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Nickad

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Tout ce qui a été posté par Nickad

  1. Coucou, je suis une pauvre jeune fille qui est morte renversée par une voiture et voilà que je me réincarne dans le jeu vidéo auquel je jouais. Hélas : Il a fallu que je devienne la mega méchante de l’histoire, celle que tout le monde va détester et qui va mourir jeune !! Heureusement, grâce à mes connaissances du jeu, certains pensent que j’ai un don de clairvoyance, en plus hors de question de mal finir ! Alors voilà, je change mon destin et mes futurs anciens ennemis deviennent des alliés… Tout se passe bien pour moi et cela vaut mieux car je suis censée devenir la prochaine reine du pays. Ah une réincarnation dans un jeu vidéo !! Ça faisait longtemps… ou pas ! Plaisanteries mises à part, The most heretical last boss queen est un manga bien fait, agréable à lire et plutôt sympathique. Pour une fois, l’héroïne est entourée d’une famille aimante, même sa mère (la reine actuelle qui a aussi le donc de clairvoyance) qui s’était éloignée car elle avait vu le futur terrifiant de sa fille se repent sincèrement de ses agissements. Il y a un vrai souffle positif dans l’histoire. Mais il y a aussi des retournements de situation et de l’aventure ! Pour faire court, dans cette thématique c’est un bon début et je ne lui trouve pas vraiment de défaut, à part son titre à rallonge peut-être 😄. Au fait, avez-vous remarqué que toutes ces demoiselles censées devenir la « vilaine » ont des cheveux rouges ? je me demande s’il y a une signification particulière ou si c’est juste classe… Extrait
  2. Titre de l'album : The most heretical last boss queen from villainess to savior tome 1 Scenariste de l'album : TENICHI Dessinateur de l'album : MATSUURA Bunko Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Je me suis réincarnée en reine impitoyable d'un Otome Game !! J'empêcherai à tout prix la tragédie de se produire ! À huit ans, j'ai réalisé que je m'étais réincarnée en la future reine Pride, l'infâme boss final d'un otome game. Sa force de combat élevée et son intellect redoutable au service de plans diaboliques font d'elle la première princesse la plus puissante d'un royaume matriarcal. Après avoir semé le malheur autour d'elle, un avenir destructeur l'attend ! Attendez, ne vaudrait-il pas mieux que je meure ? Puisque c'est comme ça, je vais empêcher la ruine de s'abattre sur mon royaume et utiliser mon autorité et mes facultés cheatées pour sauver tout le monde ! Critique : Coucou, je suis une pauvre jeune fille qui est morte renversée par une voiture et voilà que je me réincarne dans le jeu vidéo auquel je jouais. Hélas : Il a fallu que je devienne la mega méchante de l’histoire, celle que tout le monde va détester et qui va mourir jeune !! Heureusement, grâce à mes connaissances du jeu, certains pensent que j’ai un don de clairvoyance, en plus hors de question de mal finir ! Alors voilà, je change mon destin et mes futurs anciens ennemis deviennent des alliés… Tout se passe bien pour moi et cela vaut mieux car je suis censée devenir la prochaine reine du pays. Ah une réincarnation dans un jeu vidéo !! Ça faisait longtemps… ou pas ! Plaisanteries mises à part, The most heretical last boss queen est un manga bien fait, agréable à lire et plutôt sympathique. Pour une fois, l’héroïne est entourée d’une famille aimante, même sa mère (la reine actuelle qui a aussi le donc de clairvoyance) qui s’était éloignée car elle avait vu le futur terrifiant de sa fille se repent sincèrement de ses agissements. Il y a un vrai souffle positif dans l’histoire. Mais il y a aussi des retournements de situation et de l’aventure ! Pour faire court, dans cette thématique c’est un bon début et je ne lui trouve pas vraiment de défaut, à part son titre à rallonge peut-être 😄. Au fait, avez-vous remarqué que toutes ces demoiselles censées devenir la « vilaine » ont des cheveux rouges ? je me demande s’il y a une signification particulière ou si c’est juste classe… Extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-most-heretical-last-boss-queen-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Nickad

    Valhallian the black iron tome 3

    C’est le moment de la grande offensive contre Kara, les troupes de guerriers errants dont fait partie Tetsujiro arrivent à se faufiler jusqu’à l’arbre monde mais au lieu de les attaquer par surprise, ils sont reçus comme s’ils étaient attendus. Devant la menace d’exterminer les Midgardiennes, Tetsujiro se rend, les romains ont prévus pour lui des jeux du cirque extrêmes où il devra enchainer les morts jusqu’à ce que le public se lasse. Un 3eme tome particulièrement violent où la majorité de l’histoire se déroule dans une arène dans l’affrontement entre Tetsujiro et Spartacus. On apprend cependant plusieurs choses concernant le statut des Einherjars, notamment qu’ils ne peuvent pas ressusciter indéfiniment et qu’il y a un prix à payer pour cela. L’histoire avance lentement et met plutôt l’accent sur les combats. Si le graphisme est convaincant et rend hommage aux guerriers, il manque cependant un peu d’intérêt sur le reste. A voir si la deuxième moitié (la série est finie en 6 tomes) amènera l’étincelle qui captivera le lecteur.
  4. Titre de l'album : Valhallian the black iron tome 3 Scenariste de l'album : MATSUBARA Toshimitsu Dessinateur de l'album : MATSUBARA Toshimitsu Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Un samouraï? surdoué au cœur de la bataille du Valhalla ! Après un combat spectaculaire face au champion de Kara, Tetsujiro et les autres guerriers errants poursuivent leur objectif : s'emparer de l'arbre monde dans l'espoir de retrouver la vie qu'ils menaient avant leur mort... Malheureusement, les Romains leur tendent une embuscade ! Grâce à Guan Yu, les Einherjar parviennent tout de même à entrer dans le bastion de la déesse... mais, contre toute attente, ils découvrent qu'un grand banquet a été préparé pour les accueillir ! Quel piège machiavélique est-ce que le général Crassus peut bien avoir imaginé ? Les armées les plus puissantes de l'Histoire s'affrontent en plein cœur du Valhalla... Toshimitsu Matsubara nous entraîne dans un récit épique au dessin et à la mise en scène vertigineuses ! Critique : C’est le moment de la grande offensive contre Kara, les troupes de guerriers errants dont fait partie Tetsujiro arrivent à se faufiler jusqu’à l’arbre monde mais au lieu de les attaquer par surprise, ils sont reçus comme s’ils étaient attendus. Devant la menace d’exterminer les Midgardiennes, Tetsujiro se rend, les romains ont prévus pour lui des jeux du cirque extrêmes où il devra enchainer les morts jusqu’à ce que le public se lasse. Un 3eme tome particulièrement violent où la majorité de l’histoire se déroule dans une arène dans l’affrontement entre Tetsujiro et Spartacus. On apprend cependant plusieurs choses concernant le statut des Einherjars, notamment qu’ils ne peuvent pas ressusciter indéfiniment et qu’il y a un prix à payer pour cela. L’histoire avance lentement et met plutôt l’accent sur les combats. Si le graphisme est convaincant et rend hommage aux guerriers, il manque cependant un peu d’intérêt sur le reste. A voir si la deuxième moitié (la série est finie en 6 tomes) amènera l’étincelle qui captivera le lecteur. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/valhallian-the-black-iron-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Nickad

    Scarlet secret

    Située dans un Japon antique, l’histoire revisite le mythe de la reine Himiko qui aurait réussi à rassembler dans un même peuple une grande partie de l’archipel. Sans avoir vocation à décrire une vérité historique, l’auteur s’est néanmoins documenté le plus possible pour écrire son récit. Vous trouverez à la fin du livre, la liste des ouvrages de référence. La légende dit qu’Himiko était une prêtresse qui avait des pouvoirs et c’est sur ce postulat que le récit est construit. Dans un petit village du royaume d’Himiko, les habitants vivent tranquillement de la récolte et de la chasse. Deux garçons, Yamato le fils du chef et Shiki l’orphelin aux yeux rouges sont amis depuis leur naissance et sont très proches. Mais le jour où Shiki est choisi pour être sacrifié pour assurer la prospérité au village, leurs destins basculent. L’auteur donne une véritable authenticité à son histoire, le lecteur est témoin de destins plus ou moins tragiques ancrés dans des coutumes ancestrales qui ne laissaient pas le choix à ceux qui étaient choisis. En plus, de l’attachement entre Shiki et Yamato et de leur très belle amitié, on assiste à de belles scènes du quotidien. Le graphisme est superbe et l’histoire est très intéressante.
  6. Nickad

    Scarlet secret

    Titre de l'album : Scarlet secret Scenariste de l'album : SERIZAWA Tomo Dessinateur de l'album : SERIZAWA Tomo Coloriste : Editeur de l'album : Taifu Note : Résumé de l'album : Yamato est en deuil. Son ami d'enfance Shiki a été offert en sacrifice lors d'une cérémonie ancestrale. Cette flamme qu'il n'a pas pu lui déclarer se transforme en une passion qui tourne peu à peu à l'obsession. Une fois adolescent, il parvient à pénétrer le palais impérial, normalement interdit aux hommes. Il apprend alors qu'on a laissé la vie sauve à Shiki pour qu'il hérite de pouvoirs surnaturels et qu'il règne sur le pays. Critique : Située dans un Japon antique, l’histoire revisite le mythe de la reine Himiko qui aurait réussi à rassembler dans un même peuple une grande partie de l’archipel. Sans avoir vocation à décrire une vérité historique, l’auteur s’est néanmoins documenté le plus possible pour écrire son récit. Vous trouverez à la fin du livre, la liste des ouvrages de référence. La légende dit qu’Himiko était une prêtresse qui avait des pouvoirs et c’est sur ce postulat que le récit est construit. Dans un petit village du royaume d’Himiko, les habitants vivent tranquillement de la récolte et de la chasse. Deux garçons, Yamato le fils du chef et Shiki l’orphelin aux yeux rouges sont amis depuis leur naissance et sont très proches. Mais le jour où Shiki est choisi pour être sacrifié pour assurer la prospérité au village, leurs destins basculent. L’auteur donne une véritable authenticité à son histoire, le lecteur est témoin de destins plus ou moins tragiques ancrés dans des coutumes ancestrales qui ne laissaient pas le choix à ceux qui étaient choisis. En plus, de l’attachement entre Shiki et Yamato et de leur très belle amitié, on assiste à de belles scènes du quotidien. Le graphisme est superbe et l’histoire est très intéressante. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/scarlet-secret?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Nickad

    Anal studies

    L’auteur a une vraie volonté de faire fi des tabous et de montrer que certaines pratiques ne sont pas forcément honteuses et qu’il s’agit seulement d’une sexualité différente. L’intérêt principal du livre, en plus de donner des conseils pratiques à ceux qui voudraient se lancer, est d’avoir un point de vue exclusivement féminin. Souvent et jusqu’à présent, les rapports « par derrière », étaient associés à des relations homosexuelles ou à des relations issues d’une certaine volonté masculine. Dans ce livre, il s’agit de quatre jeunes femmes, mariées ou non, ayant déjà eu des rapports classiques ou non qui s’intéressent à la « chose ». Celles qui ont déjà essayé parlent de leurs expériences et les autres de leurs fantasmes. Le message est clair, ce n’est pas parce que les femmes n’ont pas de prostate, qu’elles ne peuvent pas prendre du plaisir de cette façon-là ! Concernant le graphisme, il est plutôt agréable, pas de personnages difformes ou d’exagérations démesurées. Un petit vent de liberté pour un livre qui peut aussi servir de guide pratique.
  8. Nickad

    Anal studies

    Titre de l'album : Anal studies Scenariste de l'album : EMUA Dessinateur de l'album : EMUA Coloriste : Editeur de l'album : NihoNiba Note : Résumé de l'album : Ruka, Naru, Michiru et Tsuruko fréquentent la même salle de sport. Bien qu’elles soient d’âges différents, elles ont sympathisé et se rencontrent maintenant en dehors de la gym. Loin de toute présence masculine, leur parole se libère, et la franchise est monnaie courante… Aujourd’hui, elles parlent d’anal ! Qui a déjà essayé ? Est-ce que ça procure du plaisir ? Comment ça se passe ? Et quand les mots ne suffisent pas, rien de tel qu’une démonstration par l’exemple ! Car ces quatre amies ne sont pas très à cheval sur l’hétérosexualité, ni sur l’exclusivité… Critique : L’auteur a une vraie volonté de faire fi des tabous et de montrer que certaines pratiques ne sont pas forcément honteuses et qu’il s’agit seulement d’une sexualité différente. L’intérêt principal du livre, en plus de donner des conseils pratiques à ceux qui voudraient se lancer, est d’avoir un point de vue exclusivement féminin. Souvent et jusqu’à présent, les rapports « par derrière », étaient associés à des relations homosexuelles ou à des relations issues d’une certaine volonté masculine. Dans ce livre, il s’agit de quatre jeunes femmes, mariées ou non, ayant déjà eu des rapports classiques ou non qui s’intéressent à la « chose ». Celles qui ont déjà essayé parlent de leurs expériences et les autres de leurs fantasmes. Le message est clair, ce n’est pas parce que les femmes n’ont pas de prostate, qu’elles ne peuvent pas prendre du plaisir de cette façon-là ! Concernant le graphisme, il est plutôt agréable, pas de personnages difformes ou d’exagérations démesurées. Un petit vent de liberté pour un livre qui peut aussi servir de guide pratique. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/anal-studies?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Nickad

    L'empereur et le monstre

    Que faire de ce titre ? Où le classer ? On savait déjà que la catégorie yaoi était un peu fourre-tout ; du moment qu’il y a une vague romance entre deux hommes, le livre est épinglé BL (Boy’s love), mais cela ne signifie pas pour autant que c’est la thématique principale. L’empereur et le monstre en est un bon exemple, à moins que ce ne soit un exemple de livre fourre-tout… Car voyez-vous, il y a beaucoup de choses dans ce livre : un aspect plus ou moins historique, des réflexions psychologiques sur ce qui définit un bon souverain et sur ce qui fait un pays, du fantastique avec de vagues aspects mythologiques, un coup-d ’état, des combats et une romance… Beaucoup trop de choses pour un one-shot !! Du coup, il y a beaucoup de questions qui restent sans réponse, beaucoup de points qui ne sont pas développés. C’est comme si vous preniez un roman et que vous ne lisiez que le prologue, le chapitre au milieu et l’épilogue !! Une histoire non aboutie sans grand intérêt.
  10. Titre de l'album : L'empereur et le monstre Scenariste de l'album : AKABEKO Dessinateur de l'album : AKABEKO Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Dans le sous-sol de la cour impériale où le jeune empereur Tao passe ses journées, il y a un mausolée fermé, dont la rumeur dit qu'il est le lieu de repos des monstres. Tao a toujours été la marionnette du Premier ministre depuis sa naissance. Il ne parvient pas à obtenir un réel pouvoir dans le pays, et même un ami sur lequel il comptait a été tué dans un complot commandité par le Premier ministre. Désespéré, Tao entre dans un mausolée et ouvre le cercueil pour y trouver un grand homme aux cheveux blancs atypique... Critique : Que faire de ce titre ? Où le classer ? On savait déjà que la catégorie yaoi était un peu fourre-tout ; du moment qu’il y a une vague romance entre deux hommes, le livre est épinglé BL (Boy’s love), mais cela ne signifie pas pour autant que c’est la thématique principale. L’empereur et le monstre en est un bon exemple, à moins que ce ne soit un exemple de livre fourre-tout… Car voyez-vous, il y a beaucoup de choses dans ce livre : un aspect plus ou moins historique, des réflexions psychologiques sur ce qui définit un bon souverain et sur ce qui fait un pays, du fantastique avec de vagues aspects mythologiques, un coup-d ’état, des combats et une romance… Beaucoup trop de choses pour un one-shot !! Du coup, il y a beaucoup de questions qui restent sans réponse, beaucoup de points qui ne sont pas développés. C’est comme si vous preniez un roman et que vous ne lisiez que le prologue, le chapitre au milieu et l’épilogue !! Une histoire non aboutie sans grand intérêt. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-empereur-et-le-monstre?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Ah je vous l’avais annoncé, ce tome 7 est excellent !! Nina est accusée d’avoir voulu tuer le prince Seth, en attendant que ce dernier se réveille pour clarifier la situation, elle est envoyée en détention avec sa servante Anne. Le prince Yor l’accompagne également après son comportement pendant le tournoi. Seulement, la destination d’origine a été changée dans le plus grand secret et ils se retrouvent dans les terres du Nord dans la prison de Griffigeld, connue pour être impitoyable. Condamnés aux travaux forcés, leur chance de survie semble être faible. Pendant ce temps, Azur part secourir sa belle. L’histoire a toujours été bien, on ne va pas revenir dessus, d’ailleurs le manga a reçu plusieurs prix mérités. Les intrigues du palais et la rivalité qui existe entre Seth et ses frères est intéressante, de même que la rivalité entre Seth et Azur avec le cœur de Nina qui balance entre les deux. Mais ce 7e tome apporte un vent de nouveautés, d’abord, il y a un regain d’aventures, une arrivée en terre inconnue avec de nouveaux personnages dont celui de Sol Gina, un génie assez mystérieux. Ensuite, il y a la véritable identité de Nina, des bribes d’éléments qui nous font nous poser des questions. Un rythme endiablé pour ce nouveau tome plein de rebondissements ! La série est toujours en cours au Japon, 11 tomes… Vivement la suite !
  12. Titre de l'album : Nina du royaume aux étoiles tome 7 Scenariste de l'album : RIKACHI Dessinateur de l'album : RIKACHI Coloriste : Editeur de l'album : Michel Lafon Note : Résumé de l'album : Prix Kodansha du meilleur shojo 2022 Prix Japannecy 2023 Le destin d'une jeune orpheline devenue princesse. Condamnés aux travaux forcés et envoyés à la prison de Griffigeld, Nina, sa servante Anne et le prince Yor comprennent qu'ils n'en ressortiront probablement pas vivants. Et face au traitement que lui réservent les gardes, le jeune prince envenime une situation déjà critique. Heureusement, il peut compter sur le courage de Nina pour le défendre. Une alliance peut-elle se forger dans la plus glaciale des prisons ? Critique : Ah je vous l’avais annoncé, ce tome 7 est excellent !! Nina est accusée d’avoir voulu tuer le prince Seth, en attendant que ce dernier se réveille pour clarifier la situation, elle est envoyée en détention avec sa servante Anne. Le prince Yor l’accompagne également après son comportement pendant le tournoi. Seulement, la destination d’origine a été changée dans le plus grand secret et ils se retrouvent dans les terres du Nord dans la prison de Griffigeld, connue pour être impitoyable. Condamnés aux travaux forcés, leur chance de survie semble être faible. Pendant ce temps, Azur part secourir sa belle. L’histoire a toujours été bien, on ne va pas revenir dessus, d’ailleurs le manga a reçu plusieurs prix mérités. Les intrigues du palais et la rivalité qui existe entre Seth et ses frères est intéressante, de même que la rivalité entre Seth et Azur avec le cœur de Nina qui balance entre les deux. Mais ce 7e tome apporte un vent de nouveautés, d’abord, il y a un regain d’aventures, une arrivée en terre inconnue avec de nouveaux personnages dont celui de Sol Gina, un génie assez mystérieux. Ensuite, il y a la véritable identité de Nina, des bribes d’éléments qui nous font nous poser des questions. Un rythme endiablé pour ce nouveau tome plein de rebondissements ! La série est toujours en cours au Japon, 11 tomes… Vivement la suite ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/nina-du-royaume-aux-etoiles-tome-7?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Nickad

    Prochaines sorties...

    moi je n'ai aucun dragon ball et ça ne me manque pas... Concernant la colorisation des mangas, ça se discute, je trouve en général que ça n'en vaut pas la peine, notre imagination fait très bien le travail et parfois on est déçu des choix du coloriste
  14. Nickad

    Fleur du désert tome 1

    Une troupe des forces terrestres d'autodéfense japonaise stationnant à Djibouti est appelée pour une mission de sauvetage auprès d'un hélicoptère qui s'est craché à 70 km de là en plein désert. Une équipe de douze soldats et trois véhicules sont envoyés, sur place la situation est compliquée, ils décident de camper afin de mener les opérations de rapatriement des corps le lendemain. Pendant la nuit, trois femmes font irruption demandant de l'aide. Elles sont poursuivis par le clan des Warzden qui cherche à éradiquer leur clan, les Biyomal-Kadang. Les japonais ont à peine le temps de prendre une décision qu'ils se font attaquer. Les survivants, sept soldats et une femme, doivent alors s'enfuir dans les montagnes et trouver une solution pour rallier leur camp. L'action se déroule au cœur d'une Afrique sans pitié, que ce soit par la nature du climat (désert et fortes températures) ou par ses habitants. Confrontés à ça, il y a les soldats japonais, des membres des forces terrestres d'autodéfense qui n'ont jamais combattus de leur vie. L'histoire met donc face à face deux peuples très différents. D'un côté les clans africains engagés dans des guerres civiles sans fin et adeptes de la purification ethnique : des hommes sans pitié et prêts à tout. De l'autre, des japonais formés aux arts martiaux et au maniement des armes mais qui ne sont pas de véritables soldats (le Japon n'a pas d'armée) et dont les missions sont le sauvetage et la lutte contre la piraterie. Des hommes qui se sont engagés pour aider et protéger et non pour combattre et tuer. Devant une situation où leurs vies sont en jeu, ils vont devoir prendre des décisions qui vont avoir un impact fort par rapport à leurs valeurs. Le manga met aussi très bien en avant le désert, dur et impitoyable. Fleur du désert est un manga captivant, on est pris par le récit dans un rythme effréné où le temps de respirer peut tout changer. Servi par un scénario bien ficelé (le scénariste est également l'auteur du roman éponyme qui a reçu le prix du meilleur roman au concours Mystery Writers) et illustré par la très talentueuse Ikumi Fukuda, connue aussi sous le pseudonyme de Kotteri (manga Veil), Fleur du désert ne pourra pas vous laisser indifférent. 3 tomes en cours.
  15. Titre de l'album : Fleur du désert tome 1 Scenariste de l'album : TSUKIMURA Ryoe Dessinateur de l'album : FUKUDA Ikumi (Kotteri) Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : Le lieutenant Tomonaga, membre des Forces d'auto-défense japonaises, est en poste à Djibouti. Lui et 11 autres hommes sont envoyés en mission de secours, en plein désert, loin de leur base. Mais prise entre les feux des conflits politiques de la région, la mission vire au cauchemar... Critique : Une troupe des forces terrestres d'autodéfense japonaise stationnant à Djibouti est appelée pour une mission de sauvetage auprès d'un hélicoptère qui s'est craché à 70 km de là en plein désert. Une équipe de douze soldats et trois véhicules sont envoyés, sur place la situation est compliquée, ils décident de camper afin de mener les opérations de rapatriement des corps le lendemain. Pendant la nuit, trois femmes font irruption demandant de l'aide. Elles sont poursuivis par le clan des Warzden qui cherche à éradiquer leur clan, les Biyomal-Kadang. Les japonais ont à peine le temps de prendre une décision qu'ils se font attaquer. Les survivants, sept soldats et une femme, doivent alors s'enfuir dans les montagnes et trouver une solution pour rallier leur camp. L'action se déroule au cœur d'une Afrique sans pitié, que ce soit par la nature du climat (désert et fortes températures) ou par ses habitants. Confrontés à ça, il y a les soldats japonais, des membres des forces terrestres d'autodéfense qui n'ont jamais combattus de leur vie. L'histoire met donc face à face deux peuples très différents. D'un côté les clans africains engagés dans des guerres civiles sans fin et adeptes de la purification ethnique : des hommes sans pitié et prêts à tout. De l'autre, des japonais formés aux arts martiaux et au maniement des armes mais qui ne sont pas de véritables soldats (le Japon n'a pas d'armée) et dont les missions sont le sauvetage et la lutte contre la piraterie. Des hommes qui se sont engagés pour aider et protéger et non pour combattre et tuer. Devant une situation où leurs vies sont en jeu, ils vont devoir prendre des décisions qui vont avoir un impact fort par rapport à leurs valeurs. Le manga met aussi très bien en avant le désert, dur et impitoyable. Fleur du désert est un manga captivant, on est pris par le récit dans un rythme effréné où le temps de respirer peut tout changer. Servi par un scénario bien ficelé (le scénariste est également l'auteur du roman éponyme qui a reçu le prix du meilleur roman au concours Mystery Writers) et illustré par la très talentueuse Ikumi Fukuda, connue aussi sous le pseudonyme de Kotteri (manga Veil), Fleur du désert ne pourra pas vous laisser indifférent. 3 tomes en cours. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/fleurs-desert-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Vu que c’est le 21eme tome et qu’il n’y a pas encore eu de critique sur la série, une présentation générale s’impose. Moi quand je me réincarne en slime est un isekai comme son titre l’indique. Mais ce n’est pas n’importe lequel, c’est un des meilleurs et incontournables du genre qui a le mérite de plaire à tout type de lectorat. Résumé : Satoru Mikami, 37 ans, est employé de bureau. Un jour lors qu’il rencontre la fiancée de son meilleur ami, il se fait poignarder par accident. Alors qu’il est en train de mourir, ses dernières pensées semblent être interprétées comme des souhaits par une entité extérieure. « Est-ce qu’un humain meurt quand il n’a plus de sang » se transforme alors en « obtenir un nouveau corps sans sang » … C’est ainsi qu’après sa mort, il se réincarne en slime ; une petite boule gélatineuse qui n’a pas besoin de se nourrir, qui n‘a pas de corps vraiment solide (ni os ni sang). Au passage, il récupère aussi deux compétences importantes, « grand sage » et « prédateur », issues de ces dernières réflexions. Grand sage lui permet d’avoir une analyse et une compréhension de son environnement tandis que prédateur lui permet d’acquérir les compétences des proies qu’il ingère (à la manière d’un bon vieux blob). Notre slime, aveugle et muet, qui n’a que la sensation du toucher, erre dans une vaste grotte en absorbant les plantes et minéraux qu’il trouve sur son chemin. Il finit par arriver au fond où le dragon de la tempête est prisonnier. Ce dernier, Veldora, va lui apprendre à se servir de son mana pour communiquer et voir ; ils vont devenir amis. Peu après, Limule (et oui il a un nom à présent), va remonter la grotte vers la sortie en battant tous les monstres au passage et en acquérant leurs pouvoirs. Autant dire que lorsqu’il sort enfin de la grotte, il possède une aura inquiétante et il est devenu puissant sans en avoir vraiment conscience. C’est à partir de là que va commencer son aventure ; celle d’un slime qui va créer un pays de monstres dans la paix et la bonne humeur !! Le tome 21 : Hinata est allée rencontrer Limule pour discuter de tout ce qui s’est passé entre eux. Hélas, les chevaliers qui l’accompagnent pensent qu’elle est allée lui régler son compte. Entre les quiproquos et les machinations les deux camps s’affrontent et les vérités se dévoilent peu à peu. Notre avis sur la série : J’ai eu l’occasion de discuter de cette série avec Shonen, l’auteur d’outlaw players (un professionnel des scénarios donc). On partageait le même avis sur le succès de la série : Moi, quand je me réincarne en slime possède un développement : la série sait se renouveler et apporte régulièrement des rebondissements et de nouveaux éléments qui lui redonne des pulsions et sait garder en haleine son lecteur. Mais son succès vient d’abord du choix du personnage principal ; un slime ! Non seulement l’auteur en a fait un monstre sympathique et puissant mais il lui a aussi donné un côté kawaii. Il est en plus accompagné de nombreux personnages secondaires qui ont tous un caractère bien défini, chacun avec ses atouts et ses charmes. L’autre point fort de la série est de se positionner du côté des monstres et des démons en montrant qu’ils ont aussi une vie et une famille à protéger. D’ailleurs souvent dans l’histoire, les méchants sont des humains !! Le manga possède également une bonne dose d’humour qui alterne avec les combats et le développement de la ville. Pour information, moi quand je me réincarne en slime est un webnovel commencé en 2013, il a ensuite été publié en light novel (20 tomes) avant d’être adapté en manga 2 ans plus tard seulement. Il existe également plusieurs spin-off (romans et mangas) et évidemment un anime (2 saisons et 5 OAV disponibles sur crunchyroll). En ce qui me concerne, c’est une série incontournable qui fait partie de mes préférées, la note de 4/5 correspond au tome 21.
  17. Titre de l'album : Moi, quand je me réincarne en slime tome 21 Scenariste de l'album : FUSE Dessinateur de l'album : KAWAKAMI Taiki Coloriste : Editeur de l'album : Kurokawa Note : Résumé de l'album : Comment un slime devient le seigneur du royaume ! Limule et Hinata se sont de nouveau lancés dans un duel, tandis que les généraux de Hinata combattent Shion et les autres dans une ambiance de guerre totale. Cette situation que Limule voulait éviter, semble le fruit de l'intervention subreptice des Septenniens. Pendant ce temps, un personnage qui règne sur les pays d'Occident semble prêt à comploter dans l'ombre. Limule et Hinata arriveront-ils enfin à discuter ? Critique : Vu que c’est le 21eme tome et qu’il n’y a pas encore eu de critique sur la série, une présentation générale s’impose. Moi quand je me réincarne en slime est un isekai comme son titre l’indique. Mais ce n’est pas n’importe lequel, c’est un des meilleurs et incontournables du genre qui a le mérite de plaire à tout type de lectorat. Résumé : Satoru Mikami, 37 ans, est employé de bureau. Un jour lors qu’il rencontre la fiancée de son meilleur ami, il se fait poignarder par accident. Alors qu’il est en train de mourir, ses dernières pensées semblent être interprétées comme des souhaits par une entité extérieure. « Est-ce qu’un humain meurt quand il n’a plus de sang » se transforme alors en « obtenir un nouveau corps sans sang » … C’est ainsi qu’après sa mort, il se réincarne en slime ; une petite boule gélatineuse qui n’a pas besoin de se nourrir, qui n‘a pas de corps vraiment solide (ni os ni sang). Au passage, il récupère aussi deux compétences importantes, « grand sage » et « prédateur », issues de ces dernières réflexions. Grand sage lui permet d’avoir une analyse et une compréhension de son environnement tandis que prédateur lui permet d’acquérir les compétences des proies qu’il ingère (à la manière d’un bon vieux blob). Notre slime, aveugle et muet, qui n’a que la sensation du toucher, erre dans une vaste grotte en absorbant les plantes et minéraux qu’il trouve sur son chemin. Il finit par arriver au fond où le dragon de la tempête est prisonnier. Ce dernier, Veldora, va lui apprendre à se servir de son mana pour communiquer et voir ; ils vont devenir amis. Peu après, Limule (et oui il a un nom à présent), va remonter la grotte vers la sortie en battant tous les monstres au passage et en acquérant leurs pouvoirs. Autant dire que lorsqu’il sort enfin de la grotte, il possède une aura inquiétante et il est devenu puissant sans en avoir vraiment conscience. C’est à partir de là que va commencer son aventure ; celle d’un slime qui va créer un pays de monstres dans la paix et la bonne humeur !! Le tome 21 : Hinata est allée rencontrer Limule pour discuter de tout ce qui s’est passé entre eux. Hélas, les chevaliers qui l’accompagnent pensent qu’elle est allée lui régler son compte. Entre les quiproquos et les machinations les deux camps s’affrontent et les vérités se dévoilent peu à peu. Notre avis sur la série : J’ai eu l’occasion de discuter de cette série avec Shonen, l’auteur d’outlaw players (un professionnel des scénarios donc). On partageait le même avis sur le succès de la série : Moi, quand je me réincarne en slime possède un développement : la série sait se renouveler et apporte régulièrement des rebondissements et de nouveaux éléments qui lui redonne des pulsions et sait garder en haleine son lecteur. Mais son succès vient d’abord du choix du personnage principal ; un slime ! Non seulement l’auteur en a fait un monstre sympathique et puissant mais il lui a aussi donné un côté kawaii. Il est en plus accompagné de nombreux personnages secondaires qui ont tous un caractère bien défini, chacun avec ses atouts et ses charmes. L’autre point fort de la série est de se positionner du côté des monstres et des démons en montrant qu’ils ont aussi une vie et une famille à protéger. D’ailleurs souvent dans l’histoire, les méchants sont des humains !! Le manga possède également une bonne dose d’humour qui alterne avec les combats et le développement de la ville. Pour information, moi quand je me réincarne en slime est un webnovel commencé en 2013, il a ensuite été publié en light novel (20 tomes) avant d’être adapté en manga 2 ans plus tard seulement. Il existe également plusieurs spin-off (romans et mangas) et évidemment un anime (2 saisons et 5 OAV disponibles sur crunchyroll). En ce qui me concerne, c’est une série incontournable qui fait partie de mes préférées, la note de 4/5 correspond au tome 21. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/moi-quand-je-me-reincarne-en-slime-tome-21?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Nickad

    Adonis tomes 1 et 2

    Iana Roberstein est une enfant issue du 2eme mariage d’un comte, non seulement elle n’a jamais trouvé sa place au sein de sa famille mais s’est retrouvé à combattre l’une des rares personnes qu’elle admirait : Arhad Roygin. Au moment de leur dernier affrontement ; Iana mourante, se dit quand dans une autre vie, elle aimerait pouvoir mettre son épée au service d’Arhad. Son souhait est alors exaucé et elle régresse et recommence sa vie. Elle décide alors de tout faire pour devenir chevalier afin de pouvoir rencontrer Arhad. Souvent dans ce genre d’histoire, on suit le personnage principal à partir de sa régression et on voit les différences qu’il apporte par rapport à son ancienne vie avec des commentaires ou de brefs flashbacks. Ici les premiers chapitres sont un peu plus confus : on prend l’histoire quand Iana a déjà 10 ans alors qu’elle semble non pas avoir vraiment régressée mais s’être réincarnée. Il est indiqué dans le livre « je me suis réincarnée à nouveau en Iana » : ou la traduction n’est pas exacte ou cela sous-entend que sa vie précédente était déjà une réincarnation. Il y a d’autres phrases un peu suspectes qui laisse un doute planer. En plus, on a de longs flashbacks de sa 1ère vie de Iana sans avoir vu ce qui s’est passé de différent dans la 2e vie, on a juste quelques commentaires. Du coup on ne sait pas pourquoi la situation a changé ni ce qu’elle a fait de différent pendant ces 10 premières années. Pour ne rien arranger, sa mère semble également prise dans une drôle d’anomalie temporelle. L’histoire commence donc vraiment quand Iana commence à faire ce qu’il faut pour atteindre son objectif. On a des actions concrètes qui se déroule dans le présent, Iana quitte donc sa famille pour intégrer l’académie Valjenta et notamment la section maniement d’épée. Il lui faut donc passer un concours qui comporte 5 épreuves, sachant que seuls 80 candidats intégreront ce département sur les 14 000 et quelques qui se présentent. Au fur et à mesure, Iana se fait des camarades qui auront certainement leur importance dans la suite du récit. En dehors des balbutiements du début qui laissent des questions en suspens mais qui ne gênent en rien le déroulement, le webtoon est intéressant et on accroche vite à l’histoire. Les événements du 1er tome donnent quand même un certain nombre d’informations, il ne s’agit donc pas d’une simple régression/réincarnation dans le but de changer son destin mais on voit qu’il y a d’autres enjeux et d’autres forces en présence. On parle notamment d’anciens pouvoirs divins qui ne seraient peut-être pas étrangers à la situation de Iana. Adonis (ou Reminiscence Adonis) est un webtoon coréen disponible sur la plateforme Delitoon, l’adaptation papier est réalisée par les éditions Kamondo Books. C’est une série longue toujours en cours (240 chapitres à l’heure actuelle), les deux premiers tomes du livre couvrent les 35 premiers chapitres du webtoon. Adonis connaît donc un succès certain et nous promet de belles aventures. On ne manquera pas de lire la suite.
  19. Titre de l'album : Adonis tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : HYEDORI Dessinateur de l'album : TEAM ADONIS Coloriste : Editeur de l'album : Kamondo Books Note : Résumé de l'album : La belle et fière Iana vient de périr à l'issue d'un duel acharné contre son ennemi, le prince Arhard. Sur le point de mourir, Iana n'a pas de regret, juste un souhait : si elle devait renaître, cette fois-ci elle serait son chevalier. Son voeu est exaucé, mais pas de la manière qu'elle imaginait. Iana se réincarne dans son propre corps, au moment de sa naissance. Avec ses souvenirs de son ancienne vie, elle a donc une chance de repartir à zéro. Ainsi, elle va tout faire pour devenir celle qui protégera le prince Arhard. Et peut-être changer ainsi le destin du monde... La belle et fière Iana changera-t-elle le destin du monde en devenant chevalier du prince Arhard ? Critique : Iana Roberstein est une enfant issue du 2eme mariage d’un comte, non seulement elle n’a jamais trouvé sa place au sein de sa famille mais s’est retrouvé à combattre l’une des rares personnes qu’elle admirait : Arhad Roygin. Au moment de leur dernier affrontement ; Iana mourante, se dit quand dans une autre vie, elle aimerait pouvoir mettre son épée au service d’Arhad. Son souhait est alors exaucé et elle régresse et recommence sa vie. Elle décide alors de tout faire pour devenir chevalier afin de pouvoir rencontrer Arhad. Souvent dans ce genre d’histoire, on suit le personnage principal à partir de sa régression et on voit les différences qu’il apporte par rapport à son ancienne vie avec des commentaires ou de brefs flashbacks. Ici les premiers chapitres sont un peu plus confus : on prend l’histoire quand Iana a déjà 10 ans alors qu’elle semble non pas avoir vraiment régressée mais s’être réincarnée. Il est indiqué dans le livre « je me suis réincarnée à nouveau en Iana » : ou la traduction n’est pas exacte ou cela sous-entend que sa vie précédente était déjà une réincarnation. Il y a d’autres phrases un peu suspectes qui laisse un doute planer. En plus, on a de longs flashbacks de sa 1ère vie de Iana sans avoir vu ce qui s’est passé de différent dans la 2e vie, on a juste quelques commentaires. Du coup on ne sait pas pourquoi la situation a changé ni ce qu’elle a fait de différent pendant ces 10 premières années. Pour ne rien arranger, sa mère semble également prise dans une drôle d’anomalie temporelle. L’histoire commence donc vraiment quand Iana commence à faire ce qu’il faut pour atteindre son objectif. On a des actions concrètes qui se déroule dans le présent, Iana quitte donc sa famille pour intégrer l’académie Valjenta et notamment la section maniement d’épée. Il lui faut donc passer un concours qui comporte 5 épreuves, sachant que seuls 80 candidats intégreront ce département sur les 14 000 et quelques qui se présentent. Au fur et à mesure, Iana se fait des camarades qui auront certainement leur importance dans la suite du récit. En dehors des balbutiements du début qui laissent des questions en suspens mais qui ne gênent en rien le déroulement, le webtoon est intéressant et on accroche vite à l’histoire. Les événements du 1er tome donnent quand même un certain nombre d’informations, il ne s’agit donc pas d’une simple régression/réincarnation dans le but de changer son destin mais on voit qu’il y a d’autres enjeux et d’autres forces en présence. On parle notamment d’anciens pouvoirs divins qui ne seraient peut-être pas étrangers à la situation de Iana. Adonis (ou Reminiscence Adonis) est un webtoon coréen disponible sur la plateforme Delitoon, l’adaptation papier est réalisée par les éditions Kamondo Books. C’est une série longue toujours en cours (240 chapitres à l’heure actuelle), les deux premiers tomes du livre couvrent les 35 premiers chapitres du webtoon. Adonis connaît donc un succès certain et nous promet de belles aventures. On ne manquera pas de lire la suite. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/adonis-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Nickad

    Arena tome 3

    Gabriel et ses camarades de classe ont donc affronté leurs premiers adversaires. S’ils pensaient que c’était des monstres, ils ont vite compris qu’ils s’agissaient d’extraterrestres et qu’ils se trouvaient sur une autre planète. Ils ont aussi découvert que tous les combattants des premières sélections sont obligés de combattre contre leur gré et qu’ils viennent de nombreuses planètes. Mais il y a un moyen de s’en sortir. Si vous avez 3 victoires, vous pouvez alors choisir entre devenir un esclave ou devenir un combattant professionnel avec l’aide d’un sponsor. Les meilleurs sont d’ailleurs de vraies stars et gagnent bien leur vie. Si un jour, ils veulent retourner sur Terre, il leur faut obtenir une certaine liberté et gagner assez d’argent pour acquérir un vaisseau spatial. Seulement gagner dans l’arène n’est pas facile et si l’équipe de Gabriel progresse ce n’est pas sans perte : tous ne survivent pas aux combats. En plus, devant cette situation désespérée, des groupes se forment, des alliances et aussi des trahisons. Si certains s’effondrent, Gabriel s’épanouit et il peut enfin être lui-même. A présent, il est temps de passer à la deuxième étape : s’entrainer pour devenir plus fort et monter dans l’arène. Arena continue d’être une bonne surprise, avec le positionnement de l’histoire sur une autre planète, l’auteur nous éloigne de l’isekai classique et nous entraine plutôt vers la science-fiction. Le scénario est travaillé et ne contient pas que des combats. Ce sont les relations entre les personnages et l’adaptation à leur nouvelle vie (avec tout ce qu’il peut y avoir de fantastique à découvrir) qui donne de la consistance au récit. Arena est donc une revisite de l’époque des gladiateurs romains, qui n’avaient pas non plus le choix de combattre et où certains pouvaient obtenir une grande renommée voir être affranchis. L’histoire tient la route, se lit très bien et nous donne envie d’aller lire la suite.
  21. Nickad

    Arena tome 3

    Titre de l'album : Arena tome 3 Scenariste de l'album : Le Chef Otaku Dessinateur de l'album : Clarity Coloriste : Editeur de l'album : VEGA Note : Résumé de l'album : Gabriel et ses camarades n'ont plus qu'un combat à mener avant de pouvoir décider de leur sort sur Arena : combattants ou serviteurs. Mais avant ça, il faudrait encore survivre... Leurs ennemis sont plus monstrueux que jamais et Gabriel vient de perdre absolument tout ce qu'il possédait dans un combat illégal... Kaligan aurait-il misé sur la mauvaise équipe ? Mais c'est compter sans l'esprit démoniaque qui agite Gabriel, et qu'il n'hésite plus à utiliser, quitte à transgresser les règles d'Arena. Critique : Gabriel et ses camarades de classe ont donc affronté leurs premiers adversaires. S’ils pensaient que c’était des monstres, ils ont vite compris qu’ils s’agissaient d’extraterrestres et qu’ils se trouvaient sur une autre planète. Ils ont aussi découvert que tous les combattants des premières sélections sont obligés de combattre contre leur gré et qu’ils viennent de nombreuses planètes. Mais il y a un moyen de s’en sortir. Si vous avez 3 victoires, vous pouvez alors choisir entre devenir un esclave ou devenir un combattant professionnel avec l’aide d’un sponsor. Les meilleurs sont d’ailleurs de vraies stars et gagnent bien leur vie. Si un jour, ils veulent retourner sur Terre, il leur faut obtenir une certaine liberté et gagner assez d’argent pour acquérir un vaisseau spatial. Seulement gagner dans l’arène n’est pas facile et si l’équipe de Gabriel progresse ce n’est pas sans perte : tous ne survivent pas aux combats. En plus, devant cette situation désespérée, des groupes se forment, des alliances et aussi des trahisons. Si certains s’effondrent, Gabriel s’épanouit et il peut enfin être lui-même. A présent, il est temps de passer à la deuxième étape : s’entrainer pour devenir plus fort et monter dans l’arène. Arena continue d’être une bonne surprise, avec le positionnement de l’histoire sur une autre planète, l’auteur nous éloigne de l’isekai classique et nous entraine plutôt vers la science-fiction. Le scénario est travaillé et ne contient pas que des combats. Ce sont les relations entre les personnages et l’adaptation à leur nouvelle vie (avec tout ce qu’il peut y avoir de fantastique à découvrir) qui donne de la consistance au récit. Arena est donc une revisite de l’époque des gladiateurs romains, qui n’avaient pas non plus le choix de combattre et où certains pouvaient obtenir une grande renommée voir être affranchis. L’histoire tient la route, se lit très bien et nous donne envie d’aller lire la suite. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/arena-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Nouvel isekai. Itsuki Shinomiya est un commercial trentenaire mort d’épuisement. Du coup quand il se réincarne dans ce nouveau monde, il ne rêve que d’une chose : gagner de l’argent en travaillant le moins possible et avoir une vie tranquille. Il demande donc comme compétence spéciale « argent de poche » qui lui permet de recevoir une somme fixe en fonction de son niveau. Autant dire que son niveau n’est pas très haut quand il arrive et qu’il doit quand même trouver du travail. Mais bon dans ce monde, il est aussi possible de payer ses dettes en devenant esclave. Ainsi Itsuki se retrouve vite avec un maître lui enseignant l’alchimie et deux jolies esclaves aventurières. Sa vie tranquille ne semble pas être prête d’arriver ! J’avais découvert ce manga il y a quelques années et arrêté par manque de temps. Si je ne ressentais pas une absolue nécessité de lire la suite, je me demandais quand même, de temps en temps, où en était l’histoire. Cela veut dire deux choses : qu’il laisse une trace dans la mémoire, ce qui est déjà pas mal au milieu de tous ces titres, et qu’il n’est pas non plus exceptionnel. En relisant ces deux premiers tomes, j’ai ressenti exactement la même chose. Slow life in another world est un manga d’aventure sympathique qui se lit bien et qui se classerait dans la moyenne des isekai. Il a un côté fan service avec de charmantes demoiselles (c’est ce qui est d’ailleurs mis en avant, le héros n’apparaissant pas sur les couvertures) et un graphisme adapté. C’est un bon divertissement. Extrait
  23. Titre de l'album : Slow life in another world (I wish) tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : SHIGE Dessinateur de l'album : NAGAYORI / OUKA Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Je veux profiter pleinement de ma seconde vie dans cet autre monde !! Les souhaits de ce bourreau de travail sont... De l'alcool !! De l'argent !! Une beauté !! Itsuki Shinomiya, un employé de bureau en burn out, est envoyé dans un autre monde où il cherche à obtenir la vie tranquille de ses rêves. Son atout est une compétence appelée argent de poche qui lui permet de recevoir une fois par jour une somme d'argent fixe. Cependant, c'est loin de suffire, et il se retrouve à devoir travailler. Il se fait employer par la guilde des alchimistes mais en vendant ses potions, il est la cible de railleries. Et ce n'est pas tout, puisqu'une magnifique jeune femme demande à devenir son esclave ! Que va devenir sa vie dans ce nouveau monde ? L'aventure ? Des compétences pétées ? Pas besoin de ça ! Le premier acte d'un monde de fantasy dans lequel un bourreau de travail se donne à fond pour gagner une vie tranquille ! Critique : Nouvel isekai. Itsuki Shinomiya est un commercial trentenaire mort d’épuisement. Du coup quand il se réincarne dans ce nouveau monde, il ne rêve que d’une chose : gagner de l’argent en travaillant le moins possible et avoir une vie tranquille. Il demande donc comme compétence spéciale « argent de poche » qui lui permet de recevoir une somme fixe en fonction de son niveau. Autant dire que son niveau n’est pas très haut quand il arrive et qu’il doit quand même trouver du travail. Mais bon dans ce monde, il est aussi possible de payer ses dettes en devenant esclave. Ainsi Itsuki se retrouve vite avec un maître lui enseignant l’alchimie et deux jolies esclaves aventurières. Sa vie tranquille ne semble pas être prête d’arriver ! J’avais découvert ce manga il y a quelques années et arrêté par manque de temps. Si je ne ressentais pas une absolue nécessité de lire la suite, je me demandais quand même, de temps en temps, où en était l’histoire. Cela veut dire deux choses : qu’il laisse une trace dans la mémoire, ce qui est déjà pas mal au milieu de tous ces titres, et qu’il n’est pas non plus exceptionnel. En relisant ces deux premiers tomes, j’ai ressenti exactement la même chose. Slow life in another world est un manga d’aventure sympathique qui se lit bien et qui se classerait dans la moyenne des isekai. Il a un côté fan service avec de charmantes demoiselles (c’est ce qui est d’ailleurs mis en avant, le héros n’apparaissant pas sur les couvertures) et un graphisme adapté. C’est un bon divertissement. Extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/slow-life-in-another-world-i-wish-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Tous les soirs Keisuke voit passer devant le restaurant où il travaille un bel employé de bureau. Un jour de pluie, poussée par sa collègue, il se lance et l’aborde. Chance ou pas, il arrive pile au moment où ce dernier (Yukufumi) est effondré par sa récente rupture. Ayant besoin de réconfort, ils passent la nuit ensemble. Mais peu à peu, Keisuke va découvrir que Yukufumi est dans une situation compliquée avec un passé tout aussi compliqué. Il va faire son possible pour l’aider. Lonely playground va vite sortir des sentiers battus, pas pour son histoire d’amour mais par le contexte autour du personnage de Yukufumi. Sa rencontre avec son ex-amant va l’emmener non seulement dans une relation de soumission mais aussi dans le sadisme. Mais quand on a une dette comme il a et que l’on a nulle part où aller, prendre conscience de l’anormalité de la situation est déjà compliqué. Le manga nous montre donc d’autres aspects des relations humaines et sexuelles. Sans être inintéressant, la psychologie des personnages aurait pu être plus poussée. Cela reste un bon yaoi.
  25. Titre de l'album : Lonely playground tomes 1 et 2 (fin) Scenariste de l'album : DAYOO Dessinateur de l'album : DAYOO Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Keisuke travaille dans un restaurant chinois près d'une gare. Tous les jours, il voit passer devant son restaurant un bel employé de bureau en costume, mais celui-ci ne s'arrête jamais pour y manger. Un soir de pluie, la collègue de Keisuke lui apprend que l'homme est sous le pont de la voie ferrée, à côté du restaurant, et qu'il attend. C'est l'occasion ou jamais pour Keisuke qui, sous prétexte de lui apporter un parapluie, décide d'aller lui parler. Mais lorsqu'il arrive, l'inconnu est en train de pleurer... Keisuke apprend son nom, Yukifumi, et il apprend également qu'il vient de se séparer de son partenaire après sept ans de relation, alors que celui-ci avait une femme et des enfants. Voyant que Yukifumi cherche à apaiser sa tristesse dans les bras de quelqu'un d'autre, Keisuke lui propose de passer la nuit ensemble. Mais tout se complique lorsque l'ex de Yukifumi, Utsugi, débarque le lendemain matin dans son appartement et découvre qu'ils ont couché ensemble... Critique : Tous les soirs Keisuke voit passer devant le restaurant où il travaille un bel employé de bureau. Un jour de pluie, poussée par sa collègue, il se lance et l’aborde. Chance ou pas, il arrive pile au moment où ce dernier (Yukufumi) est effondré par sa récente rupture. Ayant besoin de réconfort, ils passent la nuit ensemble. Mais peu à peu, Keisuke va découvrir que Yukufumi est dans une situation compliquée avec un passé tout aussi compliqué. Il va faire son possible pour l’aider. Lonely playground va vite sortir des sentiers battus, pas pour son histoire d’amour mais par le contexte autour du personnage de Yukufumi. Sa rencontre avec son ex-amant va l’emmener non seulement dans une relation de soumission mais aussi dans le sadisme. Mais quand on a une dette comme il a et que l’on a nulle part où aller, prendre conscience de l’anormalité de la situation est déjà compliqué. Le manga nous montre donc d’autres aspects des relations humaines et sexuelles. Sans être inintéressant, la psychologie des personnages aurait pu être plus poussée. Cela reste un bon yaoi. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/lonely-playground-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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