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  • The most heretical last boss queen from villainess to savior tome 1


    Nickad
    • Scenariste: TENICHI Dessinateur: MATSUURA Bunko Editeur: Meian Note :
      Résumé:

      Je me suis réincarnée en reine impitoyable d'un Otome Game !! J'empêcherai à tout prix la tragédie de se produire ! À huit ans, j'ai réalisé que je m'étais réincarnée en la future reine Pride, l'infâme boss final d'un otome game. Sa force de combat élevée et son intellect redoutable au service de plans diaboliques font d'elle la première princesse la plus puissante d'un royaume matriarcal. Après avoir semé le malheur autour d'elle, un avenir destructeur l'attend ! Attendez, ne vaudrait-il pas mieux que je meure ? Puisque c'est comme ça, je vais empêcher la ruine de s'abattre sur mon royaume et utiliser mon autorité et mes facultés cheatées pour sauver tout le monde !

      Type: Manga L'acheter sur bdfugue Genre: Fantastique Prix: 6.95 Nb de pages: 192
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    Coucou, je suis une pauvre jeune fille qui est morte renversée par une voiture et voilà que je me réincarne dans le jeu vidéo auquel je jouais. Hélas : Il a fallu que je devienne la mega méchante de l’histoire, celle que tout le monde va détester et qui va mourir jeune !! Heureusement, grâce à mes connaissances du jeu, certains pensent que j’ai un don de clairvoyance, en plus hors de question de mal finir ! Alors voilà, je change mon destin et mes futurs anciens ennemis deviennent des alliés… Tout se passe bien pour moi et cela vaut mieux car je suis censée devenir la prochaine reine du pays.

    Ah une réincarnation dans un jeu vidéo !! Ça faisait longtemps… ou pas ! Plaisanteries mises à part, The most heretical last boss queen est un manga bien fait, agréable à lire et plutôt sympathique. Pour une fois, l’héroïne est entourée d’une famille aimante, même sa mère (la reine actuelle qui a aussi le donc de clairvoyance) qui s’était éloignée car elle avait vu le futur terrifiant de sa fille se repent sincèrement de ses agissements. Il y a un vrai souffle positif dans l’histoire. Mais il y a aussi des retournements de situation et de l’aventure ! Pour faire court, dans cette thématique c’est un bon début et je ne lui trouve pas vraiment de défaut, à part son titre à rallonge peut-être 😄.

    Au fait, avez-vous remarqué que toutes ces demoiselles censées devenir la « vilaine » ont des cheveux rouges ? je me demande s’il y a une signification particulière ou si c’est juste classe…

    Extrait

    the most heretical p2.JPG

    the most heretical p1.JPG

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    Commentaires recommandés

    Salut, merci pour ton commentaire sur ce manga. Je ne connaissais pas The most heretical last boss queen, mais tu m'as donné envie de le découvrir. J'aime bien les histoires de réincarnation dans un jeu vidéo, surtout quand l'héroïne est une badass qui change son destin. Ça a l'air d'être un manga plein d'humour, d'action et de romance, avec des personnages attachants et des dessins soignés. Tu as raison, le titre est un peu long, mais il reflète bien le côté décalé et original de l'histoire.

    Pour répondre à ta question sur les cheveux rouges des vilaines, je pense que c'est un choix esthétique qui permet de les distinguer des autres personnages. Le rouge est souvent associé à la passion, à la colère, au danger ou au sang. C'est une couleur qui attire le regard et qui exprime une forte personnalité. Peut-être que les auteurs veulent montrer que ces filles sont différentes, qu'elles ont du caractère et qu'elles ne se laissent pas faire. Ou peut-être que c'est juste pour faire joli .

    En tout cas, merci pour ton partage, tu m'as fait découvrir un nouveau manga qui a l'air sympa. Si tu aimes ce genre d'histoire, je te conseille aussi de lire My next life as a villainess ou Accomplishments of the duke's daughter, qui sont aussi des mangas où l'héroïne se réincarne en méchante d'un jeu vidéo et qui sont très drôles et divertissants. A+

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    Pour les cheveux rouges (akagami), c’est dans l’imaginaire collectif japonais associé à un fort caractère, et encore plus pour une femme.

    Le kanji Aka, couleur rouge, est aussi associé à la maturité et à la clarté, et bien évidemment le feu.

    C’est donc l’opposé de la femme effacée et passive : c’est la femme qui refuse de subir et se prend en mains.

    Dans la culture manga, on trouve par exemple la mère de Naruto, ou Éris dans Mushoku Tensei ou bien encore Shirayuki « aux cheveux rouges » la bien nommée pour en citer quelques uns côté persos féminins (et Akagami no Shanks de One Piece ou Renji de Bleach côté masculin).

    C’est donc assez naturellement que cette couleur sied aux « vilaines » citées ☺️

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    Le 14/08/2023 à 10:25, Karlrozen a dit :

    Le kanji Aka, couleur rouge, est aussi associé à la maturité et à la clarté, et bien évidemment le feu.

    C’est donc l’opposé de la femme effacée et passive : c’est la femme qui refuse de subir et se prend en mains.

    Dans la culture manga, on trouve par exemple la mère de Naruto, ou Éris dans Mushoku Tensei ou bien encore Shirayuki « aux cheveux rouges » la bien nommée pour en citer quelques uns côté persos féminins (et Akagami no Shanks de One Piece ou Renji de Bleach côté masculin).

    Chapeau pour l'explication. J'avais deja remarqué ce detail sans jamais me dire qu'il y avait une vraie référence culturelle.

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    • Âme augmentée
      Note :
      Les éditions 404 Graphic nous font toujours découvrir des albums ou des romans graphiques indépendants sortant de l’ordinaire. Ame augmentée leur dernière parution est un exemple même de leur ligne éditoriale très qualitatif. Cet album est préfacé par Daren Aronfsky le réalisateur de film underground et souvent dark (Requiem for a dream). Pour âme augmentée, Ezra Claytan Daniels explique avoir travaillé sur ce projet depuis vingt ans, pour voir aboutir ce roman graphique qu’il réalise intégralement. L’auteur nous livre un récit de science-fiction étrange où une équipe de scientifiques essaient de repousser les limites de nos connaissances sur le corps et l’âme des humains. Le temps et le vieillissement du corps font parties des problématiques au cœur de cette histoire. On va suivre toute l’expérience avec un couple âgé qui tente l’impossible tout en connaissant les risques ainsi que les nombreux facteurs inconnus pouvant leur être fatal. La couverture retranscrit très bien les dessins des planches intérieures sur plus de 230 pages. L’édition est soignée avec des bonus et des explications sur la réalisation de l’album et quelques couvertures des comics d’origine.
      Le résultat de l’expérience donnera matière à des réflexions entre le couple âgé et leurs clones atrophiés mais en grande santé physique et mentale. Le traitement de l'histoire et les dessins ne laisseront pas indifférents les lecteurs. Âme augmentée ne plaira pas à tout le monde mais n’en reste pas moins une œuvre très originale et forte. 
      • 0 réponse
    • I.R.$ - Tome 24 - Les prédateurs climatiques
      Note :
      Si je ne suis pas l'un des plus grand fan de Larry Max, j'avoue suivre ses aventures avec un certain intérêt. Malheureusement j'ai trouvé cet épisode un cran en dessous des derniers qui avaient su m'intéresser. 

      Stephen Desberg est pourtant une référence en matière de scénarios en bd, mais là son intrigue m'a semblée bien bancale ce qui est un peu un comble pour une bd sur l'univers politico financier. Le complot final se révèle peu crédible, et les motivations des uns et des autres pour le moins légères par rapport à la portée de leurs actes. Le message du scénariste sur les enjeux de notre monde s'en trouve à mon sens un peu dilué devant des complications un peu inutiles secondaires au récit. De même certains faits majeurs émotionnellement sont traités finalement très rapidement, ne nous laissant guère percevoir leur portée émotionnelle.

      Le dessin lui ne progresse guère en terme de qualité et s'il remplit toutefois son office pour une bd de thriller, il manque à mon goût bien trop de détails et de soin pour faire honneur à l'intérieur à sa jolie couverture.

      Les fans de la première heure de Larry B. Max y trouveront probablement leur bonheur mais pour les nouveaux lecteurs cela me semble un peu juste.
      • 0 réponse
    • Adorable démone
      Note :
      Première oeuvre dans le monde du 9ème art pour l'artiste sino-américaine Michelle Lam avec ce Adorable démone . Dès les premières pages , on sent immédiatement les influences mangas et autres productions télévisuelles , il faut dire qu'elle travaille aussi pour des studios d'animations ! Une artiste aux multiples talents donc ,avec une histoire qui emprunte aux codes connus mais en y amenant une dose d'originalité . Elle dépeint en effet un monde imaginaire peuplé de démons , de fées , et autres créatures fantastiques . Chacun ayant ses caractéristiques propres , ainsi les démons apprennent à façonner la lave comme de la pâte à modeler , ils vivent la nuit et dorment le jour , ils ont des cornes qu'il faut aiguiser ; en somme toute une vie à l'opposée des fées . Ces dernières rentrent dans les canons habituels maintes fois abordés dans des tas d'autres oeuvres de ce type . Le talent de l'auteure est de parvenir à rendre cet univers riche crédible et typique . Partez donc à l'aventure Meesh et ses nouveaux amis dans une quête de vérité aux multiples rebondissements , avec en prime , une fin laissant la porte ouverte pour une suite 😉 

      La,pagination est importante , mais les pages sont aérées avec des dialogues ciselés , adaptés au lectorat jeune . Il en va de même pour la partie graphique avec de grandes cases , des personnages facilement reconnaissables et un trait "manga" coloré qui séduira son public .
      • 0 réponse
    • La diplomatie du ping-pong - 1971, un hippie rapproche la Chine et les États-Unis
      Note :
      Le scénariste Alcante livre un fait historique peu connus du public français en restant plus ou moins fidèle à l'histoire comme il l’explique en fin d’album. L’introduction de quelques pages nous redonne le contexte historique avec la situation complexe entre les Etats-Unis et la Chine durant la guerre froide. La politique évolue et de chaque côté, les dirigeants semblent ouverts pour apaiser les tensions entre les deux grandes nations. En 1971, un jeune hippie joueur de tennis de table ou ping pong va jouer un rôle primordial dans le retour à la paix entre les Etats-Unis et la Chine, suite à un tournoi mondial se déroulant au Japon. Le meilleur joueur mondial chinois jouera également un rôle important dans l’évolution diplomatique. Il est amusant de découvrir comment un simple sport et l’amitié entre deux sportifs sera décisif. Pour la partie graphique, Alain Mounier réalise des planches de qualité pour dépeindre cette aventure se déroulant aux Etats-Unis durant le flower power, au Japon puis en Chine.
      Alcante revient sur ce projet de bande dessinée en fin d’album et pourquoi cette histoire lui tenait tant et les libertés prises. La diplomatie du ping-pong est un album intéressant et une agréable surprenante.  
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    • Anatomie d'un coeur
      Note :
      C'est l'histoire de sa grand-mère Aurora que nous raconte l'auteure chilienne Antonia Banados , à travers ce roman graphique touchant . A la fin des années 50 , cette dernière est rentrée en faculté de médecine et a vécu une "fausse" histoire d'amour avec un des professeurs . Je précise "fausse" car leur histoire se limitera à des regards , des rendez-vous manqués , des mains se touchant , de longues discussions passionnées , mais hélas rien de plus ! Je ne vous révèle pas les raisons de cet échec amoureux , mais sachez qu'il sera le fil d'Ariane de cet ouvrage . Nous découvrons aussi l'accueil timoré de la faculté pour les deux seules femmes de la promotion , puis la réussite d'Aurora qui en fera une des meilleurs élèves , mais aussi un pays en proie à l'arrivée de la dictature de Pinochet . Tout ceci viendra parasiter cet amour naissant/déchu dans un déferlement de cases ponctuées de schémas organiques . La bichromie aux forts accents bleutés de la dessinatrice donne un rendu de type daguerréotype , une suite de photographies de la vie d 'une étudiante , sa relation avec ses collègues , sa famille etc .... Il se dégage une réelle élégance dans la mise en page . Sans sombrer dans un féminisme accru , Antonia Banados dresse le portrait d'une femme forte et opiniâtre , dont la seule faiblesse sera son coeur lui même , au sens romantique du terme bien entendu 😉 Une première oeuvre intéressante , à confirmer dans un prochain travail !
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