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  • Hana et la bête tome 1


    Nickad
    • Scenariste: YUZUKI Chihiro Dessinateur: YUZUKI Chihiro Editeur: Meian Note :
      Résumé:

      Les thérianthropes et les humains... Un grand mur se dresse à l'infini entre ces deux espèces. La jeune Hana pénètre malgré elle dans leur monde et rencontre Sanathi, l'une de ces créatures mi-hommes mi-animales. Alors qu'il la questionne tout en la fixant de son regard perçant, Hana, tremblante, sent son corps se presser contre le sien... Elle ne peut plus fuir ! Alors qu'elle aurait dû être arrêtée, Sanathi choisit de ne pas la dénoncer et de la cacher ! Mais pourquoi ?! Elle est gentille, chaleureuse, mais aussi très sexy ! Ainsi débute une magnifique histoire d'amour qui transcende les espèces !

      Type: Manga L'acheter sur bdfugue Genre: Romance Prix: -- Nb de pages: --
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    Avec la couverture et le titre vous pensez à une revisite du petit chaperon rouge ? Eh bien, de très loin alors ! Il y a bien un loup, enfin un thérianthrope, il y a aussi une jeune fille innocente, avec un grand cœur, perdue dans un endroit où elle ne devrait pas être. Il va y avoir une rencontre et le loup va vouloir la manger, au sens figuré… car il y a de l’érotisme, proche du hentai, des scènes crues pour lecteur avisé !

    Enfin, il n’y a pas que ça, car Hana et la bête c’est avant tout une rencontre entre deux espèces, de la discrimination, de l’incompréhension. C’est apprendre à aller au-delà des on-dit et autres préjugés, c’est apprendre à se connaître et à se faire confiance.

    La lecture est fluide, le graphisme soigné, les scènes explicites, le tout n’est pas désagréable. Un titre érotique réussi, fini en 2 tomes.

     

    Remarque : sur le bandeau de l'éditeur, le pitch indique "isekai", je tiens à préciser que ce n'en ai pas un, Hana ne change pas de monde, elle va juste dans une partie de son monde réservé au thérianthrope, comme si elle entrait dans une réserve naturelle. Ce n'est pas parce que c'est la mode des isekai qu'il faut en voir partout.
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    • Le tueur - affaires d'état tome 5 - La face cachée de l'abîme
      Note :
      J'ai relu toute la série du tueur et il y a une grosse fracture entre la fin du troisième cycle et affaires d'états que l'on pourrait même considérer comme une autre série. Les auteurs ont pris une autre direction avec les proches du tueur et de sa nouvelle carrière dans l'industrie du pétrole. Bon une fois ce détail passé, je suis content que Matz reparle un peu de la vie passée du tueur pour garder une cohésion. Sur Affaire d'état, les auteurs passent d'un contrat à l'autre en laissant tomber les personnages secondaires, c'est un peu déroutant où alors ils ont prévu de les faire revenir à un autre moment. Ce deuxième cycle nous emmène dans une histoire sordide de trafics d'humains où l'on aurait tendance à valider les actions du tueur. Au niveau dessin, Luc Jacamon gère à merveilles les environnements montagneux avec ou sans neige. Quelques scènes d'action avec peu de paroles alternent avec les monologues et pensés du tueur.
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      • 4 réponses
    • Largo Winch tome 24 - Le centile d'or
      Note :
      Pfff alors autant je suis un fervent défenseur des nouvelles sérié et j'ai tendance à critiquer ce qui rallonge la sauce. Mais qu'est ce que ce tome 22 de Largo winch est excellent ! Enfin non pas excellent. Bon. Juste très bon et orienté pour les lecteurs historiques. On retrouve de l'aventure pure Largo. Une mise à jour de notre héros avec des nouvelles technologies et un aspect environnementales intéressant. L'impact des puissants, leurs engagements écologique et culturel et ce qu'il font de leur argent offre un vent actuel à notre milliardaire préféré.

      Ajouté à cela un maniement du couteau toujours au top et vous aurez ce qui me plait toujours autant : un très bon divertissement en deux tomes.

      Exactement ce que l'on demande à un largo Winch ! Le seule bémole qu'on pourra trouver est qu'à côté des BD de plus en plus grosse, la lecture s'avère rapide. Je vous conseille de lire les 2 tomes en même temps pour ne pas avoir une impression de trop peu
      • 0 réponse
    • L'apprenti épouvanteur tome 1
      Note :
      Je ne connaissais pas cette oeuvre littéraire de Joseph Delaney  parue en 2004 au Royaume-Uni , puis dans toute l'Europe étant donné le succès rencontré . Un moyen-âge inquiétant dans une Angleterre rurale au parfum de "Hurlevents"  . Thomas Ward est le septième fils du septième fils , ce qui lui confère un don particulier : la capacité de discerner des créatures magiques au sein même de notre monde . Il est d'emblée soumis à l'apprentissage de son nouveau maître lui même "épouvanteur " depuis longtemps . Parti à l'âge de 13 ans, sa nouvelle vie se dévoile sous nos yeux avec des quêtes initiatiques imposées par son tuteur , ainsi que des missions formatrices à ce  monde surprenant qui s'offre à lui . Il va devoir user de ses pouvoirs et son intelligence pour se sortir des situations délicates auxquelles il sera confronté .

      C'est assez réussi , l'histoire est cohérente et bien amenée , le dessin est envoutant avec son aquarelle en couleurs directes . De grands aplats et ombrages puissants donnent une atmosphère inquiétante . C'est à déconseiller aux moins de 12 ans assurément . Benjamin Bachelier qui vient de finir Le clan des Otori , passe du Japon à l'Angleterre campagnarde , de son trait épais si particulier . Il nous offre de très belles planches de décors ou paysages  , mais peine un peu  sur les plans rapprochés ou gros plans de personnages , qui semblent "brouillons" . Cela reste une aventure à découvrir , et à lire l'hiver au coin du feu , à l'abri des recoins sombres 😉
      • 0 réponse

    • Mother parasite tome 1
      Note :
      Ryôta, adolescent est orphelin, il a été trimballé de foyer en foyer et a développé une sorte de complexe face à la figure maternelle : il s’est inventé une mère idéale avec tout un tas de critères. Il tient un cahier où il note tout ce qui se passe avec sa nouvelle maman, ce qu’elle fait ou ce qu’elle n’a pas fait, ce qu’elle a dit, comment elle a réagi à ses demandes… Sa mère de son côté semble être angoissé à l’idée de ne pas lui convenir et craint qu’il ne cherche une nouvelle maman.

      A côté de ça, il y a Kaoru, un camarade de classe de Ryôta, il a une mère hyper protectrice, très envahissante, qui le surveille sans cesse et surveille aussi l’entourage de son fils avec attention à tel point qu’elle serait presque capable d’éliminer tous les obstacles sur le chemin de son enfant.

      Alors forcément quand Ryôta découvre la personnalité de la mère de son camarade, dans sa tête, un plan se met en marche…

      Mother parasite est la rencontre de deux êtres « dérangés », chacun obnubilé par un amour excessif et potentiellement anormal (il va falloir aller plus loin pour voir l’étendue de la situation). On se sent vite gêné par l’attitude des personnages, il y a la façon dont ils se comportent mais surtout la manière dont Ryôta manipule son entourage.

      Le manga pourrait facilement se ranger dans la catégorie horreur. Mais pas une horreur violente, physique et sanglante. Il laisse un sentiment de mal-être, dérangeant et malsain qui grandit peu à peu ; c’est une horreur psychologique qui provoque un arrière-gout amer. On est tenté d’arrêter là mais tout autant tenté de continuer, c’est une étrange sensation.
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    • Demons star tome 4 (fin)
      Note :
      Demons star c’est fini et c’est dommage ! Voilà une vraie bonne série humoristique et courte en plus, ce qui peut motiver un certain nombre de lecteurs.

      Par d’étranges concours de circonstances et surtout à cause des interprétations farfelues de son comportement, Yusuke se forge une réputation incroyable. Ainsi il devient le démon rouge de 3e ordre, ce qui lui assure une place de choix dans l’organisation du lycée. Non seulement, Akira reconnait sa valeur mais de nombreux élèves se mettent sous ses ordres. La légende est née ! mais ce qui est surtout amusant c’est de voir comment elle est née ! Des personnages plus avisés ne seraient jamais arrivés au même résultat.

      Bien que l’histoire de Demons star se passe dans un lycée de garçons où règne la loi du plus fort et que l’on enchaîne les combats, il ne déplaira pas non plus au lectorat féminin. Pourvu d’une facétie ingénieuse, les quiproquos font rire et classe ce manga dans la catégorie humour. Je n’ai qu’un seul regret, j’aurai aimé voir plus de quiproquos et d’interprétations délirantes, mais c’est déjà très bien comme ça et on s’en réjouit.
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