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Nickad

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Tout ce qui a été posté par Nickad

  1. Titre de l'album : Battle game in 5 seconds tomes 16 et 17 Scenariste de l'album : HARAWATA Saizou Dessinateur de l'album : KASHIWA Miyako Coloriste : Editeur de l'album : Doki-Doki Note : Résumé de l'album : Le Désastre se clôture enfin! Akira va faire un choix radical pour se prouver quelque chose. Akira a perdu plusieurs camarades brutalement assassinés par Leonhardt. Au moment où il s'échappe du parc d'attractions qui est en train de s'effondrer, Akira prend une décision. Le Désastre se clôt sur un rebondissement que personne n'avait prévu ! Critique : Ces deux tomes marquent la fin de l’épisode du « désastre », quelques combats mais surtout des révélations sur le passé d’Akira, de Yuri, de Mion, des observateurs... On commence à comprendre quels sont les objectifs d’un tel jeu. Mais surtout il y a une conversation entre Akira et Kumagiri sur la confiance : qu’est-ce que c’est et comment l’accorder/l’obtenir. Cela va avoir des conséquences sur Akira qui va devoir se remettre en cause mais cela va lui permettre d’évoluer. Tout en ayant toujours beaucoup d’action, le manga gagne en profondeur, Akira et Otomo ne sont pas là par hasard (entre autre). Et s’il y a parfois des longueurs, le manga continue à être intéressant d’autant plus qu’il est servi par un graphisme adéquate, dynamique et détaillé. On continuera donc de le lire. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/battle-game-in-5-seconds-tome-17?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Ces deux tomes marquent la fin de l’épisode du « désastre », quelques combats mais surtout des révélations sur le passé d’Akira, de Yuri, de Mion, des observateurs... On commence à comprendre quels sont les objectifs d’un tel jeu. Mais surtout il y a une conversation entre Akira et Kumagiri sur la confiance : qu’est-ce que c’est et comment l’accorder/l’obtenir. Cela va avoir des conséquences sur Akira qui va devoir se remettre en cause mais cela va lui permettre d’évoluer. Tout en ayant toujours beaucoup d’action, le manga gagne en profondeur, Akira et Otomo ne sont pas là par hasard (entre autre). Et s’il y a parfois des longueurs, le manga continue à être intéressant d’autant plus qu’il est servi par un graphisme adéquate, dynamique et détaillé. On continuera donc de le lire.
  3. Nickad

    Bons Plans

  4. Eden est au-dessus côté scénario et graphiquement
  5. Titre de l'album : Arpeggio of blue steel tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : ARK Performance Dessinateur de l'album : ARK Performance Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : 2039 : alors que le réchauffement climatique a fait monter le niveau des océans, les forces navales humaines sont décimées par la mystérieuse «flotte du Brouillard», dont les navires doués d'intelligence empêchent tout déplacement maritime. 17 ans plus tard Iona, avatar de l'un de ces navires, rejoint les forces humaines et s'allie à Gunzo Chihaya. Son aide ne sera pas de trop car le jeune homme, capitaine des corsaires Blue Steel, est engagé par le gouvernement japonais pour une mission qui pourrait enfin permettre à l'humanité de rivaliser avec ses ennemis. Critique : L’action se déroule dans un futur moyennement proche, la Terre a vu le niveau des mers et océans augmenter et une flotte mystérieuse dite » flotte du brouillard » prendre la suprématie sur les mers, flotte hostile à tout déplacement maritime. Ces nouveaux navires surpuissants sont dotés d’une intelligence représentée sous la forme d’humanoïde féminin. L’un d’eux « 401 » a collabore avec un équipage japonais pour lutter contre ces « envahisseurs ». Le Japon a réussi a développé une nouvelle arme qui pourrait être déterminante dans cette lutte mais n’a pas les moyens de la produire, elle demande donc à l’équipage du 401 de l’emmener aux Etats-Unis. Arpeggio of blue steel a commencé à être écrit en 2009, il est le pionner d’un genre nouveau où les armes et/ou équipements militaires sont dotés de conscience représentée sous forme d’un avatar, le genre plaît beaucoup au Japon et le manga est un véritable succès, il est toujours en cours et compte 22 volumes à ce jour sans compter les adaptations en anime. Concernant l’histoire, les deux premiers tomes servent de mise en place : la situation de l’espèce humaine dans ce qu’il reste du monde, la menace de la flotte du brouillard, l’équipage réduit du 401 avec son commandant Gunzo Chihaya dont le père aurait trahi l’humanité et surtout en apprend à connaître ces avatars et la raison pour laquelle ils ont été créés En plus du côté futuriste et guerre, le manga se penche sur la notion même de l’humanité. Il y a quelques longueurs au début, surement liées à la mise en place du contexte. Le manga ne manque pas d’actions ni de mystères qui entretiennent l’intérêt. A suivre donc. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/arpeggio-of-blue-steel-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. L’action se déroule dans un futur moyennement proche, la Terre a vu le niveau des mers et océans augmenter et une flotte mystérieuse dite » flotte du brouillard » prendre la suprématie sur les mers, flotte hostile à tout déplacement maritime. Ces nouveaux navires surpuissants sont dotés d’une intelligence représentée sous la forme d’humanoïde féminin. L’un d’eux « 401 » a collabore avec un équipage japonais pour lutter contre ces « envahisseurs ». Le Japon a réussi a développé une nouvelle arme qui pourrait être déterminante dans cette lutte mais n’a pas les moyens de la produire, elle demande donc à l’équipage du 401 de l’emmener aux Etats-Unis. Arpeggio of blue steel a commencé à être écrit en 2009, il est le pionner d’un genre nouveau où les armes et/ou équipements militaires sont dotés de conscience représentée sous forme d’un avatar, le genre plaît beaucoup au Japon et le manga est un véritable succès, il est toujours en cours et compte 22 volumes à ce jour sans compter les adaptations en anime. Concernant l’histoire, les deux premiers tomes servent de mise en place : la situation de l’espèce humaine dans ce qu’il reste du monde, la menace de la flotte du brouillard, l’équipage réduit du 401 avec son commandant Gunzo Chihaya dont le père aurait trahi l’humanité et surtout en apprend à connaître ces avatars et la raison pour laquelle ils ont été créés En plus du côté futuriste et guerre, le manga se penche sur la notion même de l’humanité. Il y a quelques longueurs au début, surement liées à la mise en place du contexte. Le manga ne manque pas d’actions ni de mystères qui entretiennent l’intérêt. A suivre donc.
  7. Nickad

    Grott & Brott.

    il faut surtout noter le challenge des 100%, avec un exemplaire gratuit si vous souscrivez rapidement
  8. je trouvais le titre accrocheur, je te dirai ce que j'en pense quand je l'aurai lu
  9. Titre de l'album : My Hero Academia Smash tome 1 Scenariste de l'album : NEDA Hirofumi Dessinateur de l'album : NEDA Hirofumi Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Et si All Might ne perdait pas de kilos en même temps que sa force, mais... en gagnait ? Et si Izuku devenait accro aux achats en ligne dans sa quête de puissance ? Et si Katsuki était fait pour être baby-sitter sans le savoir ? Toutes les situations les plus improbables que vous ayez jamais imaginées en lisant My Hero Academia rassemblées dans une série de gags plus fous les uns que les autres ! Retrouvez tous les personnages du manga phénomène dans un recueil d'histoires courtes à l'humour déjanté ! Sans tabou ni limites, cette parodie plus ultra vous fera découvrir vos héros sous un nouveau jour ! Critique : Vous connaissez les gags en 4 cases, appelés yonkoma, que l’on trouve parfois à la fin d’un chapitre ou à la fin d’un tome ? C’est le principe ici : Hirofumi NEDA reprend le déroulé de My Hero Academia et le décline en yonkoma en proposant une variante humoristique. Il signe d’ailleurs avec ce titre son 1er manga qui est fini en 5 tomes. Si le manga original ne manque pas d’humour, cette déclinaison n’en manque pas non plus, on s’amuse à retrouver les personnages dans des situations variées avec des réflexions un peu plus cash parfois. Côté graphisme, l’auteur s’est appliqué on reconnait bien les héros et chaque case est travaillée avec décor et arrière-plan (ce n’est pas toujours le cas dans ce format). Le manga peut être lu par ceux qui ne connaitraient pas encore la série, cela permet de découvrir l’univers, les personnages, suivre globalement l’intrigue par contre, il ne faut pas s’attacher aux détails car cela reste une variante. Pour les fans de la 1ere heure, c’est le petit plus humoristique agréable et bien fait qui permet de prolonger le plaisir. En plus, comme ce sont des gags, on n’est pas obligé de lire le livre en 1 fois. Pour information, le film My Hero Academia : World Heroes’ Missions est sorti le 26 janvier au cinéma. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/my-hero-academia-smash-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Nickad

    My Hero Academia Smash tome 1

    Vous connaissez les gags en 4 cases, appelés yonkoma, que l’on trouve parfois à la fin d’un chapitre ou à la fin d’un tome ? C’est le principe ici : Hirofumi NEDA reprend le déroulé de My Hero Academia et le décline en yonkoma en proposant une variante humoristique. Il signe d’ailleurs avec ce titre son 1er manga qui est fini en 5 tomes. Si le manga original ne manque pas d’humour, cette déclinaison n’en manque pas non plus, on s’amuse à retrouver les personnages dans des situations variées avec des réflexions un peu plus cash parfois. Côté graphisme, l’auteur s’est appliqué on reconnait bien les héros et chaque case est travaillée avec décor et arrière-plan (ce n’est pas toujours le cas dans ce format). Le manga peut être lu par ceux qui ne connaitraient pas encore la série, cela permet de découvrir l’univers, les personnages, suivre globalement l’intrigue par contre, il ne faut pas s’attacher aux détails car cela reste une variante. Pour les fans de la 1ere heure, c’est le petit plus humoristique agréable et bien fait qui permet de prolonger le plaisir. En plus, comme ce sont des gags, on n’est pas obligé de lire le livre en 1 fois. Pour information, le film My Hero Academia : World Heroes’ Missions est sorti le 26 janvier au cinéma.
  11. Nickad

    La divine comédie

    Titre de l'album : La divine comédie Scenariste de l'album : DANTE Alighieri Dessinateur de l'album : Variety Artworks Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Brûlant d'un amour sans retour pour Béatrice, Dante perd toute volonté de vivre au décès de celle-ci. Soudain, il s'aperçoit qu'il erre dans une bien sombre forêt. Il y rencontre Virgile, le poète de la Rome Antique, et pour trouver sa voie, décide de voyager avec lui à travers les divers "royaumes de l'après-vie". Critique : Le manga est l’adaptation de l’œuvre de Dante qui se compose de 3 parties de 33 poèmes plus 1 poème d’introduction : l’enfer, le purgatoire et le paradis tels qu’ils étaient vus au Moyen-âge. Si l’œuvre originale proposait un équilibre entre les 3, le manga fait la part belle à l’enfer, peut-être parce que c’est plus parlant avec des descriptions concrètes des péchés et des punitions. En comparaison, le purgatoire et le paradis, tel que Dante les présente, sont plus axés sur la théologie avec un aspect plus spirituel. Concernant l’histoire, on ne va pas faire un débat sur le contenu, il faut bien comprendre que c’est une vision ancienne à l’époque où le catholicisme est dominant et en pleine Inquisition. Sur l’adaptation, le manga est une version simplifiée de l’œuvre qui a le mérite d’en montrer les grandes lignes : on retrouve bien les différentes parties, des exemples concrets de pécheurs et les idées importantes. Rappelons que la Divine comédie se voulait être une sorte de guide pour remettre les hommes dans le droit chemin, c’est-à-dire celui qui mène à Dieu. Le manga permet de se faire une idée assez juste et assez compréhensible de l’original, il manque peut-être quelques explications sur la symbolique de telle créature ou personnage qui permettrait de mieux comprendre les allégories. La partie graphique est correcte, comme tous les autres livres de la collection classique, ce n’est pas le point fort car ce n’est pas non plus l’objectif : le but étant de faire connaître les classiques de la littérature en les rendant plus accessibles. Pour information, il existe une autre adaptation manga de la divine comédie réalisée par Gô NAGAI (Goldorak) en 3 volumes, plus complète et plus graphique mais qui se concentre également sur la partie des enfers (2 tomes sur 3). Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/divine-comedie?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Nickad

    La divine comédie

    Le manga est l’adaptation de l’œuvre de Dante qui se compose de 3 parties de 33 poèmes plus 1 poème d’introduction : l’enfer, le purgatoire et le paradis tels qu’ils étaient vus au Moyen-âge. Si l’œuvre originale proposait un équilibre entre les 3, le manga fait la part belle à l’enfer, peut-être parce que c’est plus parlant avec des descriptions concrètes des péchés et des punitions. En comparaison, le purgatoire et le paradis, tel que Dante les présente, sont plus axés sur la théologie avec un aspect plus spirituel. Concernant l’histoire, on ne va pas faire un débat sur le contenu, il faut bien comprendre que c’est une vision ancienne à l’époque où le catholicisme est dominant et en pleine Inquisition. Sur l’adaptation, le manga est une version simplifiée de l’œuvre qui a le mérite d’en montrer les grandes lignes : on retrouve bien les différentes parties, des exemples concrets de pécheurs et les idées importantes. Rappelons que la Divine comédie se voulait être une sorte de guide pour remettre les hommes dans le droit chemin, c’est-à-dire celui qui mène à Dieu. Le manga permet de se faire une idée assez juste et assez compréhensible de l’original, il manque peut-être quelques explications sur la symbolique de telle créature ou personnage qui permettrait de mieux comprendre les allégories. La partie graphique est correcte, comme tous les autres livres de la collection classique, ce n’est pas le point fort car ce n’est pas non plus l’objectif : le but étant de faire connaître les classiques de la littérature en les rendant plus accessibles. Pour information, il existe une autre adaptation manga de la divine comédie réalisée par Gô NAGAI (Goldorak) en 3 volumes, plus complète et plus graphique mais qui se concentre également sur la partie des enfers (2 tomes sur 3).
  13. Nickad

    Come to hand

    Titre de l'album : Come to hand Scenariste de l'album : SEI Dessinateur de l'album : SEI Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Miharu, un professeur de musique débordé, s'effondre sur la route enneigée à cause de son surmenage. Recueilli par Arashi, le gérant d'un tattoo shop, il ne peut cacher son appréhension en voyant pour la première fois de vrais tatouages et finit par lui faire des commentaires déplacés. Regrettant sa conduite, il décide de repasser à la boutique d'Arashi pour lui présenter ses excuses. La gentillesse et la prévenance du jeune homme donneront à Miharu envie d'apprendre à le connaître, mais trouvera-t-il le temps de laisser place à l'amour ? Critique : Miharu est un professeur de musique trentenaire, Arashi un gérant d’un tattoo shop. Un jour Arashi trouve Miharu évanoui devant sa porte, il l’aide. Chacun des deux semblent intrigués par l’autre, au fur et à mesure de leurs rencontres, ils vont apprendre à se connaître et leurs sentiments vont se développer. Come to hand est un manga tout en douceur, chaque personnage cherche à connaître l’autre sans pour autant délaisser leur propre vie et en faisant attention de ne pas trop empiéter sur la vie de l’autre. Le graphisme est agréable sans pour autant être très poussé, on regrettera l’aspect trop jeune du professeur qui fait (à mon goût) trop enfantin. C’est un manga mignon qui se laisse lire. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/come-to-hand?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Nickad

    Come to hand

    Miharu est un professeur de musique trentenaire, Arashi un gérant d’un tattoo shop. Un jour Arashi trouve Miharu évanoui devant sa porte, il l’aide. Chacun des deux semblent intrigués par l’autre, au fur et à mesure de leurs rencontres, ils vont apprendre à se connaître et leurs sentiments vont se développer. Come to hand est un manga tout en douceur, chaque personnage cherche à connaître l’autre sans pour autant délaisser leur propre vie et en faisant attention de ne pas trop empiéter sur la vie de l’autre. Le graphisme est agréable sans pour autant être très poussé, on regrettera l’aspect trop jeune du professeur qui fait (à mon goût) trop enfantin. C’est un manga mignon qui se laisse lire.
  15. Nickad

    Quand sonne la tempête tome 3

    Sakai et le docteur Kadono sont sur le point de trouver « le lieutenant » mais ce dernier est rusé et leur file entre les doigts non sans avoir compris la situation et essayé de pousser Sakai à éliminer le docteur. Ce dernier semble bien décidé à ne plus se laisser manipuler et décide d’aller fouiller un peu pour comprendre la situation. Le manga est toujours aussi bon, non seulement, il ne manque pas d’action ni de rebondissements mais il est impossible de prédire quelle sera l’issue et comment les choses vont tourner. Le scenario est cohérent, sans temps mort, on est vraiment pris dans cette tempête à chaque fois du début à la fin du livre et on a vraiment hâte de lire la suite. Un très bon thriller.
  16. Titre de l'album : Quand sonne la tempête tome 3 Scenariste de l'album : ENJOJI Masaki Dessinateur de l'album : ENJOJI Masaki Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Shohei en a assez de n'être qu'une marionnette... Mais sa tentative pour essayer de prouver la culpabilité du lieutenant a lamentablement échoué. Pire même, le docteur Kadono semble désormais en danger... Les deux hommes n'ont pas d'autre choix que de s'enfuir pour réfléchir à un nouveau plan. À moins qu'il ne soit trop tard et que leur «ennemi» ne leur échappe pour de bon ? Critique : Sakai et le docteur Kadono sont sur le point de trouver « le lieutenant » mais ce dernier est rusé et leur file entre les doigts non sans avoir compris la situation et essayé de pousser Sakai à éliminer le docteur. Ce dernier semble bien décidé à ne plus se laisser manipuler et décide d’aller fouiller un peu pour comprendre la situation. Le manga est toujours aussi bon, non seulement, il ne manque pas d’action ni de rebondissements mais il est impossible de prédire quelle sera l’issue et comment les choses vont tourner. Le scenario est cohérent, sans temps mort, on est vraiment pris dans cette tempête à chaque fois du début à la fin du livre et on a vraiment hâte de lire la suite. Un très bon thriller. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/quand-sonne-la-tempete-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Nickad

    Last Film Watched

    j'ai vu don't look up hier, j'ai bien aimé, ça critique bien dans tous les sens à tel point qu'on se dit à un moment "on est vraiment aussi con que ça ?" et oui, l'humain moderne est vraiment comme ça !! après il y a quelques longueurs mais j'aime bien le côté "le héros américain ne sauve pas tout le monde " pour une fois 😆
  18. @poseidon2prends le iruma 1, c'est drôle et pour tous les âges, pas comme le goblin slayer (le 1 surtout est assez choquant)
  19. édition spéciale à 2 euros le livre
  20. Nickad

    Jörmungand tome 11 (fin)

    Koko a enfin expliqué ce qu’était le Jörmungand, un dispositif de contrôle des voies de transports via un réseau de satellites. Son premier objectif est d’éliminer tout trafic du ciel, retour en 1910, 700 000 personnes seront alors sacrifiées. Le seul à réagir à cette annonce est Jonah, il menace Koko, quelle décision va-t-il prendre ? Voici la conclusion de la série, une fin en demi-teinte comme le reste du manga d’ailleurs. Le sujet principal « une marchande d’armes qui cherche à apporter la paix dans le monde » est original mais le traitement est parfois décousu, dans chacun des tomes, on suit la vie d’un des membres de l’équipe et on n’a que des bribes de l’intrigue principale. C’est bien, car l’auteur a créé un univers et une personnalité pour chacun des personnages mais en même temps, cela laisse une impression de survol de l’histoire, les scènes s’enchainent comme elles peuvent, on passe de l’un à l’autre mais on ne s’implique pas vraiment, c’est à peine si je me rappelle des noms des membres de l’équipe… Il manque indéniablement quelque chose dans le déroulé, ou dans la façon de raconter ; le manga propose des combats bien menés, une réflexion sur la guerre et le trafic d’armes, et il a le mérite d’apporter une solution, discutable cela-dit. Peut-être que son adaptation en anime est plus percutante… C’est un manga correct mais pas prenant.
  21. Titre de l'album : Jörmungand tome 11 (fin) Scenariste de l'album : TAKAHASHI Keitarô Dessinateur de l'album : TAKAHASHI Keitarô Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Koko réussit à titiller la NSA, et continue de rassembler les pièces nécessaires à l'actionnement du Jormungand. Mais lorsque Jonah apprit que cela impliquait le sacrifice de milliers de vies humaines, il sortit son arme et la pointa sur Koko... Critique : Koko a enfin expliqué ce qu’était le Jörmungand, un dispositif de contrôle des voies de transports via un réseau de satellites. Son premier objectif est d’éliminer tout trafic du ciel, retour en 1910, 700 000 personnes seront alors sacrifiées. Le seul à réagir à cette annonce est Jonah, il menace Koko, quelle décision va-t-il prendre ? Voici la conclusion de la série, une fin en demi-teinte comme le reste du manga d’ailleurs. Le sujet principal « une marchande d’armes qui cherche à apporter la paix dans le monde » est original mais le traitement est parfois décousu, dans chacun des tomes, on suit la vie d’un des membres de l’équipe et on n’a que des bribes de l’intrigue principale. C’est bien, car l’auteur a créé un univers et une personnalité pour chacun des personnages mais en même temps, cela laisse une impression de survol de l’histoire, les scènes s’enchainent comme elles peuvent, on passe de l’un à l’autre mais on ne s’implique pas vraiment, c’est à peine si je me rappelle des noms des membres de l’équipe… Il manque indéniablement quelque chose dans le déroulé, ou dans la façon de raconter ; le manga propose des combats bien menés, une réflexion sur la guerre et le trafic d’armes, et il a le mérite d’apporter une solution, discutable cela-dit. Peut-être que son adaptation en anime est plus percutante… C’est un manga correct mais pas prenant. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/jormungand-tome-11?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Nickad

    Dead mount death play tome 7

    Avant toute chose, voici une petite présentation de la série : Dead mount death play est ce qu’on pourrait appeler un isekai inversé : au lieu qu’un habitant de notre monde se retrouve propulsé dans un autre monde (souvent de fantasy), ici, un squelette/démon nécromancien appelé « le maitre des corps » et soi-disant étant le pire ennemi de l’humanité dans son monde, se retrouve réincarné/projeté dans le corps d’un adolescent dont la gorge vient d’être tranchée, Polka. Bien qu’il soit arrivé dans notre monde avec ses pouvoirs, le nouveau Polka a bien du mal à s’en servir car sa magie se recharge avec des pierres précieuses qu’il n’a pas les moyens d’acheter ici. En plus l’ancien Polka étant la cible d’une tueuse déjantée, il se retrouve dans un milieu un peu obscur où pègre et force de police, tous un peu borderline, s’affrontent. Il va finir par faire équipe avec la tueuse Misaki, le hacker Takumi, grâce à ses pouvoirs, préserver l’âme du véritable Polka. On va ensuite découvrir plusieurs adversaires dont certains semblent également détenir des pouvoirs et une mystérieuse organisation maléfique Sabaramondo. Ce 7eme volume comprend des éléments importants car on en apprend plus sur la taupe de l’organisation au sein de la police, sur le passé du nouveau Polka. Ces derniers événements vont l’obliger à prendre une décision importante qui va changer la suite du manga. Plusieurs points intéressants dans ce manga, d’abord, le principe d’isekai inversé, ensuite le milieu dans lequel se retrouve le personnage principal : ici, la barrière entre bien et mal n’est pas bien définie, il y a des mafieux qui protègent des innocents, des policiers violents qui se moquent des règles, des tueurs mystérieux et des soi-disant malfaiteurs qui recherchent la vérité. Le manga mêle action, fantastique, enquête, c’est un bon shonen qui mérite le détour. 8 tomes en cours
  23. Titre de l'album : Dead mount death play tome 7 Scenariste de l'album : NARITA Ryohgo Dessinateur de l'album : FUJIMOTO Shinta Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Grâce au Maître des corps, Hosorogi prend contact avec Iwanome pour l'avertir d'un danger imminent. Le lieutenant découvre ainsi que l'assassin de son ancien collègue n'est autre que le commissaire Habaki... Mais alors qu'il tente de le neutraliser, le poste de police est assailli par les pantins du Pyro-Bug ! Au même moment, de nouveaux individus aux étranges pouvoirs font leur apparition et semblent prêts à tout pour mettre la main sur le nécromancien... Polka parviendra-t-il à échapper à son passé ? Critique : Avant toute chose, voici une petite présentation de la série : Dead mount death play est ce qu’on pourrait appeler un isekai inversé : au lieu qu’un habitant de notre monde se retrouve propulsé dans un autre monde (souvent de fantasy), ici, un squelette/démon nécromancien appelé « le maitre des corps » et soi-disant étant le pire ennemi de l’humanité dans son monde, se retrouve réincarné/projeté dans le corps d’un adolescent dont la gorge vient d’être tranchée, Polka. Bien qu’il soit arrivé dans notre monde avec ses pouvoirs, le nouveau Polka a bien du mal à s’en servir car sa magie se recharge avec des pierres précieuses qu’il n’a pas les moyens d’acheter ici. En plus l’ancien Polka étant la cible d’une tueuse déjantée, il se retrouve dans un milieu un peu obscur où pègre et force de police, tous un peu borderline, s’affrontent. Il va finir par faire équipe avec la tueuse Misaki, le hacker Takumi, grâce à ses pouvoirs, préserver l’âme du véritable Polka. On va ensuite découvrir plusieurs adversaires dont certains semblent également détenir des pouvoirs et une mystérieuse organisation maléfique Sabaramondo. Ce 7eme volume comprend des éléments importants car on en apprend plus sur la taupe de l’organisation au sein de la police, sur le passé du nouveau Polka. Ces derniers événements vont l’obliger à prendre une décision importante qui va changer la suite du manga. Plusieurs points intéressants dans ce manga, d’abord, le principe d’isekai inversé, ensuite le milieu dans lequel se retrouve le personnage principal : ici, la barrière entre bien et mal n’est pas bien définie, il y a des mafieux qui protègent des innocents, des policiers violents qui se moquent des règles, des tueurs mystérieux et des soi-disant malfaiteurs qui recherchent la vérité. Le manga mêle action, fantastique, enquête, c’est un bon shonen qui mérite le détour. 8 tomes en cours Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dead-mount-death-play-tome-7/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Nickad

    Derail

    Haru et Hikaru sont deux étudiants en colocation qui se connaissent depuis le primaire. Chacun aime l’autre mais aucun ne l’a jamais avoué mais quand un jour, l’un d’eux ramène une fille à l’appartement, la situation dérape. Rarement je me suis autant ennuyée dans un livre, la majorité de l’action se passe dans leur appartement si ce n’est dans leur lit. En résumé : je l’aime mais je ne veux pas lui avouer car j’ai peur de perdre notre amitié mais j’ai envie qu’il me touche et que ça aille plus loin. On couche ensemble mais il ne m’a jamais dit qu’on était ensemble ? Comment faire ? De la psychologie de bas étage, une action quasi inexistante. Un livre de cul en somme. Deux points positifs cependant : la double narration, on découvre le point de vue des deux personnages en alternance et l’indéniable qualité graphique. En parlant de ça, savez-vous pourquoi les garçons dans les shojos et yaoi sont souvent efféminés ? Et bien c’est pour ne pas faire peur aux jeunes filles, on considère que ces livres sont leur première approche du genre masculin et voir des garçons un peu plus bruts avec des poils par exemple risqueraient de les dégouter. Si vous voulez une histoire de colocation avec une véritable profondeur psychologique, lisez anti romance plutôt.
  25. Nickad

    Derail

    Titre de l'album : Derail Scenariste de l'album : AIBA Kyoko Dessinateur de l'album : AIBA Kyoko Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Haru, un garçon plutôt réservé, a toujours été amoureux de son seul ami, Hikaru. Un soir, alors qu'ils s'étaient jurés de ne jamais inviter de fille dans leur colocation, Hikaru brise leur promesse. Furieux, Haru élabore un plan pour faire succomber Hikaru, mais il ne se doute pas que c'est déjà le cas... Critique : Haru et Hikaru sont deux étudiants en colocation qui se connaissent depuis le primaire. Chacun aime l’autre mais aucun ne l’a jamais avoué mais quand un jour, l’un d’eux ramène une fille à l’appartement, la situation dérape. Rarement je me suis autant ennuyée dans un livre, la majorité de l’action se passe dans leur appartement si ce n’est dans leur lit. En résumé : je l’aime mais je ne veux pas lui avouer car j’ai peur de perdre notre amitié mais j’ai envie qu’il me touche et que ça aille plus loin. On couche ensemble mais il ne m’a jamais dit qu’on était ensemble ? Comment faire ? De la psychologie de bas étage, une action quasi inexistante. Un livre de cul en somme. Deux points positifs cependant : la double narration, on découvre le point de vue des deux personnages en alternance et l’indéniable qualité graphique. En parlant de ça, savez-vous pourquoi les garçons dans les shojos et yaoi sont souvent efféminés ? Et bien c’est pour ne pas faire peur aux jeunes filles, on considère que ces livres sont leur première approche du genre masculin et voir des garçons un peu plus bruts avec des poils par exemple risqueraient de les dégouter. Si vous voulez une histoire de colocation avec une véritable profondeur psychologique, lisez anti romance plutôt. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/derail?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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