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Kevin Nivek

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Tout ce qui a été posté par Kevin Nivek

  1. Kevin Nivek

    La chute , tome 3

    Je sais que tu suis cette série aussi , j’ai pensé à toi 😅
  2. Tu as lu le pitch ? J’ai un peu de mal avec ces quotas imposés qui n’amènent rien au récit .
  3. Titre de l'album : La chute , tome 3 Scenariste de l'album : Jared Muralt Dessinateur de l'album : Jared Muralt Coloriste : Jared Muralt Editeur de l'album : Futuropolis Note : Résumé de l'album : À la suite de la mort de sa femme, Liam décide de fuir Berne en compagnie de ses deux enfants, Max et Sophia. Et un bébé abandonné. Ils espèrent trouver du réconfort à la montagne. Là, de nouveaux dangers les guettent. Différentes fractions se combattent. À la faveur d'une attaque, le père et ses enfants sont séparés. Que devient Liam ? Restée avec un groupe de rebelles, Sophia est mise au courant d'un nouveau péril : des fantômes. Mais qu'en est-il vraiment ? Les enfants parlent même d'un dinosaure. L'isolement tournerait-il à la folie ?Toujours aussi proche de notre actualité, Jared Muralt réussi à utiliser cette fiction pour nous inviter à la réflexion sur de réels problèmes de société, de santé, de politique et d'économie. Critique : Dire que j'attendais cette sortie avec impatience est un euphémisme , tant cette série est intéressante . Certes le "collapsing" est un sujet largement utilisé dans divers médias , mais l'auteur suisse parvient à rendre le sien tellement réaliste . On sent une profonde étude sociale réalisée en amont des scénarios de chaque tome . Les bouleversements occasionnés amènent de nouveaux rebondissements qui semblent logiques , une fois lus . Les protagonistes traversent des territoires et découvrent un début de refonte totale de la société , avec des groupes retranchés protégeant leurs ressources ; et d'autres plus ouverts à l'accueil de réfugiés . Une société éclatée ! Nous retrouvons donc Sophie et son frère séparés de leur père , suite au final haletant du tome 2 . L'auteur impose un ton plus calme en début de lecture , avec les couleurs vertes de la forêt qu'ils traversent à la recherche d'abris et de nourriture . Il soigne les décors , mais je lui reproche toujours le traitement des visages , un peu trop simplistes et sans véritables traits d'expressions . Les interactions entre les protagonistes se complexifient et la tension régnante ne retombe pas vraiment malgré des moments d'accalmie . Les besoins primaires sont mis en exergue , comme dans les précédents tomes . Sophie va prendre de l'importance et se découvrir des talents cachés au cours des nombreuses péripéties jalonnant son parcours . Mais au final , on avance pas trop , et ce tome se comporte comme un intermédiaire en attendant le suivant . Il semble nécessaire de relire les deux premiers avant cette lecture pour mieux situer le récit . Un bon tome , en attendant mieux de la part du suisse qui ne parle pas français et s'en veut 🙂 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-chute-tome-3/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Kevin Nivek

    La chute , tome 3

    Dire que j'attendais cette sortie avec impatience est un euphémisme , tant cette série est intéressante . Certes le "collapsing" est un sujet largement utilisé dans divers médias , mais l'auteur suisse parvient à rendre le sien tellement réaliste . On sent une profonde étude sociale réalisée en amont des scénarios de chaque tome . Les bouleversements occasionnés amènent de nouveaux rebondissements qui semblent logiques , une fois lus . Les protagonistes traversent des territoires et découvrent un début de refonte totale de la société , avec des groupes retranchés protégeant leurs ressources ; et d'autres plus ouverts à l'accueil de réfugiés . Une société éclatée ! Nous retrouvons donc Sophie et son frère séparés de leur père , suite au final haletant du tome 2 . L'auteur impose un ton plus calme en début de lecture , avec les couleurs vertes de la forêt qu'ils traversent à la recherche d'abris et de nourriture . Il soigne les décors , mais je lui reproche toujours le traitement des visages , un peu trop simplistes et sans véritables traits d'expressions . Les interactions entre les protagonistes se complexifient et la tension régnante ne retombe pas vraiment malgré des moments d'accalmie . Les besoins primaires sont mis en exergue , comme dans les précédents tomes . Sophie va prendre de l'importance et se découvrir des talents cachés au cours des nombreuses péripéties jalonnant son parcours . Mais au final , on avance pas trop , et ce tome se comporte comme un intermédiaire en attendant le suivant . Il semble nécessaire de relire les deux premiers avant cette lecture pour mieux situer le récit . Un bon tome , en attendant mieux de la part du suisse qui ne parle pas français et s'en veut 🙂
  5. Ma "passion" du wokisme a eu raison de moi pour ce film 😞 , donc , non pas vu , mais j'adore le réal . Sa série est pas mal d'ailleurs , même si elle traine un peu en longueur .
  6. Titre de l'album : La contrebande society de Forest Hills Scenariste de l'album : Dave Baker Dessinateur de l'album : Nicole Goux Coloriste : Nicole Goux Editeur de l'album : Sarbacane Note : Résumé de l'album : Quand Kelly, Brooke, Maggie et Melissa achètent le DVD piraté d'un film de Miyazaki, elles ne s'attendent pas à visionner un film d'animation intitulé Super Love XL où le personnage principal plus « olé olé » que « kawaï » est une humanoïde géante qui tire des rayons laser avec ses seins. Passé le choc - et la fascination il faut bien le dire - les filles montent un plan pour revendre des copies de ce film 20 dollars pièce aux garçons de leur école chrétienne très conservatrice. Au début, tout se passe comme prévu. Mais, victimes de leur succès, les amies sont vite obligées de produire de nouveaux DVD piratés, s'exposant toujours plus au risque de se faire pincer... Ajoutez à cela des conflits amoureux au sein de la bande de copines, et la situation ne tarde pas à devenir incontrôlable et explosive...! Critique : Le récit commence par une légère brise s'engouffrant dans une fenêtre ouverte . Puis , la "caméra" recule et nous fait découvrir où se situe cette lucarne : Une chambre d'ado , vide , désertée , sa résidente emportée par un vent de liberté , et emmenant avec elle ses complices vers l'inconnu au mépris des dangers . Le passage adolescent est une source d'inspiration tenace pour les scénaristes , et ils parviennent souvent à nous surprendre avec un regard différent . Il est question d'un lycée catholique avec un des nombreux courants qui composent la religion américaine , et de 4 filles ,amies , voire plus si affinités . Au sein d'un établissement assez prude , elles vont devoir composer avec cet enseignement (auquel elles croient) et leurs découvertes personnelles (corps , sexualité etc...) Ajoutez à cela qu'elles ne font pas parties des élèves "populaires" , bien au contraire , et qu'elles vont mettre la main sur un DVD compromettant . Au cours de leur virée nocturne , elles achètent un "animé" , mais ce dernier se révèle être plutôt coquin . Que faire avec cet enregistrement ?? De là va partir un cheminement de leurs vies aux très lourdes conséquences sur leur bande . Dans cette bichromie au trait léger , les auteurs proposent tous les poncifs de ce passage vers la vie adulte : populaire ou paumée , guerres intestines , coups vaches etc... La nouveauté vient d'un découpage immersif , avec des pages réservées aux présentations des protagonistes au moyen de bulles disséminées tout autour du visage sur un ton assez humoristique . Cela crée une ambiance de récit à tiroirs où des réponses sont divulguées bien après les interrogations sur tel ou tel fait . Le final est très bien amené et reste sur le même ton que l'introduction : énigmatique . Un seul (léger) reproche à ce beau livre à la couverture souple et à la forte pagination (224 pages) : un "potentiel relecture" amoindri . Mais cela reste une tragi-comédie ado à faire passer aux enfants de cet âge justement 🙂 Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-contrebande-society-de-forest-hills/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Le récit commence par une légère brise s'engouffrant dans une fenêtre ouverte . Puis , la "caméra" recule et nous fait découvrir où se situe cette lucarne : Une chambre d'ado , vide , désertée , sa résidente emportée par un vent de liberté , et emmenant avec elle ses complices vers l'inconnu au mépris des dangers . Le passage adolescent est une source d'inspiration tenace pour les scénaristes , et ils parviennent souvent à nous surprendre avec un regard différent . Il est question d'un lycée catholique avec un des nombreux courants qui composent la religion américaine , et de 4 filles ,amies , voire plus si affinités . Au sein d'un établissement assez prude , elles vont devoir composer avec cet enseignement (auquel elles croient) et leurs découvertes personnelles (corps , sexualité etc...) Ajoutez à cela qu'elles ne font pas parties des élèves "populaires" , bien au contraire , et qu'elles vont mettre la main sur un DVD compromettant . Au cours de leur virée nocturne , elles achètent un "animé" , mais ce dernier se révèle être plutôt coquin . Que faire avec cet enregistrement ?? De là va partir un cheminement de leurs vies aux très lourdes conséquences sur leur bande . Dans cette bichromie au trait léger , les auteurs proposent tous les poncifs de ce passage vers la vie adulte : populaire ou paumée , guerres intestines , coups vaches etc... La nouveauté vient d'un découpage immersif , avec des pages réservées aux présentations des protagonistes au moyen de bulles disséminées tout autour du visage sur un ton assez humoristique . Cela crée une ambiance de récit à tiroirs où des réponses sont divulguées bien après les interrogations sur tel ou tel fait . Le final est très bien amené et reste sur le même ton que l'introduction : énigmatique . Un seul (léger) reproche à ce beau livre à la couverture souple et à la forte pagination (224 pages) : un "potentiel relecture" amoindri . Mais cela reste une tragi-comédie ado à faire passer aux enfants de cet âge justement 🙂
  8. Lu et , pas entièrement convaincu . Un univers riche et innovant oui , malgré des querelles politiques assez convenues à la GOT . Mais le dessin qui passe du beau au passable voire bâclé parfois ! Duval réalise un meilleur taf sur sa série sf je trouve , mais il a un autre dessinateur 🙂 . Pas que je trouve le dessin nul , il est , irrégulier je dirais .
  9. et voilà , suite prévue : https://www.comicsblog.fr/45341-Teenage_Mutant_Ninja_Turtles__The_Last_Ronin_2_annoncee_officiellement_par_Kevin_eastman
  10. J’ai très hâte aussi , la BA m’a hypé grave ! Et puis il y a Eva Green 🤩
  11. Cela va de pair avec la nouvelle génération , le prix de l'immobilier augmente , donc la place disponible est chère ! Trop pour des étagères avec des bouquins dessus 🙂 Je me souviens de mes cours de socio , où l'on voyait la taille des chaînes hifi diminuer de plus en plus , en fonction de la taille des domiciles , plus petits aussi ^^
  12. J’essaye avec mes enfants mais ma fille est manga et mon fils , il aime pas lire ….
  13. Des éditeurs en tout cas c’est sur ! J’en reviens pas du nombre . Comment vivent-ils ?? Pour les comics je suis pas surpris , ça reste selon moi un marché de niches . Avant de venir ici je n’en connaissais pas ou peu , ou pire , je pensais qu’il n’y avait que du Marvel et du DC 😅. Je schématise mais ça reste la pensée d’un grand nombre de lecteurs français , à mon sens !
  14. Je me souviens pas mal du 2 moi pourtant 😉
  15. https://www.comicsblog.fr/45328-Batman__Beyond_the_White_Knight_de_Sean_Murphy_en_mai_2023_et_en_3_eeditions_chez_urban_Comics Le 5 mai 🙂
  16. Kevin Nivek

    Avery's blues

    C'est une très bonne idée de rééditer cette oeuvre passée peut-être inaperçue en 2016 . Première oeuvre de Tamarit , dessinatrice espagnole qui a depuis réalisé Géante ainsi que La louve boréale . Son dessin épuré et parfois même , naïf , prend toute sa mesure en décrivant cette odyssée vers le sud du pays . A la croisée des chemins , Avery rencontre le malin qui lui propose un pacte , et le voici en quête d'une âme pure afin de réaliser son rêve : devenir le plus grand bluesman . Ce n'est pas un hasard que l'on ait surnommé le blues , la musique du diable . Dans cette époque tourmentée des années 20 , la misère est omniprésente , surtout chez les afro-américains , touchés par l'alcool et vivant dans la crainte des exactions du fameux Ku Klux Klan .On peut aisément comprendre que cette voie musicale représentait pour eux une échappatoire au quotidien . Dans des cases au dessin simpliste , mais assez représentatif des paysages traversés , on suit la progression de Avery et Johnny , un jeune homme délaissé par ses parents . La pureté de Johnny est censée représenter cette route vers les succès que désire allègrement Avery . En route vers une nouvelle croisée des chemins (ou destin croisé pour chacun !) afin de livrer son agneau au diable , il va réaliser que tout n'est pas si aussi facile qu'il l'espérait . Les langues se délient et chacun des deux protagonistes va apprendre à se connaître et même se surprendre dans de lourds secrets inavoués . Les auteurs nous réservent de nombreux rebondissements au cours du récit , jusqu'à cette fin surprenante , mais qui donne l'impression que vous l'aviez vue venir . Le mieux étant de vous laisser emporter par les notes de blues , des paroles mélancoliques , et suivre Avery et Johnny dans leur long parcours jalonné de rencontres toutes plus enrichissantes que les autres , car permettant une réelle avancée dans leur vision du monde et leur propre reflet . Un véritable road-trip mélancolique .
  17. Kevin Nivek

    Avery's blues

    Titre de l'album : Avery's blues Scenariste de l'album : Angux Dessinateur de l'album : Nuria Tamarit Coloriste : Nuria Tamarit Editeur de l'album : Steinkis Note : Résumé de l'album : Mississipi, 1935... Son âme ? Pas assez pure, le Diable n'en veut pas. Mais s'il lui en fournit une meilleure, en lieu et place de la sienne, marché conclu. Voilà comment, accompagné du pauvre petit Johnny, Avery entamme un périple vers le Sud durant lequel les deux acolytes se débarrasseront de leurs carapaces et montreront la véritable couleur de leurs âmes. Critique : C'est une très bonne idée de rééditer cette oeuvre passée peut-être inaperçue en 2016 . Première oeuvre de Tamarit , dessinatrice espagnole qui a depuis réalisé Géante ainsi que La louve boréale . Son dessin épuré et parfois même , naïf , prend toute sa mesure en décrivant cette odyssée vers le sud du pays . A la croisée des chemins , Avery rencontre le malin qui lui propose un pacte , et le voici en quête d'une âme pure afin de réaliser son rêve : devenir le plus grand bluesman . Ce n'est pas un hasard que l'on ait surnommé le blues , la musique du diable . Dans cette époque tourmentée des années 20 , la misère est omniprésente , surtout chez les afro-américains , touchés par l'alcool et vivant dans la crainte des exactions du fameux Ku Klux Klan .On peut aisément comprendre que cette voie musicale représentait pour eux une échappatoire au quotidien . Dans des cases au dessin simpliste , mais assez représentatif des paysages traversés , on suit la progression de Avery et Johnny , un jeune homme délaissé par ses parents . La pureté de Johnny est censée représenter cette route vers les succès que désire allègrement Avery . En route vers une nouvelle croisée des chemins (ou destin croisé pour chacun !) afin de livrer son agneau au diable , il va réaliser que tout n'est pas si aussi facile qu'il l'espérait . Les langues se délient et chacun des deux protagonistes va apprendre à se connaître et même se surprendre dans de lourds secrets inavoués . Les auteurs nous réservent de nombreux rebondissements au cours du récit , jusqu'à cette fin surprenante , mais qui donne l'impression que vous l'aviez vue venir . Le mieux étant de vous laisser emporter par les notes de blues , des paroles mélancoliques , et suivre Avery et Johnny dans leur long parcours jalonné de rencontres toutes plus enrichissantes que les autres , car permettant une réelle avancée dans leur vision du monde et leur propre reflet . Un véritable road-trip mélancolique . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/avery-s-blues-247378/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Allez , je le prends avec le dernier tome de La chute et Colonisation t7 🙂
  19. Kevin Nivek

    Speedball

    Allez , un bon 4 1/2 alors 😉
  20. Aaaah , tu m'intéresses là , j'aime beaucoup ces auteurs en plus ! C'est un truc à garder ça non ?? C'est un one shot hein , pas de suite ni rien , un début , une fin ?
  21. Kevin Nivek

    Batman Catwoman

    Et celui-ci ? https://www.bdfugue.com/catwoman-lonely-city @poseidon2 ?
  22. Kevin Nivek

    Derniers Achats

    Il a l'air super intrigant et intéressant , tu nous diras ?
  23. Kevin Nivek

    Parlottes BD

    J'ai l'impression que Mourad a mis le paquet pour sa nouvelle maison d'édition ! https://www.actuabd.com/Angouleme-2023-Oxymore-la-nouvelle-maison-d-edition-creee-par-Mourad-Boudjellal
  24. Kevin Nivek

    L'amour & la mort

    J'ai été un peu refroidi par Spirales , mais celui-ci a l'air différent .
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