Ce one shot est un mĂ©lange entre la sĂ©rie Sons of anarchy avec en plus un clan de motardes, la culture de la weed et un monstre sanguinaire. Le scĂ©nariste Jeff Mccomsey annonce en fin d'album avoir trouver de l'inspiration dans Beowulf lors de l'Ă©criture de Grendel, Kentucky. La mise en place de l'intrigue est rapide comme le titre tient sur quatre chapitres. On ne perd pour autant en efficacitĂ© puisque l'on va directement au but, une fois que l'on connait tous les bikers.Â
Les dessins de Tommy Lee Edwards apportent une touche sombre au rĂ©cit fantastique. L'encrage est bien prĂ©sent mĂȘme aprĂšs la colorisation de Giovanna Niro. Le rendu final est de qualitĂ© avec un style rĂ©aliste autant que possible puisqu'il y a un monstre. Les planches sont bien dĂ©taillĂ©es sur les dĂ©cors.
Grendel, Kentucky est une agrĂ©able lecture sans prise de tĂȘte avec de l'action pure et dure sans rĂ©flexion.
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Grendel, Kentucky
Par alx23
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Scenariste: Jeff Mccomsey
Dessinateur: Tommy Lee Edwards
Coloriste: Giovanna Niro
Editeur: Delcourt
Note :
Résumé:Type: Comic L'acheter sur bdfugue Genre: Fantastique Prix: -- Nb de pages: --Depuis deux générations, la petite ville rurale de Grendel, située dans le Kentucky, a honoré le marché faustien qui la lie au terrible monstre qui vit dans sa mine : Un sacrifice humain chaque saison en échange d'une prospérité agraire, en ce qui concerne leurs exploitations de weed.
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BD européenes/Comics
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Les omniscients - Tome 5 - Le second squelette
The_PoP a posté un enregistrement dans Critiques,
Note :Je suis probablement dur avec cette sĂ©rie jeunesse mais je trouve que le scĂ©nario de Vincent Dugomier peine Ă dĂ©coller. Les enjeux Ă la fin du premier tome Ă©taient super sympas et vraiment prenants, et puis on a le sentiment que l'intrigue au fur et Ă mesure qu'elle se complexifiait un peu perdait beaucoup de son intĂ©rĂȘt et de sa dramaturgie en se diluant dans des considĂ©rations un peu quelconques... On finit presque par se perdre dans des circonvolutions assez anodines finalement, et c'est Ă©tonnant pour une sĂ©rie jeunesse.
Hors cela fait dĂ©jĂ deux tomes que j'ai cette impression de patinage, ce qui est vraiment dommage je trouve tant le pitch de dĂ©part s'annonçait prometteur. J'espĂšre que le prochain tome nous fournira un rebond pour aller un peu plus dans le vif du sujet. Par ailleurs, les dessins de Renata Castellani sont trĂšs bien pour une sĂ©rie jeunesse et ils donnent plutĂŽt envie de dĂ©couvrir cette sĂ©rie.Â-
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Vertigéo
Kevin Nivek a posté un enregistrement dans Critiques,
Note :Dans ce duo de scĂ©naristes , vous connaissez probablement Lloyd ChĂ©ry , redac en chef adjoint sur le magazine MĂ©tal Hurlant et producteur de l'Ă©mission sur France Inter : C'est plus que de la SF . Autant dire que rayon science-fiction , il en connait un bout et ne pouvait pas tomber dans le panneau du "dĂ©jĂ -vu" sur ce genre de support . On pouvait donc ĂȘtre en droit de s'attendre Ă un scĂ©nario abouti et surprenant . Autant vous dire qu'il atteint l'objectif haut la main đ De la prĂ©sentation de ce monde renaissant aprĂšs une sĂ©rie d'apocalypses dĂ©vastatrices , Ă de nouvelles croyances et une sociĂ©tĂ© neuve avec une sĂ©paration des sexes et des emplois bien dĂ©finis pour chacun , tout est bien construit et rĂ©aliste . Il dĂ©voile les infos au compte gouttes , donnant au rĂ©cit des allures de thriller avec une tension palpable au fil des pages . Le suspens vous tiendra en haleine jusqu'Ă la toute fin avec LA grande rĂ©vĂ©lation sur cet univers et ses secrets . Peut-ĂȘtre l'unique dĂ©faut de cette oeuvre digne hĂ©ritiĂšre de Soleil vert , une fois que vous saurez la fin , l'envie de relire sera Ă©ventuellement moins pressante .
Pour illustrer ce noir et blanc architectural et machiniste , qui de mieux à l'heure actuelle que le prodige Amaury Bundgen ?? Sa premiÚre création Ion mud avait retenti comme un coup de tonnerre dans le monde du 9Úme art , il fait partie de cette nouvelle génération surdouée de la SF avec Jaouen Salaun entre autres . Il réalise un trait ultra réaliste en persistant dans ce noir et blanc teinté de gris , lumineux à souhait ! Le découpage est aussi fluide que la narration et vous ne sentirez pas défiler sous vos yeux ébahis les 136 pages de ce one-shot assez remarquable .-
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Laurel et hardy
Kevin Nivek a posté un enregistrement dans Critiques,
Note :Quelle bonne idĂ©e de l'auteur italien Gianluca Buttolo de nous offrir une biographie du plus connu des duos comiques de l'histoire du cinĂ©ma ! Source d'inspiration inĂ©puisable pour bon nombres de cinĂ©astes et acteurs plus "contemporains" , les deux acteurs se livrent corps et Ăąmes sous vos yeux Ă travers cette biographie hautement documentĂ©e . Le fil narratif commence au dĂ©but des annĂ©es 60 , Laurel est vieux et usĂ© , il reçoit un coup de fil d'un jeune garçon nommĂ© Seth . On apprend ainsi avec Ă©tonnement que son numĂ©ro de tĂ©lĂ©phone est disponible dans l'annuaire et qu'il est trĂšs heureux de discuter avec ses anciens fans . Le jeune Seth dĂ©sire rĂ©aliser un travail scolaire sur le tandem , de leur genĂšse Ă leur fin . Laurel va donc se livrer Ă ce jeu avec la plus grande sympathie et une sincĂ©ritĂ© confondante . Cela ira mĂȘme jusqu'Ă leur vie privĂ©e , faite de hauts et de bas sentimentaux ! Vous dĂ©couvrirez leur parcours au fil des chapitres centrĂ©s sur une question de l'Ă©colier avec ensuite la rĂ©ponse dĂ©taillĂ©e de Monsieur Laurel . Gianlucca Buttolo expose cette biographie avec un dessin idoine pour le sujet ! Il joue sur les ombrages et les fonds blancs pour faire ressortir les personnages , on croirait visionner des films d'Ă©poque , ne manque plus que la musique accompagnante đ Une Ă©lĂ©gance du trait rare et une lumiĂšre Ă©clatante , comme pour mieux mettre en avant ces deux gĂ©nies du rire , parachĂšvent cette composition graphique de haute volĂ©e . Certes on peut reprocher quelques longueurs au fil de ces 176 pages , avec des passages ennuyeux sur les discussions entre les artistes et les producteurs , les deux parties n'allant pas toujours dans le mĂȘme sens ; mais l'ensemble est assez remarquable et immersif, cela donne envie de revisionner des courts mĂ©trages d'Ă©poque sur messieurs Laurel et Hardy !-
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Caledonia - Tome 1 - La IXe légion
The_PoP a posté un enregistrement dans Critiques,
Note :MĂȘler Peplum et fantasy est plutĂŽt allĂ©chant sur le papier, surtout en terres celtiques. C'est M. Corbeyran qui se colle au scĂ©nario de cette nouvelle sĂ©rie Soleil et il rĂ©ussit pas mal son intrigue, mĂȘme si quelques narrations en chronologie dĂ©calĂ©e perturberont un peu le lecteur. CĂŽtĂ© dessin, Emmanuel Despujol nous livre un travail soignĂ© mais oĂč l'on ressent la forte utilisation des outils modernes informatisĂ©s, notamment par la mise en couleur rĂ©alisĂ©e par sa fille, Juliette Despujol. Ce n'eszt pas forcĂ©ment le style que je prĂ©fĂšre, le cĂŽtĂ© un peu photorĂ©aliste manquant pour mon goĂ»t un peu trop de traits de crayon. Mais cela c'est vraiment propre Ă chaque lecteur. C'est trĂšs propre, les dĂ©cors sont un peu minimaliste sans pour autant faire vides, et les personnages facilement identifiables, tout comme les scĂšnes d'action.
Soleil nous promet une sĂ©rie en 3 tomes avec un rythme de parution d'un tome par an.Â-
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Mangas
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Studio Cabana tome 1
Nickad a posté un enregistrement dans Critiques,
Note :Yusuke est l'élÚve à éviter, bien qu'il attire le regard des jeunes filles physiquement, son comportement et ses nombreux cours séchés le mettent dans la catégorie voyou. Il n'y a que Yukari qui se permette de lui faire la morale et de le rappeler à l'ordre. Leur relation aurait pu rester à ce stade mais un jour Yukari découvre que Yusuke chante dans un groupe et elle est émerveillée par le timbre de sa voix et par la sensibilité des paroles. Sa vision de Yusuke va alors évoluer.
La collection Moonlight de Delcourt nous propose toujours des titres un peu plus recherchés qui ont une véritable identité. Si le premier tome de Studio Cabana (5 tomes en cours) ne se démarque pas trop au niveau du scénario, il faut reconnaßtre que la patte graphique de l'autrice est agréable avec un trait délicat et des expressions variées. Sans trop en dévoiler la fin du tome annonce une évolution un peu plus mature que la romance lycéenne. On regrettera cependant que sur le 4e de couverture la derniÚre phrase en dévoile trop, phrase qui n'est pas présente dans le résumé et c'est tant mieux !
La romance en milieu musical a produit de belles histoires comme Nana, Given ou Lovely love lie, et cela fonctionne d'autant mieux quand on arrive Ă se laisser emporter par une musique que l'on ne peut entendre, toutes les Ă©motions se jouant dans le graphisme et dans la narration. HĂ©las, pour le moment, cette partie n'est pas vraiment exploitĂ©e mais peut-ĂȘtre que ce n'est pas la prioritĂ© de l'Ćuvre... Du coup, ce premier tome se focalise sur l'amour naissant de Yukari envers Yusuke et sur le doute de ses sentiments : aime-t-elle le garçon ou le chanteur ? Â
Ce premier tome est donc tout en finesse et l'amour s'installe peu Ă peu comme le doute et la jalousie. Il faudra attendre la suite pour voir si la partie musicale prendra un peu plus de place.
Extrait
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