Aller au contenu
  • S’inscrire
  • Les schtroumpfs & le village des filles - Tome 5 - Le bâton de Saule


    The_PoP
    • Scenariste: Luc Parthoens & Thierry Culliford Dessinateur: Laurent Cagniat Coloriste: Paolo Maddaleni Editeur: Le Lombard Note :
      Résumé:

      N'est pas Grande Schtroumpfette qui veut, et lorsqu'elle demande à Saule de lui enseigner ses secrets, Menthe se fait envoyer sur les roses. Mais il faut faire attention à ce que l'on souhaite : lorsque, quelques jours plus tard, Saule se fait piquer par une plante vénéneuse, Menthe va devoir entreprendre une périlleuse aventure pour lui sauver la vie, en compagnie de Tempête et Bouton d'Or. Et découvrir que la connaissance s'acquiert avec l'expérience, pas autrement !

      Autres informations: d'après l'oeuvre de Peyo. Une production des studios Peyo
      Type: BD Europeene L'acheter sur bdfugue Genre: Humour Prix: -- Nb de pages: --
     Share

    J'avoue j'étais jusqu'à présent passé à côté de cette série dérivée sur les Schtroumpfs, version village des filles.

    Ce tome est une bonne entrée en matière puisqu'il s'agit du premier épisode d'un arc qui se terminera dans 2 tomes supplémentaires. L'avantage est que le scénario étant plus ambitieux peut se permettre de construire d'autres relations entre ses personnages et une intrigue un peu plus poussée. Ici l'aventure va battre son plein avec une quête forcément un peu initiatique qui nous sort agréablement des problématiques de villages schtroumpfs.

    Côté dessin, rien de neuf, c'est joli, c'est frais, il y a une certaine rondeur qui se prête très très bien à l'image que l'on se fait d'une bd jeunesse.

     

    Là où j'ai par contre un coup de gueule important à passer c'est sur la couverture. Je ne comprends pas que les véritables auteurs ne soient pas crédités, quitte à ce qu'on rajoute un "d'après l'oeuvre de Peyo". Le communiqué de presse présice bien que c'est une réalisation du studio Peyo mais je ne saurai m'y résoudre. Je crois qu'il est important que ce soit pour le lecteur comme pour les auteurs que leur travail ne soit pas anonymisé derrière des studios qui nécessairement risquent d'uniformiser leurs productions. M. PEYO est décédé en 1992, il mérite peut être une autre postérité que d'entraver la reconnaissance du travail des nouveaux auteurs non ?

     Share


    Retour utilisateur

    Commentaires recommandés

    Tout à fait d'accord avec toi sur tout 🙂 je l'ai pris à mon drôle la semaine dernière. Je ne connaissais pas cette série, bien colorée et les dessins sont jolis. Je prendrai les autres pour voir (mon fils veut en faire la collec^^), j'avasi un peu peur du copier/coller, mais finalement ça a l'air de se tenir 🙂

    Lien vers le commentaire
    Partager sur d’autres sites



    Rejoindre la conversation

    Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.

    Invité
    Ajouter un commentaire…

    ×   Collé en tant que texte enrichi.   Coller en tant que texte brut à la place

      Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

    ×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

    ×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

    ×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.


  • Qui est en ligne   0 membre, 1 anonyme, 27 invités (Afficher la liste complète)

    • Il n’y a aucun utilisateur enregistré actuellement en ligne
  • Inscription

    Inscrivez vous gratuitement

  • Les previews !

  • Dernières Critiques

    • I.R.$ - Tome 24 - Les prédateurs climatiques
      Note :
      Si je ne suis pas l'un des plus grand fan de Larry Max, j'avoue suivre ses aventures avec un certain intérêt. Malheureusement j'ai trouvé cet épisode un cran en dessous des derniers qui avaient su m'intéresser. 

      Stephen Desberg est pourtant une référence en matière de scénarios en bd, mais là son intrigue m'a semblée bien bancale ce qui est un peu un comble pour une bd sur l'univers politico financier. Le complot final se révèle peu crédible, et les motivations des uns et des autres pour le moins légères par rapport à la portée de leurs actes. Le message du scénariste sur les enjeux de notre monde s'en trouve à mon sens un peu dilué devant des complications un peu inutiles secondaires au récit. De même certains faits majeurs émotionnellement sont traités finalement très rapidement, ne nous laissant guère percevoir leur portée émotionnelle.

      Le dessin lui ne progresse guère en terme de qualité et s'il remplit toutefois son office pour une bd de thriller, il manque à mon goût bien trop de détails et de soin pour faire honneur à l'intérieur à sa jolie couverture.

      Les fans de la première heure de Larry B. Max y trouveront probablement leur bonheur mais pour les nouveaux lecteurs cela me semble un peu juste.
      • 0 réponse
    • Adorable démone
      Note :
      Première oeuvre dans le monde du 9ème art pour l'artiste sino-américaine Michelle Lam avec ce Adorable démone . Dès les premières pages , on sent immédiatement les influences mangas et autres productions télévisuelles , il faut dire qu'elle travaille aussi pour des studios d'animations ! Une artiste aux multiples talents donc ,avec une histoire qui emprunte aux codes connus mais en y amenant une dose d'originalité . Elle dépeint en effet un monde imaginaire peuplé de démons , de fées , et autres créatures fantastiques . Chacun ayant ses caractéristiques propres , ainsi les démons apprennent à façonner la lave comme de la pâte à modeler , ils vivent la nuit et dorment le jour , ils ont des cornes qu'il faut aiguiser ; en somme toute une vie à l'opposée des fées . Ces dernières rentrent dans les canons habituels maintes fois abordés dans des tas d'autres oeuvres de ce type . Le talent de l'auteure est de parvenir à rendre cet univers riche crédible et typique . Partez donc à l'aventure Meesh et ses nouveaux amis dans une quête de vérité aux multiples rebondissements , avec en prime , une fin laissant la porte ouverte pour une suite 😉 

      La,pagination est importante , mais les pages sont aérées avec des dialogues ciselés , adaptés au lectorat jeune . Il en va de même pour la partie graphique avec de grandes cases , des personnages facilement reconnaissables et un trait "manga" coloré qui séduira son public .
      • 0 réponse
    • La diplomatie du ping-pong - 1971, un hippie rapproche la Chine et les États-Unis
      Note :
      Le scénariste Alcante livre un fait historique peu connus du public français en restant plus ou moins fidèle à l'histoire comme il l’explique en fin d’album. L’introduction de quelques pages nous redonne le contexte historique avec la situation complexe entre les Etats-Unis et la Chine durant la guerre froide. La politique évolue et de chaque côté, les dirigeants semblent ouverts pour apaiser les tensions entre les deux grandes nations. En 1971, un jeune hippie joueur de tennis de table ou ping pong va jouer un rôle primordial dans le retour à la paix entre les Etats-Unis et la Chine, suite à un tournoi mondial se déroulant au Japon. Le meilleur joueur mondial chinois jouera également un rôle important dans l’évolution diplomatique. Il est amusant de découvrir comment un simple sport et l’amitié entre deux sportifs sera décisif. Pour la partie graphique, Alain Mounier réalise des planches de qualité pour dépeindre cette aventure se déroulant aux Etats-Unis durant le flower power, au Japon puis en Chine.
      Alcante revient sur ce projet de bande dessinée en fin d’album et pourquoi cette histoire lui tenait tant et les libertés prises. La diplomatie du ping-pong est un album intéressant et une agréable surprenante.  
      • 0 réponse
    • Anatomie d'un coeur
      Note :
      C'est l'histoire de sa grand-mère Aurora que nous raconte l'auteure chilienne Antonia Banados , à travers ce roman graphique touchant . A la fin des années 50 , cette dernière est rentrée en faculté de médecine et a vécu une "fausse" histoire d'amour avec un des professeurs . Je précise "fausse" car leur histoire se limitera à des regards , des rendez-vous manqués , des mains se touchant , de longues discussions passionnées , mais hélas rien de plus ! Je ne vous révèle pas les raisons de cet échec amoureux , mais sachez qu'il sera le fil d'Ariane de cet ouvrage . Nous découvrons aussi l'accueil timoré de la faculté pour les deux seules femmes de la promotion , puis la réussite d'Aurora qui en fera une des meilleurs élèves , mais aussi un pays en proie à l'arrivée de la dictature de Pinochet . Tout ceci viendra parasiter cet amour naissant/déchu dans un déferlement de cases ponctuées de schémas organiques . La bichromie aux forts accents bleutés de la dessinatrice donne un rendu de type daguerréotype , une suite de photographies de la vie d 'une étudiante , sa relation avec ses collègues , sa famille etc .... Il se dégage une réelle élégance dans la mise en page . Sans sombrer dans un féminisme accru , Antonia Banados dresse le portrait d'une femme forte et opiniâtre , dont la seule faiblesse sera son coeur lui même , au sens romantique du terme bien entendu 😉 Une première oeuvre intéressante , à confirmer dans un prochain travail !
      • 0 réponse
    • Alerte - Tome 1 - Le poids du doute
      Note :
      A l'origine , cette histoire était prévue pour une série tv , mais le hasard ou la complexité de mener à bien le projet , a transformé ce synopsis en BD sur deux tomes . Le poids du doute ouvre donc ce thriller pharmaceutique . L'on y découvre Cathy Charlier , brillante scientifique à l'origine d'un nouveau médicament psychiatrique dont la sortie prochaine semble imminente . Lors d'une soirée organisée par la direction du groupe , un homme fait irruption et se suicide sous les yeux ébahis de l'assemblé . Cathy va débuter son enquête afin de comprendre le geste de cet homme ayant participé aux tests de ce fameux médicament , d'autant qu'elle l'a administré à son fils en secret . Quelles découvertes l'attendent et sur qui peut-elle compter ?

      Pour sa première oeuvre , Johan Massez , ingénieur naval de formation , délivre un scénario aux ramifications nombreuses mais use d'une trame assez convenue . On pense aisément à La constance du jardinier , formidable polar de John Le Carré à la lecture de ce tome . Les secrets des labos , les cobayes , les mensonges , le profit etc ... La grande originalité étant ce que l'auteur va nous réserver au sujet du fils de Cathy prenant ce remède . Le tome suivant délivrera bon nombre d'interrogations , aussi ne boudons pas notre plaisir devant ces questions sans réponses 🙂 . Le thriller est bien mené ,avec une montée en tension au fil des pages . La ligne claire sans exagérations de détails se veut précise et fluide . Des couleurs froides sont en harmonie avec ce monde pharmaceutique discret aux murs sans fenêtres . Pour les amateurs de polars .
      • 0 réponse

×
×
  • Créer...