier homme que tu tueras Scenariste de l'album : Yves Swolfs Dessinateur de l'album : Roman Surzenkho Coloriste : Jackie de Gennaro Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Texas 1882. Témoin de l'assassinat de trois cowboys , un jeune vagabond échappe lui-même de justesse au tueur, un professionnel armé d'une carabine équipée d'une lunette.Le jeune homme est bientôt engagé comme apprenti par le propriétaire du plus grand ranch de la région et pour qui travaillaient les trois victime mais ignore qu'en acceptant cet emploi, il deviendra témoin actif d'une sanglante guerre entre éleveurs. Critique : Yves Swolfs relance Durango, l'une des séries qui l'a fait connaître en démarrant une trilogie centrée sur la jeunesse de Durango. Où comment un jeune cow-boy est devenu la plus fine gâchette de l'Ouest Américain. Roman Surzenkho assure sur cette trilogie la partie graphique, et ce paris là est clairement réussi puisqu'on retrouve enfin à mon avis un dessinateur capable de poursuivre l'héritage colossal laissé par Yves Swolfs. S'il lui manque encore un soupçon de maestria sur les personnages, l'ensemble est cohérent et intéressant et l'on retrouve le style et les gueules Swolfs qui raviront les amateurs du genre. Il lui faudra toutefois confirmer l'essai sur les deux prochains tomes pour nous conquérir définitivement. Faisons toutefois confiance à cet auteur, qui a déjà fait plus que ses preuves sur ses séries dérivées dans l'univers de Thorgal. Côté scénario, Yves Swolfs nous livre une guerre entre éleveurs qui semble de prime abord assez classique mais dont les protagonistes et enjeux risquent vite d'enrichir le drame qui se noue. C'est enfin avec plaisir que j'ai retrouvé Durango, après quelques tomes de la série mère qui m'avaient déçus assez fortement. On reste assez loin de la qualité de l'origine de la série mais c'est déjà bien ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/durango-la-jeunesse-tome-1-le-premier-homme-que-tu-tueras?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. poseidon2

    Ladies with gun's t2

    Si le premier tome de Ladies with gun's avait été rafraîchissant, j'avais trouvé un peu dommage que les aventures de nos 5 femmes soient aussi dissociées. Ce tome deux confirme l'impression que le premier n'était qu'une grande introduction. Olivier Bocquet densifie énormément son récit dans ce second opus. On n'a plus 5 femmes, mais bien un groupe de femmes soudées qui cherchent à survivre dans un univers masculin. Et ce récit change donc avec ces femmes qui prennent chacune leurs places dans ce groupe disparate pour nous livrer un roadmovie dans un univers western. Ce changement rend la lecture plus fluide et gomme les quelques défauts du premier tome pour faire de tome deux un excellent moment de lecture porté par le trait toujours aussi dynamique de Anlor.
  21. Titre de l'album : Ladies with gun's t2 Scenariste de l'album : Olivier Bocquet Dessinateur de l'album : Anlor Coloriste : Elvire De Cock Editeur de l'album : 404 comics Note : Résumé de l'album : Après une résistance héroïque face à leurs assaillants, Katheleen, Chumani, Abigail, Cassie et Daisy sont en cavale, activement recherchées par des chasseurs de prime appâtés par la tâche, a priori facile, de se faire pas mal de pognon sur la tête de cinq gonzesses... Bon, il est vrai que l'ambiance n'est pas au beau fixe pour nos ladies : Daisy est gravement blessée à la jambe, et elles ont trouvés un refuge de fortune dans une ancienne mine désaffectée. Mais, une fois n'est pas coutume, ce n'est pas parce que la situation paraît désespérée qu'elles vont se laisser abattre ! Elles ont plus d'une balle dans leur gun, et ne manquent pas d'imagination pour en découdre ! Critique : Si le premier tome de Ladies with gun's avait été rafraîchissant, j'avais trouvé un peu dommage que les aventures de nos 5 femmes soient aussi dissociées. Ce tome deux confirme l'impression que le premier n'était qu'une grande introduction. Olivier Bocquet densifie énormément son récit dans ce second opus. On n'a plus 5 femmes, mais bien un groupe de femmes soudées qui cherchent à survivre dans un univers masculin. Et ce récit change donc avec ces femmes qui prennent chacune leurs places dans ce groupe disparate pour nous livrer un roadmovie dans un univers western. Ce changement rend la lecture plus fluide et gomme les quelques défauts du premier tome pour faire de tome deux un excellent moment de lecture porté par le trait toujours aussi dynamique de Anlor. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ladies-with-guns-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Marshall River Bass est de retour dans une histoire encore bien sordide pour ce premier adjoint au shérif afro-américain, des états-unis. Le scénariste Darko Macan fait preuve de beaucoup d'imagination pour inventer des récits qui mettent à mal son shérif et aussi des protagonistes toujours originaux. Dans cet épisode, une prostituée est accusée de meurtre avec toute une troupe de cowboys imbibés de whisky à sa poursuite pour un jugement expéditif. Bass se voit confier la mission de protéger cette prostituée, pour lui offrir un véritable jugement comme il se doit et écouter sa version. Il croisera la route d'un des frères de la famille Defoe qu'il a déjà affronter dès le premier tome. Les indiens ne sont pas oubliés pour parfaire cette histoire au far ouest sauvage où les armes sont utilisés pour régler les problèmes. La partie graphique d'Igor Kordey est parfaite comme depuis le début sur cette série, l'auteur gère à merveilles ce western. La fin annonce une thématique pour le prochain album des aventures de Marshall Bass, qui devra encore se faire respecter pour ensuite appliquer la loi en tant que shérif afro-américain.
  23. Titre de l'album : Marshal Bass tome 8 - La mort misérable et solitaire de Mindy Maguire Scenariste de l'album : Darko Macan Dessinateur de l'album : Igor Kordey Coloriste : Len O'grady & Anubis Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Personne ne sait pourquoi Mindy Maguire a assassiné Skunk Bernhardt avant de s'enfuir en territoire indien et personne ne s'en soucie. Sauf les hommes de Dryheave... qui la pourchassent sans répit tant que l'alcool coule à flot. La seule chance de survie de Mindy est que le Marshal Bass la trouve en premier... Critique : Marshall River Bass est de retour dans une histoire encore bien sordide pour ce premier adjoint au shérif afro-américain, des états-unis. Le scénariste Darko Macan fait preuve de beaucoup d'imagination pour inventer des récits qui mettent à mal son shérif et aussi des protagonistes toujours originaux. Dans cet épisode, une prostituée est accusée de meurtre avec toute une troupe de cowboys imbibés de whisky à sa poursuite pour un jugement expéditif. Bass se voit confier la mission de protéger cette prostituée, pour lui offrir un véritable jugement comme il se doit et écouter sa version. Il croisera la route d'un des frères de la famille Defoe qu'il a déjà affronter dès le premier tome. Les indiens ne sont pas oubliés pour parfaire cette histoire au far ouest sauvage où les armes sont utilisés pour régler les problèmes. La partie graphique d'Igor Kordey est parfaite comme depuis le début sur cette série, l'auteur gère à merveilles ce western. La fin annonce une thématique pour le prochain album des aventures de Marshall Bass, qui devra encore se faire respecter pour ensuite appliquer la loi en tant que shérif afro-américain. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/marshal-bass-tome-8-la-mort-miserable-et-solitaire-de-mindy-maguire?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. The_PoP

    Mortel Imprévu

    Titre de l'album : Mortel Imprévu Scenariste de l'album : Dominique Monféry Dessinateur de l'album : Dominique Monféry Coloriste : Dominique Monféry Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : Mariée à un riche mais violent médecin de Londres, Edith décide de partir en secret vers la lointaine Amérique pour une nouvelle vie, et y fera la rencontre de Hans, un charpentier dont elle tombe rapidement amoureuse. Poussée par ses sentiments, elle décide de suivre ce dernier dans sa ruée vers l'or, dans le grand nord canadien. Sur place, ils établiront un camp avec trois hommes rencontrés durant leur voyage. Malgré ses personnalités éclectiques, le groupe d'apparence soudé entreprend d'affronter le rude hiver, son froid glacial et les loups affamés rôdant aux alentours. Mais l'isolement et l'avidité peuvent aussi pousser bien des hommes vers les plus sombres et primitifs de leurs aspects... Critique : J'ai souvent tendance à reprocher aux auteurs solo d'affaiblir leurs créations en ne travaillant pas avec un autre dessinateur ou scénariste (suivant leur propre domaine de prédilection). Alors je vais profiter de ce Mortel Imprévu pour reconnaître aussi que certains arrivent très bien à nous livrer de magnifiques bd qui ne nous laisse pas ce sentiment là, et Dominique Monféry en fait partie. Ce Mortel Imprévu sur lequel plane fort l'ombre des récits de Jack London est un coup de maître car c'est une réussite graphique et scénaristique remarquable. Les planches sont très très belles, avec leur style propre mais adapté à cette histoire. Les décors et les personnages sont une réussite, les uns au service des autres et vice versa lorsque l'histoire le demande. Quand à la narration, parfois lente, parfois plus rapide, elle joue avec nos nerfs, installant avec succès des ambiances rendues palpables par un dessin inspiré. Bref, ce Mortel Imprévu est un one shot qui ravira d'abord les amateurs de Jack London, puis ceux qui aiment s'immerger dans une histoire un brin oppressante, et enfin à peu près tous les amateurs de bd et de bonnes lectures que je peux connaître. Pour les amateurs du genre, ce sera un 5/5 je pense, pour ma part, ce n'est juste pas mon type de récit préféré en général 🙂 Autres infos : Western de survie dans le grand nord Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mortel-imprevu?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. The_PoP

    Mortel Imprévu

    J'ai souvent tendance à reprocher aux auteurs solo d'affaiblir leurs créations en ne travaillant pas avec un autre dessinateur ou scénariste (suivant leur propre domaine de prédilection). Alors je vais profiter de ce Mortel Imprévu pour reconnaître aussi que certains arrivent très bien à nous livrer de magnifiques bd qui ne nous laisse pas ce sentiment là, et Dominique Monféry en fait partie. Ce Mortel Imprévu sur lequel plane fort l'ombre des récits de Jack London est un coup de maître car c'est une réussite graphique et scénaristique remarquable. Les planches sont très très belles, avec leur style propre mais adapté à cette histoire. Les décors et les personnages sont une réussite, les uns au service des autres et vice versa lorsque l'histoire le demande. Quand à la narration, parfois lente, parfois plus rapide, elle joue avec nos nerfs, installant avec succès des ambiances rendues palpables par un dessin inspiré. Bref, ce Mortel Imprévu est un one shot qui ravira d'abord les amateurs de Jack London, puis ceux qui aiment s'immerger dans une histoire un brin oppressante, et enfin à peu près tous les amateurs de bd et de bonnes lectures que je peux connaître. Pour les amateurs du genre, ce sera un 5/5 je pense, pour ma part, ce n'est juste pas mon type de récit préféré en général 🙂
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