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The_PoP

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Tout ce qui a été posté par The_PoP

  1. bah achète une billy de plus 😄
  2. Ouais enfin... ils n'ont pas mis Servitude...
  3. The_PoP

    Mes ruptures avec Laura Dean

    @poseidon2 je t'avais fait une super réponse ce matin détaillée et tout, mais je crois qu'elle s'est perdue dans les limbes d'internet... Je reprends : pour moi cette ambiguïté graphique colle parfaitement avec le thème et l'histoire en fait. On suit le parcours d'ados atypiques. Leurs genres réels n'ont en fait pas tant d'importance. C'est je crois l'un des messages forts de ce bouquin : mec ou fille, hétéro ou gay, ou autre, finalement les histoires d'amour et d'amitiés ne sont au fond pas si différentes. Le truc qui m'a chagriné moi perso c'est plus le côté très "tolérant" de l'univers qui est présenté. C'est vrai que j'ai du mal à faire coller ça avec ce que je me rappelle de mes années lycée. Ou ce que j'en vois aujourd'hui de mon point de vue de "vieux"... Mais je crois que c'est un parti pris de l'auteure pour rester dans son sujet initial. Le fond reste marquant pour moi même quelques mois après l'avoir lu. D'ailleurs Pos', est-ce qu'effectivement c'est une lecture que tu peux envisager de partager avec tes ados ?
  4. alors arrête avant celui là 🙂 à mon avis.
  5. Ça y ressemble vu la promo autour de ce tome faite par soleil. mais honnêtement c’est une bonne nouvelle. Il fallait relancer ou arrêter la...
  6. Le convoyeur c’est original, on sent le potentiel de dingue, c’est super bien réalisé. Et quand la suite sortira s’il est sur ma pile de bd de la honte je le lirai bien avant d’autres. mais New York Cannibales est très bien. Simplement plus classique et avec une sensation de déjà vu un peu plus prononcée...
  7. Et voici un très bon tome d'Elfes. J'avais un peu crépi le précédent, trouvant qu'il faisait pâle figure pour selon qu'il s'agit de la série mère des terres d'Arran face à ses petits frères Orcs et Nains. Oui l'arc narratif du tome 28 m'avait laissé un peu de marbre. Rien à voir donc avec ce tome 29 qui va rebattre toutes les cartes et poser les jalons de la suite de la série. Et pour cela quoi de mieux qu'un nouveau terrain de jeux inconnu jusqu'ici ??? Voici donc les terres d'Ogon, où ça risque de s'embrouiller et de se friter aussi sévère et toujours façon Héroic Fantasy que sur les Terres d'Arran. Avec probablement un brin d'originalité en plus. Les amateurs de SF saisiront sans mal la référence à Dune dans ce tome et l'apprécieront probablement à sa juste valeur. Pour ma part j'ai simplement apprécié de voir une intrigue et des personnages qu'on prend le temps de développer. Et oui, je ne vous l'ai pas dit d'entrée de jeu pour vous en laisser la surprise mais ce tome 29 s'annonce en fait comme le premier tome d'un dyptique. Chouette et plutôt frais dans l'univers des terres d'arran ou d'Ogon donc désormais. Seul bémol, je trouve parfois que le côté héroique des personnages est un peu trop chargé quand ils les font massacrer une légion entière ou des hordes sauvages et surentrainées à 3... M'enfin c'est le genre qui veut ça ? Graphiquement cela reste dans la lignée de ce qui est fait depuis le début, c'est plutôt joli, voir très joli, et ce tome, sans être l'un des plus détaillé ou réussi, fait quand même très bien le travail. C'est très propre, il y a de belles scènes d'action et quelques plans large sympas. Bref, si vous aviez déjà les 28 premiers, n'attendez plus, le second souffle que vous cherchiez viens d'arriver. Sinon, bah je crains que ce ne soit toujours pas pour vous, mais essayez quand même, après tout, on a tous le droit de changer parfois d'avis ou d'être agréablement surpris.
  8. Titre de l'album : Elfes - Tome 29 - Leah'saa L'elfe rouge Scenariste de l'album : Jean-Luc Istin Dessinateur de l'album : Lorusso Coloriste : J. Nanjan Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Par-delà les Terres d'Arran, s'étend un vaste continent, peuplé d'animaux sauvages et de peuples inconnus, des terres aussi dangereuses que fascinantes, ce sont les Terres d'Ogon. Des elfes Rouges il ne reste plus que Lea'saa, Feda'saa et leurs deux jumeaux. Mais le mage Belthoran leur raconte une légende kulu des Terres d'Ogon. Celle-ci évoque leurs dieux les Zul Kassaï. Or, Zul Kassaï signifie : Immortel à la peau rouge. Lea'saa part pour les terres d'Ogon dans l'espoir que cette légende permettra aux elfes rouges de connaître une nouvelle dynastie. Critique : Et voici un très bon tome d'Elfes. J'avais un peu crépi le précédent, trouvant qu'il faisait pâle figure pour selon qu'il s'agit de la série mère des terres d'Arran face à ses petits frères Orcs et Nains. Oui l'arc narratif du tome 28 m'avait laissé un peu de marbre. Rien à voir donc avec ce tome 29 qui va rebattre toutes les cartes et poser les jalons de la suite de la série. Et pour cela quoi de mieux qu'un nouveau terrain de jeux inconnu jusqu'ici ??? Voici donc les terres d'Ogon, où ça risque de s'embrouiller et de se friter aussi sévère et toujours façon Héroic Fantasy que sur les Terres d'Arran. Avec probablement un brin d'originalité en plus. Les amateurs de SF saisiront sans mal la référence à Dune dans ce tome et l'apprécieront probablement à sa juste valeur. Pour ma part j'ai simplement apprécié de voir une intrigue et des personnages qu'on prend le temps de développer. Et oui, je ne vous l'ai pas dit d'entrée de jeu pour vous en laisser la surprise mais ce tome 29 s'annonce en fait comme le premier tome d'un dyptique. Chouette et plutôt frais dans l'univers des terres d'arran ou d'Ogon donc désormais. Seul bémol, je trouve parfois que le côté héroique des personnages est un peu trop chargé quand ils les font massacrer une légion entière ou des hordes sauvages et surentrainées à 3... M'enfin c'est le genre qui veut ça ? Graphiquement cela reste dans la lignée de ce qui est fait depuis le début, c'est plutôt joli, voir très joli, et ce tome, sans être l'un des plus détaillé ou réussi, fait quand même très bien le travail. C'est très propre, il y a de belles scènes d'action et quelques plans large sympas. Bref, si vous aviez déjà les 28 premiers, n'attendez plus, le second souffle que vous cherchiez viens d'arriver. Sinon, bah je crains que ce ne soit toujours pas pour vous, mais essayez quand même, après tout, on a tous le droit de changer parfois d'avis ou d'être agréablement surpris. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/elfes-tome-29-leah-saa-lelfe-rouge?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. The_PoP

    Rick & Morty - Tome 9

    Rick & Morty nous revienne dans un tome 9 encore complètement déjanté, ou l'humour noir, cynique et corrosif, et la haine de l'humanite de Rick prévalent encore une fois. Certaines vannes font heureusement mouche, et vous risquez de vous marrer un paquet de fois. Et puis il y a le reste qui oscille entre le juste vaseux jusqu'au bide total. Je trouve par ailleurs que le personnage de Rick s'en sort un peu trop bien à chaque fois d'ailleurs. Normal pour une BD d'humour tant il est difficile et délicat de faire marrer avec ce support. Reste que dans le genre, je préfère toujours certaines de mes vieilles séries de chez Fluide Glacial... Les amateurs, et ils sont nombreux seront cependant ravis une fois de plus. Les allergiques à l'humour noir et corrosif devront faire un grand détour. Je ne sais pas si c'est le digne héritier de South Park, mais cette série m'y fait directement penser depuis longtemps. Ce qui doit plutôt être bon signe. Vous l'avez compris, j'ai réessayé et même si j'ai pris un peu de plaisir à la lecture il faut bien le reconnaitre, cette série se rapproche vraiment trop pour moi du côté obscur régressif de la BD pour m'intéresser sur plus long terme. Pour ceux qui ne savent pas encore, les épisodes en crossover Donjon & Dragon sont un peu plus accessibles je trouve.
  10. Titre de l'album : Rick & Morty - Tome 9 Scenariste de l'album : Tini Howard & Kyle Starks Dessinateur de l'album : Marc Ellerby & Sabrina Mati & Juan Meza-Leon & Jarett Williams Coloriste : Sarah Stern Editeur de l'album : Hi-Comics Note : Résumé de l'album : Dick et Farty pour toujours ! Pardon, quoi ? On reprend : Rick et Morty, toujours prêts à semer la désolation et le chaos ! Mais au fil de leurs aventures intergalactiques, Rick Sanchez et son petit-fils se sont faits un paquet d'ennemis, et les voilà qui s'unissent pour réclamer vengeance. La famille du scientifique sociopathe est en danger, tout ça à cause de Jerry... Ca va tabasser sévère dans le multivers ! Avec, en prime, des retrouvailles aussi glauques qu'émouvantes dans la dimension Cronenberg, et la toute première mission des Revancheurs ! La série phare enfin en BD ! Venez pour les blagues, restez pour la dévastation de votre âme. Porté par Kyle Starks, nommé aux Eisner Awards, et Tini Howard, ce neuvième tome signe le retour jouissif de personnages bien connus de la série, tout en continuant de repousser les limites de l'univers Rick & Morty. Il paraît même que Monsieur Boîte à Caca est de la partie, oooo-oui ! " Pour faire une déclaration controversée (en fait, c'est vraiment pas le cas) : le comics Rick & Morty est bien mieux que la série. Critique : Rick & Morty nous revienne dans un tome 9 encore complètement déjanté, ou l'humour noir, cynique et corrosif, et la haine de l'humanite de Rick prévalent encore une fois. Certaines vannes font heureusement mouche, et vous risquez de vous marrer un paquet de fois. Et puis il y a le reste qui oscille entre le juste vaseux jusqu'au bide total. Je trouve par ailleurs que le personnage de Rick s'en sort un peu trop bien à chaque fois d'ailleurs. Normal pour une BD d'humour tant il est difficile et délicat de faire marrer avec ce support. Reste que dans le genre, je préfère toujours certaines de mes vieilles séries de chez Fluide Glacial... Les amateurs, et ils sont nombreux seront cependant ravis une fois de plus. Les allergiques à l'humour noir et corrosif devront faire un grand détour. Je ne sais pas si c'est le digne héritier de South Park, mais cette série m'y fait directement penser depuis longtemps. Ce qui doit plutôt être bon signe. Vous l'avez compris, j'ai réessayé et même si j'ai pris un peu de plaisir à la lecture il faut bien le reconnaitre, cette série se rapproche vraiment trop pour moi du côté obscur régressif de la BD pour m'intéresser sur plus long terme. Pour ceux qui ne savent pas encore, les épisodes en crossover Donjon & Dragon sont un peu plus accessibles je trouve. Autres infos : Attention corrosif Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/rick-morty-tome-9?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Un coup de coeur, mais vu le niveau de la sélection, non je ne l'y plaçais pas. Question de goûts... Mais c'était du bon.
  12. Enfin lu et c'est toujours très bon, même si la surprise a disparu, l'histoire se met quand même bien en place.
  13. The_PoP

    Le chateaux animaux t2

    Enfin lu. C'est effectivement exceptionnel. L'œuvre originale le méritait mais c'est vraiment du travail de très haute volée. Blacksad était jusqu'ici la référence graphique des BD avec des animaux un peu anthropomorphes... Jusqu'ici.
  14. The_PoP

    These savage shores

    L'histoire manque un chouïa d'originalité peut être, mais le thème, l'ambiance et le graphisme méritent vraiment un coup d'oeil.
  15. Durango avec une épée dans une Allemagne médiévale un brin fantastique... 🙂
  16. The_PoP

    These savage shores

    Modification de Selection de année en Oui
  17. Titre de l'album : Legende - Tome 8 - De mains de femmes Scenariste de l'album : Ange Dessinateur de l'album : Stéphane Collignon Coloriste : Natalia Marques Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Tristan de Halsbourg a disparu... et sa disparition a fait de lui une légende. Une légende qui pèse sur ceux qu'il a laissé derrière lui : sa soeur Ombeline, devenue duchesse, ainsi que son mari, Alexandre de Hauteterre mais aussi sur Judith qui s'est exilée et rejette l'idée d'un compagnon - tant est forte, dans sa mémoire, l'image de celui qu'elle aurait pu aimer. Critique : Cette chronique a été réalisée à partir du pdf de lecture. Des différences de ressentis et de perception peuvent donc se révéler avec l'édition papier. Décidément depuis la reprise de la série de Swolf par un nouveau cycle avec un nouveau duo d'auteur, le rythme de parution s'accélère. Si le dernier tome était un bon tome de relance, il ne m'avait pas non plus totalement convaincu. Ce tome-ci, une nouvelle fois de qualité ne va pas nécessairement lever tous mes doutes, mais il a le mérite de proposer une vraie consistance dans ses récits. En effet, même si je ne comprends toujours pas le fait d'avoir scindé en deux les personnages et leurs aventures, ce Tome 8 de Légende nous propose enfin une vraie réflexion sur l'usage du pouvoir et de la violence pour une fois peu manichéenne. Et tant mieux, car si Légende sous Swolf avait consacré la lutte des justes contre les maudits, il convenait de donner un second souffle à tout cela. Et surtout de donner un peu d'ampleur au personnage de Tristan. Reste que les aventures narrées dans son fiefs avec ses anciens personnages secondaires se révèlent finalement aussi intéressantes que celle de notre mystérieux héros, même si plus classiques. La grosse claque de ce tome 8 c'est que je me suis demandé si les planches n'étaient pas presque plus belles que sur la série originale. Et quand on sait en quelle estime je tiens le travail de Maitre Swolf, c'est un vrai compliment. C'est souvent très réussi et fin, et en série d'aventure/action se déroulant au moyen âge, c'est vraiment dans le haut du panier des productions actuelles. Bravo donc à Stéphane Collignon et à Natalya Marques pour leur travail sur le dessin et la colorisation. Chapeau bas. On sent qu'une fois le tome d'adaptation passé, et l'héritage des personnages de Swolf assimilé, les auteurs ont su faire évoluer l'ensemble. J'espère que sur le prochain tome les auteurs auront le temps d'améliorer un petit peu les détails sur certaines cases secondaires, mais c'est vraiment histoire de pinailler. Pour tout vous dire graphiquement, cela m'a beaucoup fait penser au travail réalisé sur la série Samouraï et notamment sur sa reprise après le départ de M. Genêt. A noter que c'est bien Yves Swolfs qui a réalisé la couverture. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/legende-tome-8-de-mains-de-femmes?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Cette chronique a été réalisée à partir du pdf de lecture. Des différences de ressentis et de perception peuvent donc se révéler avec l'édition papier. Décidément depuis la reprise de la série de Swolf par un nouveau cycle avec un nouveau duo d'auteur, le rythme de parution s'accélère. Si le dernier tome était un bon tome de relance, il ne m'avait pas non plus totalement convaincu. Ce tome-ci, une nouvelle fois de qualité ne va pas nécessairement lever tous mes doutes, mais il a le mérite de proposer une vraie consistance dans ses récits. En effet, même si je ne comprends toujours pas le fait d'avoir scindé en deux les personnages et leurs aventures, ce Tome 8 de Légende nous propose enfin une vraie réflexion sur l'usage du pouvoir et de la violence pour une fois peu manichéenne. Et tant mieux, car si Légende sous Swolf avait consacré la lutte des justes contre les maudits, il convenait de donner un second souffle à tout cela. Et surtout de donner un peu d'ampleur au personnage de Tristan. Reste que les aventures narrées dans son fiefs avec ses anciens personnages secondaires se révèlent finalement aussi intéressantes que celle de notre mystérieux héros, même si plus classiques. La grosse claque de ce tome 8 c'est que je me suis demandé si les planches n'étaient pas presque plus belles que sur la série originale. Et quand on sait en quelle estime je tiens le travail de Maitre Swolf, c'est un vrai compliment. C'est souvent très réussi et fin, et en série d'aventure/action se déroulant au moyen âge, c'est vraiment dans le haut du panier des productions actuelles. Bravo donc à Stéphane Collignon et à Natalya Marques pour leur travail sur le dessin et la colorisation. Chapeau bas. On sent qu'une fois le tome d'adaptation passé, et l'héritage des personnages de Swolf assimilé, les auteurs ont su faire évoluer l'ensemble. J'espère que sur le prochain tome les auteurs auront le temps d'améliorer un petit peu les détails sur certaines cases secondaires, mais c'est vraiment histoire de pinailler. Pour tout vous dire graphiquement, cela m'a beaucoup fait penser au travail réalisé sur la série Samouraï et notamment sur sa reprise après le départ de M. Genêt. A noter que c'est bien Yves Swolfs qui a réalisé la couverture.
  19. Ah ah tu vois Pos faut pas se précipiter 🙂 j’ai lu cependant certaines critiques qui disent que c’est toujours aussi excellent mais que le niveau de dessin et de scénario a un chouïa baissé par rapport au premier.
  20. Ça lui donne un petit air de Gibrat cette couv’. hate de découvrir ça 🙂
  21. Marini a prévu de finir les aigles de Rome je pense. il a également un autre projet façon polar noir années 30 il me semble.
  22. The_PoP

    Divers JV

    Heu quand je dis dur en fait je parle juste de l'histoire qui est dure. Pas de la difficulté du jeu que j'ai trouvé plutot simple. 🙂
  23. The_PoP

    Divers JV

    pas forcément plus dur, le 1 était super dur, mais c'était une lutte pour la survie... plus facile de s'y immerger je trouve qu'une quête de vengeance...
  24. The_PoP

    Divers JV

    ahhhhhh 🙂 alléluïa Oui j'ai eu un peu de temps Kevin 🙂 fini en une trentaine d'heures de jeu je pense. C'est pas le virage féminin hein qui m'a gêné, je l'aime bien la petite Ellie, j'aime bien leurs problématiques. Simplement il y a un moment où elle devient trop dure, trop figée dans sa souffrance pour que je puisse m'identifier, surtout que le jeux ne t'explique volontairement pas tout pour ne pas sombrer dans le pathos, mais quelques fois tu te dis, mais pourquoi elle réagit comme ça ? Pourquoi elle s'entête comme ça... Et puis suivant les révélations tu te dis ah ben oui je comprends. Et puis a la révélation d'après tu te dis, ah ben non quand même elle y va un peu fort... Nan je crois que c'est juste une petite overdose de violence. Hors c'était le but recherché clairement par les créateurs du jeux. Une réussite donc. Un peu comme Crossed de Garth Ennis finalement, ça marque, ça choque, ça fait réagir, mais t'as pas vraiment envie de le relire...
  25. j'en resterai au classique Watchmen que j'ai beaucoup aimé. ça y est je me rappelle la chronique de Pos' 🙂
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