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Kevin Nivek

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Tout ce qui a été posté par Kevin Nivek

  1. "Femme des années 80... " Vous me permettrez cette petite intro en adéquation avec la nouvelle équipe des avengers dont le , plutôt la leader n'est autre qu'une femme : La guêpe . Et l'on se rend compte très vite que Hercule n'est pas forcément fan d'opérer sous ses ordres . Chevalier noir et Monica Rambeau aka Captain Marvel s'ajoutent aussi , mais c'est surtout l'apport de Namor en tant que vengeur qui est à noter en début de récit , car il n'est pas considéré comme un héros dans l'opinion publique ! La première partie de cette nouvelle aventure est donc consacré au roi des mers qui cherche à se faire accepter en tirant un trait sur son passé tumultueux avec les humains . Puis , très vite les prémices d'un complot font leur apparition ,à travers les manigances du Baron Zemo , désirant s'inspirer des avengers en créant sa propre équipe de super-vilains ! Son but est d'anéantir les vengeurs en prenant possession de leur base opérationnelle . L'état de siège est lancé , le manoir est tombé , les otages menottés , tout le plan du Baron se déroule sans accrocs . L'histoire tourne au huis-clos , la tension est omniprésente ! C'est un véritable régal que cette histoire concoctée par Roger Stern . Les héros font face à des défis qui semble insurmontables ,même Captain America semble désemparé face à la situation ! La dramaturgie est omniprésente , comme si elle annonçait en préambule ces années 80 vues comme "l'âge sombre" chez les héros de Marvel .
  2. T'aimes pas ce style old-school ? J'aime bien moi le trait de Byrne 🙂 Il vieillit pas mal je trouve .
  3. Titre de l'album : Avengers - La collection anniversaire tome 2 - Les nuits de Wundagore Scenariste de l'album : David Michelinie Dessinateur de l'album : John Byrne Coloriste : Editeur de l'album : Panini Note : Résumé de l'album : 1958 : l'armée du Maître de l'Évolution emprisonne le maléfique dieu Chthon dans le Mont Wundagore. Libéré quarante plus tard, c'est au tour de Captain America, Iron Man, Miss Marvel et leurs coéquipiers, de renouveler la prouesse en le neutralisant à nouveau. Mais pour y parvenir, tous les Avengers doivent être solidaires, il ne faudrait pas d'un traître qui s'allie à l'entité démoniaque par exemple... La plus grande équipe de l'univers Marvel fête ce mois-ci ses soixante ans, et pour célébrer cet anniversaire, Panini Comics leur offre une collection à petit prix, en six volumes. Les lecteurs et fans de l'équipe la plus célèbre du MCU, partageront les sagas les plus emblématiques des plus grands héros de la Terre, pilotés par les plus grands artistes de la Maison des Idées ! Critique : Un bon dans le temps après le premier opus de cette collection centrée sur les Avengers , où l'on découvre une équipe très largement agrandie ! A tel point que le gouvernement envoi son agent de liaison Henry-Peter Gyrch , avec pour mission de réduire leur nombre à 7 héros . La politique s'invite dans l'univers Marvel avec l'introduction de notions de hiérarchies et de représentativités . Ainsi , Hawkeye se voit "éjecté" au profit de Sam Wilson le faucon , héros afro-américain . On découvre ainsi des jalousies internes et des questions existentielles car le faucon identifie rapidement la raison de sa présence et en souffre , malgré l'accueil chaleureux de Captain America . Ces turpitudes n'ont guère le temps de s"imposer car très vite un ennemi attaque les Avengers et plus précisément La sorcière rouge et son frère Vif-argent . Qui est-il , et pourquoi s'en prendre à eux ? Tout ceci semble lié à leurs origines toujours aussi floues . Cela va les mener au pied du mont Wundagore en Europe , lieu de leur naissance mais aussi théâtre d'opérations douteuses du Maître de l'évolution ! Un pan de leur enfance va être révélé dans cette histoire , levant le voile sur leur famille . Une évolution narrative , mais aussi artistique dans le giron Marvel , avec le talent de John Byrne qui éclabousse les pages de ce tome 2 ! Les cases fourmillent de détails et donnent de l'authenticité au récit . Les amateurs des X-men à la même époque seront ravis de se plonger dans ce graphisme si caractéristique , n'ayant pas pris une ride . Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/avengers-la-collection-anniversaire-tome-2/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Un bon dans le temps après le premier opus de cette collection centrée sur les Avengers , où l'on découvre une équipe très largement agrandie ! A tel point que le gouvernement envoi son agent de liaison Henry-Peter Gyrch , avec pour mission de réduire leur nombre à 7 héros . La politique s'invite dans l'univers Marvel avec l'introduction de notions de hiérarchies et de représentativités . Ainsi , Hawkeye se voit "éjecté" au profit de Sam Wilson le faucon , héros afro-américain . On découvre ainsi des jalousies internes et des questions existentielles car le faucon identifie rapidement la raison de sa présence et en souffre , malgré l'accueil chaleureux de Captain America . Ces turpitudes n'ont guère le temps de s"imposer car très vite un ennemi attaque les Avengers et plus précisément La sorcière rouge et son frère Vif-argent . Qui est-il , et pourquoi s'en prendre à eux ? Tout ceci semble lié à leurs origines toujours aussi floues . Cela va les mener au pied du mont Wundagore en Europe , lieu de leur naissance mais aussi théâtre d'opérations douteuses du Maître de l'évolution ! Un pan de leur enfance va être révélé dans cette histoire , levant le voile sur leur famille . Une évolution narrative , mais aussi artistique dans le giron Marvel , avec le talent de John Byrne qui éclabousse les pages de ce tome 2 ! Les cases fourmillent de détails et donnent de l'authenticité au récit . Les amateurs des X-men à la même époque seront ravis de se plonger dans ce graphisme si caractéristique , n'ayant pas pris une ride .
  5. Kevin Nivek

    Parlottes BD

    https://www.bdfugue.com/2001-nights-stories-tome-1 C'est ça .
  6. Kevin Nivek

    Parlottes BD

    Que des titres que j’ai ou que je vais commander 😀😀
  7. Kevin Nivek

    Parlottes BD

    Au fait @Nickad j’ai vu que Glenat allait rééditer une série mythique sous disant : 2001 nights, en deux tomes . Tu connais? Ça a l’air d’être un peu comme Planètes .
  8. J'en ai deux Bulles , ça se revend bien tu dis ? Boaf , de toute façon j'aime trop cette saga pour la revendre . Du coup j'ai un panaché de versions casuals et Bulles 🙂
  9. Titre de l'album : Le visage de Pavil Scenariste de l'album : Jérémy Perrodeau Dessinateur de l'album : Jérémy Perrodeau Coloriste : Jérémy Perrodeau Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Quand son aéronef s'écrase à Lapyoza, Pavil, citoyen de l'Empire, se retrouve plongé dans le quotidien de ce village perdu d'un archipel battu par les vents. Loin de l'agitation des villes impériales, il observe les rituels qui rythment la vie simple des habitants autour du culte d'Hôda. Autant de mystères qui le guident vers une île interdite, de l'autre côté de la baie. Critique : Une bien belle surprise que cette nouvelle histoire de Jérémy Perrodeau qui s'inscrit dans la lignée des Jérémie Morreau et Vincent Perriot . Telle l'argile pour façonner des poteries , il utilise la science-fiction comme matière première et construit des mondes riches aux messages ancrés dans notre actualité comme l'écologie ou l'ethnocentrisme . C'est bien le cas dans ce très bel écrin , avec un aviateur nommé Pavil s'écrasant loin de ses contrées et découvrant une province aux us et coutumes totalement étrangères . Les autochtones l'accueillent bien volontiers et l'invitent à attendre le prochain bateau voguant vers l'Empire d'où il est originaire . Il va découvrir une culture et une religion bien différente de la sienne et l'auteur amène ces échanges de façon très subtile . Il peut arriver de tourner des pages entières avec des cases sans dialogues , mais bien de la contemplation de cette petite société prenant vie sous nos yeux . Tel Pavil , le lecteur assimile lentement les croyances , les métiers ,la géographie et les coutumes de cette communauté Lapyoza et son dieu Hodä . Mais très vite les questions qu'il pose en amènent d'autres ! Qui est-il vraiment et son arrivée accidentelle est-elle le fruit du hasard ? En s'insinuant de plus en plus dans Lapyoza , Pavil va en percer les secrets et n'en sortira pas indemne . Auteur complet , il scénarise , mais il dessine aussi et son choix de couleurs unifiées est surprenant mais tellement immersif . Son graphisme qui parait simple de prime abord , avec des personnages aux visages peu détaillés , peut s'exprimer librement sur des paysages avec beaucoup de profondeur . Une sobriété du trait qui s'avère complexe dans ces représentations ! Il est à souligner le très beau travail éditorial de 2024 , la reliure et les pages épaisses sont d'une excellente qualité . Un talent à découvrir de toute urgence 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.editions2024.com/livres/le-visage-de-pavil/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Kevin Nivek

    Le visage de Pavil

    Une bien belle surprise que cette nouvelle histoire de Jérémy Perrodeau qui s'inscrit dans la lignée des Jérémie Morreau et Vincent Perriot . Telle l'argile pour façonner des poteries , il utilise la science-fiction comme matière première et construit des mondes riches aux messages ancrés dans notre actualité comme l'écologie ou l'ethnocentrisme . C'est bien le cas dans ce très bel écrin , avec un aviateur nommé Pavil s'écrasant loin de ses contrées et découvrant une province aux us et coutumes totalement étrangères . Les autochtones l'accueillent bien volontiers et l'invitent à attendre le prochain bateau voguant vers l'Empire d'où il est originaire . Il va découvrir une culture et une religion bien différente de la sienne et l'auteur amène ces échanges de façon très subtile . Il peut arriver de tourner des pages entières avec des cases sans dialogues , mais bien de la contemplation de cette petite société prenant vie sous nos yeux . Tel Pavil , le lecteur assimile lentement les croyances , les métiers ,la géographie et les coutumes de cette communauté Lapyoza et son dieu Hodä . Mais très vite les questions qu'il pose en amènent d'autres ! Qui est-il vraiment et son arrivée accidentelle est-elle le fruit du hasard ? En s'insinuant de plus en plus dans Lapyoza , Pavil va en percer les secrets et n'en sortira pas indemne . Auteur complet , il scénarise , mais il dessine aussi et son choix de couleurs unifiées est surprenant mais tellement immersif . Son graphisme qui parait simple de prime abord , avec des personnages aux visages peu détaillés , peut s'exprimer librement sur des paysages avec beaucoup de profondeur . Une sobriété du trait qui s'avère complexe dans ces représentations ! Il est à souligner le très beau travail éditorial de 2024 , la reliure et les pages épaisses sont d'une excellente qualité . Un talent à découvrir de toute urgence 😉
  11. Ok tu as peut que cela passe pour mensonger auprès des gens qui verront WW en couverture . Je comprends et ça se tient 🙂
  12. Je ferai un mail à Ilona l'attachée de presse ok
  13. 1 et alors !!! Le fait que ce ne soit pas un comics de super-héros pose un problème ??? 2 je trouve que le potentiel relecture est assez dingue . Tu as plein de détails cachés dans les cases et beaucoup de personnages !
  14. J'en ai mis une autre , plus jolie et mythique 😉
  15. Titre de l'album : Avengers , les origines Scenariste de l'album : Stan Lee Dessinateur de l'album : Jack Kirby Coloriste : Jack Kirby Editeur de l'album : Panini Note : Résumé de l'album : Quand Loki manipule le sauvage Hulk pour attaquer son demi-frère Thor, il ne se doute pas qu'il va provoquer la naissance d'une équipe à nulle autre pareille ! Iron Man, Ant-Man et la Guêpe vont s'allier à Thor et Hulk, bientôt rejoints par Captain America, pour former les Avengers, les plus puissants héros de la Terre ! La plus grande équipe de l'univers Marvel fête ce mois-ci ses soixante ans, et pour célébrer cet anniversaire, Panini Comics leur offre une collection à petit prix, en six volumes. Les lecteurs et fans de l'équipe la plus célèbre du MCU, partageront les sagas les plus emblématiques des plus grands héros de la Terre, pilotés par les plus grands artistes de la Maison des Idées ! Critique : Jack Kirby et Stan Lee , ça sent bon l'âge d'or des comics des années 60 cette affaire ! Les éditions Panini sortent une collection centrée sur les Avengers et leur longévité certaine malgré de multiples changements d'équipes de héros . Pour ce tome 1 , c'est la naissance du groupe qui est censée concurrencer la Distinguée Concurrence et sa Justice league . Un groupe resserré avec Iron Man , Thor , Hulk, La guêpe et Antman . Notez l'absence de , pardon , du Captain America , toujours congelé et en passe d'être découvert par nos héros dans ce titre justement . Vous allez assister à son réveil et dans quelles conditions l'équipe va le trouver . Un moment important de la galaxie Marvel , s'il en est ! Vous lirez aussi dans ces pages les ennuis de Bruce Banner , toujours scindé entre son homologue destructeur parfois incontrôlable ,et le chercheur aspirant à la paix et du repos . C'est d'ailleurs à l'occasion d'un déchainement de violence de Hulk , influencé par Loki , que l'équipe va se regrouper et agir ensemble . Mais , "Avengers, rassemblement" n'est pas encore né , il faudra être patient 😉 . Namor sera aussi présent et cherchera à faire alliance avec un des héros pour de bien sombres desseins . Une succession de scénarios orchestrés par Stan Lee, ainsi que des dialogues sentant bons la belle époque et ces punchlines qui semblent naïves de nos jours certes , mais que l'on ne peut s'empêcher de lire en esquissant un sourire . La ligne claire de Kirby sonne aussi comme une madeleine de Proust , à l'heure de quantités de comics dessinés sur ordinateurs et tablettes . Le mouvement est présent dans les cases , les combats sont dynamiques et ne remplissent pas les pages dans une confusion totale .C'est une bonne entrée en matière pour les curieux qui n'ont pas peur de remonter le temps . Preuve en est que cette parution en 1963 a des allures "d'éternel" : le scénario de Avengers premier du nom du MCU est grandement inspiré de cette histoire 😉 PS: Toutes les couvertures sont signées par l'immense Alex Ross ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/avengers-la-collection-anniversaire-tome-1/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Kevin Nivek

    Avengers , les origines

    Jack Kirby et Stan Lee , ça sent bon l'âge d'or des comics des années 60 cette affaire ! Les éditions Panini sortent une collection centrée sur les Avengers et leur longévité certaine malgré de multiples changements d'équipes de héros . Pour ce tome 1 , c'est la naissance du groupe qui est censée concurrencer la Distinguée Concurrence et sa Justice league . Un groupe resserré avec Iron Man , Thor , Hulk, La guêpe et Antman . Notez l'absence de , pardon , du Captain America , toujours congelé et en passe d'être découvert par nos héros dans ce titre justement . Vous allez assister à son réveil et dans quelles conditions l'équipe va le trouver . Un moment important de la galaxie Marvel , s'il en est ! Vous lirez aussi dans ces pages les ennuis de Bruce Banner , toujours scindé entre son homologue destructeur parfois incontrôlable ,et le chercheur aspirant à la paix et du repos . C'est d'ailleurs à l'occasion d'un déchainement de violence de Hulk , influencé par Loki , que l'équipe va se regrouper et agir ensemble . Mais , "Avengers, rassemblement" n'est pas encore né , il faudra être patient 😉 . Namor sera aussi présent et cherchera à faire alliance avec un des héros pour de bien sombres desseins . Une succession de scénarios orchestrés par Stan Lee, ainsi que des dialogues sentant bons la belle époque et ces punchlines qui semblent naïves de nos jours certes , mais que l'on ne peut s'empêcher de lire en esquissant un sourire . La ligne claire de Kirby sonne aussi comme une madeleine de Proust , à l'heure de quantités de comics dessinés sur ordinateurs et tablettes . Le mouvement est présent dans les cases , les combats sont dynamiques et ne remplissent pas les pages dans une confusion totale .C'est une bonne entrée en matière pour les curieux qui n'ont pas peur de remonter le temps . Preuve en est que cette parution en 1963 a des allures "d'éternel" : le scénario de Avengers premier du nom du MCU est grandement inspiré de cette histoire 😉 PS: Toutes les couvertures sont signées par l'immense Alex Ross !
  17. N’est pas Murena ou les aigles de Rome , qui veut ! Murena quel chef d’œuvre 🤩
  18. On est que tous les deux à suivre cette série ?
  19. Et voilà , clap de fin pour cette aventure débutée en 2018 par Gaet's et Julien Monier 😞 . Je suis partagé entre la tristesse de la voir s'arrêter et la joie de visualiser enfin l'ensemble du scénario à tiroirs avec toutes les révélations scénaristiques . On imagine Gaet's devant un tableau noir avec les visages des protagonistes liés entre eux par un fil conducteur , tous interconnectés ! Avant d'aborder cet ultime tome, j'ai pris soin de relire les 5 précédents et bien m'en a pris . Tous les détails vus auparavant , comme : Qui est sous cette capuche ? Qui voit-on au fond de la rue ? A qui est cette main ? etc .... Tout ceci prend forme et se révèle au fil des tomes pour notre plus grand plaisir . Et qui de mieux pour conclure notre saga avec chaque titre lié à un personnage , que Eugène ? Ce grand gaillard gorgé de défauts (raciste , maltraitant les plus faibles , violent , alcoolique etc ...) n'en reste pas moins attachant avec ses colères et autres prises de décisions grotesques . Un vrai personnage des frères Cohen . D'ailleurs si vous prêtez bien attention , de nombreuses références à la culture pop jalonnent cette histoire , notamment une sur ce grand film , The big Lebowski .Les dialogues , toujours incisifs et fleuris se complaisent dans l'humour noir . Je ne peux rien vous divulguer , mais sachez que l'on est dans la même ligne que les opus précédents avec une intensité dramatique s'intensifiant ainsi que de nombreuses révélations . Chaque destin a trouvé son chemin et tout a une fin , comme cette saga en 6 tomes hautement recommandable .Un grand coup de coeur pour cet ultime tome et pour l'ensemble de la saga ! Messieurs , votre association de bienfaiteurs est attendue au tournant pour de nouvelles aventures ! Vous pouvez prolonger le plaisir avec un jeu de société sorti à cette occasion et reprenant le principe de cette histoire pas comme les autres . PS : Je me dois de les contredire sur un fait : Oasis est un des plus grands groupes de rock au monde 😉
  20. Titre de l'album : RIP tome 6 - Eugène, toutes les bonnes choses ont une fin Scenariste de l'album : Gaet's Dessinateur de l'album : Julien Monier Coloriste : Julien Monier Editeur de l'album : Petit à petit Note : Résumé de l'album : Ils nous bouffent notre pain. Ils piquent nos gagne-pains. Des pains dans la tronche, c'est tout ce qu'ils méritent ! Comment ça, faut que j'me calme !? Vous savez à qui vous avez affaire ? Je suis Eugène ! Et il est pas né celui qui va me dire ce que je dois faire ou pas faire. Je me suis pas tapé des mois de mitard pour qu'une fois dehors on vienne me faire chier. Et pas question que je paie à cause de celui qui a chouravé cette maudite bague. Faut que je la retrouve, ainsi je serai enfin blanc comme neige. Après tout, ne dit-on pas que toutes les bonnes choses ont une fin ? Critique : Et voilà , clap de fin pour cette aventure débutée en 2018 par Gaet's et Julien Monier 😞 . Je suis partagé entre la tristesse de la voir s'arrêter et la joie de visualiser enfin l'ensemble du scénario à tiroirs avec toutes les révélations scénaristiques . On imagine Gaet's devant un tableau noir avec les visages des protagonistes liés entre eux par un fil conducteur , tous interconnectés ! Avant d'aborder cet ultime tome, j'ai pris soin de relire les 5 précédents et bien m'en a pris . Tous les détails vus auparavant , comme : Qui est sous cette capuche ? Qui voit-on au fond de la rue ? A qui est cette main ? etc .... Tout ceci prend forme et se révèle au fil des tomes pour notre plus grand plaisir . Et qui de mieux pour conclure notre saga avec chaque titre lié à un personnage , que Eugène ? Ce grand gaillard gorgé de défauts (raciste , maltraitant les plus faibles , violent , alcoolique etc ...) n'en reste pas moins attachant avec ses colères et autres prises de décisions grotesques . Un vrai personnage des frères Cohen . D'ailleurs si vous prêtez bien attention , de nombreuses références à la culture pop jalonnent cette histoire , notamment une sur ce grand film , The big Lebowski .Les dialogues , toujours incisifs et fleuris se complaisent dans l'humour noir . Je ne peux rien vous divulguer , mais sachez que l'on est dans la même ligne que les opus précédents avec une intensité dramatique s'intensifiant ainsi que de nombreuses révélations . Chaque destin a trouvé son chemin et tout a une fin , comme cette saga en 6 tomes hautement recommandable .Un grand coup de coeur pour cet ultime tome et pour l'ensemble de la saga ! Messieurs , votre association de bienfaiteurs est attendue au tournant pour de nouvelles aventures ! Vous pouvez prolonger le plaisir avec un jeu de société sorti à cette occasion et reprenant le principe de cette histoire pas comme les autres . PS : Je me dois de les contredire sur un fait : Oasis est un des plus grands groupes de rock au monde 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/rip-tome-6-eugene-toutes-les-bonnes-choses-ont-une-fin/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Tim Probert , l'auteur du remarqué Lightfall ne s'est pas trompé en conseillant vivement ce roman graphique de Jason Pamment . Auteur et illustrateur , il réalise de l'animation ainsi que des jeux vidéos . Et cela se ressent très rapidement à travers une narration fluide et un graphisme très "animé" . Des visages ronds et expressifs , des couleurs numériques agréables et surtout un sens du découpage percutant ! On tourne les pages en suivant la progression des personnages et l'impression d'être immergé dans un dessin-animé est réelle . Un régal pour les yeux ! Nous suivons donc Ambre , vivant dans le monde des humains bien trop grands pour lui , qui est seul et pris d'un profond désir d'apprendre . Sa rencontre avec une tortue géante va le mener vers une île étrange où d'autres "enfants" comme lui fréquentent une école . Son rêve se réalise mais l'auteur ne lui rend pas la tâche facile , car être nouveau dans une école n'est pas de tout repos . On est tous passé par là ! Nouer de nouvelles amitiés devient un chemin semé d'embûches . De plus , de curieux tentacules d'eau de mer s'approchent de lui et cherchent à entrer en contact . Ami , ennemi ? Les aventures d'Ambre peuvent commencer dans cette île pas comme les autres , avec un professeur et une faune locale , assez surprenante . Vous n'êtes pas au bout de vos surprises avec cette histoire complète qui se lit avec émerveillement , et à tout âge 😉
  22. Titre de l'album : Ambre et l'île des créatures perdues Scenariste de l'album : Jason Pamment Dessinateur de l'album : Jason Pamment Coloriste : Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : Ambre est un tout petit garçon dans un monde immense . Escorté à travers l'océan par sa gardienne , Lua , une tortue de mer géante , Ambre peut enfin fréquenter une école à sa taille . Alors qu'il s'efforce de trouver sa place , il se retrouve au coeur d'un mystère . Un étrange monstre des profondeurs menace tout ce qui lui est cher ! Critique : Tim Probert , l'auteur du remarqué Lightfall ne s'est pas trompé en conseillant vivement ce roman graphique de Jason Pamment . Auteur et illustrateur , il réalise de l'animation ainsi que des jeux vidéos . Et cela se ressent très rapidement à travers une narration fluide et un graphisme très "animé" . Des visages ronds et expressifs , des couleurs numériques agréables et surtout un sens du découpage percutant ! On tourne les pages en suivant la progression des personnages et l'impression d'être immergé dans un dessin-animé est réelle . Un régal pour les yeux ! Nous suivons donc Ambre , vivant dans le monde des humains bien trop grands pour lui , qui est seul et pris d'un profond désir d'apprendre . Sa rencontre avec une tortue géante va le mener vers une île étrange où d'autres "enfants" comme lui fréquentent une école . Son rêve se réalise mais l'auteur ne lui rend pas la tâche facile , car être nouveau dans une école n'est pas de tout repos . On est tous passé par là ! Nouer de nouvelles amitiés devient un chemin semé d'embûches . De plus , de curieux tentacules d'eau de mer s'approchent de lui et cherchent à entrer en contact . Ami , ennemi ? Les aventures d'Ambre peuvent commencer dans cette île pas comme les autres , avec un professeur et une faune locale , assez surprenante . Vous n'êtes pas au bout de vos surprises avec cette histoire complète qui se lit avec émerveillement , et à tout âge 😉 Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ambre-et-l-le-des-cr-atures-perdues/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Kevin Nivek

    Parlottes BD

    Vous avez tous lu Esteban j'espère !!!
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