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Nickad

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  1. Titre de l'album : Accroche-toi Nakamura tome 1 Scenariste de l'album : SYUNDEI Dessinateur de l'album : SYUNDEI Coloriste : Editeur de l'album : Taifu Note : Résumé de l'album : Nakamura est un garçon taciturne, qui vit sa vie de lycéen tranquillement dans un coin de la classe, loin des regards. Mais s'il y a un camarade de classe qui n'échappe pas à son regard, c'est bien l'adorable Hirose, avec son regard franc, sa tignasse châtain et son innocence rafraîchissante. Seulement, le problème, c'est que Nakamura ne lui a jamais adressé la parole. Il va alors tout faire pour établir le contact avec le garçon de ses rêves... Critique : Nakamura est tombé amoureux de son camarade de classe Hirose le jour de la rentrée, depuis son amour n’a pas cessé de grandir. Il est grand temps qu’il fasse le premier pas pour se rapprocher, hélas, Nakamura est un grand timide et passe pour un ours aux yeux des autres. Du coup, il n’arrive pas à grand-chose. Heureusement, le hasard fait bien les choses et il arrive par passer quelques moments avec son aimé. Mais bon, le chemin est encore long avant qu’il puisse se déclarer ! Avec son graphisme un peu rétro, l’auteur nous propose une histoire sympathique avec un personnage plutôt naïf et assez enfantin dans ses comportements, assez loin des lycéens dont on a l’habitude en ce moment. Le scénario n’est pas forcément original mais c’est traité un peu à l’ancienne, avec une certaine retenue dans les attitudes comme ce que l’on voyait il y a quelques années. Autant dire que c’est plein de bons sentiments ! Un manga plaisant où rien ne peut choquer la morale pour inaugurer la nouvelle collection de Taifu : Esquissses qui mettra en avant des titres originaux, pouvant parler à tout le monde. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/accroche-toi-nakamura-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Nickad

    Accroche-toi Nakamura tome 1

    Nakamura est tombé amoureux de son camarade de classe Hirose le jour de la rentrée, depuis son amour n’a pas cessé de grandir. Il est grand temps qu’il fasse le premier pas pour se rapprocher, hélas, Nakamura est un grand timide et passe pour un ours aux yeux des autres. Du coup, il n’arrive pas à grand-chose. Heureusement, le hasard fait bien les choses et il arrive par passer quelques moments avec son aimé. Mais bon, le chemin est encore long avant qu’il puisse se déclarer ! Avec son graphisme un peu rétro, l’auteur nous propose une histoire sympathique avec un personnage plutôt naïf et assez enfantin dans ses comportements, assez loin des lycéens dont on a l’habitude en ce moment. Le scénario n’est pas forcément original mais c’est traité un peu à l’ancienne, avec une certaine retenue dans les attitudes comme ce que l’on voyait il y a quelques années. Autant dire que c’est plein de bons sentiments ! Un manga plaisant où rien ne peut choquer la morale pour inaugurer la nouvelle collection de Taifu : Esquissses qui mettra en avant des titres originaux, pouvant parler à tout le monde.
  3. Titre de l'album : Chacun ses gouts tome 6 (fin) Scenariste de l'album : MACHITA Dessinateur de l'album : MACHITA Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Le petit frère de Haru, Mî, vient rendre visite à Haru et à Ao dans l'appartement où ils cohabitent. Ao découvre le passé surprenant de ce frère et sa sœur Même s'il ne se passe rien de spectaculaire, la vie de Haru et d'Ao s'écoule paisiblement. Et cela va bientôt faire un an qu'ils vivent en colocation... Un dernier volume rempli de bonheur ! Critique : Voilà, cela fait 1 an que Ao et Haru cohabitent en tout bien tout honneur et il n’est pas question que cela change. Après avoir trouvé un équilibre dans leurs relations et notamment la gestion des parties communes de l’appartement, après quelques maladresses résolues grâce à la communication, ils sont enfin et durablement devenu amis. Il y a eu un choix intelligent de la part de l’autrice d’articuler cette relation autour de la cuisine, on dit qu’un bon repas rapproche et que cela crée une ambiance chaleureuse grâce au partage. C’est effectivement le point de départ qui a permis à nos deux protagonistes de partager quelque chose alors qu’ils n’avaient pas grand-chose en commun. Peu à peu d’autres personnages sont venus se greffer et à force, ils ont pu ouvrir leur cœur et se rapprocher. La ligne directrice est restée la même tout le long de la série, montrer des petites choses du quotidien, en faire ressortir le positif et prendre le temps de vivre. Une série simple, résolument positive, sans évènement extraordinaire où il fait bon vivre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/chacun-ses-gouts-tome-6?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Nickad

    Chacun ses gouts tome 6 (fin)

    Voilà, cela fait 1 an que Ao et Haru cohabitent en tout bien tout honneur et il n’est pas question que cela change. Après avoir trouvé un équilibre dans leurs relations et notamment la gestion des parties communes de l’appartement, après quelques maladresses résolues grâce à la communication, ils sont enfin et durablement devenu amis. Il y a eu un choix intelligent de la part de l’autrice d’articuler cette relation autour de la cuisine, on dit qu’un bon repas rapproche et que cela crée une ambiance chaleureuse grâce au partage. C’est effectivement le point de départ qui a permis à nos deux protagonistes de partager quelque chose alors qu’ils n’avaient pas grand-chose en commun. Peu à peu d’autres personnages sont venus se greffer et à force, ils ont pu ouvrir leur cœur et se rapprocher. La ligne directrice est restée la même tout le long de la série, montrer des petites choses du quotidien, en faire ressortir le positif et prendre le temps de vivre. Une série simple, résolument positive, sans évènement extraordinaire où il fait bon vivre.
  5. Nickad

    Cheese in the trap tome 1

    de temps en temps, il y en a dans les tons monochrome (comme bâtard, sweet home et gray) mais ce n'est pas non plus extraordinaire niveau graphisme. Comme à la base c'est fait pour être lu en ligne sur son portable, le graphisme n'était pas ce qui importait le plus (un peu comme les dessins humoristiques que tu trouves sur els réseaux sociaux) mais il y en a quand même qui sont très beaux et là qui méritent le grand format
  6. Nickad

    Sweet home tome 5

    Titre de l'album : Sweet home tome 5 Scenariste de l'album : KIM Carnby Dessinateur de l'album : HWANG Youngchan Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Sans famille, sans amis, sans espoir... un reclus peut-il survivre à l'apocalypse ? Hyeon-Su et ses compagnons ont été secourus par des membres du groupe basé au rez-de-chaussée. Mais, à cause des symptômes qu'il présente déjà, le jeune homme est loin d'être le bienvenu... Eun-Hyeok, qui a pris la tête des survivants, décide alors de l'envoyer au 14e étage chercher Du-Shik, dont les compétences seront bien utiles... La série phénomène du web coréen débarque en France ! Avec son anti-héros lâché en pleine apocalypse, ce huis clos horrifique vous tiendra en haleine de bout en bout. Déjà adapté en drama sur Netflix, Sweet Home n'a pas fini de faire parler de lui ! Critique : Après le vote du groupe pour savoir si Hyeon-Su doit être expulsé de l’immeuble, le voilà envoyé au casse-pipe pour aller sauver les enfants. Mais en réalité, il y a une raison particulière pour que Eun-Hyeok l’ai choisi, il pense qu’il faut profiter de l’état très particulier du jeune homme, cette phase où il se trouve entre humain et monstre et où ses capacités de régénération sont augmentées. Peut-être qu’il y a là un certain salut ? Petit à petit, on comprend comment les gens se transforment et quels genres de monstres ils deviennent, on a aussi un faible espoir quand on voit que Hyeon-Su arrive à se maîtriser. Cependant, nous n’avons aucune information sur l’origine du phénomène, vu que pour le moment, l’action est en huis-clos (limitée à l’immeuble), la seule façon possible d’avoir une explication serait que les personnages arrivent à aller voir à l’extérieur ce qui se passe mais on n’en est pas encore là ! En attendant, ce sont toujours les sentiments humains qui sont mis en avant, que ce soit dans la transformation en monstre ou dans les relations entre les survivants. On aimerait cependant qu’il se passe un peu plus de choses dans un tome mais vu que je dis ça depuis quelques volumes déjà, ce sera sans doute le tempo du webtoon jusqu’à la fin. Cela reste une histoire assez intéressante pour que l’on ait envie de continuer la lecture. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sweet-home-tome-5?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Nickad

    Sweet home tome 5

    Après le vote du groupe pour savoir si Hyeon-Su doit être expulsé de l’immeuble, le voilà envoyé au casse-pipe pour aller sauver les enfants. Mais en réalité, il y a une raison particulière pour que Eun-Hyeok l’ai choisi, il pense qu’il faut profiter de l’état très particulier du jeune homme, cette phase où il se trouve entre humain et monstre et où ses capacités de régénération sont augmentées. Peut-être qu’il y a là un certain salut ? Petit à petit, on comprend comment les gens se transforment et quels genres de monstres ils deviennent, on a aussi un faible espoir quand on voit que Hyeon-Su arrive à se maîtriser. Cependant, nous n’avons aucune information sur l’origine du phénomène, vu que pour le moment, l’action est en huis-clos (limitée à l’immeuble), la seule façon possible d’avoir une explication serait que les personnages arrivent à aller voir à l’extérieur ce qui se passe mais on n’en est pas encore là ! En attendant, ce sont toujours les sentiments humains qui sont mis en avant, que ce soit dans la transformation en monstre ou dans les relations entre les survivants. On aimerait cependant qu’il se passe un peu plus de choses dans un tome mais vu que je dis ça depuis quelques volumes déjà, ce sera sans doute le tempo du webtoon jusqu’à la fin. Cela reste une histoire assez intéressante pour que l’on ait envie de continuer la lecture.
  8. Titre de l'album : Cheese in the trap tome 1 Scenariste de l'album : SOONKI Dessinateur de l'album : SOONKI Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt - KBooks Note : Résumé de l'album : Pour tout le monde, Yu Jung est l'étudiant parfait. Mais sous son côté gentil et attirant se cache en réalité un garçon sombre et parfois malfaisant. Seule Hong Seol, qui a eu affaire à lui par le passé, connaît sa véritable personnalité. Étudiante acharnée, elle retourne à l'université après une année sabbatique. Elle va tout faire pour éviter Yu Jung, mais elle n'est pas au bout de ses surprises Critique : Hong Seol est étudiante à l’université, elle a fait un an de césure et en revenant elle rencontre Yu Jung, un bel étudiant riche. Tout de suite, elle a un mauvais pressentiment à son encontre, comme si ce dernier cachait sa véritable personnalité. Mais des mois plus tard, le voilà qui se met à lui parler, Seol ne peut s’empêcher de se méfier mais elle n’a personne à qui en parler. L’histoire se déroule sur deux temporalités, la 1ère correspond à l’époque qui a suivi la rencontre des deux protagonistes, elle est racontée sous forme de flashbacks (pages en fond noir). La seconde, est l’époque actuelle de l’histoire, qui se passe au moment où Yu Jung a changé de comportement vis-à-vis de Seol (pages fond blanc). Je précise l’information sur le fond des pages (donnée à la fin du livre) car à la lecture, il n’est pas toujours évident de situer certaines actions. Avant d’aller plus loin sur ce webtoon, je vais faire un petit aparté sur le format. En ce moment, il y a beaucoup de discussions sur le format idéal pour les webtoons, la question du prix d’abord et de la taille du livre. Certains éditeurs se sont mis d’accord pour un format A5 avec un prix autour de 15 euros mais d’autres ont décidé de conserver un format plus petit, avec moins de chapitres et aussi moins cher. Pour le lecteur, ce qui ressort c’est d‘abord le graphisme : est-il nécessaire de faire un grand format vu certains dessins ? Les histoires de love office notamment mettent l’accent sur les personnages et n’offrent pas toujours de beaux décors.. J’en parle ici car le graphisme de Cheese in the trap est vraiment moyen, si l’expression des personnages est bien compréhensible, le détail du trait, les accessoires et surtout les arrière-plans (souvent de grand aplats de couleur) laissent à désirer. Contrairement à Solo Leveling, le grand format n’apporte rien. Si le dessin n’est pas convaincant, ce n’est pas le cas du scénario ! On a une approche assez originale qui ne dévoile pas tout de suite ni les événements du passé ni les faits actuels qui pourraient aller dans le sens de l’héroïne. Tout est raconté du point de vue de Hong Seol, on voit son malaise, on comprend son ressenti et quelque part, on espère qu’elle ne se soit pas trompée. Tout au long du volume, on attend l’indice qui nous montrerait que Yu Jung est un manipulateur, qu’il cache bien son jeu ! L’autrice donne des informations avec parcimonie et sait faire monter l’attente du lecteur. En attendant la suite (il y aura 10 tomes a priori), vous pouvez également découvrir le drama et le film issus du webtoon. Extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/cheese-in-the-trap-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Nickad

    Cheese in the trap tome 1

    Hong Seol est étudiante à l’université, elle a fait un an de césure et en revenant elle rencontre Yu Jung, un bel étudiant riche. Tout de suite, elle a un mauvais pressentiment à son encontre, comme si ce dernier cachait sa véritable personnalité. Mais des mois plus tard, le voilà qui se met à lui parler, Seol ne peut s’empêcher de se méfier mais elle n’a personne à qui en parler. L’histoire se déroule sur deux temporalités, la 1ère correspond à l’époque qui a suivi la rencontre des deux protagonistes, elle est racontée sous forme de flashbacks (pages en fond noir). La seconde, est l’époque actuelle de l’histoire, qui se passe au moment où Yu Jung a changé de comportement vis-à-vis de Seol (pages fond blanc). Je précise l’information sur le fond des pages (donnée à la fin du livre) car à la lecture, il n’est pas toujours évident de situer certaines actions. Avant d’aller plus loin sur ce webtoon, je vais faire un petit aparté sur le format. En ce moment, il y a beaucoup de discussions sur le format idéal pour les webtoons, la question du prix d’abord et de la taille du livre. Certains éditeurs se sont mis d’accord pour un format A5 avec un prix autour de 15 euros mais d’autres ont décidé de conserver un format plus petit, avec moins de chapitres et aussi moins cher. Pour le lecteur, ce qui ressort c’est d‘abord le graphisme : est-il nécessaire de faire un grand format vu certains dessins ? Les histoires de love office notamment mettent l’accent sur les personnages et n’offrent pas toujours de beaux décors.. J’en parle ici car le graphisme de Cheese in the trap est vraiment moyen, si l’expression des personnages est bien compréhensible, le détail du trait, les accessoires et surtout les arrière-plans (souvent de grand aplats de couleur) laissent à désirer. Contrairement à Solo Leveling, le grand format n’apporte rien. Si le dessin n’est pas convaincant, ce n’est pas le cas du scénario ! On a une approche assez originale qui ne dévoile pas tout de suite ni les événements du passé ni les faits actuels qui pourraient aller dans le sens de l’héroïne. Tout est raconté du point de vue de Hong Seol, on voit son malaise, on comprend son ressenti et quelque part, on espère qu’elle ne se soit pas trompée. Tout au long du volume, on attend l’indice qui nous montrerait que Yu Jung est un manipulateur, qu’il cache bien son jeu ! L’autrice donne des informations avec parcimonie et sait faire monter l’attente du lecteur. En attendant la suite (il y aura 10 tomes a priori), vous pouvez également découvrir le drama et le film issus du webtoon. Extrait
  10. Titre de l'album : Mibu Gishi den tome 2 Scenariste de l'album : ASADA Jiro Dessinateur de l'album : NAGAYASU Takumi Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Sous une pluie battante, le tenancier du Kadoya continue de conter l'histoire de son ancien camarade, le mystérieux Kan'ichirô Yoshimura. Considéré par tous comme l'homme le plus puissant du Shinsen Gumi, il était pourtant raillé au sein de son propre bataillon, où son avarice était tournée en ridicule. Mais pourquoi était-il à ce point attaché à l'argent ? Pourquoi était-il aussi attaché à la vie ?Dans ce deuxième tome, les contours du portrait d'un homme complexe et passionnant se font de plus en plus fins, servis par la patte unique de Takumi Nagayasu et la précision de la plume de Jirô Asada. Critique : L’ancien camarade de Kan’ichirô Yoshimura poursuit le récit de ses souvenirs, lui qui a sans doute été la personne la plus proche de ce dernier. Yoshimura est un samouraï coincé entre la voix du Bushido (un code d’honneur définissant les comportements à tenir) et les dures réalités de la vie. Tout en essayant au mieux de se faire un nom et une place, il ne peut s’empêcher de penser à gagner de l’argent pour subvenir aux besoins de sa femme et de ses enfants. Il est d’ailleurs raillé et méprisé par les autres à cause de ça mais difficile de se faire comprendre quand la majorité des membres du Shinsen Gumi étaient à peine majeurs et n’avaient pas fondé de famille. Pour information, la plupart des chefs du Shinsen Gumi sont morts dans leur trentaine. Le récit, superbement illustré, nous montre une réalité bien sombre et différente de ce qui est généralement mis en avant dans les récits de cette époque, loin de la gloire des combats. Le quotidien est dur, l’abandon n’est pas permis et l’espérance de vie très courte. En même temps, l’auteur aborde le sujet avec les souvenirs d’un des anciens membres, une cinquantaine d’année plus tard et c’est très intéressant de voir comment la société japonaise a évolué pendant ce court laps de temps. Mibu Gishi Den est non seulement un très beau récit graphique mais aussi une histoire originale qui nous apporte un autre point de vue sur l’époque troublée du shogunat Tokugawa en mettant l’humain à l’honneur. A lire sans hésitation. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mibu-gishi-den-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Nickad

    Mibu Gishi den tome 2

    L’ancien camarade de Kan’ichirô Yoshimura poursuit le récit de ses souvenirs, lui qui a sans doute été la personne la plus proche de ce dernier. Yoshimura est un samouraï coincé entre la voix du Bushido (un code d’honneur définissant les comportements à tenir) et les dures réalités de la vie. Tout en essayant au mieux de se faire un nom et une place, il ne peut s’empêcher de penser à gagner de l’argent pour subvenir aux besoins de sa femme et de ses enfants. Il est d’ailleurs raillé et méprisé par les autres à cause de ça mais difficile de se faire comprendre quand la majorité des membres du Shinsen Gumi étaient à peine majeurs et n’avaient pas fondé de famille. Pour information, la plupart des chefs du Shinsen Gumi sont morts dans leur trentaine. Le récit, superbement illustré, nous montre une réalité bien sombre et différente de ce qui est généralement mis en avant dans les récits de cette époque, loin de la gloire des combats. Le quotidien est dur, l’abandon n’est pas permis et l’espérance de vie très courte. En même temps, l’auteur aborde le sujet avec les souvenirs d’un des anciens membres, une cinquantaine d’année plus tard et c’est très intéressant de voir comment la société japonaise a évolué pendant ce court laps de temps. Mibu Gishi Den est non seulement un très beau récit graphique mais aussi une histoire originale qui nous apporte un autre point de vue sur l’époque troublée du shogunat Tokugawa en mettant l’humain à l’honneur. A lire sans hésitation.
  12. Titre de l'album : Murder x murder tome 1 Scenariste de l'album : TAKEZOE Yuji Dessinateur de l'album : TAKEZOE Yuji Coloriste : Editeur de l'album : Omaké Note : Résumé de l'album : Dans un Japon contemporain, tous les plus grands criminels sont envoyés sur une île prison pour participer à un gigantesque battle royale. Les matchs à mort sont retransmis à la télévision, sur une chaîne underground financée par de riches donateurs. Pour l'heure, c'est une lycéenne nommée Risa qui se trouve tout en haut du classement de ce battle royale. Sa façon de combattre et la mise en scène incroyable de ses mises à mort ont fait d'elle une star et une adversaire redoutée. Mais si Risa se trouve sur cette île, c'est avant tout pour éliminer une personne en particulier : son propre père... Critique : Comment gérer les plus grands criminels et les tueurs en série ? Les rassembler dans une prison spéciale et les faire s’affronter dans une sorte de tournoi où le survivant pourra gagner sa liberté. Et tant qu’à faire, médiatiser ces combats auprès de la classe supérieure qui pourra parier et s’amuser. Rei Minagawa, fraichement muté dans cette prison, se voit confier la supervision de Risa, une jeune tueuse qui ne s’en prends qu’aux meurtriers et qui est la favorite du tournoi. Mais elle n’est pas là par hasard, elle cherche le meurtrier de sa mère. Bon le premier tome est de la pure violence, la petite boutique des horreurs où tout ce que vous pouvez imaginer de plus vil existe. C’est sordide et à réserver à un public plus qu’averti. On ne peut s’empêcher de penser à deadtube où la surenchère de l’horreur prédomine. La fin du volume apporte deux nouveaux éléments, un sur le passé de Risa avec une vérité à découvrir concernant la mort de sa mère et l’autre sur ce qui se passe réellement dans cette prison. Mais est-ce qu’il y a vraiment un intérêt à ce manga ? Est-ce qu’il ne s’agit pas seulement de faire de la violence pour choquer ? Il faudra donc attendre la suite pour en juger. Ps : merci à Omake pour son sens de l'humour, le bandeau m'a bien fait rire ! Voir photo ci-dessous Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/murder-x-murder-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Nickad

    Murder x murder tome 1

    Comment gérer les plus grands criminels et les tueurs en série ? Les rassembler dans une prison spéciale et les faire s’affronter dans une sorte de tournoi où le survivant pourra gagner sa liberté. Et tant qu’à faire, médiatiser ces combats auprès de la classe supérieure qui pourra parier et s’amuser. Rei Minagawa, fraichement muté dans cette prison, se voit confier la supervision de Risa, une jeune tueuse qui ne s’en prends qu’aux meurtriers et qui est la favorite du tournoi. Mais elle n’est pas là par hasard, elle cherche le meurtrier de sa mère. Bon le premier tome est de la pure violence, la petite boutique des horreurs où tout ce que vous pouvez imaginer de plus vil existe. C’est sordide et à réserver à un public plus qu’averti. On ne peut s’empêcher de penser à deadtube où la surenchère de l’horreur prédomine. La fin du volume apporte deux nouveaux éléments, un sur le passé de Risa avec une vérité à découvrir concernant la mort de sa mère et l’autre sur ce qui se passe réellement dans cette prison. Mais est-ce qu’il y a vraiment un intérêt à ce manga ? Est-ce qu’il ne s’agit pas seulement de faire de la violence pour choquer ? Il faudra donc attendre la suite pour en juger. Ps : merci à Omake pour son sens de l'humour, le bandeau m'a bien fait rire ! Voir photo ci-dessous
  14. Titre de l'album : Apotheosis tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : RANZAI Studio Dessinateur de l'album : RANZAI Studio Coloriste : Editeur de l'album : Mahô Note : Résumé de l'album : Luo Zheng est désormais un esclave alors qu´il était le fils aîné du seigneur d´un riche clan. Sa famille est sur le déclin et sa sœur a été emprisonnée... Un ancien livre laissé par son père pourrait être son dernier recours ! Critique : Apotheosis est un manga de Wuxia, autant dire que si vous n’êtes pas familiarisé avec ce genre, cela peut être un peu compliqué de rentrer dans cet univers et je ne suis pas sûre que ce titre soit le plus adapté pour le faire. Un petit explicatif pour les non-initiés : tout comme les coréens ont le Murim (voir article qui parle du sujet), les chinois ont le Wuxia, littéralement « chevalier errant » un genre où un héros progresse au travers des arts martiaux pour rendre la justice ou prendre sa revanche. Mais attention, il ne faut pas comprendre les arts martiaux comme on les connaît actuellement, il s’agit de progresser sur différents plans afin de devenir le meilleur (physique, énergie, âme, techniques…); le manhua a d'ailleurs la bonne idée de faire un rappel des différents niveaux à la fin du livre. Certaines de ces pratiques peuvent s’apparenter à des éléments fantastiques voir magiques, il n’est pas rare de projeter son énergie, marcher dans les airs, se déplacer très vite ou même subir des changements physiques. Ce genre, très répandu en Chine, a été rendu populaire en occident grâce au film Tigre et Dragon. Cet aparté fini, parlons maintenant d’Apotheosis. Luo Zheng était le fils ainé du chef du clan, mais son père ayant été assassiné, il est devenu esclave dans sa propre famille et sert de cible humaine pour les combattants qui veulent s’exercer à de nouvelle techniques. Autant dire que survivre dans ces conditions est plutôt difficile ! Mais quand son cousin menace d’utiliser la sœur de Luo Zheng pour ses intérêts politiques, ce dernier décide de s’échapper afin de sauver sa sœur, il lui faut à présent entrer dans la secte Qing Yun. Heureusement pour lui, un livre laissé par son défunt paternel lui permet d'acquérir un drôle d’arcane « la compétence de forge céleste ». Pour le moment, il y a beaucoup de points positifs : la trame de l’histoire est bien définie car le personnage principal a un objectif clair. Et il y a beaucoup de mystères autour de son évolution et ses capacités donc encore beaucoup à découvrir et de quoi se poser des questions. Par contre, et c’est souvent le cas dans le Wuxia, le héros passe sans arrêt de Charybde en Scylla, pas le temps de souffler ni d’apprécier pleinement les changements qu’il y a déjà un nouvel adversaire. On retrouve donc les marqueurs propres au style Wuxia, un graphisme agréable qui met en valeur les combats et surtout on appréciera qu’il y ait un vrai fil conducteur. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/apotheosis-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Nickad

    Apotheosis tomes 1 et 2

    Apotheosis est un manga de Wuxia, autant dire que si vous n’êtes pas familiarisé avec ce genre, cela peut être un peu compliqué de rentrer dans cet univers et je ne suis pas sûre que ce titre soit le plus adapté pour le faire. Un petit explicatif pour les non-initiés : tout comme les coréens ont le Murim (voir article qui parle du sujet), les chinois ont le Wuxia, littéralement « chevalier errant » un genre où un héros progresse au travers des arts martiaux pour rendre la justice ou prendre sa revanche. Mais attention, il ne faut pas comprendre les arts martiaux comme on les connaît actuellement, il s’agit de progresser sur différents plans afin de devenir le meilleur (physique, énergie, âme, techniques…); le manhua a d'ailleurs la bonne idée de faire un rappel des différents niveaux à la fin du livre. Certaines de ces pratiques peuvent s’apparenter à des éléments fantastiques voir magiques, il n’est pas rare de projeter son énergie, marcher dans les airs, se déplacer très vite ou même subir des changements physiques. Ce genre, très répandu en Chine, a été rendu populaire en occident grâce au film Tigre et Dragon. Cet aparté fini, parlons maintenant d’Apotheosis. Luo Zheng était le fils ainé du chef du clan, mais son père ayant été assassiné, il est devenu esclave dans sa propre famille et sert de cible humaine pour les combattants qui veulent s’exercer à de nouvelle techniques. Autant dire que survivre dans ces conditions est plutôt difficile ! Mais quand son cousin menace d’utiliser la sœur de Luo Zheng pour ses intérêts politiques, ce dernier décide de s’échapper afin de sauver sa sœur, il lui faut à présent entrer dans la secte Qing Yun. Heureusement pour lui, un livre laissé par son défunt paternel lui permet d'acquérir un drôle d’arcane « la compétence de forge céleste ». Pour le moment, il y a beaucoup de points positifs : la trame de l’histoire est bien définie car le personnage principal a un objectif clair. Et il y a beaucoup de mystères autour de son évolution et ses capacités donc encore beaucoup à découvrir et de quoi se poser des questions. Par contre, et c’est souvent le cas dans le Wuxia, le héros passe sans arrêt de Charybde en Scylla, pas le temps de souffler ni d’apprécier pleinement les changements qu’il y a déjà un nouvel adversaire. On retrouve donc les marqueurs propres au style Wuxia, un graphisme agréable qui met en valeur les combats et surtout on appréciera qu’il y ait un vrai fil conducteur.
  16. Nickad

    La paternité de M Hiyama tome 1

    Voici la suite attendue de la grossesse de M Hiyama et contrairement au japonais où ce livre est sorti 8 ans après le 1er, nous avons la chance de pouvoir en profiter dans la foulée. Je n’ai pas mis le manga en coup de cœur même si je l’aime beaucoup car on reste dans la continuité du one shot et le propos est donc un peu moins innovant. Voici donc M Hiyama père d’un petit garçon de 3 ans, l’engouement médiatique autour de la grossesse masculine s’est quelque peu tari et les efforts de M Hiyama pour faire changer les mentalités n’ont pas portés tous les fruits qu’il espérait. Les préjugés et remarques acerbes contre les hommes enceints mais aussi contre les parents ayants des contraintes horaires ou des imprévus dus à la garde de leurs enfants vont bon train. C’est donc cet aspect qui est mis en avant dans cette suite : comment faire garder ses enfants (gérer les imprévus, trouver une crèche ou une nourrice…) et quel impact ces aléas peuvent avoir sur la vie de couple et aussi dans la vie professionnelle. On suivra également la situation personnelle de M Hiyama, notamment sa relation avec la mère de son fils et la grossesse d’une idol, milieu dans lequel aucun écart n’est toléré. Le manga est donc toujours très intéressant, il met vraiment en avant les préjugés et la façon dont la société met les gens dans des cases. C’est dommage qu’elle se termine au prochain tome car on aurait bien aimé suivre un peu plus la nouvelle vie de M Hiyama…
  17. Titre de l'album : La paternité de M Hiyama tome 1 Scenariste de l'album : SAKAI Eri Dessinateur de l'album : SAKAI Eri Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Désormais papa, monsieur Hiyama va avoir fort à faire pour gérer de front carrière professionnelle et vie privée... Il y a trois ans, Kentarô Hiyama est tombé enceint. Décidant d'assumer publiquement sa grossesse, il est devenu une figure de référence. Désormais père (presque) célibataire, il mène de front, tant bien que mal, sa vie privée et sa carrière professionnelle. Mais le regard de la société sur les hommes qui décident d'accoucher a-t-il vraiment changé ? Rien n'est moins sûr... Et lorsqu'un chanteur en vogue viendra lui demander conseil, Hiyama pourrait bien se retrouver à nouveau sous les feux des projecteurs ! Critique : Voici la suite attendue de la grossesse de M Hiyama et contrairement au japonais où ce livre est sorti 8 ans après le 1er, nous avons la chance de pouvoir en profiter dans la foulée. Je n’ai pas mis le manga en coup de cœur même si je l’aime beaucoup car on reste dans la continuité du one shot et le propos est donc un peu moins innovant. Voici donc M Hiyama père d’un petit garçon de 3 ans, l’engouement médiatique autour de la grossesse masculine s’est quelque peu tari et les efforts de M Hiyama pour faire changer les mentalités n’ont pas portés tous les fruits qu’il espérait. Les préjugés et remarques acerbes contre les hommes enceints mais aussi contre les parents ayants des contraintes horaires ou des imprévus dus à la garde de leurs enfants vont bon train. C’est donc cet aspect qui est mis en avant dans cette suite : comment faire garder ses enfants (gérer les imprévus, trouver une crèche ou une nourrice…) et quel impact ces aléas peuvent avoir sur la vie de couple et aussi dans la vie professionnelle. On suivra également la situation personnelle de M Hiyama, notamment sa relation avec la mère de son fils et la grossesse d’une idol, milieu dans lequel aucun écart n’est toléré. Le manga est donc toujours très intéressant, il met vraiment en avant les préjugés et la façon dont la société met les gens dans des cases. C’est dommage qu’elle se termine au prochain tome car on aurait bien aimé suivre un peu plus la nouvelle vie de M Hiyama… Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-paternite-de-m-hiyama-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Nickad

    Valhallian the black iron tome 2

    Tetsujiro rencontre les guerriers errants mais les anciennes rancœurs sont difficiles à dépasser et leur chef Kubilai Khan (le fils de Gengis, 1er empereur des mongols) ne veut pas faire alliance avec un samouraï. Est-ce que les ennemis d’hier pourront devenir alliés pour vaincre les romains et surtout atteindre l’arbre monde ? Le graphisme du manga est toujours appréciable, assez détaillé pour bien identifier l’origine des guerriers venus de différentes époques et civilisations et surtout une très belle dynamique dans les combats. Concernant l’histoire, il manque encore un certain nombre d’informations et la trame principale n’est pas toujours mise en avant. Après c’est un peu normal vu qu’il y a beaucoup d’obstacles devant nos héros et surtout beaucoup d’affrontements à gagner. Valhallian est un vrai manga de guerre et d’action efficace et qui a une certaine originalité. Par contre pour les lecteurs qui cherchent autre chose que du combat, il n’a pas encore fait ses preuves. La série est finie en 6 tomes.
  19. Titre de l'album : Valhallian the black iron tome 2 Scenariste de l'album : MATSUBARA Toshimitsu Dessinateur de l'album : MATSUBARA Toshimitsu Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Un samouraï surdoué au coeur de la bataille du Valhalla ! Pour retrouver son fils, Tetsujiro accepte de devenir le guerrier de Hrist et de libérer les Midgardiennes capturées par les légions romaines que dirige le cruel général Crassus. Ces soldats ont été invoqués par une valkyrie supérieure il y a fort longtemps... Depuis, la paix n'est plus qu'un lointain souvenir pour les habitants de Midgard. En parvenant à tuer Hræsvelg, l'aigle avaleur de cadavres, le samouraï gagne le respect de Guan Yu Yunchang, qui accepte de le rejoindre avec ses guerriers errants... Mais, pour espérer vaincre l'armée de Kára, Tetsujiro va également devoir s'allier avec d'autres combattants... dont Kubilai Khan, l'empereur des Mongols, ennemi juré des Japonais ! Critique : Tetsujiro rencontre les guerriers errants mais les anciennes rancœurs sont difficiles à dépasser et leur chef Kubilai Khan (le fils de Gengis, 1er empereur des mongols) ne veut pas faire alliance avec un samouraï. Est-ce que les ennemis d’hier pourront devenir alliés pour vaincre les romains et surtout atteindre l’arbre monde ? Le graphisme du manga est toujours appréciable, assez détaillé pour bien identifier l’origine des guerriers venus de différentes époques et civilisations et surtout une très belle dynamique dans les combats. Concernant l’histoire, il manque encore un certain nombre d’informations et la trame principale n’est pas toujours mise en avant. Après c’est un peu normal vu qu’il y a beaucoup d’obstacles devant nos héros et surtout beaucoup d’affrontements à gagner. Valhallian est un vrai manga de guerre et d’action efficace et qui a une certaine originalité. Par contre pour les lecteurs qui cherchent autre chose que du combat, il n’a pas encore fait ses preuves. La série est finie en 6 tomes. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/valhallian-the-black-iron-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Nickad

    Ayashimon tome 1

    Maruo est un adolescent qui a toujours rêvé de devenir un héros comme dans les mangas, pour cela il s’est entrainé à la dure depuis son plus jeune âge. A présent, il est fort mais n’est jamais satisfait car ses adversaires, plus faibles, ne lui permettent pas de mener un vrai combat où il pourrait y aller à fond. Un jour, il croise Urara, une jeune fille poursuivie par des yakuzas, il l’aide et découvre un nouveau monde. Urara est en réalité l’héritière cachée du défunt chef de clan, elle cherche à mettre la main sur le quartier tout en éliminant les concurrents. En plus, tous ces yakuzas sont des Ayashimons, des monstres-démons très puissants qui vivent selon leurs propres règles. Maruo va enfin pouvoir sans donner à cœur joie ! L’auteur de Hell’s paradise revient, toujours avec son amour du fantastique et ses combats bien orchestrés ! Beaucoup de points intéressants dans ce manga : d’abord un héros très fort et aussi très innocent (un peu comme dans mashle) et puis un univers qui mélange yokais et yakuzas, deux thèmes très japonais mais traités ici de façon à ne pas cliver les lecteurs, pas besoin d’avoir de connaissances poussées pour pouvoir en profiter. L’ensemble fonctionne bien et promet de belles choses. Hélas, le titre n’a pas su séduire les japonais et la série s’arrête au chapitre 25 (soit 3 tomes), espérons que l’auteur aura réussi à faire une véritable conclusion. En attendant, rien ne vous empêche d’aller découvrir Maruo et Urara dans cette histoire originale.
  21. Nickad

    Ayashimon tome 1

    Titre de l'album : Ayashimon tome 1 Scenariste de l'album : KAKU Yûji Dessinateur de l'album : KAKU Yûji Coloriste : Editeur de l'album : Crunchyroll Note : Résumé de l'album : Maruo est un adolescent dont la passion pour les mangas n'a d'égale que la force physique. Cette puissance, qui ne lui a jusque-là attiré qu'une cascades d'ennuis, l'amène à sauver par hasard la jeune Urara, fille cachée d'un chef yakuza décédé dans d'étranges circonstances. En devenant son garde du corps, Maruo est en passe de réaliser son rêve : se battre contre de vigoureux adversaires à l'image de ses icônes, les héros de shônen ! De son côté, Urara, en quête de vengeance, va dévoiler à Maruo les arcanes d'un monde inconnu des humains, celui des ayashimon, autrement dit, des démons-yakuzas... Critique : Maruo est un adolescent qui a toujours rêvé de devenir un héros comme dans les mangas, pour cela il s’est entrainé à la dure depuis son plus jeune âge. A présent, il est fort mais n’est jamais satisfait car ses adversaires, plus faibles, ne lui permettent pas de mener un vrai combat où il pourrait y aller à fond. Un jour, il croise Urara, une jeune fille poursuivie par des yakuzas, il l’aide et découvre un nouveau monde. Urara est en réalité l’héritière cachée du défunt chef de clan, elle cherche à mettre la main sur le quartier tout en éliminant les concurrents. En plus, tous ces yakuzas sont des Ayashimons, des monstres-démons très puissants qui vivent selon leurs propres règles. Maruo va enfin pouvoir sans donner à cœur joie ! L’auteur de Hell’s paradise revient, toujours avec son amour du fantastique et ses combats bien orchestrés ! Beaucoup de points intéressants dans ce manga : d’abord un héros très fort et aussi très innocent (un peu comme dans mashle) et puis un univers qui mélange yokais et yakuzas, deux thèmes très japonais mais traités ici de façon à ne pas cliver les lecteurs, pas besoin d’avoir de connaissances poussées pour pouvoir en profiter. L’ensemble fonctionne bien et promet de belles choses. Hélas, le titre n’a pas su séduire les japonais et la série s’arrête au chapitre 25 (soit 3 tomes), espérons que l’auteur aura réussi à faire une véritable conclusion. En attendant, rien ne vous empêche d’aller découvrir Maruo et Urara dans cette histoire originale. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ayashimon-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Nickad

    Gourmet détective tome 2

    Une seule enquête pour ce second tome, le « samouraï gourmet » est mort ! Qui était-il ? Un client qui prenait les plats des restaurants où il mangeait en photo et qui postait des commentaires acerbes sur le net. Une nouvelle enquête en plein cœur de la cuisine française ! J’ai vraiment un ressenti étrange sur cette série, d’un côté il y a des enquêtes culinaires qui se lisent bien, plutôt bien faites mais absolument pas passionnantes (on est loin de Sherlock Holmes !) et de l’autre, il y a un aspect totalement inutile dans le sens où cette série n’apporte pas grand-chose dans l’univers du manga policier. Pourtant, la série est assez plaisante avec une certaine élégance et il y a de la créativité dans la mise en œuvre des différents crimes. Donc si vous avez un moment tranquille et que vous recherchez une lecture distrayante sans trop vous prendre la tête, ce manga pourra vous convenir.
  23. Titre de l'album : Gourmet détective tome 2 Scenariste de l'album : HIGASHIMURA Akito Dessinateur de l'album : HIGASHIMURA Akito Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt - Tonkam Note : Résumé de l'album : Si vous deviez mourir demain, quel serait votre dernier repas ? Goro Akechi est un célèbre détective privé qui a un petit bureau à Omotesando. Il aime la bonne cuisine et se retrouve souvent à résoudre des affaires mystérieuses. Akechi implique également Ichigo Kobayashi une vendeuse de bento dans ses aventures, faisant d'elle son assistante. Critique : Une seule enquête pour ce second tome, le « samouraï gourmet » est mort ! Qui était-il ? Un client qui prenait les plats des restaurants où il mangeait en photo et qui postait des commentaires acerbes sur le net. Une nouvelle enquête en plein cœur de la cuisine française ! J’ai vraiment un ressenti étrange sur cette série, d’un côté il y a des enquêtes culinaires qui se lisent bien, plutôt bien faites mais absolument pas passionnantes (on est loin de Sherlock Holmes !) et de l’autre, il y a un aspect totalement inutile dans le sens où cette série n’apporte pas grand-chose dans l’univers du manga policier. Pourtant, la série est assez plaisante avec une certaine élégance et il y a de la créativité dans la mise en œuvre des différents crimes. Donc si vous avez un moment tranquille et que vous recherchez une lecture distrayante sans trop vous prendre la tête, ce manga pourra vous convenir. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/gourmet-detective-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Nickad

    Frontier

    Une petite photo de Guillaume qui viendra voir la critique sur le site
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