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Kevin Nivek

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Tout ce qui a été posté par Kevin Nivek

  1. Ok tu as peut que cela passe pour mensonger auprès des gens qui verront WW en couverture . Je comprends et ça se tient 🙂
  2. Je ferai un mail à Ilona l'attachée de presse ok
  3. 1 et alors !!! Le fait que ce ne soit pas un comics de super-héros pose un problème ??? 2 je trouve que le potentiel relecture est assez dingue . Tu as plein de détails cachés dans les cases et beaucoup de personnages !
  4. J'en ai mis une autre , plus jolie et mythique 😉
  5. Titre de l'album : Avengers , les origines Scenariste de l'album : Stan Lee Dessinateur de l'album : Jack Kirby Coloriste : Jack Kirby Editeur de l'album : Panini Note : Résumé de l'album : Quand Loki manipule le sauvage Hulk pour attaquer son demi-frère Thor, il ne se doute pas qu'il va provoquer la naissance d'une équipe à nulle autre pareille ! Iron Man, Ant-Man et la Guêpe vont s'allier à Thor et Hulk, bientôt rejoints par Captain America, pour former les Avengers, les plus puissants héros de la Terre ! La plus grande équipe de l'univers Marvel fête ce mois-ci ses soixante ans, et pour célébrer cet anniversaire, Panini Comics leur offre une collection à petit prix, en six volumes. Les lecteurs et fans de l'équipe la plus célèbre du MCU, partageront les sagas les plus emblématiques des plus grands héros de la Terre, pilotés par les plus grands artistes de la Maison des Idées ! Critique : Jack Kirby et Stan Lee , ça sent bon l'âge d'or des comics des années 60 cette affaire ! Les éditions Panini sortent une collection centrée sur les Avengers et leur longévité certaine malgré de multiples changements d'équipes de héros . Pour ce tome 1 , c'est la naissance du groupe qui est censée concurrencer la Distinguée Concurrence et sa Justice league . Un groupe resserré avec Iron Man , Thor , Hulk, La guêpe et Antman . Notez l'absence de , pardon , du Captain America , toujours congelé et en passe d'être découvert par nos héros dans ce titre justement . Vous allez assister à son réveil et dans quelles conditions l'équipe va le trouver . Un moment important de la galaxie Marvel , s'il en est ! Vous lirez aussi dans ces pages les ennuis de Bruce Banner , toujours scindé entre son homologue destructeur parfois incontrôlable ,et le chercheur aspirant à la paix et du repos . C'est d'ailleurs à l'occasion d'un déchainement de violence de Hulk , influencé par Loki , que l'équipe va se regrouper et agir ensemble . Mais , "Avengers, rassemblement" n'est pas encore né , il faudra être patient 😉 . Namor sera aussi présent et cherchera à faire alliance avec un des héros pour de bien sombres desseins . Une succession de scénarios orchestrés par Stan Lee, ainsi que des dialogues sentant bons la belle époque et ces punchlines qui semblent naïves de nos jours certes , mais que l'on ne peut s'empêcher de lire en esquissant un sourire . La ligne claire de Kirby sonne aussi comme une madeleine de Proust , à l'heure de quantités de comics dessinés sur ordinateurs et tablettes . Le mouvement est présent dans les cases , les combats sont dynamiques et ne remplissent pas les pages dans une confusion totale .C'est une bonne entrée en matière pour les curieux qui n'ont pas peur de remonter le temps . Preuve en est que cette parution en 1963 a des allures "d'éternel" : le scénario de Avengers premier du nom du MCU est grandement inspiré de cette histoire 😉 PS: Toutes les couvertures sont signées par l'immense Alex Ross ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/avengers-la-collection-anniversaire-tome-1/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Kevin Nivek

    Avengers , les origines

    Jack Kirby et Stan Lee , ça sent bon l'âge d'or des comics des années 60 cette affaire ! Les éditions Panini sortent une collection centrée sur les Avengers et leur longévité certaine malgré de multiples changements d'équipes de héros . Pour ce tome 1 , c'est la naissance du groupe qui est censée concurrencer la Distinguée Concurrence et sa Justice league . Un groupe resserré avec Iron Man , Thor , Hulk, La guêpe et Antman . Notez l'absence de , pardon , du Captain America , toujours congelé et en passe d'être découvert par nos héros dans ce titre justement . Vous allez assister à son réveil et dans quelles conditions l'équipe va le trouver . Un moment important de la galaxie Marvel , s'il en est ! Vous lirez aussi dans ces pages les ennuis de Bruce Banner , toujours scindé entre son homologue destructeur parfois incontrôlable ,et le chercheur aspirant à la paix et du repos . C'est d'ailleurs à l'occasion d'un déchainement de violence de Hulk , influencé par Loki , que l'équipe va se regrouper et agir ensemble . Mais , "Avengers, rassemblement" n'est pas encore né , il faudra être patient 😉 . Namor sera aussi présent et cherchera à faire alliance avec un des héros pour de bien sombres desseins . Une succession de scénarios orchestrés par Stan Lee, ainsi que des dialogues sentant bons la belle époque et ces punchlines qui semblent naïves de nos jours certes , mais que l'on ne peut s'empêcher de lire en esquissant un sourire . La ligne claire de Kirby sonne aussi comme une madeleine de Proust , à l'heure de quantités de comics dessinés sur ordinateurs et tablettes . Le mouvement est présent dans les cases , les combats sont dynamiques et ne remplissent pas les pages dans une confusion totale .C'est une bonne entrée en matière pour les curieux qui n'ont pas peur de remonter le temps . Preuve en est que cette parution en 1963 a des allures "d'éternel" : le scénario de Avengers premier du nom du MCU est grandement inspiré de cette histoire 😉 PS: Toutes les couvertures sont signées par l'immense Alex Ross !
  7. N’est pas Murena ou les aigles de Rome , qui veut ! Murena quel chef d’œuvre 🤩
  8. On est que tous les deux à suivre cette série ?
  9. Et voilà , clap de fin pour cette aventure débutée en 2018 par Gaet's et Julien Monier 😞 . Je suis partagé entre la tristesse de la voir s'arrêter et la joie de visualiser enfin l'ensemble du scénario à tiroirs avec toutes les révélations scénaristiques . On imagine Gaet's devant un tableau noir avec les visages des protagonistes liés entre eux par un fil conducteur , tous interconnectés ! Avant d'aborder cet ultime tome, j'ai pris soin de relire les 5 précédents et bien m'en a pris . Tous les détails vus auparavant , comme : Qui est sous cette capuche ? Qui voit-on au fond de la rue ? A qui est cette main ? etc .... Tout ceci prend forme et se révèle au fil des tomes pour notre plus grand plaisir . Et qui de mieux pour conclure notre saga avec chaque titre lié à un personnage , que Eugène ? Ce grand gaillard gorgé de défauts (raciste , maltraitant les plus faibles , violent , alcoolique etc ...) n'en reste pas moins attachant avec ses colères et autres prises de décisions grotesques . Un vrai personnage des frères Cohen . D'ailleurs si vous prêtez bien attention , de nombreuses références à la culture pop jalonnent cette histoire , notamment une sur ce grand film , The big Lebowski .Les dialogues , toujours incisifs et fleuris se complaisent dans l'humour noir . Je ne peux rien vous divulguer , mais sachez que l'on est dans la même ligne que les opus précédents avec une intensité dramatique s'intensifiant ainsi que de nombreuses révélations . Chaque destin a trouvé son chemin et tout a une fin , comme cette saga en 6 tomes hautement recommandable .Un grand coup de coeur pour cet ultime tome et pour l'ensemble de la saga ! Messieurs , votre association de bienfaiteurs est attendue au tournant pour de nouvelles aventures ! Vous pouvez prolonger le plaisir avec un jeu de société sorti à cette occasion et reprenant le principe de cette histoire pas comme les autres . PS : Je me dois de les contredire sur un fait : Oasis est un des plus grands groupes de rock au monde 😉
  10. Titre de l'album : RIP tome 6 - Eugène, toutes les bonnes choses ont une fin Scenariste de l'album : Gaet's Dessinateur de l'album : Julien Monier Coloriste : Julien Monier Editeur de l'album : Petit à petit Note : Résumé de l'album : Ils nous bouffent notre pain. Ils piquent nos gagne-pains. Des pains dans la tronche, c'est tout ce qu'ils méritent ! Comment ça, faut que j'me calme !? Vous savez à qui vous avez affaire ? Je suis Eugène ! Et il est pas né celui qui va me dire ce que je dois faire ou pas faire. Je me suis pas tapé des mois de mitard pour qu'une fois dehors on vienne me faire chier. Et pas question que je paie à cause de celui qui a chouravé cette maudite bague. Faut que je la retrouve, ainsi je serai enfin blanc comme neige. Après tout, ne dit-on pas que toutes les bonnes choses ont une fin ? Critique : Et voilà , clap de fin pour cette aventure débutée en 2018 par Gaet's et Julien Monier 😞 . Je suis partagé entre la tristesse de la voir s'arrêter et la joie de visualiser enfin l'ensemble du scénario à tiroirs avec toutes les révélations scénaristiques . On imagine Gaet's devant un tableau noir avec les visages des protagonistes liés entre eux par un fil conducteur , tous interconnectés ! Avant d'aborder cet ultime tome, j'ai pris soin de relire les 5 précédents et bien m'en a pris . Tous les détails vus auparavant , comme : Qui est sous cette capuche ? Qui voit-on au fond de la rue ? A qui est cette main ? etc .... Tout ceci prend forme et se révèle au fil des tomes pour notre plus grand plaisir . Et qui de mieux pour conclure notre saga avec chaque titre lié à un personnage , que Eugène ? Ce grand gaillard gorgé de défauts (raciste , maltraitant les plus faibles , violent , alcoolique etc ...) n'en reste pas moins attachant avec ses colères et autres prises de décisions grotesques . Un vrai personnage des frères Cohen . D'ailleurs si vous prêtez bien attention , de nombreuses références à la culture pop jalonnent cette histoire , notamment une sur ce grand film , The big Lebowski .Les dialogues , toujours incisifs et fleuris se complaisent dans l'humour noir . Je ne peux rien vous divulguer , mais sachez que l'on est dans la même ligne que les opus précédents avec une intensité dramatique s'intensifiant ainsi que de nombreuses révélations . Chaque destin a trouvé son chemin et tout a une fin , comme cette saga en 6 tomes hautement recommandable .Un grand coup de coeur pour cet ultime tome et pour l'ensemble de la saga ! Messieurs , votre association de bienfaiteurs est attendue au tournant pour de nouvelles aventures ! Vous pouvez prolonger le plaisir avec un jeu de société sorti à cette occasion et reprenant le principe de cette histoire pas comme les autres . PS : Je me dois de les contredire sur un fait : Oasis est un des plus grands groupes de rock au monde 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/rip-tome-6-eugene-toutes-les-bonnes-choses-ont-une-fin/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Tim Probert , l'auteur du remarqué Lightfall ne s'est pas trompé en conseillant vivement ce roman graphique de Jason Pamment . Auteur et illustrateur , il réalise de l'animation ainsi que des jeux vidéos . Et cela se ressent très rapidement à travers une narration fluide et un graphisme très "animé" . Des visages ronds et expressifs , des couleurs numériques agréables et surtout un sens du découpage percutant ! On tourne les pages en suivant la progression des personnages et l'impression d'être immergé dans un dessin-animé est réelle . Un régal pour les yeux ! Nous suivons donc Ambre , vivant dans le monde des humains bien trop grands pour lui , qui est seul et pris d'un profond désir d'apprendre . Sa rencontre avec une tortue géante va le mener vers une île étrange où d'autres "enfants" comme lui fréquentent une école . Son rêve se réalise mais l'auteur ne lui rend pas la tâche facile , car être nouveau dans une école n'est pas de tout repos . On est tous passé par là ! Nouer de nouvelles amitiés devient un chemin semé d'embûches . De plus , de curieux tentacules d'eau de mer s'approchent de lui et cherchent à entrer en contact . Ami , ennemi ? Les aventures d'Ambre peuvent commencer dans cette île pas comme les autres , avec un professeur et une faune locale , assez surprenante . Vous n'êtes pas au bout de vos surprises avec cette histoire complète qui se lit avec émerveillement , et à tout âge 😉
  12. Titre de l'album : Ambre et l'île des créatures perdues Scenariste de l'album : Jason Pamment Dessinateur de l'album : Jason Pamment Coloriste : Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : Ambre est un tout petit garçon dans un monde immense . Escorté à travers l'océan par sa gardienne , Lua , une tortue de mer géante , Ambre peut enfin fréquenter une école à sa taille . Alors qu'il s'efforce de trouver sa place , il se retrouve au coeur d'un mystère . Un étrange monstre des profondeurs menace tout ce qui lui est cher ! Critique : Tim Probert , l'auteur du remarqué Lightfall ne s'est pas trompé en conseillant vivement ce roman graphique de Jason Pamment . Auteur et illustrateur , il réalise de l'animation ainsi que des jeux vidéos . Et cela se ressent très rapidement à travers une narration fluide et un graphisme très "animé" . Des visages ronds et expressifs , des couleurs numériques agréables et surtout un sens du découpage percutant ! On tourne les pages en suivant la progression des personnages et l'impression d'être immergé dans un dessin-animé est réelle . Un régal pour les yeux ! Nous suivons donc Ambre , vivant dans le monde des humains bien trop grands pour lui , qui est seul et pris d'un profond désir d'apprendre . Sa rencontre avec une tortue géante va le mener vers une île étrange où d'autres "enfants" comme lui fréquentent une école . Son rêve se réalise mais l'auteur ne lui rend pas la tâche facile , car être nouveau dans une école n'est pas de tout repos . On est tous passé par là ! Nouer de nouvelles amitiés devient un chemin semé d'embûches . De plus , de curieux tentacules d'eau de mer s'approchent de lui et cherchent à entrer en contact . Ami , ennemi ? Les aventures d'Ambre peuvent commencer dans cette île pas comme les autres , avec un professeur et une faune locale , assez surprenante . Vous n'êtes pas au bout de vos surprises avec cette histoire complète qui se lit avec émerveillement , et à tout âge 😉 Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ambre-et-l-le-des-cr-atures-perdues/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Kevin Nivek

    Parlottes BD

    Vous avez tous lu Esteban j'espère !!!
  14. Je comprends @VladNirky, mais comme je disais , j'ai pas tant accroché que ça . Je me souviens je les matais quand je faisais les nuits en maison de retraite durant mes études ^^
  15. C'est une excellente idée de réaliser un essai graphique sur ce thème qui, in fine , n'est pas si pathologique . La société patriarcale l'a rendu "particulier" , en atteste cette déclaration de David Reuben (en 1969) , un médecin américain décrivant la ménopause : "Pas vraiment homme , pas non plus femme fonctionnelle , ces individus vivent dans un monde d'intersexe . Ayant épuisée leurs ovaires , elles ont épuisé leur utilité en tant qu'être humain" . Oui du temps est passé depuis ,mais avouez que c'est une sacrée ignominie que cette définition ! Marie Pavlenko a pris le sujet à bras le corps (pas le corps de l'utérus hein 🙂 ) en imaginant cette BD avec une jeune auteure Joséphine Onteniente ; comme une discussion entre amies concernées , liée en parallèle à une femme en début de ménopause découvrant à travers un "train fantôme" les différents symptômes que cela procure . Le graphisme change selon les lieux , donnant du dynamisme au récit . Le petit train avance en changeant de décors selon les manifestations physiques et psychiques éprouvées par les femmes . Les auteures s'appuient sur des études concrètes distillées au grès des discussions et intègrent de l'humour afin de dédramatiser . Car là est bien le sujet : non les femmes ménopausées ne deviennent pas invisibles en société , même si elles sont peu présentes dans les médias (cinéma et autres) ; elles ne deviennent pas non plus laides ou inutiles etc .... On apprend ainsi que les orcs femelles font partie des rares mammifères à être ménopausées et deviennent des leaders de meutes car elles ont le savoir et l'expérience ! Je vous recommande par ailleurs la mini-interview en début d'album où l'on demande à des hommes de tout âge une définition de la ménopause ! Bref , une mine d'infos que cette BD . A lire pour tous les sexes , tous les âges et à se prêter au travail !
  16. Titre de l'album : Moi, je veux être une sorcière Scenariste de l'album : Marie Pavlenko Dessinateur de l'album : Joséphine Onteniente Coloriste : Editeur de l'album : Bayard Note : Résumé de l'album : Parce qu'elle a perdu la capacité à donner la vie, la femme ménopausée devient un rebut à écarter du coeur de la vie et de la cité, un corps inutile, périmé. Sa place ? Effacée. Son vécu ? Le Grand méchant tabou. Il est temps de briser cette vision éculée. Sans faux-semblant et avec humour, cet essai graphique décortique et dédramatise la période de l'arrivée de la ménopause, et tente de comprendre pourquoi la femme de 50 ans disparaît des radars dans les sociétés occidentales. Une histoire patriarcale à renverser cul par-dessus tête pour mieux vivre, pour exister. Critique : C'est une excellente idée de réaliser un essai graphique sur ce thème qui, in fine , n'est pas si pathologique . La société patriarcale l'a rendu "particulier" , en atteste cette déclaration de David Reuben (en 1969) , un médecin américain décrivant la ménopause : "Pas vraiment homme , pas non plus femme fonctionnelle , ces individus vivent dans un monde d'intersexe . Ayant épuisée leurs ovaires , elles ont épuisé leur utilité en tant qu'être humain" . Oui du temps est passé depuis ,mais avouez que c'est une sacrée ignominie que cette définition ! Marie Pavlenko a pris le sujet à bras le corps (pas le corps de l'utérus hein 🙂 ) en imaginant cette BD avec une jeune auteure Joséphine Onteniente ; comme une discussion entre amies concernées , liée en parallèle à une femme en début de ménopause découvrant à travers un "train fantôme" les différents symptômes que cela procure . Le graphisme change selon les lieux , donnant du dynamisme au récit . Le petit train avance en changeant de décors selon les manifestations physiques et psychiques éprouvées par les femmes . Les auteures s'appuient sur des études concrètes distillées au grès des discussions et intègrent de l'humour afin de dédramatiser . Car là est bien le sujet : non les femmes ménopausées ne deviennent pas invisibles en société , même si elles sont peu présentes dans les médias (cinéma et autres) ; elles ne deviennent pas non plus laides ou inutiles etc .... On apprend ainsi que les orcs femelles font partie des rares mammifères à être ménopausées et deviennent des leaders de meutes car elles ont le savoir et l'expérience ! Je vous recommande par ailleurs la mini-interview en début d'album où l'on demande à des hommes de tout âge une définition de la ménopause ! Bref , une mine d'infos que cette BD . A lire pour tous les sexes , tous les âges et à se prêter au travail ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/moi-je-veux-etre-une-sorciere/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Oui , j'allais dire que Batlestar a un peu vieilli , j'avais vu 2 ou 3 saisons perso , et j'ai jamais compris ce tel engouement !
  18. Kevin Nivek

    Au coeur des solitudes

    Que d'émerveillement à la lecture de cette aventure (plus qu'une autobiographie) de John Muir ! Lomig m'avait déjà saisi par la beauté de son dessin avec cette merveille qu'est Dans la forêt ; il récidive ici avec ce périple dans les gigantesques forêts et montagnes américaines . Son trait fin d'une élégance rare nous offre des pages sublimes , que l'on tourne dans un état contemplatif . Ici , nul besoin de couleurs , il dessine tellement bien les fleurs et autres arbres majestueux , que votre esprit associera les nuances qu'il désire . Préparez-vous donc à voyager aux côtés de John Muir (Ecossais de naissance comme son nom l'indique) , pionniers des vastes étendues nord-américaines . Suite à un accident dans la scierie de son père qui va lui ôter la vue , il va réaliser pleinement la voie qu'il désire entreprendre . Elle s'éloigne grandement de ce travail dangereux et harassant ! Retrouvant l'usage d'un oeil sur deux (l'autre étant voilé) , il part avec quelques sous en poche à la découverte du monde sauvage et végétal , son premier amour d'enfance . Un périple de plusieurs centaines de kilomètres ponctué d'observations, méditations et d'écrits pour une ode à la nature . Chaque observation d'une fleure ou d'un canyon , voire du début de la déforestation orchestrée par l'homme , lui donne sujet à réflexion . Ses rencontres l'enrichissent aussi , et il peut arriver qu'il soit perçu comme un original dans cette Amérique sortant tout juste de ce douloureux conflit qu'est la guerre de sécession . Au grès des pages , on découvre ainsi de riches propriétaires , d'anciens esclaves affranchis , des indiens , des cowboys etc .... Toutes ces rencontres donnent leur vision du monde à notre aventurier en herbe qui se nourrit de ces échanges tout en gardant ses distances . C'est là un paradoxe de John Muir, humaniste mais préférant la solitude dans laquelle il trouve de la sérénité et du recueil . La magnifique édition est enrichie par des annexes en fin d'ouvrage sur sa vie qui ne s'est pas arrêtée aux derniers dessins de Lomig . Il a effectué de nombreux autres voyages dans le monde entier , a fondé une famille et même passé une nuit à la belle étoile avec Roosvelt dans les montagnes . Ce dernier étant curieux de connaître l'homme derrière ses publications botaniques (entre autres) . Des photographies complètent ce dossier ainsi qu'une liste de livres sur sa vie . Je ne peux que vous recommander cette lecture , ainsi que Dans la forêt , paru en édition poche au mois de mai 😉
  19. Titre de l'album : Au coeur des solitudes Scenariste de l'album : Lomig Dessinateur de l'album : Lomig Coloriste : Lomig Editeur de l'album : Sarbacane Note : Résumé de l'album : 1867, une scierie tourne à plein régime dans un bruit effroyable quand soudain, des ouvriers courent secourir un homme à terre. Il s'est blessé gravement aux yeux. John Muir a déjà 29 ans et il est confiné dans une chambre obscure : il est probable qu'il restera aveugle. Mais miraculeusement, après des mois d'une convalescence quasi mystique, il recouvre la vue. C'est décidé, il va tout quitter et embrasser son rêve de toujours : partir plein Sud à la rencontre de la vie sauvage. Armé de son seul courage, de sa jeunesse, d'une loupe et d'une presse botanique, il parcourra ainsi des centaines de kilomètres, à pied de l'Indiana à la Floride. Imaginez une nature sauvage presque inviolée, où seuls rôdent quelques dangereux soldats du Sud en déshérence et d'anciens esclaves jetés hors des anciennes plantations... Critique : Que d'émerveillement à la lecture de cette aventure (plus qu'une autobiographie) de John Muir ! Lomig m'avait déjà saisi par la beauté de son dessin avec cette merveille qu'est Dans la forêt ; il récidive ici avec ce périple dans les gigantesques forêts et montagnes américaines . Son trait fin d'une élégance rare nous offre des pages sublimes , que l'on tourne dans un état contemplatif . Ici , nul besoin de couleurs , il dessine tellement bien les fleurs et autres arbres majestueux , que votre esprit associera les nuances qu'il désire . Préparez-vous donc à voyager aux côtés de John Muir (Ecossais de naissance comme son nom l'indique) , pionniers des vastes étendues nord-américaines . Suite à un accident dans la scierie de son père qui va lui ôter la vue , il va réaliser pleinement la voie qu'il désire entreprendre . Elle s'éloigne grandement de ce travail dangereux et harassant ! Retrouvant l'usage d'un oeil sur deux (l'autre étant voilé) , il part avec quelques sous en poche à la découverte du monde sauvage et végétal , son premier amour d'enfance . Un périple de plusieurs centaines de kilomètres ponctué d'observations, méditations et d'écrits pour une ode à la nature . Chaque observation d'une fleure ou d'un canyon , voire du début de la déforestation orchestrée par l'homme , lui donne sujet à réflexion . Ses rencontres l'enrichissent aussi , et il peut arriver qu'il soit perçu comme un original dans cette Amérique sortant tout juste de ce douloureux conflit qu'est la guerre de sécession . Au grès des pages , on découvre ainsi de riches propriétaires , d'anciens esclaves affranchis , des indiens , des cowboys etc .... Toutes ces rencontres donnent leur vision du monde à notre aventurier en herbe qui se nourrit de ces échanges tout en gardant ses distances . C'est là un paradoxe de John Muir, humaniste mais préférant la solitude dans laquelle il trouve de la sérénité et du recueil . La magnifique édition est enrichie par des annexes en fin d'ouvrage sur sa vie qui ne s'est pas arrêtée aux derniers dessins de Lomig . Il a effectué de nombreux autres voyages dans le monde entier , a fondé une famille et même passé une nuit à la belle étoile avec Roosvelt dans les montagnes . Ce dernier étant curieux de connaître l'homme derrière ses publications botaniques (entre autres) . Des photographies complètent ce dossier ainsi qu'une liste de livres sur sa vie . Je ne peux que vous recommander cette lecture , ainsi que Dans la forêt , paru en édition poche au mois de mai 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/au-coeur-des-solitudes?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. See , on a beaucoup aimé nous aussi , la S3 baisse en revanche ; mais la S1 , quel régal !
  21. Tu verras les saisons suivantes sont mieux , niveau cheap 😉
  22. Ouf c’était tendu mais c’est passé 😅
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