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  • Moi, quand je me réincarne en slime - Trinité tome 1


    Nickad
    • Scenariste: FUSE Dessinateur: TONO Tae Editeur: Kurokawa Note :
      Résumé:

      Découvrez les nouvelles aventures à Tempest de trois héroïnes pleines d'énergie dans ce nouveau spin-off de Moi, quand je me réincarne en Slime ! Trois jeunes guerrières sont arrivées à Tempest en provenance de trois contrées différentes, chargées d'une mission secrète par leurs dirigeants respectifs : le seigneur Callion d'Eurasanie, le royaume des hommes-bêtes, Millim de la capitale des dragons et Frey de Frubrosie, la nation céleste. Suivez les aventures rocambolesques de nos trois héroïnes qui ne manqueront pas de mettre de l'animation dans la paisible ville fondée par maître Limule !

      Type: Manga L'acheter sur bdfugue Genre: Fantastique Prix: 7.95 Nb de pages: 164
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    Si l’on veut être honnête, ce spin-off de la série principale n’a aucun intérêt si on n’a pas lu l’original. Il faut un minimum de connaissance sur Limule, ses compagnons et son pays de monstres pour apprécier les subtilités des mises en situation.

    Heureusement pour moi, j’aime cette série alors même si l’histoire s’articule autour de 3 nouveaux personnages, chacune envoyée par un pays étranger pour espionner Tempest. Il est plaisant de lire ces petites histoires et d’y retrouver dans un contexte moins sérieux les personnages phares du manga.

    Si le scénario est toujours de Fuse, le dessin a été confié à Tae TONO dont c’est la 1ère œuvre en France. Un graphisme dans la lignée de la série principale et qui n’a rien à lui envier. Au final, on obtient une histoire sympathique qui fera plaisir aux fans de la série.

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    • Fileuses de soie
      Note :
      C'est une bien belle histoire que ce duo de scénaristes nous offre avec ces destins de femmes au début du siècle dernier ! Cela commence par une exposition des lieux , en l'occurrence la Drôme et sa chaleur étouffante estivale mais aussi ses paysages vallonnés aux couleurs de la Provence ; puis les murs d'une enceinte où règne le labeur et le silence . Une filature tenue par une riche famille locale et dirigée par l'église . Du travail mal rémunéré et des prières , sont le quotidien de femmes qui se sont égarées en chemin , des femmes au parcours de vie chaotique , que la société délaisse et qui finissent par trouver refuge en ces lieux . De prime abord , l'idée est séduisante , on leur donne un emploi , un toit , de la nourriture (prélevé sur leur maigre salaire) et une éducation religieuse les préparant à un retour à la vie sociale . Mais les conditions de travail , la dureté des soeurs et les châtiments qui vont avec , la discipline imposée , tout ceci rend leurs conditions de vie proches de l'esclavagisme . Il semble si juste de mettre en lumière ces travailleuses de l'ombre ! Les querelles familiales des propriétaires passent presque au second plan , tant on s'attache à Henriette , Rose et Suzanne . Les auteurs distillent les révélations au fil de l'histoire avec élégance et logique . Les secrets tombent et renforcent cette empathie qui ne nous quitte plus jusqu'à la dernière page ; je dirais même qu'une fois le livre refermé , ces fileuses de soie nous accompagnent encore .

      Ce duo de scénaristes chevronnés s'est entouré d'un jeune talent prometteur en la personne de Jean-Côme Garcette  . Amoureux de la nature et des grands espaces il réalise une ligne claire agréable et détaillée . Les personnages sont facilement reconnaissables et les paysages fidèlement retranscris . Une bonne première oeuvre qui mérite confirmation , cela tombe bien , il planche déjà sur une prochaine sortie chez le même éditeur .

      Un roman graphique nécessaire , un enrichissement de culture générale , une lecture qui ne vous laissera pas indifférents , que de points positifs ! Des annexes en fin d'album avec textes et photos d'archives vous en apprendront d'avantage sur ce métier et ses méthodes de fabrication .
      • 0 réponse
    • Coubertin, entre ombre et lumière
      Note :
      Ils approchent ces fameux JO de Paris , le 26 juillet plus précisément et l'éditeur Steinkis nous rappelle que le Baron de Coubertin fut à l'origine de ces jeux "modernes" . La BD commence avec un bref rappel de la création des premiers jeux grecs dans l'antiquité , qui seront annulés au début de notre ère par un romain méfiant de ce genre de manifestations . Puis , nous retrouvons deux journalistes en route pour l'ouverture des JO tristement célèbres de 1936 à Munich sous le régime nazi . L'axe narratif tournera autour de la conversation qu'ont ces deux reporters à propos de la vie de Pierre de Coubertin . Ils relatent les grandes dates de sa vie politique et son parcours diplomatique jalonné de hauts et de bas . Ainsi on y découvre ses "créations" mais aussi une façade de sa personnalité qui peut sembler sombre à notre époque . Au début du siècle dernier , la société était on ne peut plus patriarcale , donc tenir des positions "misogynes" en 1900 ou en 2000 n'a pas le même impact . Idem pour ses positions sur le colonialisme qui rapportait d'énormes profits à la France , mais aussi aux anglais et hollandais entre autres . Les auteurs abordent ces sujets avec une certaine conscience du contexte historique . En revanche ils risquent de perdre un peu le lecteur avec ces nombreuses allées et venues entre les deux reporters racontant sa vie , et ces moments contés auprès du baron lui-même ! On alterne les époques et les protagonistes sans aucun point de repère et il est parfois compliqué de reconnaître les personnages , d'autant que le récit s'étale sur plus de 40 ans ! Le dessin académique de Didier Pagot lorgne du côté de la ligne claire avec un plus grand réalisme . Avec la galerie de personnages présentés , on aurait aimé une légère dissociation des époques . Mais rassurez-vous , ce n'est pas insurmontable et vous apprendrez un tas d'anecdotes sur cet homme qui restera dans l'histoire et qui nous permet de visionner les cérémonies d'ouverture des JO en français , peu importe le pays organisateurs 😉 
      • 0 réponse
    • Spiderlouze - Tome 1
      Note :
      Le talentueux auteur Ced continue de sévir avec son humour irrévérencieux ! Après Star wars , il s'en prend aux super-héros à collants Marvel , avec en tête de gondole : Spiderman . Des caméos d'autres héros feront irruption mais l'homme araignée représente l'essentiel de la lecture . Ced fait une nouvelle fois mouche avec une version parodique des aventures de Spiderman , toujours sur 4 cases par sketch il use de scènes connus du héros et les adapte à sa guise ; plutôt il s'engouffre dans les brèches . Vous vous êtes sûrement posé la question à la lecture de ses aventures : il jette sa toile partout sur les murs des immeubles , mais que se passe t'il si une fenêtre est ouverte ? Sur qui ou quoi la toile va t'elle s'accrocher ? Il détourne avec talent les pouvoirs des némésis de "Péteur Parcoeur" et se sert de scènes mythiques des films , peut-être mieux connus que les histoires parues en comics . Stivo le dessinateur réalise un travail graphique dans un style "numérique" fidèle aux dessins animés sortis récemment au cinéma . Les personnages sont facilement reconnaissables , et si une bonne culture du personnage et de ses aventures amène un plus à la lecture , ce n'est pas indispensable pour saisir les gags . Un premier tome réussi qui en appelle d'autres car comme l'univers Star wars , le monde Marvel est une source inépuisable d'inspirations , surtout lorsqu'on a le talent de Ced pour détourner les situations 🙂 
      • 0 réponse

    • Vies d'ensemble - au-delà des mots tome 1
      Note :
      Voici une tranche de vie qui nous sort un peu de l'ordinaire et qui est un peu déroutante au début, le temps de comprendre de quoi l'on parle. 

      Car voilà, le début de l'histoire commence par le déménagement de Takeda qui est aidé par Arita pour l'occasion. On pense d'abord à une histoire d'amitié jusqu'à ce que l'on voit qu'en réalité, ils emménagent ensemble. Alors bien sûr, on pense à un couple, et puis finalement ce n'est pas ça non plus. Et c'est tout l'intérêt de la narration, car le lecteur se retrouve dans la même situation que les personnages secondaires qui entourent Takeda et Arita, on ne peut s'empêcher d'essayer de comprendre ce qu'il y a entre ces deux-là !

      Et contrairement à ce que l'on pourrait envisager, leur relation est à la fois plus simple et beaucoup plus complexe. Le sous-titre trouvé par les éditions naBan "au-delà des mots" a tout son sens car il s'agit d'une relation inhabituelle (et complétement morale) que même les protagonistes ont du mal à définir. C'est à la fois très pragmatique et très psychologique : ils vivent ensemble parce qu'ils se sentent mieux à deux, parce que c'est peut-être le seul moyen de garder un lien car ils n'ont rien d'autre en commun. 

      Au travers de cette histoire qui peut paraître simple, l'auteur aborde beaucoup de thématiques : la société, la solitude, l'acceptation, la différence, la compréhension... C'est un bon premier tome qui nous prend au dépourvu, nous interpelle et nous intrigue. A suivre.

      Nota : pour information le titre original Kemutai Hanashi pourrait se traduire littéralement par une "une histoire fumeuse".
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    • Though I am an inept villainess tome 3
      Note :
      Que Reirin soit dans un corps ou dans un autre, elle reste fidèle à ce qu'elle est, c'est-à-dire la gentillesse incarnée. peu à peu les gens qui la côtoient commencent à se poser des questions et certains découvrent la vérité mais le temps n'est pas aux retrouvailles ni à chercher des solutions pour qu'elle retourne dans son corps ! Des complots sont à l'œuvre au sein du palais et consorts comme apprenties sont en danger !

      En plus de l'échange entre Reirin et Tôsetsu qui nous proposait déjà une histoire fantastique à la fois passionnante et amusante, l'histoire se complexifie avec les relations entre les différentes concubines. On se rend compte que l'ambiance entre elles, bien que cordiale en apparence, est particulièrement tendue et que tous les coups sont bons pour devenir la favorite de l'empereur et/ou du prince. Ainsi, même si l'histoire est en partie fantastique, les relations et l'organisation au sein du palais impérial ont un côté historique assez intéressantes. A noter cependant qu'il y a un léger manque de fluidité dans la compréhension du système : il y a une hiérarchie entre les consorts mais aussi une hiérarchie entre les apprenties et les suivantes qui les accompagnent, il n'est pas toujours simple de s'y retrouver...

      Cependant, l'histoire est toujours aussi passionnante, les événements s'enchainent à un rythme soutenu et le graphisme est réussi. De quoi nous donner envie d'aller lire la suite avec une certaine impatience.
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