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  2. Titre de l'album : I.R.$ - Tome 24 - Les prédateurs climatiques Scenariste de l'album : Stephen Desberg Dessinateur de l'album : Bernard Vrancken Coloriste : Marquebreucq Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : En présentant un projet trans-partisan d'action contre le réchauffement climatique, Larry Max espère encore faire bouger les choses par la voie démocratique. Mais n'est-ce pas peine perdue au sein d'une Amérique où les extrémistes pèsent sur le débat à coups d'explosifs et autres rafales de balles ? Pourtant, il n'est pas seul à mener le combat écologique. L'ancien vice-président Shore semble décidé à revenir en politique. Et lui a très bien compris la façon dont fonctionne ce pays... Critique : Si je ne suis pas l'un des plus grand fan de Larry Max, j'avoue suivre ses aventures avec un certain intérêt. Malheureusement j'ai trouvé cet épisode un cran en dessous des derniers qui avaient su m'intéresser. Stephen Desberg est bien une référence en matière de scénarios en bd, mais là son intrigue m'a semblée bien bancale ce qui est un peu un comble pour une bd sur l'univers politico financier. C'était surtout jusqu'ici l'un des points fort de cette série. Pourtant, dans ce tome 24, le complot final m'a semblé peu crédible, et les motivations des uns et des autres pour le moins légères par rapport à la portée de leurs actes. Le message du scénariste sur les enjeux de notre monde s'en trouve à mon sens un peu dilué devant des complications un peu inutiles secondaires au récit. De même certains faits majeurs émotionnellement sont traités finalement très rapidement, ne nous laissant guère percevoir leur portée émotionnelle. Le dessin lui ne progresse guère en terme de qualité et s'il remplit toutefois son office pour une bd de thriller, il manque à mon goût bien trop de détails et de soin pour faire honneur à l'intérieur à sa jolie couverture. Les fans de la première heure de Larry B. Max y trouveront probablement leur bonheur mais pour les nouveaux lecteurs cela me semble un peu juste. Autres infos : Crayonné de Jacomelli Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/i-r-s-tome-24-les-predateurs-climatiques?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Si je ne suis pas l'un des plus grand fan de Larry Max, j'avoue suivre ses aventures avec un certain intérêt. Malheureusement j'ai trouvé cet épisode un cran en dessous des derniers qui avaient su m'intéresser. Stephen Desberg est bien une référence en matière de scénarios en bd, mais là son intrigue m'a semblée bien bancale ce qui est un peu un comble pour une bd sur l'univers politico financier. C'était surtout jusqu'ici l'un des points fort de cette série. Pourtant, dans ce tome 24, le complot final m'a semblé peu crédible, et les motivations des uns et des autres pour le moins légères par rapport à la portée de leurs actes. Le message du scénariste sur les enjeux de notre monde s'en trouve à mon sens un peu dilué devant des complications un peu inutiles secondaires au récit. De même certains faits majeurs émotionnellement sont traités finalement très rapidement, ne nous laissant guère percevoir leur portée émotionnelle. Le dessin lui ne progresse guère en terme de qualité et s'il remplit toutefois son office pour une bd de thriller, il manque à mon goût bien trop de détails et de soin pour faire honneur à l'intérieur à sa jolie couverture. Les fans de la première heure de Larry B. Max y trouveront probablement leur bonheur mais pour les nouveaux lecteurs cela me semble un peu juste.
  4. La dernière semaine
  5. Titre de l'album : Adorable démone Scenariste de l'album : Michelle Lam Dessinateur de l'album : Michelle lam Coloriste : Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : Jusqu'où iriez-vous pour sauver votre foyer et trouver votre voie ? Martyrisée par les autres démons, Meesh, douze ans, trouve du réconfort en regardant sa série préférée, Princesse Nouna, et en admirant les exploits de son héroïne, une fée si différente d'elle. Quand un désastre frappe le mont Magma et menace l'existence des démons, Meesh part chercher de l'aide à Plumeria. Mais au royaume des fées, tout ne se passe pas comme elle l'imaginait... Meesh entame alors un long voyage pour sauver les siens. Critique : Première oeuvre dans le monde du 9ème art pour l'artiste sino-américaine Michelle Lam avec ce Adorable démone . Dès les premières pages , on sent immédiatement les influences mangas et autres productions télévisuelles , il faut dire qu'elle travaille aussi pour des studios d'animations ! Une artiste aux multiples talents donc ,avec une histoire qui emprunte aux codes connus mais en y amenant une dose d'originalité . Elle dépeint en effet un monde imaginaire peuplé de démons , de fées , et autres créatures fantastiques . Chacun ayant ses caractéristiques propres , ainsi les démons apprennent à façonner la lave comme de la pâte à modeler , ils vivent la nuit et dorment le jour , ils ont des cornes qu'il faut aiguiser ; en somme toute une vie à l'opposée des fées . Ces dernières rentrent dans les canons habituels maintes fois abordés dans des tas d'autres oeuvres de ce type . Le talent de l'auteure est de parvenir à rendre cet univers riche crédible et typique . Partez donc à l'aventure Meesh et ses nouveaux amis dans une quête de vérité aux multiples rebondissements , avec en prime , une fin laissant la porte ouverte pour une suite 😉 La,pagination est importante , mais les pages sont aérées avec des dialogues ciselés , adaptés au lectorat jeune . Il en va de même pour la partie graphique avec de grandes cases , des personnages facilement reconnaissables et un trait "manga" coloré qui séduira son public . Autres infos : Type de l'album : Livre pour enfants Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/adorable-demone/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Kevin Nivek

    Adorable démone

    Première oeuvre dans le monde du 9ème art pour l'artiste sino-américaine Michelle Lam avec ce Adorable démone . Dès les premières pages , on sent immédiatement les influences mangas et autres productions télévisuelles , il faut dire qu'elle travaille aussi pour des studios d'animations ! Une artiste aux multiples talents donc ,avec une histoire qui emprunte aux codes connus mais en y amenant une dose d'originalité . Elle dépeint en effet un monde imaginaire peuplé de démons , de fées , et autres créatures fantastiques . Chacun ayant ses caractéristiques propres , ainsi les démons apprennent à façonner la lave comme de la pâte à modeler , ils vivent la nuit et dorment le jour , ils ont des cornes qu'il faut aiguiser ; en somme toute une vie à l'opposée des fées . Ces dernières rentrent dans les canons habituels maintes fois abordés dans des tas d'autres oeuvres de ce type . Le talent de l'auteure est de parvenir à rendre cet univers riche crédible et typique . Partez donc à l'aventure Meesh et ses nouveaux amis dans une quête de vérité aux multiples rebondissements , avec en prime , une fin laissant la porte ouverte pour une suite 😉 La,pagination est importante , mais les pages sont aérées avec des dialogues ciselés , adaptés au lectorat jeune . Il en va de même pour la partie graphique avec de grandes cases , des personnages facilement reconnaissables et un trait "manga" coloré qui séduira son public .
  7. Oui je viens de voir ^^ bah je repasserai la bas vendredi du coup
  8. Kevin Nivek

    Le dieu-fauve

    Ah oui c'est pas évident , mais perso j'ai toujours du mal à rentrer dans des univers inventés , il me faut un laps de temps important .
  9. Ah non tiens bien vu je me suis emballé 🙂 ils sort ce vendredi
  10. alx23

    Le dieu-fauve

    J'ai eu beaucoup de mal à rentrer dans l'histoire avec tous les textes descriptifs, j'ai laissé la lecture pour plus tard.
  11. Titre de l'album : La diplomatie du ping-pong - 1971, un hippie rapproche la Chine et les États-Unis Scenariste de l'album : Alcante Dessinateur de l'album : Alain Mounier Coloriste : Alain Mounier Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : En 1971, lors des championnats du monde de ping-pong, Glenn Cowan, joueur américain hippie et farfelu, sportivement moyen, rate son bus et se retrouve par hasard dans celui de la délégation chinoise. De là nait la rencontre avec Zhuang Zedong, triple champion du monde chinois. De cette improbable amitié découlera la poignée de main entre Mao et Nixon et le début du dégel Est/Ouest. Critique : Le scénariste Alcante livre un fait historique peu connus du public français en restant plus ou moins fidèle à l'histoire comme il l’explique en fin d’album. L’introduction de quelques pages nous redonne le contexte historique avec la situation complexe entre les Etats-Unis et la Chine durant la guerre froide. La politique évolue et de chaque côté, les dirigeants semblent ouverts pour apaiser les tensions entre les deux grandes nations. En 1971, un jeune hippie joueur de tennis de table ou ping pong va jouer un rôle primordial dans le retour à la paix entre les Etats-Unis et la Chine, suite à un tournoi mondial se déroulant au Japon. Le meilleur joueur mondial chinois jouera également un rôle important dans l’évolution diplomatique. Il est amusant de découvrir comment un simple sport et l’amitié entre deux sportifs sera décisif. Pour la partie graphique, Alain Mounier réalise des planches de qualité pour dépeindre cette aventure se déroulant aux Etats-Unis durant le flower power, au Japon puis en Chine. Alcante revient sur ce projet de bande dessinée en fin d’album et pourquoi cette histoire lui tenait tant et les libertés prises. La diplomatie du ping-pong est un album intéressant et une agréable surprenante. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-diplomatie-du-ping-pong-1971-un-hippie-rapproche-la-chine-et-les-etats-unis/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Le scénariste Alcante livre un fait historique peu connus du public français en restant plus ou moins fidèle à l'histoire comme il l’explique en fin d’album. L’introduction de quelques pages nous redonne le contexte historique avec la situation complexe entre les Etats-Unis et la Chine durant la guerre froide. La politique évolue et de chaque côté, les dirigeants semblent ouverts pour apaiser les tensions entre les deux grandes nations. En 1971, un jeune hippie joueur de tennis de table ou ping pong va jouer un rôle primordial dans le retour à la paix entre les Etats-Unis et la Chine, suite à un tournoi mondial se déroulant au Japon. Le meilleur joueur mondial chinois jouera également un rôle important dans l’évolution diplomatique. Il est amusant de découvrir comment un simple sport et l’amitié entre deux sportifs sera décisif. Pour la partie graphique, Alain Mounier réalise des planches de qualité pour dépeindre cette aventure se déroulant aux Etats-Unis durant le flower power, au Japon puis en Chine. Alcante revient sur ce projet de bande dessinée en fin d’album et pourquoi cette histoire lui tenait tant et les libertés prises. La diplomatie du ping-pong est un album intéressant et une agréable surprenante.
  13. Kevin Nivek

    Le dieu-fauve

    En phase , trop de persos , j'ai perdu le fil , et pas simple de s'immerger dans cet univers ! Première lecture exigeante , je pense effectivement que le potentiel relecture est important . A relire dans quelques mois 🙂
  14. Kevin Nivek

    Snow angels

    Ah oui , mais dans ce cas il peut le récup sur les cadavres ! Moi aussi j'aime bien les histoires "enneigées" , c'est bon mais pas topissime j'ai trouvé . Marrant que tu aies pensé au Transperceneige , moi j'ai pensé à la horde du contrevent avec cette "tranchée" au milieu et leur façon de vivre , leurs croyances etc .... Cela reste une bonne reco , mais pas un 5 pour moi .
  15. pris alors que je connais pas la série d'origine.... bien joué
  16. Pas trouvé ni samedi dans des tops librairies ni aujourd'hui à mon cultura. Il est officiellement sorti ?
  17. poseidon2

    Snow angels

    Moi l'ambiance me plait énormement... un coté tranceperneige.... j'adore ce qui donne froid
  18. J'ai bien aimé la lecture malgré le démarrage très mou et peu passionnant. Je n'ai jamais lu la série d'origine et j'ai touvé que Bec y donnait trop de références qui ne serviront pas aux nouveaux lecteurs comme moi. J'ai adoré les dessins de Puerta et les ambiances mais comme d'habitude c'est parfait avec lui. Perso, j'ai bien aimé justement le mélange en mer et sur terre, un peu trop de dialogues pas essentiels mais je prendrai la suite pour connaitre la fin.
  19. Kevin Nivek

    Snow angels

    Lu et , j'aurais pas mis 5 😉 Un truc que je ne comprends pas :
  20. Titre de l'album : Anatomie d'un coeur Scenariste de l'album : Antonia Banados Dessinateur de l'album : Antonia Banados Coloriste : Editeur de l'album : Sarbacane Note : Résumé de l'album : L'histoire extraordinaire d'une Marie Curie chilienne Fin des années 1950, c'est le jour de la rentrée dans la faculté de médecine de Santiago, au Chili. Le président livre un discours inaugural dans lequel il annonce aux jeunes étudiants qu'ils font désormais partie de l'élite de la nation et les alerte sur la responsabilité qui en découle. Il insiste sur ce point en s'adressant directement aux deux seules femmes qui se sont assises cette année-là sur les bancs de l'université. Elles devront faire leurs preuves dans un milieu quasi exclusivement masculin. Aurora, l'une des deux, s'inquiète plus des préjugés des hommes que de ses capacités : brillante et rigoureuse, elle est arrivée troisième au concours d'entrée. Heureusement, une fois l'année commencée, elle sera vite remarquée par ses camarades, qui la nommeront cheffe de groupe en cours d'anatomie. Mais alors qu'elle dissèque le coeur des cadavres qui sont mis à la disposition des étudiants, le sien se met à battre pour l'assistant du professeur. Dans un monde d'hommes où une femme doit se montrer dure pour être respectée, Aurora laissera-t-elle entrer l'amour dans sa vie ? Critique : C'est l'histoire de sa grand-mère Aurora que nous raconte l'auteure chilienne Antonia Banados , à travers ce roman graphique touchant . A la fin des années 50 , cette dernière est rentrée en faculté de médecine et a vécu une "fausse" histoire d'amour avec un des professeurs . Je précise "fausse" car leur histoire se limitera à des regards , des rendez-vous manqués , des mains se touchant , de longues discussions passionnées , mais hélas rien de plus ! Je ne vous révèle pas les raisons de cet échec amoureux , mais sachez qu'il sera le fil d'Ariane de cet ouvrage . Nous découvrons aussi l'accueil timoré de la faculté pour les deux seules femmes de la promotion , puis la réussite d'Aurora qui en fera une des meilleurs élèves , mais aussi un pays en proie à l'arrivée de la dictature de Pinochet . Tout ceci viendra parasiter cet amour naissant/déchu dans un déferlement de cases ponctuées de schémas organiques . La bichromie aux forts accents bleutés de la dessinatrice donne un rendu de type daguerréotype , une suite de photographies de la vie d 'une étudiante , sa relation avec ses collègues , sa famille etc .... Il se dégage une réelle élégance dans la mise en page . Sans sombrer dans un féminisme accru , Antonia Banados dresse le portrait d'une femme forte et opiniâtre , dont la seule faiblesse sera son coeur lui même , au sens romantique du terme bien entendu 😉 Une première oeuvre intéressante , à confirmer dans un prochain travail ! Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/anatomie-d-un-coeur/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Kevin Nivek

    Anatomie d'un coeur

    C'est l'histoire de sa grand-mère Aurora que nous raconte l'auteure chilienne Antonia Banados , à travers ce roman graphique touchant . A la fin des années 50 , cette dernière est rentrée en faculté de médecine et a vécu une "fausse" histoire d'amour avec un des professeurs . Je précise "fausse" car leur histoire se limitera à des regards , des rendez-vous manqués , des mains se touchant , de longues discussions passionnées , mais hélas rien de plus ! Je ne vous révèle pas les raisons de cet échec amoureux , mais sachez qu'il sera le fil d'Ariane de cet ouvrage . Nous découvrons aussi l'accueil timoré de la faculté pour les deux seules femmes de la promotion , puis la réussite d'Aurora qui en fera une des meilleurs élèves , mais aussi un pays en proie à l'arrivée de la dictature de Pinochet . Tout ceci viendra parasiter cet amour naissant/déchu dans un déferlement de cases ponctuées de schémas organiques . La bichromie aux forts accents bleutés de la dessinatrice donne un rendu de type daguerréotype , une suite de photographies de la vie d 'une étudiante , sa relation avec ses collègues , sa famille etc .... Il se dégage une réelle élégance dans la mise en page . Sans sombrer dans un féminisme accru , Antonia Banados dresse le portrait d'une femme forte et opiniâtre , dont la seule faiblesse sera son coeur lui même , au sens romantique du terme bien entendu 😉 Une première oeuvre intéressante , à confirmer dans un prochain travail !
  22. Titre de l'album : Alerte - Tome 1 - Le poids du doute Scenariste de l'album : Johan Massez Dessinateur de l'album : Johan Massez Coloriste : Editeur de l'album : Sarbacane Note : Résumé de l'album : Seule contre tous, le choix de Cathy. Dans la nuit noire d'une banlieue chic, une voiture se gare devant une villa design, phares éteints. En sort un homme mal rasé qui traverse le jardin, et passe devant la piscine. À l'intérieur de la maison, le champagne coule à flot, on se sourit, on trinque, pendant qu'une armée de serveurs fait défiler des amuse-gueules. Pharmacom, puissant groupe pharmaceutique, y fête la sortie prochaine du Zandler, un nouvel antipsychotique révolutionnaire. Le médicament a été validé par Clinitech, le sous-traitant chargé de réaliser les tests : plus que quelques jours et il sera dans toutes les pharmacies. Pour Cathy Charlier, la scientifique qui l'a mis au point, c'est l'aboutissement de cinq ans de travail. Et puis c'est une victoire personnelle : son fils, Adri, souffre de troubles que seul le Zandler, qu'elle lui a administré en cachette avant même sa mise en marché, a réussi à apaiser. Prête à recevoir les fleurs qui lui sont dues, Cathy lève sa coupe - quand l'homme qui s'est introduit dans le salon la met en joue. En un instant d'effroi, il retourne l'arme contre lui et tire. Le lendemain, Cathy a à peine le temps de se remettre de ses émotions, qu'un ancien camarade de thèse la contacte : l'homme qui s'est tué sous ses yeux aurait fait partie des cobayes ayant testé le Zandler. Et non seulement il ne l'aurait pas bien vécu, mais il ne serait pas le seul. Face au scandale qui se profile, Cathy va devoir choisir : rester ou trahir ? Critique : A l'origine , cette histoire était prévue pour une série tv , mais le hasard ou la complexité de mener à bien le projet , a transformé ce synopsis en BD sur deux tomes . Le poids du doute ouvre donc ce thriller pharmaceutique . L'on y découvre Cathy Charlier , brillante scientifique à l'origine d'un nouveau médicament psychiatrique dont la sortie prochaine semble imminente . Lors d'une soirée organisée par la direction du groupe , un homme fait irruption et se suicide sous les yeux ébahis de l'assemblé . Cathy va débuter son enquête afin de comprendre le geste de cet homme ayant participé aux tests de ce fameux médicament , d'autant qu'elle l'a administré à son fils en secret . Quelles découvertes l'attendent et sur qui peut-elle compter ? Pour sa première oeuvre , Johan Massez , ingénieur naval de formation , délivre un scénario aux ramifications nombreuses mais use d'une trame assez convenue . On pense aisément à La constance du jardinier , formidable polar de John Le Carré à la lecture de ce tome . Les secrets des labos , les cobayes , les mensonges , le profit etc ... La grande originalité étant ce que l'auteur va nous réserver au sujet du fils de Cathy prenant ce remède . Le tome suivant délivrera bon nombre d'interrogations , aussi ne boudons pas notre plaisir devant ces questions sans réponses 🙂 . Le thriller est bien mené ,avec une montée en tension au fil des pages . La ligne claire sans exagérations de détails se veut précise et fluide . Des couleurs froides sont en harmonie avec ce monde pharmaceutique discret aux murs sans fenêtres . Pour les amateurs de polars . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/alerte-tome-1-le-poids-du-doute/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. A l'origine , cette histoire était prévue pour une série tv , mais le hasard ou la complexité de mener à bien le projet , a transformé ce synopsis en BD sur deux tomes . Le poids du doute ouvre donc ce thriller pharmaceutique . L'on y découvre Cathy Charlier , brillante scientifique à l'origine d'un nouveau médicament psychiatrique dont la sortie prochaine semble imminente . Lors d'une soirée organisée par la direction du groupe , un homme fait irruption et se suicide sous les yeux ébahis de l'assemblé . Cathy va débuter son enquête afin de comprendre le geste de cet homme ayant participé aux tests de ce fameux médicament , d'autant qu'elle l'a administré à son fils en secret . Quelles découvertes l'attendent et sur qui peut-elle compter ? Pour sa première oeuvre , Johan Massez , ingénieur naval de formation , délivre un scénario aux ramifications nombreuses mais use d'une trame assez convenue . On pense aisément à La constance du jardinier , formidable polar de John Le Carré à la lecture de ce tome . Les secrets des labos , les cobayes , les mensonges , le profit etc ... La grande originalité étant ce que l'auteur va nous réserver au sujet du fils de Cathy prenant ce remède . Le tome suivant délivrera bon nombre d'interrogations , aussi ne boudons pas notre plaisir devant ces questions sans réponses 🙂 . Le thriller est bien mené ,avec une montée en tension au fil des pages . La ligne claire sans exagérations de détails se veut précise et fluide . Des couleurs froides sont en harmonie avec ce monde pharmaceutique discret aux murs sans fenêtres . Pour les amateurs de polars .
  24. The_PoP

    Klaus T1

    C’est pas mal mais… le 2 est en fait constitué de deux histoires independantes courtes, un peu plus foutraques côté scénario et projetant notre klaus dans l’époque moderne…
  25. Titre de l'album : Princesse puncheuse tome 5 Scenariste de l'album : Nana Otori Dessinateur de l'album : Sora Hoonoki Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Au cours du bal organisé par le second prince, Kyle, celui-ci annonce à Scarlett qu'il a décidé de rompre leurs fiançailles après plusieurs longues années de supplices pour la jeune femme. De plus, il lui fait endosser des crimes qu'elle n'a pas commis et la fait passer pour une "jeune femme maléfique" . Scarlett est à bout. Elle veut définitivement couper les ponts avec cet imbécile, mais, avant, lui demande une dernière faveur qui est pour le moins... originale ! Critique : En voila une série qui ne finit de plus de surprendre avec un tome qui délaisse complètement l'aspect "puncheuse" de notre héroïne pour bien mettre en avant soin aspect "sainte" mais surtout nous plonger dans une histoire ou les "combats de rues" sont dépassés par un conflit d'ampleur : une alliance des nations autour des palmaistes pour renverser le pouvoir en place. Plus que cela, on en apprend même beaucoup plus sur les déesses elle-même, le combat qu'elle mène et la façon dont elles confèrent des pouvoirs aux humains. Un tome qui comble nos dernières ignorances sur cet univers et nous lance dans une bataille qui s'annonce ardue. C'est à peine si on a le temps de regretter que la romance entre le prince et notre saint n'évolue pas plus vite. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/princesse-puncheuse-tome-5/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  26. poseidon2

    Princesse puncheuse tome 5

    En voila une série qui ne finit de plus de surprendre avec un tome qui délaisse complètement l'aspect "puncheuse" de notre héroïne pour bien mettre en avant soin aspect "sainte" mais surtout nous plonger dans une histoire ou les "combats de rues" sont dépassés par un conflit d'ampleur : une alliance des nations autour des palmaistes pour renverser le pouvoir en place. Plus que cela, on en apprend même beaucoup plus sur les déesses elle-même, le combat qu'elle mène et la façon dont elles confèrent des pouvoirs aux humains. Un tome qui comble nos dernières ignorances sur cet univers et nous lance dans une bataille qui s'annonce ardue. C'est à peine si on a le temps de regretter que la romance entre le prince et notre saint n'évolue pas plus vite.
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    • I.R.$ - Tome 24 - Les prédateurs climatiques
      Note :
      Si je ne suis pas l'un des plus grand fan de Larry Max, j'avoue suivre ses aventures avec un certain intérêt. Malheureusement j'ai trouvé cet épisode un cran en dessous des derniers qui avaient su m'intéresser. 

      Stephen Desberg est pourtant une référence en matière de scénarios en bd, mais là son intrigue m'a semblée bien bancale ce qui est un peu un comble pour une bd sur l'univers politico financier. Le complot final se révèle peu crédible, et les motivations des uns et des autres pour le moins légères par rapport à la portée de leurs actes. Le message du scénariste sur les enjeux de notre monde s'en trouve à mon sens un peu dilué devant des complications un peu inutiles secondaires au récit. De même certains faits majeurs émotionnellement sont traités finalement très rapidement, ne nous laissant guère percevoir leur portée émotionnelle.

      Le dessin lui ne progresse guère en terme de qualité et s'il remplit toutefois son office pour une bd de thriller, il manque à mon goût bien trop de détails et de soin pour faire honneur à l'intérieur à sa jolie couverture.

      Les fans de la première heure de Larry B. Max y trouveront probablement leur bonheur mais pour les nouveaux lecteurs cela me semble un peu juste.
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    • Adorable démone
      Note :
      Première oeuvre dans le monde du 9ème art pour l'artiste sino-américaine Michelle Lam avec ce Adorable démone . Dès les premières pages , on sent immédiatement les influences mangas et autres productions télévisuelles , il faut dire qu'elle travaille aussi pour des studios d'animations ! Une artiste aux multiples talents donc ,avec une histoire qui emprunte aux codes connus mais en y amenant une dose d'originalité . Elle dépeint en effet un monde imaginaire peuplé de démons , de fées , et autres créatures fantastiques . Chacun ayant ses caractéristiques propres , ainsi les démons apprennent à façonner la lave comme de la pâte à modeler , ils vivent la nuit et dorment le jour , ils ont des cornes qu'il faut aiguiser ; en somme toute une vie à l'opposée des fées . Ces dernières rentrent dans les canons habituels maintes fois abordés dans des tas d'autres oeuvres de ce type . Le talent de l'auteure est de parvenir à rendre cet univers riche crédible et typique . Partez donc à l'aventure Meesh et ses nouveaux amis dans une quête de vérité aux multiples rebondissements , avec en prime , une fin laissant la porte ouverte pour une suite 😉 

      La,pagination est importante , mais les pages sont aérées avec des dialogues ciselés , adaptés au lectorat jeune . Il en va de même pour la partie graphique avec de grandes cases , des personnages facilement reconnaissables et un trait "manga" coloré qui séduira son public .
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    • La diplomatie du ping-pong - 1971, un hippie rapproche la Chine et les États-Unis
      Note :
      Le scénariste Alcante livre un fait historique peu connus du public français en restant plus ou moins fidèle à l'histoire comme il l’explique en fin d’album. L’introduction de quelques pages nous redonne le contexte historique avec la situation complexe entre les Etats-Unis et la Chine durant la guerre froide. La politique évolue et de chaque côté, les dirigeants semblent ouverts pour apaiser les tensions entre les deux grandes nations. En 1971, un jeune hippie joueur de tennis de table ou ping pong va jouer un rôle primordial dans le retour à la paix entre les Etats-Unis et la Chine, suite à un tournoi mondial se déroulant au Japon. Le meilleur joueur mondial chinois jouera également un rôle important dans l’évolution diplomatique. Il est amusant de découvrir comment un simple sport et l’amitié entre deux sportifs sera décisif. Pour la partie graphique, Alain Mounier réalise des planches de qualité pour dépeindre cette aventure se déroulant aux Etats-Unis durant le flower power, au Japon puis en Chine.
      Alcante revient sur ce projet de bande dessinée en fin d’album et pourquoi cette histoire lui tenait tant et les libertés prises. La diplomatie du ping-pong est un album intéressant et une agréable surprenante.  
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    • Anatomie d'un coeur
      Note :
      C'est l'histoire de sa grand-mère Aurora que nous raconte l'auteure chilienne Antonia Banados , à travers ce roman graphique touchant . A la fin des années 50 , cette dernière est rentrée en faculté de médecine et a vécu une "fausse" histoire d'amour avec un des professeurs . Je précise "fausse" car leur histoire se limitera à des regards , des rendez-vous manqués , des mains se touchant , de longues discussions passionnées , mais hélas rien de plus ! Je ne vous révèle pas les raisons de cet échec amoureux , mais sachez qu'il sera le fil d'Ariane de cet ouvrage . Nous découvrons aussi l'accueil timoré de la faculté pour les deux seules femmes de la promotion , puis la réussite d'Aurora qui en fera une des meilleurs élèves , mais aussi un pays en proie à l'arrivée de la dictature de Pinochet . Tout ceci viendra parasiter cet amour naissant/déchu dans un déferlement de cases ponctuées de schémas organiques . La bichromie aux forts accents bleutés de la dessinatrice donne un rendu de type daguerréotype , une suite de photographies de la vie d 'une étudiante , sa relation avec ses collègues , sa famille etc .... Il se dégage une réelle élégance dans la mise en page . Sans sombrer dans un féminisme accru , Antonia Banados dresse le portrait d'une femme forte et opiniâtre , dont la seule faiblesse sera son coeur lui même , au sens romantique du terme bien entendu 😉 Une première oeuvre intéressante , à confirmer dans un prochain travail !
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    • Alerte - Tome 1 - Le poids du doute
      Note :
      A l'origine , cette histoire était prévue pour une série tv , mais le hasard ou la complexité de mener à bien le projet , a transformé ce synopsis en BD sur deux tomes . Le poids du doute ouvre donc ce thriller pharmaceutique . L'on y découvre Cathy Charlier , brillante scientifique à l'origine d'un nouveau médicament psychiatrique dont la sortie prochaine semble imminente . Lors d'une soirée organisée par la direction du groupe , un homme fait irruption et se suicide sous les yeux ébahis de l'assemblé . Cathy va débuter son enquête afin de comprendre le geste de cet homme ayant participé aux tests de ce fameux médicament , d'autant qu'elle l'a administré à son fils en secret . Quelles découvertes l'attendent et sur qui peut-elle compter ?

      Pour sa première oeuvre , Johan Massez , ingénieur naval de formation , délivre un scénario aux ramifications nombreuses mais use d'une trame assez convenue . On pense aisément à La constance du jardinier , formidable polar de John Le Carré à la lecture de ce tome . Les secrets des labos , les cobayes , les mensonges , le profit etc ... La grande originalité étant ce que l'auteur va nous réserver au sujet du fils de Cathy prenant ce remède . Le tome suivant délivrera bon nombre d'interrogations , aussi ne boudons pas notre plaisir devant ces questions sans réponses 🙂 . Le thriller est bien mené ,avec une montée en tension au fil des pages . La ligne claire sans exagérations de détails se veut précise et fluide . Des couleurs froides sont en harmonie avec ce monde pharmaceutique discret aux murs sans fenêtres . Pour les amateurs de polars .
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