Aller au contenu
  • S’inscrire

Toute l’activité

Ce flux se met à jour automatiquement

  1. Aujourd’hui
  2. Titre de l'album : Doga of the great arch tome 1 Scenariste de l'album : TAKEDA Toryumon Dessinateur de l'album : TAKEDA Toryumon Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Yote, rejeton de la noblesse, est aussi éduqué qu'ignorant des réalités du monde. Son premier voyage en dehors de son domaine tourne court quand il est poignardé pour son argent dans les bas-fonds de Leoure, la cité du désert. Sauvé par une bricoleuse de génie, il se retrouve dans un corps de cyborg lui permettant de survivre... un an ou deux. L'équipement est si rustique que Yote a besoin d'assistance pour tout, de l'entretien au déplacement ! Peu importe, pour lui, c'est une chance de reprendre de zéro, loin de son château et de son étroite existence. Mais, pour ça, il lui faut d'abord retrouver son humanité, et seules les sirènes, réputées dotées de magie, ont une chance de pouvoir l'aider... Le jeune aristocrate propose une petite fortune à Doga, orpheline aussi forte que débrouillarde, pour qu'elle l'assiste dans sa recherche de ces fabuleuses créatures. Elle accepte, prête à braver tous les dangers pour découvrir le monde ! Critique : DOGA OF THE GREAT ARCH est la seconde œuvre de l’autrice Toryumon TAKEDA que l’on a déjà découvert avec son titre BADDUCKS (critique ici). Il s’agit d’un road trip où l’on va suivre le périple de Yote et Doga mais ce sera un voyage avec un but précis. On a d’abord Yote, de son nom complet Yoterda Va Sotelnoa, c’est un jeune noble qui ne connaît rien au monde. Trop épris de liberté et trop curieux, il perdit la vie presque au début de son voyage et se retrouva transformé en cyborg. Hélas, il a été bricolé avec les moyens du bord et son existence n’est que de 1 ou 2 ans. Il souhaite redevenir humain et pour cela doit trouver les sirènes. Ensuite, il y a Doga, une jeune femme, orpheline dès sa naissance, qui vit au jour le jour en bricolant ici et là, une vraie débrouillarde avec beaucoup de force et du caractère. Elle accompagne Yote dans son périple pour gagner de l’argent et aussi voir la mer. Elle a toujours vécu dans une ville au milieu d’un désert. La première chose que l’on apprécie chez cette autrice, c’est son dessin. Elle ne cherche pas à faire dans le classique, ses personnages ont de la gueule et des formes, ils sont facilement identifiables et sont même uniques ! Et puis, il y a le scénario, il est original et nous propose une plongée dans un nouveau monde entre fantasy et steampunk. Associé à cela un sens de la narration et une certaine légèreté (Yote accepte très bien le fait d’être un cyborg), le manga démarre bien et promet un joyeux divertissement. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/doga-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Nickad

    Doga of the great arch tome 1

    DOGA OF THE GREAT ARCH est la seconde œuvre de l’autrice Toryumon TAKEDA que l’on a déjà découvert avec son titre BADDUCKS (critique ici). Il s’agit d’un road trip où l’on va suivre le périple de Yote et Doga mais ce sera un voyage avec un but précis. On a d’abord Yote, de son nom complet Yoterda Va Sotelnoa, c’est un jeune noble qui ne connaît rien au monde. Trop épris de liberté et trop curieux, il perdit la vie presque au début de son voyage et se retrouva transformé en cyborg. Hélas, il a été bricolé avec les moyens du bord et son existence n’est que de 1 ou 2 ans. Il souhaite redevenir humain et pour cela doit trouver les sirènes. Ensuite, il y a Doga, une jeune femme, orpheline dès sa naissance, qui vit au jour le jour en bricolant ici et là, une vraie débrouillarde avec beaucoup de force et du caractère. Elle accompagne Yote dans son périple pour gagner de l’argent et aussi voir la mer. Elle a toujours vécu dans une ville au milieu d’un désert. La première chose que l’on apprécie chez cette autrice, c’est son dessin. Elle ne cherche pas à faire dans le classique, ses personnages ont de la gueule et des formes, ils sont facilement identifiables et sont même uniques ! Et puis, il y a le scénario, il est original et nous propose une plongée dans un nouveau monde entre fantasy et steampunk. Associé à cela un sens de la narration et une certaine légèreté (Yote accepte très bien le fait d’être un cyborg), le manga démarre bien et promet un joyeux divertissement.
  4. Titre de l'album : Blade of the phantom master, le nouvel Angyo Onshi tome 1 Scenariste de l'album : YOUN Inwan Dessinateur de l'album : YANG Kyungil Coloriste : Editeur de l'album : Pika - Wavetoon Note : Résumé de l'album : Le paisible royaume de Jushin n'est plus. Désormais, les gouverneurs, assoiffés de pouvoir, sèment la terreur auprès de villageois impuissants. Seul un justicier a survécu, Mun-Su, qui parcourt le pays pour protéger les plus démunis et punir les tyrans. Cet Angyo Onshi se sert du "mahai" pour réveiller les morts et affronter ses adversaires. Critique : Le nouvel angyo onshi est de retour ! Une version papier adaptée du webtoon prévue en 9 tomes ! Alors qu’est ce qui change ? La colorisation : l’édition papier avait déjà quelques planches en couleur mais toute la colorisation a été revue. La gamme de couleur choisie (beige, marron, gris, noir) permet de s’immerger facilement dans cette histoire entre aventure/voyage et combats/drames. La mise en page : elle est globalement la même, il y a quelques dialogues qui ont été déplacés ainsi que certaines images qui ne sont pas centrées exactement de la même façon. Quelques éléments graphiques : l’élément le plus important qui a été retravaillé pour la version webtoon est le décor. Tous les arrière-plans ont été revus pour donner encore plus de dynamisme et de réalisme. On notera également quelques détails qui ont changés comme la tenue de Chun-Hyang. Concernant l’histoire deux thématiques se détachent, la première est la force de l’amitié qui pousse notre héros Mun-Su a continué son travail pour faire perdurer le monde idéal auquel aspirait son défunt ami (empereur de surcroit). La seconde est la justice, dans son ensemble. D’un côté, il y a les gouverneurs devenus maitres absolus de leur contrée puisqu’il n’y a plus d’empire pour les diriger et qui n’ont d’autres lois que les leurs. Il règne également la loi du plus fort qui laisse libre champ aux brigands et pillards. Et enfin, il y a l’angyo onshi qui possède un médaillon, appelé mahai, d’où il peut tirer des pouvoirs. Celui de Mun-Su lui permet de faire appel à une armée de fantômes, immortels et puissants. L’angyo onshi décide, en se rapportant aux lois de l’empire, ce qui est bien ou non, il a le pouvoir de juger et d’appliquer la sentence sans aucune forme de procès. Pika Wavetoon nous propose une très belle édition pour découvrir ou redécouvrir cette très bonne série de Dark Fantasy. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/blade-of-the-phantom-master-tome-1-le-nouvel-angyo-onshi?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Le nouvel angyo onshi est de retour ! Une version papier adaptée du webtoon prévue en 9 tomes ! Alors qu’est ce qui change ? La colorisation : l’édition papier avait déjà quelques planches en couleur mais toute la colorisation a été revue. La gamme de couleur choisie (beige, marron, gris, noir) permet de s’immerger facilement dans cette histoire entre aventure/voyage et combats/drames. La mise en page : elle est globalement la même, il y a quelques dialogues qui ont été déplacés ainsi que certaines images qui ne sont pas centrées exactement de la même façon. Quelques éléments graphiques : l’élément le plus important qui a été retravaillé pour la version webtoon est le décor. Tous les arrière-plans ont été revus pour donner encore plus de dynamisme et de réalisme. On notera également quelques détails qui ont changés comme la tenue de Chun-Hyang. Concernant l’histoire deux thématiques se détachent, la première est la force de l’amitié qui pousse notre héros Mun-Su a continué son travail pour faire perdurer le monde idéal auquel aspirait son défunt ami (empereur de surcroit). La seconde est la justice, dans son ensemble. D’un côté, il y a les gouverneurs devenus maitres absolus de leur contrée puisqu’il n’y a plus d’empire pour les diriger et qui n’ont d’autres lois que les leurs. Il règne également la loi du plus fort qui laisse libre champ aux brigands et pillards. Et enfin, il y a l’angyo onshi qui possède un médaillon, appelé mahai, d’où il peut tirer des pouvoirs. Celui de Mun-Su lui permet de faire appel à une armée de fantômes, immortels et puissants. L’angyo onshi décide, en se rapportant aux lois de l’empire, ce qui est bien ou non, il a le pouvoir de juger et d’appliquer la sentence sans aucune forme de procès. Pika Wavetoon nous propose une très belle édition pour découvrir ou redécouvrir cette très bonne série de Dark Fantasy.
  6. Titre de l'album : Karma of purgatory tome 1 Scenariste de l'album : HIROSE Shun Dessinateur de l'album : HARUBA Negi Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : Harcelé et violenté, le lycéen Makoto Nanase est à bout. Lorsqu’il découvre en plus que la fille qu’il admire en secret prend plaisir à le voir souffrir, il ne tient plus. Rempli de haine et de désespoir, il se suicide... et finit au Purgatoire, où il apprend qu’il a désormais une mission : sauver les six personnes les plus affectées par sa mort... qui ne sont autres que ses bourreaux. Critique : Harcelé, Makoto finit par se suicider mais ce n’est pas le harcèlement qui est au cœur de cette histoire bien qu’il ait une place importante. Ici, Makoto doit expier son suicide en sauvant 6 personnes mais pas n’importe lesquelles, les six personnes qui ont été le plus affectées par son départ ! Seulement il ne sait pas encore qui c’est et pense en premier à aller voir du côté de ses bourreaux, tout en n’ayant aucune envie de sauver qui que ce soit. Il va vite comprendre que sa mort a eu un impact sur des personnes auxquelles il n’avait pas pensé. L’auteur met vraiment l’accent sur les suites d’un suicide. Ce n’est pas la rédemption du disparu qui est importante mais plutôt le discours autour de l’acte. C’est une petite leçon de morale ou une prise de conscience destinée à ceux qui seraient tentés de passer à l’acte « attention, votre mort bouleversera 6 personnes qui risquent de voir leur vie chambouler ». L’histoire insiste sur le fait qu’il faut regarder plus loin que le bout de son nez et que des petites choses qui nous semblent anodines peuvent avoir de l’importance pour quelqu’un d’autre. En dehors de cet aspect psychologique assez fort, il y a un côté aventure où notre défunt héros va devoir sauver ces 6 personnes. Des moments où l’on aperçoit les travers de l’homme mais aussi où l’on voit leurs bons côtés. C’est un récit intéressant avec un message évident mais qui arrive à nous interpeller. A suivre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/karma-of-purgatory-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Nickad

    Karma of purgatory tome 1

    Harcelé, Makoto finit par se suicider mais ce n’est pas le harcèlement qui est au cœur de cette histoire bien qu’il ait une place importante. Ici, Makoto doit expier son suicide en sauvant 6 personnes mais pas n’importe lesquelles, les six personnes qui ont été le plus affectées par son départ ! Seulement il ne sait pas encore qui c’est et pense en premier à aller voir du côté de ses bourreaux, tout en n’ayant aucune envie de sauver qui que ce soit. Il va vite comprendre que sa mort a eu un impact sur des personnes auxquelles il n’avait pas pensé. L’auteur met vraiment l’accent sur les suites d’un suicide. Ce n’est pas la rédemption du disparu qui est importante mais plutôt le discours autour de l’acte. C’est une petite leçon de morale ou une prise de conscience destinée à ceux qui seraient tentés de passer à l’acte « attention, votre mort bouleversera 6 personnes qui risquent de voir leur vie chambouler ». L’histoire insiste sur le fait qu’il faut regarder plus loin que le bout de son nez et que des petites choses qui nous semblent anodines peuvent avoir de l’importance pour quelqu’un d’autre. En dehors de cet aspect psychologique assez fort, il y a un côté aventure où notre défunt héros va devoir sauver ces 6 personnes. Des moments où l’on aperçoit les travers de l’homme mais aussi où l’on voit leurs bons côtés. C’est un récit intéressant avec un message évident mais qui arrive à nous interpeller. A suivre.
  8. Titre de l'album : Kiff - Adorables et cruelles Scenariste de l'album : Max Sulfur Dessinateur de l'album : Max Sulfur Coloriste : Editeur de l'album : Tabou Note : Résumé de l'album : Troisième opus de Kiff la série qui joue la carte "happy sex" de situations coquines et comiques où les demoiselles, tantôt adorables, tantôt cruelles, ont un appétit sexuel insatiable. Elles savent prendre des initiatives et leurs formes épanouies ne laissent pas de marbre le beau Markus. Retrouvez tous les joyeux personnages, funs et terriblement excitants personnages qui vous ont fait "kiffer" la série. Dans un style décomplexé et un réalisme très hot, Max Sulfur revient avec ce recueil d'historiettes qui donnent chaud pour notre plus grand plaisir ! Critique : Déjà le troisième tome de l'auteur Max Sulfur et ses héroïnes pulpeuses aux prises d'initiatives certaines . Dans ce Kiff , Adorables et cruelles , il continue d'enchaîner les scènes dans divers contextes (et positions^^) pour le plus grand plaisir des yeux . Son style réaliste fait encore des merveilles , les amateurs seront comblés . Un homme et une femme ou bien souvent , des femmes , composent ce ballet d'échanges de fluides et de situations où dominations consenties et plaisirs charnels seront les maîtres mots . Le "cameraman" Max Sulfur vous proposera plusieurs points de vue : éloigné , global , première personne , de haut en bas , vous serez au plus proche de l'action et ne perdrez rien des envies soudaines de cette galerie de femmes rondes , minces et débordantes d'énergie ! Il est à noter la formidable condition physique du "pauvre hère " victime des exactions de ces adoratrices de la bagatelle ! En effet , les éjaculations se succèdent et s'enchainent sans aucun relâchement ni baisse de rythme ! Chapeau bas 🙂 messieurs ! Du porno-érotisme hétéro un peu plus destiné à un public masculin certes , mais pouvant trouver sa place auprès des femmes avides de découvertes . Une suite dans la lignée des deux premiers tomes , sans aucune perte de qualité graphique , se permettant même d'accentuer encore un peu plus l'intensité des ébats ! pdf_338_4.pdf Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/kiff-tome-3-adorables-cruelles/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Kevin Nivek

    Kiff - Adorables et cruelles

    Déjà le troisième tome de l'auteur Max Sulfur et ses héroïnes pulpeuses aux prises d'initiatives certaines . Dans ce Kiff , Adorables et cruelles , il continue d'enchaîner les scènes dans divers contextes (et positions^^) pour le plus grand plaisir des yeux . Son style réaliste fait encore des merveilles , les amateurs seront comblés . Un homme et une femme ou bien souvent , des femmes , composent ce ballet d'échanges de fluides et de situations où dominations consenties et plaisirs charnels seront les maîtres mots . Le "cameraman" Max Sulfur vous proposera plusieurs points de vue : éloigné , global , première personne , de haut en bas , vous serez au plus proche de l'action et ne perdrez rien des envies soudaines de cette galerie de femmes rondes , minces et débordantes d'énergie ! Il est à noter la formidable condition physique du "pauvre hère " victime des exactions de ces adoratrices de la bagatelle ! En effet , les éjaculations se succèdent et s'enchainent sans aucun relâchement ni baisse de rythme ! Chapeau bas 🙂 messieurs ! Du porno-érotisme hétéro un peu plus destiné à un public masculin certes , mais pouvant trouver sa place auprès des femmes avides de découvertes . Une suite dans la lignée des deux premiers tomes , sans aucune perte de qualité graphique , se permettant même d'accentuer encore un peu plus l'intensité des ébats ! pdf_338_4.pdf
  10. Titre de l'album : Hors des sentiers battus - tome 1 Scenariste de l'album : Marie Sann Dessinateur de l'album : Marie Sann Coloriste : Editeur de l'album : Tabou Note : Résumé de l'album : Pour Lizzy, jeune étudiante, qui emménage pour ses études en colocation avec Elva une amie plus âgée et bien plus délurée, le sexe et les relations amoureuses ne sont pas sa priorité. Mais lorsque la curiosité la pousse à visiter un sex-shop pour la première fois, Lizzy commence à explorer sa sexualité. Des jouets sexuels aux applications de rencontres en passant par les premières expériences, elle essaie des choses nouvelles et sort des sentiers battus pour dé­couvrir peu à peu un intérêt certain pour le côté le plus coquin du sexe. Critique : L'illustratrice berlinoise Marie Sann réalise sa première incursion dans le monde du 9ème art avec une nouvelle série publié chez Tabou . Ce premier tome est une introduction aux multiples découvertes de Lizzy . En effet , elle va au fil de ses rencontres professionnelles et culturelles , réaliser une immersion de son propre corps et sa sexualité . Une évolution 2.0 vers des horizons auxquels elle n'aurait jamais songés auparavant ! Cela commence par la visite d'un sex-shop "moderne" et non destiné à un public exclusivement masculin , puis des discussions et autres "formations" sur le bondage et autre Shibari (art japonais ) , avec pour finalité des travaux pratiques 😉 Lizzy explore ces nouvelles facettes de son corps avec pour leitmotiv le plaisir partagé, une mise en avant du féminin et surtout , des pratiques sexuelles sortant des sentiers battus . De son trait rond , Marie Sann réalise des planches colorées "girly" avec un trait précis et détaillé . Ce style "Disney" convient parfaitement au côté édulcoré de l'héroïne Lizzy avec ses cheveux roses et son visage de princesse . Que les fans de l'éditeur se rassurent , en solo , en couple hétéro , homo , "les scènes d'action" sont rares mais distillées avec élégance tout en suivant la trame scénaristique et ses rebondissements . L'auteure nous laisse d'ailleurs sur un cliffhanger qui va faire paraître longue l'attente du second tome . Si le côté "cartoon" du dessin ne vous effraie pas pour ce genre de lecture , plongez dans cette aventure avec Lizzy la jeune étudiante exploratrice des sens 😉 pdf_339_4.pdf Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/hors-des-sentiers-battus-tome-1/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. L'illustratrice berlinoise Marie Sann réalise sa première incursion dans le monde du 9ème art avec une nouvelle série publié chez Tabou . Ce premier tome est une introduction aux multiples découvertes de Lizzy . En effet , elle va au fil de ses rencontres professionnelles et culturelles , réaliser une immersion de son propre corps et sa sexualité . Une évolution 2.0 vers des horizons auxquels elle n'aurait jamais songés auparavant ! Cela commence par la visite d'un sex-shop "moderne" et non destiné à un public exclusivement masculin , puis des discussions et autres "formations" sur le bondage et autre Shibari (art japonais ) , avec pour finalité des travaux pratiques 😉 Lizzy explore ces nouvelles facettes de son corps avec pour leitmotiv le plaisir partagé, une mise en avant du féminin et surtout , des pratiques sexuelles sortant des sentiers battus . De son trait rond , Marie Sann réalise des planches colorées "girly" avec un trait précis et détaillé . Ce style "Disney" convient parfaitement au côté édulcoré de l'héroïne Lizzy avec ses cheveux roses et son visage de princesse . Que les fans de l'éditeur se rassurent , en solo , en couple hétéro , homo , "les scènes d'action" sont rares mais distillées avec élégance tout en suivant la trame scénaristique et ses rebondissements . L'auteure nous laisse d'ailleurs sur un cliffhanger qui va faire paraître longue l'attente du second tome . Si le côté "cartoon" du dessin ne vous effraie pas pour ce genre de lecture , plongez dans cette aventure avec Lizzy la jeune étudiante exploratrice des sens 😉 pdf_339_4.pdf
  12. Je dois bien reconnaître ma méconnaissance de l'artiste aux multiples casquettes : Oskar Kokoschka ! En effet , il était peintre mais aussi écrivain de pièces de théâtre . Ses peintures représentent son héritage le plus connu à ce jour , à l'image de La fiancée du vent (photo ci-jointe) . L'illustrateur espagnol Max Vento s'est lancé dans l'aventure biographique du peintre en débutant en 1912 à Vienne , période riche pour la capitale autrichienne avec de grands artistes et penseurs à l'oeuvre , tels Freud , Klimt et Mahler le compositeur . On découvre donc le jeune Kokoschka à ses débuts de portraitiste en proie avec ses démons intérieurs ( déjà oui) et ses détracteurs , nombreux à cette époque . Le jeune homme est à fleur de peau , en quête de reconnaissance , il ne vit que par et pour son art . Sa rencontre avec la récente veuve de Gustav Mahler , Alma , va profondément changer le cours de sa vie . Véritable muse , et amante , elle va lui permettre de franchir un cap et de réaliser son chef d'oeuve expressionniste La fiancée du vent . Max Vento réalise un scénario soigné , en exposant bien les âmes tourmentées en présence et leurs liens affectifs . Mais on s'aperçoit très vite qu'ils ne vont pas dans le même sens , Alma n'est pas sur la même longueur d'ondes et très vite la passion destructrice du peintre va prendre le dessus sur leur relation . Les dialogues sont au diapason du dessin : parfois courts à l'image de ces cases où seuls les protagonistes apparaissent , sans aucun fond ou décors en arrière plan ; d'autres fois raffinés et verbeux avec toute l'élégance et le raffinement de la période historique . Les humeurs du peintre seront marquées aussi par des ombrages puissants et une certaine folie dans son regard azur . Si l'artiste et son univers vous plait , vous aimerez cette biographie où "expressionnisme" n'est pas un vain mot , sinon , vous enrichirez votre culture générale artistique et cela vous donnera peut-être envie de vous plonger dans la musique de Mahler ou de contempler une toile du grand rival de Kokoschka : Gustav Klimt 😉
  13. Titre de l'album : Kokoschka - Portrait d'un expressionniste Scenariste de l'album : Max Vento Dessinateur de l'album : Max Vento Coloriste : Max Vento Editeur de l'album : Steinkis Note : Résumé de l'album : Vienne, 1912. La capitale vit au rythme de l'art et de la culture. Pourtant, les oeuvres d'Oskar Kokoschka, peintre subversif, perturbent et bousculent la bourgeoisie. Le jeune homme possède un talent unique, mais il est extrême, en émotion comme en art. À l'occasion d'une commande, il rencontre Alma Mahler, une riche veuve, impérieuse et fascinante. Les premiers mois de leur amour sont ceux d'un bonheur éphémère. Attirée par son talent, Alma voudrait faire de lui un artiste reconnu, son chef-d'oeuvre à elle. La passion emporte Oskar comme une tempête imprévue, où l'art et la folie se mélangent. Critique : Je dois bien reconnaître ma méconnaissance de l'artiste aux multiples casquettes : Oskar Kokoschka ! En effet , il était peintre mais aussi écrivain de pièces de théâtre . Ses peintures représentent son héritage le plus connu à ce jour , à l'image de La fiancée du vent (photo ci-jointe) . L'illustrateur espagnol Max Vento s'est lancé dans l'aventure biographique du peintre en débutant en 1912 à Vienne , période riche pour la capitale autrichienne avec de grands artistes et penseurs à l'oeuvre , tels Freud , Klimt et Mahler le compositeur . On découvre donc le jeune Kokoschka à ses débuts de portraitiste en proie avec ses démons intérieurs ( déjà oui) et ses détracteurs , nombreux à cette époque . Le jeune homme est à fleur de peau , en quête de reconnaissance , il ne vit que par et pour son art . Sa rencontre avec la récente veuve de Gustav Mahler , Alma , va profondément changer le cours de sa vie . Véritable muse , et amante , elle va lui permettre de franchir un cap et de réaliser son chef d'oeuve expressionniste La fiancée du vent . Max Vento réalise un scénario soigné , en exposant bien les âmes tourmentées en présence et leurs liens affectifs . Mais on s'aperçoit très vite qu'ils ne vont pas dans le même sens , Alma n'est pas sur la même longueur d'ondes et très vite la passion destructrice du peintre va prendre le dessus sur leur relation . Les dialogues sont au diapason du dessin : parfois courts à l'image de ces cases où seuls les protagonistes apparaissent , sans aucun fond ou décors en arrière plan ; d'autres fois raffinés et verbeux avec toute l'élégance et le raffinement de la période historique . Les humeurs du peintre seront marquées aussi par des ombrages puissants et une certaine folie dans son regard azur . Si l'artiste et son univers vous plait , vous aimerez cette biographie où "expressionnisme" n'est pas un vain mot , sinon , vous enrichirez votre culture générale artistique et cela vous donnera peut-être envie de vous plonger dans la musique de Mahler ou de contempler une toile du grand rival de Kokoschka : Gustav Klimt 😉 Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/kokoschka-portrait-d-un-amour-expressionniste/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Titre de l'album : Là où gisait le corps Scenariste de l'album : Ed Brubaker Dessinateur de l'album : Sean Phillips Coloriste : Jacob Phillips Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Une pension pleine de drogués ; une femme au foyer négligée ; une jeune fille qui se prend pour une super-héroïne ; un flic qui veut qu'on le laisse tranquille et un détective privé à la recherche d'une fugueuse. Ces récits et ces tranches de vie s'entremêlent au cours d'un été fatidique. Là où gisait le corps est une histoire d'amour et de meurtre, racontée du point de vue de tous les personnages. Mais qui dit vrai ? Critique : En fin d'album, Ed Brubaler explique que Sean Phillips lui avait demandé d'écrire une histoire romantique et d’amour pour changer. Ce dernier a accepté en ajoutant une histoire de drogue au milieu de cette romance autour d'un crime. Avec Là où gisait le corps, Brubaker va surprendre plus d'un lecteur avec une histoire dans un genre différent qui pourrait se rapprocher d'une enquête d'Agatha Christie, dans son dénouement. Car en effet, nous avons un meurtre et les témoignages de neuf personnes différentes vivant dans un même quartier. Toutes les personnes se connaissent plus ou moins bien et chacune nous livre sa vision et ses réflexions directement au lecteur. De cette manière on est pris dans l'enquête et la plupart des personnages semblent tous suspects ou avoir des choses à se reprocher. Les planches de Sean Phillips frôlent la perfection avec toute cette galerie de personnages très réalistes. Jacob gère parfaitement les ambiances avec les couleurs suivant l'intensité des scènes. Après les polars ou les récits fantastique, les auteurs nous livrent une histoire prenante avec neuf points de vue différent sur un meurtre dans une banlieue américaine dans les années 80. Là où gisait le corps est un excellent one shot. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-ou-gisait-le-corps/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. alx23

    Là où gisait le corps

    En fin d'album, Ed Brubaler explique que Sean Phillips lui avait demandé d'écrire une histoire romantique et d’amour pour changer. Ce dernier a accepté en ajoutant une histoire de drogue au milieu de cette romance autour d'un crime. Avec Là où gisait le corps, Brubaker va surprendre plus d'un lecteur avec une histoire dans un genre différent qui pourrait se rapprocher d'une enquête d'Agatha Christie, dans son dénouement. Car en effet, nous avons un meurtre et les témoignages de neuf personnes différentes vivant dans un même quartier. Toutes les personnes se connaissent plus ou moins bien et chacune nous livre sa vision et ses réflexions directement au lecteur. De cette manière on est pris dans l'enquête et la plupart des personnages semblent tous suspects ou avoir des choses à se reprocher. Les planches de Sean Phillips frôlent la perfection avec toute cette galerie de personnages très réalistes. Jacob gère parfaitement les ambiances avec les couleurs suivant l'intensité des scènes. Après les polars ou les récits fantastique, les auteurs nous livrent une histoire prenante avec neuf points de vue différent sur un meurtre dans une banlieue américaine dans les années 80. Là où gisait le corps est un excellent one shot.
  16. Kevin Nivek

    Nordlys

    La saga vikings de Vincent Wagner se termine ici avec ce Nordlys , divisée en deux parties distinctes . Dans la première on y suit Njal et sa quête de vengeance afin de trouver ce fameux sorcier pouvant lever le sortilège touchant Pelle . Puis, une seconde partie où l'affrontement final avec Kjartan va prendre fin . C'est une lecture assez complexe que nous livre l'auteur , avec une importante galerie de personnages et de multiples histoires sous-jacentes liants les protagonistes . Le contexte historique est riche , avec Norvège et Suède en pleine évolution vers le christianisme naissant .Ajoutez enfin à cela une pointe de fantastique avec les Ases , ces fameux dieux nordiques , intervenant quand bon leur semble et jouant avec les humains telle une enfant avec ses poupées ! Un récit complet mais auquel il manque du liant , on passe de flashbacks au présent sans aucun point de repère , d'un contexte à un autre sans explication ! Le rythme du fil scénaristique semble sinusoïdal . Il délivre pour autant de superbes planches , avec un dessin précis , pouvant se montrer avare en détails parfois , mais l'ambiance froide et nordique est bien retranscrite . Peu de couleurs , le blanc et le bleu dominent dans les grands espaces . Les couleurs chaudes seront réservées aux intérieurs et à la présence d'un feu de camp . Pour les amateurs d'histoires vikings plus verbeuses que sanglantes 😉
  17. Kevin Nivek

    Nordlys

    Titre de l'album : Nordlys Scenariste de l'album : Vincent Wagner Dessinateur de l'album : Vincent Wagner Coloriste : Vincent Wagner Editeur de l'album : Mosquito Note : Résumé de l'album : Norvège, 13ème siècle, Njál Moensen parcourt les fjords à la recherche du sorcier Adriel pour le tuer. Les dieux Åses réclament sa tête pour sortir Pelle Eiwindsen du coma dans lequel il est plongé. Le garçon pense convaincre le père de Pelle de l'aider. Mais le seigneur des hauts fjords ne veut pas l'écouter, et le sorcier a plus d'un mauvais tour dans son sac. Les Åses sont-ils aussi loyaux qu'ils le prétendent ? Et que va faire Kjartan, le terrible prince suédois qui tient enfermé dans sa forteresse Pelle et Solveig, la soeur de Njál ? Suite et fin de Saergard, Nordlys clôt la saga de Pelle dans le bruit et la fureur... Critique : La saga vikings de Vincent Wagner se termine ici avec ce Nordlys , divisée en deux parties distinctes . Dans la première on y suit Njal et sa quête de vengeance afin de trouver ce fameux sorcier pouvant lever le sortilège touchant Pelle . Puis, une seconde partie où l'affrontement final avec Kjartan va prendre fin . C'est une lecture assez complexe que nous livre l'auteur , avec une importante galerie de personnages et de multiples histoires sous-jacentes liants les protagonistes . Le contexte historique est riche , avec Norvège et Suède en pleine évolution vers le christianisme naissant .Ajoutez enfin à cela une pointe de fantastique avec les Ases , ces fameux dieux nordiques , intervenant quand bon leur semble et jouant avec les humains telle une enfant avec ses poupées ! Un récit complet mais auquel il manque du liant , on passe de flashbacks au présent sans aucun point de repère , d'un contexte à un autre sans explication ! Le rythme du fil scénaristique semble sinusoïdal . Il délivre pour autant de superbes planches , avec un dessin précis , pouvant se montrer avare en détails parfois , mais l'ambiance froide et nordique est bien retranscrite . Peu de couleurs , le blanc et le bleu dominent dans les grands espaces . Les couleurs chaudes seront réservées aux intérieurs et à la présence d'un feu de camp . Pour les amateurs d'histoires vikings plus verbeuses que sanglantes 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/nordlys/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Hier
  19. Cool ça et mérité 😀
  20. La dernière semaine
  21. Titre de l'album : Studio Cabana tome 1 Scenariste de l'album : AGRI Uma / AGURI Uma Dessinateur de l'album : AGRI Uma / AGURI Uma Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt - Tonkam Note : Résumé de l'album : Yukari Maki est une lycéenne plutôt banale, dont la vie est brusquement bouleversée lorsqu'elle aperçoit à la dérobée Yusuke Kusaka, le délinquant de sa classe, interpréter une chanson d'amour. En entendant cette voix mélancolique qu'elle ne lui connait pas et ne ressemble en rien à l'attitude habituelle du jeune homme, Yukari tombe immédiatement sous son charme... Critique : Yusuke est l'élève à éviter, bien qu'il attire le regard des jeunes filles physiquement, son comportement et ses nombreux cours séchés le mettent dans la catégorie voyou. Il n'y a que Yukari qui se permette de lui faire la morale et de le rappeler à l'ordre. Leur relation aurait pu rester à ce stade mais un jour Yukari découvre que Yusuke chante dans un groupe et elle est émerveillée par le timbre de sa voix et par la sensibilité des paroles. Sa vision de Yusuke va alors évoluer. La collection Moonlight de Delcourt nous propose toujours des titres un peu plus recherchés qui ont une véritable identité. Si le premier tome de Studio Cabana (5 tomes en cours) ne se démarque pas trop au niveau du scénario, il faut reconnaître que la patte graphique de l'autrice est agréable avec un trait délicat et des expressions variées. Sans trop en dévoiler la fin du tome annonce une évolution un peu plus mature que la romance lycéenne. On regrettera cependant que sur le 4e de couverture la dernière phrase en dévoile trop, phrase qui n'est pas présente dans le résumé et c'est tant mieux ! La romance en milieu musical a produit de belles histoires comme Nana, Given ou Lovely love lie, et cela fonctionne d'autant mieux quand on arrive à se laisser emporter par une musique que l'on ne peut entendre, toutes les émotions se jouant dans le graphisme et dans la narration. Hélas, pour le moment, cette partie n'est pas vraiment exploitée mais peut-être que ce n'est pas la priorité de l'œuvre... Du coup, ce premier tome se focalise sur l'amour naissant de Yukari envers Yusuke et sur le doute de ses sentiments : aime-t-elle le garçon ou le chanteur ? Ce premier tome est donc tout en finesse et l'amour s'installe peu à peu comme le doute et la jalousie. Il faudra attendre la suite pour voir si la partie musicale prendra un peu plus de place. Extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/studio-cabana-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Nickad

    Studio Cabana tome 1

    Yusuke est l'élève à éviter, bien qu'il attire le regard des jeunes filles physiquement, son comportement et ses nombreux cours séchés le mettent dans la catégorie voyou. Il n'y a que Yukari qui se permette de lui faire la morale et de le rappeler à l'ordre. Leur relation aurait pu rester à ce stade mais un jour Yukari découvre que Yusuke chante dans un groupe et elle est émerveillée par le timbre de sa voix et par la sensibilité des paroles. Sa vision de Yusuke va alors évoluer. La collection Moonlight de Delcourt nous propose toujours des titres un peu plus recherchés qui ont une véritable identité. Si le premier tome de Studio Cabana (5 tomes en cours) ne se démarque pas trop au niveau du scénario, il faut reconnaître que la patte graphique de l'autrice est agréable avec un trait délicat et des expressions variées. Sans trop en dévoiler la fin du tome annonce une évolution un peu plus mature que la romance lycéenne. On regrettera cependant que sur le 4e de couverture la dernière phrase en dévoile trop, phrase qui n'est pas présente dans le résumé et c'est tant mieux ! La romance en milieu musical a produit de belles histoires comme Nana, Given ou Lovely love lie, et cela fonctionne d'autant mieux quand on arrive à se laisser emporter par une musique que l'on ne peut entendre, toutes les émotions se jouant dans le graphisme et dans la narration. Hélas, pour le moment, cette partie n'est pas vraiment exploitée mais peut-être que ce n'est pas la priorité de l'œuvre... Du coup, ce premier tome se focalise sur l'amour naissant de Yukari envers Yusuke et sur le doute de ses sentiments : aime-t-elle le garçon ou le chanteur ? Ce premier tome est donc tout en finesse et l'amour s'installe peu à peu comme le doute et la jalousie. Il faudra attendre la suite pour voir si la partie musicale prendra un peu plus de place. Extrait
  23. Retour de l'autrice Stéphanie Rubini sur la critique (via instagram)
  24. The_PoP

    Derniers Achats

    Hawkmoon troisieme tome. Ca va etre decisif pour voir si je poursuis ou non la serie six tome 2 pareil mais je suis moins inquiet l’epervier tome 7 et 8
  25. DomS

    Derniers Achats

    Après plusieurs années à me faire de l’oeil, j’ai finalement acheté « le sommet des dieux ». C’est une perle. Et l’édition cartonnée est très belle dans ma bibliothèque.
  26. The_PoP

    La vengeance

    nan c'est bien, il manque un peu de pages je pense pour aller sur une meilleure note, et un peu de finition et de détails sur les dessins je trouve. Reste que l'idée est simple mais bien rendue.
  27. Kevin Nivek

    La vengeance

    Raccord avec ma note ? En principe je suis plus "bon public" que toi 😉
  28. The_PoP

    La vengeance

    Ben c’est plutôt bien en effet !
  1. Charger plus d’activité
  • Un best of BD au hasard

  • Dernières Critiques

    • Kiff - Adorables et cruelles
      Note :
      Déjà le troisième tome de l'auteur Max Sulfur et ses héroïnes pulpeuses aux prises d'initiatives certaines . Dans ce Kiff , Adorables et cruelles , il continue d'enchaîner les scènes dans divers contextes (et positions^^) pour le plus grand plaisir des yeux . Son style réaliste fait encore des merveilles , les amateurs seront comblés . Un homme et une femme ou bien souvent , des femmes , composent ce ballet d'échanges de fluides et de situations où dominations consenties et plaisirs charnels seront les maîtres mots . Le "cameraman" Max Sulfur vous proposera plusieurs points de vue : éloigné , global , première personne , de haut en bas , vous serez au plus proche de l'action et ne perdrez rien des envies soudaines de cette galerie de femmes rondes , minces et débordantes d'énergie ! Il est à noter la formidable condition physique du "pauvre hère " victime des exactions de ces adoratrices de la bagatelle ! En effet , les éjaculations se succèdent et s'enchainent sans aucun relâchement ni baisse de rythme ! Chapeau bas 🙂 messieurs ! Du porno-érotisme hétéro un peu plus destiné à un public masculin certes , mais pouvant trouver sa place auprès des femmes avides de découvertes . Une suite dans la lignée des deux premiers tomes , sans aucune perte de qualité graphique , se permettant même d'accentuer encore un peu plus l'intensité des ébats !

      pdf_338_4.pdf
      • 0 réponse
    • Hors des sentiers battus - tome 1
      Note :
      L'illustratrice berlinoise Marie Sann réalise sa première incursion dans le monde du 9ème art avec une nouvelle série publié chez Tabou . Ce premier tome est une introduction aux multiples découvertes de Lizzy . En effet , elle va au fil de ses rencontres professionnelles et culturelles , réaliser une immersion de son propre corps et sa sexualité . Une évolution 2.0 vers des horizons auxquels elle n'aurait jamais songés auparavant ! Cela commence par la visite d'un sex-shop "moderne" et non destiné à un public exclusivement masculin , puis des discussions et autres "formations" sur le bondage et autre Shibari (art japonais ) , avec pour finalité des travaux pratiques 😉 Lizzy explore ces nouvelles facettes de son corps avec pour leitmotiv le plaisir partagé, une mise en avant du féminin et surtout , des pratiques sexuelles sortant des sentiers battus . De son trait rond , Marie Sann réalise des planches colorées "girly" avec un trait précis et détaillé . Ce style "Disney" convient parfaitement au côté édulcoré de l'héroïne Lizzy avec ses cheveux roses et son visage de princesse . Que les fans de l'éditeur se rassurent , en solo , en couple hétéro , homo , "les scènes d'action" sont rares mais distillées avec élégance  tout en suivant la trame scénaristique et ses rebondissements . L'auteure nous laisse d'ailleurs sur un cliffhanger qui va faire paraître longue l'attente du second tome . Si le côté "cartoon" du dessin ne vous effraie pas pour ce genre de lecture , plongez dans cette aventure avec Lizzy la jeune étudiante exploratrice des sens 😉 

      pdf_339_4.pdf
      • 0 réponse

    • Doga of the great arch tome 1
      Note :
      DOGA OF THE GREAT ARCH est la seconde œuvre de l’autrice Toryumon TAKEDA que l’on a déjà découvert avec son titre BADDUCKS (critique ici). Il s’agit d’un road trip où l’on va suivre le périple de Yote et Doga mais ce sera un voyage avec un but précis.

      On a d’abord Yote, de son nom complet Yoterda Va Sotelnoa, c’est un jeune noble qui ne connaît rien au monde. Trop épris de liberté et trop curieux, il perdit la vie presque au début de son voyage et se retrouva transformé en cyborg. Hélas, il a été bricolé avec les moyens du bord et son existence n’est que de 1 ou 2 ans. Il souhaite redevenir humain et pour cela doit trouver les sirènes.

      Ensuite, il y a Doga, une jeune femme, orpheline dès sa naissance, qui vit au jour le jour en bricolant ici et là, une vraie débrouillarde avec beaucoup de force et du caractère. Elle accompagne Yote dans son périple pour gagner de l’argent et aussi voir la mer. Elle a toujours vécu dans une ville au milieu d’un désert.

      La première chose que l’on apprécie chez cette autrice, c’est son dessin. Elle ne cherche pas à faire dans le classique, ses personnages ont de la gueule et des formes, ils sont facilement identifiables et sont même uniques ! Et puis, il y a le scénario, il est original et nous propose une plongée dans un nouveau monde entre fantasy et steampunk. Associé à cela un sens de la narration et une certaine légèreté (Yote accepte très bien le fait d’être un cyborg), le manga démarre bien et promet un joyeux divertissement.
      • 0 réponse
    • Blade of the phantom master, le nouvel Angyo Onshi tome 1
      Note :
      Le nouvel angyo onshi est de retour ! Une version papier adaptée du webtoon prévue en 9 tomes !

      Alors qu’est ce qui change ?

      La colorisation : l’édition papier avait déjà quelques planches en couleur mais toute la colorisation a été revue. La gamme de couleur choisie (beige, marron, gris, noir) permet de s’immerger facilement dans cette histoire entre aventure/voyage et combats/drames.

      La mise en page : elle est globalement la même, il y a quelques dialogues qui ont été déplacés ainsi que certaines images qui ne sont pas centrées exactement de la même façon.


      Quelques éléments graphiques : l’élément le plus important qui a été retravaillé pour la version webtoon est le décor. Tous les arrière-plans ont été revus pour donner encore plus de dynamisme et de réalisme. On notera également quelques détails qui ont changés comme la tenue de Chun-Hyang.


      Concernant l’histoire deux thématiques se détachent, la première est la force de l’amitié qui pousse notre héros Mun-Su a continué son travail pour faire perdurer le monde idéal auquel aspirait son défunt ami (empereur de surcroit).  La seconde est la justice, dans son ensemble. D’un côté, il y a les gouverneurs devenus maitres absolus de leur contrée puisqu’il n’y a plus d’empire pour les diriger et qui n’ont d’autres lois que les leurs. Il règne également la loi du plus fort qui laisse libre champ aux brigands et pillards. Et enfin, il y a l’angyo onshi qui possède un médaillon, appelé mahai, d’où il peut tirer des pouvoirs. Celui de Mun-Su lui permet de faire appel à une armée de fantômes, immortels et puissants. L’angyo onshi décide, en se rapportant aux lois de l’empire, ce qui est bien ou non, il a le pouvoir de juger et d’appliquer la sentence sans aucune forme de procès.

      Pika Wavetoon nous propose une très belle édition pour découvrir ou redécouvrir cette très bonne série de Dark Fantasy.
      • 0 réponse
    • Karma of purgatory tome 1
      Note :
      Harcelé, Makoto finit par se suicider mais ce n’est pas le harcèlement qui est au cœur de cette histoire bien qu’il ait une place importante. Ici, Makoto doit expier son suicide en sauvant 6 personnes mais pas n’importe lesquelles, les six personnes qui ont été le plus affectées par son départ ! Seulement il ne sait pas encore qui c’est et pense en premier à aller voir du côté de ses bourreaux, tout en n’ayant aucune envie de sauver qui que ce soit. Il va vite comprendre que sa mort a eu un impact sur des personnes auxquelles il n’avait pas pensé.

      L’auteur met vraiment l’accent sur les suites d’un suicide. Ce n’est pas la rédemption du disparu qui est importante mais plutôt le discours autour de l’acte. C’est une petite leçon de morale ou une prise de conscience destinée à ceux qui seraient tentés de passer à l’acte « attention, votre mort bouleversera 6 personnes qui risquent de voir leur vie chambouler ». L’histoire insiste sur le fait qu’il faut regarder plus loin que le bout de son nez et que des petites choses qui nous semblent anodines peuvent avoir de l’importance pour quelqu’un d’autre.

      En dehors de cet aspect psychologique assez fort, il y a un côté aventure où notre défunt héros va devoir sauver ces 6 personnes. Des moments où l’on aperçoit les travers de l’homme mais aussi où l’on voit leurs bons côtés.

      C’est un récit intéressant avec un message évident mais qui arrive à nous interpeller. A suivre.
      • 0 réponse
×
×
  • Créer...