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  • Conqueror of the dying kingdom t1


    poseidon2
    • Scenariste: Fudeorca / Toi8 Dessinateur: Muramasa Sabiku Editeur: Doki-Doki Note :
      Résumé:

      Face à la guerre qui approche, le paisible éleveur d'oiseaux géants doit prendre son envol et affronter son destin ! Avant de se réincarner dans le royaume de Shiyalta, Yuri était un jeune homme seul et ayant perdu goût à la vie.Dans ce nouveau monde de fantasy, la vie de Yuri trouve enfin un sens : des parents aimants, et un avenir prometteur dans le ranch de son père, dédié à l'élevage d'oiseaux géants. Ces aigles rois sont destinés à servir de montures aux soldats d'une guerre certes lointaine, mais contre un envahisseur toujours plus pressant... Cependant, la gangrène se développe insidieusement au coeur du royaume et la guerre se rapproche de Yuri et de sa famille, irrémédiablement... Après la mort de son oncle, Yuri est convoqué par son clan... Un grand destin attend notre héros !

      Type: Manga L'acheter sur bdfugue Genre: Action Prix: 7.95 Nb de pages: 200
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    Nouvelle série Doki Doki avec... et bien un Isekai ! Un ! Mais un très bon isekai ! très bon car reprenant la base de la réincarnation : un mort qui renait et dont nous vivons... la naissance et l'enfance. Enfance normale et super intéressante. En effet, on n'est pas, ici, dans un isekai ou une personne vient d'un autre monde et tombe dans un monde "type" jeu vidéo (avec compétence, expérience et level up).

    On est ici dans un isekai assez pur, qui n'est pas sans rappeler les excellents premiers tomes de Mushoku Tensei.

    Notre jeune garçon grandit, s'adapte à sa nouvelle vie en cherchant à ne pas perdre l'expérience de sa vie passée.

    Mais ce tome 1 va au-delà de la simple renaissance. Il nous présente un monde médiéval fantastique dans lequel notre héros est amené à jouer un rôle intéressant.

    Bref un excellent début de série 🙂

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  • Dernières Critiques

    • Un dernier été au cimetière
      Note :
      Pour son premier roman graphique , l'autrice italienne SantaMatita ne s'économise pas sur l'originalité ! On y suit en effet toute une galerie de personnages sur la route des grandes vacances d'été vers une destination pour le moins incongrue : le cimetière . On arrive , on déballe , les enfants courent se retrouver , on s'installe , mais la crypte ou le tombeau remplace la tente ! Les protagonistes se présentent au fil des pages , une famille venant du désert du Nevada pour la première fois , une autre habituée depuis des années , puis certains y vivant à l'année , faisant même pousser des tomates au pied du caveau . On découvre tout ce microcosme lié par la proximité du camping et un deuil proche ou lointain , comme dénominateur commun . Les secrets vont tomber , d'autant plus qu'un événement va venir bouleverser ce biotope : pour des raisons de sécurité et de risque d'éboulements , le cimetière doit fermer ses portes !

      SantaMatita s'épargne les cases détaillées , elle use d'un graphisme type aquarelle et reste dans une certaine simplicité . Peu d'arrière-plans , elle se concentre sur les personnages et leurs motivations . Des visages sans traits , mais facilement reconnaissables à travers les cheveux ou la tenue vestimentaire . Il en va de même pour les caveaux et autres cryptes , toutes plus originales que les autres , avec chacune leur personnalité propre . Comment un univers silencieux et austère comme un cimetière peut déborder de vie sous le trait amusé de l'illustratrice italienne ! De l'humour , un peu de suspens , de la peine , des surprises , et une petite dose de fantômes (rêvés ou pas 😉 ) , voilà le cocktail estival de SantaMatita !
      • 0 réponse
    • Oradour sur Glane, 10 juin 1944
      Note :
      A l'occasion des 80 ans le 10 juin prochain du massacre d'Oradour-sur-Glane , nombreux sont les éditeurs à publier des livres et des BD . Les éditions petitàpetit et leur collection Docu-BD ne pouvaient rester inactifs à ce sujet . C'est chose faite avec ce remarquable livre relatant l'histoire de cette atrocité avec un grand soucis du détail . 643 victimes (hommes , femmes , enfants) , et le bilan matériel est le suivant :  123 maisons , 98 granges et hangars , 22 magasins , 4 écoles et pour finir,  l'église . Il représente à ce jour le seul village encore visible et dans l'état que les allemands l'ont laissé . Un musée a été créé à l'entrée du village , un remarquable édifice architectural , mais les ruines sont restées intactes , un lieu marquant , digne symbole d'un conflit qu'il est nécessaire de ne pas oublier . Le général De Gaulle fut le premier haut dirigeant à visiter les lieux en 1945 , de nombreux ont suivi , mais on retient une phrase qu'il aurait prononcée : "Les enfants et le pain . Les ferments d'une nation" tout en visitant les restes de la boulangerie du village , lieu très largement fréquenté par les enfants .

      Le principe des Docu-BD reste fidèle à ses habitudes , des histoires dessinées , pour nous présenter les différents personnages , les lieux , les rares survivants et leurs combats post-guerre lors des procès ; entrecoupées par des double-pages avec images d'archives , textes explicatifs etc ... Une recette qui a fait ses preuves et qui fonctionne à merveille , on apprend , on s'enrichit sans que ce soit rébarbatif , bien au contraire ! Après cette lecture , vous saurez tout sur ce petit village du Limousin et pourquoi il a été choisi pour cible des allemands , et vous n'oublierez pas !
      • 0 réponse

    • Akane Banashi tomes 1 à 3
      Note :
      Akane a toujours regardé son père faire du rakugo, à tel point qu’elle est devenue elle-même passionnée. Mais un jour, son père se fait exclure de l’école Arakawa et renonce à son art. Akane ne compte pas en rester là, elle va voir le maitre de son père afin de devenir disciple. Après plusieurs années, la voici enfin prête à affronter un public mais elle a encore beaucoup de chemin à parcourir pour devenir un maitre en la matière.

      Parlons un peu du rakugo :

      Le rakugo est une discipline artistique qui se situerait un peu entre le conteur et le one-man show. Seul en scène, le rakugoka, habillé d’un kimono, est assis sur un coussin (en seiza : une position à genoux où les fesses reposent sur les pieds, une position difficile à tenir quand on n’est pas habitué), il n’a que deux accessoires : un éventail et un mouchoir. A partir de là, le rakugoda raconte des histoires en faisant tous les personnages, il doit donc être habile dans sa façon d’interpréter que ce soit en changeant de voix, en faisant ressortir toutes les émotions mais aussi dans les mimiques faciales et les gestes. Un bon rakugoda s’efface au profit de ses personnages, s’adapte à son public et doit les amener à rire de bon cœur !
      • 0 réponse
    • La concubine rebelle tome 1
      Note :
      L’empereur Zhu Li, troisième souverain du Grand Empire Radieux, vient d ‘accéder au trône après la mort tragique de son frère ainé. Afin de perpétuer la lignée, vingt concubines arrivent au palais, elles viennent toutes d’horizons variés, il y a les filles des grands pontes de l’empire mais aussi des filles de clans vaincus ou rivaux. C’est ainsi que Sarannah, fille du chef du clan des Tianhe, a été choisie afin d’établir un traité de paix entre le nord et le sud. Mais elle ne s’attendait pas à tomber dans un nid de vipère où tous les coups sont bons pour devenir la favorite y compris les assassinats.

      Il y a beaucoup d’éléments dans ce premier tome : de la fantasy avec les légendes avec les dieux, du complot politique, une romance et un léger aperçu historique car même si le récit se déroule dans un pays imaginaire, il est grandement inspiré du fonctionnement de la chine impériale. Cela rend l’histoire intéressante mais aussi inaboutie car on aurait apprécié plus de développements dans certains aspects, tout va un peu trop vite.
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    • Le professeur qui lisait des histoires d'amour tome 1
      Note :
      J’ai été surprise par cette lecture. D’abord graphiquement, on s’éloigne de l’apparence un peu traditionnelle des webtoons, un trait plus personnel, plus proche de la bande dessinée européenne et des couleurs plus pastelles, plus fades presque neutres par moment. Et puis il y a la narration, une construction avec de longs chapitres ; difficile d’imaginer son découpage en version numérique en chapitres courts. Il n’y a pas vraiment de rebondissements mais on progresse lentement dans le quotidien des personnages, une histoire qui prend son temps et que l’on aurait presque abandonnée en cours de route. Car il est difficile de s’immerger dans l’histoire tellement elle semble anodine au début.

      Et puis, peu à peu, arrivent des flash-back (pas vraiment mis en valeur graphiquement parlant, c’est vraiment sur les dialogues que l’on comprend leur temporalité) et des petites phrases dites entre deux personnages ou en aparté pour le lecteur. Des indices qui nous font comprendre qu’il y a un secret familial, un passé qui aurait dû être oublié.

      L’œuvre est complexe, les personnages tissent des liens entre eux sans savoir qu’ils sont déjà liés. Par exemple, le professeur qui lit des webnovels d’amour lit un roman qui s’appelle le professeur qui lisait des histoires d’amour sans savoir qu’il a servi de modèle à ce personnage. Il y a un côté polar, une énigme à résoudre, un drame sous-jacent.

      Ce récit, proche d’un roman graphique, sort des sentiers battus et arrive à capter notre attention sans que l’on s’en rende compte. Une œuvre atypique à découvrir.
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