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Nickad

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Tout ce qui a été posté par Nickad

  1. Titre de l'album : Le retour du Clan Hwasan tomes 1 & 2 Scenariste de l'album : BIGA Dessinateur de l'album : Studio LICO Coloriste : Editeur de l'album : Michel Lafon Note : Résumé de l'album : Partez à l'aventure avec un épéiste légendaire ! Cheongmyeong, légendaire maître épéiste de l'illustre clan Hwasan, perd ses alliés et la vie dans un combat contre le chef suprême du culte démoniaque, Cheonma. Il se réveille cent ans plus tard, dans le corps affaibli d'un enfant mendiant. Alors que sa mémoire est intacte, sa force physique n'est plus celle de l'épéiste qu'il était, et son clan a perdu sa renommée. Afin de retrouver ses pouvoirs, Cheongmyeong s'embarque dans une quête épique et périlleuse... Critique : L’histoire se passe dans l’univers des arts martiaux coréens, le Murim (article ici pour en savoir plus). Le clan Hwasan, l’un des 10 grands clans de martialistes, est parti affronté le grand maitre du culte démoniaque Cheonma. Hélas, trois générations viennent à périr, le dernier, Cheongmyeong le maitre épéiste de la fleur d’abricotier rend son dernier souffle après avoir éliminé Cheonma. Il se réincarne 100 ans plus tard dans la peau d’un jeune mendiant et découvre que le clan Hwasan a périclité. Il décide alors d’y retourner pour le faire revivre ; mais à son arrivée, il découvre un clan ruiné, les trésors ont été vendus et les techniques du clan Hwasan ont été perdues en grande majorité ! On en avait déjà parlé mais entrer dans l’univers des arts martiaux n’est pas toujours aisé car il y a beaucoup de vocabulaire particulier, heureusement Le retour du clan Hwasan fait partie des plus accessible, les mots typiques y sont expliqués et il n’y a pas trop d’informations d’un coup. Le personnage de Cheonmyeong est assez drôle, d’abord parce qu’il n’était pas forcément le meilleur de disciples : il était très fort mais aussi très indiscipliné ! Du coup, il a tendance à faire un peu ce qu’il veut et finit par mener tout le monde à la baguette. Les personnages du clan Hwasan sont vite attachants et même s’ils doivent s’entrainer durement, il règne toujours une certaine légèreté ainsi que de la bonne humeur. On ne se trouve pas dans une histoire où un personnage meurt toutes les deux pages comme c’est le cas dans certains livres du genre. Le retour du clan Hwasan fait un bon début, l’histoire est sympathique et accessible à tous, l’univers n’est pas dramatique bien que sérieux de temps en temps et on a une panoplie de personnages intéressants. C’est un bon shonen d’arts martiaux. Pour information, la série est toujours en cours, 92 chapitres disponibles gratuitement sur WEBTOON et 109 chapitres en VO actuellement (saison 2). Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/retour-du-clan-hwasan-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. L’histoire se passe dans l’univers des arts martiaux coréens, le Murim (article ici pour en savoir plus). Le clan Hwasan, l’un des 10 grands clans de martialistes, est parti affronté le grand maitre du culte démoniaque Cheonma. Hélas, trois générations viennent à périr, le dernier, Cheongmyeong le maitre épéiste de la fleur d’abricotier rend son dernier souffle après avoir éliminé Cheonma. Il se réincarne 100 ans plus tard dans la peau d’un jeune mendiant et découvre que le clan Hwasan a périclité. Il décide alors d’y retourner pour le faire revivre ; mais à son arrivée, il découvre un clan ruiné, les trésors ont été vendus et les techniques du clan Hwasan ont été perdues en grande majorité ! On en avait déjà parlé mais entrer dans l’univers des arts martiaux n’est pas toujours aisé car il y a beaucoup de vocabulaire particulier, heureusement Le retour du clan Hwasan fait partie des plus accessible, les mots typiques y sont expliqués et il n’y a pas trop d’informations d’un coup. Le personnage de Cheonmyeong est assez drôle, d’abord parce qu’il n’était pas forcément le meilleur de disciples : il était très fort mais aussi très indiscipliné ! Du coup, il a tendance à faire un peu ce qu’il veut et finit par mener tout le monde à la baguette. Les personnages du clan Hwasan sont vite attachants et même s’ils doivent s’entrainer durement, il règne toujours une certaine légèreté ainsi que de la bonne humeur. On ne se trouve pas dans une histoire où un personnage meurt toutes les deux pages comme c’est le cas dans certains livres du genre. Le retour du clan Hwasan fait un bon début, l’histoire est sympathique et accessible à tous, l’univers n’est pas dramatique bien que sérieux de temps en temps et on a une panoplie de personnages intéressants. C’est un bon shonen d’arts martiaux. Pour information, la série est toujours en cours, 92 chapitres disponibles gratuitement sur WEBTOON et 109 chapitres en VO actuellement (saison 2).
  3. Titre de l'album : The Idaten Deities know only peace tome 1 Scenariste de l'album : AMAHARA Dessinateur de l'album : COOLKYOUSINNJYA Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : Voilà 800 ans que les Idaten, divinités protectrices, on scellé les démons et que le monde vit en paix. Les jeunes Idaten n’ont rien vécu des combats acharnés et des sacrifices de leurs ancêtres. Ils ne connaissent rien de la guerre, de la peine et de l’acharnement des combats. Si le sceau vient à se briser, sauront-ils accomplir leur devoir et protéger l’humanité ? Critique : Une critique de @Y_Kanzaki Les Idaten, ces divinités veillant sur les humains, n’ont plus rien à faire depuis que les démons menaçant de détruire le monde ont été scellés. A quoi bon passer ses journées à s’entraîner au combat lorsqu'il n’y a qu’un monde de paix qui se dessine à l’horizon ? De paix vous dites ? Ça, c’est sans compter sur les humains et leur insatiable envie de pouvoir ! Alors, que se passe-t-il lorsque des Idaten n’ayant aucun entraînement au combat se retrouvent à devoir affronter un démon que les humains ont ressuscité ? Au premier abord, on pourrait croire que cette histoire est un simple shonen où des dieux sans expérience doivent affronter des démons. Mais sous couvert de ce résumé, c’est en réalité la folie des Hommes qui est dépeinte: les démons sont ressuscités par des Hommes avides de pouvoir et de puissance. De plus, le rôle des Idaten est de protéger les humains, mais que faire lorsqu’ils se persécutent entre eux ? Doit-on intervenir alors qu’il faut juste protéger l’humanité en général et non chaque être humain ? Au niveau du graphisme, il y a un véritable contraste entre les traits des Idaten qui sont assez simples et enfantins et des passages où le dessin est bien plus franc et choquant. Cela fait bien ressortir la folie et la cruauté des Hommes. En conclusion, ce premier tome met vraiment l’accent sur le rôle des idaten et ce qu’ils considèrent comme un monde de paix. La deuxième moitié du tome introduit les dérives de l’Homme et sa cruauté, ce qui nous amène à nous demander qui sont les vrais démons. Un premier tome intéressant. ATTENTION ! Ce livre est destiné à un public adulte car certaines scènes sont choquantes et explicites ! Série finie en 9 tomes. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/idaten-know-only-peace-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Une critique de @Y_Kanzaki Les Idaten, ces divinités veillant sur les humains, n’ont plus rien à faire depuis que les démons menaçant de détruire le monde ont été scellés. A quoi bon passer ses journées à s’entraîner au combat lorsqu'il n’y a qu’un monde de paix qui se dessine à l’horizon ? De paix vous dites ? Ça, c’est sans compter sur les humains et leur insatiable envie de pouvoir ! Alors, que se passe-t-il lorsque des Idaten n’ayant aucun entraînement au combat se retrouvent à devoir affronter un démon que les humains ont ressuscité ? Au premier abord, on pourrait croire que cette histoire est un simple shonen où des dieux sans expérience doivent affronter des démons. Mais sous couvert de ce résumé, c’est en réalité la folie des Hommes qui est dépeinte: les démons sont ressuscités par des Hommes avides de pouvoir et de puissance. De plus, le rôle des Idaten est de protéger les humains, mais que faire lorsqu’ils se persécutent entre eux ? Doit-on intervenir alors qu’il faut juste protéger l’humanité en général et non chaque être humain ? Au niveau du graphisme, il y a un véritable contraste entre les traits des Idaten qui sont assez simples et enfantins et des passages où le dessin est bien plus franc et choquant. Cela fait bien ressortir la folie et la cruauté des Hommes. En conclusion, ce premier tome met vraiment l’accent sur le rôle des idaten et ce qu’ils considèrent comme un monde de paix. La deuxième moitié du tome introduit les dérives de l’Homme et sa cruauté, ce qui nous amène à nous demander qui sont les vrais démons. Un premier tome intéressant. ATTENTION ! Ce livre est destiné à un public adulte car certaines scènes sont choquantes et explicites ! Série finie en 9 tomes.
  5. Voici donc la suite d’un des shojo incontournable du moment qui reste depuis ses débuts dans le top de l’aventure romantique. Nina, sa servante et le prince Yor ont été envoyés dans la pire des prisons du royaume suite aux manigances du prince Tote. Là ils obtiennent l’aide du général Sol et s’apprêtent à s’échapper. C’est à ce moment qu’Azur arrive à la rescousse mais il faut encore battre le directeur de la prison qui incite tous les prisonniers à les pourchasser. Ce dernier vaincu, il faut à présent faire face au prince Seth qui semble avoir perdu tout sens commun et qui n’a qu’une idée en tête : tuer Nina. Que de rebondissements au cours de ces deux volumes, quand un problème est réglé, il faut en affronter un nouveau. Nina se retrouve face à une situation épineuse : Azur ou Seth ? Mais comme pour le moment Seth n’est pas dans son état normal, le choix est remis à plus tard, cela lui laissera le temps d’y réfléchir. Pendant ce temps, les manigances du prince Tote ont créées bien des problèmes, le royaume est sans dessus dessous, Nina et ses compagnons arriveront-ils à regagner Fortuna ? Encore une fois, deux très bons volumes pour une histoire dont on ne se lasse pas et dont on attend toujours la suite avec impatience.
  6. Titre de l'album : Nina du royaume aux étoiles tomes 8 & 9 Scenariste de l'album : RIKACHI Dessinateur de l'album : RIKACHI Coloriste : Editeur de l'album : Michel Lafon Note : Résumé de l'album : Prix Kodansha du meilleur shojo 2022 Prix Japannecy 2023 Le destin d'une jeune orpheline devenue princesse. Le directeur de Griffigeld tente à tout prix d'assassiner Nina, mais c'est compter sans l'arrivée d'Azur, bien décidé à libérer la jeune princesse. Face à cet obstacle inattendu, le directeur lâche les pires criminels de la prison aux trousses du duo royal. Une seule alternative : fuir ou mourir ! Critique : Voici donc la suite d’un des shojo incontournable du moment qui reste depuis ses débuts dans le top de l’aventure romantique. Nina, sa servante et le prince Yor ont été envoyés dans la pire des prisons du royaume suite aux manigances du prince Tote. Là ils obtiennent l’aide du général Sol et s’apprêtent à s’échapper. C’est à ce moment qu’Azur arrive à la rescousse mais il faut encore battre le directeur de la prison qui incite tous les prisonniers à les pourchasser. Ce dernier vaincu, il faut à présent faire face au prince Seth qui semble avoir perdu tout sens commun et qui n’a qu’une idée en tête : tuer Nina. Que de rebondissements au cours de ces deux volumes, quand un problème est réglé, il faut en affronter un nouveau. Nina se retrouve face à une situation épineuse : Azur ou Seth ? Mais comme pour le moment Seth n’est pas dans son état normal, le choix est remis à plus tard, cela lui laissera le temps d’y réfléchir. Pendant ce temps, les manigances du prince Tote ont créées bien des problèmes, le royaume est sans dessus dessous, Nina et ses compagnons arriveront-ils à regagner Fortuna ? Encore une fois, deux très bons volumes pour une histoire dont on ne se lasse pas et dont on attend toujours la suite avec impatience. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/nina-du-royaume-aux-etoiles-tome-8?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Titre de l'album : Dark Gathering tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : KONDÔ Kenichi Dessinateur de l'album : KONDÔ Kenichi Coloriste : Editeur de l'album : Mana Books Note : Résumé de l'album : Il fuit les esprits, elle les traque ! Keitaro est étudiant à l'université. Par le passé, sa capacité à attirer les esprits a causé des ennuis à sa meilleure amie. Malgré cela, il accepte un emploi à temps partiel en tant que professeur particulier, mais son élève, une jeune surdouée du nom de Yayoi, devine son pouvoir au premier coup d'œil. Elle l'invite à l'accompagner dans un lieu hanté... C'est le début d'une palpitante chasse aux esprits maléfiques ! Critique : Dark Gathering est d’abord arrivé en France via son anime (saison 1, 25 épisodes, disponible sur ADN) ; la série est en cours et compte 14 volumes actuellement. Dark gathering est un manga qui parle de phénomènes paranormaux, de fantômes, d’esprits malfaisants, de malédictions mais aussi d’amitié et d’entraide. Keitaro vient de rentrer à l’université en compagnie de son amie d’enfance Eiko, il est le major de promo mais n’a aucun ami. La raison de sa solitude provient de sa capacité à sentir les esprits mais surtout à les attirer et comme ils ne sont pas tous bienveillants, loin de là même, il a reçu une malédiction par le passé en s’en approchant trop près. Il est resté longtemps reclus à cause de ça et commence à peine à reprendre une vie normale. Dans cette optique, il décroche un job de professeur particulier, c’est là qu’il rencontre Yayoi, une jeune surdouée très étrange. En plus d’avoir un QI de 160, elle chasse les esprits et les emprisonne dans des poupées, elle espère ainsi retrouver l’esprit qui a pris l’âme de sa mère. Souvent dans ce genre d’histoire, le lecteur est confronté à tout un tas de monstre plus dégoutants les uns que les autres et l’accent est mis sur l’horreur et le visuel. Bien sûr il y a des situations effrayantes mais c’est plutôt la personnalité de Yayoi et sa façon d’être et d’agir qui provoquent une sensation de mal-être. De ce côté-là, Eiko fait aussi parfois peur mais dans un autre domaine, le seul être qui semble normal bien qu’il se traine des capacités dont il se serait bien passé, c’est Keitaro. L’histoire est bien équilibrée et tout en avançant dans la trame principale (se débarrasser de la malédiction et retrouver la mère de Yayoi), on assiste à plusieurs histoires fantastiques bien construites et intéressantes. Le graphisme est soigné, bourré de détails et sait mettre l’ambiance qu’il faut quand il le faut. Dark Gathering est un manga fantastique inquiétant qui sait susciter l’intérêt. Un bon début de série ! TRAILER DARK GATHERING Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dark-gathering-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Nickad

    Dark Gathering tomes 1 et 2

    Dark Gathering est d’abord arrivé en France via son anime (saison 1, 25 épisodes, disponible sur ADN) ; la série est en cours et compte 14 volumes actuellement. Dark gathering est un manga qui parle de phénomènes paranormaux, de fantômes, d’esprits malfaisants, de malédictions mais aussi d’amitié et d’entraide. Keitaro vient de rentrer à l’université en compagnie de son amie d’enfance Eiko, il est le major de promo mais n’a aucun ami. La raison de sa solitude provient de sa capacité à sentir les esprits mais surtout à les attirer et comme ils ne sont pas tous bienveillants, loin de là même, il a reçu une malédiction par le passé en s’en approchant trop près. Il est resté longtemps reclus à cause de ça et commence à peine à reprendre une vie normale. Dans cette optique, il décroche un job de professeur particulier, c’est là qu’il rencontre Yayoi, une jeune surdouée très étrange. En plus d’avoir un QI de 160, elle chasse les esprits et les emprisonne dans des poupées, elle espère ainsi retrouver l’esprit qui a pris l’âme de sa mère. Souvent dans ce genre d’histoire, le lecteur est confronté à tout un tas de monstre plus dégoutants les uns que les autres et l’accent est mis sur l’horreur et le visuel. Bien sûr il y a des situations effrayantes mais c’est plutôt la personnalité de Yayoi et sa façon d’être et d’agir qui provoquent une sensation de mal-être. De ce côté-là, Eiko fait aussi parfois peur mais dans un autre domaine, le seul être qui semble normal bien qu’il se traine des capacités dont il se serait bien passé, c’est Keitaro. L’histoire est bien équilibrée et tout en avançant dans la trame principale (se débarrasser de la malédiction et retrouver la mère de Yayoi), on assiste à plusieurs histoires fantastiques bien construites et intéressantes. Le graphisme est soigné, bourré de détails et sait mettre l’ambiance qu’il faut quand il le faut. Dark Gathering est un manga fantastique inquiétant qui sait susciter l’intérêt. Un bon début de série ! TRAILER DARK GATHERING
  9. Titre de l'album : Kaijû Defense Force tome 2 Scenariste de l'album : INOUE Junya Dessinateur de l'album : INOUE Junya Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : An X de l'ère Reiwa. Un terrible tsunami, provoqué par une avalanche sous-marine, ravage la côte Pacifique. Toutefois, il n'est que le prologue de calamités à venir. Agrippé sous le paquebot de luxe Fugaku, le kaijû déploie ses tentacules à l'intérieur du bateau et attaque les passagers les uns après les autres. Pendant un instant, Konoé manque de sombrer face à cette situation désespérée et totalement imprévisible. Elle parvient cependant à retrouver son sang-froid et la voici désormais prête à donner le signal de la contre-attaque... Son courage parviendra-t-il à sauver les passagers du danger ? Critique : La situation est tendue à bord du Fugaku, il faut absolument arriver à prévenir les passagers de s’éloigner des fenêtres, la kaijû déploie ses tentacules par chaque ouverture et arrive même à défoncer les portes. Heureusement Konoé se rend compte que le bruit les attire, elle arrive à transmettre un message et à joindre également ses supérieurs pour les tenir au courant de la situation. Après bien des négociations, l’équipe de secours se prépare à intervenir. Junya Inoue, surtout connu en France pour sa série Btooom, est un auteur qui sait faire de bons scénarios avec un équilibre entre action, fantastique et tranche de vie. Son trait est percutant et détaillé, ses scènes de combats et d’attaques sont dynamiques et sa mise en scène est efficace. Kaiju defense force est comme un bon film catastrophe, un peu comme Godzilla, où de simples humains pétris de bonne volonté vont surpasser leurs limites pour affronter un monstre inconnu au péril de leur vie et sauver les humains. Le rythme est endiablé, l’action constante, on ne s’ennuie pas un seul instant et on ne demande qu’à lire la suite ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/kaiju-defense-force-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Nickad

    Kaijû Defense Force tome 2

    La situation est tendue à bord du Fugaku, il faut absolument arriver à prévenir les passagers de s’éloigner des fenêtres, la kaijû déploie ses tentacules par chaque ouverture et arrive même à défoncer les portes. Heureusement Konoé se rend compte que le bruit les attire, elle arrive à transmettre un message et à joindre également ses supérieurs pour les tenir au courant de la situation. Après bien des négociations, l’équipe de secours se prépare à intervenir. Junya Inoue, surtout connu en France pour sa série Btooom, est un auteur qui sait faire de bons scénarios avec un équilibre entre action, fantastique et tranche de vie. Son trait est percutant et détaillé, ses scènes de combats et d’attaques sont dynamiques et sa mise en scène est efficace. Kaiju defense force est comme un bon film catastrophe, un peu comme Godzilla, où de simples humains pétris de bonne volonté vont surpasser leurs limites pour affronter un monstre inconnu au péril de leur vie et sauver les humains. Le rythme est endiablé, l’action constante, on ne s’ennuie pas un seul instant et on ne demande qu’à lire la suite !
  11. Nickad

    The Runway tome 6

    Titre de l'album : The Runway tome 6 Scenariste de l'album : HIRACHELL Dessinateur de l'album : NOKDU Coloriste : Editeur de l'album : K! Addict Note : Résumé de l'album : La vie continue... Et personne ne sait ce qu'elle nous réserve. Jian est-elle amoureuse ? Haebeom divorcera-t-il ? Comment réagir quand un être proche tombe malade ? Haebeom est au pied du mur, Haejun réalise que " sa " fille grandit, les sentiments de Hyeonmin sont mis à mal... Et tout ce petit monde devra surmonter une nouvelle difficulté... Le moment de faire des aveux est-il venu ? Quant à Jian, elle tente de garder la tête sur les épaules face aux situations personnelles et professionnelles très singulières. Critique : Ce 6eme tome marque un tournant dans l’histoire, en plus de suivre les déboires amoureux des 3 frères et de Jian bien sûr, les voilà aux prises avec des réalités qu’ils auraient bien aimé ignorer. Ainsi la petite Sol pose maintenant des questions sur sa mère et Haejun ne sait pas comment réagir ni comment aborder le décès de sa sœur, lui qui n’en a pas encore fait le deuil. Haebeom, le grand frère, prend conscience peu à peu de ses mauvais comportements de mari et de beau-fils et essaye de recoller des morceaux. Mais tout bascule le jour où ils apprennent que leur mère est atteinte d’un cancer en phase 4, après le déni, le moment d’affronter la réalité est arrivé et en même temps de faire face aux évènements du passé pour pouvoir enfin aller de l’avant. The Runway n’est pas une série fantastique ni une romance où l’on sait que tout finira bien. C’est avant tout des tranches de vie, des événements qui peuvent arriver à tout le monde quel que soit le pays. Il y a des situations qui s’appliquent partout comme le fait que la communication dans un couple est une priorité ou comme les problèmes pour affronter le deuil. Mais en plus, l’histoire nous montre que la société coréenne est encore très conservatrice, la preuve en est du décès de l’acteur Lee Sun-kyun qui s’est suicidé pour une affaire de drogue ; en France, même les histoires d’agression sexuelle ne poussent pas les gens dans ces extrémités. Ce 6e tome est particulièrement réussi et nous emmène dans des émotions qui étaient restées un peu superficielles jusque-là. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-runway-tome-6?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Nickad

    The Runway tome 6

    Ce 6eme tome marque un tournant dans l’histoire, en plus de suivre les déboires amoureux des 3 frères et de Jian bien sûr, les voilà aux prises avec des réalités qu’ils auraient bien aimé ignorer. Ainsi la petite Sol pose maintenant des questions sur sa mère et Haejun ne sait pas comment réagir ni comment aborder le décès de sa sœur, lui qui n’en a pas encore fait le deuil. Haebeom, le grand frère, prend conscience peu à peu de ses mauvais comportements de mari et de beau-fils et essaye de recoller des morceaux. Mais tout bascule le jour où ils apprennent que leur mère est atteinte d’un cancer en phase 4, après le déni, le moment d’affronter la réalité est arrivé et en même temps de faire face aux évènements du passé pour pouvoir enfin aller de l’avant. The Runway n’est pas une série fantastique ni une romance où l’on sait que tout finira bien. C’est avant tout des tranches de vie, des événements qui peuvent arriver à tout le monde quel que soit le pays. Il y a des situations qui s’appliquent partout comme le fait que la communication dans un couple est une priorité ou comme les problèmes pour affronter le deuil. Mais en plus, l’histoire nous montre que la société coréenne est encore très conservatrice, la preuve en est du décès de l’acteur Lee Sun-kyun qui s’est suicidé pour une affaire de drogue ; en France, même les histoires d’agression sexuelle ne poussent pas les gens dans ces extrémités. Ce 6e tome est particulièrement réussi et nous emmène dans des émotions qui étaient restées un peu superficielles jusque-là.
  13. Titre de l'album : Succubus & Hitman tomes 3 & 4 Scenariste de l'album : FUKAMI makoto Dessinateur de l'album : TOKIYA Seigo Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Shôya et Ryôgo, les Sold Killers, livrent un duel acharné contre les Violators Jingo Ootori et Hyôe Kakizaki, membres du clan Aragami. Alors qu'ils luttent contre ce ninja de l'ombre et cet épéiste du vent, ils vont vite comprendre que leur combat est loin d'être terminé... Critique : Le 3e tome de la série marque la fin de l’affrontement des Sold Killers contre le clan Aragami, les combats sont denses et violents, leur mise en scène est efficace et rythmée. Pendant ce temps, l’érotisme est de mise dans la salle ont sont retenues les jeunes filles. Mais leur combat, durement gagné, a aussi attiré l’attention de personnes dangereuses comme le baron de la drogue d’Asie du Sud-Est. Ce dernier a un plan à exécuter qui implique des sacrifices humains, les Sold Killers comptent bien l’en empêcher. De l’action, du gore et de l’érotisme, les 3 piliers de la série augmentent encore d’un niveau. Si tous ces éléments sont parfaitement équilibrés et mis en valeur par un excellent graphisme, on a tendance à perdre un peu de vue la trame principale. Le chemin de notre héros semble n’être semé que d’embuches et il lui faudra sans doute du temps pour arriver à ses fins. En attendant le lecteur n’a pas le temps de s’ennuyer ! Soulignons le fait qu’il y a quand même une morale car notre héros ne peut passer devant une injustice sans agir et punit les méchants. Une série qui va à 100 à l’heure et qui est efficace. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/succubus-hitman-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Nickad

    Succubus & Hitman tomes 3 & 4

    Le 3e tome de la série marque la fin de l’affrontement des Sold Killers contre le clan Aragami, les combats sont denses et violents, leur mise en scène est efficace et rythmée. Pendant ce temps, l’érotisme est de mise dans la salle ont sont retenues les jeunes filles. Mais leur combat, durement gagné, a aussi attiré l’attention de personnes dangereuses comme le baron de la drogue d’Asie du Sud-Est. Ce dernier a un plan à exécuter qui implique des sacrifices humains, les Sold Killers comptent bien l’en empêcher. De l’action, du gore et de l’érotisme, les 3 piliers de la série augmentent encore d’un niveau. Si tous ces éléments sont parfaitement équilibrés et mis en valeur par un excellent graphisme, on a tendance à perdre un peu de vue la trame principale. Le chemin de notre héros semble n’être semé que d’embuches et il lui faudra sans doute du temps pour arriver à ses fins. En attendant le lecteur n’a pas le temps de s’ennuyer ! Soulignons le fait qu’il y a quand même une morale car notre héros ne peut passer devant une injustice sans agir et punit les méchants. Une série qui va à 100 à l’heure et qui est efficace.
  15. Titre de l'album : The tunnel to summer tome 4 Scenariste de l'album : Mei Hachimoku Dessinateur de l'album : Koudon Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Un matin d'été, Kaoru Tôno entend parler d'une intrigante légende urbaine. Un tunnel connu sous le nom d'Urashima permettrait d'exaucer tous les vœux. Et si ce lieu pouvait permettre au jeune lycéen de retrouver celle qui lui était si chère ? Alors que Hanashiro et Kaoru décident de se plonger dans leur dernière exploration du tunnel, ce dernier apprend que Hanashiro a reçu une proposition qui lui permettrait de réaliser son rêve, et elle tarde à faire un choix pour son avenir. Devant l'hésitation de son amie, Kaoru prend une terrible décision...Découvrez le dénouement poignant de cette saga estivale oscillant avec douceur et finesse entre romance et fantastique, pour dévoiler un final profondément humain Critique : C’est une belle fin ! Pas forcément dans le sens où tout se termine bien mais c’est une fin intelligente, bien menée qui a une véritable conclusion ! Une fin où l’on obtient des réponses et qui peut mener à une réflexion. D’ailleurs de ce côté-là, le manga ouvre la porte sur plusieurs thématiques telles que le deuil, la culpabilité, la confiance en soi, l’accomplissement de soi… Si les personnages obtiennent quelque chose, le lecteur est également servi, l’histoire ne laisse pas indifférent. Les 4 tomes ont été captivants alors si vous voulez en avoir encore plus, le dvd du film est déjà disponible en anglais et ne devrait plus tarder à sortir en France. En attendant, allez lire cette excellente courte série, vous ne le regretterez pas ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tunnel-to-summer-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Nickad

    The tunnel to summer tome 4

    C’est une belle fin ! Pas forcément dans le sens où tout se termine bien mais c’est une fin intelligente, bien menée qui a une véritable conclusion ! Une fin où l’on obtient des réponses et qui peut mener à une réflexion. D’ailleurs de ce côté-là, le manga ouvre la porte sur plusieurs thématiques telles que le deuil, la culpabilité, la confiance en soi, l’accomplissement de soi… Si les personnages obtiennent quelque chose, le lecteur est également servi, l’histoire ne laisse pas indifférent. Les 4 tomes ont été captivants alors si vous voulez en avoir encore plus, le dvd du film est déjà disponible en anglais et ne devrait plus tarder à sortir en France. En attendant, allez lire cette excellente courte série, vous ne le regretterez pas !
  17. Bien que la série soit un enchainement de saynètes avec une suite logique, c’est-à-dire qu’il y a quand même une évolution entre les personnages et événements de l’histoire, elle ne lasse pas du tout et je suis même surprise de voir à quel point elle se lit bien. Souvent dans ce genre de format, les gags ont du mal à se renouveler et au fur et à mesure, il devient difficile d’en trouver qui fasse franchement rire. C’est un peu le cas comme dans le voie du tablier où il est difficile d’avoir plus d’1 ou 2 chapitres intéressants. Il se peut que Sleepy princess s’essouffle mais pour le moment ce n’est pas le cas. La trame reste le même dans chacun des chapitres, la princesse cherche à trouver le meilleur moyen de bien dormir, on parcourt donc tous les éléments indispensables à son bien-être : le moelleux du lit, la douceur des draps, le confort de l’oreiller… mais aussi tout l’environnement ambiant (courant d’air, bruit…). Sauf que dans le château du roi démon, les us et coutumes ne sont pas les mêmes alors la princesse recycle, dépiaute des monstres… bref quand il s’agit de dormir, elle est prête à tout et ne manque pas d’ingéniosité ! Ainsi on appréciera dans le tome 3 la vile influence du Kotetsu (table basse chauffante japonaise), la fête du père Fouettard (et oui chez les démons, le Père Noël ne passe pas) avec la princesse comme personne la moins sage de toute l’année ! Dans le tome 4, on voit l’arrivée d’Hades, le rival du roi démon qui va se faire piquer ses vêtements de façon drôlissime et aussi l’apparition de Morphée (le dieu du sommeil) qui la princesse va considérer comme son maitre, les deux ayant une passion commune. Sleepy Princess in the Demon Castle est plein de petites trouvailles, de personnages attachants et décalés et l’humour est présent partout et raisonnablement. Le manga est un pur moment de distraction propageant la bonne humeur.
  18. Titre de l'album : Sleepy Princess in the Demon Castle tomes 3 & 4 Scenariste de l'album : Kagiji Kumanomata Dessinateur de l'album : Kagiji Kumanomata Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : N'empêche... Est-ce qu'on n'aurait pas kidnappé la mauvaise princesse ?? La princesse Syalis a été kidnappée par le Roi Démon... ! Le peuple se lamente, s'indigne, et certains héros courageux décident d'aller la sauver. Pendant ce temps, au château, l'hiver est là... Enfermée dans sa prison, la princesse Syalis n'aspire qu'à une chose : dormir bien au chaud ! Pour y réussir, elle aura besoin d'un bon lit bien moelleux... et de sous-vêtements en laine !! Le troisième volume de la grande épopée fantasy comique de la princesse Syalis et de sa quête du Bon Gros Dodo ! Critique : Bien que la série soit un enchainement de saynètes avec une suite logique, c’est-à-dire qu’il y a quand même une évolution entre les personnages et événements de l’histoire, elle ne lasse pas du tout et je suis même surprise de voir à quel point elle se lit bien. Souvent dans ce genre de format, les gags ont du mal à se renouveler et au fur et à mesure, il devient difficile d’en trouver qui fasse franchement rire. C’est un peu le cas comme dans le voie du tablier où il est difficile d’avoir plus d’1 ou 2 chapitres intéressants. Il se peut que Sleepy princess s’essouffle mais pour le moment ce n’est pas le cas. La trame reste le même dans chacun des chapitres, la princesse cherche à trouver le meilleur moyen de bien dormir, on parcourt donc tous les éléments indispensables à son bien-être : le moelleux du lit, la douceur des draps, le confort de l’oreiller… mais aussi tout l’environnement ambiant (courant d’air, bruit…). Sauf que dans le château du roi démon, les us et coutumes ne sont pas les mêmes alors la princesse recycle, dépiaute des monstres… bref quand il s’agit de dormir, elle est prête à tout et ne manque pas d’ingéniosité ! Ainsi on appréciera dans le tome 3 la vile influence du Kotetsu (table basse chauffante japonaise), la fête du père Fouettard (et oui chez les démons, le Père Noël ne passe pas) avec la princesse comme personne la moins sage de toute l’année ! Dans le tome 4, on voit l’arrivée d’Hades, le rival du roi démon qui va se faire piquer ses vêtements de façon drôlissime et aussi l’apparition de Morphée (le dieu du sommeil) qui la princesse va considérer comme son maitre, les deux ayant une passion commune. Sleepy Princess in the Demon Castle est plein de petites trouvailles, de personnages attachants et décalés et l’humour est présent partout et raisonnablement. Le manga est un pur moment de distraction propageant la bonne humeur. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sleepy-princess-in-the-demon-castle-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Titre de l'album : How not to summon a demon lord tomes 5 et 6 Scenariste de l'album : MURASAKI Yukiya Dessinateur de l'album : FUKUDA Naoto Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Si tu viens me défier à nouveau, je te ferai l'honneur de t'affronter ! Keera, le prince de Greenwood, qui avait manipulé Shera grâce à un objet magique, est abattu par le gouverneur Galford et le conflit entre Elfes et Humains prend fin... Mais Galford ne s'arrête pas là et déclare à Diablo que sa grande puissance magique représente une menace qu'il doit éliminer ! Critique : Ah, de toute la 1èere saison de l’anime, il y avait un passage que j’attendais de lire, c’est sans doute le moment le plus coquin et subjectif de l’histoire, enfin, là où j’en suis rendue !! Il se trouve dans le 6e tome au moment où Diablo doit insuffler sa magie à Rem afin de pouvoir séparer l’âme du roi-démon… Je ne vous en dis pas plus pour que vous savouriez l’instant ! Pour en revenir au tome 5, l’affrontement avec les elfes prend fin et Diablo se rend compte que dans ce monde, il s’agit de tuer ou d’être tué. Pour le moment, il n’a pas franchi le pas et a laissé la vie sauve au gouverneur Galford, mais est-ce que cette gentillesse ne le perdra pas ? Les personnages secondaires ont tous de l’importance et un rôle assez conséquent pour la suite des événements. Il y a Alicia, la chevalière qui semble vouloir l’anéantissement des humains ; Saddler, le paladin plus méchant qu’un boss de fin, Edelgard, la démone dévouée au roi démon et enfin le roi-démon ressuscité qui réserve bien des surprises. L’ensemble est harmonieux, le manga parle d’aventures, de magie, de combats mais laisse aussi une part à l’humour et à un peu d’érotisme mais sans jamais tomber dans le vulgaire. L’histoire se lit bien et elle est distrayante, fidèle à l’anime pour ceux qui l’auraient vu, c’est un bon moment de lecture et de détente. Nota : 22 tomes en cours Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/how-not-to-summon-a-demon-lord-tome-5?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Ah, de toute la 1èere saison de l’anime, il y avait un passage que j’attendais de lire, c’est sans doute le moment le plus coquin et subjectif de l’histoire, enfin, là où j’en suis rendue !! Il se trouve dans le 6e tome au moment où Diablo doit insuffler sa magie à Rem afin de pouvoir séparer l’âme du roi-démon… Je ne vous en dis pas plus pour que vous savouriez l’instant ! Pour en revenir au tome 5, l’affrontement avec les elfes prend fin et Diablo se rend compte que dans ce monde, il s’agit de tuer ou d’être tué. Pour le moment, il n’a pas franchi le pas et a laissé la vie sauve au gouverneur Galford, mais est-ce que cette gentillesse ne le perdra pas ? Les personnages secondaires ont tous de l’importance et un rôle assez conséquent pour la suite des événements. Il y a Alicia, la chevalière qui semble vouloir l’anéantissement des humains ; Saddler, le paladin plus méchant qu’un boss de fin, Edelgard, la démone dévouée au roi démon et enfin le roi-démon ressuscité qui réserve bien des surprises. L’ensemble est harmonieux, le manga parle d’aventures, de magie, de combats mais laisse aussi une part à l’humour et à un peu d’érotisme mais sans jamais tomber dans le vulgaire. L’histoire se lit bien et elle est distrayante, fidèle à l’anime pour ceux qui l’auraient vu, c’est un bon moment de lecture et de détente. Nota : 22 tomes en cours
  21. Nickad

    Bons Plans

    peut-être mais pour un coup de 5 euros en plus pour le tshirt, ça vaut le coup, par contre sur le dessin, il n'y a pas le fond avec le bateau comme on voit sur l'image que j'ai mise désolée je ne sais pas ce que c'est que le tcg mais ce sont des cartes des personnages de one piece avec intelligence, force... qui pourront s'affronter dans un jeu ensuite
  22. Nickad

    Hana l'inaccessible tome 6

    Charada le playboy du groupe a annoncé clairement à Hana ses intentions et c’est quand il commence à se moquer de Tsuyoshi que cette dernière prend vraiment conscience de ses sentiments. Pendant ce temps Ichigo essaye de gagner des points avec Tsuyoshi mais ce dernier ne cède pas. Par moments, je me demande comment des adultes peuvent être aussi niais puis je me dis que ce n’est pas forcément parce que l’on est plus vieux que l’on sait mieux assumer ses sentiments… Sauf que dans Hana l’inaccessible, il y a trop de personnages qui se comportent comme des gamins. Alors oui ça peut avoir un côté mignon, oui, le manga met à l’honneur les hésitations et rougissements amoureux mais bon, on aimerait quand même leur donner un coup de pied aux fesses pour que l’histoire avance plus vite. La série reste sympathique à lire et les dessins sont vraiment bien faits surtout les expressions des personnages quand ils sont en proie à leurs émotions.
  23. Titre de l'album : Hana l'inaccessible tome 6 Scenariste de l'album : MURATA Kôji Dessinateur de l'album : MURATA Kôji Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : La super carte maîtresse du fabricant de pâtisseries traditionnelles, Mitsubachi, se nomme Hana Takamine et a vingt-sept ans ! Elle est amoureuse de Tsuyoshi Yowaki, un employé de l'entreprise, et c'est une demoiselle un peu naïve et gauche sur les bords quand il s'agit d'amour ! La distance entre eux ne cesse de s'accentuer et, à ce moment-là, un voyage d'entreprise est organisé !! Le play-boy numéro un de Mitsubachi, Charada, profite de l'occasion pour tenter une approche directe !!! Critique : Charada le playboy du groupe a annoncé clairement à Hana ses intentions et c’est quand il commence à se moquer de Tsuyoshi que cette dernière prend vraiment conscience de ses sentiments. Pendant ce temps Ichigo essaye de gagner des points avec Tsuyoshi mais ce dernier ne cède pas. Par moments, je me demande comment des adultes peuvent être aussi niais puis je me dis que ce n’est pas forcément parce que l’on est plus vieux que l’on sait mieux assumer ses sentiments… Sauf que dans Hana l’inaccessible, il y a trop de personnages qui se comportent comme des gamins. Alors oui ça peut avoir un côté mignon, oui, le manga met à l’honneur les hésitations et rougissements amoureux mais bon, on aimerait quand même leur donner un coup de pied aux fesses pour que l’histoire avance plus vite. La série reste sympathique à lire et les dessins sont vraiment bien faits surtout les expressions des personnages quand ils sont en proie à leurs émotions. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/hana-l-inaccessible-tome-6?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Titre de l'album : Harem in the fantasy world dungeon tome 8 Scenariste de l'album : SOGANO Shachi Dessinateur de l'album : HYOUJU Issei , SHIKI Dôji Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Grâce à leur travail d'équipe, Michio et Roxanne réussissent enfin à acculer le boss du septième étage ! Et maintenant qu'ils ont un peu de marge, Roxanne aimerait bien essayer de se servir de son skill offensif... Quand vient le soir, Michio profite de son intimité avec ses deux amies pour... tester un autre skill ? Encore ?! Critique : Bon cette fois, j’arrête la série ! L’arrivée du 2e membre du harem ne change pas grand-chose à la trame du manga : en journée l’équipe parcourt les donjons avec moult détails sur les techniques, les monstres, les récompenses… des passages que j’ai tendance à survoler car je m’y ennuie. Le soir, c’est la partie coquine et comme Monsieur a maintenant une classe de séducteur, deux fois avec chacune est loin de le satisfaire… les demoiselles rougissent et gémissent de façon à contenter le lectorat. La seule véritable avancée est l’entente entre les deux filles, que l’une ne se sente pas lésée par rapport à l’autre et qu’elles puissent apprendre à se connaître et s’accepter. Le harem va peut-être se développer plus vite car Michio pense déjà à la 3eme. Globalement, le rythme reste le même au fur et à mesure des volumes et l’histoire ne propose pas un développement scénaristique intéressant, on reste sur la même lancée et c’est dommage. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/harem-in-the-fantasy-world-dungeon-tome-8?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Bon cette fois, j’arrête la série ! L’arrivée du 2e membre du harem ne change pas grand-chose à la trame du manga : en journée l’équipe parcourt les donjons avec moult détails sur les techniques, les monstres, les récompenses… des passages que j’ai tendance à survoler car je m’y ennuie. Le soir, c’est la partie coquine et comme Monsieur a maintenant une classe de séducteur, deux fois avec chacune est loin de le satisfaire… les demoiselles rougissent et gémissent de façon à contenter le lectorat. La seule véritable avancée est l’entente entre les deux filles, que l’une ne se sente pas lésée par rapport à l’autre et qu’elles puissent apprendre à se connaître et s’accepter. Le harem va peut-être se développer plus vite car Michio pense déjà à la 3eme. Globalement, le rythme reste le même au fur et à mesure des volumes et l’histoire ne propose pas un développement scénaristique intéressant, on reste sur la même lancée et c’est dommage.
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