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  • ACCA 13 tome 1


    Nickad
    • Scenariste: ONO NATSUME Dessinateur: ONO NATSUME Editeur: Noeve Grafx Note :
      Résumé:

      Le royaume de Dowa est divisé en 13 circonscriptions autonomes dirigées par un monarque. Depuis près de 100, l'organisation ACCA surveille le royaume et protège la paix en prévenant les éventuels coups d'état. Jean Otus, général en second au sein d'ACCA, va se retrouver peu à peu emmené au cœur d'un monde d'espionnage et d'intrigues.

      Type: Manga L'acheter sur bdfugue Genre: Thriller Prix: 8.95 Nb de pages: 192
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    ACCA 13 c’est d’abord le graphisme de Natsume ONO (Gente, A vos côtés), facilement reconnaissable et un peu éloigné des standards habituels, un graphisme auquel il faut s’habituer même si on a déjà lu les œuvres de l’autrice. Et puis c’est un scénario qui commence lentement, qui ne semble pas forcément faire de vague, mais qui sème des petits éléments par-ci par-là jusqu’à devenir captivant. Car tout est là, le lecteur se fait happer par la lecture et souhaite aller plus loin.

    ACCA 13 se déroule dans un pays imaginaire composé de 13 cantons, une organisation mise en place il y a 99 ans après la « révolte » de 12 petits pays, le tout fut unifié et un service d’ordre a été mis en place pour préserver la paix : le ACCA. (12 cantons qui se révoltent contre un système central ? MmH, ça me rappelle quelque chose 😊… ça n’a rien à voir, enfin je crois) Et dans ce système, il y a la brigade de contre-espionnage dont fait partie notre héro Jean Ortas. Il est chargé de faire des inspections surprises dans les antennes de chaque canton pour voir si tout se passe bien et surtout repérer tout dysfonctionnement.

    L’ambiance est donnée dès le début : il y a de la suspicion partout ! Ortas ne fait confiance à personne et il ne semble pas non plus en inspirer : certains de ses collègues le trouvent louche à vivre au dernier étage d’une résidence de luxe et à fumer sans arrêt des cigarettes, produit devenu très luxueux au vu des taxes existantes. Et même parmi ses supérieurs le doute se fait sentir car Ortas est surveillé !

    Nous avons donc un personnage principal qui semble avoir quelques secrets dans un contexte politique où un coup d’état semble se préparer. Le premier tome est prometteur et il y a une bonne intrigue en perspective.

    ACCA est une série datant de 2016 finie en 6 tomes, elle a également été adaptée en anime en 2017 (disponible aux éditions @anime).

    ACCA-13 T01-03.jpg

    ACCA-13 T01-02.jpg

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  • Dernières Critiques

    • Âme augmentée
      Note :
      Les éditions 404 Graphic nous font toujours découvrir des albums ou des romans graphiques indépendants sortant de l’ordinaire. Ame augmentée leur dernière parution est un exemple même de leur ligne éditoriale très qualitatif. Cet album est préfacé par Daren Aronfsky le réalisateur de film underground et souvent dark (Requiem for a dream). Pour âme augmentée, Ezra Claytan Daniels explique avoir travaillé sur ce projet depuis vingt ans, pour voir aboutir ce roman graphique qu’il réalise intégralement. L’auteur nous livre un récit de science-fiction étrange où une équipe de scientifiques essaient de repousser les limites de nos connaissances sur le corps et l’âme des humains. Le temps et le vieillissement du corps font parties des problématiques au cœur de cette histoire. On va suivre toute l’expérience avec un couple âgé qui tente l’impossible tout en connaissant les risques ainsi que les nombreux facteurs inconnus pouvant leur être fatal. La couverture retranscrit très bien les dessins des planches intérieures sur plus de 230 pages. L’édition est soignée avec des bonus et des explications sur la réalisation de l’album et quelques couvertures des comics d’origine.
      Le résultat de l’expérience donnera matière à des réflexions entre le couple âgé et leurs clones atrophiés mais en grande santé physique et mentale. Le traitement de l'histoire et les dessins ne laisseront pas indifférents les lecteurs. Âme augmentée ne plaira pas à tout le monde mais n’en reste pas moins une œuvre très originale et forte. 
      • 0 réponse
    • I.R.$ - Tome 24 - Les prédateurs climatiques
      Note :
      Si je ne suis pas l'un des plus grand fan de Larry Max, j'avoue suivre ses aventures avec un certain intérêt. Malheureusement j'ai trouvé cet épisode un cran en dessous des derniers qui avaient su m'intéresser. 

      Stephen Desberg est pourtant une référence en matière de scénarios en bd, mais là son intrigue m'a semblée bien bancale ce qui est un peu un comble pour une bd sur l'univers politico financier. Le complot final se révèle peu crédible, et les motivations des uns et des autres pour le moins légères par rapport à la portée de leurs actes. Le message du scénariste sur les enjeux de notre monde s'en trouve à mon sens un peu dilué devant des complications un peu inutiles secondaires au récit. De même certains faits majeurs émotionnellement sont traités finalement très rapidement, ne nous laissant guère percevoir leur portée émotionnelle.

      Le dessin lui ne progresse guère en terme de qualité et s'il remplit toutefois son office pour une bd de thriller, il manque à mon goût bien trop de détails et de soin pour faire honneur à l'intérieur à sa jolie couverture.

      Les fans de la première heure de Larry B. Max y trouveront probablement leur bonheur mais pour les nouveaux lecteurs cela me semble un peu juste.
      • 0 réponse
    • Adorable démone
      Note :
      Première oeuvre dans le monde du 9ème art pour l'artiste sino-américaine Michelle Lam avec ce Adorable démone . Dès les premières pages , on sent immédiatement les influences mangas et autres productions télévisuelles , il faut dire qu'elle travaille aussi pour des studios d'animations ! Une artiste aux multiples talents donc ,avec une histoire qui emprunte aux codes connus mais en y amenant une dose d'originalité . Elle dépeint en effet un monde imaginaire peuplé de démons , de fées , et autres créatures fantastiques . Chacun ayant ses caractéristiques propres , ainsi les démons apprennent à façonner la lave comme de la pâte à modeler , ils vivent la nuit et dorment le jour , ils ont des cornes qu'il faut aiguiser ; en somme toute une vie à l'opposée des fées . Ces dernières rentrent dans les canons habituels maintes fois abordés dans des tas d'autres oeuvres de ce type . Le talent de l'auteure est de parvenir à rendre cet univers riche crédible et typique . Partez donc à l'aventure Meesh et ses nouveaux amis dans une quête de vérité aux multiples rebondissements , avec en prime , une fin laissant la porte ouverte pour une suite 😉 

      La,pagination est importante , mais les pages sont aérées avec des dialogues ciselés , adaptés au lectorat jeune . Il en va de même pour la partie graphique avec de grandes cases , des personnages facilement reconnaissables et un trait "manga" coloré qui séduira son public .
      • 0 réponse
    • La diplomatie du ping-pong - 1971, un hippie rapproche la Chine et les États-Unis
      Note :
      Le scénariste Alcante livre un fait historique peu connus du public français en restant plus ou moins fidèle à l'histoire comme il l’explique en fin d’album. L’introduction de quelques pages nous redonne le contexte historique avec la situation complexe entre les Etats-Unis et la Chine durant la guerre froide. La politique évolue et de chaque côté, les dirigeants semblent ouverts pour apaiser les tensions entre les deux grandes nations. En 1971, un jeune hippie joueur de tennis de table ou ping pong va jouer un rôle primordial dans le retour à la paix entre les Etats-Unis et la Chine, suite à un tournoi mondial se déroulant au Japon. Le meilleur joueur mondial chinois jouera également un rôle important dans l’évolution diplomatique. Il est amusant de découvrir comment un simple sport et l’amitié entre deux sportifs sera décisif. Pour la partie graphique, Alain Mounier réalise des planches de qualité pour dépeindre cette aventure se déroulant aux Etats-Unis durant le flower power, au Japon puis en Chine.
      Alcante revient sur ce projet de bande dessinée en fin d’album et pourquoi cette histoire lui tenait tant et les libertés prises. La diplomatie du ping-pong est un album intéressant et une agréable surprenante.  
      • 1 réponse
    • Anatomie d'un coeur
      Note :
      C'est l'histoire de sa grand-mère Aurora que nous raconte l'auteure chilienne Antonia Banados , à travers ce roman graphique touchant . A la fin des années 50 , cette dernière est rentrée en faculté de médecine et a vécu une "fausse" histoire d'amour avec un des professeurs . Je précise "fausse" car leur histoire se limitera à des regards , des rendez-vous manqués , des mains se touchant , de longues discussions passionnées , mais hélas rien de plus ! Je ne vous révèle pas les raisons de cet échec amoureux , mais sachez qu'il sera le fil d'Ariane de cet ouvrage . Nous découvrons aussi l'accueil timoré de la faculté pour les deux seules femmes de la promotion , puis la réussite d'Aurora qui en fera une des meilleurs élèves , mais aussi un pays en proie à l'arrivée de la dictature de Pinochet . Tout ceci viendra parasiter cet amour naissant/déchu dans un déferlement de cases ponctuées de schémas organiques . La bichromie aux forts accents bleutés de la dessinatrice donne un rendu de type daguerréotype , une suite de photographies de la vie d 'une étudiante , sa relation avec ses collègues , sa famille etc .... Il se dégage une réelle élégance dans la mise en page . Sans sombrer dans un féminisme accru , Antonia Banados dresse le portrait d'une femme forte et opiniâtre , dont la seule faiblesse sera son coeur lui même , au sens romantique du terme bien entendu 😉 Une première oeuvre intéressante , à confirmer dans un prochain travail !
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