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Nickad

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  1. Nickad

    Hitomoji - stress mortel tome 1

    Un petit début scientifique pour bien comprendre le manga : certaines personnes sont porteuses d’une bactérie appelée anthropamide, quand celle-ci se réveille à cause d’un stress important, son hôte perd alors sa forme humaine (sauf la tête), devient une sorte de blob et peut finir par mourir si la cause du stress n’est pas résolue le plus rapidement possible. On les appelle alors des hitomojis. L’histoire suit le quotidien de la brigade spéciale en charge des hitomojis, elle doit d’une part protéger le malade et les personnes aux alentours (quand un hitomoji meurt, il répand alors ses miasmes dans l’air), et elle doit surtout trouver rapidement la cause du stress et essayer de le résoudre. Ce 1er tome suit donc deux patients : un homme divorcé pris dans les tumultes du droit de garde et une femme devenue alcoolique suit à l’abandon de son petit ami. S’il y a une part de fantastique sur la transformation de l’homme en hitomoji, c’est surtout la psychologie qui est importante. Ici, l’enquête doit être rapide et ensuite il faut user de diplomatie pour arriver à résoudre les problèmes. Ce qui est bien, c’est que la brigade spéciale ne réussit pas à tous les coups. Finalement, on se rend compte que l’hitomoji n’est qu’une métaphore de notre société, c’est une représentation physique du stress qui nous ronge, de ce « poison quotidien » qu’il convient d’éliminer avant qu’il ne soit trop tard. Une série intéressante finie en 4 tomes.
  2. Titre de l'album : Il ne comprend pas qu'il me plaît tome 1 Scenariste de l'album : KENNOJI / MATSUURA Haco Dessinateur de l'album : MODORIKAWA Yoh / Fly Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Alors qu'il prend le train pour se rendre au lycée, Ryô porte secours à une passagère victime d'un pervers sexuel. Cette dernière n'est autre qu'Hina, son amie d'enfance avec qui il avait pris ses distances depuis le collège. Dès lors, Hina semble s'intéresser de nouveau à son camarade, mais de façon plus... mature ! Ryô sera-t-il quant à lui assez mature pour comprendre ce qu'elle veut...? Critique : Après avoir aidé une jeune fille dans le train alors qu’elle se faisait tripoter, Ryo découvre qu’il s’agit de son amie d’enfance avec qui il n’a plus de relations depuis longtemps. Cet événement permet de renouer des liens. Mais entre-temps, lui est un peu le garçon à part de la classe, et elle, Hina est devenue la star du lycée. Ryo ne comprend pas trop pourquoi, après tant d’années, elle décide de lui parler à nouveau. Ensemble, ils revivent des souvenirs et peu à peu, les promesses de l’enfance refont surface. Adapté d’un light novel ce manga est réellement un shojo au sens premier du terme, inutile d’aller chercher midi à quatorze heures, il y a de la romance, de la romance et que de la romance ! Pas de propos cachés, pas de lycéens hors normes ou atypiques ; juste une histoire d’amis d’enfance qui se sont fait des promesses d’enfants, qui se sont éloignés et qui vont se retrouver. Hina a un côté timide et essaye de faire des gros sous-entendus pour faire comprendre ses sentiments. Ryo n’est pas encore au stade où il pourrait croire qu’il a une chance car pour lui, la star du lycée ne peut pas être avec un gars comme lui. Alors c’est sans grande originalité mais c’est mignon, c’est frais et ça se lit tout seul. Extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/il-ne-comprend-pas-qu-il-me-plait-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Après avoir aidé une jeune fille dans le train alors qu’elle se faisait tripoter, Ryo découvre qu’il s’agit de son amie d’enfance avec qui il n’a plus de relations depuis longtemps. Cet événement permet de renouer des liens. Mais entre-temps, lui est un peu le garçon à part de la classe, et elle, Hina est devenue la star du lycée. Ryo ne comprend pas trop pourquoi, après tant d’années, elle décide de lui parler à nouveau. Ensemble, ils revivent des souvenirs et peu à peu, les promesses de l’enfance refont surface. Adapté d’un light novel ce manga est réellement un shojo au sens premier du terme, inutile d’aller chercher midi à quatorze heures, il y a de la romance, de la romance et que de la romance ! Pas de propos cachés, pas de lycéens hors normes ou atypiques ; juste une histoire d’amis d’enfance qui se sont fait des promesses d’enfants, qui se sont éloignés et qui vont se retrouver. Hina a un côté timide et essaye de faire des gros sous-entendus pour faire comprendre ses sentiments. Ryo n’est pas encore au stade où il pourrait croire qu’il a une chance car pour lui, la star du lycée ne peut pas être avec un gars comme lui. Alors c’est sans grande originalité mais c’est mignon, c’est frais et ça se lit tout seul. Extrait
  4. Nickad

    Elden ring tome 1

    manque de temps en ce moment... 🥱 mais oui, entre 2h et 7h environ... d'ailleurs il y avait encore 120 personnes sur le site quand j'ai mis la critique !
  5. Nickad

    Elden ring tome 1

    A l’origine Elden Ring est un jeu vidéo sorti en 2022, un univers de dark fantasy sérieux et assez sombre qui a eu un certain succès. Rien d’étonnant à ce qu’il y ait une adaptation manga et pour ceux qui connaissent le jeu, l’auteur a voulu en faire une version plus légère, comique même. Le personnage principal « Sans-nom » semble être destiné à un grand avenir, ou plutôt il a été choisi par la Grâce pour potentiellement devenir le seigneur d’Elden. Mais lui se réveille en sous-vêtement et sans souvenir, il se retrouve dans un environnement où il ne comprend rien et rencontre d’étranges personnages tous plus énigmatiques les uns que les autres. Je serai bien en peine de noter ce manga, d’abord parce que je ne connais pas l’univers d’Elden Ring, ensuite parce que le décalage volontaire du personnage me laisse perplexe. Il y a en même temps un côté très sérieux avec une quête à accomplir et de belle phrases et de l’autre, un gars un peu brut qui comprend surtout le langage propre aux jeux vidéo et qui en plus ne semble pas faire grand cas de l’objectif qui lui a été donné. Je ne sais pas quoi penser de ce scénario qui semble un peu partir dans tous les sens…. Par contre, le graphisme est très intéressant, il y a des décors et des personnages plus proches de la BD d’heroic fantasy que du manga et visiblement, on y retrouve les lieux et certains personnages du jeu. Donc si comme moi, vous débarquez dans cet univers, sachez que le livre est tout à fait lisible sans connaissance et qu’il faudra aller plus loin pour se faire vraiment un avis sur le scénario. La suite est déjà disponible en numérique sur le site de Mana books au prix de 0.49€ le chapitre. Extrait PS : la dernière image ci-dessous vient du jeu vidéo
  6. Nickad

    Elden ring tome 1

    Titre de l'album : Elden ring tome 1 Scenariste de l'album : TOBITA Nikkichi / FromSoftware Dessinateur de l'album : TOBITA Nikkichi Coloriste : Editeur de l'album : Mana Books Note : Résumé de l'album : Nécrolimbe, royaume de l'Entre-Terre. C'est sans le sou et sans vêtements que «Sans-nom» vient d'atterrir ici. Désespéré face au caractère impitoyable du monde dans lequel il a été projeté, il fait la rencontre de la mystérieuse Melina. Celle-ci lui propose alors un marché et l'encourage à suivre la grâce jusqu'à l'Arbre-Monde. Sur sa route, Sans-nom tombera sur un panel d'individus tous plus gratinés les uns que les autres : Pat l'Affranchi, Blaidd le Semi-Loup, Margit le Déchu, Godrick le Greffé, et Ranni la Sorcière... Poursuivant son voyage à travers Nécrolimbe au péril de sa vie, notre héros arrive bientôt à sa prochaine destination : le château de Voilorage ! Critique : A l’origine Elden Ring est un jeu vidéo sorti en 2022, un univers de dark fantasy sérieux et assez sombre qui a eu un certain succès. Rien d’étonnant à ce qu’il y ait une adaptation manga et pour ceux qui connaissent le jeu, l’auteur a voulu en faire une version plus légère, comique même. Le personnage principal « Sans-nom » semble être destiné à un grand avenir, ou plutôt il a été choisi par la Grâce pour potentiellement devenir le seigneur d’Elden. Mais lui se réveille en sous-vêtement et sans souvenir, il se retrouve dans un environnement où il ne comprend rien et rencontre d’étranges personnages tous plus énigmatiques les uns que les autres. Je serai bien en peine de noter ce manga, d’abord parce que je ne connais pas l’univers d’Elden Ring, ensuite parce que le décalage volontaire du personnage me laisse perplexe. Il y a en même temps un côté très sérieux avec une quête à accomplir et de belle phrases et de l’autre, un gars un peu brut qui comprend surtout le langage propre aux jeux vidéo et qui en plus ne semble pas faire grand cas de l’objectif qui lui a été donné. Je ne sais pas quoi penser de ce scénario qui semble un peu partir dans tous les sens…. Par contre, le graphisme est très intéressant, il y a des décors et des personnages plus proches de la BD d’heroic fantasy que du manga et visiblement, on y retrouve les lieux et certains personnages du jeu. Donc si comme moi, vous débarquez dans cet univers, sachez que le livre est tout à fait lisible sans connaissance et qu’il faudra aller plus loin pour se faire vraiment un avis sur le scénario. La suite est déjà disponible en numérique sur le site de Mana books au prix de 0.49€ le chapitre. Extrait PS : la dernière image ci-dessous vient du jeu vidéo Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/elden-ring-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Nickad

    Entre nos mains tome 1

    Makimura et Midori ont passé tout le lycée ensemble, les deux jeunes filles filaient le parfait amour et profitaient de chaque instant. Mais le jour du diplôme Midori s’en va, estimant que deux filles ensemble, cela ne peut pas durer éternellement. Des années plus tard, Makimura se lamente auprès d’une amie, ce n’est pas facile de trouver l’amour quand on aime les filles et encore moins facile quand on n’a jamais pu oublier son amour de jeunesse. C’est là qu’elle croise Midori, elle pense pouvoir se rapprocher et avoir une seconde chance mais apprend que cette dernière est sur le point de se marier. Dans ce manga, chaque personnage amène un sujet. Makimura permet de montrer toute la difficulté d’être lesbienne dans la société actuelle. Midori représente parfaitement le conflit qui peut exister entre faire ce dont on a envie et se conformer à ce que la majorité considère comme normal : se marier avec un homme, devenir une bonne mère, être responsable quand on est adulte… Et Tazune (le futur mari) incarne le mâle suprême d’une société patriarcale qui se sent supérieur aux femmes. Il a d’ailleurs un certain nombre de propos offusquants « les femmes […] elles sont faciles à manipuler ». Mais toute l’histoire tourne autour de Midori, c’est elle le chef d’orchestre sauf qu’elle ne sait pas encore quelle partition jouer, elle hésite et ne se rend pas encore compte des futures tornades qu’elle engendre. Un peu dérangée par le graphisme où il y a quelques problèmes de proportion, le manga a quand même capté mon attention. Entre les réflexions du futur mari et cette pauvre Midori qui ne sait plus où elle en est et qui essaye de se convaincre qu’elle pourra être heureuse de cette façon, l’autrice arrive à nous faire réagir et à nous donner l’envie de lire la suite. La série est terminée en 4 tomes. Extrait
  8. Titre de l'album : Entre nos mains tome 1 Scenariste de l'album : BATTAN Dessinateur de l'album : BATTAN Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Makimura n'a jamais pu oublier Midori, la fille qu'elle aimait au lycée. Aujourd'hui étudiante, sur le point de terminer ses études, elle reste prisonnière de cette relation du passé. Mais quand Midori surgit par hasard dans le cabinet d'ophtalmologie où elle travaille, la jeune femme veut croire à un coup du destin. Mais la vie prend parfois des détours compliqués, et devenue adulte, Midori est-elle prête à enfin s'engager ouvertement aux yeux de tous ? Critique : Makimura et Midori ont passé tout le lycée ensemble, les deux jeunes filles filaient le parfait amour et profitaient de chaque instant. Mais le jour du diplôme Midori s’en va, estimant que deux filles ensemble, cela ne peut pas durer éternellement. Des années plus tard, Makimura se lamente auprès d’une amie, ce n’est pas facile de trouver l’amour quand on aime les filles et encore moins facile quand on n’a jamais pu oublier son amour de jeunesse. C’est là qu’elle croise Midori, elle pense pouvoir se rapprocher et avoir une seconde chance mais apprend que cette dernière est sur le point de se marier. Dans ce manga, chaque personnage amène un sujet. Makimura permet de montrer toute la difficulté d’être lesbienne dans la société actuelle. Midori représente parfaitement le conflit qui peut exister entre faire ce dont on a envie et se conformer à ce que la majorité considère comme normal : se marier avec un homme, devenir une bonne mère, être responsable quand on est adulte… Et Tazune (le futur mari) incarne le mâle suprême d’une société patriarcale qui se sent supérieur aux femmes. Il a d’ailleurs un certain nombre de propos offusquants « les femmes […] elles sont faciles à manipuler ». Mais toute l’histoire tourne autour de Midori, c’est elle le chef d’orchestre sauf qu’elle ne sait pas encore quelle partition jouer, elle hésite et ne se rend pas encore compte des futures tornades qu’elle engendre. Un peu dérangée par le graphisme où il y a quelques problèmes de proportion, le manga a quand même capté mon attention. Entre les réflexions du futur mari et cette pauvre Midori qui ne sait plus où elle en est et qui essaye de se convaincre qu’elle pourra être heureuse de cette façon, l’autrice arrive à nous faire réagir et à nous donner l’envie de lire la suite. La série est terminée en 4 tomes. Extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/entre-nos-mains-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Nickad

    Le rossignol rêve de printemps

    Shirakawa est en terminale, il a battu à la baston tous ceux qui sont venus lui chercher des noises, une sorte de tradition dans son établissement. Mais il s’ennuie, n’a plus envie de rien jusqu’au jour où Narumi, un nouveau professeur arrive qui est aussi une légende dans l’histoire des bagarreurs du lycée. Shirakawa lui demande alors de le combattre. A force de suivre son professeur partout, le lycéen va éprouver des sentiments, de son côté le professeur le trouve attachant mais pense d’abord à son devoir d’enseignant. L’histoire est assez classique, met en scène le voyou du lycée qui a un bon fond et qui va réussir par sa sincérité à faire fondre le cœur du professeur. Le dessin comme la narration sont bien faits et agréables, le personnage de Shirakawa amène toute la fraicheur à l’histoire. C’est sans surprise mais c’est un bon divertissement.
  10. Titre de l'album : Le rossignol rêve de printemps Scenariste de l'album : NAYUTA Nago Dessinateur de l'album : NAYUTA Nago Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : La tradition du lycée ? Vaincre les élèves de terminale à la baston. Parmi les élèves de première, les meilleurs dans cette catégorie s'y donnent à cœur joie. Ça tombe bien, Haruka Shirakawa aime se battre mais ne rencontre aucun adversaire à sa hauteur. L'ennui total... Arrivé en terminale, il rencontre LA légende vivante de son lycée : Kazuyuki Narumi. Employé comme professeur, il était lui-même élève ici et est connu pour être resté invaincu à son époque. Haruka a trouvé une nouvelle obsession : se battre contre son professeur, ce qui va amener à une certaine proximité... Critique : Shirakawa est en terminale, il a battu à la baston tous ceux qui sont venus lui chercher des noises, une sorte de tradition dans son établissement. Mais il s’ennuie, n’a plus envie de rien jusqu’au jour où Narumi, un nouveau professeur arrive qui est aussi une légende dans l’histoire des bagarreurs du lycée. Shirakawa lui demande alors de le combattre. A force de suivre son professeur partout, le lycéen va éprouver des sentiments, de son côté le professeur le trouve attachant mais pense d’abord à son devoir d’enseignant. L’histoire est assez classique, met en scène le voyou du lycée qui a un bon fond et qui va réussir par sa sincérité à faire fondre le cœur du professeur. Le dessin comme la narration sont bien faits et agréables, le personnage de Shirakawa amène toute la fraicheur à l’histoire. C’est sans surprise mais c’est un bon divertissement. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-rossignol-reve-de-printemps?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. jusqu’à

    Voilà les titres et leurs résumés
  12. Nickad

    Amour Placebo tome 1

    les japonais travaillent beaucoup, c'est l'un des pays où il y a le plus de morts dues au surmenage (comme en Corée) Il n'est pas rare que les employés passent la nuit au bureau, du coup, la vie de famille est secondaire, c'est aussi pour ça qu'il y a encore beaucoup de mariages arrangés, en général ce sont les mères (au foyer car à partir du moment où une femme se marie, il est mal vu de travailler) qui organisent les rencontres pour leurs enfants
  13. jusqu’à
    Les éditions Panini lance une collection à petit prix (6.99 € le comics en format souple) Deux objectifs dans cette collection : le premier c'est de proposer des histoires inédites à un prix abordable le deuxième c'est de permettre aux nouveaux lecteurs de comics de se familiariser avec des histoires indépendantes qui ne nécessitent pas forcément de connaissance dans le domaine en espérant bien sûr attirer un nouveau lectorat La première vague de cette nouvelle collection sortira le 8 Mars 2023, à l'occasion de la journée de la femme (je ne m'appesantirai pas sur le sujet LA journée de la femme, on pourrait en parler longtemps... 😒) et mettra à l'honneur 6 super héroïnes. Les livres sortiront aussi dans une version coffret incluant 6 ex-libris exclusifs. La seconde série devrait sortir au mois de Mai et concernera Star Wars.
  14. Nickad

    Sous le linceul de la mariée

    Sous le linceul de la mariée parle d’un sujet délicat, tabou même : un amour entre deux demi-frères, un amour tellement fort qu’il va réussir à transcender les lois de la nature. Le gros problème de ce manga c’est le scénario, non pas qu’il soit inintéressant mais c’est qu’il est trop dense. Impossible de trop en dire sans spoiler mais il y a beaucoup trop d’éléments pour un one shot, du coup, c’est parfois confus et cela manque de développement. L’autre point négatif, ce sont les personnages, peut-être parce que l’auteur n’avait pas assez de place pour développer leur personnalité, peut-être parce que le dessin ne retranscrit pas leurs sentiments. Le graphisme a un côté très esthétique, des visages longilignes, androgynes mais presque toujours impassibles. On sait que les personnages sont attachés l’un à l’autre parce que c’est écrit, cette amour incroyablement fort que l’on nous présente, on ne le ressent quasiment pas. Pourtant il y a une certaine élégance, une couverture envoutante, des idées originales, une histoire qui aurait mérité au moins 2 tomes.
  15. Titre de l'album : Sous le linceul de la mariée Scenariste de l'album : AKAGAWA Sagan Dessinateur de l'album : AKAGAWA Sagan Coloriste : Editeur de l'album : Taifu Note : Résumé de l'album : Après un épouvantable conflit autour de la succession familiale, la cérémonie de mariage du plus jeune frère, devenu chef de famille, eut lieu dans une ambiance austère. Le visage de la mariée, caché de tous sous un voile épais, lui valut le surnom d’« épouse sans visage ». Mais celle qu’il étreignit lors de leur nuit de noces avait tout de son demi-frère plus âgé, présumé mort… Critique : Sous le linceul de la mariée parle d’un sujet délicat, tabou même : un amour entre deux demi-frères, un amour tellement fort qu’il va réussir à transcender les lois de la nature. Le gros problème de ce manga c’est le scénario, non pas qu’il soit inintéressant mais c’est qu’il est trop dense. Impossible de trop en dire sans spoiler mais il y a beaucoup trop d’éléments pour un one shot, du coup, c’est parfois confus et cela manque de développement. L’autre point négatif, ce sont les personnages, peut-être parce que l’auteur n’avait pas assez de place pour développer leur personnalité, peut-être parce que le dessin ne retranscrit pas leurs sentiments. Le graphisme a un côté très esthétique, des visages longilignes, androgynes mais presque toujours impassibles. On sait que les personnages sont attachés l’un à l’autre parce que c’est écrit, cette amour incroyablement fort que l’on nous présente, on ne le ressent quasiment pas. Pourtant il y a une certaine élégance, une couverture envoutante, des idées originales, une histoire qui aurait mérité au moins 2 tomes. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sous-le-linceul-de-la-mariee?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Nickad

    Prochaines sorties...

    côté manga, il y a toujours de quoi faire...
  17. Nickad

    Lozère apocalypse

    c'est vrai que tout se mélange ne donne pas trop envie de se lancer ...
  18. Nickad

    Mon petit ami genderless tome 1

    Pour être honnête si ce manga n’avait pas porté ce titre j’aurais mis 4. Oui car forcément le mot « genderless » sans genre en français fait référence aux personnes non binaires qui ne se retrouvent ni dans le genre féminin ni dans le masculin. Aujourd’hui, c’est un sujet ouvert, la société a commencé à les prendre en compte comme un « genre » à part entière, certains pays ont déjà établi une identification « sans genre » sur les papiers d’identité et en France on utilise même le pronom « iel ». Alors le titre portait une promesse, j’espérais une immersion dans le sujet, découvrir la vie au quotidien, les difficultés à s’assumer, à s’intégrer dans une société encore très vieux-jeu. J’espérais aussi que le sujet ressorte dans cette histoire d’amour. Hélas, la promesse n’est pas tenue, Meguru, le petit ami, est mannequin, personne ne trouve étrange la façon dont il s’habille, ni le fait qu’il se maquille ou se fasse les ongles, tout se passe facilement (et tant mieux pour lui !), même son couple et sans surprise : il est avec une fille fan de tout ce qui est beau et mignon. Je ne dis pas que le manga n’est pas bien car l’histoire est toute mignonne et pleine de bon sentiment et en plus le graphisme est agréable. C’est un bon shojo mais cela reste une déception par rapport à un sujet annoncé qui au final n’est pas exploité. Nota : si vous voulez des mangas sur le non-genre allez lire le secret de Madoka ou Love me for who I am.
  19. Titre de l'album : Mon petit ami genderless tome 1 Scenariste de l'album : TAMEKOU Dessinateur de l'album : TAMEKOU Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Dans Mon petit ami genderless, suivez le quotidien lumineux d'un couple particulièrement moderne. Sous le trait de Tamekou, laissez-vous attendrir par ce nouveau manga bourré d'énergie positive. Wako travaille au sein d'une maison d'édition. Meguru est un homme genderless, star des réseaux sociaux. Tous les deux sont amoureux, mais leur quotidien ne ressemble pas à celui d'un couple conventionnel : entre elle qui enchaîne les heures supplémentaires au travail et lui, dont le principal intérêt est de se rendre mignon pour la femme qu'il aime, ils déstabilisent souvent leur entourage... Mais ensemble, ils sont heureux, et c'est bien ça l'essentiel. Critique : Pour être honnête si ce manga n’avait pas porté ce titre j’aurais mis 4. Oui car forcément le mot « genderless » sans genre en français fait référence aux personnes non binaires qui ne se retrouvent ni dans le genre féminin ni dans le masculin. Aujourd’hui, c’est un sujet ouvert, la société a commencé à les prendre en compte comme un « genre » à part entière, certains pays ont déjà établi une identification « sans genre » sur les papiers d’identité et en France on utilise même le pronom « iel ». Alors le titre portait une promesse, j’espérais une immersion dans le sujet, découvrir la vie au quotidien, les difficultés à s’assumer, à s’intégrer dans une société encore très vieux-jeu. J’espérais aussi que le sujet ressorte dans cette histoire d’amour. Hélas, la promesse n’est pas tenue, Meguru, le petit ami, est mannequin, personne ne trouve étrange la façon dont il s’habille, ni le fait qu’il se maquille ou se fasse les ongles, tout se passe facilement (et tant mieux pour lui !), même son couple et sans surprise : il est avec une fille fan de tout ce qui est beau et mignon. Je ne dis pas que le manga n’est pas bien car l’histoire est toute mignonne et pleine de bon sentiment et en plus le graphisme est agréable. C’est un bon shojo mais cela reste une déception par rapport à un sujet annoncé qui au final n’est pas exploité. Nota : si vous voulez des mangas sur le non-genre allez lire le secret de Madoka ou Love me for who I am. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mon-petit-ami-genderless-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Nickad

    Amour Placebo tome 1

    Voici le nouveau manga d’Akane TORIKAI, encore une fois, elle nous emmène sur des thèmes peu fréquents avec sa façon très particulière de mettre les femmes à l’honneur. Et le thème n’est pas facile car il parle de prostitution, pas de façon générale mais d’un jeune trentenaire Tamio Satô qui décide d’aller pour la première fois en maison close et de la jeune femme qu’il va rencontrer : Serika. Satô est un jeune homme écorché, qui a eu une adolescence difficile, il est professeur d’arts dans un lycée, il n’a pas de contrat à long terme, il n’a personne dans sa vie et il se sent surtout rejeté par la société. Il peut néanmoins se confier à une amie, ancienne copine de fac, qui va incarner le sens moral « commun » face à la situation. Serika est une jeune femme pleine de vie qui semble être sincère avec ses clients, qui ne juge pas, qui est compréhensive. Et tous deux vont peu à peu dépasser les limites de la relation professionnelle comme s’ils avaient trouvé leur âme sœur. L’histoire est là, l’histoire de leur relation compliquée, difficilement avouable et encore moins acceptable. Car on s’interroge, est-ce que cet amour est vrai ? N’est-ce pas un peu trop facile ? C’est encore une fois une thématique difficile qu’Akane Torikai nous propose, elle nous met face à des situations sur lesquelles nous n’aurions peut-être pas réfléchies, elle met en scène des personnages complexes, difficiles à cerner, des existences sur le fil du rasoir. Série finie en 2 tomes.
  21. Titre de l'album : Amour Placebo tome 1 Scenariste de l'album : TORIKAI Akane Dessinateur de l'album : TORIKAI Akane Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Tamio Satô est un professeur d'art qui peine à trouver un emploi stable. Célibataire et malheureux en amour, il ne correspond pas au modèle de réussite véhiculé par la société. Un soir, réalisant à quel point la solitude commence à lui peser, il décide de s'offrir le service de prostituées pour combler le vide en lui, sans grand succès. Cependant, tout change lorsqu'il rencontre Serika, une jeune femme de la maison close. Au fil des jours, alors qu'une véritable intimité se développe entre eux, Tamio Satô ne risque-t-il pas de se brûler les ailes ? Critique : Voici le nouveau manga d’Akane TORIKAI, encore une fois, elle nous emmène sur des thèmes peu fréquents avec sa façon très particulière de mettre les femmes à l’honneur. Et le thème n’est pas facile car il parle de prostitution, pas de façon générale mais d’un jeune trentenaire Tamio Satô qui décide d’aller pour la première fois en maison close et de la jeune femme qu’il va rencontrer : Serika. Satô est un jeune homme écorché, qui a eu une adolescence difficile, il est professeur d’arts dans un lycée, il n’a pas de contrat à long terme, il n’a personne dans sa vie et il se sent surtout rejeté par la société. Il peut néanmoins se confier à une amie, ancienne copine de fac, qui va incarner le sens moral « commun » face à la situation. Serika est une jeune femme pleine de vie qui semble être sincère avec ses clients, qui ne juge pas, qui est compréhensive. Et tous deux vont peu à peu dépasser les limites de la relation professionnelle comme s’ils avaient trouvé leur âme sœur. L’histoire est là, l’histoire de leur relation compliquée, difficilement avouable et encore moins acceptable. Car on s’interroge, est-ce que cet amour est vrai ? N’est-ce pas un peu trop facile ? C’est encore une fois une thématique difficile qu’Akane Torikai nous propose, elle nous met face à des situations sur lesquelles nous n’aurions peut-être pas réfléchies, elle met en scène des personnages complexes, difficiles à cerner, des existences sur le fil du rasoir. Série finie en 2 tomes. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/amour-placebo-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Nickad

    Blue box tome 1

    Taiki est en première année de lycée, il pratique le badminton. Depuis plus d’un an, il est amoureux de Chinatsu, la star de basket du lycée. Tous les entrainements ont lieu dans le même gymnase alors il est aux anges quand il peut la croiser un peu, ce qui arrive presque tous les matins. Pour pouvoir être à la hauteur de sa belle, il décide de faire tout son possible pour se qualifier pour le tournoi inter-lycée. Blue box c’est à la fois un manga sur le sport et une romance. Côté sport, on est gâté puisque l’on va suivre l’évolution des différents personnages, on aura le droit au basket, au badminton et même à la gymnastique rythmique. Même si dans ce 1er tome, le sport n’est pas l’aspect le plus détaillé, on sait qu’il va y avoir des qualifications et des tournois et pour l’occasion, de beaux discours sur la motivation des sportifs et leurs ambitions. Et puis il y a la romance et comme c’est assez rare, il faut souligner que c’est le garçon qui est amoureux de la fille, qui est plus âgée et qui va tout faire pour être digne d’elle afin d’attirer son attention. C’est une romance pleine de fraicheur, des jeunes sportifs prêts à aller au bout de leurs rêves ou qui au moins s’en donnent les moyens. Un manga qui plaira autant aux filles qu’aux garçons ! Découvrez l'extrait
  23. Nickad

    Blue box tome 1

    Titre de l'album : Blue box tome 1 Scenariste de l'album : MIURA Kouji Dessinateur de l'album : MIURA Kouji Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt - Tonkam Note : Résumé de l'album : Taiki Inomata, membre du club de badminton, a eu le coup de foudre pour Chinatsu Kano, la star du club de basket de son établissement. Il s'entraîne à ses côtés tous les matin. Sa relation avec Chinatsu va prendre un tournant totalement inédit lorsqu'un jour de printemps, une nouvelle des plus déconcertantes va lui offrir une opportunité inespérée de conquérir sa belle Critique : Taiki est en première année de lycée, il pratique le badminton. Depuis plus d’un an, il est amoureux de Chinatsu, la star de basket du lycée. Tous les entrainements ont lieu dans le même gymnase alors il est aux anges quand il peut la croiser un peu, ce qui arrive presque tous les matins. Pour pouvoir être à la hauteur de sa belle, il décide de faire tout son possible pour se qualifier pour le tournoi inter-lycée. Blue box c’est à la fois un manga sur le sport et une romance. Côté sport, on est gâté puisque l’on va suivre l’évolution des différents personnages, on aura le droit au basket, au badminton et même à la gymnastique rythmique. Même si dans ce 1er tome, le sport n’est pas l’aspect le plus détaillé, on sait qu’il va y avoir des qualifications et des tournois et pour l’occasion, de beaux discours sur la motivation des sportifs et leurs ambitions. Et puis il y a la romance et comme c’est assez rare, il faut souligner que c’est le garçon qui est amoureux de la fille, qui est plus âgée et qui va tout faire pour être digne d’elle afin d’attirer son attention. C’est une romance pleine de fraicheur, des jeunes sportifs prêts à aller au bout de leurs rêves ou qui au moins s’en donnent les moyens. Un manga qui plaira autant aux filles qu’aux garçons ! Découvrez l'extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/blue-box-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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